Reprise du message précédent :
Non non je ne parle pas avec mes parents mais avec ma soeur, on est assez ouvert à ce niveau, ce que je voulais dire c'est qu'elle a fait style de rien..
 
J'te dis pas les jours d'après quand j'allais lui parler

IL m'est arriver une fois d'aller au wc de mon lycee , puis de voir un mec sortir des cabients dont la porte reste ouverte et la un autre mec qui etait rester dedans la referme.  
Je vous dis pas la honte que j'ai eu . Apres j'eviter del es croiser tellement j'etais genee.

ah
 
ben j'imagine le truc et j'eus été gene aussi

 
Ma mère a eu exactement le même genre d'élèves, elle fait passer l'oral à quelqu'un, le gars réussit vraiment bien tout, elle décide d'approfondir histoire de discuter un peu, l'oral se termine et l'élève sort.
 
Pis cinq minutes plus tard, un de ses collègues vient la rejoindre et lui dit :
 
- "C'est toi qui a interrogé le garçon habillé en [..]"
- "Oui pourquoi ?"
- "Bah il t'a traité de sale pétasse de blonde "
- " ok ok"
 
On a peut etre pas le droit mais à la base elle allait lui mettre 16, bah elle lui a mis 12

Avec le recul je comprend, honnetement ça se fait pas, le prof a toutes les raisons de se sentir vexé (le sale pétasse blonde est pas mal quand meme) et de baisser la note en conséquence (ds la mesure du raisonnable )

c'est marrant mais a chaqe fois que je lis cette phrase, je me sens dans l'obligation de me rouler une clope avant d'entamer la lecture du post
 
 

petite hontounette de l'an passe
 
edit pour syr01 : C'est du lourd, je vous préviens.  
 
rendez vous est pris pour un anniversaire chez des amis
comme c'est loin, on decide d'y aller en covoiturage
je monte dans la voiture d'un gars que je ne connaissait pas
et qui avait l'espace toute neuve de ses parent qu'il maitrisait encore mal ...
on arrive a destination et lui ne parvient pas a faire son creneau pour se garer ...
moi, grand seigneur, je lui fait (j'avais pas le permis a l'epoque, mais une certaine experience de la conduite des espaces grace a la conduite accompagne) hop, ca passe nickel  ...
 
on mange, et on decide d'aller boire un coup, toujours en covoiturage ...
les conducteurs commencent a raler 'ouais, c'est bien beau tout ca, mais comme on est en caisse, on va pas boire alors que blablabla pas envie de se faire avoir, on tire au sort pour savoir qui conduit !!' (excepte les prudents qui voulaient pas preter leurs voitures ...)
les 'permis' se battent pour tirer au sort, et moi, je reste a l'ecart avec les 'sans permis'
le sort designe malheureusement pour lui le proprietaire de l'espace ...
et, mauvais perdant, me voit a part et s'insurge pour que je vienne participer au tirage au sort ...
je lui explique que j'ai pas le permis ...
il refuse de me croire et veux refaire un tirage en disant que je suis qu'un vilain qui essaye de couper court a la corvee de la conduite (et surtout de la sobriete) ...
 
il a tellement gueuler que j'ai du appeler mes parents pour qu'ils lui disent que j'avais pas le permis
 
et y avait tout le monde (bien 50 personnes quand meme) qui se foutait de nous moi ...

 
Gênée ? C'était courant dans mon lycée, mais il faisaient pas ce que visiblement tu as imaginé...

 
Et pdt que tu dormais tu faisais "vroooooooooooooom !" tout en penchant la chaise à chaque virage ?  

il faisait quoi alors? un pti rail?

 
Fumage de pétard, deal de chichon... ce genre de trucs

Il achetetais de la drogue et alors? .
 
Edit: grilled

raaaaah mes ptits poumons  

Honte de mon voisin de palier:
 
retrouver ses clés en fesant un ls -a /mount
 
(sa clé usb est attachée a ses clés qui étaient donc derriere le pc)

 
Vu qu'ils etaient ensemble sentimentalement parlant , je pense que si .      

