Cela ne m'avait pas échappé. Mais je n'ai pas voulu insister. Parce que tu ne voulais plus m'écouter...
C'est donc toujours plus ou moins hors sujet, mais l'enjeu des médias, et par conséquent télévisuel, d'un point de vue chomskien, participe à ce qui est dénoncé par le hors sujet qui, en parallèle (tout est lié et interactif), peut par conséquent participer au sujet tout en expliquant les raisons, entre autres, de l'émancipation par rapport aux médias et à la télé.
Et puis je ne vois pas par ailleurs où en parler, et surtout la possibilité d'exprimer mon droit de réponse en temps qu'imbécile « cracotesque » accusé par des « bobos intellos »...
Et bien que vous trouvassiez tout ceci blablatesque et + ou - « tiré par les ch'veux » ...
Bref, pour t'en remettre à l'expertise d'un thésard éventuel, c'est que tu n'es pas si sûr de toi, malgré ta contradiction de mes propos. Par ailleurs, le terme de « darwinisme social », venant de ma part, n'est pas à prendre au pied de la lettre, il n'y a pas d'équivalence ou de similitude avec celui que tu évoques par la définition officielle et l'historicité. Je ne dis pas que c'est orchestré comme ça. Cela fait peut-être partie du phénomène naturel et de l'évolution animale. Mis à part que dans ce cas il ne s'agit pas de sélection systématique et d'élimination par une idéologie, mais de la différenciation des groupes catégoriels d'individus par une société hiérarchique et pyramidale. Avec une « échelle sociale » de la sélection manichéenne et discriminatoire, une certaine démagogique en laissant passer quelques-uns dans les niveaux supérieurs (pour palier à la consanguinité.. ), donnant l'illusion que tout le monde a sa chance, car de toute façon il n'y a pas la place pour tout l' monde, tandis qu'à la base y'a pas besoin de les forcer à se reproduire, dans cheptel de la productivité, ça prolifère et produit à souhait, pas besoin d'un patrimoine de grande qualité génétique...
De toute façon il y a probablement un corrélatif de la cause à effet et une sélection qui a priori n'est pas génétique mais qui à long terme se traduit par une modification la qualité génétique dans des groupes sociaux humains.
Un « révisionnisme » et une « thèse » ne pourraient avoir lieu :
Politiquement incorrect et tabou (« toute vérité n'est pas bonne à dire ».. ).
Et puis de tte façon c'est constatable dans la nature et par conséquent pas nécessaire d'en pondre une thèse :
Exemple pris sur le terrain.. ..pour illustrer : dans l'esprit moqueur des « bobos intellos », là, de quelle classe sociale est le plus représentatif le type d'individu ou qualificatif que symbolise par exemple les « garry », « troll face », « cracotte » et compagnie (pour ne citer que ceux-là, j'en oublie) ? Y'en a ti, pour les bobos aussi ?
De toute façon, la notion de « pays d'en haut » et de « pays d'en bas » dit bien ce qu'elle veut dire et se suffit à elle même.
Ne pensez-vous pas à un tri génétique du fait de la stagnation générationnelle des individus dans la classe sociale qui leur est assignée culturellement et économiquement par le système, et à une phylogenèse de la transmission d'un patrimoine génétique physico-psychique, des capacités intellectuelles, en particulier, se reproduisant en fonction de la classe sociale, supérieure ou inférieure, et permettant soit d'être dominant, soit d'être dominé. Ne dit-on pas : « avoir la tête de l'emploi » ? Et par conséquent porter les stigmates de la condition sociale. Porter la fatigues des ancêtres cumulée par des générations d'exploitation. Fatigué de naissance... Et quand on pense que de surcroît il faudrait « travailler plus » et plus longtemps...
Il y a plus de pauvres que de riches. Et les riches se servant de la pauvreté tout en ne servant à rien à celle-ci, bien au contraire (lapalissade.. ). Et c'est probablement pas dans la pauvreté qu'il est le mieux possible de reproduire et d'entretenir puis de transmettre un patrimoine génétique de la meilleure qualité possible.
