Reprise du message précédent :

Tu as intégrés l'inflation ?  

en général c'est indexé sur insee prix à la consommation ...

Elle est en aide juridictionnelle ?

Non
En plus pour l'appel elle a changé d'avocat et son cabinet à la réputation d'être des gros zenculays (et cher).

Je sais pas si vous pouvez me conseiller vite fait.

Je vais pas revenir sur les détails, sur la deliquescence latente de notre relation (enfin, elle n'existe plus). Ma famille : 900km de chez nous, sa famille 1500km. Normalement, chaque année c'est deux fois dans chacune des deux familles. Cette année, déjà une fois les deux. Dans une semaine, on doit aller dans la sienne.

Suite à un conflit cet été avec ma mère, elle refuse d'ores et déjà de venir à Noel dans ma famille. Elle m'annnonce définitivement qu'elle n'ira pas.

Question: on doit aller dimanche dans sa famille pour 10 jour (avion + train avec les 2 gamins).
Elle m'a déjà dit que si je ne voulais pas venir, je ne viens pas. Elle me l'a posé par écrit, suite à ma demande. Maintenant, si jamais, je choisis de ne pas venir et qu'elle ne vient effectivement pas en décembre. N'y a t-il pas un risque que cela se retourne contre moi si en cas de divorce si ce sujet est abordé ? Qu'on me reproche d'être le premier à avoir choisi de ne pas venir ?

Pcq là, c'est "Ne viens pas, si tu veux pas, de toutes facon je n'irai pas en décembre dans ta famille". Puis devant un juge, ce sera "C'est lui qui commencé par ne plus venir".  

Si tu trompe ta femme cela n'a aucune incidence sur le divorce.

Alors les histoires d'aller voir ou pas la belle mère ...

Ça change absolument rien. Quand on se sépare on ne va plus dans la famille de l'autre.

Non, pas de tromperies dans notre cas. Enfin pas de ma part (et je ne pense pas de son côté non plus)  

On est pas encore séparés ou divorcés. Il y a seulement eu des renseignements sur le divorce de ma part auprès d'avocats, aucune procédure engagée pour le moment.

Je veux juste être sûr que cet argument d'une situation banale à la con ne vienne pas peser contre moi en cas de divorce, genre je suis celui qui a fait exploser la famillle en ne faisant même pas le service minimum d'accompagner sa femme et ses deux gamins dans un périple de 3000km aller-retour.

Si tu as déjà contacté un avocat, pose la question. Mais à mon avis cela ne change rien.

 
Oui déjà fait, puis message automatique, pas là avant lundi
Mais je préfère avoir plusieurs avis.

C’est certain que cela n’a aucune incidence sur un divorce. Et puis quoi encore ?

 
Sais tu qu'il n'y a pas d'obligation légale d'aller voir qui que ce soit à Noël?
 
Je me demande si ta question est sérieuse quand même.  
 
Le seul "souci" qu'il pourrait y avoir c'est si l'un de vous empêchait les grands parents de voir leurs petits-enfants (et je ne parle pas de ne pas les voir à Noël mais de ne plus les voir du tout) car les grands parents peuvent attaquer pour avoir un droit de visite.

Latiole, si tu en es déjà à te poser cette question, je trouve que ça augure d'une séparation difficile...

 
Alors, pour remettre les choses dans le contexte, je me méfierais des réponses ci-dessus, Latiole aurait dû préciser qu’il est en Allemagne. En France, oui, aucune incidence. En Allemagne, même si sa femme n’est pas allemande, je me méfierai de la vision « old school » (pour être polie) des juges, qui, par défaut, accordent la garde à la mère et pas une garde partagée par exemple. Donc tout prétexte est potentiellement bon à prendre et je n’aurais confiance qu’en la réponse de l’avocat.  
 

 
Bof. Filtre sur ses messages, le divorce / la séparation de Latiole c’est l’arlesienne depuis des années. Entre ses premiers messages qui faisaient très peur et où tout le monde lui a conseillé de fuir / divorcer, et son poste d’aujourd’hui, il a tout de même lancé un 2ieme enfant et acheté une résidence principale avec sa future ex-femme  

Voilà. Il y a des couples qui vont bien dans lesquels le conjoint va aller voir sa famille seul (car pas le temps ou l'envie)

Et ouais on n'est pas à l'abri que Latiole fasse un autre enfant avec sa femme

En même temps, faut avouer que c’est un peu le « comic relief » du topic Latiole  
 
@Latiole: je te taquine mais j’espère que tu ne le prendras pas mal, ce n’est pas le but.

