Reprise du message précédent :

 
La CNV c'est du pipo total, new age à fond, et la vente pyramidale fait bien entendu partie du lot.

 
simplement prise de conscience, oui oui c'est facile, idem pour les obèses et les fumeurs, ils n'ont qu'a prendre conscience quoi  

 
C est du boulot ni fait ni à faire ça  

 
Les obèses je sais pas, les fumeurs l’arrêt de la nicotine engendre chimiquement un déficit de dopamine qui engendre à son tour des troubles physiques. Ça n’a rien à voir avec un comportement, tout compulsif soit il.

 
 
Ben retourner à la fac, à plein temps, avec des jeunes qui pensent surtout à picoler et à choper. Les profs, les partiels...
 
Oui quand tu as deux gosses et 10 ans de carrière derrière toi, je trouve que le retour à la fac demande un sacré courage!

 
En quelle matière *  

Les déplacements pro c'est vraiment pas bon pour le couple    
En déplacement la semaine dernière, un soir il y avait une soirée organisée avec d'autres, on s'est retrouvé un grand nombre. Dont des collègues qui ont été proches il y a longtemps et qui sont loin maintenant.
Je me suis fait allumé comme ça ne m'était pas arrivé depuis 10 ans je crois    
J'ai fait mine de ne rien comprendre, elle doit penser que je suis homo maintenant    

Je la savais pas subtile, là j'avoue que c'était vraiment gros  

 
Lurker depuis quelque temps, je me permets de réagir à ce passage.
 
J'ai 50 ans, en Belgique, deux diplômes (bac +3 et bac +4). Ma compagne a 35 ans, un diplôme (bac +3). Nous avons tous les deux une petite fille de 9 mois, et pas d'autres enfants par ailleurs. En couple depuis 16 ans.
 
Et je réagis parce que... elle bosse en libéral (orthophoniste, ou logopède chez nous), et "je ne bosse pas" pour reprendre l'expression, mais ce n'est pas _du tout_ comme ça que je le formulerais moi-même.
 
Dire que je n'ai pas d'emploi est factuel. Dire que je ne bosse pas est franchement se foutre de la gueule du monde. Autant je peux tout à fait entendre que mon "travail" ne représente pas un équivalent temps plein (notamment aussi parce que je suis extrêmement organisé dans mes tâches, ce qui me permet de gagner du temps), autant j'ai du mal à entendre que je "ne travaille pas".
 
Emploi et travail, ce n'est pas la même chose. Y a plein de gens qui ont un emploi et qui ne travaillent pas vraiment beaucoup. Y a aussi des gens qui n'ont pas d'emploi et qui ne travaillent pas vraiment beaucoup. A côté de cela, il y a aussi plein de gens qui n'ont pas d'emploi et qui travaillent beaucoup.
 
Tellement souvent confronté à la réaction des gens que je rencontre pour la première fois, avec la sempiternelle question qui arrive souvent dans les premières minutes d'une discussion : "et toi, tu fais quoi dans la vie ?". Et à la réponse (au choix) "je suis papa au foyer" ou "je m'occupe de la maison et des tâches ménagères" (j'omets généralement que j'aide un peu ma compagne pour sa partie administrative, contrôle des paiements de ses patients et comptabilité), le dédain immédiat.
 
Il y a quelques semaines, j'ai eu droit à "oh, tant que ça convient à tout le monde hein" de quelqu'un que je rencontrais pour la première fois (fête des voisins), qui s'est ensuite immédiatement détournée à la recherche de gens sans doute plus intéressants à ses yeux... Passons sur le fait que si j'avais été une femme, je n'aurais probablement jamais eu cette réponse (car c'est plus "classique" comme situation, pour beaucoup)...
 
Le mieux a été de me faire traiter de parasite de la société, alors que je ne touche aucun revenu d'aucune forme, mais... le mécanisme du quotient conjugal (par lequel une partie des revenus de ma compagne me sont attribués, ce qui diminue la quantité d'impôts que le couple paie, mécanisme automatique qu'on ne peut pas choisir de refuser) a eu le don d'énerver la personne en question...
 
Les seuls qui ont une réponse positive sont soit ceux qui sont dans le cas, soit ceux qui ont connu la situation quand ils étaient enfants.
 
Enfin bref, si c'était le cas, je pourrais comprendre qu'on demande à ma compagne si ça la fait pas chier que je passe mes journées à boires des bières affalé dans le divan... par contre, dans notre situation, quand on lui demande si ça la fait pas chier que "je ne bosse pas", ça gonfle.
 
