Reprise du message précédent :

 
tu as entièrement raison  
mais deja si on me dit y'a de grandes chances que ou alors il y a tres peu de chance que ....ca peut m'aiguiller dans mes reflexions  

"Je les récupère lundi ou mardi, tu les verras à leur retour telle date."
Basta.

Clairement, donner des indications de localisation sommaires suffit. Et puis quoi encore, un traceur gps pendant vos sorties ? "Je vais dans telle région", c'est suffisant à vous localiser en cas de problème.
 
Par contre, même si elle le sollicite, ne pas permettre à ton ex de voir les enfants pendant ta période de garde ! C'est ta période, tu dois pouvoir souffler et les enfants vivre leur vie avec toi. Elle ferait le contraire ? J'en doute fortement.
Éventuellement un appel visio rapide si les enfants le demandent, et basta.

Ah ben oui je les vois pendant sa période vu qu'elle veut me les refiler pr aller à la salle.

Merci à tous, je demande pas à être plaint ou quoique ce soit, je veux juste l'écrire qq part.

Donc elle te permet de les voir par intérêt pour elle, pas pour te faire plaisir ou pour eux. Je reste donc sur mon affirmation.

 
Tu te rends bien compte que ça ne correspond pas du tout à "elle accepte que je voie les enfants pendant sa période de garde si je le demande", n'est ce pas?
 
Ce que tu cites là ca correspondrait plus à "quand elle a besoin d'un baby sitting gratuit pendant sa période de garde, elle fait appel à moi".

dans n'importe quel jugement ca sera indiqué que les periodes de garde sont comme ci ou comme ca  
donc ce sont tes périodes c'est toi qui décide ce que tu en fait.

Bon, petit update de la situation avec ma fille (j'ai lu vos réponses mais n'ai pas pu prendre le temps de répondre).
J'ai fini par dire définitivement non à mon ex pour le rdv de ma fille quand on devait partir. Avis pris auprès de mon médecin traitant, de ma belle-mère gynéco et de ma belle-soeur pédiatre, il n'y avait aucune urgence. Et à fortiori si le rdv devait attendre un mois (le 30 avril c'était un mois après le début de cette histoire), ça pouvait sans problème 15 jours de plus.
Donc, j'ai tranquillement expliqué la situation à ma fille au retour de chez sa mère samedi (elle y a passé la première semaine) qui était énervée que j'ai dit non sans me justifier auprès d'elle (ma fille).
Ca semble être passé, et après une longue discussion avec elle, je lui ai dit qu'elle pouvait aussi pour elle (pas pour les 2 plus petits) remettre en cause la résidence alternée (balle dans le pied, toussa) parce qu'elle en a terriblement marre de devoir préparer sa valise tous les dimanches et elle voudrait avoir une seule maison.
On verra ce que ça donne, peut-être que l'information préoccupante pourra lever des lièvres...
En tous cas, ça m'a aidé (vos messages) à me rassurer, et je me rends compte que 6 ans après la séparation, même si on arrive à peu près à discutouiller avec mon ex, elle continue à faire feu de tous bois.
Donc, plus que jamais, le cadre est le cadre et je ne lui laisse à elle aucun cm.
Maintenant on verra comment ma fille se saisi ou non de mon fusil pour tirer dans le pied de sa mère ou dans le mien.
L'autre sujet brulant va être sa scolarité. Elle ne veut absolument pas retourner dans son lycée à la rentrée de septembre et aller dans le privé pour avoir un petit établissement avec moins d'élèves. Sa mère est évidemment à fond de dedans (elle a dirigé un collège hors contrat pendant quelques années tout en étant en dispo de son métier de prof des écoles...), je suis bien plus réticent, donc on verra comment ça se danse.
Déjà pour le moment ma fille dit aller un peu mieux, se sentir moins fatigué et moins angoissée. Chaque chose en son temps.

Et j'ai envie de répondre à Latiole...
Si tu veux lui donner l'adresse de tes vacances, c'est à toi que ça appartient. Simplement, il ne faut faire les choses qu'en fonction de ce que tu es d'accord pour faire dans le cadre qui est fixé. Avec bien sûr le point de mire qu'elle semble avoir de vouloir tout contrôler, toi y compris. Si tu veux continuer dans ce sens, vas-y, mais tu risques de mettre longtemps à te remettre.

