ptain y'a 30min je viens de me faire über griller.    
j'étais en train de me rincer l'oeil trankilou sur un site de pr0n, mais bon comme je suis prévoyant j'ai tjrs plusieurs fênetres d'ouvertes, donc quand qqn rentre, hop je swap en ouvrant une autre fenêtre
Sauf que cette fois c'est mon père qui est rentré. rien de bien méchant, je suis mon protocole habituel: je change de fenêtre. Sauf que bon là c'est mon PERE alors je panique davantage, omg. Je me dis c'est bon pas de soucis, je vais appliquer mon plan D, un petit clique droit dans la barre des fenêtres (en bas) + "fermer" et le tour et joué, comme ça j'assure et basta./
Sauf que non, j'avais PLUSIEURS onglets dans firefox dont celui de pr0n, donc là firefox s'ouvre en fullscreen sur la page de pr0n   et me lance une boîte d'alerte pour confirmer que je suis sûr de vouloir fermer TOUS les onglets de la page. omagaaaaaaad.
-aaah je sais pourquoi tu reste dans ta chambre maintenant.
-ahahah tu m'as grillé! (sourire crispé+ )
la honte
je le souhaite à personne.

ptain y'a 30min je viens de me faire über griller.    
j'étais en train de me rincer l'oeil trankilou sur un site de pr0n, mais bon comme je suis prévoyant j'ai tjrs plusieurs fênetres d'ouvertes, donc quand qqn rentre, hop je swap en ouvrant une autre fenêtre
Sauf que cette fois c'est mon père qui est rentré. rien de bien méchant, je suis mon protocole habituel: je change de fenêtre. Sauf que bon là c'est mon PERE alors je panique davantage, omg. Je me dis c'est bon pas de soucis, je vais appliquer mon plan D, un petit clique droit dans la barre des fenêtres (en bas) + "fermer" et le tour et joué, comme ça j'assure et basta./
Sauf que non, j'avais PLUSIEURS onglets dans firefox dont celui de pr0n, donc là firefox s'ouvre en fullscreen sur la page de pr0n   et me lance une boîte d'alerte pour confirmer que je suis sûr de vouloir fermer TOUS les onglets de la page. omagaaaaaaad.
-aaah je sais pourquoi tu reste dans ta chambre maintenant.
-ahahah tu m'as grillé! (sourire crispé+ )
 
 
la honte
je le souhaite à personne.

Rien compris

Une vieille honte kähkäh
C'est super long, c'est parfois gore, mais c'est une expérience à partager  
 
  La Malédiction du Cassoulet  
 
Epoque du collège
Jeune, boutonneux, vierge, innocent, gonflé d'idéaux, j'allais apprendre dans la douleur une grande leçon de la vie (la no 51b)
Alors voila :
 
Habitant à 15 bornes de mon bahut, le bus passait chaque matin, à 06h50
L'Internet grand public n'existait pas encore, mais cela ne m'empêchait pas de veiller tard sur mon ordi (en l'occurence : Doom )
Manque de sommeil qui à l'époque me donnait la même tronche que le héros dudit jeu à 10% de vie (ami lecteur, ce détail aura son importance à la fin)
J'étais en train de baver sur mon oreiller depuis de trop courtes heures lorsque mon radio réveil sonna, annonçant une merveilleuse nouvelle journée moisie dans ce bahut moisi
Crevé et généralement pas adapté au lever matinal (d'ailleurs toujours pas), je mettais en général quelques courtes minutes à me préparer, croquer un bout de truc, et sauter dans le bus qui passait à ce moment là (notez l'absence de toute autre précaution)
 
Ce jour là, comme tous les autres, je comatais à ma place dans le bus, tranquille, tandis que la campagne humide de rosée défilait sous mes yeux encore rougis de sommeil
 