Raccord avec le topic : c'est quelque chose qu'elle vit mal. Le fait que je ne travaille pas est un choix qu'on a fait tous les deux. Elle est très contente de n'avoir jamais à faire une lessive, ou du repassage, ou de nettoyer/ranger la maison (à part un petit coup d'aspi vite fait si je suis occupé à autre chose, de temps en temps, ou de nettoyer les fontaines des chats 2 fois par semaine, ce genre de chose), ou de réparer/entretenir un truc cassé ou un appareil... Elle est très contente de ne pas connaître "la charge mentale du ménage" et de ne pas vraiment savoir ce que c'est d'être super fatiguée (même avec bébé). Mais quand des gens lui font sentir que puisque je n'ai pas d'emploi, je suis un moins que rien qui vit à ses crochets, elle a honte et a honte d'avoir honte. Sans aller jusqu'à dire que cela nous pose des problèmes de couple, ce n'est pas toujours évident à gérer.

Perso je pense que ça me dérangerait pas du tout d’avoir un conjoint au foyer.  
 
Même si je n’appellerai pas ça un « travail » non plus (ou alors les gens qui bossent ont un double emploi), c’est une participation au foyer comme une autre. Qu’on l’amène par le biais de l’argent ou par le temps, au sein de mon couple c’est pareil.  
 
Par contre je peux comprendre que ça ne soit pas simple à vivre, vis à vis du regard des autres ou vis à vis de la forme de « dépendance » que cela crée.

Mouais, tu t'es laissé tenter quand même
J'aime pas l'idée de ce contact physique très FLIRTY mais JE VEUX PAS JUGER

Sinan je suis tombé sur cette vidéo : https://www.facebook.com/watch/?ref [...] 4987663784
Qu'en pensez-vous ?

 
+1
 
ma femme elle ne "bosse" pas (et encore c'est pas tout à fait vrai, elle a du boulot et des responsabilités dans plusieurs domaines), mais elle en fait autant si pas plus que moi. certainement plus que moi en fait...

 
Ben ça dépend de comment on définit "un travail". Si on le définit comme un emploi (contre rémunération), alors non, ce n'est pas "un travail".
 
Par contre, c'est "du travail", au sens d'une activité qui demande de fournir un effort ou une dépense d'énergie.
 
C'est aussi "un travail" si on définit ça par le prisme de "une activité qu'on fait parce qu'il faut bien mais qu'on se passerait bien de faire si on avait le choix".
 
Sinon oui, chez nous le but est en partie de faire en sorte de limiter nos dépenses (une seule voiture pour le couple par exemple) et d'utiliser mon temps (ménage et autre) pour que ma compagne puisse travailler un peu plus (donc, un peu plus de revenus) sans du tout avoir l'impression d'avoir une vie de merde (sachant qu'elle adore son boulot).

Les parents au foyer sont globalement méprisés.
 
Mon épouse est confrontée au même problème. 6 enfants, ses journées consacrées à les élever, tout en maintenant une activité sociale et sportive, mais elle ne "travaille pas" au regard de la société, qui ne conçoit le travail que comme une activité économique salariale ou entrepreneuriale.
 
Cependant, elle vit encore plus mal le jugement de la société sur les familles nombreuses que sur les mères au foyer.

Peut-être que ça dépend aussi si on parle de "parent au foyer" avec enfants scolarisés ou non ?
L'enfant à la maison, oui c'est un travail, la preuve y'a des nounous ...
Quand l'enfant n'est plus à la maison, la charge diminue quand-même graaaaandement, et revient à ce que les autres parents font en parallèle de leur emploi (au delta près du repas du midi si l'enfant rentre manger).
Non ?

Oui pour les cas du dessus ils ont de jeunes enfants, ça me paraît tout à fait normal puisqu'on avait fait le même choix.
Mais c'est vrai que c'est mal vu même si provisoire  

Et dire stop n'était pas possible ? Lui dire qu'elle dépasse les limites (si jamais tu en as) ?
Le problème n'est pas le déplacement pro, ici

J'imagine qu'une fois les enfants tous partis du nid la situation est grandement plus confortable, mais à ce moment, la cinquantaine est dans les parages.  
 
Je vois mal une personne de 50 ans, éloignée du monde salarial depuis 25 ans, chercher et obtenir un emploi qui en vaille la peine.
 
Tant que matériellement rien n'y oblige, travailler dans ces conditions serait absurde.

Donc à 34 ans, tu t’es mis avec une meuf de 19 ? Tout va bien.

