Reprise du message précédent :

Il y a surtout des vieux mecs qui veulent absolument claquer la bise aux femmes qu’ils jugent attirantes. Pouah.

Encore à un ancien taf, il y avait un mec pas si vieux mais hyper tactile (avec les femmes). En plus il était méga grand (et moi je fais 1m60 ) donc quand il se penchait et qu'il mettait sa grande main sur ma petite épaule, j'avais des envies de fuir loin qui s'enclenchaient fissa. Je suis comme ça :   rien qu'en évoquant ce truc

Ouais, c'est possible qu'il y ait des gens plus ou moins sensibles.
 
Après, en vrai j'ai des dizaines de contacts physiques par jour au boulot, parce que j'ai souvent des élèves qui font des câlins et que ça me gène pas plus que ça avec les mômes (c'est un peu comme avec les animaux ).  
Même moi, ça m'arrive de leur toucher les épaules, les cheveux, de les prendre par la main… Mais je leur précise régulièrement qu'ils ont le droit de dire aux autres d'arrêter de les toucher, y compris aux adultes et à moi.
Et j'ai des collègues avec qui les enfants sont moins tactiles

Pour le conjoint, ça me parait bizarre aussi. Ici, c'est limite une extension de moi
Enfin, mon conjoint actuel, mais c'est ptet notre relation qui veut ça.

Vous avez raison  sur le  fait de "faut le dire" , par contre c'est tellement ancré dans mon taf et étant un homme c'est pas facile (okvous menez encore les femmes de 56  trucs moins facile que pour nous ) , et effectivement le mieux serait de l'assumer ...

C'est limite un peu flippant dit comme ça  
Qu'est-ce qui te fait ressentir ça ?

La bise au boulot j'y ai droit et j'aime pas ça. Par contre je trouve que c'est difficile de décliner sans passer pour le con de service

Jsais pas trop, mais ça le dérange jamais que je le touche

 
pareil je deteste les deux et si je dois serrer des mains je me les lave direct derriere.  
Chez nous ca va on a juste le salut verbal et la bise peut etre 1 fois par an aux occasions ( nouvelle annee, anniversaire)
 
par contre on a eut un collegue qui faisait le tour du bureau pour serrer 40 paluches tous les matins. bon je tolerais parcequ'il y en avait q'un et que c'etait plutot sympathique mais bon heureusement qu'il etait le seul

Toucher ses collègues  

Je le dis que je ne fais pas la bise (ni ne serre la main, sauf en cas d'entretien pro, j'accepte de serrer les mains pour ne pas faire chier dès le départ   ). Les gens respectent "ah oui, c'est vrai pas la bise avec toi hihi". Ni collègues, ni amis, ni famille.
Bien qu'étrangement la bise ne me gène pas pour dire au revoir mais bonjour oui. Je crois que c'est le fait d'avoir eu le temps de me rapprocher des gens qui rend l'acte envisageable, sinon c'est passer de rien à contact physique (intime donc  ). C'est trop rapide pour moi  

Je ne donne aucune excuse, je dis juste que je n'aime pas. Je considère que j'en ai le droit. Je ne vois pas comment a l'heure où on parle tant de consentement, on peut décemment imposer un contact physique a quelqu'un qui n'en veut pas.

Il me semble que je serrais la main des parents d'élèves en début de RDV avant le confinement.
C'est bien que ça soit terminé xD

 
J’ai pas compris : ça te semble plus difficile pour un homme de dire qu’il ne veut pas faire la bise ?
 
Pour le coup en open Space et en info, en dehors du fait que j’aime pas, si j’avais dû claquer la bise à tout les collègues j’aurai bossé moitié moins de temps par jour  
Du coup un « bonjour tout le monde » en remuant la main ça faisait bien le taf  

Ici, la bise était totalement généralisée au taf et au club de sport avant le covid.
Je n'aimais pas trop ça mais comme tous mes collègues sont sympas, ça passait.
Depuis le covid, plus rien, pas de check, juste "salut" de loin. Et c'est très bien.  

Globalement je ne suis pas très tactile. Il faut dire que c'est de famille : c'est tout juste si je fais la bise à mes parents  
Donc ne plus faire aussi souvent la bise me va très bien.

