(*) Des acquis loin des privilèges de ces pickpockets patentés des médias qui depuis des lustres (« On Nous Crache Tout, On Nous Dit Rien ») censuraient les propos de vrais économistes couillus sonnant l'alarme en prévention d'une grave crise économique. Tandis que leurs économistes médiatiques et de casino se croyaient à Las Vegas et encourageaient au boursicotage. Bref, pour tous ces gens-là (méritant l'enfer), et les intérêts qu'ils défendent et protègent, il y a des lois leur permettant d'aller chercher dans votre poche « leur » argent malhonnêtement gagné, et s'il le faut avec huissier et tout le tralala à l'appui, si par malheur vous tentiez de vous y opposez, bref, au moyen de ce qui avec légalité fait « force de loi » en faveur des inégalités et injustices sociales.
 
Et c'est bien évidemment comme d'hab à la  productivité de masse qu'est demandé de faire l'effort de travail et les sacrifices nécessités par la récession. Sinon à quoi bon ? Et bizarrement comme par hasard paradoxalement pourquoi sont-ce ceux-là qui doivent être les plus mal rémunérés et faire les frais de la crise...?
 
Bref, par contre, il n'existe rien pour la défense du populo d'en bas du logo tricolore (s'insultant lui-même et s'affichant avec arrogance au coin de l'écran de ces médias éhontés) ; les pékins de base (fondations du système) se faisant tout bonnement et légalement arnaquer par des « premiers de la classe » de chez Coluche, brushing en col blanc & compagnie, y compris journaleux de pacotille et des médias faisandés ayant zappé les « alarmistes », et qui ensuite n'ont pas la honte de pavoiser avec en poche l'équivalent de plusieurs paquets de fois le salaire des travailleurs basiques qui au moins eux sont de vrais citoyens ayant bien plus de mérite et d'utilité pour la société que ces coûteux moulins à parole et à mettre l'huile sur le feu dont on pourrait parfaitement se passer, en fait...
 
Les lois ne sont pas votées par le peuple et sont toujours faites pour défendre des intérêts qui ne sont pas les siens, ceux d'un profit qui actuellement lui bouffe l'existence et fout la planète en l'air. C'est ce qui s'appelle la réelle démocratie, et qui s'exporte avec fierté par les pays dits « développés », pour ne pas dire « civilisés », en « démocratie » où on en vient même à s'immoler aussi...
 
Oui, je le répète encore, et c'est une honte : les anciens se sont sacrifiés pour les intérêts et au profit de ces gens-là, défendus et protégés par les médias, qui eux-même s'engraissent au passage, et qui maintenant, tout fiers qu'ils sont, essuient leurs pieds sur la descendance fragilisée des anciens combattants ayant souffert le martyr pour la sauvegarde d'intérêts qui n'étaient pas les leurs...
 
Ben oui, tout ce que je dis peut paraître + ou – HS et répétitif, encore du tartinage (j'en suis réduit à dissimuler mes propos derrière des spoilers ; sorte d'autocensure.. ), mais tout est interactif, et ça fait suite à tout ce qui a déjà été dit et succède et/ou précède au contenu des spoilers précédents et/ou suivants, bref, je me comprends tout seul, comme dirait l'autre...
 
Et c'est entre autre le constat que la nature (« Dieu », pour certains de ces faux croyants méritant l'enfer.. ) n'est pas si parfaite et ne fait pas si bien les choses en ne prévoyant pas pour l'espèce animale humaine (à l'instinct grégaire) de capacités individuelles de défense suffisamment efficaces contre la prédation sociale humaniste...
Certain média, et pas le moindre du panurgisme, est un tantinet gêné aux entournures, quant à ses hypocrites contradictions, et le matin dominicale prêchant le créationnisme, puis le reste du temps prônant et pratiquant le darwinisme social... Est-ce de la méchanceté, ou bien de la connerie « humaine » ?
Et pour pouvoir être réduit en esclavage, il n'y a pas mieux que l'instinct grégaire du mouton (l'Agneau de Dieu), la servitude volontaire et une incapacité individuelle à lutter contre la prédation sociale. En cela réside toute la gloire et la fierté de « l'humanité » ; de la « civilisation humaniste »...
 
