ewas electronic wait and see | Spoiler :
En espérant ne pas avoir à transgresser les principes en rigueur sur les forums, je me permettrai en complément à la question « depuis quand », de développer sur le (mon) « pourquoi » (à mon avis non moins digne d'intérêt, à part pour les gens qui en ont déjà fait le tour avec plus de culture que moi et n'ayant aucunement besoin d'être convaincus).
Et, tout comme les « stars de l'info » me permettrai-je, en guise du droit de réponse du « pékin de la rue », de récidiver dans la tentative désespérée d'entrer en résistance dans un rapport de force inégal (le pot de terre contre le pot de fer), envers et contre « tout » ce qui, qu'on le veuille ou non, nous est imposé à la société par les médias que « nous » abhorrons adorons...
Cela dit, au risque de déplaire à un certain terrorisme intellectuel de la part de la censure, ou vice et versa, sévissant parfois sur les forums pour sanctionner les auteurs de « tartines » sans académisme et de plus d'une demi-page de longueur.  |
POURQUOI VAUDRAIT-IL MIEUX NE PLUS (ou pas ) REGARDER LA TÉLÉ (s'en émanciper) :
David a prêté la veste qu'il porte page 18, à Laurent pour la photo de couverture. Ah quelle misère ! Ah Mais je crois que Laurent a la Rolex, lui...? à moins que ce soit celle que David lui a prêté en même temps que la veste pour la photo. Mais bon, Rolex ou pas, et présentateur d'un JT à même pas cinquante balais, alors... Tiens, Laurent & Laurence feraient bien tout les deux un beau p'tit couple ma foi !
Citation :
« Grâce à un présentateur pertinent, un rythme enlevé et des intervieweurs brillants sans pour autant être élitistes, le programme politique de France 2 a su trouver la bonne formule et emporter l'adhésion des téléspectateurs. ». Télépoche
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Mouais... Les « téléspectateur » de la « société du spectacle », donc.
Ah ça oui, pour savoir « trouver les bonnes formules », on peut faire confiance aux stars journalistiques. C'est sans doute pas dans des écoles à deux balles et soi-disant pas élitistes qu'ils les ont apprises.
Notez bien que je ne vais pas m'arrêter là sur le thème de « l'élitisme » ; ça fait partie des redondances de mes élucubrations.
À mon avis, la déontologie professionnelle, le politiquement correct et la démagogie, les fait s'abstenir de pratiquer ouvertement et publiquement l'élitisme.
La starification. Cas typique de mystification destinée à masquer la réalité des choses. En l'occurrence et entre autre, derrière le « sympathique » masque des « stars de l'info », il est probable que se dissimulent certains des fameux « nouveaux chiens de garde ». Et plus largement derrière le masque médiatique de la « société du spectacle », se cache probablement une fausse démocratie et le libéralisme économique, les tenants et aboutissants de l'état actuel dans lequel se trouve la société.
Et après ces éloges provenant du sérail et les promouvant au rang de « stars de l'info », qui croirait encore qu'ils ne carburent que pour le peuple admiratif (idolâtre), à part les mystifiés eux-même ?
Encore un beau panel représentatif de la gent médiatique, donc. Sont ti pas mignons les toutous de garde ? On les dirait pas, comme ça, hein !
Impressionnant, non ? Il ne faut pas en coller un seul au placard, mais tous les mettre dans une « vraie » serial TV, et là où ils feront peut-être mieux leur boulot, à sauver le Monde en jouant pour de bon la comédie...
Ah ces sacrées « stars de l'info », mais c'est qu'elles récidivent, les coquines ! On n'échappe pas à la pathologique et obsessionnelle sacrosainte starification. Mais après tout chacun est libre d'idolâtrer les « stars de l'info » tel qu'elles sont promues par le star-system. Mais alors, de grâce, ne nous parlons pas d'un professionnalisme journalistique dans la « société du spectacle ». Mais plutôt des « guignols de l'info ». Mais bon, ne soyons pas facho, disons que l'un n'empêche pas l'autre ; dans la « société du spectacle » tout se mélange, et même les politiques du star-system s'y collent.
