Kibitoya | Empificator a écrit :
Juste un ou deux points > Que ça parte de X ou Y mètres, tu n'as pas écroulement "plus vite que la chute libre". D'autre part, il parle des débris qui partent du sommet, implicitement on peut penser qu'il ne parle donc pas du front de rupture mais bien du sommet. Et donc on retombe dans cette LU démontée depuis longtemps.
Ce monsieur dit clairement qu'une démolition contrôlée permet de dépasser la vitesse de la chute libre. > Citation :
plus vite que la chute libre/Ce ne peut être le résultat que d’une démolition contrôlée élaborée
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Bien sûr que l'écroulement ne vas pas plus vite que la vitesse de chute libre... le mec est pas débile, il parle forcément de la descente de l'onde de démolition provoquée par des explosifs, par rapport à la chute des débris plus haut...
Empificator a écrit :
Or Badcow explique, à la suite de beaucoup, que les explosifs ne permettent pas miraculeusement de dépasser la vitesse de la chute libre. C'est pas compliqué pourtant. Et c'est là l'essentiel.
Soit tu as une vitesse supérieure à la chute libre. Ce que tu ne peux de toute façon pas obtenir avec des explosifs ou des 767.
Soit tu as une vitesse inférieure à la chute libre. Et là, tous ces paluchages sur la vitesse d'écroulement ne servent à rien.
Moi, c'est comme ça que je le vois.
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Oui on est d'accord ! C'est pas parce qu'il y aura des explosifs, que la tour va se péter la gueule plus vite que la chute libre !! La vitesse atteinte ne dépassera jamais celle de la chute dans le vide... mais faut distinguer la chute de la tour de la vitesse de descente de la ligne de rupture. Et cette ligne là n'est plus soumise aux mêmes règles (pressurisation, compression.. etc)
Empificator a écrit :
Et ?
Suite à des menace téléphoniques reçues au WTC, la sécurité avait été renforcée et des chiens-renifleurs amenés à faire quelques extras dans les Tours.
Ils ont cessé de faire ces "extras" suite à l'arrêt des menaces.
Pourquoi "abruptement", parce que j'imagine que des équipes avec chiens renifleurs, ça court pas les rues, et qu'ils avaient sans doute autre chose à faire dans la mégalopole de NY que de glander au WTC inutilement.
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Oué possible, peut-être aussi pour les rapatrier à l'aéroport. Mais ça reste un évènement qui fait un peu "étrange coïncidence", alors que les E-U avaient été prévenus par des dizaines de pays d'un risque terroriste très élevé... Et quand on dit que la sécurité avait été augmentée depuis 93, faut pas oublier ce petit détail qui peut faire mouche...
mIRROR a écrit :
bah comme kibitoya "plus c est gros moins y a besoin d explosifs"
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Arrêtes de répéter ce que j'ai jamais dis s'il te plait !
mIRROR a écrit :
deux raisons qui invalident ton document dans le cas qui nous concerne:
1 - les materiaux employés ne sont pas bons car pour soutenir ta these on parle d amorcage a distance donc exit le cordeau
2 - les temperatures n ont absolument rien a voir...
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1 - En effet, ce n'était certainement pas des cordeaux. 2 - Les températures correspondent bien à ce qu'on pouvait trouver au WTC...
Ma source n'étudie pas la résistance au feu de tous les dispositifs, mais elle montre que pour certains d'entre eux, du moins ceux testés, ils n'engendrent pas d'explosions pour des températures > à 400°C
mIRROR a écrit :
peit etre que tu sais pas lire mais ce n est pas un detonateur, c est ecrit dessus
et puis si tu y reflechis deux secondes tu t apercevras qu il est impossible a une décharge electrique d amorcer un bloc de semtex...
