Reprise du message précédent :

 
Qu'ils puissent le faire ou non, l'intention y est et le TT est donc une préoccupation pour eux  

Oui oui, bien sûr, et la marmotte …
On a tous plein d’intention qu’on ne mettra sûrement jamais en œuvre

 
Je ne comprends pas non plus comment on peut TT dans ces domaines  
 
Edit : bon j'ai lu vos réponses après, ça se tient  

 
Il n'y a quasiment pas de chômage chez les cadres donc oui si la boîte d'en face propose plus de flexibilité ils vont se casser.

 
Ben ils le pensent, osef si ils le mettent en œuvre ou pas    
Tu passes ton temps à dire que personne t'en parles dans tous tes recrutements et que donc ça doit pas être important pour la majorité des travailleurs.

+1
Toutes les boîtes qui pratiquent le retour au bureau sont en train de couler d'ailleurs ...

 
Bah généralement, ils trouvent un job AVANT de démissionner.

Euh … quel est le rapport ?

Vous faites semblant de ne pas comprendre ou bien ?
Dans tous les cas on parle de services administratifs de groupes hôteliers ou de commerces en ligne. Le boulanger il fait toujours du pain à la boulangerie. Il ne va pas y revenir il ne l'a jamais quittée. La question qu'on pourrait se poser par contre c'est de savoir si dans les patelins qui comptent 3 télétravailleurs on a vu exploser le nombre d'infrastructures de consommation et de loisirs pour que ces fringants actifs puissent consommer et s'amuser en sortant du garden office.

C'est quoi le pire, la démission ou le désengagement du salarié du point de vue de l'entreprise ?

Peu importe, ce n’est pas le sujet.
Pour l’instant il n’y a quasi que des grandes gu*** qui disent « je vais partir s’ils me retirent un jour de TT », très très peu le mettent en œuvre.
Qui connaît qq qui l’a fait ?

Le licenciement ça existe. D'ailleurs tu perds pas mal de valeur sur le marché après un licenciement.

J’en connais qui ont démissionné quand on est repassé de 3 à 4 jours obligatoires sur site. Des collègues qui mettaient plus d’1h pour venir au boulot. De loin… une collègue habitant Rouen et travaillant à la Défense, par exemple.

 
Oui enfin, à la base quand ils ont postulé, ils étaient bien au courant de la distance

Ça me fait penser à un agent de chez nous qui a mis fin à son contrat après un jour.
Sa justification : « xxxx (ville) est trop loin ».
J’espère que le manager lui a répondu que la ville n’a pas déménagé dans la nuit …

Si on licenciait toutes les personnes désengagées dans leur travail, le taux de chômage taperai probablement un bon 35/40%

Quand tu démissionne l'avis sur la question de la part du management importante moins que peu.

Chez nous on ne paie pas les boulets à rien foutre, on les licencie. J'ose espérer que toutes les boîtes en font de même. Et un boulet reste un boulet, en présentiel ou en télétravail, encore plus en télétravail d'ailleurs, le gars qui ne fait rien et injoignable de la semaine c'est du vécu, alors autant lui imposer une présence sur site qu'on peut décompter de son salaire en cas d'absence et étoffer ainsi son dossier de licenciement .

Si seulement.... Mais non loin de là.

Faut arrêter avec la légende des télétravailleurs qui font un rendement x10 @home et vont saborder leur carrière en présentiel, ça n'existe pas.

 
Clairement  
 
Qu'on trouve des avantages au TT je le conçois, moi même je suis plus au calme pour faire des procédures par exemple, mais qu'on ai un meilleur rendement continuellement en TT, je n'y crois pas vraiment

Qui dit ça ?
Les télétravailleurs peuvent autant être des bosseurs que des branleurs. Comme les autres travailleurs.

 
C'est ça  
 
Un bosseur bossera en présentiel et en tt, un glandeur de même

Pas forcément  
J’en suis la preuve  
Mercredi j’ai fait du TT : j’ai commencé plus tard, j’ai fait une bien plus grande pause (1h30 vs 45’), j’ai fini plus tôt, je n’étais pas motivée (bon la météo n’aidait pas …), j’ai posté sur HFR en journée (ce que je ne fais jamais en temps normal)
 
L’environnement joue beaucoup

T'as besoin d'être surveiller pour bosser, c'est heureusement pas le cas de tout le monde et clairement incompatible avec le statut de cadre.  