Arrivé à la moitié du monotone trajet, une vilaine alerte me saisit
Origine: mon bide
Raison: un cassoulet de barbare ingurgité la veille, et qui avait son ticket de sortie  
Rationnel, je me tiens le raisonnement suivant: "ok Kotontij panique pas, c'est bon, le rectum a été inventé exprès pour stocker le kähkäh, donc ça peut attendre"
 
Hélas, j'ignorais que ce dernier était déjà passé en alerte rouge, ayant atteint ses limites
Ce sont donc de furieux assauts de cassoulet digéré que je commence à contenir avec peine
La lutte s'engage, impitoyable
Entre 2 spasmes, je me rends compte que le forces en présence sont largement déséquilibrées, à mon plein désavantage
L'heure est grave  
 
Or le trajet est encore long, et aucun échappatoire possible : le bus continue de tracer dans la campagne, au doux son de NRJ et de son animateur sous Tranxène 500
Mon Destin était écrit  
 
Je dote mon sphincter des dernières ressources disponibles
Vous l'aurez compris, face à cette situation critique, je joue en défense
Et pour ménager mon effort je suis obligé de faire des concessions
 
Je passe en DEFCON 5 :
1. désserrer ma ceinture pour gagner en volume abdominal
2. me délester d'émanations gazeuses vraiment épouvantables
3. contrôler et renforcer mon mental à base de dérivatifs et de pensées optimistes (NRJ aide plus ou moins)
 
Ce qui fut fait
 
1ere honte
 
Je pourris littéralement mon voisinnage immédiat
Mais vraiment ce qui s'appelle pourrir
 
La Leçon de la Vie no 145c est utile dans ce cas : comment pourrir l'atmosphère en prenant une attitude détachée et indifférente, ou mieux, innocente, pour mieux se disculper d'un éventuel soupçon
Exemple: prendre l'air captivé en matant par la fenêtre - notez la plissure du sourcil
Mais vu la dose lachée, avec le recul je pense que je me suis fait méchamment griller sur ce coup
 
J'ai passé les 30 minutes les plus atroces et solitaires de ma vie lorsqu'enfin je vis apparaître les signes de la délivrance sous la forme des premiers bâtiments de l'agglomération abritant mon collège
Sauf que ce con de bus faisait un maousse détour pour desservir en premier le lycée, situé à l'autre bout de la ville
Catpant les ultimes gémissements de mon sphincter (ou bien était-ce moi ?), je prends l'initiative
 
2e honte
 
Je me lève, gagne en titubant l'avant du bus et demande au chauffeur de faire un arrêt à proximité de mon collège  
Genre "oui j'ai un truc urgent ce matin"  (ce qui n'était pas faux )
3 rangées de sièges ne sont pas dupes du subterfuge, mais se trouvent vraiment soulagés de me voir partir
 
Ok le bus me jette à un arrêt, et le temps qu'il disparaisse au loin, je vais d'un pas nonchalant et assuré en direction de mon collège, pour donner le change
Mais une fois le bus éloigné, je commence à cavaler comme un taré, serrant les fesses à la limite de la tétanisation musculaire
Genre je cours comme un cowboy
 
Mais l'Inéluctable se profilait
Mon sphincter, à bout de force, se rendait à l'ennemi  
Et je tenais à l'intégrité de mon slip, qui était censé me faire une journée au moins
Donc en pleine course j'amorce un virage à 90° en direction du premier espace vert venu, tentant le tout pour le tout
En l'occurence, pas le choix, c'est une église
J'avise les chétifs arbustes qui longent cet austère bâtiment, et en choisis le plus touffu (ou plutot le moins malingre, parce les narbres, ils étaient tous déplumés)
Je me fous entre l'arbuste et le saint mur, pose mes affaires, mon bénar, et finalement l'Immonde kähkäh qui ne demandait que ça  
Je ne pus contenir un énorme soupir de soulagement, tellement fort que... je sais pas, mais super fort quoi
 
