Reprise du message précédent :

 
Qu'est ce que tu veux que je te dise. Que le monde t'attends ? Des personnes avec un QI de 140 voir plus il y en a un tas, et chacun doit, si il veut réussir, s'en donner les moyens.
Heureusement, nous vivons dans un monde où ceux qui ont un plus gros QI ne réussissent pas forcément mieux que ceux qui ont la motivation.
Le système éducatif est fait pour convenir à une majorité. Maintenant, ne dis pas qu'il est totalement coincé, ce serait de la pure connerie et une insulte envers tous les enseignants.  
Et même si il essaie de s'adapter au plus grand nombre, comment diantre savoir ce qui ne tourne pas rond dans chaque cervelles...

Je vais te dire (pour avoir suivi la formation d'instit' l'an dernier), ce type de problème commence à peine à être pris en compte, il faut le temps, c'est tout

D'ailleurs nous essayons de faire du travail individualisé, sauf qu'en général, on s'attache d'abord aux enfants les plus en difficulté. Essaies juste de te rendre compte de ce que ça signifie en charge de travail pour un enseignant de fournir un apprentissage différent pour plusieurs élèves...

Alors bon cracher à la gueule de personne qui n'ont pas été formées pour ce genre de cas, ça ne sert strictement à rien.

Ben écoute, sans être méchant, si tes capacités ne te permettent pas d'accomplir ce que la plupart des gens dans la moyenne et même en dessous de la moyenne arrivent à accomplir, c'est probablement que dans l'ensemble tes capacités ne font pas de toi un surdoué.
Avoir un haut QI, pour ce que ça vaut, c'est très bien. Mais si on en fait rien, ça ne vaut que dalle.

C'est le probleme de ce topic

 
Blablabla , lis le post juste en dessous du tiens .
 

 
Voila .
Je sais tres bien , je blame pas les profs ( enfin pas tous ) , ma derniere phrase etait un peu pour me libérer .
 

 
C'est pas que j'arrivai pas , c'est que je n'y voyai pas d'interet et je trouvai ca ennuyeux .
Et comme je l'ai deja dit arrete d'assener tes vérités , tu n'as pas vécu ce que j'ai vécu , tu ne peu donc pas saisir mon expérience , et c'est pas a 15 ans qu'on se rends compte de ce genre de trucs surtout quand on est pas tres matûres .

Ben le résultat des courses, quel que soit la façon dont tu tournes la chose, c'est que tu as échoué là ou la majorité des M. Tout le monde réussissent. Donc non, tu ne fais pas partie des bons.

T'es gentil mon grand mais tu ne sais pas du tout par quoi je suis passé.
Et si je ne m'amuse pas à balancer mon QI pour me donner une contenance ou une bonnes excuse le cas échéant, sache que le tiens ne m'impressionne pas le moins du monde.

Ben faut croire que tu n'es pas particulièrement surdoué, que veux-tu. C'est pas une honte remarque.

 
Ok .
J'ai balancer mon QI et mon expérience dans l'éventualité ou ca pourait aider quelqu'un avec un probleme similaire et pas pour impressioner des gens que je verais jamais , je voulais apporter quelque chose de constructif mais apparement c'est pas la peine , je participerai plus a ce sujet .

Ca, c'es génial comme conclusion
Tu es au courant que, toute notion de doué/surdoué écartée, des tas de gens a fort potentiel se retrouvent a execercer des métiers de merde juste parsque on les a jamais poussé a ouvrir un bouquin, a entrer dans un musée, mais qu'ils étaient privé de toute exposition à la culture et à la connaissance ?
 
 

Même remarque.
 
Ces reflexions simplistes    je sais pas ce qui vous pousse a être aussi nuls dans vos réponses a ce sujet, si vous avez de la rancune ou quoi, mais bon...

Peut-être que les branleurs, surdoués ou pas, ne réussissent pas?
 Sinon, on peut intégrer Polytechniques avec un ou deux ans d'avance, et faire un petit quelquechose en sortant, genre HEC, et on a un CV imbattable pour démarrer la vie active.
"Quoi, c'est pas la peine d'être surdoué si c'est pour chercher du travail?"
Euh, oui, dans le monde reel ça se passe comme ça.

 
 
wai  bon là on est en train de s'écarter du sujet de départ qui est le mal etre, l'ennui en cours, comment arriver a se motiver a se stimuler
 
(grosso merdo hein )
 

Ben c'est bien dommage pour eux c'est sûr. Encore que dans les pays industrialisés j'ai peine à accepter l'excuse du manque d'accès à la connaissance et à la culture. L'accès au savoir est libre et majoritairement gratuit, ceux qui n'y vont pas c'est principalement parce qu'ils s'en foutent. Ce qu'en soi je ne critique pas particulièrement d'ailleurs, c'est un choix personnel que chacun est libre de faire.
 
