Citation :
Incroyable de bêtise, oui. La réaction seait donc 2H²O + énergie (des substances radioactives) -> 2H²+O² avec 95% de rendement 2H²+O² -> 2H²O + énergie Moi, je propose plus simple: utiliser directement l'énergie de la source radioactive, ça évite 2 étapes et les pertes de rendement associées.
|
tient donc ! Je suis curieux que tu m'expose une meilleure methode pour convertir de la radio-activitée en energie sans avoir recours a une centrale nucleaire au combien plus dangereuse et au rendement beaucoup plus faible, et surtout, qui tienne dans un coffre de voiture...
Citation :
et on ne risque pas d avoir l empreinte de son squelette scotche sur le siege de la voiture avec toute cette radioactivite
|
Effectivement, c'est une question legitime, mais il me semble que le catalyseur radiocatif (radium, uranium apauvrie ou autre) ne devrait pas sortir de la cellule contenant le dispositif, car en fusionnant, il se desintegre.
Ont peut imaginer des electrodes enrichie avec une petite quantitée de matiere radioctive catlysante. De toute facon, ce qu'il faut c'est reproduire le systeme afin de pouvoir en faire des test et en tirer des conclusions, et de nombreuses personnes s'y emloient, comme on peut en juger a l'enorme communautées de chercheurs 'underground' sur Internet, dant les newsgroups et mailing sur l'energie.
ex: http://dir.groups.yahoo.com/dir/Science/Energy
Je ne dit pas qu'il fut tout avaler en bloc bêtement, mais il est encore plus stupide de nier tout en bloc, car ce n'est pas comme ca que les progrès avançeront.
Il faut etudier les differentes solutions existantes de façon objective, et cela n'a rien voir avec le mouvement perpetuel.
Je vais tenter d'étayer mes propos, sache que je ne suis ni un defenseur du moteur a eu ni un detracteur, je tente juste d'expliquer POURQUOI c'est possible, et avec des arguments trouvés apres de longues recherches.Dans la pluparts des systemes de differents chercheurs que j'ai étudié, j'ai retrouvé des points communs, premierement je vais fire un petit topo sur Les conditions de la fusion froide, puis j'essairais d'expliquer le POSSIBLE fonctionnement du moteur meyer.
Les conditions de la fusion froide :
Plusieurs mécanismes semblent jouer un rôle important :
- La fusion catalysée par des agrégats de un à plusieurs électrons, qui permettent de vaincre la barrière de Coulomb entre deux noyaux en orbites serrées selon les règles standard de la mécanique quantique. (Un anneau compact de n électrons liés par leur moment magnétique anomal se succédant à une distance de quelques fermi permet la fusion de deux noyaux de nombre atomique < n l?orbitant de part et d?autre. La molécule exotique peut avoir une charge allant du nombre atomique à zéro, voire à une valeur négative.) De tels agrégats électroniques apparaissent spontanément sur des irrégularités ou dendrites de cathodes pulsées, lors de l?attaque par des acides de grains métalliques, dans des hydrures métalliques ou des métaux cristallins soumis à des contraintes mécaniques intenses, à des arcs ou micro-arcs, ainsi que dans les décharges électriques. Quant à la molécule d?hydrex, composée de deux noyaux d?hydrogène de part et d?autre d?un électron, elle se forme lors de l?attaque d?un métal par un acide impliquant deux hydrogènes opposés, en présence d?une magnétisation perpendiculaire à la surface qui peut venir du métal, par exemple de grains monodomaines de Fer ou de Nickel, lors de l?électrolyse sur une cathode ferromagnétique en dessous de sa température de Curie.
Elle pourrait se faire dans des conditions similaires lors de la réduction de l?eau sur une anode chaude ferromagnétique faiblement polarisée, comme dans le GEET ou la cellule de Gardner Watts. L?hydrex est idéalement adapté à la fusion inertielle rapide, et à la fusion froide ou tiède (~104°K). Par contre, la forte de densité des rayonnements de la fusion chaude à tokamak ou foyer gazeux et les durées importantes de confinement en briseraient les liens, mettant fin au processus.