Petite honte dans le couloir en sortant du taff...
Bien sur je suis le seul con à avoir le nez qui coule en ce moment...
 
Bref je quitte le bureau, me retrouve dans le couloir et la hum je sens la goutteau nez, je met la main dans la poche pr sortir un mouchoir, au même moment je croisse une stagiaire et la je sens la goutte hummmmmm qui coule bien en dessous du nez, elle m'a regardé bizarre, j'ai balancé un salut... bref la honte
 

Aller, la petite hontounette du week-end:
 
Apres avoir bu quelques verres avec un pote, on decide de changer de bar histoire de se finir tranquillement. Lui etait a pied et moi a velo, je roulais donc au pas a cote de lui. Au bout de 5 minutes, on arrive devant notre nouveau saloon. Belle terrasse, des petits groupes sont assis, pas mal de tables de nanas aussi... Je longe le trottoir avec mon velo et je m'arrete au niveau d'un poteau. Je commence a mettre le pied a terre. Et la ...c'est le drame! Mon pied n'arrive pas a toucher le trottoir. Et lentement, tres lentement je bascule telle une vieille merde et je me retame entierement sur le trottoir devant toute la terrasse ebahie. J'entends des rires et des applaudissements pendant que je me releve. La grosse affiche. J'etais meme pas bourre en plus.
Bref, une belle entree dans le bar.

Réminiscence...
 
Quand j'avais 11/12 ans, je venais d'emménager en Martinique, et je déprimais pas mal, je connaissais personne, toutes mes copines étaient restées en France, etc... Du coup ça a été la période à laquelle je me suis particulièrement attachée à mon pc. Je restais des journées enfermée dans ma chambre, sur Internet.
11/12 ans... je découvrais la vie, et je ne sais pas trop comment j'ai aterri là, mais au cours de mes pérégrinations sur la toile, je suis tombée sur un site de cul, gay Par curiosité, je suis allée zieuter, j'ai regardé 2/3 pages pour découvrir ces fameux sites saiskuels dont on parle tant.
Bon, vu que les hommes qui aiment les hommes ne sont pas trop ma tasse de thé, j'y suis pas restée longtemps.
 
Je ne sais pas pourquoi, c'est exactement à cette période là que ma maman a du se poser beaucoup de questions concernant mes activités journalières sur Internet, et elle a décidé de fouiller mon historique
Donc pas longtemps après, elle est venue me trouver dans ma chambre... "Hum, Elegy... J'ai vu que tu étais allée voir des sites hum... sur Internet... Enfin tu vois... Sur la pornographie... Je veux te dire que dans la réalité, ce n'est pas vraiment comme ça... Ce que tu as vu, ce n'étaient pas de belles images..."
Moi : "   Heu... Oui Maman je sais... J'y suis pas resté longtemps, je suis tombé dessus par hasard tu sais "
 
J'ai cru mourir
 
N'empêche, avec le recul, j'imagine la tête de ma mère quand elle a vu que sa fille chérie de 11 ans allait sur des sites gays

C'est pour voir deux fois plus de beaux mecs

 
"Ma fille c'est un paÿdaÿ"  
 
 

 
Trop beau !

 
Hum oui, n'en dis pas trop sur cette Clémence s'il te plaît
 
Edit : merde, me suis fait quoter, trop tard...

Rah l'enflure !
 
(Tiens ça me fait penser à une honte collée à un copaing...)  
Le gusse avait des vues rapprochées sur une étudiante... Au bout de semaines à se ronger les sangs, il se connecte depuis la salle internet de l'univ' pour lui écrire un long mail enflammé
Cet idiot est parti 2 mn se chercher une boisson, après avoir lancé le webmail et commencé à écrire... juste eu à rajouter "mon" e-mail dans la liste bcc:, faire défiler un peu la page et voilà, il n'y a vu que du feu
On s'est tous pissés dessus en lisant sa prose digne des amours de cour de récré au CP. Et on lui a collé la honte en lui reprochant subtilement ses fautes d'orthographe, le soir même. Heureusement il est pas rancunier
 