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Merci je sais lire
Par le déclencheur éléctrique, on actionne la réaction en 2 temps du détonateur. D'abord la perle d'allumage actionne l'explosion primaire qui en détonant va permettre l'explosion secondaire, et par relai l'explosion de toute la charge. Si on zap cet artifice, y aura pas de détonation et l'explosif va brûler sans détonner... comme vu plus haut avec les cordeaux de découpe. Si tu balances du C4 dans un feu, tu crois pas que la chaine de réaction va être brisée ?
Voici ce qu'en dit un spécialiste du génie civil à reopen :
Citation :
« Je me rappel, elle est gravée cette première nuit ou un cauchemar s’est transformé en réalité. Je suis absolument certain, depuis le début, dès les premières heures à piocher le sujet du 911,
que les World Trade Center ont été détruits à l’explosif.
Mais comment ont-ils fait ça ?
Ces destructions savamment orchestrées, sont les points d’orgue, les clefs de voûte de l’agression émotionnelle, qui permirent que nous tombions pratiquement tous dans le panneau de ce qui pourrait être défini, comme un genre de tour de magie planétaire influent sur notre perception du monde. Parvenir à démontrer que le démontage des WTC est possible tel que nous l’avons tous observé serait un élément non négligeable pour convaincre encore plus de personnes qu’ils ont été bernés sur toute la ligne dans cette tragique histoire.
Malgré une énorme partie de mes connaissances personnelles misent à contribution pour comprendre ces démolitions, acquis mis à jour et complété par quelques excellentes contributions du forum où nous sommes ici réuni, il y a des bizarreries que les méthodes classiques de démolitions n’expliquent pas. Ainsi nous ne pouvons expliquer certains phénomènes observés ce jour là, ce qui laisse le champ libre à toute sorte d’élucubrations plus ou moins cohérentes et donne une longueur d’avance aux responsables de cette manipulation.
Seize mois que je me retourne les méninges, pour trouver certaines réponses techniques du comment, ces trois immeubles ont été démolis. Plusieurs éléments, d’un premier abord ne semblent pas avoir de réponse pour tous les chercheurs de vérité du mouvement 911 dont je fais partis.
1) Les explosifs n’ont pas explosé avec les incendies
Les explosifs n’ont pas explosé avec les incendies, parce que cela fait longtemps que les explosifs sont tous dit de sécurité. Il faut impérativement se sortir de la tête les clichés genre salaire de la peur et autres explosions cinématographiques aussi impressionnantes que surréalistes.
Le plus fragile des éléments d’une chaîne explosive est le détonateur, la charge elle sera détruite par le feu en fusant dans un PFFFFFF, sans un détonateur qui lance la chaîne chimique de dégagement rapide des gaz de la charge qui fait BOUUM.
Le wiki explique assez bien cette propriété de sécurité des charges explosives.
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9tonateur
Le détonateur est un élément de la chaîne explosive dont le rôle consiste à produire, au départ d'un courant électrique ou d'une flamme, une onde de choc suffisamment puissante pour provoquer à coup sûr la détonation d'une charge explosive. Suivant son type, un détonateur peut être lui-même déclenché par l'intermédiaire d'un exploseur, d'une mèche lente ou encore d'une amorce à percussion. Au sein du détonateur, l'inflammation d'une perle d'allumage (dans le cas de l'ignition électrique) ou la flamme nue (dans le cas de l'allumage par mèche ou par amorce) provoquent la détonation d'une petite quantité d'un explosif de type « primaire » (azoture de plomb, fulminate de mercure, etc.). Cet explosif « primaire », très sensible et ne connaissant qu'un seul régime de combustion - la détonation -, provoque à son tour la détonation d'une quantité plus importante (environ un gramme) d'un autre explosif dit « secondaire » (généralement la penthrite ou l'hexogène), moins sensible mais plus puissant, et qui sert de relais entre l'explosif « primaire » et la charge principale. Sans cet artifice, la plupart des explosifs se contenteraient de brûler lentement ou de déflagrer (cas de certaines nitrocelluloses), mais sans toutefois atteindre le régime de la détonation (sauf s'il y a fort confinement et/ou mise en œuvre d'une masse très importante).