- La forte densité électronique au voisinage des noyaux lourds, comme le Tungstène ou le Thorium, réduit l?énergie thermique de la fusion de deux protons ou deutérons de plus de quatre ordres de grandeur, à moins d?un kilovolt, valeur qui pourrait être obtenue dans des décharges ou sous l?effet d?ondes de choc acoustiques. À cause de leur rayon de 76.8 et de 38.4 Fermi, les molécules exotiques d?hydrex et de deutex voient leur probabilité de fusion mutuelle, déjà importante, augmenter encore dans cet environnement. À son tour, cette fusion stimule la désintégration radioactive des éléments lourds instables.
- La réalisation de micro-singularités dans la cavitation, dans lesquelles des noyaux en orbites serrées autour d?agrégats électroniques, et même des plasmas tièdes d?isotopes d?hydrogène vont fusionner plus rapidement par ondes de choc successives, au cours de la phase implosive, en présence d?éléments plus lourds.
- Selon certains chercheurs, des phénomènes électroniques collectifs dans les métaux peuvent contribuer, vraisemblablement en catalysant la formation inter-atomique des agrégats électroniques mentionnés. De même, des états collectifs nucléaires cohérents de deutérons ou de protons dans des hydrures métalliques peuvent favoriser la formation de systèmes nucléaires orbitaux de type deutex.
Dans le dégagement anormal de chaleur par électrolyse, on constate qu?un champ magnétique perpendiculaire à la surface, des ondes acoustiques ou électromagnétiques sous forme de rayonnement HF ou laser améliorent le rendement. Le rayonnement solaire aurait le même effet, peut-être parce qu?il contient le rayonnement quadrupôle de désexcitation de l?hydrex. Ainsi que l?utilisation d?électrodes d?Uranium, de Thorium ou de Tungstène thorié, dont la désintégration peut être stimulée, ce qui suggère une synergie fusion-fission, la radiolyse stimulant la fusion par cavitation sonoluminescente et cette dernière stimulant la radioactivité induite.
Et il y a les matériaux catalyseurs: les cathodes en Nickel pour la formation de l?hydrex, en Titane ou en Palladium pour le deutex, en combinaison avec certains gaz ou électrolytes.
La stimulation de la fusion froide par résonance acoustique et par laser, aujourd?hui confirmée par la communauté des chercheurs en fusion froide, avait été initialement découverte par Stanley Meyer dans les années 1980 et décrite dans ses brevets. De même pour l?optimisation de la cavitation à basse pression, qui est obtenue par l?effet de succion du moteur dans les cellules à électrolyse reliées à l?admission. Quant au rôle de la radiolyse dans une cellule à résonance acoustique, il faut mentionner Stephen Horvath et son brevet de 1976.
La cellule de Stanley Meyer
Il s?agit d?électrodes parallèles très proches (~3mm) en acier inox séparées par de l?eau quasiment pure, excitées par un circuit résonnant rectifié de façon à y faire périodiquement monter la tension jusqu?à quelques kilovolts en présence d?un rayonnement laser obtenu par des diodes. Plusieurs telles cellules peuvent être connectées en série verticalement, de façon à totalement désintégrer le catalyseur radioactif, s?il y en a, et à désexciter et fusionner les noyaux en orbites serrées de type hydrex qui sont produits. Les fréquences des trains d?impulsions et des impulsions elles-mêmes sont de quelques dizaines de KHz et choisies de façon à correspondre aux fréquences acoustiques du système, lesquelles s?abaissent quand la densité des bulles, qui dépend de l?intensité acoustique, augmente. La production rythmique de bulles sur les électrodes a lieu dans les ventres acoustiques, qui seuls doivent être excités de façon à créer une sonoluminescence résonante. La cathode peut être préparée de façon à avoir des dendrites de nickel en surface. De la sorte, des agrégats d?un ou plusieurs électrons forment le centre de systèmes orbitaux à deux noyaux, dont certains vont se désexciter et fusionner sur place, en contribuant à la dissociation de l?eau par radiolyse. D?autres auront une durée de vie assez longue pour ne le faire que dans la cellule suivante ou la chambre à combustion en y fournissant une énergie supplémentaire. On aurait donc tort de ne juger de l?efficacité d?une telle cellule que sur la quantité d?eau dissociée.