Voilà donc, entre autres, les valeurs véhiculées par les médias, le sens de l'existence et l'exemple parfait de réussite, puis le moyen d'y parvenir. C'est la compétition absurde de tous contre tous et la « guerre ». Carrément la guerre. Non mais, les « stars de l'info » n'ont vraiment qu' ça à faire ! D'ailleurs, elles en sont friandes, des guerres, et quand ça pète pour de bon, ça les fait « travailler » plus que d'ordinaire et vendre du papier, une bonne affaire. Un business comme un autre, me direz-vous. Oui mais, un « vrai » travail, et parfois de la propagande, dont personne ne pourrait se passer, apparemment ?
Imaginez que vous consacriez (sacrifiez) rien qu'une heure par jour de votre « temps de cerveau disponible » à la « consommation » de « l'info des stars » du « système » de la « société du spectacle », bref, en une douzaine d'années d'existence de votre vie vous en auriez passée une entière (sur la base en moyenne de 12h quotidiennes en état de veille, ou bien 6 mois de votre vie à temps plein - 24/24h), scotché devant votre poste de télé. Tout ça pourquoi ? Pour quel bénéfice ? Tout ce temps passé à visionner la répétition en boucle des élucubrations journalistiques. À quoi ça sert fondamentalement, intrinsèquement à l'existence spirituelle de l'individu, sans être vital ?
« Que valent-ils vraiment ? », pour reprendre la question faisant l'objet du précédent sondage dans le magazine qui les sponsorise (ils se tiennent tous par la main). En fait, il s'agit de valeur professionnelle et commerciale, de marché, etc., bien loin des valeurs humaines. Il faut les coter en bourse. Pas en faire des idoles de l'info. Et nous achèterons des actions Trucmuche et Tartempion le Roi de l'Information. Tiens, je spéculerais bien sur de la Tartempion, ma foi ! Une valeur sûre qui par ces temps de promotion me semble avoir le vent en poupe. Et j'espère bien ne pas me faire avoir sur c' coup là !
L' « info des stars » et les « stars de l'info » à quoi ça sert ? D'ailleurs personne ne demande aux journalistes d'être des « stars », à part les gogos, mais plutôt d'être des « pros de l'info ». De « vrais » journalistes professionnels, en somme. Nan, pas dans la Somme ! À moins que... tiens, dans la baie de Somme ma foi oui ! en reportage pour « Chasse, Pêche et Traditions », au risque d'être pris pour de « vrais » faisans du coup !
Bref, pour en revenir à mes bêlants, c'est bien là, dans l'acharnement compétitif (la guéguerre médiatique entre des atteints de la pathologie narcissico-cupido-pédantesque ), qu'on voit en fait qu'ils ne carburent que pour eux-même et la sacrosainte réussite sociale les portant au pinacle du boxon sociétal (le dessus du panier à crottes, car il faut bien se dire que c'est pour ce que le « pékin de la rue » (toi & moi) est pris par l' « élite ») et l'obsessionnelle célébrité ; l'infantile et intarissable besoin d'amour et de reconnaissance. Il faut leur offrir une tétine, et comme ça nous aurons enfin la paix pour de bon.
Par ailleurs, la place est bien trop bonne. Il y fait chaud comme dans le ventre maternel, c'est confortable et sécuritaire, avantageux en tout genre de privilège. Et même si une carrière d'artiste journalistique du « star-system » de « la société du spectacle » peut être éphémère, à ce tarif là, on a largement le temps de se mettre à l'abri en épargnant au cas où...
Ils nous font croire que tout le monde peut réussir comme eux dans la vie. Mais bien sûr : « il suffit de le vouloir ». Ben voyons, c'est magique ! Pour certains c'est juste pouvoir vivre décemment et dans la dignité. Sinon, en derniers recours, pour s'en sortir - du moins pour pouvoir survivre ainsi que l'exige le coût de la vie -, la chaîne du Seigneur vous offre sur un plateau les boules du loto de l'espoir qui fait vivre. La possibilité de gagner le Paradis grâce à loterie.