Moment de flottement, comparable à de la torpeur post-coïtale  
 
Lumières électriques vaporeuses
Odeurs mêlées de rosée et de ville froide
Même le bruit des voitures est encore engourdi
Je profite de ce répit tandis que la ville s'éveille de son sommeil brumeux  
 
3e honte
 
Je rumine mes pensées quand j'entends des voix (Seigneur, c'est toi ?? => crédible, j'avais souillé sa Baraque, faut le comprendre)
En fait non, juste 2 nanas qui se rendaient au collège, et qui passaient à proximité de mon forfait  
Marde!  
Je me fige dans ma position, espérant par la même me fondre dans la verdure et ainsi disparaître de leur champ de vision
Pas de bol, mon sac et ma veste sont en vue
Curieusement, je me fais griller au moment où elles s'éloignent  
Point positif : étant loin, elles n'ont pu m'identifier clairement
En même temps, un mec qui kake sur une église à 07h30, ya plus sympa pour démarrer la journée
Donc, elles ont pas demandé leur reste et s'emmènent voir ailleurs
Là dessus, je juge que bon ça a suffisamment duré, et j'expédie fissa la remise en condition  
 
J'arrive au bahut avec l'impression de revenir du Viêt-Nam  
Rejoins un groupe de potes
On papote, et là, vlan! re-pétage de bide, faut que j'évacue
Il me reste 10mn, tout juste le temps de "craquer le paquet de mars" et me retrouver frais dispo pour mon premier cours
 
Allemand !
La semaine commence bien  
Mieux : interro
Chouette, c'est décidément mon jour de chance    
 
Bon je commence à péniblement gratter de quoi éviter le suicide à mon prof d'allemand
 
Là, le Destin se dit que décidement, c'est vraiment fun de me faire chier ce matin là (au propre et au figuré)
Effectivement, nouvelle alerte, j'ai le panier à merde qui affiche de nouveau complet
Je suis partagé entre ma révolte contre cette nouvelle Epreuve pénible, et une méga envie de chier, faut le dire  
 
De nouveau je dégaze comme un barbare, pour différer la deadline
Mais zob, rien n'y fait : je dois à nouveau "Sauver Willy"  
A ce moment, une nana derrière moi s'exclame "Eh mais ça pue ici" avec une grande délicatesse pour me faire capter... qu'elle a capté
Ce que je pris pour un Signe
Quelques minutes de vaine lutte se passent, et je me décide
 
Je hèle le prof, et lui quémande d'aller aux toilettes
Donc je me grille à nouveau, cette fois devant ma classe  
Car évidemment, pour ce genre de truc faut négocier avec le prof
Qui tergiverse
 

 
Bon, le prof bien emmerdé (à son tour)
Il craint pour son interro, mais ma mine défaite parle pour moi, et je peux enfin sortir me défaire de ce dernier assaut
 
Merci Doom  
 
Epilogue: je me suis ramassé à l'interro
Ainsi, enfin ma journée reprenait son cours normal  
 
Epilogue2: après tous ses tracas, je me sentais... vraiment bien

Tiens en parlant de tête en l'air... Je bosse dans un endroit très sécurisé, car très sensible.
 
Pour entrer là bas faut avoir badger, passer devant des caméras....
 
Et j'ai perdu mes badges en boîte de nuit.  
 
Ca va faire quelques semaines, que je cache ça en faisant semblant d'arriver en même temps que des collègues (je les laisse badger).

Une vieille honte khakha qui avait fait l'unaminité a l'époque

Une vieille honte khakha qui avait fait l'unaminité a l'époque

Une vieille honte khakha qui avait fait l'unaminité a l'époque

Il y avait une honte que j'avais croiseé,le mec avait chie sur le matelas de la fille qu'il venait de sauter
.