 
On sait pertinemment que dans les batailles pour les gardes d’enfants, tous les argument sont utilisés, et je veux m’assurer que le fait que j’ai été le premier à ne pas suivre ma femme et les enfants dans un périple de 1500km avec avion et train (donc en gros laisser ma femme se démerder seule) soit utilisé contre moi. Mais vos réponses sont claires, ce ne devrait pas être le cas.
 
 
 
Non, non je le prends pas mal. C’est bien pour ca que je n’y poste plus.

dit il en postant
 
Ca bouge chez moi, ma grande fille, bientot 17 ans, aimerait bien arrêter l'alternance père-mère et s'installer chez moi. En laissant un droit de visite à sa mère quand même, hein    
 
historique : après plein d'années où je n'avais qu'un droit de visite classique, depuis 2015 je bénéficiais d'un truc étendu s'apparentant à la garde alternée (la mère s'opposait par principe à la garde alternée).
Je me demande un peu comment faire, ou  même si faire quelque chose. A l'approche du bac l'année prochaine, je pense que ce serait pas mal qu'elle ait moins à naviguer pour se concentrer sur le boulot (lycée privé exigeant en terme de devoirs et de résultats).
 
Pour l'instant du coté de chez moi nous avons toujours dit à ma fille qu'elle pouvait venir quand elle voulait à la maison, et que c'était sans obligation. Mais c'est sans conséquence parce que la résidence principale n'est évidemment pas chez moi    
 
Ayant une convention en place avec sa mère, si jamais ma fille de 17 ans décide de ne pas aller chez sa mère un soir ou un week-end qui lui est dévolu, je pense que j'en serai responsable vis à vis des autorités, tout ca.
 
Cela signifie donc attaquer la convention... Bien sur, c'est une déclaration de guerre etc mais je suis déjà passé par là pour obtenir la garde étendue donc territoire connu  
 
C'est juste que cette fois-ci, ce n'est pas moi qui demande, mais l'enfant, donc je me demande un peu comment ça s'organise. Parmi vous, des gens seraient passés par là ?
 
(prochaine étape, reprendre contact avec mon avocate évidemment, mais vos réflexions pourront nourrir la mienne)

A 17 ans, si ta fille demande à vivre chez toi, et que tu envoies ça devant un JAF qui entendra ta fille, il y a peu de chance que tu ne l'obtiennes pas.
A son âge son avis sera considéré comme solide et éclairé.

L’arroseur arrosé  

et le temps que le dossier soit audiencé, elle aura 18 ans , donc il dira qu'il n'a pas à statuer sur la résidence  

 
l'idée étant de ne pas aller devant le juge, si possible, pour arriver à un accord. D'autant plus si la requete a de très fortes chances d'aboutir.
 
D'autant plus qu'effectivement, si l"on doit aller voir un juge dans le département du domicile de la mère, c'est mort, c'est le 93. Ma fille aura 25 ans avant de recevoir la convocation
 

voilà
Encore que. En fait, à 18 ans, il se passe quoi ? Ok, ma fille est majeure, mais pas autonome. Donc l'accompagner dans ses études, ok, mais la pension ? surtout si elle fait ses études en dehors de chez sa mère... ca devient quoi ?
Et coté résidence, elle ne peut pas vraiment choisir toute seule comme ca, de s'installer chez l'un ou chez l'autre, si ?
 
J'ai l'impression qu'il faut quoiqu'il en soit passer par le juge...

 
A 18 ans? Bah non, elle peut décider d'aller vivre où bon lui semble. Par contre vous devez la soutenir financièrement tant qu'elle n'est pas autonome.

Voilà.
Er pour la pension il me semble que tu peux lui verser directement aussi

https://www.service-public.fr/parti [...] its/F10435

J'ai l'impression que je n'ai pas fini de passer à la caisse avec ma fille... Elle va rester glander chez sa mère comme aujourd'hui en attendant la pension. Ca peut durer jusqu'à quel âge ce petit jeu ?