Reste que selon mon point de vue on ne peut pas qualifier les gens qui font ce choix de surdoués, potentiel ou pas.

Ben non, on est en plein dedans, tous les branleurs s'ennuient en cours, qu'ils soient sur ou sous doués, parcequ'ils ne veulent pastravailler.
Celui qui veut travailler y arrive, plus facilement s'il est surdoué, tant mieux pour lui.

 
Rien ne t'empêche de t'inscrire en master de philo, de lettres, de mathématiques et de biologie sous-marine en même temps
 
Après tu écris 300 propositions pour la France à l'attention de  Sarkozy, et tu es casé.

Il pue un peu ce topic.

Pas par son sujet, mais certains commentaires sont emplis d'aigreur. On se demande même parfois si ça n'est pas de la jalousie ou de la frustration.  

Zen les gens, faut accepter aussi que tout le monde n'a pas les mêmes capacités. C'est comme la beauté physique, on ne nait pas tous égaux (cf. les nénettes jalouses qui chient sur les belles femmes et sont incapables de reconnaître qu'une autre femme puisse être plus jolie )
 
 
Bref. Pwet.

Un peu dans la même situation
J'ai passé une demi-journée au CP, le temps de montrer que je savais lire, écrire, compter. J'avais demandé à ma môman de m'apprendre pendant l'été, j'étais super curieux à l'époque, j'avais appris super vite.
Toujours dans les 2-3 du peloton de tête en primaire et au début du collège, je bossais pas énormément mais j'étais intéressé par ce que j'y apprenais, l'histoire notamment.
 
J'me suis brusquement arrêté de travailler en 4ème, je saurais pas dire aujourd'hui si c'était par manque d'intérêt ou la simple envie de glander survenant avec le début de l'âge bête. J'ai pas vraiment rebossé depuis.  
J'me suis toujours démerdé pour passer les années en en foutant le moins possible, que ce soit au lycée ou en fac: révisions 3 jours avant à l'arrache sans gros problèmes, puisque je pige généralement les trucs assez vite.  
Inscrit par défaut pour faire comme papa-maman, j'ai suivi un parcours normal jusqu'à l'obtention de mon M1. J'me suis dispersé 3 ans en me disant que je pourrais voir si d'autres domaines seraient susceptibles de m'intéresser, sans rien trouver, sans réelle volonté de trouver surtout. 3 ans plus tard, après avoir foiré quelques trucs, notamment les passages en entretien de motiv' qui sont la plaie des mecs dans mon genre, je suis de retour en fac au même niveau, dans un domaine qui m'attire un peu plus, mais toujours pas super motivé. Je rêve de trouver un truc qui me donnerait envie de me lever le matin et bosser comme un dingue parce que ça me plait.
 
Ca va faire 20 ans que j'entends dire que j'ai des capacités, que je pige tout plus vite que tout le monde, et que "si tu te donnais du mal tu pourrais avoir tout ce que tu veux". Et ca va faire 20 ans que j'arrive pas à mettre ces conseils en pratique, j'voudrais bien mais j'peux point
Pour autant, j'suis absolument pas convaincu du fait que mes possibles capacités aient un rapport direct avec mon manque de motivation. Y'a autant de mecs doués qui réussissent en bossant comme des fous que de surdoués glandeurs qui se lamentent sur leur sort. J'suis simplement d'une flemmardise abyssale, et le fait que j'aie des capacités ou non change pas grand chose au problème. Sans doute seulement une plus grande impression de gâchis de la part de l'entourage (et de soi-même, bien que j'arrive même pas à me sentir coupable de rien faire ).
 
J'pense que se définir comme un surdoué pour justifier la présence d'un baobab au creux de chaque main est un peu facile. Ouin ouin, c'est la faute à l'éducation si je suis pas motivé. Y'a des milliers de domaines auxquels je pourrais m'intéresser, mais j'ai la flemme, et c'est bien plus facile de se plaindre de son sort en passant son aprem sur HFR (au lieu de réviser les exams de demain ).

J'aurais pu écrire ce post au mot près.
 
bool_de_gom> J'dirais plutôt Antoine.    