Le fort dégagement de rayonnement divers, l?implosion résonante de la cavitation, qui engendre des plasmas d?une dizaine de milliers de degrés et vraisemblablement des singularités internes plus petites et bien plus chaudes liées à des ondes de chocs, tous ces facteurs sont idéaux pour désintégrer du Thorium sur la cathode.
Si toute l?énergie des cellules de Meyer provenait de la seule radiolyse par désintégration flash du Thorium, l?eau devrait en contenir 1mg/litre, et la consommation pour 50KW mécaniques serait de plus de 50 litres d?eau par heure. Or, il semble que la consommation d?eau rapportée par les utilisateurs de tels engins soit bien moindre que le volume d?essence équivalent qui eût été nécessaire, de 5 litres environ par heure. Selon certains expérimentateurs travaillant avec des anodes en acier inox, il existerait des réactions électrochimiques impliquant l?ion hydroxyl OH- et les composantes de l?air, capables de générer un gaz qui y est combustible (N(OH)2 ou plutôt NH2-OH-HNO3, qui serait détonnant à l?instar de l?hydroxyde et du nitrite d?ammonium) s?ajoutant à l?hydrogène, ce qui augmenterait quelque peu le volume gazeux produit et nécessiterait l?injection de petites quantités d?air dans les cellules sous basse pression. La réaction serait améliorée avec un champ magnétique sur l?anode. Tout cela reste à vérifier et à préciser. Bruce Perrault proposa la conversion de l?oxygène de l?air par ionisation radiative en ozone combustible. Mais ni la cellule de Meyer, ni celle que souhaitait commercialiser Mr Vaes ne semblent, au premier abord, avoir eu une entrée d?air. En outre, la consommation d?eau resterait importante. Autre procédé classique ayant un excellent rendement, avec un facteur sur-unité de 29, l?oxydation d?une anode consommable en acier doux et la réduction de l?eau en dessous du voltage seuil traditionnel, la cathode étant en acier nickelé, avec production d?hydrogène uniquement, ainsi que d?hydrex, sur la cathode et l?anode. Un système similaire inventé par François Cornish convertit du fil d?Aluminium en oxyde sous haute tension. Mais cela appartiendrait encore à un procédé différent, puisque ni le système japonais ni celui de Stanley Meyer n?utilisaient d?anodes consommables.
Des expériences rigoureuses montrent qu?une énergie supplémentaire considérable peut être dégagée en aval, dans les cylindres, par la désexcitation et fusion en deutérium de molécules exotiques métastables d?hydrex selon le mécanisme proposé par Maric, Dragic, Vigier et al. Leur désexcitation et fusion dans la cellule d?électrolyse même diminue substantiellement la quantité d?électricité ou de Thorium nécessaire pour entretenir le processus et le même mécanisme dans la chambre à combustion explique les volumes minimes d?eau consommée dans le système présenté en introduction, ainsi que dans d?autres, à anode ou surface métallique consommable ou non. Si toute l?énergie dégagée dans les cylindres venait de la fusion mutuelle des composants de l?hydrex, qui dégage 1.46MeV, 25mg ou 27 centilitres d?hydrogène seraient convertis en deutérium chaque heure dans notre voiture de 50KW mécaniques. Cette énergie serait encore multipliée si l?un des protons orbitant deux ou trois électrons d?un système de type hydrex fusionnait avec d?autres noyaux plus lourds: de lithium, de bore ou de carbone, ou bien si un tel système, formait un di-neutron lequel fusionnerait ensuite avec ces éléments plus lourds. Les transmutations à basse énergie jouent donc un rôle majeur dans le fonctionnement de la mythique voiture à eau.