En parlant de pognon, je vois que sur ses relevés bancaires, elle reçoit chaque mois depuis août, 100 euros qui sont versés par la DRFIP (Direction régionale des finances publiques) de la région parisienne (on est en Bretagne).

Elle est prise en charge actuellement par la Mission Locale où elle est supposée suivre la Promo 16-18 à l'AFPA, peut-être est-ce lié ?

Vous avez une idée des conditions ce versement mensuel ?

Jusqu'à théoriquement qu'elle soit indépendante, c'est a dire avoir un salaire au SMIC + CDI.

Tu peux être indépendante avant. Je l'étais avec un contrat pro à 800 balles par mois (par contre, tu ne fais pas de folies )
Évidemment, hors Paris

 
Ou jusqu’au 25 ans et RSA non ?

Si elle ne fait aucun effort, hormis être inscrite à Pôle emploi sans recherche active, je devrais quand même payer ?

Si la situation n'évolue pas, je vais cesser de verser la PA lorsqu'elle aura 18 ans, il se passera quoi concrètement ? Ma fille devra saisir le JAF ? Je risque quoi en arrêtant d'autorité de payer ?

SMIC+CDI c'est ce qui est mentionné "de base" dans les décisions.

Tu risques qu'elle fasse une demande en aliments... Si elle fait rien tu risques rien.

Oui apres 25 ans, rsa

 
faut que je regarde ca de plus près, parce que derrière tout cela, il y a la demi part coté impots bien sur. Et même si elle décide d'habiter chez moi à 18 ans, je ne peux pour autant pas arrêter de verser la pension alimentaire de mon propre chef, d'après ce que j'ai compris : il faut passer par la case juge.
 

 
oui, sous conditions  
 
Bref, personne dans cette situation ici, je crois que je vais être le premier à essuyer les pâtres
Je vous raconterai

C'est extraordinaire qu'un gamin puisse légalement rester glander aux frais des parents, en l'occurrence à mes seuls frais

Parce que si ma fille me crache dessus, bien aidée par sa mère il est vrai, qu'elle m'écrive "tu m'a perdue, tu n'as plus de fille", que sa mère me tienne soigneusement à l'écart de toute décision concernant l'éducation, l'avenir et la santé de la fille malgré le partage de l'autorité parentale, madame n'oublie pas de m'envoyer un sms si je suis en retard sur la pension alimentaire.

Je pense que je pourrai compter sur elle pour me rappeler mes obligations financières.

La semaine prochaine je vais avoir enfin la décision du JAF suite à ma requête de janvier 2021, je ne sais pas ce qu'il va en sortir, la situation semble ne pas avoir de solution.
L'exercice de l'autorité parentale conjointe ne fonctionne pas, la réaffirmer donne implicitement l'autorité exclusive à la mère, avec tous les dysfonctionnements graves et avérés.
Me la donner comme j'ai demandé, je ne vois pas ce que je pourrai en faire si je n'ai pas la garde, et comme la fille ne veut pas venir chez moi, le juge ne me l'a confiera pas. Quelle décision le juge peut-il prendre ? Délicate situation.

Merci de m'avoir répondu fractal.

 
Ce qui est dommage c'est que le juge ne prenne pas la solution logique de dire : Puisse que ni votre fille ni votre ex compagne ne souhaitent que vous fassiez partit de la vie de celle-ci alors vous n'avez plus d'obligation financière envers elle.  

 
Et bien effectivement ta fille devra saisir la justice. Tu risques de devoir lui payer avec les arriérés.

 
Je vous rappelle que l'aliénatin parentale n'est qu'un concept fallacieux et inexistant.  

C'est surtout de continuer à l'entretenir alors que de son côté, elle ne fait rien. Sinon, je trouve normal de participer à son entretien, quelques soient les retours. Là, j'ai surtout l'impression d'être une vache à lait qui verse à fonds perdus, pour rien.
Et puis, verser une pension fait que je paye moins d'impôts aussi, donc ça ne me dérange pas trop de la verser. Mais pas dans ces conditions.
 