Oui j'ai ce ressenti (sans doute bêtement). Après je suis dans un taf où c'est pas un open space donc bon un peu différent les relations

Oui j'ai ce ressenti (sans doute bêtement). Après je suis dans un taf où c'est pas un open space donc bon un peu différent les relations

Je ne poste quasiment jamais sur le forum mais je suis un peu perdu en ce moment et si je peux profiter de l'expérience de quelques uns je suis preneur.
 
Je suis en couple depuis 2011, marié depuis 2021, père en 2018 et 2021, j'ai 42 ans.
Les relations ont toujours été un peu difficiles avec ma femme car nous avons un caractère très différent.
Elle a du mal gérer les tensions et peut-être très désagréable, y compris sur des sujets pour lesquels je n'ai rien à voir (pro, sa famille principalement).
A l'inverse j'aime bien trouver des compromis et n'ayons pas peur des mots je peux lâcher sur des sujets qui me tiennent à cœur pour fuir un conflit, ce qui n'est pas mieux in fine...
A côté de ça, beaucoup de connexions aussi, on aime beaucoup voyager, sortir, aller au resto, boire un petit verre et sexuellement même si c'est fluctuant selon les périodes, surtout depuis que les enfants sont là, elle est coquine, je peux pas me plaindre.
 
Seulement, j'ai eu de plus en plus de mal à supporter les périodes de tension. Je m'en suis ouvert auprès d'elle à plusieurs reprises en essayant de proposer des solutions mais dialogue impossible. J'ai fini par lui dire cet été qu'il fallait que ça change car je ne me voyais pas continuer comme ça longtemps, pas de réaction sinon qu'elle était outrée que j'ose la menacer.  
 
Ce qui devait arriver arriva, je me retrouvé à bosser à la rentrée avec une collègue que je connaissais déjà depuis 2 ans sans aucune ambiguïté. Un soir on est sorti entre collègues, j'ai senti que ça pouvait déraper, j'ai tout fait pour et ça a dérapé. Il y a encore un an, en sentant le truc venir, j’aurai fait en sorte de ne pas me mettre dans cette situation mais là plus la volonté...
Elle me plait beaucoup, vachement débrouille, brillante, drôle. Je lui propose de se revoir, elle décline en disant que ce n'est pas sérieux, qu'elle ne veut pas être "l'autre femme" et elle a raison.
 
J'en parle à ma femme assez vite et clairement dans mon esprit, au vu des derniers mois et si j'en suis au point d'avoir envie d'une autre femme, on doit divorcer même si dans mon esprit, je pars pour être seul, je ne pars pas pour la collègue.
Elle me répond qu'elle m'aime encore et qu'elle veut améliorer les choses mais dans mon esprit c'est clair, je veux partir.
On devait partir en Allemagne faire les marchés de noël avec des amis, je décline pour rester à la maison. Finalement je sors avec des collègues le vendredi soir, la collègue est là, je suis sage. On finit la soirée, on prend le métro (on vit sur la même ligne à quelques arrêts l'un de l'autre) et à son arrêt elle me propose de descendre pour venir boire un verre chez elle. On parle pas mal su nos vies respectives et je lui dit que je suis en train de me séparer de ma femme. On passe la nuit ensemble.
 
Finalement je passe quelques week-ends avec elle, ma femme acceptant avec les semaines qui passent la fin inéluctable.  
Sauf que la collègue voudrait que ma situation se règle rapidement et moi je ne veux pas faire n'importe quoi. Je m'occupe beaucoup de mes enfants, ma femme m'indique que si on se sépare, elle part dans une autre ville (on vit à Paris) et moi je ne peux pas bouger comme ça. Durant les week-ends passés avec la collège, c'est vraiment chouette mais mes enfants me manquent, je culpabilise beaucoup, je vois qu'ils souffrent de la situation.
 
Aujourd'hui, j'ai coupé avec la collègue depuis 3 semaines car je ne pouvais pas lui apporter ce qu'elle voulait et que je faisais souffrir tout le monde.
Je vois que mes enfants vont mieux depuis que la situation est revenue à la normale.
Ma femme fait beaucoup d'efforts de comportement, vraiment beaucoup et ça me touche beaucoup. Elle m'explique qu'elle n'avait pas compris que son comportement me pesait à ce point et qu'elle regrette beaucoup. Sauf que je n'arrive plus à l'embrasser ou à coucher avec elle, tout geste d'affection à son égard en fait. Et plus elle est gentille, plus je suis mal à l'aise et parfois désagréable (ce que je regrette)...
 
