Reprise du message précédent :

J'avoue que je suis mal placé pour commenter ça, mais je trouve cette affirmation un peu trop affirmative.
 

 
 
il veut se chercher, mais a peur de se trouver...

Je veux être pas comme les autres ?  
Autrement formulé, je veux être comme vous ?  
Vous seriez donc exclus des autres ?  
Si c'est juste un sentiment d’appartenance que je recherche, pourquoi je me ferais chier à essayer d’appartenir à un groupe auquel je ne m’identifie pas ?

C'est peut-être vrai. Je n'y arrive peut-être pas pour d'autres raisons, va savoir...

C'est bien de se poser des questions sur ce que l'on est en tout cas, par contre il faut être patient. C'est pe même l'oeuvre d'une vie entière

Marcher et parler je ne sais pas, mais j'ai appris à lire en moyenne section et c'est ce qui m'a fait sauter la grande section (enfin je crois).

Je jouais du Chopin dès 4 ans perso

Tellement de veritance dans ce post.

 
J'ai lu des starts il y a un bail qui montraient de plus gros */* de surdoués chez les NP.
 
Les personnes surdoués à qui j'ai demandé leur type sont à priori NP. Mais l'échantillon est trop petit, et biaisé, vu que ce sont des proches.  

et encore une histoire de case ....

 
A priori, ça se voyait quand j etais petite. Je parlais très bien, j'ai sauté une classe en primaire sans test, je me suis réennuyée 2 semaines plus tard.  
 
Par contre je ne savais délibérément pas lire en arrivant au CP : je voulais qu'on continue à me raconter des histoires pendant la maternelle.  
 

C'est marrant, je me suis récemment dit que ma fille de 5 ans et demi n'avait pas d'intérêt pour la lecture (tandis qu'elle sait déchiffre depuis un moment) car on lui lisait beaucoup d'histoires.

 
T'as autant que ça de personnes testée dans ton entourage ?
C'est ouf, moi j'ai sur mon neveu et je lui en ai pas parlé

J'avais raté cette réponse dans tout ça !

Je vois pas l'intérêt des test de personnalité, parler à quelqu'un t'en apprend sûrement plus

L'espoir d'y trouver des réponses me pousse peut-être à m'y référer.
 
En tout cas ce n'est pas sans intérêt ni sans bénéfice.
 
Depuis quelques années que je suis sensible aux sujets des personnalités, ça m’a élargi plutôt mon champs de vision.  
 
Sans vouloir/réussir à mettre les gens dans des cases, ça m'a aider à comprendre qu'il ne sert à rien d'essayer de changer les autres puisqu'ils auraient un fonctionnement intrinsèque.  
Et sans le comprendre il n'y a aucun dialogue possible. Ça m'a aidé aussi à moins être dans le jugement.

mais faire changer les autres dans quel but ?
 
le fait d'être qui nous sommes, dans un écosystème social, n'influence-t-il pas l'autre et réciproquement ?
 
 
 
 
 

 
Beaucoup. Et en plus je n'en parles pas facilement, ni des tests de personnalité ni de ceux de qi.  
 

 
La typologie du MBTI m'a beaucoup aidée à comprendre d'autres types de personnalité éloignés du mien. Et à "traduire". Je saute beaucoup du coq à l'âne, et il y a beaucoup de gens qui ne me comprennent pas parceque... ça, les trucs évidents que je ne dis pas, une feçon de raisonner très différente, ect. Ce n'est pas une question de langue.
 
Et le MBTI, lui, m'a permis de comprendre, que, par exemple, certaines personnes qui sont perdues si on ne met pas leur code couleur habituel ne sont pas pour autant de mauvaise foi. Juste qu'elles fonctionnent comme  ça.  
 

L'intersection personnes testées hip + MBTI (à la volée lui) est de 4.

Et a quel moment ils sortent ça?
"Hey tu sais quoi la semaine dernière j'ai fait un WAIS?"
 
Je répugne vraiment à en parler IRL, je sais pas trop pour quoi (un point à creuser un jour) les seules personnes au courant c'est ma moitié et mon père (que j'ai cuisiné sur mon enfance et que je suspecte fortement d'être à l'origine de ma condition ).