Tu devrais faire le test tiens : tu lui demande si exceptionnellement, pour un truc en particulier, tu peux les avoir 2h sur sa garde à elle.
Si elle dit oui --> attitude constructive cool
Si elle dit non parce que c'est sa garde --> c'est noté, mais sur sa garde à elle désormais elle se débrouille pour le babysitting.
Je ne crois pas une seconde à la constructive  

Merci de ton retour zim zum, tu avais l'air tellement stressé. Contente que ça aille mieux et puis ce que tu dis là
 

 
C'est quand même un grand pas. Effectivement la prise du traitement et/ou du contraceptif pouvait attendre un ou deux cycles. Pour ce qui est de l'orientation et/ou du changement de garde c'est en effet un gros sujet à venir. En attendant espérons que le psy et le futur traitement pourront être mis en place de façon pérenne et aideront ton ado.

 
Version alternative : il commence pareil (voir les enfants sur son temps à elle) et elle refuse (non constructive) il peut continuer à jouer le baby sitter pour voir plus ses enfants, mais comme elle refuser de la laisser les voir sans raison sur son temps à lui.
 
 
Tiens, j'en profite pour une petite actualisation de la situation :
Madame, après 2 reports et 4 mois dans les dents, a enfin rendu ses conclusions. Elle reste sur ses positions : grosse PA, 30k€ de PC, garde "classique" des enfants en sa faveur et elle veut racheter la maison sans dire comment. Mon avocate a souligné que son dossier est vide de tout nouvel élément.
Elle n'a pas actualisé ses ressources et charges, choses que mon avocate a souligné.
 
De mon côté, on a aussi rendu les conclusions : échanges prouvant que ses choix de carrière (ou plutôt d'absence de carrière) sont communs et non contraints, donc ne justifient pas la PC. Preuve de ma capacité à accueillir les enfants (logement, disponibilité), de mes activités avec eux (photos), témoignages sur mes capacités parentales, pour appuyer la demande de GA. Et comme je suis au chômage depuis fin 2024, demande d'annulation de la PA en cas de GA. Description de mon organisation (proximité des écoles) et extraits d'échanges avec madame autour des enfants pour justifier de la faisabilité de la GA.
 
Mon cadet a demandé par écrit à être entendu pour exprimer son souhait de GA. Lors de l'audition, il a dit "je voulais la GA pour voir plus papa, mais je ne suis plus sûr de vouloir la GA car maman dit que papa va me frapper"... Chose dont mon avocate s'est saisie pour justifier que leur mère essaie d'influencer les enfants contre moi.
Enfin, mon aîné veut maintenant la GA, mais refuse de l'exprimer par crainte de sa mère. Toutefois, il a déclaré que je lui manquait devant témoins (donc témoignages ajoutés au dossier) et me laisse des mots pour me dire que je suis un super papa, qu'il m'aime, etc... Mots ajoutés au dossier.
Enfin, lors d'un spectacle des enfants, leur mère leur a interdit de venir me voir, ce qu'ils ont raconté à un proche... Nouveau témoignage ajouté au dossier.
 
Tout ceci a énervé madame qui s'en est prise à moi devant les enfants, me reprochant mon dossier. Elle s'attendait à quoi, que je laisse faire sans me défendre ?
 
J'ai enfin pu voir la psy de mes enfants... À qui leur mère s'était bien gardée d'expliquer la situation conflictuelle. Elle comprend donc mieux l'attitude destructrice de mon aîné, et a pu l'aborder différemment ce qui paie car il s'ouvre enfin.
 
Bref, ça reste conflictuel. On attends la date des conclusions en retour de madame, mais je suppose qu'elle va encore tout faire pour reporter au maximum. Bah oui, je paie et ne voit pas beaucoup les enfants pendant ce temps-là.
 
Sinon, on a eu un gros conflit autour de notre voiture donc j'ai l'usage, accordé par le JAF en mesures provisoires. Grosses réparations, supérieures à la valeur du véhicule, sans compter de l'entretien cher (distribution) à faire prochainement. Le véhicule ne passait plus le contrôle technique, j'ai donc voulu le mettre à la casse, ce à quoi madame s'est opposée. J'ai finalement trouvé un epaviste qui le reprend pour quelques centaines d'euros, madame y consent enfin avec fortes remarques acerbes.
 
