C'est soit l'un soit l'autre, ya pas les deux en meme temps

voggle

En tant que lurker quotidien de ce thread de qualité je voudrais savoir si vous pensez qu'il serait possible et intéressant d'avoir un genre de plug in pour publier nos hontes préférées sur Facebook.
 
De module pourrait aussi servir aux topics des images étonnantes, des dip, de bd paint ou autres sujets marrants.
 
Evidemment il faudrait un codeur mais Hfr en est le repère non ?

En tant que lurker quotidien de ce thread de qualité je voudrais savoir si vous pensez qu'il serait possible et intéressant d'avoir un genre de plug in pour publier nos hontes préférées sur Facebook.
 
De module pourrait aussi servir aux topics des images étonnantes, des dip, de bd paint ou autres sujets marrants.
 
Evidemment il faudrait un codeur mais Hfr en est le repère non ?

HS

TOYO
Il ne me contredira surement pas, en plus.    
/HS

Facebook, caÿ le mal  

Pour faire Melun, Nanterre, en partant à 6h je serais arrivé à 10h30, RP powa

Mais clairement ! et pourquoi pas sur iphone, tant qu'on y est ?

Bah désolé alors pourtant il y en a qq une qui je suis sur auraient du sucsés Tant pis
 
<-- je retourne lurker

 
je suis un contre exemple

 
pics or it didn't happen!!!

Si 4 jours plus tard tu l'as encore ...
 
http://images.teamsugar.com/files/ [...] andana.jpg
 

 
 
 
 
Tu dis faire melun-gare de lyon... et tu prends le RER...  
 
Très mauvais choix, faut prendre le train de banlieue et tu ne mettras que 30 minutes

Comme ça alors ?

Petite honte ce matin:

Bon allez, une autre un peu crade. Pas caca-featured, mais pas loin
 
Nous sommes en été, dans une île française peuplées d’une faune locale assez diversifiée (animaux sauvages, vaches, cochons, corses). Je suis en vacances avec une bande de potes, donc la plupart sont particulièrement particuliers. Adeptes des conneries à la pelle (se déguiser en momie la nuit avec du papier cul pour faire peur aux gens du camping…), je me doute que revoir cette bande de branleurs va m’alimenter en grosses tranches de rigolade. Cela fait près de 8 ans qu’on n’a pas passé des vacances ensemble, et tout semble être resté intact (sauf pour leur intellect qui, visiblement, ne l’a jamais été   ).
 
Le jeu du jour : se « suicider ». Le principe est simple : partir dans une crique, trouver un rocher assez haut, se jeter dans la mer. Bref c’est armés de nos tongs et nos maillots de bains que nous nous mettons en action, la marche étant ponctuée par les ennuis gastriques habituels de R’né. Comprendre : le silence intime Corse est violé toutes les 5 minutes par des chapelets de pets et autres rots aussi tonitruants qu’odoriférants.  Après avoir jeté des rochers en poussant des cris de primates attardés , nous trouvons enfin un promontoire adéquat pour notre jeu débile.
 
Bon, j’ai jamais sauté de si haut dans la nature donc j’ai les foies, je laisse partir les deux premiers, je saute, 8 mètres de chute libre pour atterrir dans une eau bleue et profonde (heureusement d’ailleurs). Au bout de quelques sauts, R’né trouve une nouvelle idée : sauter en faisant un 180 parce que « t’es face à la paroi et ça fout les ch’tons » . Je teste, effectivement c’est bien sympathique
 
C’est alors que Jeff, grande gueule devant l’éternel, hésite, d’en haut de son perchoir. Un bagou incroyable, un bourrin de base capable de débiter à coup de pelle un pigeon abattu au fusil harpon, l’ordinateur portable dans la tente avec le film de boules kivabien en plein écran, avec le son poussé à fond les ballons pour faire chier tout le monde bien sûr. Suite à nos encouragements, il s’élance, part dans un 180, une jambe repliée… PPLAAAAAAAACCCFFFF (bruit du plat).
 
« WAAAAAAAAAAAAAA » gueule le jeff, sortant la tête de l’eau, tandis que nous nous foutons ouvertement de sa gueule.
«  
- Alors, t’as fait un plat ?    
- Non, aiiiiille ça fait trop mal !!!!  
-   C’est pas tes bras qui ont fait ce bruit ?
- Non ouaaaaaaaaargl j’ai de l’eau dans le cul     »
Et il sort prestament de l’élément acqueux pour baisser son moule-bite et nous chier la marée.    (puis foutage de gueule pour le principe)
 
Cet abruti s’est rempli le fondement d’eau salée, il a eu des réserves liquides jusqu’au soir, et l’impression d’être passé au Fucking Blue Boy pendant 2 jours. La risée de 12 personnes pendant le séjour, priceless  

     C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme

 
BWAHAHAHA   putain qu'est ce que c'est con s'est fait mettre par de l'eau salée
 
     C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme

 
BWAHAHAHA   putain qu'est ce que c'est con s'est fait mettre par de l'eau salée
 
     C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme

2 petites Hontounettes, toutes petites, rikikites, mais les boules quand même
 
"James Dean xxxxxxxxxxxxxx !"