Les séminaires    

 
 
Le probleme est que les gens passent leur temps a émettre des jugements en permanence, ca peut s'appliquer a tout. Rien que le post de Dolores en est la preuve
 
Le mieux est encore de ne rien partager de sa vie, on gagne beaucoup de temps et on vit beaucoup plus sereinement.
Meme sur mon job je reste très vague, et jai déja eu des gens me disant frontalement que mon job ne servait a rien. ( pourtant un  jobs standard dans l'IT, et je passe les torrents de merde que peuvent recevoir des profs par exemple.)  
Donc ca s'applique a tout, si il réagit c'est juste que le sujet est un peu sensible pour lui, preuve en est la sortie de lurkage , mais vraiment il faut mener sa vie en se fichant du regard des autres.

 
Pour moi le fait qu'il y ait des enfants ou pas ne rentre pas en ligne de compte.
 
Cela reste un choix de vie, même juste à deux. Si les revenus d'un des deux sont jugés suffisants par les deux membres du couple en fonction de la qualité et du train de vie souhaités, je n'y vois aucun problème.
 
Chez nous, ma compagne a toujours dit qu'elle avait "besoin" de travailler (en dehors des revenus, pour elle-même). Moi ça a toujours été le contraire. Je n'ai pas du tout besoin d'un emploi pour me prouver quoi que ce soit, je ne sais pas ce que "m'ennuyer" veut dire tellement j'ai toujours un truc à faire qui m'intéresse,... La seule chose dont j'ai besoin, c'est d'un minimum d'argent pour vivre.
 
Alors oui, avant d'avoir notre fille, clairement j'avais un niveau d'occupation "ménage/maison/contraintes du quotidien/aide administrative de ma compagne" d'un mi-temps. Donc oui, forcément, j'avais du temps "libre". Lecture, jeux videos, enrichissement personnel,... oui j'avais du temps.
 
Mais au final, ma compagne faisait ce qu'elle aimait, moi aussi, elle ne faisait pas ce qu'elle n'aimait pas, moi non plus. On aurait pu rentrer dans des calculs comptables de "ouais mais moi j'ai fait ceci x heures, toi t'as fait cela y minutes et bla bla bla", mais... pour quoi faire ?

A priori, les enfants partent à l'école l'année de leur 3ans.
Si ton petit dernier a 3ans 25ans après la naissance de ton premier, c'est une fratrie drôlement étalée
 
Après qu'on me comprenne bien: je ne pense pas pour autant qu'on puisse "mépriser" les personnes au foyer. avec enfants scolarisés (ou sans enfants) Ni je ne pense qu'ils n'en foutent pas une dans leur canapé toute la journée.
Par contre c'est un peu maladroit la façon parfois de dire "ah mais je travaille, y'a plein de choses à faire", quand en face les gens ont non seulement des enfants en bas âge, mais travaillent à plein temps
Je SAIS qu'il y a plein de choses à faire, je suis à 80% et pourtant je suis toujours en train de faire en dernière minute les choses obligatoires (genre j'ai pas encore déclaré partout mon déménagement ).
 
Et en effet je suis à fond pour "tant mieux s'ils en ont envie et peuvent se le permettre", avec un petit bémol pour le risque sur la personne au foyer...

 
Euh non, pas tout à fait.
 
En fonction de nos dates d'anniversaire respectives, elle avait 18 ans et j'en avais 33.
 
Mais sinon, oui, comme tu l'écrit très bien : "tout va bien".

C'est vrai qu'il y a une grosse différence

C'est beau un amour qui transcende les âges.

+1

et je pense qu'une partie du problème de "méprise" décrit par certains vient du fait que les hommes/femmes au foyer ne se rendent pas compte que globalement les gens qui travaillent ont des obligations/du "travail" à la maison du même niveau, si on exclut la garde des enfants comme l'évoque wizza

parce que bon entendre un papa à la maison dire "olalalala c'est dur les lessives, le ménage et tenir la maison hein" alors que quand tu taff tu fais la même chose en plus de ton taff, bon.

 
Je ne comprendrais jamais les gens qui font ça en milieu pro, les rumeurs et autres bruits de couloir que ça engendre...    
 

 
Pour ton cas, le fait que tu sois l'homme et que tu sois au foyer doit fortement influer sur le regard des autres (ça passerait mieux si t'étais une femme en gros).
De manière plus générale : si au niveau revenus c'est ok pour le couple, y'a pas de soucis théorique, surtout si c'est pour un temps défini.
Ca pose des problèmes pratiques par contre, surtout à long terme :
- celui qui ne travaille pas n'est pas indépendant. C'est d'autant plus critique en cas de séparation où il/elle risque de finir avec pas grand chose
- de ce fait, celui qui n'a pas de revenu va être plus hésitant à se séparer si les choses ne vont pas bien.
 