J'ai hâte que ça se finisse, mais malheureusement c'est parti pour durer.

Donne une fausse adresse mais qui est plus ou moins loin de la vraie adresse.  

on sera 69 rue de la connasse  
69666 vatefaire

Je pense que face à quelqu'un comme l'ex de Latiole il est malheureusement indispensable de mettre les choses au clair en commençant en étant 100% rigide. Quand ELLE aura fait un pas vers un peu de souplesse alors il sera possible de discuter. Si Latiole fait preuve d'un peu de souplesse en 1er, elle va systématiquement en profiter pour lui marcher dessus.
C'est dur mais pas d'autre solution ama.

Pour donner une dose d'espoir a tout le monde, mon ex part en vacances 2 semaines et m'avait demande de gerer notre enfant. Aucun probleme, on s'arrange a chaque fois.
 
Elle m'a demande l'adresse ou on serait Je lui ai donne, elle ecrit donc des lettres et des cartes postales a mon fils pour lui raconter ses journees. C'est chouette, ca fait des moments de partage, il est content d'aller ouvrir son courier.

 
Sauf que ton ex n'est pas l'ex de Latiole.
 
On ne dit pas que toutes les relations entre ex se passent mal hein. On dit qu'il y a des gens à qui on ne peut pas donner une miette parce qu'ils ne veulent que le gâteau en entier. Certains ne savent pas faire de compromis, de concessions, c'est comme ça.

Je suis d'accord, je me permets d'apporter une perspective differente et une nouvelle piere a l'edifice. Il y a des divorces qui se passent bien.
 
Dans le cas de Latiole et Pistouille on sait qu'en face ca lache rien et que malheureusement les enfants trinquent.

J'ai l'impression que tu as repris de l'énergie et de la combativité et que les perspectives sont moins moroses qu'avant.  
J'espère que tout ça ne durera plus trop longtemps...
Tu as envisagé la suite avec ton avocate si tu retrouvais un emploi avant le jugement ?

 
C'est vraiment bien quand ça se passe comme ça. C'est l'enfant qui prime, ça devrait être là norme des comportements adultes. C'est cool pour toi, malheureusement c'est pas tout le temps comme ça.
 
 

 
Ma nouvelle avocate a orienté le dossier d'une manière qui me plaît (moins agressive envers madame, plus centré à prouver ce que j'ai et que je peux encore amener). Sans compter que mon ex a l'air à bout d'arguments, elle n'apporte plus rien à son dossier et fait des erreurs bêtes (interdire aux enfants de venir me dire bonjour, manipuler tellement grossièrement le cadet que ça ressort en audition).
Ça redonne un peu espoir. Bon, par contre financièrement je suis dans la mouise : j'ai de quoi tenir 5 mois, pas plus. Et il y a la question d'éventuels nouveaux frais d'avocat. C'est la difficulté. Heureusement, j'ai une famille derrière pour m'aider si ça s'éternise.
Mon avocate m'a fait comprendre que rester au chômage sert mon dossier pour l'instant (pour la PC, pour la PA et pour annoncer ma disponibilité pour les enfants). Et comme j'ai 18 mois d'indemnités potentielles...

Oui j'ai beaucoup de chance qu'on fasse tous les deux passer le bien être de notre enfant au premier plan. Même si ça m'a énormément coûté au début, je suis aussi content de pas avoir déclenché une guerre quand j'ai découvert son adultère. C'est dur de rester dans le respect et ravaler son fiel quand on se sent bafoué et humilié.

Par contre je me rends compte à quel point ça a aidé dans le long terme. Évidemment j'espère ne plus jamais avoir à revivre cette situation mais si ça devait recommencer j'essaierai de me souvenir de cet épisode et appliquer les mêmes méthodes.

petite question pour les impôts, pour les frais de garde, pour la partie ou on était pas encore séparé, je déclare la moitié non?

Il faut surtout que vous vous mettiez d'accord  puisque les déclarations peuvent être comparées.
 