J'ai l'impression d'être une situation sans bonne solution.
Soit je pars et j'ai peur d'avoir une relation dégradée avec mes enfants, fils de divorcé avec des relations distantes avec mon père, je veux vraiment éviter ça.
Soit je reste mais pour ça, il faut que j'arrive à recréer quelque chose avec Madame car je ne me vois pas être dans un situation de coparentalité, je suis un affectueux, j'ai besoin d'aimer et d'être aimé...
 
Bref, j'en viens à ma question.
Certains d'entre vous ont-il réussi à recréer du lien dans une situation similaire?
Comment faire?
Puis-je "redevenir amoureux" de ma femme?
Je suis vraiment perdu...
 
Merci de m'avoir lu.

Une thérapie de couple ?
Te séparer et faire comprendre à ta femme que séparer ses enfants de leur père en déménageant en cas de rupture, c'est pas forcément une bonne idée pour eux ? Et viser la garde partagée ?

 
Merci pour ton message, mon  avis avec ce que tu as écrit c'est que pour "recoller" les morceaux, vous n'y  arriverez pas sans une aide extérieur. (trop de passif).
 
J'aime bien la métaphore de "recoller" car ce qui c'est passé retera toujours présent (des "cicatrices" ) , il faut être pret à vivre avec.
 
Ensuite on idéalise souvent ta "collégue autre" (qui a forcement elle aussi des défauts si on vit avec   )
 
Maintenant mon avis purement subjectif profond : il faut chacun faire son chemin à coté et voir si on est "mieux" ailleurs, et globalement les gens ne reviennent pas ensemble    

+1

 
Ca dépend vachement des gens mais globalement t'as quand même l'air d'avoir "check out" depuis un moment de ta relation. Ce qui fait que tu te poses la question de rester, c'est que ça serait plus simple notamment pour les enfants, c'est à peu près tout. AMHA, c'est pas une bonne raison, tu finiras frustré et plein de regrets.  
Pour l'histoire du déménagement, voir avec un avocat peut-être ?

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Y aura un jugement (qui peut être fait en acceleré) et sans preuve flagrante on fait une GA rapidement.
 
SAUF si l'un raconte des bullshits  

Oui elle a le droit.

Le juge prendra sa décision en fonction de la situation.

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Rester pour les enfants c'est vraiment pas une bonne idée.
Quand à retomber amoureux de sa femme, oui pour un temps, jusqu'à ce que son vrai caractère reprenne le dessus et qu'à nouveau tu ne la supportes plus.
Et tu auras perdu plusieurs années.

   
 
Disons que c'est toujours un cas "gris" et ensuite jugement qui mettra les choses aux points.
 
En vrai pas trop de solutions idéals pendant les phases de "transitions"

 
Bah elle a pas dit qu'elle lui remettrait pas.
 
Si elle restait à Paris pour monsieur je comprends: elle a le droit de reprendre sa vie en main. Après tout c'est lui qui l'a trompée et quittée.

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je crois que beaucoup reste en "couple" , "POUR" rester comme une famille  unie,"POUR" les enfants, au sens de pas leur imposer une séparation
 
Je sais pas si c'est clair    
 
En tout cas un couple "malheureux" doit se séparer quelque soit le nombres de gamins de mon point de vue

 
Je n'ai pas vécu la même situation, mais je me reconnais tout de même dans certains éléments de ton récit : souffrir de certains comportements de mon conjoint, sur la forme. Comme ce que je comprends de toi, j'aspire à une vie de couple apaisée et je ne supporte pas l'agressivité (de manière générale et particulièrement de la part de mon mari).
 
J'ai essayé de lui en parler des dizaines de fois. Il ne m'entendait pas.
 
La chance que j'ai eue, par rapport à toi, c'est que d'une part je n'ai pas vécu de tentation et d'autre part que quand j'ai prononcé le mot "divorce", il a immédiatement percuté ce que je n'arrivais pas à lui faire comprendre depuis si longtemps : que malgré tout le reste, les moments difficiles étaient devenus si intolérables que j'envisageais une rupture. Pour me sauvegarder.
 