Aujourd'hui je suis clairement d'accord avec ça ! J'en suis même intimement convaincu.

Je dirais dans mon cas, avec du recul, que je voulais changer ce qui me dérangeais chez l'autre.
Notamment sa non-correspondance à mes critères moraux/éthiques ou mes idéaux.
Je partais du principe qu'il avait un dysfonctionnement, puisqu'il ne raisonnait pas sainement, contrairement à moi...
Du coup je te raconte pas les débats sans fin rapidement clôturés pour cause de noms d'oiseaux qui fusent etc.

Je n'ai appris que très tard (et encore, c'est toujours difficile) à verbaliser ce que je ressens sans attendre de l'autre qu'il comprenne ou non mon opinion/ressenti.

Voilà, si on fait abstraction des exemples choisis, c'est ça aussi pour moi !

Et ça fait du bien qua'd on comprend ça et qu'on le met en pratique les premières fois hein ?
Well done En Tout cas, je pense que ça a du être libérateur pour toi également.

Ne pas porter les problèmes des autres : si ce que tu dis est de bonne foi et fondamentalement pas méchant, ce n'est pas ton problème si l'autre le prend mal, c'est son problème.

C'est encore très difficile et cause de nœuds au ventre, mais oui, ça libère !!
Du coup le challenge c'est justement de réussir malgré tout à mettre les formes !
Pas le choix, faut apprendre et s'exercer à mettre des mots sur ce qu'on ressent...

Justement, ce que je t'étais de dire et que -même pour un individu lambda- ça n'est pas possible de répondre de manière binaire.
Mais je crois que je m'exprime mal

Ouais, je suis d'accord. Je pense que ça passe par le fait d'assumer ses emotions et communiquer dessus.
Ne pas avoir peur/honte/whatever de dire que ce que la personne a dit/fait/whatever nous a blessé/choqué/whatever...
Mais en toute humilité quoi, sans s'en prendre à la personne.
Et on se rend compte parfois qu'on a mal interprété les choses.
Ou que la personne s'est mal exprimé.
Ou qu'on a u' connard en face, ça arrive aussi  

vous prennez/avez pris des cours de communication non violente ?

sert à rien

D'ailleurs, tu me fais penser que toutes les personnes que je connais qui ont passé un test Qi sont des hommes, sauf une.
Je ne sais plus exactement. Mais ce sont des proches. Et puis bon en vrai ça se voit (pas toujours, mais souvent).
 
D'ailleurs, pour mon compagnon, c'est sa mère qui l'a sorti entre la poire et le fromage tout de  go, la première fois que je l'ai vue. Ca m'a paru fortement inapproprié. Le pauvre.

Ce test j'ai dû le faire cinq ou six fois et je suis toujours ESTJ, le E étant à confirmer (car jamais au-dessus de 55%). Je ne me sens d'ailleurs ni extraverti ni introverti, ça dépend énormément du cadre.
 
Ce qui est drôle c'est qu'un mec persistait en disant que j'étais forcément INTP parce que je suis bon en maths

Je pense qu'un individu lambda ne va pas se poser trop de question du contexte, il se demandera peut-être juste "je mets complètement d'accord ou plutôt d'accord ?"
Ce n'est que récemment que j'ai pris conscience que la majorité des gens se posaient environ 10 fois moins de questions que moi (mais que beaucoup ne s'en portaient pas plus mal)

Pas des cours mais je me suis déjà sensibilisé au sujet.
Mais souvent je craque.

Sinon j'ai demandé à ma mère. On a tous marché avant 1 an et causé tôt et bien.  

Je m'entends souvent dire que je me pose trop de question, que je coupe le cheveux en 4 etc. De mon côté je me demande si effectivement c'est le cas ou bien que de base tout le monde est dans le même cas mais que certains arrivent à se contrôler/passer outre et aller à l'essentiel.
Ce serait tellement bien de pouvoir être dans la tête de quelqu'un d'autre pour un court moment et voir comment cette personne fonctionne pour pouvoir comparer

 
ISTP pour ma part.
 