Enfin bref, moi je dis, la solution salvatrice ne peut que venir d'un autre monde et pour en quelque sorte botter le cul à cette planète, puis du même coup remettre les pendules à l'heure. Et si une chose était possible, cela devrait être que chacun puisse migrer sur la planète de son choix, et ce serait alors aux autres de prendre leur courage à deux mains et de se démerder le cul eux-même, à fabriquer de leur propres mains dans le cambouis, leur luxe et leur confort, et tout le nécessaire à leur besoins fondamentaux, auxquels ces « assistés » avaient pour habitude de faire pourvoir par autrui...

Mais le réel problème est que des gens tout à fait sains d'esprit déclarent regarder la télé pour se « vider l'esprit » ; ça commence ainsi, et ainsi de suite s'immisce insidieusement le besoin, puis sournoisement ça finit par faire son nid et le jeux du bastringue, coco, eh hop ma poule ! …
 
Ce qui est critiquable, c'est pas tant les médias (et pas que la télé) que leur instrumentalisation propagandiste, mercantile et soporifique, par ces voleurs patentés qui font cher payer la dose quotidienne d'opium du peuple...
 
L'esprit critique peut s'égarer une fois pris au jeu, et c'est bien là le problème, l'addiction à un faux besoin et à ce qui devient une thérapie soporifique et de nature à anesthésier les symptômes, puis enjoignant à l'individu l'acceptation de la réalité telle quelle est à prendre ou à laisser, et à adopter les fausses valeurs prônées comme étant des valeurs fondamentales existentielles, au lieu de prise de conscience et remise en question d'un système qui bouffe la vie des trois quarts de la population.
 
Se « vider l'esprit », certes pour se détendre après la journée de labeur qui dans les épinards ne met guère de beurre... (mais au fait, pourquoi la journée de travail nécessite-t-elle le vidage de la RAM ? et pourquoi pas le reformatge de C:\, pendant qu'on y est.. ? ), mais cela peut devenir de l'aveuglement et ne plus pouvoir appréhender avec discernement la réalité des choses, se rendre compte à quel point et à quel prix les médias font payer l'addition à la société des gogos lorsque celle-ci se retrouve dans le marasme économique actuel, à défaut d'avoir daigné l'invitation dans leurs journaux des experts qui depuis belle lurette sonnaient l'alarme sur les problèmes à venir...

Je me tâte et me trouve un tantinet constipé, puis suis-je tenté de faire tous les marrons dans l' même panier...
Mais à part ça rien d'anormal à signaler dans le touffu médiatique, mon adjudant ! Ce qui s'y passe, c'est tout naturel, car qui dit « télé », dit « marronniers », et Dieu sait s'ils sont fructueux, surtout une fois que l'alchimie bancaire a changés les marrons en lingots d'or... D'ailleurs, toutes ces stars de l'info et de l'anim, entre autres zozos du diverto et pléthore d'envoyés spéciaux à tout bout d' champs qui se la coulent douce et se dorent la pilule aux frais de la princesse, on devrait pouvoir payer tout ça en marrons (à la place de la taxe et des frais de pub qu'ils nous pompent à la caisse du marketing), et leur retourner la plus-value de leur plus ou moins fraîche production en masse par colis postal...
 
Ils m'ont appris à zapper de plus en plus vite, et ça produit sur moi un effet stroboscopique...
 
Les médias, au temps des pionniers et du noir & blanc, c'était bien mieux avant.. Ensuite, les médias à pépé, ça s'est sérieusement décomposé, et c'est devenu le pipeau à toto, la flûte enchanteresse à se mettre entre les (...), de la clarinette de chez trompette, et de la trompette de chez tartufe, etc. Bref, et le populo ne se lasse pas d'être ébahi par tous ces ouistitis, en redemande...
 