Dans quelle classe sociale les individus sont le plus nombreux et utiles aux autres classes en terme d'exploitation pour la production des richesses ? L'inverse ne serait pas possible.
Et, soit dit en passant, s'il fallait retourner « à la terre » puis retrousser ses manches et prendre son courage à deux mains pour gratter son pain, lesquels seraient les plus emmerdés et auraient encore une fois le plus besoin des autres et tendance à dominer le jeu sociétal, à reproduire de nouveau le même système leur profitant, mettant en avant les capacités intellectuelles et organisationnelles ? Probablement plutôt les intellectuels que les manuels, nan ?
Par ailleurs, j'ai retrouvé dans mes bookmarks, du Chomsky, nous ramenant au sujet médiatique. Il me semble qu'il avait été invité dans l'émission de Taddeï. Un sacrilège à la télé, tout comme l'aurait été l'invitation de M. Allais, ou d'on ne sait quel autre contradicteur. Bref, une rare émission, de la « libre expression », qui bien évidemment a cessé d'exister...
La fabrication du consentement, de Noam Chomsky et Edward Herman (un extrait) - Acrimed | Action Critique Médias
Le lavage de cerveaux en liberté, par Noam Chomsky (Le Monde diplomatique)
Les dix stratégies de manipulation de masses par le linguiste Noam Chomsky - Stef2892 sur LePost.fr
Et puis j'en profite au passage pour remettre le Petit cours d'autodéfense intellectuelle de Normand Baillargeon.
Et si il n'y a pas une volonté de formatage des individus pour la reproduction en masse des modèles sociaux, alors on se demande pourquoi l'accaparement du pouvoir médiatique et cette volonté de contrôle, de manipulation et de contention des populations, d'addiction des individus à l'image et à un son de cloche pavlovien, matraquant et racoleur (à mettre le grappin sur les brebis égarées.. ), avec les méthodes que dénoncent Baillargeon et Chomsky, entre autres penseurs bienfaisants. Et c'est pas moi (cracotte) qui l'invente, ça... ..Vous aussi, lisez donc !
Mais grâce à Dieu et un saut qualitatif, « les derniers seront premiers » (les gueux de la cours des miracles), et les médias propagandistes iront tout droit en enfer pour y poursuivre leur carrière
putassière... Arf ! je ne me lasse pas de coller ce lien ; c'est une attaque en règle...
Eh bien voilà en quelque sorte ta « thèse ». À toi de la valider ou non. Par contre, en une page. On ne peut pas « tartiner » avec plus de concision une « thèse »...
Par ailleurs, tu me conseilles des lectures, c'est bien gentil, mais malheureusement je ne prends pas le temps de lire (mais j'écoute parfois). De surcroît cela ne me servirait pas à grand-chose de lire ; je ne suis pas un « lecteur-enregistreur », moi. Et malheureusement c'est probablement un des problèmes de la sélection génétique. Sinon j'aurais beaucoup lu, crois-moi, et je te promets que je me serais surpassé...
J'ai malgré tout retrouvé dans le foutoir de mes archives un pdf que j'ai survolé très rapidement : « Boucher, Armand. Darwinisme et socialisme ». Téléchargeable à la bibliothèque numérique Gallica, il me semble : « N0076819_PDF_1_77.pdf ». L'inconvénient étant que c'est un pdf au format image, et que par conséquent il est impossible d'y faire de la recherche textuelle rapide. Bref, mais aussi c'est pas exactement de l'explication du « darwinisme social » au sens où tu le décris. Et il y a sans doute des nuances à faire dans l'association des termes.