 
Marrant j’ai fait pareil (et ensuite je faisais semblant de ne pas savoir lire pour ne pas avoir à parler en classe   )
 

 
+1 (même si j’ai plutôt été formé sur Action Type (qui se base sur des tests de motricité et non des tests verbaux, mais l’analyse des profils reste la même)
 

 
Non, j’aime bien la communication violente    
 
Pourquoi pas des cours d’écriture inclusive    

Une question pour vous alors, les surdoués, les thqi++ maîtres de l'univers et de l'eau de là (enfin vous voyez l'esprit quoi) :

si vous réfléchissez plus vite et de manière plus limpide, et que vous êtes plus "doués" que les autres, est-ce que vous avez un sentiment de supériorité ou de mépris par rapport aux autres ? Comment les percevez vous ?

/vraie question, car je me suis toujours demandé ce que pensaient les gens plus intelligents que la moyenne, vu qu'ils sont entourés de gens qui réfléchissent plus lentement et dont les capacités sont limitées par rapport à eux mêmes (évoluer au milieu des sous doués ça doit être spécial, lol).

Je pose cette question parce que j'ai souvent travaillé avec des gens qu'on pourrait dire brillants et aillant fait de très hautes études, et cela m'a souvent intrigué ( = que pensent t-ils d'un gars comme moi, arrivé là un peu par hasard).

Merci à vous bandes de zèbres.

À titre personnel. Je suis assez mal à l'aise avec le fait de dire "plus doués que les autres" même si je comprends bien ce que tu veux dire.
Supériorité, non. Tu peux être meilleur qu'un autre en maths, il sera meilleur au foot. Ou alors il sera meilleur conducteur, meilleur bricoleur, il aura un meilleur relationnel... bref, on a tous des qualités et des défauts. Sur ce coup je ne hiérarchise rien, on est tous différents et la société nous classifie trop pour qu'on le fasse aussi.
En revanche, je suis quelqu'un d'assez méprisant, mais je doute que ça ait quelque chose à voir avec le QI. Essentiellement envers les gens qui ne se posent pas de questions et qui ne creusent rien (par exemple ces gens "qui aiment tout" en musique sans être capables d'argumenter, sans avoir pris la peine de comprendre musicalement ce qu'ils aiment ou pas...). Et aussi les gens qui n'ont pas de rapport critique vis-à-vis de leur religion, ou alors qui se préoccupent davantage de leur pratique de la religion plutôt que de la théologie, voire de la justification de la pratique.

Puis il y a plein de trucs que je ne comprends pas non plus de toutes manières.

moi j'ai horreur de la paresse intellectuelle, les gens qui ont besoin de savoir faire un truc, mais qui cherchent pas a apprendre comment on fait
alors que ca me parait une évidence de faire ca, je comprends pas ces gens

« The difference between ordinary and extraordinary is practice » comme disait Vlad
 
Beaucoup de jeune sont des branleurs

Pour ma part, je trouve que les gens sont cons

Plus sérieusement, j'ai parfois du mal à comprendre que ce que je trouve évident ne soit pas évident pour tout le monde.
Puis je me rappelle que je sais pas jouer de guitare.
Puis je me rappelle que je suis une brêle au foot.
Et surtout je me rappelle que je galère dans la gestion des sentiments et émotions. Pas dans la compréhension des sentiments et leurs conséquences sur le mode de fonctionnement des gens (ça, c'est simple et logique), non, vraiment la gestion des sentiments et émotions.

Sinon, ma femme a inventé le concept de PIMs, pour Potentiel Intellectuel Médiocre.
Et quand on est HPI, ben on est entouré de PIMs et c'est pas toujours facile.

Il va sans dire que l'utilisation du mot médiocre est une boutade et prend sa naissance dans le fait d'utiliser comme réfèrentiel le HPI.
Dans la vraie vie, ce sont plutôt nous les énergumènes.

Edit : me femme qui est elle même une PIM hein.

A quel niveau ?
Car j'aurais tendance à dire que par définition, sur le plan de l'intelligence logique, oui.
Pour le reste, je pense qu'on est différent comme tous le monde.