Après de manière plus mesquine, si je bossais pendant que mon mec se faisait des grasses mat' jusqu'à 10h puis passait sa journée sur Diablo (vu que pas d'enfant, c'est le plus probable), ça me saoûlerait sur le long terme, misery loves company
 

 
Ce jugement à deux balles...  

Y'a le bon jugement et le mauvais jugement.

 
Oui, mais en même temps, nombreux sont ceux-là qui se plaignent d'une vie de merde parce qu'ils courent partout, tout le temps et n'ont plus une minute à eux.
 
Alors oui, clairement tu as raison : ils en font plus. Cela n'a pas pour autant intrinsèquement plus de valeur, en tout cas à mes yeux.
 
Il y a eu un paquet de compte-rendus sur ce topic et sur d'autres, de gens qui se plaignent d'une situation de couple compliquée... De ce que j'en ai lu, le paramètre "temps disponible" est très très souvent au moins sous-jacent. Grosse fatigue, peu de temps pour souffler et vraiment communiquer ; un mode de vie qui petit à petit amène de plus en plus d'incompréhensions, de malentendus et finalement, d'amertume.
 
Nombreux aussi sont ceux qui vont déléguer à d'autres un certain nombre de tâches ménagères, souvent le nettoyage de la maison, lessive et repassage. Je n'y vois rien de mal en soi, mais cela a un coût. Et quand nous avons fait le calcul ma compagne et moi, on s'est rendu compte qu'entre ce coût (100 à 200 balles par mois, aujourd'hui ?) plus une deuxième voiture, plus plein d'autres frais qu'on n'a pas actuellement, et bien si j'avais choisi de travailler le gros de mon salaire aurait servi à financer tout cela.
 
Donc la question était pour nous : "de mon salaire (qui aurait donc été le deuxième du couple), combien en aurait-on retiré totalement en net ?". Et de mémoire à l'époque la réponse était quelque chose comme 500€. Question suivante : "est-ce que pour 500 euros, je vais bosser 40 h/semaines, sachant que je n'y trouve aucun autre intérêt (que le revenu) par ailleurs ?". En ajoutant aussi qu'on était convaincus qu'en terme de charge physique et mentale, même en déléguant des tâches, notre vie serait moins confortable si on bossait tous les deux à temps plein. D'où notre choix.
 
Évidemment, si on en vient à se séparer un jour, je suis potentiellement beaucoup plus dans la merde que ma compagne. Si la séparation se passe bien, je ne m'en fais pas vraiment. Si elle se passe mal par contre... Cela dit, si elle se passe mal et qu'on en vient à avoir besoin d'une médiation quelconque, le statut de non emploi choisi de l'un pour le bien-être familial commence tout doucement a être de plus en plus reconnu. Et tant mieux.

Je parlais de l'indépendance des enfants, durant/à la fin des études.

Si leur entrée à l'école est salvatrice en matière de temps "libre", élever plusieurs enfants, même scolarisé, n'a rien de simple et reste très chronophage.

Concernant le cumul, je me permets de te répondre ci-dessous.

Etant moi même salarié je suis dans la situation que tu décris. Pour autant, je ne pense pas que la vie de mère au foyer soit plus simple que la mienne, bien qu'elle ne cumule pas contrairement à moi.

De plus, le mépris ne provient pas de la plainte d'une surcharge imaginée en provenance de mon épouse (dans notre cas). Il est résultant d'une incompréhension teintée de haine de certaine personne pour la vocation d'avoir des enfants et de s'y consacrer à 100%.

Avoir beaucoup d'enfants et vouloir etre mère au foyer est jugé négativement dans la société occidentale du XXIe siècle, et mon épouse n'a pas besoin d'aller se plaindre pour recevoir des feedback négatifs.

J’espère sincèrement que ce n'est pas ton cas, mais 100% des gens que je connais qui vivent ou ont vécu ce genre de situation et tiennent ou ont tenu ce genre de propos sont des putains de victimes.

Je n'ai pas compris ce que tu sous-entendais.