 
Ça c'est propre à chacun, en TT je ne me laisse pas distraire, je bosse autant qu'au bureau, seule chose que je me permet quand je le peux comparé au bureau : un petit fond musical pas fort

 
Ah bah on a des cas multiples chez nous, de presta qui ont refusé une embauche en 50% TT, parce qu'ils voulaient du full remote
 
C'est bien con parce qu'on en avait grave besoin de ces gens là

Rien à voir avec être surveillée car personne ne me surveille au taf
 

Refuser une embauche c’est quand même différent de démissionner quand le nombre de jours de TT diminue, je trouve

C'étaient des gens qui bossaient pour nous, en full remote, et qui ont préféré dire non à une embauche ferme en 1/2 remote .
L'un dans l'autre, ils bossaient pour nous, et on les a perdu .

Le jour de semaine joue aussi.  
A priorio le TT le lundi est mal vue car ça fait prolongation de week end, mais en vrai tu te réveilles guilleret à commencer la semaine, t'es de bon poil parce que tu ne dois pas arriver avant 7h58 sur le parking pour trouver une place, les gosses sont normalement en forme après un week end repos et tu ne dois pas aider ton conjoint à les préparer. Tu bosses tard parce que début de semaine tu n'es pas dans un état d'esprit qui pousse à la déco a 16h30.
 
Dans la même veine le vendredi en présentiel, il n'y a absolument personne dans les bureaux, ton étage de 13 personnes accueille 3 fantomes. Les autres sont en RTT, temps partiel ou télétravail. Tu as le collegue de l'étage d'â côté qui à hate d'être en week end qui vient squatter ton bureau 30 mn le matin et 30 mn au café, à 16h t'entends le bruit des voitures qui démarrent et le seul chef restant te dit qu'il ferme le batiment a 17h15 grand max sauf si tu fais la fermeture. Au final tu es arrivé à 8h30 parce que t'es crevé, à 16h30 tu te dis qu'il y en a marre de payer la garderie et qu'il est encore possible de tondre la pelouse le vendredi soir au lieu du samedi matin. Bilan un vendredi peu productif.
 

 
C'est quand même vachement stigmatisé le vendredi la  

Il manque surtout le mercredi dans sa « démo » quitte à faire dans les clichés  
 
Clairement LE jour du temps partiel  
Ou du TT qui veut souvent tout dire ^^

Je fais jeudi vendredi lundi tt, quand je pars le mercredi soir je me sens tellement bien en vrai.

 
J'ai des collègues presta qui habitent loin et ont 3J de TT. Tu leur enlève un jour de TT ils changent de missions.

J'suis en full tt depuis des années et c'est d'un confort inégalé au quotidien.

Par contre, ça réclame d'avoir à minima une pièce dédiée et que chacun comprenne que durant les horaires de boulot, on ne débarque pas dans le bureau et qu'on bosse. Et que oui, on peut avoir des réunions jusqu'à 20h même en tt.  

Après le tt ne convient pas à tout le monde, certains s'isolent, d'autres lâchent la rampe, d'autres s'épanouissent ou gagnent en sérénité. Je pense pas qu'il y ait de vérité absolue.

Bah oui. C'est hyper fréquent, et comme la sous-traitance devient la règle dans certains cas...

 
Tout est résumé en une phrase oui  

 
La question est réglée ici : on est 3 à ne pas travailler les mercredi (ou 1/2) sur tout le batiment, et on n'est pas en télétravail. C'est ça les administrations vieillissantes.

J'ai le mercredi et le vendredi en TT, j'ai pas de gamins, le mercredi est un jour comme un autre  

Comme quoi, quand il n'y a personne pour te regarder t'es pas si surchargée de boulot que ça

Moi je l'ai fait. Enfin le jour de TT restant post COVID supprimé a été la goutte d'eau.

Mais en sortie d'entretien annuel, on m'a annoncé que le TT était terminé, j'ai dit oui a une opportunité disponible le lendemain et trois mois plus tard j'ai démarré un travail full télétravail.

La charge était la même et s’est justement reportée.
Donc hormis la plus grande nuit et la sieste, pas grand chose de positif.
Si, moins de stress le jour J mais pire le lendemain.
 

Au moins tu es cohérent  
 
Allez, semaine de vacances    
Objectif : se défaire de tout ce stress qui me crée des symptômes physiques
Ça irait dans le topic « souffrance au travail »