Il faut dire que les médias sont un monde à part. Une couche tampon dans « la crème » du gâteau de la pyramide sociétale, entre la croûte et la cerise, petite élite de privilégiés, ne voulant pas travailler plus pour gagner plus que le S.M.I.C. (ça veut pas comme tout l' monde aller au vrai turbin faire ses heures supp de la solidarité à l'usine), nan, mais « jober » pour le hobby et le plaisir de s'amuser à distraire le pékin d' base allant à sa place turbiner pour des clopinettes.
Lorsqu'il parlent de récession, cela s'adresse bien évidemment à ceux qui sont dans la phylogenèse du darwinisme social, aux « tronches de l'emploi », portant les stigmates de leur condition sociale de défavorisés, transmises de génération en génération pour entretenir la réserve - le patrimoine - des exploités, nés pour les basses besognes et avoir les mains sales ; sorte de caste d'intouchables, produit de la civilisation et de l'évolution sociétale humaniste, du progrès technologique et de la démocratie moderne...
 
Et les médias ça fait soi-disant fantasmer ceux qui voudraient travailler dans la boite à images où ça s' prend un peu pour des papas et des mamans et comme si le cheptel populaire (d'esclaves) leur appartenait...
 
En fait, les médias, qui avec prétention se font passer pour valeur fondamentale, besoin existentiel et respiratoire, ont plus besoin de « nous » (leur vache à lait), que « nous » besoin d'eux (à la différence des médias, il faut avoir l'honnêteté de « nous » présenter entre guillemets, pour ne pas généraliser comme ils ont tendance à le faire afin de générer un panurgisme ambiant qui daube la bouse.. ).
Depuis qu' « on » s'en va à la pêche sur le Net, en bons mythos ils tentent d'y repêcher les « brebis égarées ». Rien de plus naturel, c'est la conséquence de séquelles culturelles, bêêêêh ! …
Surtout médias radiophoniques, c'est normal, sont frustré pas avoir l'image, alors faut qu' ça s' rattrape en matraquage, et alors, au bout d'un moment... ..à part FM & FC, puis FIP, j'en oublie peut-être, bref, trois ou quatre culturelles et musicales, et quelques autres stations + ou - libres et associatives...
 
Tiens ! Pour ceux qui ont évoqué la « radio » et qui ont eu la patience de lire la « tartine » jusqu'ici, je recommande NUITS OFF, une playlist qui se laisse agréablement écouter, sans baratin excessif et pourri de superlatifs, ou si peu commentée, avec calme et sérénité, sans prise de tête publicitaire et jinglemaniaque à l'ego sur-dimensionné. Et si vous restez bien sages, à la fin de la lecture vous aurez droit à une image...
 
Bref, cela dit, ce sont les médias qui nous donnent la parole. Pas nous qui la prenons. Sinon il faudrait pouvoir se réapproprier collectivement leurs moyens financiers nous appartenant et la possibilité de s'offrir le porte-voix médiatique que nous leur fournissons gracieusement, ou plutôt que nous leur laissons s'accaparer sur notre dos...
Mais les gens ne sont pas les idiots que ces médias illusionnistes voudraient bien leur faire croire qu'ils sont. Les Êtres vivants du monde humain et animal (faut pas sous-estimer l'intelligence des Êtres vivants.. ), sont tout aussi intelligents et capables que ceux du monde des zombies « aliens ».. ..pour aller trouver eux-même la pâture (today on the net) qui leur convient parfaitement, et qui apparemment ne convient pas aux médias, sinon ces derniers ne poursuivraient pas ainsi leurs proies jusque sur la toile...
Bref, chaque individu est lui-même capable de devenir le fameux critique (savez, descendeur en flamme de ce qui ne convient pas à sa pensée unique.. ) et spécialiste de ses propres choix culturels, n'en déplaise aux maîtres à penser en rond, à la bien pensance, à la pensée unique.
Mais devra-t-on un jour acheter le droit de penser par soi-même grâce à une puce électronique implantée dans le cerveau... ? 
En attendant le pire (après nous l' déluge), heureusement qu'il nous reste l'internet et le média « HFR »...  
 