D'autre part, l'inflammateur d’amorçage peut être remplacé par l'incorporation, dans la composition primaire, d'additifs la rendant conductrice, ce qui permet sa mise à feu par induction magnétique. Ce type de détonateur est utilisé pour les mines anti-chars et pas anti-humains (sauf si tes tongs sont en acier) Il existe aussi des détonateurs à déclanchement optique.
Les plupart des détonateurs sont sensibles à deux choses, un choc violent ou une forte chaleur. Alors je me suis dit qu’en milieux industriels, il y a des cas de figure où il faut utiliser des explosifs dans un milieu de forte température ambiante. Dans le dossier en lien ce dessous de l’INRS - Institut National de Recherches en Sécurité- est décrit l’ Irémite 1000 AS, un explosif de charge qui reste efficace et résiste bien à de fortes températures.
Pour les détonateurs et bien un simple tube de carton épais est suffisant pour l’isoler d’une forte chaleur et d’un déclanchement intempestif.
Doc INRS tir en masses chaudes dont on peu télécharger le pdf ici http://www.inrs.fr/
2) Le manque de nombreux sons francs et nets d’explosions comme on en trouve dans les autres vidéos de démolitions.
Pour ce qui est des charges de découpe à base de thermite, le problème ne se pose pas vraiment puisque super ou pas la thermite ne crée aucune détonation pendant son action. Par contre ça émet d’assez importants dégagements de lumière genre flash et des flashs ont été observés avant les chutes, ces flashs restent sujet à polémiques pour certains.
Pour utiliser des explosifs plus bruyant. Ce n’est pas très compliqué de réduire le volume sonore en utilisant les technique du tir séquentiel et en laissant le moins de charges possible à l’air libre.
Voir dans le lien ci-dessous qui explique cette technique en carrière.
http://www.industrie.gouv.fr/sdsi/ [...] irseq.html
Il est important de se rappeler le principe du tir en séquences qui pourrait être représenté mentalement assez facilement. C’est les différences entre un diaporama et les 24 images par seconde d’un film. Nos yeux retiennent ils toutes les images d’un film? Pareil pour le son.
Un autre exemple, un gros pétard de 14 juillet fait plus de bruit qu’une chaîne de pétard mitraillette et pourtant la même quantité de poudre sera utilisée.
Mais démolir des géants comme les WTC dans les conditions du scénario qui nous à été imposé est une réalisation inconcevable, sans faire de bruit, avec les techniques classiques de démolition à l’explosif, y compris avec le tir séquentiel. En effet, les possibilités de décomposition des ondes de choc sonores, ne sont pas assez nombreuses avec des détonateurs courrant à retard ou micro retard.
Il y avait un film à très haute définition projeté au parc du Futuroscope. Un projecteur spécial permettant de lire vite un plus grand nombre d’image que 24 à la seconde donnait au film un incroyable effet de réalité. Comme si l’écran était devenu une grande baie vitrée parfaitement transparente et invisible vers les images projetées. La lumière n’est pas la même matière que le son et pourtant, ces deux éléments que nous percevons humainement sont tous deux de nature ondulatoire et les champs des perceptions humaines sont limités à une plage de fréquence précise et définie.
Je me suis dit qu’il devait y avoir quelque chose qui avait bougé dans le monde des explosifs pour qu’une telle prouesse soit envisageable. L’idéal étant d’avoir beaucoup de détonateur avec le plus faible décalage de temps possible entre chaque amorçage. Au début je pensais au non conventionnel militaire top secret ou à une fabrication spéciale, ce qui rendait de potentielles explications impossibles. Puis j’ai réalisé que l’électronique et l’informatique seraient bien utiles dans de telles conditions. J’ai tapé « détonateur électronique » en recherche et BINGO De nouvelles techniques d'amorçages sont apparues sur le marché en 1999.
Permettant de décomposer une seconde de temps en une séquence de plus de 1000 pas.