Il a immédiatement accepté qu'on consulte ensemble et on a fait une "mini" thérapie de couple : deux séances de mémoire, qui ont permis de mettre le doigt sur le fait que j'étais sensible à la forme de la communication, alors que lui n'était attentif qu'au fond des échanges.
Il a vraiment tâché d'adapter son comportement, et même s'il lui arrive encore d'être très pénible, la vie de famille (et globalement de couple) est revenue à la normale : bien plus sereine.
 
Mais cela ne préjuge en rien du sujet de l'amour, qui est le fond de ta question. A l'époque la plus difficile, je me suis sentie en dés-amour avec lui et j'ai craint que cela ne revienne jamais. Or, je n'ai jamais été intéressée par le fait de vivre en colocation, et l'amour est la condition sine qua non aux projets liés à la vie à deux.
J'avais envie de conserver notre vie de famille. J'avais aussi en tête l'engagement que j'ai pris lors de notre mariage : essayer de l'aimer toujours. J'avais surtout envie, sans réellement y croire, que notre couple fonctionne à nouveau. J'ai agi en conséquence. De son côté, il a été particulièrement attentif à ce que je lui reprochais donc, et également à faire des efforts supplémentaires par rapport à notre relation initiale, disons : nos volontés et efforts respectifs ont été, je pense, utiles voire indispensables au redémarrage de la machine.
 
Je me souviens que lors de notre mariage au bout de quelques années de relation, j'avais l'impression qu'on avait traversé "facilement" beaucoup d'épreuves. Aujourd'hui, on en a traversé bien d'autres et bien plus fortes, et je sais qu'on en traversera encore d'autres, et de bien pires. J'envisage aujourd'hui la dernière épreuve comme la perte totale d'autonomie (à laquelle je préfère bien sûr ne pas être exposée).
Une relation a toujours des hauts et des bas, et parfois des très hauts et des très bas. On peut s'en remettre.
 
Ce que je raconte ne préjuge en rien de la suite de notre vie, si ce n'est que j'ai la conviction que notre relation est primordiale pour nous deux, et qu'on fera tout pour la maintenir : non un simple lien de mariage ou de parentalité, mais une relation riche, de qualité, intense en sentiments et en émotions.
J'ai à présent la conviction qu'il est toujours possible de se relever d'une crise, fût-elle longue, fût-elle intense, si on le souhaite.
Je conçois aussi parfaitement que certains ne fassent pas ce choix d'essayer de remettre sur les rails une relation à l'arrêt ou qui déraille. Il n'y a aucun jugement de valeur là-dessus : l'important à mon sens est que les deux membres du couple partagent une volonté forte et sincère d'être prêts à reconstruire une relation, ou de mettre fin à une relation insatisfaisante. C'est ce que je te souhaite

pfiouuu  
 

Je vais ajouter une pierre a l'edifice ayant ete dans une situation similaire il n'y a pas si longtemps.
J'ai tout tente pour preserver la vie de la famille, quitte a oublier qui j'etais. C'est dingue de voir ce qu'on est capable de faire pour proteger les enfants. Le fait est que les parents ont besoin d'etre heureux pour que les enfants soient heureux a leur tour. A 40 ans on est encore jeune, pas de raison de s'infliger 40 ans de plus a ne pas etre heureux. D'apres ton message tu sembles avoir abandonne le navire deja. Peut etre que ta collegue a ete le declencheur mais si on met cette histoire de cote, tu n'aimes plus ta femme. Elle pense avoir besoin de toi mais tu vas simplement la consummer a petit feu. C'est horrible d'aimer quelqu'un et de savoir que ce n'est pas reciproque.

Pour son bien etre, tu meriterais de mettre fin a votre relation. C'est pas lie au fait que ta collegue soit la ou pas. Il faut aussi que tu acceptes qu'au moment ou tu seras vraiment libre, ta collegue ne sera peut etre plus interessee ou les choses ne fonctionneront plus entre vous. Si ca n'a pas deja ete fait, avant de tirer des conclusions, une therapie de couple peut etre tres utile si vous etes tous les deux dans une demarche sincere. Au mieux ca recollera le couple, au pire ca posera les bases de votre separation et c'est bien aussi.

Reste la question de la garde des enfants, c'est delicat. Le topic divorce peut t'aider a discuter de tout ca. C'est un exercice perilleux quand la mere decide de bouger geographiquement. Malheureusement, en tant que pere que tu n'as pas beaucoup de recours. D'ou l'interet d'etre respectueux et conciliant pendant le divorce.