En tout cas, bien que ce bouquin ait plus d'un siècle, il y a des citations intéressantes et d'actualité à en extraire. Entre autres :
« Qu'est-ce donc que la libre concurrence économique, sinon la réalisation dans le domaine de l'économie sociale de la grande loi de la concurrence vitale formulée par Darwin ? »
En l'occurrence, toujours étant d'actualité, il s'agit bien d'une économie partiale et d'un système d'aliens, pas de bisounours, et d'une espèce animale « humaine » et « civilisée », en plus², système dans lequel les valeurs suprêmes sont celles de la compétition et de l'argent, et où règne la loi du plus beau, du plus grand, du plus fort, et du plus intelligent...
Par ailleurs, tu me fais remarquer que la société d'aujourd'hui offre plus de possibilités d'évolution sociale qu'au temps du servage (et je ne sais pas trop si tes exemples de sophiste, R. Charles & Einstein, sont à prendre au sérieux.. ), soit, mais comme je te l'ai dit, ton « échelle sociale » (qui pour le coup est darwiniste) et l'évolution c'est du pipeau de l'espèce animale que nous sommes (dans la nature y'a pas pire réussite que celle des animaux sociaux de la com et la conso, et actuellement on en constate les effets et le résultat), et puis la réussite ça ne veut rien dire du tout, dans ce système où il n'y a pas la place pour tout le monde et où il faut écraser l'autre pour « réussir » (A. Boucher l'évoque dans son bouquin), du moins même ne serait-ce que pour bien vivre, et si ce n'est pas pour survivre, la « réussite » se fait au détriment d'autrui et nécessite le sacrifice et l'échec d'autrui (je suis bien placé pour le savoir) dans l'inhumanité d'une jungle sociétale où c'est chacun pour soit. Sauf à de rares exceptions si la réussite personnelle sert à en faire profiter autrui ou la collectivité, peut-être. Mais pas à ma connaissance. Un point c'est tout. Mais le « un point c'est tout », ah ça oui ! Est une vieille connaissance...
Maintenant que je sais tout ça et comment la société le système fonctionne, je n'ai plus envie ni besoin de réussite (je suis en fin de non carrière.. ..alors, si tu savais, l'ego, où je me le mets, y'a longtemps que ce n'est plus un problème pour moi, si toutefois ce le fut ; les gros pavés c'est uniquement pour râler - un jour le monde sera si parfait que plus personne ne l'ouvrira -, et, comme je te le disais, c'est un combat pour l'égalité des chances, qui personnellement ne me concerne plus). Non, pour tout l'or du Monde, maintenant que je sais comment ça marche (« la carotte et le bâton ».. ). Si c'était à refaire, ce n'est pas dans ce monde que j'aurais envie de revenir. Il en existe certainement de beaucoup mieux ailleurs... Mais je n'y crois pas, M'sieur L' Chanoine. Faut pas prendre Les Agneaux de Dieu pour des bisounours...
Et quand ces imbéciles des médias font de la morale en te montrant l' « exemple de courage » ! Mais ces guignolos, pour qui ils se prennent ? Qu'il viennent vivre à « notre » place ! Ils se font la vie facile, eux, en nous bavant leurs balivernes au travers de la lunette de leurs chiottes médiatiques, là. On ne les paye pas pour nous enfumer la tronche, « nous » ! Nan mais, qu'est-c' que c'est qu' ça ? Regardez-moi ça, ça fait faire son ménage par des bonniches, et ça prétend vouloir nous donner des leçons d' morale !