Alors, émancipons-nous de ces sacrés loulous, et réclamons aux médias le remboursement de tout le fric que depuis des décennies ils nous pompent (rendez-moi mon Nagra, bande de voleurs ! ), et ainsi nous pourrons créer notre propre télé, entre autres moyens de diffusion, et de vrais médias libres et indépendants (associatifs), utiles à une société véritablement démocratique, qui ne tombera pas en ruine économique suite à l'intox et à l'obscurantisme informationnel à l'égard de l'économie... Ne leur laissez pas le monopole, leur hégémonie s'étendre sur La Toile. Il y a déjà assez de trompettes de la désinformation comme ça, qui ne servent rien qu'à claironner tout ce qu'on n'a pas soi-même choisi de voir et d'entendre, et à conduire le troupeau au chaos ; la preuve qui nous en parvient est d'actualité...
 
Et toi, « connard » Coluchien ou Bigardien, caricature des Guignols ou de Groland, rends-nous tout le matos que nous ne t'avons pas payé pour nous enfumer la tête jusque dans les rêves, les libertés individuelles, les fausses espérances, jusqu' au paradis à la tombe !
 
« Ils » ne veulent pas comme « tout » le monde aller travailler à l'usine, ces feignasses qui « nous » accusent pour certains d'être les « assistés » qu'ils sont eux-même à un bien plus haut degré (le défaut mis en exergue chez autrui), le font faire à « notre » place, le bouleau qui leur rapporte sans se salir les mains... Et nous ramons de force pour leur payer des privilèges et les joujoux de luxe leur servant à nous nous enfumer, ces faux « enfoirés solidaires » (rendez au peuple son matos et ses moyens de production ! ).
Nous sommes des vaches à lait pour les médias qui se la pètent luxueusement en m'as-tu-vu du diktat de la bien pensance. Alors que today grâce au Net on peut largement se passer de ces porte-parole qui ne représentent qu'eux-même et une classe élitiste de travailleurs improductifs, planqués et coûtant la peau du luc aux contribuables et aux consommateurs...
Vous rendez-vous compte que pour un existant (mythos) qui a peur de ne plus exister sans son parterre d'adorateurs, il lui faut plusieurs inexistants (des vaches à lait).
 
D'ailleurs, depuis que l'internet représente la possibilité pour le peuple de s'émanciper de l'emprise par les médias officiels, ceux-ci ont tendance à intensifier le racolage et à mettre le grappin sur les internautes potentiellement déserteurs de la médiatisation officielle. Ainsi l'hégémonie informationnelle et culturelle des médias officiels s'étendra sur la toile qu'ils parviendront petit à petit à monopoliser tout comme l'ont été les ondes hertziennes. Les individus ne doivent surtout pas grandir et pouvoir échapper à leur contrôle infantile.  D'ailleurs, parfois leur discours décalé donne l'impression qu'on pourrait même restaurer la majorité à 25 ans...
 
Pendant des millénaires on s'est passé des médias. Et on ne s'en portait pas plus mal.
Les palabres se satisfaisaient de leur écho s'évanouissant sur fond d'agora, ainsi que le divertissement, du spectacle de rue. Et au temps des messagers à cheval, la vie était bien plus cool et en rapport avec une notion du temps plus vivable et humaine. Du moins à cet égard (de la messagerie qui n'était pas instantanée.. ).
Maintenant, vous devez turbinez à 100 à l'heure, sans avoir le temps de vous demander pourquoi et à quoi ça sert de passer sa vie à ramer, et si c'est cette manière de vivre que représente le sens vrai de l'existence. Puis les médias d'encourager les prostitués du travail forcé de tout poil à prendre le chemin du chagrin dans le froid du petit matin, de donner le coup d' fouet et la cadence à la galère sociétale qui qu' « elle est ti pas belle la vie ?»...
 