J'aurais mieux fait d'attendre que quelqu'un rédige un message similaire pour foutre un +1, ça m'aurait évité de me faire chier
Bande de glandeurs
 
Et en réponse à bool_de_gom => non

C'est ce que je pense aussi. Genre les non-surdoués sont naturellement motivés et trouvent tous les cours intéressants...

Bon sinon y'a un truc qui me fait marrer depuis qu'on a eu droit à des reportages à la télé montrant les surdoués en échec scolaire, ce sont les mères de famille dans les transports en commun qui se racontent les "exploits" de leurs morveux (qui n'en foutent évidemment pas une) et qui concluent par un superbe "c'est sûrement un surdoué   "  

C'est aussi un probleme. A coté de ca, y'a des parents qui font le forcing pour que leur fils saute une classe, alors qu'il n'en a absolument pas le besoin  

Voilà, tout pareil.

+1
 
(ouais, j'suis aussi une grosse feignasse, bien que pas trop con...  Suis-je un surdoué ?   )

 
+1 je pense que non, on est juste ce que tu annonces (une feignasse pas trop con) on me "prend" pour un surdoué de temps en temps car je suis tres serieux avec un sens de l'humour bizarre et comme dit ma femme je connais plein de trucs inutiles dont tout le monde s'en fout...

Bon, et bien petit message vite fait (j'ai des partiels qui approchent... faut réviser parait-il - vu le message de certains, évitez d'interpréter ça comme de la prétention... je dis cela au vu de mon manque d'intérêt -).
 
Merci à vos réponses, bien que comme je m'en doutais ce topic a été lu par certains comme un "Oh mais je suis trop intelligent pour ce monde, quel manque de chance!".  
Et lire que c'est trop facile de dire qu'on est pas comme les autres pour justifier un manque de travail... Dans mon cas cela est hors propos, vas trouver une personne qui sans motivation arrête une école après deux années pour reprendre un cursus menant aux grandes écoles...
 
Ca rassure de savoir que beaucoup vivent des situations similaires, bien que cela au final ne change la situation de personnes...
 
L'idée de la branche scientifique me plait beaucoup, dès la fin des partiels je m'en vais en parler avec mon Directeur de département... En espérant que ça pourrait mener à quelque chose!
 
Sur ce, bonnes révisions à ceux qui ont des partiels en approche, moi je m'en vais découvrir mes cous!

Comme tout le monde, je vais parler un peu de mon XP personnelle mais aussi d'un proche.
Perso, je ne penses pas être vraiment classable dans la catégorie surdouée. J'ai toujours avancé super facilement dans mes études (sauf en 1ère/term mais là c'était plutôt lié à des problème d'ado basics). Comme je n'ai jamais ressenti de mal-être particulier à cause de mes facilités, je n'ai jamais été "testée" (QI, psychologue, ...) et je me suis contentée de suivre le courant et d'en profiter pour ne pas trop travailler. Même post-bac, j'ai trouvé totalement par hasard une voie où je me suis sentie à l'aise sans trop forcer (IUT puis IUP). J'ai pu ainsi finir mes études en tête de promo sans avoir trop forcé (sauf pour les TP où j'ai toujours aimé bossé avec l'émulation que procure le travail de groupe et l'espèce de "course" pour avoir terminé plus ôt que les autres : j'ai eu aussi la chance d'avoir des binômes avec qui ça se passait bien). En cours, j'ai souvent fait des mots fléchés pour ne pas m'endormir (et je me suis aperçue plus tard que même si je n'avais rien écouté, j'avais quand même intégré inconsciemment ce que disait le prof). J'ai également pratiqué du sport en compétition, et je penses que ça m'a aidé à occuper mon envie/besoin d'occupation.
Tout ça pour dire, que j'ai une facilité naturelle à pouvoir glandouiller, ne pas chercher la perfection et à m'en satisfaire.
 