Je ne sais pas quelle a vraiment été leur utilité pendant la campagne électorale (elle l'a probablement surtout été pour eux-même et ce que ça leur a rapporté ). Mais perso j'ai zappé. Ça en fait du temps à perdre en palabres à écouter ces élucubrations électorales à la Gaston Couté, chaque fois que c'est l'heure de s'y consacrer. Moi je n'ai rien à vendre (c'est pas comme eux), et l'info ne m'aurait pas avancé à grand-chose. Sauf si c'était pour m'apprendre que leur « Jésus » de la messe dominicale sur France 2 était de retour en faisant des miracles comme autrefois au bon vieux temps. Certes, La télé est mon berger. Toujours est-il que leurs utilité laissa à désirer antérieurement à la grande préoccupation électorale qui durant des mois nous prit la tête (pendant ce temps sont zappés et remisés à plus tard les problèmes des « vrais » travailleurs ). Les montreurs d'actualité si fiers de tout savoir avant le « pékin de la rue » et de partager (jeter en pâture) avec le bon peuple de l'info bien saignante à ruminer, n'ont rien vu venir en matière de crise économique, et probablement pour cause : la voix de son maître (des chiens de garde) et le standing de vie qui en résulte à lui rester fidèle tout en l'écoutant avec docilité.
Non, ne leur parlez pas d' « élitisme », lorsque les droits et devoirs ne sont pas les mêmes pour toutes les catégories sociales et que cela favorise celles du dessus du panier, l'appartenance à l' « élite », justement. Non, « Les nouveaux chiens de garde » ne font pas d'élitisme (apparemment), mais ils en ont tout de même les privilèges, peuvent se permettre de n'avoir pas à choisir n'importe quelle école pour leur coûteuse formation, ainsi que celle de leur progéniture qui prendra la relève tout en se devant avec plus de facilité que le « pékin de la rue » d'échapper au travail à l'usine, au bureau, ou à la caisse du supermarché. Les meilleures places dans les médias où on gagne plus en travaillant moins qu'au « vrai » turbin sont bien trop bonnes. Parfois plus un hobby qu'un travail proprement dit. Et la reproduction du modèle se pratique en milieu fermé. On fréquente même des cercles très fermés et pas du tout élitistes, ma foi ! Tandis que les moutons, les pigeons, les dindons, etc., bref, les dindons d'la farce des « Électeurs » de Gaston Couté (d'actualité), sont bons à perpétuer le cheptel des esclaves modernes à la cour des miracles du troisième millénaire.
Pourquoi nous, le peuple, n'avons pas les mêmes droits que tous ces les gens-là que nous devons entretenir pour nous raconter des histoires à dormir debout ?
Ne nous faisons pas d'illusions et ne nous laissons pas raconter par leurs complices que les « stars de l'info » (proclamées par le milieu) ne font pas d'élitisme, ou pas partie d'une élite, et qu'elles ne carburent que pour les intérêts du peuple.
À la suite du reportage dans Télépoche (que je chope au hasard dans mon entourage, car habituellement c'est pas ma tasse de thé), un espace est consacré à « Vos animaux sont des stars ». En l'occurrence, le thème précédent aurait pu être titré avec l'inversion suivante : « Vos stars sont des animaux » [avec des bulbes d'animaux reptiliens taillés pour la compétition de celui qui pissera le plus loin]. Une Élite quoi ! Au premier plan de la couverture du magazine Télépoche (à part un, dans le numéro précédent les « gros poissons » étaient bien cachés à l'intérieur, avec des pourcentages pas très reluisants ), mais cette fois, « ils » refont surface, c'est à leur tour d'être à l'honneur, à c't'heur' : un vieux d'la vieille s'accrochant au rôle principal, puis au second plan un « jeune premier » aux dents longues (sorti deux fois sur trois ou quatre tirages hebdomadaires, donc ; il a comme qui dirait le vent en poupe ; à suivre, donc, un bon bigadin ), et au milieu à l'arrière-plan, la troisième roue du tricycle, pourrait-on dire... En voie de disparition, s'inquiète-t-on... Non, ne la jetez pas ! Ne dégagez pas du parking télé cette magnifique voiture de luxe, ma préférée, même si je n'aurai jamais les moyens de m' la payer. Un modèle de la « marque rouge », un peu vintage maint'nant ma foi ! Mais bon, toutefois encore mignonnette. Un collector valant son pesant de cacahuètes. Non, ne la jetez pas ! Ce doux minois doit rester sur le PAF. (mais paraît-il que faut pas se fier aux apparences). Non mais, sincèrement, j'aime pas le job qu'elle fait, mais (je l'aime encore malgré tout ) c'est une des rares dont je supporte encore la présence lorsque à l'insu de mon plein gré dans la collocation je me fais surprendre par le flux miraculeux du poste de télé (mais jamais à poil, car j'aurais trop l'impression d'être observé par le regard inquisiteur des « stars de l'info » policière même au travers du petit écran).