Bon je traîne sur quelques autres forum, et j'ai particulièrement trouvé celle-ci fantastique (c'est pas arrivé a moi hein )
 
allez, j'ose. Par avance...désolé  
Il y a une quinzaine d'années, j'avais des copains sur la cote Bretonne, à Vannes dans le Morbihan. De temps en temps, l'été je faisais une descente là-bas histoire de faire la bringue. Un soir, on se retrouve en boite, et je profite des slows pour essuyer mes mains moites sur la robe estivale d'une charmante vannaise (ou vanneuse ? ché plus.) Elle s'appelle Cécile, elle danse bien, on se roule des pelles, ça va pas plus loin, je la reverrai plus, le lendemain je doit rentrer à Grenoble.  
 
Six mois plus tard, je retourne voir mes potes de Vannes, on finit la soirée en boite, et, miracle de l'amour, je retrouve la Cécile. Je me souvenais plus qu'elle était aussi bien foutue. En plus elle est contente de me voir. Moi aussi tu parles ! Maintenant qu'on est des vieux potes, elle m'invite a prendre le petit dèj' chez elle..éhéh, le Benco n'a pas encore refroidi dans les bols que son corps souple résonne sous mes assauts virils.  
J'ouvre un oeil, il est 10 heures, elle est là, à coté de moi. Elle dort, un sourire de satisfaction sur sa jolie frimousse. C'est bien, je suis heureux, je me relève un peu, soupire d'aise et je me recoule dans les draps frais. Hmmm... petite envie de péter, mon regard hypocrite va sur ses yeux, elle dort, je peux tranquillou craquer ma petite bulle, ni vu ni connu. Je pousse, et la, le drame, un pet foireux ! Merde, l'aérosol s'est transformé en pistolet à peinture ! en pistolet à merde. C' est pas vrai...c'est la première fois que ça m'arrive... et en plus dans le lit d'une fille canon. La fille elle dort, elle ne s'est aperçue de rien. Pourtant, il y en a partout, même des éclaboussures sur ses cuisses. Et dans cette instant tragique, il n'y a qu'un mot qui me vienne à l'esprit merde ! merde et merde !!  
 
C'est dramatique, mais il faut que je me reprenne... il faut agir et vite Mais que faire ? l'esprit en désordre, j'échafaude toute sorte de plans bidons. Préparer un autre petit dèj', le renverser sur elle pour masquer la catastrophe ? non ça tient pas debout. Ah ça pue...et mon coeur qui bat de plus en plus fort la honte, putain la honte de chez honte !  
Là c'est plus mon cerveaux qui commande, c'est mon instinct de survie. l'instinct du guerrier. Millimètres par millimètres, je sors du lit. Je ramasse mes sapes, les passe en vitesse. La porte, l'escalier... maintenant je cours, et je me dis que trop j'ai bien fait de pas lui avoir parlé de moi, elle sait juste mon prénom.  
Allez, je prends le train, je rentre à la maison et je reviens plus jamais.  
Tant pis pour les copains ...Vannes zone rouge !
 

Je la reposte pour le plaisir

Bon allez, la plus douloureuse de toute... surement la plus grosse honte de ma vie, enfin la plus génante.
 
Je rentre dans une superbe boite réseau pour une formation en alternance.
 
Chaque jour, la matinée se passais super bien. Puis passé le midi (cantoche de merde aussi il faut le dire), mon intestin se réveillais horriblement, tout d'abord il commençais par grogner et puis... la machine a cauchemar commencait son long processus... de pet !!
 
Impossible de s'arreter !! Toute l'apres midi j'arretais pas de lacher caisses sur caisses, et impossible de controler. Alors je serrais tout ce que je pouvais pour pas ke ca fasse un gros prout audible, mais autant dire quand dans toute la salle et meme kan j'allais lacher discretement dans les couloirs, j'était grillé. Ah oui les couloir c'était tout une strategie pour larguer en douceur.
 
Mais bon infernal j'y pouvais rien !!
 