J'avoue je me voyais pas poser un stop au milieu du monde, un simple "mais tu délires c'est juste dans tes pensées tordues" de sa part m'aurait fait passer pour le dernier des cons. Je l'ai croisée pour la 1ère fois depuis 6 ans, pas de risque de réitération.  
L'alcool aidant j'ai vraiment cru jusqu'au câlin qu'elle était simplement un peu trop tactile (et alcoolisée). Après m'être extirpé du câlin elle a enchainé avec le frottage de jambe et je me suis barré. C'était ça la limite.

Mon patron veut animer le topic, il a décrété qu'à partir de l'an prochain on ferait des séminaires sur plusieurs jours avec nuit sur place.  
Précision, la femme mentionnée au-dessus n'étant pas de la même entité que moi elle ne sera pas des fameux séminaires.

Ils se font berner et en redemandent. Jusqu'au moment ou boom ça pète complètement, et c'est pas beau a voir.

je ne crois pas avoir cherché à faire de comparaison entre une vie salariée et une vie de personne (homme ou femme) au foyer
 
je dis simplement que dans le discours des gens qui sont au foyer (et qui ont fait ce choix), on retrouve souvent de mon expérience un discours de "vous vous rendez pas compte c'est du boulot" alors que ce MEME boulot est aussi fait par les gens qui travaillent dans la plupart des cas (garde des gosses mise à part, et encore le nombre de parents qui s'organisent sans nounou en bossant tous les 2 est impressionnant)  
 
et que du coup ce discours peut générer a mon sens des feedbacks négatifs
après si ton épouse en a reçu des non sollicités c'est bien triste pour elle, dans ce cas il ne faut pas hésiter à changer de fréquentations

Team #jeCapteRienTantQueJaiPasSaLangueDansMaBouche aussi.
 

Très très bonne idée de ton patron.

Ce calcul met de côté la retraite, la maladie ou une quelconque incapacité, les autres différents avantages potentiels liés à un emploi (prévoyance, mutuelle, ...), les augmentations, la variation du coût de garde de l'enfant selon son âge, etc. Vous avez vraiment tout envisagé avant de vous décider ?

edit : je ne sais pas si c'était un bon ou un mauvais choix, je me questionne simplement sur les raisonnements qui y mènent.

 
Oui, y a des gens qui font _la même chose en plus du taff_. Ça existe. Cela dit, quand je bossais, mon appart' était nettement moins clean et rangé que ne l'est ma maison aujourd'hui que je ne bosse plus. Autrement dit, pour avoir la quantité de loisirs qui me convenait, je revoyais à l'époque mes exigences à la baisse. Et de ce que je vois et discute autour de moi, je suis loin d'être le seul.
 
Est-ce que c'est important ? A chacun de mettre le curseur où il veut bien évidemment. Mais mon avis personnel est que l'ordre bat le désordre à tous les coups, et le propre est supérieur au sale. Donc je suis aujourd'hui très content de ne plus être tiraillé entre le fait de faire mon ménage convenablement (en fonction de mes critères personnels) et le fait d'avoir la quantité de temps libre suffisante pour les loisirs qui m'intéressent (en fonction de mes critères personnels, bis).
 
Je suis d'accord sur un point : c'est vachement se foutre de la gueule du monde de venir dire que "c'est dur les lessives, le ménage et tenir la maison".
 
Cela dit, je bossais dans l'informatique. Venir dire que "sur une journée, c'est dur de monter quelques PC, y installer windows, configurer comme il faut, installer les softs indispensables pour la boîte, amener les pc en question dans les bureaux de ceux qui les utiliseront, tout ça en répondant au téléphone pour aider les employés de la boîte qui ont un soucis ("oh mon dieu, mon icône outlook a disparu, aidez-moi !!!" ), et envoyer peut-être une quinzaine de mail", c'est tout autant se foutre de la gueule du monde.
 
Ce qui est plus dur, c'est de faire tout ça au boulot TOUT en ayant en tête que "merde, j'dois encore aller faire des courses, chercher un colis à la librairie, préparer le souper, et faire une lessive". Je le conçois, mais c'est souvent un choix (pas toujours, clairement).

si je suis ton raisonnement les gens qui font en plus du taff sont plus sales que toi et dans le désordre, il démarre bien ce lundredi

sinon pour la dernière partie, tout le monde n'a pas un job forcément simple (c'est toi qui décrit ton ancien job de support info comme simple) puis comme tu le dis, les gens en plus du taff doivent penser aux gamins, aux courses, au ménage, aux travaux, à l'administratif, etc.

sans parler du fait qu'on oublie que dans le cas où un seul membre du foyer travaille, il porte sur les épaules toute la responsabilité des apports en pognon pour la vie de la famille et ça c'est une sacré charge aussi