Bref, leurs leçons de morale, c'est du rebattu et du lieu commun de bisounours, des phrases bateau comme c'est pas possible du genre « rien n'est impossible » (donc, déjà, n'est pas impossible l'absence de solution, imbécile ! ) et du « quand on veut on pneu d' mes deux, connard ! ». Bref, un exemple de courage, entre autres : sans bras et sans jambes un handicapé peu traverser l'océan. Mais c'est n'importe quoi. Même si cela paraît impossible, un valide peut éprouver plus de difficulté (psychique e/ou physiologique) qu'un handicapé. Et puis, la morale, elle te faisait une belle jambe au temps où tu pouvais être réformé du service militaire pour des peccadilles (mais on s'en passa.. bref, pour des motifs qui par ailleurs n'empêchent aucunement de la pratique sportive nécessitant des examens plus poussés que ceux imposés par le « conseil de révision » antan), et que par conséquent même ayant été reçu à un concours d'entrée dans l'administration, par exemple, les même motifs poursuivent l'individu (élimination pour de banals motifs qui ne l'auraient aucunement empêché de travailler). Bref, l'emploi convoité par l'individu pouvant représenter sa dernière chance d'insertion sociale. Et un faux espoirs entretenu pendant des mois jusqu'à déception. Parce que bien évidemment par économie la sélection s'effectue dans l'ordre, par le concours d'abord, et par l'examen médical ensuite . Ce qui fait que vous pouvez fantasmer des mois durant et pour des prunes la satisfaction d'avoir été reçu au concours... Mais comment faire autrement, j' vous l' demande ? En tout cas la solution ne viendra pas d'une administration kafkaïenne par excellence bien d' chez nous. Pourtant, « impossible n'est pas français ». Mais, Cocorico tout d' même ! …
Je ne sais pas si c'est à mettre au compte du darwinisme. Mais comme tout est lié et interactif. Même le hors sujet, alors !
Et là, tout en continuant bien caché derrière un spoiler (toujours aussi épais que la tartine qu'il dissimule.. ), je fais court, parce qu'on est hors sujet (mais bon, toujours sur le terrain médiatique), il fut une époque, à un moment propice de l'évolution vers les nouvelles technologies et au croisement de l'hybridation entre l'audiovisuel et le numérique, si j' puis dire, il commençait à y avoir des besoins d'emplois pour lesquels ils n'existait pas encore de formation (lorsque ont existé des formations pour ces emplois, je me suis très probablement fait doubler par des pistonnés qui ne valaient pas mieux que moi), et par conséquent je cherchais une formation sur le tas, j'étais même prêt à faire des stages non rémunérés de 6, 12, voir même 24 mois, pour des prunes s'il le fallait. Bref, convoqué par une boîte d'audiovisuel pour un entretien avec le boss, il me dit « votre annonce m'intéresse et vous me semblez être motivé, alors, d'après vous, qu'est-ce qu'on pourrait bien envisager de faire avec de l'informatique dans l'audiovisuel, avez-vous une idée ? » ; moi « Bien, il y aurait la possibilité d'interfacer le lecteur de videodisque et l'ordinateur, et son application dans le domaine de la formation, par exemple, entre autres... » (à l'époque je bidouillais pas mal, notamment l'interfaçage d'un ZX81et d'un téléphone (le classique « gris » à numérotation manuelle des Telecom), pour y adjoindre la fonction de répondeur-enregistreur avec un magnétophone à cassettes, et puis je développais pour celui-ci un agenda électronique expérimental avec la numérotation automatique, écrit en langage machine, entre autre robotisation d'une grue-jouet, mais comme ça, juste pour le fun), bref, le boss me répond à peu près dans ces termes : « je croirai en l'avenir du videodisque lorsque je le verrai en vente dans les magasins Tartempion... et puis, votre affaire, là, c'est bien joli mais, combien ça va me coûter ? le matériel, votre formation, la réalisation de cours éventuellement par un prof et tout le bataclan, au moins un budget mensuel de 50000frs ! » (merde alors, ça commençait bien ! « oui c'est ça mon pote, anticipe l'avenir du multimédia en attendant toujours de voir venir la vente aux particuliers et la commercialisation à grande échelle si ça t'amuse », moi je ne suis pas contrariant.. ..et surtout je n'étais pas assez sûr de moi, n'avais pas assez de compétence pour chercher à le convaincre, peut-être que je me faisais des idées, après tout, et lui racontais des histoires (le bidule n'ayant pas vraiment eu de succès, et peut-être même pas été attelé à un ordi), mais les moralistes, peut-être encore toujours les mêmes, diront que celui « qui ne tente rien n'a rien », et moi, je cherchais à me caser, et je n'aurais pas été le premier ni le dernier à « bluffer » pour y arriver, si c'était le cas, sans le faire exprès, d'ailleurs.. ). Puis cet entretien, entre autres démarches d'emploi et balades à tourner en rond organisée par l'office du tourisme ANPE, à l'époque, a tourné en eau d' boudin.