Dans ce cas, je provisionnerai sur un compte épargne, le temps que cela se fasse, si la justice est aussi lente qu'aujourd'hui, je devrais pouvoir mettre un an et demi d'intérêts de côté
 

Oui, en France on est un peu en retard à ce sujet. Mais sans parler de ce concept, j'ai bien senti lors de la dernière audience qu'à la lecture des différents rapports que le JAF a demandé, il avait parfaitement appréhendé la situation. Cette aliénation, sans être nommée, est décrite précisément dans 3 enquêtes différentes.
 
Outre la conséquence immédiate, celle de ne plus pouvoir voir ma fille, cette situation fait qu'elle développe des psychoses, ceci est également acté dans les rapports, et que plus tard, même si elles sont traités aujourd'hui -et ce n'est pas le cas- ma fille va les traîner toute sa vie. Et ça, cela m'est insupportable, encore pire de ne plus la voir et de subir son rejet. Son avenir est compromis à cause de la bêtise de sa mère et de l'inaction ou dysfonctionnement des acteurs supposés être là pour l'aider et l'accompagner.
 
Le dernier revers subit, la note inquiétante transmise au procureur par les services sociaux suite à un 2nd signalement à la CRIP et une enquête de 3 mois, qui demandait de saisir le juge des enfants pour la mise en place d'un AEMO que la mère refuse. Cette note a été classée sans suite par le procureur. Incompréhensible. Et cerise sur la gâteau, je n'ai même pas été prévenu du classement sans suite, j'ai dû contacter les services sociaux pour leur demander s'ils avaient des nouvelles de leur note, ce sont eux qui m'ont dit qu'il n'y avait pas de suite. 3 mois de travail de leur part pour rien. Pourtant, il y avait des trucs très inquiétants qui étaient décrits dans cette note, arrêt de la scolarité sans projet derrière, des signes de schizophrénie, ma fille entends des voix et voit des gens morts, sa mère y voit un don familial et trouve ça très bien, même si ça empêche ma fille de dormir la nuit. Un détournement de mineure avec la bénédiction de la mère, avec pilule du lendemain, la maman n'ayant pas jugé bon de faire une info sur la contraception ou les MST à ma fille. Et je vous passe les yeux cernés, l'état de maigreur suffisamment alarmant pour que ça soit noté par les AS. On marche sur la tête... Classement sans suite. Vous y comprenez quelque chose ? Désespérant.

Ça me paraitrait surprenant en effet..
Car tu pourras toujours dire que tu étais malade, que ton activité pro ne te permettait pas de t'absenter, etc.
 
 

A priori, pour la modification du versement de la PA il faut passer par une "voie officielle" : https://www.service-public.fr/parti [...] its/F10508

 
 
Lorsqu'un des deux parents s’éloigne géographiquement et que rien n'est indiqué sur la convention de séparation est-il vrai que les trajets doivent être partagé moitié /moitié?
l'un de vous aurait une experience là-dessus?  
 
 
 
contexte : ma sœur et son conjoint se sont separés il y a 2 ans, 2 enfants de 7 et 11,  DVH élargit ( 1 we/2 au père plus mardi soir-mercredi journée ) et à ce moment les 2 habitaient la meme ville de petite couronne parisienne.  
 
MAIS en juin le papa a decidé d'aller s'installer chez sa nouvelle compagne à 900 bornes (à coté de Bayonne )  
 
Au-delà du legerement cavalier du truc ( momes et mere ont été informés 2 jours avant le demenagement alors qu'il y avait un GROS impact sur le DVH ) se pose donc, désormais, le soucis des trajets mon ex beauf affirmant que ma sœur doit payer la moitié des billets de trains et elle considerant que ce choix d'eloignement est du ressort du père qui a donc à en assumer les consequences, y compris financieres, tout seul comme un grand.
( sachant que la somme réclamée pour les billets correspond presque à l'integralité de la PA qu'elle touche  et qu'il menace de se servir justement directement sur la PA qu'il doit verser - ce qui n'est pas tres legal je pense -  )
 
évidement leur conciliation de séparation ne précise rien puisque la question ne se posait pas à la séparation qui s'est faite par mediation ( c'est d'autant plus couillon cette histoire que jusqu'à juin tout se passait plutot remarquablement bien et calmement pour les momes comme entre eux .)