Malheureusement pour certains, je sais que ce n'est pas toujours le cas.
J'ai un exemple dans mon entourage très proche.
Il a toujours eu du mal à trouver sa place en classe (toujours à s'ennuyer, toujours en opposition avec les profs, ...). Il a redoublé plusieurs fois, a fini par avoir son bac in-extremis parce qu'il avais séché toute l'année (et que le contrôle continu de certaines matières peuvent plomber les notes)...
Post-bac il a eu un peu de mal car il n'arrivait pas à s'empêcher de prouver aux profs qu'ils se trompaient, n'arriver pas à limiter ses réponses à ce qu'on attendait de lui, ... mais a quand même passé de plutôt bonnes années grâce a un bon groupe d'amis. Il a fini par décrocher son diplôme avec des notes honorables mais pas excellentes.
Aujourd'hui il a trouvé un boulôt qui lui plait et qui lui apporte beaucoup d'émulation (expertise pointue avec très peu de personnes en France capables de le concurrencer). Malheureusement pour lui le monde de l'entreprise est bien fourni en incompétents et sur de gros projets, il ne peut pas faire tout tout seul (et en peut pas s'empêcher d'essayer de tout faire fonctionner comme il faut). Il a failli y passer à vouloir en faire trop (un seul homme ne peut pas tenir physiquement s'il doit faire le boulot de 10). Il a réussi à se calmer un peu mais je vois bien que c'est plus fort que lui : "si les autres n'y arrivent pas, il faut bien que quelqu'un remette les choses en ordre".  
Aujourd'hui, je me demande encore quelle est la solution pour lui. Peut-être l'inciter à entrer dans une entreprise un peu élitiste (s'il n'est plus le plus les meilleur en tout, ça lui ferait peut-être du bien). Sinon, peut-être créer sa propre entreprise...  
Trouver sa place n'a pas été facile pour lui, et ça ne l'est toujours pas mais je ne désespère pas qu'il puisse arriver à se trouver bien où il est un de ces jours.
 
Sinon, j'avais trouvé un livre qu'il avait vraiment apprécié et qui m'avais permis de mieux comprendre son "fonctionnement".
Je le recommande à ceux qui ont du mal à trouver leur place malgrès leur "capacités". Çà s'appelle Trop inteligent pour être heureux

Alors désolé mais aller jusqu'au bac sans forcer puis réussir les études sup en glandouillant ce n'est absolument pas ce que j'appelle être surdoué, les étudiants dans le même cas se comptent par dizaines de milliers...

J'ai justement dit que je pensais pas être tout à fait dans la catégorie "surdouée".  
Mais si je n'ai pas sauté de classe en primaire c'est uniquement parce que mes instits et mes parents ont vu que je ne me sentait pas malheureuse même quand je savais déjà faire ce qu'on voyait en cours : entrée en dernière année de maternelle en sachant partiellement lire par exemple ou en sachant faire au bout d'1 cour ce que les autres mettaient plusieurs séances à assimiler (au collège je ne comprenais pas pourquoi il fallait ré-expliquer Pythagore encore et encore alors que je trouvais ça d'une simplicité enfantine après qu'on me l'ait expliqué).
J'ai fait toute ma scolarité en tête de classe (pas toujours la première mais en tout cas jamais loin) en me demandant ce que les autres trouvaient de difficile dans ce qu'on leur demandait.  
J'ai passé mon bac sans avoir ouvert un seul bouquin de révision et en ayant passé toute une partie des cours en pleine déprime à me demander ce que je faisais sur cette planète (les angoisses existentielles classiques d'adolescente mal dans sa peau).
J'ai passé 2 super années d'IUT en étant dans le peloton de tête (mais je ne me sentait pas attirée par une école d'ingé pour la suite - trop de matières qui ne me plaisaient pas).
J'ai fini major de promo en IUP et Master sans avoir à forcer (mais là il a fallu que je bosses un peu plus parce qu'il y avait plein de trucs à rendre ou présenter et que les sujets me plaisaient - mais sans avoir besoin de bosser avant les partiels). Heureusement, j'ai réussi à ne plus me sentir coupable quand des copains de classe me demandaient combien de temps j'avais passer à bosser mes partiels (et qu'ils me disaient avoir bosser plusieurs jours à relire leurs cours et refaire les exercices) et que je leur répondait que je n'avais pas ouvert mes classeurs (la seule fois où j'ai voulu réviser, ça m'a vraiment plus embrouillé qu'autre chose).
C'est sur, les profs m'ont toujours plutôt vu comme une élève studieuse parceque je venais toujours en cours, que j'étais polie et que je ne foutait pas le bordel (ils me reprochaient juste d'être parfois bavarde et de distraire mes camarades).  Et qu'en général quand je n'écoutait pas leurs cours, je m'occupait tranquillement dans mon coin sans les déranger (petits dessins, rangement dans mes classeurs, ...)
Donc je ne suis peut-être pas une surdouée mais si je n'ai pas plus de facilité que la moyenne, comment se fait-il que ceux qui travaillaient sérieusement et régulièrement n'étaient pas devant moi ?