Inventé par un français voir la fiche au WIPO World Itellectual Property Organization
http://www.wipo.int/pctdb/en/wo.js [...] LAY=STATUS
Ces petit bijoux technologique sont peut être le truc du magicien qui nous à tous fourvoyé.
Le système Daveytronique est vendu par Nitro Bickford qui en est déjà la troisième version depuis 1999.
Liens vers les dernières fiches technique de ce système fabriqué par les Français et oui !
http://www.nitrobickford.fr/IMG/pd [...] _V2008.pdf
http://www.daveybickford.com/pdf/m [...] III%20.pdf
Développement du Détonateur électronique :
1994/1996 – 1ere version, détonateur non miniaturisé. Essai terrain en mine de charbon
1996-1998 – Miniaturisation du détonateur, agrément par l'INERIS début des essais sur site pour l'obtention d'un agrément définitif.
1999-2000 – premières utilisations industrielles en France et à l'étranger (Australie, USA) : tirs en carrière, en souterrain et en mines sur des tirs multirangées (600 à 1000 détonateurs)
1er tir de démolition 100% électronique sur l’hôtel Hollyday Inn de Madere au Portugal lors des travaux d’extension de l’aéroport inauguré en septembre 2001. (Je n’ai pas trouvé de vidéo de cette démolition sur le net, ni sa date exacte)
2001-2005 – Développement constant de l'utilisation du détonateur électronique Daveytronic : France, Belgique, Angleterre, Allemagne, Portugal, USA, Canada, Chili, Australie …
Applications :
carrières: sismique, fragmentation, productivité…
travaux publics: tunnels, terrassements, démolition, tranchées…
mines ciel ouvert: casting, productivité, sélectivité, fragmentation, optimisation des fosses...
mines souterraines : optimisation block caving, productivité…
Dans ce lien on découvre que c’est une bourse d’état qui à permis de soutenir le début des recherches
http://www.paca.drire.gouv.fr/publ [...] es/25.html
Delta Caps International (D.C.I) développe et fait homologuer des détonateurs électroniques de précision. Dès 1994, un premier programme ATOUT-PUCE, faisabilité puis réalisation, soutenait un détonateur de nouvelle génération. Il améliore considérablement la prévision de mise à feu d’explosifs en exploitation de carrières notamment. En 1999, un nouveau soutien permet à l’électronique du détonateur d’évoluer vers une plus grande miniaturisation et autorise l'accès aux marchés de volume dans les carrières du monde entier. Le programme TREMPLIN, initié par la DRIRE, la Région et le Conseil Général avec un portage CCI, a permis par ailleurs à D.C.I, comme à 10 autres entreprises azuréennes en fort développement, de concevoir un business-plan qui lui a ouvert les portes des investisseurs en capital. Fort logiquement, DCI vient donc d'accueillir dans son capital deux fonds communs de placement (FCPI), AXA et INNOVAFRANCE, pour un total de 12 millions de francs. Désormais contrôlée à 46% de son capital par ces fonds, cette P.M.I dispose des moyens nécessaires à une rapide internationalisation de son savoir-faire.
D’ autres marques de système de tir électronique sont prévu pour le « sautage » ( tir d’abatage en carrière) .
http://www.oricaminingservices.com [...] 042007.pdf
les deux figure 12 & 13 en partie haute de la page 13 du doc ci dessous sont très instructives
http://www.drire.gouv.fr/poitou-ch [...] ltant2.pdf
Ce qui est visible sur ces figures, c’est que les détonateurs électriques classiques créent des pics de détonation qui restent audibles si on tend l’oreille. Par contre les détonateurs électroniques ne forme pas de crêtes vivent en pic mais un ensemble de courbes enchevêtrées. Ces enchevêtrements ont pour conséquence de ne plus entendre les détonations qui se confondent avec l’éboulement gravitaire des matières broyées.
