February 10, 2003 -- COLLEVILLE-SUR-MER, France - They stand only 3 feet high, but they're towering mountains of sacrifice.  
I'm standing in the American Cemetery. Gray clouds hang low as if in mourning for the nearly 10,000 young Americans buried beneath crosses and Stars of David that stretch as far as the eye can see.  
 
The air is chill, but I feel an unnatural glow of rage - I want to kick the collective butts of France.  
 
These kids died to save the French from a tyrant named Adolf Hitler.  
 
And now, as more American kids are poised to fight and die to save the world from an equally vile tyrant, Saddam Hussein, where are the French?  
 
Hiding. Chickening out. Proclaiming, Vive les wimps!  
 
The French, amazingly, never learned the lesson of what happens to appeasers.  
 
They may not remember - but Caroline Buck does.  
 
"When I look at these graves, it makes me want to cry," Buck, who lives in San Antonio, told me as she dabbed her eyes with a handkerchief.  
 
"My father joined the Merchant Marines during WWII at the age of 17. Those soldiers out there under that ground were just kids. They were here to save France, and if it wasn't for them, the French might have ended up speaking German," she said.  
 
Well, what do you know. They're now speaking the same anti-war language as the Germans - in a European chorus of cowards.  
 
Buck's husband, Ron, an engineer, remembered his father flying over France against the Germans in planes nicknamed "The Black Widows" because they flew at night.  
 
"I think this whole anti-American thing is sad," he said. "I don't know whether it's television or an older generation dying out, but after our soldiers did so much for France, well, look at these graves. Surely they remember."  
 
Sorry. They don't.  
 
I read these names with tears in my eyes and fury in my heart:  
 
"Walter F. Rober, Pvt., 358 Inf., 90 Div., New York, July 13, 1944; Angelo Cauca, Pvt., 8 Inf., 4 Div., New Jersey, June 21, 1944; John Hernandez, Pvt., 8 Inf., 4 Div., Nebraska, June 23, 1944."  
 
These names mean nothing to the French, 91 percent of whom, according to a poll, are against President Bush's plans to make Saddam a dark mark in history.  
 
But then again, the French are against everything, including that curious American habit of showering every day.  
 
But wait a minute.  
 
It seems our brave allies are now putting all their French toast in one basket.  
 
They have a 12,000-man contingent training, they say. And it's equipped with one - count it - one amphibious-assault vessel.  
 
Give me a break.  
 
I know some veterans who would say that if the French are in training, they are training to throw up their arms in surrender.  
 
B. Rice Aston, from Houston, the president-general of the Sons of the American Revolution, was visiting here with fellow members.  
 
As he approached the monument in the cemetery, he said: "Remember what Henry Kissinger said. The French are prickly. If you're at the top of the ladder, they sometimes want to shake it for you to fall off."  
 
You walk another hundred yards near hallowed turf: "George Uttering, Pvt., 12 Inf., 4 Div., New York, June 7, 1944; Ramond Carey, 2 Lt., 319, 82 Airborne, New York, July 4, 1944; Ercal W. Netzer, Pfc., 22 Inf., West Virginia, June 7, 1944."  
 
As the sun tries to peek through those mourning clouds, I meet Jessica Silverman, a student from George Washington University, studying here in France. As a college student, she never has been gung-ho for any war.  
 
But Jessica, of Maine, told me, "Nothing has happened to me, but we have been told something that is a little disturbing.  
 
"We have been told that if we face any kind of a threat, we should say we're Canadians, not Americans."  
 
Now isn't that just fine, Americans in France having to pretend they're not Americans.  
 
If they had done that in 1944, the French would have replaced "La Marseillaise" with the Nazi anthem, "Deutchland Uber Alles."  
 
It chills the bone when the French government and so many of its citizens steadfastly try to undermine Bush, even sneer at him, when so many of them were saved by the nation he leads - with the greatest band of brothers on earth.

Février 10, 2003 -- COLLEVILLE-SUR-MER, France - ils tiennent
seulement 3 pieds de haut, mais ils sont les montagnes trés hautes du
sacrifice.  Je me tiens dans le cimetière américain.  Les nuages
gris accrochent bas comme si dans le deuil pour les presque 10.000
jeunes Américains enterrés sous des croix et des étoiles de David
qui s'étendent dans la mesure où l'oeil peut voir.
 
L'air est froid, mais je sens une lueur artificielle de la fureur - je
veux donner un coup de pied les bouts collectifs de la France.
 
Ces gosses sont morts pour sauver les Français d'Adolf Hitler appelé
tyrant.
 
Et maintenant, car des gosses plus américains sont portés en
équilibre pour combattre et mourir pour sauver le monde d'un tyrant
également vile, Saddam Hussein, où sont-ils les Français?
 