Je te conseille de demander sur le topic IR, il y a des agents de la DGFIP de très bon conseil.

j'ai fait tout le calcul, je peux lui donner son montant pour la partie commune  
 

tant que vous etes d'accord ca ira oui

autre question, pour l'allocation rentrée,  
 
on est d'accord que un seul la touche via la caf, mais si l'autre parent pourrait en bénificier aussi, celui l'a touche donne la moitié? ca doit etre dans la convention?

Pour la CAF les prestations peuvent être versées à 50/50 il me semble.

 
Uniquement les allocations familiale et non les prestations familiale

Seul un parent la touche.
Soit vous arrivez à vous mettre d'accord pour partager soit non auquel cas celui qui reçoit garde tout.
Ici, c'est mon ex qui l'a reçoit donc elle paye l'intégralité des fournitures scolaires. Pour le reste on partage (les activités notamment).

Voilà, il faut se mettre d'accord et idéalement prévoir un écrit dès le début.
Mon ex la reçoit, considère que c'est un revenu propre et me demande de payer plus que lui pour le matériel scolaire.

edit : ce qu'il faut comprendre aussi c'est que même quand on est dans notre bon droit, on ne va pas faire intervenir la justice au moindre désaccord. Donc il est vraiment préférable d'anticiper et de trouver des arrangements au plus vite.

Ca faisait longtemps que je n'avais pas posté, mais je vous livre quelques informations sur la situation actuelle:
- samedi dernier, ma fille a vu son père; elle est encore revenu en pleurs
- son père a eu un coup de sang, en début de semaine, et remet en cause, par mail, ce qui a été fait pour notre fille, aussi bien sur le plan médical que scolaire, sans aucune proposition de sa part (la très pratique méthode du "FOKON YAKA"
 
Et bien, ca y est, j'ai enfin eu RDV avec le pédopsychiatre aujourd'hui, en visio, j'attends son certificat attestant de l'état psy de ma fille. Semaine prochaine, direction la police, et envoie des documents à mon avocat.
 
La suite au prochain numéro

J'ai mal à voir pourquoi ton avocate considère que des choix d'absence de carrière influeraient sur la PC au motif qu'ils auraient été. communs. L'article 271 du cc mentionne :
" Les conséquences des choix professionnels faits par l'un des époux pendant la vie commune pour l'éducation des enfants et du temps qu'il faudra encore y consacrer ou pour favoriser la carrière de son conjoint au détriment de la sienne ; "  
sauf que si ces choix ont été communs, la prise de décision est forcément personnelle puisque personne ne peut signer une lettre de démission à la place de quelqu'un d'autre.
C'est plutôt dans la 1er phrase de ce même article que tu pourrais trouver ton salut :
" La prestation compensatoire est fixée selon les besoins de l'époux à qui elle est versée et les ressources de l'autre etc... "
Cette phrase montre que c'est le besoin qui détermine la somme (et ta capacité à la payer). Le besoin doit donc être détaillé dans ses conclusions pour justifier sa demande sachant que le besoin ne peut pas être celui du maintien du niveau de vie puisque le divorce met fin au devoir de secours (et aux charges du mariage). En fait, si elle est en emploi, a priori on peut penser qu'elle est en mesure de satisfaire ses besoins. Par contre, si elle est en formation pour acquérir une qualification professionnelle, c'est un élément susceptible de justifier une aide le temps de la formation : donc PC

Petit update pour ma grande qui s'est scarifiée et nouvelle question...
 
Il y a un mois environ, sa mère m'avait demandé si elle pouvait garder ma fille le samedi 12 après-midi (les enfants devaient revenir chez moi le 12 à 14h pour le milieu des vacances) pour l'amener chez une "spécialiste de l'anxiété".
Je lui ai dit oui sur le principe, tout en lui demandant de m'informer du nom de cette personne, ce qu'elle a refusé. Devant mon insistance, et bien que je dise que j'avais donné mon accord, elle a décidé d'annuler le rdv. Me disant qu'elle ne voulait pas me donner le nom de cette "spécialiste" parce qu'elle avait peur que je l'utilise contre elle.  
 
Dont acte.
 