Tous les retours d’expériences d’utilisation en carrière que l’on peu trouver sur le net expriment ce constat de réduction très importante des nuisances sonores.
http://www.gbee.be/files/textes-20 [...] nateur.pdf
Des utilisations autres qu’en carrière ont été réalisées avec ce système de détonateur, en démolition de bâtiment notamment et nous devrions rechercher tous retour d’expérience de ce type de matériel utilisé en démolition, sur des structures type immeuble de préférence.
Ce système électronique de mise à feu en séquence rapide des détonateurs offre bien des avantages qui auraient pu se révéler fort utiles un certain 11 septembre 2001.
La programmation complète et optimisé d’une séquence complexe espacées en milliseconde. Précision inférieur à 1/10 e de milliseconde, c’est bigrement rapide et précis.
La possibilité de contrôler et de reprogrammer à distance chaque détonateur avant le tir et cela quelques minutes avant le déclenchement. Pratique si un avion venait à faire sauter quelques charges avant l’heure du tir.
La simulation informatique du tir et l’optimisation du contrôle de ses effets dans l’environnement en fonction des contraintes du site.
Ce point là est bien entendu celui qui permet de penser que ces outils ont pu être utilisés pour les démontages des trois tours avec une relative discrétion sonore par rapport aux démolitions classique.»
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mIRROR a écrit :
pareil
on peut considerer ca comme un "detonateur" pour du tnt mais pour du semtex ca sert a rien a part allumer un vrai detonateur
par contre au feu ca crame direct donc ca t arrange pas
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Ok, on écarte la mèche de mineur !
mIRROR a écrit :
moui t es mignon mais ce que je sais je l ai appris pendant une formation a la DGAC, c est pas des militaires mais ils s y connaissent assez pour que ton document ait l air un peu leger
et je ne vois nulle part un endroit qui stipule qu on peut rendre un detonateur insensible au feu, ce qui est d ailleurs impossible en deçà d une certaine limite
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La DGAC est spécialisée dans les explosifs maintenant ? Y a bien des limites de température pour le déclenchement des explosifs en milieu chaud... si tu te prétends connaisseur, dis moi jusqu'où on peut monter cette limite !! Et le détonateur peut succomber aux températures et donc s'activer alors que la charge est déjà détériorée par les incendies...
Si t'as des essais en labo qui montrent un peu toutes ces limites, je te prie de m'en faire part
Heu j'ai pas dit que l'avait pu du tout de sécurité hein. Simplement que le renforcement de sécurité avait été levé... tu le nies ça ?
mIRROR a écrit :
pour etre franc j en sais foutre rien je suis pas expert
mais pour un batiment un peu moins large et BEAUCOUP plus haut je suis fortement convaincu qu il en faut plus
c est pas necessaire a l effondrement mais ca l est pour l implosion
ce dont on parle donc et c est pour ca que ton raisonnement est fallacieux
le but de l attentat de 93 etait de faire s effondrer une tour sur l autre
donc la pas besoin de beaucoup d explosif et ta theorie du moins d explosif possible tiendrait la route
sauf que la on veut que le batiment tombe sur lui meme
il suffit pas de detruire le core, mais bien chaque partie pouvant faire preuve d un minimum de resistance au mouvement souhaité sinon le batiment va devier lors de la chute...
(d ailleurs les larges pans de facade ayant survecu tendraient a prouver que la demolition n etait pas si controlee...encore une finesse du complot?)
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Les pans de façade encore debout, mais plus une trace de noyau... ça conforte la théorie du NIST ça ? Bon pour les démol je reprend. Tu veux faire tomber une grande tour sur pied unique, quelle fasse 500 mètre de haut et que son total de surface par étage soit élevé ne change rien, si la surface de base est faible, quelques explosifs suffisent !
Tu veux faire péter un grand stade, beaucoup moins haut mais avec une surface au sol beaucoup plus grande, ba le nb d'explosifs à utiliser est multiplié par 1000 !!