C'etait assez drole d'ailleurs car personne n'osait trop rien dire, c'était des petits regard entre collègues amusés. Bref l'ambiance qui puait tout autant que ma machine a gaz incontrolable.
 
D'un seul coup le chef réseau du coin se décide, il se ramène vers moi (assi entrain de concentrer toutes mes forces à retenir l'inévitable descente du gaz), il s'arrete une seconde, me regarde puis dit tout fort "Prout ! (il fait le bruit), Ah, ca fait pas de bruit !! Mais qu'est ce que ca sent !!!".
 
Horreur, j'aurais préféré qu'on me poignarde dans le dos !!!! Personne n'a osé rigoler je crois mais j'avais envie de creuser dans le sol et m'enterrer entre deux etages.
 
Bon ben voila, j'ai fini par me casser de la boite vite fait (en fait apres ce coup de glaive je n'y suis jamais retourné). J'ai perdu un stage extra a coz d'un intestin incontrolable.
 
Ca me l'a refait des fois dans d'autres boites, en fait au début mais avec l'envie de progresser je crois ke mon cervo a gagné la bataille pour controler la chose.
 
Voila, ct une bien prout-caca style !

j'ai une honte medicale et fecale      
 
 
J'avais dans les 9 ou 10 ans et j'avais toujours mal au ventre le matin... mon medecin me dit pas bien grave on va te faire une radio des intestins, il l'a dit sur un ton tellement desinvolte que je ne m'imaginais pas le cauchemard qui allait m'arriver        
 
On passe la veille a la pharmacie et on me donne 3 bouteilles d'un litre de liquide...
 
et je fais :
 
-donc je les bois demain matin au reveil ??
-Non non mon grand c'est pas pour boire, c'est pour ton lavement
-lave quoi ?
-Ben tu mets l'embout de la bouteille ds ton anus tu la vide entierement ds tes intestins et tu vas au toillettes apres et cela trois fois...
-    
 
Je m'execute le lendemain matin, j'ai derouillé, ca fait super mal un lavement mais bon fallait y passe alors pas le choix, je le fais avec ma mere qui me matte pour verifier que je fais tout bien (premiere honte)    
 
je vais a la radio, en me disant que mon supplice etait fini... et bien non le pire etait la
 
une zoli etudiante en medecine arrive et me dit texto,  
 
-bon ben tu vas te mettre tout nu entierement et tu gardes rien
-  
 
je m'execute et la je decouvre un medecin plus une assistante et un joli groupe d'etudiants et donc je sors nu comme un ver du vestiaire devant a peu pres 10 ou 12 inconnus, deja j'etais apeuré  
 
On m'allonge sur la table et la je vois l'assistante sortir un sac enorme rempli d'un liquide blanc et me dit qu'on va me remplir le ventre avec pour faire apparaitre mes organe... toujours par voie rectale...
 
     
 
Deja la taille de la sonde m'a horrifiée et hop c'est parti une inconnu m'enfile ce truc enorme ds les fesses et on remplit mais un truc de dingue, j'avais l'impression d'avoir un karsher a la place des fesses, je sais pas combien de liquide j'avais mais mon ventre faissait alien avec la pression et la sonde qui glissait sou sl'effet de la pression    
 
je la retiens et la supplice ultime pour prendre la radio une pyramide inversé s'approche de mon ventre et commence a appuyer sur mon nombril, la pression de l'eau plus l'appui de la machine, ca en devenait intenable et toujours les 12 personnes qui me regardaient...
 
on prend la radio et on m'enleve la sonde et horreur mon rectum dilatté refusé de contenir le liquide... n'ayant aps envie de chier 5 litres devant tt le monde, je me met un doigt ds le cul a la place de la sonde et je passe devant 12 personnes a poil et avec mon doigt ds le cul...
 