Hier, j'apprends que ma fille n'est pas allée au lycée, pour assister à un rdv avec cette personne "spécialiste de l'anxiété". Visiblement, elle va donner à ma fille des "outils" pour reconnaitre quand l'anxiété monte et arriver à la réguler. D'autre part, pour lutter contre les carences en fer de ma fille, elle veut lui donner des compléments alimentaires à base de plantes pour lui permettre de réguler ses cycles menstruels et diminuer le flux sanguin. Le but étant que ma fille puisse se passer de sa supplémentation en fer le plus vite possible, supplémentation qui a été prescrite par mon médecin traitant devant les résultats de la prise de sang, qui ne sont malgré tout pas au point de montrer une anémie.  
Sa mère refuse alors toujours de me donner les coordonnées de cette personne, me répétant qu'elle ne veut pas que je l'utilise contre elle. Mais elle me dit que le "traitement" de ma fille devra être le mieux suivi possible et que je devrais donc m'assurer, quand elle sera chez moi, qu'elle prenne bien ses compléments...
Ma fille est rentrée chez sa mère mardi en fin de journée, et était probablement au courant de ce rdv le lendemain. Elle ne m'en a rien dit, s'est interdit d'en parler, et étrangement ça a pas mal fritté ce weekend pendant lequel elle a mal dormi (cause aussi changement de chambre pour laisser son grand lit à ses grand-parents qui étaient là ce weekend).  
Et tout ça se fait dans le contexte où, suite à ses scarifications, le lycée a fait une information préoccupante, et pour laquelle nous n'avons pas encore été contactés.
 
Ma question est donc la suivante : qu'est-ce que je fais avec tout ça ? Est-ce que j'appelle le département pour dire que je suis inquiet et perdu, tout en sachant qu'il y a une IP ? Est-ce que j'appelle le juge pour enfants ? Est-ce que je leur raconte que la petite de 6 ans et demi dort encore avec sa mère parce qu'elle aime bien mettre ses pieds froids entre les cuisses de sa mère parce qu'elles sont chaudes et que ça lui réchauffe les pieds (ce sont ses mots, pas mon interprétation) ?  

femme pouic adepte des shamann et de l'oméopathie...
 
c'est chaud, j'ai pas de solution légale à conseiller

La il faut que tu prennes conseil auprès d'un avocat

Je n'ai pas tout suivi cette affaire.
Mais en première intention, j'aurai tendance à dire, qu'il faudrait essayé de rétablir un canal de communication qui soit dans un objectif d'être productif et bienveillant, plutôt que d'être dans une sorte de méfiance et guerre de tranchée.
 
Sa fille étant au lycée, et donc quand même capable de faire des choix pour ELLE, le mieux ça serait d'éviter d'être trop négatif sur le principe de cette spécialiste, et de faire une discution à 3 en partant du principe de laisser le contrôle à sa fille quant à la voie de traitement prise. Que ce soit la personne actuellement vue, un psycologue ou tout autre forme de soutiens et aide psycologique.
Avec comme point de départ de terminer le traitement prescrit par un médecin généraliste sur la base d'analyse sanguine, puis de voir ce que ce traitement à base de plante peut apporter ou non. (probablement pas grand chose, mais ne sous-estimons pas les effets placebo non plus).
 
C'est sans doute naif comme position. Mais j'ai toujours cet idée - personnellement - qu'une fois que l'on s'est séparé, c'est fait, et que l'on peux arrêté de se faire une sorte de guerre froide inutile.

Alors, je crois que je suis assez d'accord sur l'idée, sauf que c'est forcément contextuel et que la réalité aujourd'hui c'est que mon ex fait comme elle veut quand elle veut et n'hésite pas à dire que le traitement du médecin c'est de la merde et que ça a aussi un impact sur ma fille.  
En ce qui me concerne, je l'ai amené aux urgences, au rdv post-urgence, j'ai pris contact avec le CMP, lui ai trouvé une psy, l'ai amené chez le médecin généraliste, accompagné faire une prise de sang, le tout en informant sa mère à chaque étape et lui demandant son accord.  
Il y a quelques années, j'ai accompagné mon fils chez un psy, parce qu'il me semblait important que quelqu'un l'évalue. A la suite de quoi sa mère s'est opposée, j'ai donc arrêté le suivi. Une seconde fois je l'ai amené chez une autre psy, cette fois sans en parler au préalable à sa mère pour que son avis n'influe pas sur l'envie de mon fils d'y aller ou non, il a accroché, la psy a dit qu'il serait intéressant que mon fils y aille. Après en avoir parlé à sa mère elle a donné son accord mais ça a toujours été sur mes deniers (elle a refusé de le prendre en charge).  
Dans tous les cas, elle avait les noms, les coordonnées, et toute latitude pour prendre contact avec les pros.
 