 
"Pas être tout à fait ?" ?!
Tu es apparemment tout à fait ordinaire, moyenne haute.

moi j'ai bien aimé le lycée, j'ai pu en profiter, vu qu'on y fait pas grand-chose, pour apprendre les langues, pour faire pas mal de sports, pour approfondir pas mal de trucs en histoire-géo (le seul truc intéressant avec la philo en fait )
 
Tain de la stimulation en prépa alors que c'est du bachotage. En école j'ai vu des trucs bcp plus intéressants, souvent hors cours.
 
Sinon je m'en rappelle pas mais apparemment j'ai eu des problèmes quand j'étais petit, apparemment mon pédiatre a fait un peu de la merde en disant à mes parents que c'était pas bon signe de marcher et parler trop tôt
 
Ai sauté une classe, pas trop capable d'évaluer l'impact, mais me suis fait des bons copaings...
 
Après effectivement "surdoué" c'est vague    
 

si on se limite à la notion de QI, ils fixent à combien pour être surdoué ?
 
j'avais entendu des scores >200 pour certains  

Un site très intéressant sur les adultes HP (ex enfants surdoués) :
 
http://www.douance.be/douance-ahp-accueil.htm

Seulement pour le QI, c'est > 130

 
les remarques du site douance m'ont fait sourire, certaines pouvant s'appliquer à tout le monde si on est un peu plus flou sur la démarche ^^

Où on apprend qu'HFR est peuplé de surdoués    
Pour moi un vrai surdoué c'est par exemple docteur Dooggy, bachelier à 6 ans  

 
Y a un descriptif plus détaillé, que j'ai soumis à un ami surdoué, il rentrait dans 90 % des propositions : http://douance.be/douance-ahp-self-test.htm

c'est de cette page dont je parlais en effet

 
 
attention, dans l'absolu surdoué =/= précoce

 
  +1

Je suis loin d'être un surdoué mais en raison de mes parents j'avais certaines facilités dans les études aux débuts (ce n'est pas resté bien longtemps), ce qui a développé une propension à la glande et à la stratégie du moindre effort.
Mais c'est vrai que le système scolaire français est plutôt chiant, beaucoup trop théorique et rigide.  
Je n'ai rencontré qu'un seul prof de math (en école d'ingé) qui a su (comme il le disait lui même) réveiller la curiosité intellectuelle des étudiants. D'ailleurs dans un examen, on avait une question bonus supplémentaire sur un sujet que nous n'avions jamais abordé mais dont nous avions à priori les outils pour résoudre. Je sais pas quelle merde j'ai pondu mais mon cerveau n'a jamais autant tourné qu'à ce moment là.

Alors moi je ne suis pas un surdoué, mais j'ai un très bon ami qui ressemble assez à la caricature du surdoué : depuis la 5ième il va en cours de manière (très) épisodique, pour son brevet des collèges c'est moi qui suis venu le sortir de son lit sinon il n'y aurait jamais été, il rend des copies blanches, il a arrêté l'école au lycée, il critique l'éducation nationale, il n'a aucun gout à l'effort, il est assez "particulier", il est prétentieux, il trouve toujours des raisonnements bizarres pour expliquer son comportement, il cherche toujours des formations assez étranges qui ne lui conviennent pas...

Je précise que connaissant son "vrai" niveau scolaire, je peux dire qu'il aurait pu décrocher un bac S sans beaucoup se fatiguer. Après, il n'a jamais passé de tests de QI donc je ne peux pas certifier que c'est un surdoué mais en tous cas il en a pas mal de caractéristiques.

Franchement, j'ai 2 théories :

• Prendre en compte 2 paramètres, la fainéantise et le normal / surdoué. Donc à partir de là on peut voir 4 combinaisons.
• Reprendre la théorie des surdoués, c'est à dire c'est trop facile, donc je m'ennuie, donc je rate. Mais dans ce cas là, comment peut on échouer si c'est trop facile ? C'est ça que je ne comprends pas. Par exemple, si moi on me met dans une classe ou il faut relier des chiffres par ordre numérique pour faire un dessin. Pour moi, c'est beaucoup trop facile, je n'y vois aucun intérêt, ça m'ennuie mais au moment du contrôle je réussis car ça fait toujours une bonne note à prendre facilement même si j'estime que ce n'est pas de mon niveau.

Mon pote lui, il rendait des feuilles blanches à ses contrôles et il n'a jamais voulu / pu m'expliquer pourquoi il faisait ça. J'aimerai bien qu'on m'explique pourquoi rater si c'est trop facile.

 
 
euuuuuuuuuuuh bin ya des surdoués qui réussissent hein
 
bientot faudra etre un cancre pour qu'on vous soupconne d'avoir un gros qi