Bref, trêve de plaisanterie, une première de couv pour une vieille série, j'allais dire : « bancale », mais du moins un peu du déjà « vu-à-la-télé » et laissant à désirer le renouveau par ces temps newdoguardesk de l'entourloupe économico-politico-médiatique.
Il faut qu'ils prennent du chef en regardant mieux les séries américaines ! Et ils pourront ainsi faire une série ou un téléfilm où ils sauveront le Monde de la crise économique ! De l'emprise de la finance sur les médias, la politique, le « vrai » travail, et le Monde réel, sinon bientôt sur l'Univers tout entier si par malheur l'Homme réussissait à s'échapper de la planète Terre...
On s'en tient plus à la forme qu'au contenu (qui d'ailleurs est blablatesque au possible, ainsi que je le suis moi-même, mais juste pour le training mental au bistrot du coin un exercice de style en même temps qu'une thérapie m'aidant à les rendre plus supportables à force de travailler l'image et le texte ), donc, au sensationnalisme, le principe étant avant tout d'en mettre plein la vue au « pékin de la rue ». Par ailleurs, la place est bien trop bonne (répétition ). Et c'est bien là qu'on voit qu'ils carburent en fait pour eux-même (répétition ) et à la gloire de la sacrosainte réussite professionnelle, en quête d'une obsessionnelle célébrité faisant des émules. J'ai l'impression de me répéter, là. Bref, et soit dit en paissant l'herbe du prés - bêhêhêh ! Plus ils sont nombreux à vouloir se faire la plus grosse part du gâteau médiatique et la guéguerre pour le pouvoir à tout prix, des places « en or » de plus en plus rares et plus chères à mesure de l'expansion du truc qui nous bouffe l'Univers, et à se bouffer entre eux comme des piranhas dans un marigot, ça serait pas un problème tant que le peuple ne devrait pas en faire les frais.
Mais quelle performance, quelle réussite et quelle gloire, pour le déterminisme médiatique dont une société mature et responsable pourrait se passer ; que la société n'accepterait peut-être pas si systématiquement si chaque individu avait toutes les données en main et était conscient du « dessous des cartes » au delà du « reality show » et quel génie médiatique à mystifier la « cible » (médiatiquement parlant), le « pékin de la rue » (idem), pour ne pas dire le « plouc », n'ayant pas suffisamment d'esprit critique pour s'en rendre compte. C'est un jeu à la con de bac à sable et à celui qui pissera le plus loin pour épater la galerie (parfois en cherchant à le faire, certains finissent par se pisser eux-même dessus ). La société du 'pectacle Et « peu importe » le contenu informationnel administré au troupeau, pourvu qu'ça dure, et qu'il fasse sensation, qu'ceux qui mènent la danse aient le look adéquat pondu par le star-system, ainsi que le blabla des marchands de tapis allant avec tout l'toutim, enfin bref, tous les ingrédients pouvant convenir à faire de l'audience. Car ce qui compte c'est faire de l'audience bien évidemment.
Bien évidemment que même un Casimodo (en un seul mot ) ayant autant de « talent » que toutes les vedettes du star-tagada-tsoin-tsoin-system réunies, et quand bien même serait-il un économiste hors pair pouvant sauver le Monde de la crise économique, ne pourrait rivaliser avec les ouistitis médiatiques tant on leur donne d'importance dans l'esprit des convaincus...
Tout dans les apparences. Et l'important c'est de vendre du papier. Mais comme celui du petit écran est électronique, il n'y a pas la possibilité d'un recyclage ayant des vertus mécaniques.
Mais pourquoi le labeur des « primates » sociétaux s'échinant au turbin (à « gagner leur pain quotidien à la sueur de leur front », hein ! et « toute peine méritant salaire », n'est-ce pas ?), à la chaîne, pas celle de la télé-illusion, mais celle de la concrète production, ne génère pas pour eux-même autant, si ce ne devrait être plus, de plus-value qu'un travail intellectuel ne produisant que des élucubrations ? C'est le mystère d'une « Création » dont le retour du « Sauveur » se fait attendre avec impatience depuis des lustres.
Alors bien sûr, on nous dira que tout ça fait travailler des gens. Mais ça ne règle pas le problème : il n'empêche qu'en dessous d'un certain seuil, très très très au-dessous du dessus du panier où se situent les « stars de l'info », les « petites mains » auxquelles cela procure du travail, sans lesquelles le décor du spectacle des « stars de l'info » ne tiendrait pas debout, ainsi que la plupart des « vrais » travailleurs de la société, si ce n'est pas la majorité, ne doivent en fait trimer que pour « survivre ».