Là, je n'ai rien... Ma fille va être suivie par quelqu'un que je ne peux pas contacter, quoi que je pense de la "spécialité". Le préalable du fer, pk pas, mais là aussi, ça ne semble pas être le sujet qu'elle met en avance.
 
Du coup, je suis inquiet pour ma fille, vraiment, parce que :  
 
 - elle est suivie par quelqu'un avec qui je ne peux pas échanger à son sujet
 - je ne peux donc pas "investir" cette piste pour en discuter avec elle et justement nourrir un discours positif, quoi que j'en pense, tant que ça peut lui faire du bien
 - je ne peux pas m'opposer, puisque de toutes façons mon ex a mis le pied dans la porte et qu'elle m'a dit clairement qu'elle fera ce suivi quoi que j'en pense
 - je n'aurai aucun document avec une posologie de quoi que ce soit
 - et le pire : ma fille a la pression de sa mère pour qu'elle ne m'en parle pas
 - et à côté de ça, il y a tous les discours négatifs que sa mère porte à l'égard de ce que j'ai mis en place de mon côté (la supplémentation en fer c'est de la merde parce que ça constipe, l'atarax c'est dangereux parce que notre fille va être accro et va passer sa vie sous médoc, elle ne s'est pas "scarifiée" mais elle a fait une TS, un rdv chez la psy tous les 15 jours c'est intrusif dans sa vie privée...)

Et je suis inquiet pour aussi toute la mouvance new age dans laquelle baigne mon ex et donc les enfants, c'est certain.
Je suis inquiet de qui peut bien être cette personne, dans la mesure où si mon ex m'en parle je pourrais l'utiliser contre elle.  
Je suis inquiet parce que ma fille a déjà pris des compléments alimentaires sans que sa mère m'en parle (des gommes au magnésium notamment, que la petite est allée chercher dans la chambre de sa soeur l'autre jour comme un bonbon... Et comme je ne savais pas qu'il y avait ça, elle aurait pu vider la boite...)

Je pense que je n'accepterais pas que mon enfant mineur (est-ce le cas ? ) consulte un "professionnel" de "santé" (je ne sais pas quel mot mettre entre guillemets non identifiable.
 
Et pour la mauvaise tolérance au médoc, j'ai vécu ça sous Tardyferon. Un passage au Timoferol (me semble-t-il - j'ai fait une recherche infructueuse à ce sujet sur Geluches, où je suis certaine d'en avoir parlé à l'époque) avait complètement résolu le problème.

Ouch, je compatis et ça fait douloureusement écho à ma situation actuelle.
 
Tu peux toujours signifier à ton ex par écrit que tu n'es pas d'accord avec un suivi sans savoir qui est le praticien. Elle n'aura pas le droit de continuer, même si j'ai bien compris que ce n'est pas ça qui va l'empêcher.  
Il me semble assez évident que si elle dit que ça peut être utilisé contre elle et qu'elle s'attend à ce que tu refuses, c'est qu'il y a de bonnes raisons à ça.  
Si tu arrives à trouver de qui il s'agit, tu peux le contacter et indiquer ton refus.
Est-ce qu'un nouveau rdv avec ton généraliste pour que lui essaie de raisonner ta fille sur son suivi et qu'il puisse au moins essayer de la convaincre de ne pas arrêter son traitement est envisageable ?
 
Pas trop de solution malheureusement parce que la justice n'a pas les moyens d'agir à temps pour des choses comme celles-ci, et que sans l'accord de ta fille tu ne peux pas faire grand-chose.

C'est compliqué. Les compléments au magnésium ne m'inquiéteraient pas plus que ça et normalement ta fille est assez grande pour faire attention à ses affaires et à ne pas laisser des compléments à portée d'enfants.
 
Par contre un spécialiste dont ton ex ne veut pas te donner le nom et dont tu pourrais " te servir contre elle" ça sent très mauvais oui. Je pense que je n'autoriserais pas.

c'est être extrèmement naif dans la naiveté là...
 
... d'autant plus quand en face la mère ne jure que par les "médecines alternatives"