La synergie fusion-fission joue un rôle crucial dans la stimulation électromagnétique de la radioactivité en présence d?eau liquide ou de vapeur par la formation, désexcitation et fusion de hydrex, ainsi que le montrèrent Jacques Dufour et al. Une part non négligeable de l?énergie libérée dans le moteur de Papp vient donc de la fusion dans l?excitateur en amont, d?hydrex, sans lequel il ne fonctionnerait vraisemblablement pas, et qui nécessairement contribuera au bilan énergétique dans la chambre de combustion en aval, ainsi qu?à la neutralisation flash, dans celle-ci du Radon. D?où l?on déduit que le débit d?eau et la consommation d?Uranium ou de Thorium en avaient été surestimés ainsi que la contamination par le Radon et ses filles radioactives du moteur, la combustion de l?hydrex ayant un puissant effet neutralisant, qui se manifeste dans le gaz de Brown. Mais la cellule de type Meyer est évidemment bien plus propre, puisqu?elle tire l?essentiel, voire toute son énergie de la fusion, la radiolyse par radioactivité stimulée ne jouant qu?un rôle catalyseur secondaire, peut-être optionnel, ce que démontrent les faibles volumes d?eau consommés.
Voilà qui explique le mystère du système japonais:
Vu l?utilisation de GPL, déjà constitué de molécules courtes et volatiles (propane et butane), vu la quantité minime d?eau consommée et donc d?hydrogène produite, l?augmentation du rendement par la seule amélioration de la dynamique de la combustion, par le «craquage» de molécules lourdes ou bien par la contribution énergétique du seul hydrogène est improbable. Reste l?hydrex. Je vais supposer qu?il s?agit d?une cellule à résonance acoustique analogue à celle de Meyer, mais où la production de bulles et autres phénomènes dynamiques sont confinés dans les électrodes poreuses et à leur surface, sur un ventre, ce qui leur évite d?affecter sensiblement la fréquence de résonance d?ensemble.
1/ La sonofusion est induite dans les électrodes ferromagnétiques polarisées en fibres agglomérées ou en tissu de Nickel par les micro-décharges qu?y créent les courants de Foucault, induits par les enroulements reliés au «maser», vraisemblablement un magnétron ou un générateur HF, pulsé à la résonance acoustique. Puisque les courants de Foucault réalisent l?essentiel de la production d?hydrex et sa fusion par micro-décharges et cavitation, source de la luminosité orangée constatée, on en déduit que, s?il comporte un magnétron ou un générateur VHF, il est relié à des enroulements d?une seule spire autour d?un aimant annulaire en ferrite, pour la polarisation continue des électrodes, avec une diode de Gunn pour y créer un signal en dents de scie asymétrique et que, s?il s?agit d?un circuit d?une dizaine de KHz, ce qui autorise un c?ur toroïdal en ferrite magnétostrictif et la magnétisation pulsée des électrodes, les impulsions en sont aussi carrées que possible, afin d?avoir un maximum de tension induite à une harmonique de la fondamentale acoustique. Les membranes étant espacées de 4cm et situées dans les ventres, la fréquence acoustique des pulsations serait inférieure à 17.875KHz.
2/ L?alternative aux courants de Foucault en surface est la décharge capacitative à haute tension en micro-ondes pulsées, ou aux seules fréquences acoustiques, entre les membranes en Nickel et la surface adjacente métallique des aimants, ainsi qu?entre les aimants-électrodes annulaires. Dans ce cas, la connexion des électrodes à la batterie devrait comporter un filtre ou une bobine d?arrêt, excepté si une électrode HF était ajoutée (une grille entre les aimants), ou retranchée (un seul aimant). Les surfaces de toutes les électrodes se faisant face devraient être considérées comme des ventres acoustiques.
Il est possible que du dioxyde de Thorium ait été incorporé aux électrodes, ainsi que du noir ou de la mousse de Platine, de telles électrodes étant disponibles dans l?industrie chimique.
Message édité par LoveCraft35 le 28-04-2004 à 12:55:07