Citation :
« Ce qui distingue les forfaits de la vie de ceux du théâtre, c'est que dans la vie on fait plus et on dit moins, et qu'au théâtre on parle beaucoup pour faire une toute petite chose. ». Antonin Artaud.
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Cette citation tombe à point pour illustration (caricaturale) du rapport qu'il y a entre le travailleur du réel charbonnage et la « star de l'info » dans son décor théâtral du lieu de « travail » télévisuel à la « société du spectacle ». Enfin bref, tout ce cinéma, ce n'est que « la société du spectacle », comme dirait l'autre, donc, et une bonne raison de boycotter la télé, puis les médias en général, enfin, ceux qui sont dépendants de la finance et du consumérisme, les miroirs déformants au travers desquels se systématise la société pervertie par des fausses valeurs et la fausse image qui lui est renvoyée par les médias propagandistes et publicitaires.
Opter pour l'émancipation salutaire de ce bruit de fond médiatique rythmant la galère sociétale, omniprésent et omnipotent, formatant les esprits et engendrant l'aliénation des individus à un système de valeurs dans lequel l'argent est roi - la valeur suprême -, et où ne comptant plus que la valeur marchande des individus, où il faut s'enrichir sur le dos d'autrui pour pouvoir accéder à une qualité de vie décente quasiment inaccessible au plus grand nombre marginalisé dans des grands ensembles déshumanisés et correspondant ni plus ni moins à de l'élevage du cheptel productif en batterie à la périphérie du gratin sociétal décisionnaire et exploitant.
La « réussite » devrait être avant tout celle d'une société vivable. Mais au lieu de cela c'est chacun pour soi et une jungle où la réussite personnelle rivalise de connerie avec celle d'autrui. Et si au niveau du gratin médiatique l'échappatoire au système imposé par l' « élite » ne fait pas partie des privilèges d'une « élite » entre autres, entretenue par une grande partie du peuple exclu et n'ayant pas droit au chapitre, alors ? En tout cas « ils » en préservent les intérêts (« les nouveaux chiens de garde »). Ils se sont bien gardés lorsqu'il en était encore temps d'inviter à la table de leur JT des experts préventifs du marasme économique qui nous pendait au nez, et ont plutôt déroulé le tapis à l'élite financière et à des « guignols de l'info » prenant la bourse pour un casino.
Voilà l'exemple montré par ces gens-là. D'ailleurs, pour défendre leurs intérêts ils pratiquent aisément le déni de la réalité et sont persuadés d'avoir raison sur toute la ligne, certains qu'il n'y a pas d'autre alternative que le système de valeurs qui est le leur (leurre), une méritocratie fondée sur les inégalités, un libéralisme esclavagiste et le consumérisme forcené. On sait bien que l'égalité des chances est utopique étant donné que les individus ne naissent pas tous égaux. Mais à la naissance, en surcroît aux injustices pouvant s'y ajouter, et outre le fait que les cigognes ne déposent pas toujours les bébés au bon moment et au bon endroit (des facteurs déterminants ), il y a le risque plus ou moins lié à ces facteurs, celui de l'héritage patrimonial génétique engendré par ce putain de darwinisme systémique. Et « eux », carburent pour perpétuer un système sociétal qui en rajoute une couche au désastre des catégories pas bien nées et mal nanties, à la fois paupérisant et abêtissant le peuple.
Il n'y a qu'à voir par exemple ICI comment ça tourne vinaigre dès lors qu'on a le « culot » de se permettre de vouloir remettre en question l'ordre « juste » établi par l' « égalitarisme » figurant parmi les valeurs dans la devise nationale. Cocorio !
Je remercie la démocratie m'ayant permis de librement exprimer la critique d'un institution qui n'est pas la meilleure amie de la démocratie.
Ainsi que je remercie les éventuels lecteurs pour l'attention qu'ils ont portée à ma tartine.
PS : Désolé d'avoir été si long. Mais en même temps j'ai dû sérieusement élaguer pour pouvoir faire si court... Et pas trop hors du sujet le « pourquoi donc ».  Message édité par ewas le 13-05-2012 à 05:49:00 ---------------
c'est quand qu'on va où ?
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