Qu'est-ce que ces moulins à paroles - faits bien gras par nous - les médias ont de si important à nous dire, à quotidiennement crier du matin au soir dans nos oreilles fatiguées ?
Si le flow poisseux des moulins à paroles avait dû positivement changer le monde (c'est comme le vote, et la preuve flagrante de son innocuité, qui est ce qui en résulta pour le « traité, euh.. rot-pet 1 ».. ), on s'en serait rendu compte depuis belle lurette, comme dirait Coluche ; mais apparemment pas encore que cela ne servait à rien...  
 
 De bon matin « vous » faites un zapping télévisuel (déjà les bambins sont matraqués par des animations excitées et s'en prennent plein la poire en attendant que d'être abandonnés à la sauvette à la garderie), vous balayez la FM, et c'est un brouhaha en tout sens et improductif des moulins à paroles de tout poil. À peine sorti du lit, vous avez au moins quatre fois dans la tronche les infos (si possible anxiogènes, c'est mieux) +jingles+pubs bien matraquant en l'espace d'une heure... Et ainsi va la vie, le train-train, du matin jusqu'au soir quotidien, chacun y va de sa litanie crieuse comme marchand d' poissons (ou plutôt de tapis, ça ramène plus, et ça sent moins l' tapin.. ), bref, ils sont tous formatés à l'emporte-pièce, et on a l'impression d'entendre tous les jours la même chose (en fait, « on » ne retient du martelage que pubs, jingles et gueulage dans le porte-voix médiatique ; même que la bonnette des micros, payée en postillons, doit elle aussi éprouver la « souffrance au travail ».. ). Et c'est fatigant. Ce matraquage répétitif, au bout d'un moment ça fout grave la pastèque.. ..même si c'est pas tous les jours Halloween.. Mais qu'ont-ils donc à nous siffler dans l'embouchure arrière les esgourdes tous ces oiseaux-là ? S'ils avaient été là pour si bien nous informer que cela, comment se fait-il que nous en soyons arrivés là économiquement, si c'était pas pour nous pomper financièrement ?
Et si maintenant la démagogie leur fait jouer le double-jeu, « nous » sommes encore prêts à les croire, ou à les pardonner, à leur accorder des circonstance atténuantes, à ces gens de grande trahison euh nan, de totale confiance...
 
 
PS 1 : Militants pour la réelle démocratie et des médias associatifs, libres et indépendants ! Les médias « officiels », du PIF, PAF, POUF, appartiennent au peuple et sont destinés à servir le peuple.
Alors, pour Servir le Public, commençons par lui lâcher la grappe.
Pour plus de transparence et de contrôle, les médias doivent réellement appartenir au peuple, et pour cela être associatifs, ou vice versa, au lieu que Lui soient-ils volés pour être détournés de leur fonction véritable (vitale) les moyens de production.
Que le peuple puisse mettre son grain de sel dans l'organisation, la gestion, la production, la réalisation, la diffusion des médias, etc., etc.
Le rôle des nouvelles technologiques est d'accompagner la modernité sociale, pas d'être accaparé par les médias officiels pour perpétuer des arriérations comme le darwinisme social et l'esclavage (moderne et à la sauce « humaniste »).
 
PS 2 : Et pis, désolé de me répéter, mais, si le logo tricolore s'affiche fièrement, il n'est pas pour autant à la hauteur de ses aspirations (pour tout le monde hors pensée unique), du moins dans le coin du petit écran qui ne fait pas spécialement honneur à ceux qui en autre temps en ont défendu les couleurs, même si il lui rend hommage commémoratif (que ce soit avec démagogie ou sincérité).
 
 
Et voici l'image promise : ...