   
 
au toillettes je vous explique pas le bonheur, mais cette journée a été la pire de ma vie    
 
conclusion de l'histoire, j'avais rien en fait    
 
je peux vous dire qu'apres ca je me suis plus jamais plaint d'avoir mal au ventre  

conclusion de l'histoire, j'avais rien en fait    
 
je peux vous dire qu'apres ca je me suis plus jamais plaint d'avoir mal au ventre  

Bon allez puisqu'on a une vague de retour des hontes khâkhâ, voici un bon souvenir....
 
 
C'est l'été, je fais "le maïs", activité d'agriculture permettant au petit étudiant fauché de ramener un peu de monnaie dans sa besace. Activité hautement pistonné par ma copine, qui s'est joint à moi dans cette quête, et sponsorisée par ses parents qui nous garantissent un doux foyer    
 
 
"Faire le maïs" pendant l'été, c'est rester debout toute la journée dans un champ, les bras en l'air, sans repos, à arracher les fleurs de maïs à 1m75 du sol. Autrement dit : activité physique éreintante.  
 
Le soir, nous pouvions compter sur l'hospitalité des parents de ma douce... Le top du top venait d'une des salles de bain qui comportait une grande baignoire avec des jets ! un mini-jacuzzi !  
 
Un soir, nous rentrons donc fatigués, et décidons de nous faire un petit bain en zamoureux  
 
On se plonge dans le truc, à poil, on câline un peu mais pas trop.  
Au bout de quelques minutes, je m'emmerde un peu, et mon coté gros beauf paillard reprend le dessus. Mon ventre m'aide un peu et me signale une bulette en approche.  
Je lache un petit gaz dans le bain. C'est délicieux, le truc fait des petites bulles, un bruit étouffé, et la chaleur ambiante garantit la durabilité de l'odeur.
Ma copine en rigole jaune, marre du pétomane 24h/24...Mais rie quand meme !! Un véritable encouragement au vice !
 
Ni une ni deux, je me relance dans un concerto unplugged in bath. Mais mon ventre ne suit plus la cadence imposée, je m'arrete.
Il fait trop chaud d'ailleurs, je me remonte sur le rebord de la baignoire pour ne plus avoir que les mollets dans l'eau et le cul sur le rebord
 
Oh mon ventre est de retour.... Allez , un dernier en exterieur contre la céramique et je m'arrete....gnnnnn.....le fourbe il résiste.  
Et là c'est le drame.
Un ignoble bruit de pet forcé s'échappe de mes fesses.
Oulà, alerte rouge, il est temps de partir, cet ultime action a tout réveillé. bilan : j'ai une taupe au portillon les enfants !  
Je me lève....et ma copine explose de rire !! un bout de merde sur la céramique !! naaaaaaaaaaannnnnnn la honte
 
Bon je fais style que ca me fait rire et en fait pas du tout !! C'est horrible ! Quelle est la prochaine étape dans le dévoilement de toute mon intimité ??
 
Bef, on rigole (elle, surtout) mais il faut absolument nettoyer le petit "Mr merde" qui reste accroché sur la pente.
on prends un peu d'eau du bain, on en verse petit à petit sur la zone de déchet..le bébé glisse, glisse...
et se met à flotter à la surface !!!  
Raaahhh ma copine encore plus morte de rire (mais qui commence à sortir de l'eau quand meme), et moi mort de honte.
 
Bref on s'arrete là, ca tourne à l'ultra-scato !
 
Bilan,vidange du bain, et je peux vous dire que je ne pète plus dans l'eau à présent !

Bon ben j’ai une petite hontounette a vous narrer…
 
J’appellerais cette honte : ‘Écoute la voix du seigneur’ ou ‘Lendemain de fête… KhäKhä qui fouettent’
 
Donc samedi soir nous avons pris un petit apéro, suivi d’un bon gros repas en famille et d’une partie de carte accompagnée de la bouteille de gnole qui va bien… Autant vous dire que j’ai fait un bon gros dodo et que le réveil dominical sur les coups de 9h a été beaucoup trop matinal.
 