J'aime bien qu'on nous fasse la morale en nous soupçonnant de rester le cul assis sur une chaise et profitant de l'assistanat. Si j'avais été frapper à la porte de la téloche (du moins à TDF, je crois, je m' souviens plus très bien), de toute façon on ne m'aurait pas plus donné ma chance là qu'ailleurs ; si toutefois y avait existé de la formation sur le tas, c'était plus que très probablement accessible par piston. Quand à de la récup du beau matos qu'on leur paye grâce aux impôts et à la pub, c'était niet ! Je me souviens, si je voulais m'équiper professionnellement pour m'exercer et m'essayer, il y avait une casse de matos dans le nord de Panam, mais c'était du revendu un poil cher pour moi, et dans son jus, pas du meilleur crû. Mais t'aurais dit du matos de l'armée (ORTF)... Tout ce qu'il y avait de plus léger à transporter à l'époque...
Bref, je cherchais avant tout une formation sur le tas en prévisions de l'avenir des nouvelles technologies multimédia et au « croisement » des deux technologies, audiovisuelles et numériques, donc, c'était dans l'air du temps et je tentais de m'y coller.. (:sarcastic, et j'étais prêt à suivre des cours en complément et en parallèle si nécessaire pour les deux parties (audiovisuelle et informatique), mais que pouvais-je faire d'autre que me proposer de travailler bénévolement en contrepartie d'une formation sur le tas. Baisser ma culotte, peut-être ? Et peut-être que le boss, lui, ne cherchait simplement que des idées auprès de gogos comme moi que sa boîte d'audiovisuel contactait en leur faisant miroiter des possibilités au téléphone... En tout cas, ne me semblait-il pas a priori à la recherche d'un ingénieur tout fait. Bref, je ne sais pas ce que par la suite est devenue la boîte à pépé. Mais bon, toujours est-il que le videodisque, lui, a fait sa carrière, si courte fut-elle, et un « flop », apparemment, mais a eu sa place un certain temps dans la chaîne de l'évolution technologique, tout comme ses successeurs et les autres supports médiatiques qui ont suivi et l'ont remplacé en intégrant le PC.
Et, soit dit en passant, alors que nous en sommes au multimédia et à l'internet, les possibilités que nous faisait miroiter autrefois ce qu'on appelait la « télématique », et qui soi-disant promettaient un avenir meilleur au travail (à domicile), ne sont restées qu'une utopie à réaliser. Mouarf ! Et qu'est-ce qu'on a pu nous rebattre les oreilles avec ça. Et moi qui comme un imbécile à l'époque rêvais de pouvoir « travailler à domicile », et puis pourquoi pas créer mon propre emploi par la suite, et peut-être même celui d'autres personnes, en les rémunérant au même tarif que moi, pas comme à la télé, en se payant des blablateurs de nos deux, auxquels on n'a rien demandé, et au salaire minimum de dix fois celui de base avec notre fric pour nous en remontrer.. ..(« la valeur travail »)...
Bref, le travail à domicile.. ..fut une parfaite réussite...
Et c'est à dire que malgré le progrès, on se déplace toujours autant qu'avant, avec à la clef des transports en commun bondés, des embouteillages monstrueux, de la pollution à gogo en veux-tu en voilà, et de la perte de temps à perte de vue, etc., bref, l'est ti pas belle, la vie, que nous promettaient les nouvelles technologies ? …
Heureusement qu'il me reste mon PC pour de temps à autre faire le zouave, et pis passer dire l' bonjour à nos amis Taxalot & Sophiste... ..taxe à l'eau, et le sophiste...