 
BWAHAHAHA   putain qu'est ce que c'est con s'est fait mettre par de l'eau salée
 
     C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme

 
BWAHAHAHA   putain qu'est ce que c'est con s'est fait mettre par de l'eau salée
 
     C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme

EDIT: désolé de poster ma honte juste après toi panzer, j'avais pas vu, j'était en train d'écrire!

à tort larigot

Petite Honte My life sans prétention aucune:  
 
...A vrai dire, même les plantes en plastique crèvent chez moi...
 

Un matin de semaine à Toulouse:
08h40 je sort de chez moi direction le métro de StMichel.
08h45 j'arrive en vue de la bouche (150 mètres a peu près), j'observe un tas de personnes agglutinées autour. Je me dit "meeeerde, encore en panne à tout les coups". Je continue de m'approcher pour en avoir le coeur net et je m'aperçoit que ces gens ont un point commun: un sac a dos et un âge inférieur à 20ans: des lycéens. Au moment où je vais passer à travers eux une prof leur donne le signal et ils s'engouffrent cahotiquement dans l'escalier. Malédiction il FAUT que j'arrive à entrer dans le métro avant eux sinon ça va être l'horreur: je cours. J'arrive aux machines, dégaine mon ticket d'un geste efficace, précis et prémédité je passe les machines et commence à courir vers l'escalator, j'en profite pour jeter un oeil derrière mon épaule pour voir qu'une 20 aines d'entre-eux a déjà passé les machines. Damnit! la prof leur avait déjà distribué les tickets sans doute, plus rien ne les arrêtera cette fois je dois les battre en vitesse pure. Pour me motiver je me dit que je connais la station, peut-être perdront-ils du temps à regarder les panneaux ? je l'espère, pour l'instant, je cours. Pendant un instant j'essaie d'évaluer leur nombre: d'après mon souvenir il y avait 4 groupes à l'extérieur, probablement 4 classes ce qui avec une moyenne de 30 élèves par classes nous donnerai 120 élève, + probablement 2 ou 3 accompagnateurs. Cette pensée me motive encore plus, je cours encore. Je commence à avoir chaud dans l'humidité sale de l'air du métro, je sens que je commence à suer légèrement des aisselles et du torse  dans le tee-shirt que je vais devoir porter jusqu'à ce soir, fait chier. Je cours encore. J'arrive en haut du dernier escalier, je visualise le métro, il est là, les portes sont ouvertes et absolument personne n'attend sur le quai: j'en conclu que ceux qui devaient entrer ou sortir l'on déjà fait et que le départ est imminent. Je dévale le dernier escalier à toute vitesse, j'entend le son de corne annonçant la fermeture des portes, il me reste 8 marches et 3 mètres à parcourir. Instant de doute,  pour moi le temps s'arrête: Je m'imagine seul sur ce quai avec 120 lycéens jusqu'au métro suivant, puis dans le métro avec eux. Un événement grave sort mon esprit de cette brève rêverie: les portes de la rame commencent à se fermer, décharge d'adrénaline,  je tente le tout pour le tout: je me jette en direction du wagon et parviens à passer la tête et 1 bras à l'intérieur. Les portes me heurtent puis s'ouvrent à nouveau, je ramasse mes restes et rentre complètement. Dans le wagon une vingtaine de personnes me dévisagent silencieusement, seul le bruit de ma respiration rapide d'informaticien essoufflé brise le silence glacé. Personne n'ose soutenir mon regard, je réalise que je suis arrivé en courant dans une station calme et qu'ils n'ont rien perdu de ma course effrénée dans l'escalier ni du regard que je devais avoir sur les derniers mètres, je dois leur parler. Reprenant difficilement ma respiration je balbutie: "Des.... des Lycéens ! Une centaine, ils arrivent droit sur nous!" (véridique, citation fidèle à 100%). Le métro s'ébranle et commence à avancer, je jette un oeil par la fenêtre les 1ers lycéens arrivent sur le quai, les gens dans la rame sont tous morts de rire et moi aussi. Aucun ne m'a adressé la parole pendant le trajet.