Réveil bien dur, les cheveux qui poussent vers l’intérieurs, le ventre qui raconte sa vie et qui se décide à me les briser menues. Bien évidemment je n’ai pas pu prendre autre chose pour le petit dèj que du café accompagné de la petite clope qui va bien… Suite à ce remède, bien laxatif, je pensais pouvoir tranquillement  aller couler un bronze mais j’avais oublié la raison de ce réveil matinal : la messe pascale !
 
Pas grave. Même pas peur. Je suis plus fort que mes intestins.
 
Arrivé à l’église ça va plutôt pas trop mal, ayant réussi à repousser la première descente de khäkhä j’ai la nette impression que je pourrais patienter, surtout avec l’aide de dieu !
 
La première demi-heure passe plutôt correctement, juste ponctuée par des bâillements et des gargouillis de mon ventre… rien de bien méchants et que du très discret !
 
Arrivé au milieu de la cérémonie ça commence à ce compliquer… La crotte vigoureusement repoussée la première fois décide de re-tenter sa chance, et en plus elle est accompagnée de ses copains : les gaz La lutte commence…  
 
Les gaz me tordent les boyaux, la crotte pousse… Et moi je me retrouve dans une position que les personnes, qui ne connaisse pas mon mal, pourraient prendre pour de la prosternation devant la croix : mi penché en avant pour soulager le ventre, les fesses rentrées et serrées à casser une noix de coco, un visage tendu et grave sous la douleur… Le khäkhä c’est le mal, ma peau il aura !
 
L’apogée de la cérémonie arrive : la communion… Un avantage et un inconvénient !  
Avantage : la messe est presque terminée, dans 10 min je peux libérer Mandela !
Inconvénient : il va falloir marcher pour aller communier !
 
Tordu de douleur j’avance jusqu'à l’autel et reviens à ma place… Là je n’en peux plus il faut que je lâche de la pression… A ce moment là toute l’église ce met à chanter : C’est le bon moment pour dégazer en toute discrétion… je m’y atèle, problème : la crotte est là ; l’opération demande un minimum de précaution pour ne pas doublement ce soulager…
 
Je me concentre, je pousse, je retiens, je pousse, je me concentre, je me retiens…. J’ai réussi à sélectionner ce qui devait sortir et ce qui devait rester… Je relâche un peu la concentration pour profiter de ce bonheur jouissif du pet tant bloqué qui sort !  
Je vérifie qu’ils chantent toujours ; bonne nouvelle c’est le cas ; mauvaise nouvelle ils en sont au premier alléluia, dans 2 c’est fini. Il faut ce dépêcher… mais pas ce précipiter… je pousse un peu pour accélérer le mouvement… 2eme Alléluia… Le dégazage arrive ; mais il tarde… il se fait attendre le bougre ! 3eme Alléluia : il me reste a peu près trois seconde pour lâcher ma caisse sans repeindre mon froc…  
 
L’alléluia se termine… mon pet sort… long… beau… sonore… Très sonore… très très sonore… dans le silence religieux suivant le chant de communion mon ventre s’exprime… dans la résonance d’une église c’est beau a pleurer !!!  
 
A la vue des 200 paires d’yeux je pense être le seul à trouver ce moment divin…  
 
Puis il y a l’odeur ! Inracontable ! Une horreur… un mélange de rats morts et de choux de Bruxelles… un truc inhumain !!! D’un coup d’un seul je me suis fait une bonne cinquantaine d’ennemis à vie !!!

ca m'a fait penser a ca    
http://youtube.com/watch?v=Vd7FhE7Te88

J'en peux plus  

Je viens d'en trouver une dingue :

C'est la soirée revival (surement l'effet eurovision )

Une vieille honte khakha qui avait fait l'unaminité a l'époque