Bon courage.

edit: je ne l'ai pas precise mais je pense que c'est evident a la lecture, mon ex-femme et moi avons divorce. Ce fut difficile mais je pense qu'on a fait ca du mieux possible. Notre enfant passe en premier dans nos vie, certes j'ai plus que 50% du temps avec lui mais ce temps est toujours vecu a 100% de mon cote comme du sien car il est precieux. Tout ce qu'on fait est toujours intentionnel. Il est epanoui et petit a petit je me suis reconstruit. Mon ex-femme aussi d'ailleurs. On a chacun fait des rencontres, on a chacun decouvert qu'on pouvait aussi avoir des papillons avec d'autres personnes. C'est un long chemin et il y a toujours des periodes de doutes mais elle et moi sommes convaincu que divorcer a ete la meilleure solution pour nous, malgre les 15 ans de vie commune que nous avions partages.

+ avec Wizza pour la thérapie de couple.

C'est pas que je pense qu'elle permettrait de vous remettre ensemble (bien que on sait jamais, ça s'est déjà vu), mais elle vous permettrait de prendre le temps de bien discuter / mettre les choses vraiment à plat, de faire vraiment le point, ce qui n'est pas une perte de temps par rapport à votre contexte (le fait que vous ayez des enfants notamment). Plus explicitement vu votre situation je pense qu'il est essentiel que tu fasses les choses de façon à ne pas te trouver en situation de regretter. Si vous devez vous séparez, hé bien vous vous séparerez, mais tu pourras mieux l'assumer auprès de vos enfants et tu le vivras mieux si avant tu as fait de réelles démarches pour voir si votre couple était vraiment terminé ou pas.

Déjà "elle a le droit", mouif, plus ou moins, en profitant d'un certain vide juridique mais non en théorie on a pas le droit de se barrer avec ses gosses alors que l'autre parent n'est pas d'accord (il a qu'à faire pareil sinon).
Mais admettons que ça se discute, là où elle n'aura pas le droit de manière certaine c'est si vickmagic fait la démarche auprès de l'école de ses enfants d'indiquer qu'il s'oppose à la radiation de ses enfants. Ainsi ils ne pourront pas être changés d'école sans son accord.

 
Après en garde alternée, y'a plein de gens qui trouvent de gros avantages à avoir les enfants une semaine sur deux, ça te fait une semaine où tu vaques à tes activités persos, et une semaine pleinement avec les gamins. Je ne connais pas un(e) seul(e) divorcé(e) en garde alternée qui regrette en tout cas, et beaucoup y voient même des avantages.
 
Je conçois que ça soit plus compliqué quand c'est un week-end sur deux et la moitié des vacances.
 

 
J'ai un peu de mal avec cette phrase, je ne pense pas qu'il faille tout accepter pour maintenir une relation. Chacun aura ses limites propres, mais on en a tous et c'est sain.

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Tu exagères, quand tu les vois une semaine sur deux tu ne rates rien. Et si les deux parents arrivent à s'entendre pour les enfants ça peut être assez souple en fonction des besoins et des envie de chacun (des enfants et des parents), ça n'est pas forcément rigide.

Edit : après je dis ça aussi parce qu'en plus d'être souples (les deux parents), plus personnellement mon logement étant le plus pratique par rapport à l'école/au collège, même la semaine où ils ne sont pas censés être chez moi sur 3 enfants c'est bien rare que je n'ai pas l'un ou l'autre qui passe à la maison le matin ou le soir (voir les trois à la fois...) (à piller le frigo, manger les gâteaux, et fiche le bazar dans la baraque     )

 
L'idée me file des frissons.

 
Je pense pas qu'il faille le voir comme ça, quand tu n'es pas bien tu ne profite pas des moments avec tes gosses (enfin beaucoup moins) , alors que si tu es bien tu profites à 100%
 
Donc je dirais que tu profites + en cas de séparation et de GA. (évidemment si c'est juste 1we sur 2 là c'est la cata   )

Il me semble que dans 80% des cas c'est la garde classique qui est en place.  
 
1 we/2, moitié des vacances c'est pas la moitié de l'enfance que tu rates, tu perds tes enfants.  
 
Donc à choisir...    
 
 

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c'est vrai que j'avais pas réfléchi au soutien dans le sens enfant -> Parent, ça change un peu mon point de vue