Donc pr reprendre notre cas avec Hudson departement store, t'as une base beaucoup plus large que le WTC (j'ai pas les chiffres si tu veux faire la comparaison je te regarde), et un bâtiment beaucoup moins haut. Y'a donc moins d'énergie potentiel de pesanteur pour détruire les structures, et il faut mettre plus d'explosifs, qu'on multiplie par la surface supplémentaire au sol comparé au WTC. Et pour ce même WTC, moi perso je mettrais des explosifs que dans le coeur, donc encore moins d'explo.
Tu comprends la logique ? Je dis pas => plus de masse = moins d'explosifs
Reconnais que réduire un millier d'explo type C4 à une grenade, et augmenter une tour à la masse de notre planète, c'est un peu foutage de gueule, nan ?
mIRROR a écrit :
bah tu essaies de prouver qu il faut moins d explosif pour detruire les TT que pour un batiment largement plus petit je te rappelle hein... donc je vois pas trop ce que j ai deformé et/ou mal compris
detruire le core c est juste une demolition qui n a rien de controlé
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Voir plus haut. Et en quoi la démolition du coeur n'est pas une démol contrôlée ? On procède comme si c'était une structure indépendante du reste de la tour, comme un gros bâtiment au centre qu'on dynamitait. Personne voit rien, le tour de magie est parfait !
mIRROR a écrit :
30 fois c est un ordre de grandeur ...une difference qui n est pas minime donc et je peux t assurer que c est pas gilga qui va se tromper d une virgule quand il te sort des chiffres...
ce que je dis c est que justement chez lui tu vas aller pinailler pour savoir d ou sortent kes 71GN/m mais que je dois avaler sans rien dire tes 1000 charges suffisantes pour une DC bah non tu dois faire preuve de la meme rigueur d un sens comme de l autre ![[:spamafote] [:spamafote]](https://forum-images.hardware.fr/images/perso/spamafote.gif)
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Je sais à peu près ce que vaut Gilga, j'ai vu la majorité de ses calculs sur ce topic. Et la plupart du temps, il prouve pas grand chose. Il est pas méchant mais j'ai juste l'impression qu'il cherche à impressionner le conspi lambda en rangeant la science de son côté. Et là en l'occurence il traduit juste les travaux de Bazant et Zhou, c'est pas lui qui fait le calcul. Donc il sait pas d'où vient ce chiffre. Mais vu qu'il reprend ça comme si c'était évident, je lui demande de m'indiquer d'où ça sort.
Et moi, les 1000 charges, c'est une simple hypothèse, c'est pas le postulat d'une démo. Je le reconnais moi même, c'est un paramètre très variable. Donc prétends pas que je suis pas rigoureux !
mIRROR a écrit :
tu comprends pas le francais bordel ou tu veux pas comprendre
je n ai JAMAIS dit que l explosion d une charge declenche les autres
j ai dit le feu declenche tous les detonateurs, et donc les charges
fais cette experience :
t as un barbeuc
tu fous un petard tout a gauche
tu fous un petard tout a droite
tu allumes le barbeuc
le petard de gauche pete
etrangement celui de droite aussi question existentielle: est ce que c ets le petard de gauche qui a cramé le petard de droite ou est ce que c est juste CE PUTAIN DE FEU ? ![[:dawak] [:dawak]](https://forum-images.hardware.fr/images/perso/dawak.gif)
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Feu qui n'est présent qu'à quelques étages...
Et même en allant dans les étages les plus touchés...
Page pdf 184 du rapport final du NIST, case A, regardes la température dans le coeur du WTC1 :
Plus le temps passe, plus il se refroidie. Et encore, même avec l'inflammation du kéro sur les 5 premières minutes, la température atmosphérique du centre ne dépasse pas les 300°C. Pourquoi ? Car il y a beaucoup moins de combustible (matériel de bureau) que dans le reste des étages. Donc même un détonateur posé sur une colonne dans cette région, il sera pas chauffé...
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