Se cacher.  Chickening dehors.  Proclamant, wimps de les de Vive!
 
Les Français, étonnamment, n'ont jamais appris la leçon de ce qui
arrive aux appeasers.
 
Ils peuvent ne pas se rappeler - mais le mâle de Caroline .
 
" quand je regarde ces tombes, il m'incite à vouloir pleurer, " se
opposer, qui vit dans San Antonio, m'a dit comme elle dabbed ses yeux
avec un mouchoir.
 
" mon père a joint les marines marchandes pendant le WWII à l'âge
de 17.  Ces soldats dehors là sous cette terre étaient les gosses
justes.  Ils étaient ici pour sauver la France, et s' il n'était pas
pour eux, le français pourrait avoir fini vers le haut de l'allemand
parlant, " elle a dit.
 
Bien, ce qui vous savent.  Ils parlent maintenant la même langue
pacifiste que les Allemands - dans un chorus européen des lâches.
 
Ont opposé le mari, Ron, un ingénieur, se sont rappelés son vol de
père au-dessus de la France contre les Allemands dans des avions
surnommés " les veuves noires " parce qu'ils ont volé la nuit.
 
" je pense que cette chose entière d'anti-American est triste, " il a
dit.  " je ne sais pas si c'est télévision ou une génération plus
ancienne s'éteignant, mais après que nos soldats ont fait tellement
pour la France, bien, regard à ces tombes.  Sûrement ils se
rappellent. "
 
Désolé.  Ils pas .
 
J'ai lu ces noms avec des larmes dans mes yeux et la fureur à mon
coeur:
 
" Walter F. Rober, Pvt., 358 FNI, 90 Divisions, New York, Juillet 13,
1944;  Angelo Cauca, Pvt., 8 FNI, 4 Divisions, New Jersey, Juin 21,
1944;  John Hernandez, Pvt., 8 FNI, 4 Divisions, Nébraska, Juin 23,
1944. "
 
Moyen de ces noms rien au Français, dont 91 pour cent, selon un
scrutin, sont contre des plans du Président Bush's pour faire à
Saddam une marque foncée dans l'histoire.
 
Mais de l'autre côté, les Français sont contre tout, y compris
cette habitude américaine curieuse de verser chaque jour.
 
Mais attendre une minute.
 
Elle semble que nos alliés courageux mettent maintenant tout leur
pain grillé français dans un panier.
 
Ils ont une formation 12,000-man contingente, ils disent.  Et elle est
équipée d'un - la compter - un navire d'amphibie-assaut.
 
me donner une coupure.
 
Je connais quelques vétérans qui diraient que si les Français sont
dans la formation, ils s'exercent pour jeter vers le haut de leurs
bras dans la reddition.
 
B.  Le riz Aston, de Houston, le président-général des fils de la
révolution américaine, visitait ici avec des membres de camarade.
 
Car il a approché le monument dans le cimetière, il a dit:  " se
rappeler quel henry Kissinger a dit.  Les Français sont épineux.  Si
vous êtes au dessus de l'échelle, ils veulent parfois la secouer
pour que vous tombiez.  "
 
Vous marchez encore gazon près sanctifié de cent yards:  " George
Poussant, Pvt., 12 FNI, 4 Divisions, New York, Juin 7, 1944;  Ramond
Carey, 2 Lt., 319, 82 Aéroportés, New York, Juillet 4, 1944;  Ercal
W. Netzer, Pfc., 22 FNI, La Virginie Occidentale, Juin 7, 1944. "
 
Pendant que le soleil essaye de jeter un coup d'oeil par ces nuages de
deuil, je rencontre Jessica Silverman, un étudiant de l'université
de George Washington, étudiant ici en France.  En tant qu'étudiante
d'université, elle n'a jamais été gung-ho pour n'importe quelle
guerre.
 
Mais Jessica, du Maine, m'a indiqué que, " rien n'est arrivé à moi,
mais nous avons été dits quelque chose qui est déranger.
 
" nous n'avons été dits que si nous faisons face à n'importe quel
genre de menace, nous devrions dire que nous sommes des Canadiens, pas
des Américains. "
 
N'est pas maintenant ce juste l'amende, Américains en France devant
les feindre ne sont pas des Américains.
 
S' ils avaient fait cela en 1944, les Français auraient remplacé l'"
La Marseillaise " par l'anthem de Nazi, " Deutchland Uber Alles. "
 
Il refroidit l'os quand le gouvernement français et tellement
plusieurs de ses citoyens essayent immuablement de miner le buisson,
même ricanement à lui, quand tellement bon nombre d'entre eux ont
été sauvés par la nation qu'il mène - avec la plus grande bande
des frères sur terre.