Mais il se l'est faite quand même, le salo

 
 
dans le meme genre, une copine, m'a appelé pougnette pendant un an, parce que c'est assez proche de mon nom, et avait remarqué que ca m'enervait passablement...
 
un jour, sa mere appelle chez moi, j'entend une voie derriere "appelle le pougnette"
et elle le fait...
 
 
paf racrocher au nez    
 
deux jours apres, il a fallut que j'explique a la mere et a la fille ce que voulait dire pougnette pour m'excuser...
elles le savait ni l'une ni l'autre (18 et 40 ans quand meme)

 
Thèse de la Tartine beurrée appliquée au Mouchoir en Papier d'après Totof
C'est quand on a une grande envie d'éternuer que le dernier mouchoir en papier tombe par terre.
Au mieux, il ne voudra pas se laisser faire et attendra que vous ayez éclaboussé vos habits ainsi que vos voisins pour bien vouloir sortir de la poche.
 
Le lieu de prédilection du mouchoir révolutionnaire est l'autobus plein à craquer ou bien le métro en heure de pointe. Notez que ses tendances rébarbatives se font plus fortes lorsque vous êtes entourés de plantureuses demoiselles.  
 
Je me sens obligé de citer mes sources. http://www.courtois.cc/murphy/murphy_tartine.html
 
En fait, la plupart des hontes sont scientifiquement inévitables. C'est honteux !

 
c'est exelent ce site mdr tout les trucs qu'ils expliquent

Y en a qui sont tellement vraies que c'est dur a croire. j'ai personnellement vérifié le coup du bébé sur un vol transatlantique.

• Si on beurre les 6 faces de la tartine (et non un côté), elle devient de suite équilibriste  

        sur tapis en restant miraculeusement debout sur l'un des coins
 
oh je l'avais pas lu celle ci      

Je sais pas ou j'avais lu ça, mais scientiquement vu qu'un chat tombe toujours sur ses pattes, on met une tartine beurré attachée sur son dos et on trouve un engin volant presque parfait.  L'appareil aurait tendance à arrêter tout seul à cause du chat qui mange la tartine.  Les chercheurs songent depuis plusieurs années à une substance que le chat refuserais de manger (le beurre d'arachide est le meilleur trouvé jusqu'a présent)

pas sur    
 
 
 
 

 
j'ai raté un épisode là  
 
parlez de quoi ??  

on parle d'un truc sujet à modération, donc on va retourner aux hontes hein

 
 
édité

 
n'empecha la honte tout ceux qui se sont fait prendre (moi y compris)

 
Un page de Kid Paddle [/HS]

( http://www.courtois.cc/murphy/murphy_tartine.html )

Bon, aller, hop, ma contribution  
 
Alors, c'était au lycée. En première. Déjà à l'époque, en futur informaticien, j'étais assez... associal, en marge quoi... (peu d'copains, pas d'copine (ni grande, ni petite))  
 
Donc, la seule chose qui m'interressait à la fin des cours, c'était bien évidement de rentrer chez moi le plus vite possible  
 
Problème numéro 1 : la station de bus (son terminus en fait) n'était (bien évidement) pas juste à côté. Il fallait sortir du lycée, prendre une rue (enfin, une sorte de parking, mais sur toute la longueur d'une rue), pour arriver sur un rond-point duquel partait le véhicule des transports publiques chargé de me rammener à ma retraite. Bref, 5 petites minutes de marche.
 
Problème numéro 2 : l'horaire du bus était tel que le bus partait immanquablement 4 minutes après la sonnerie annoncant la fin des cours . En comptant le rangement des affaires, sortir du lycée, et aller jusqu'au bus, cela ne laissait pas beaucoup d'alternatives.
 
Problème numéro 3 : l'horaire du bus suivant me permettait de passer près d'un quart d'heure, seul, en marge de l'arrêt auxquel une multitude d'élèves discutaient entre eux, sans mot dire à personne, en me tournant les pouces. Ce qui était plutôt frustrant et désagréable  
 
Donc, afin d'éviter le problème numéro 3, en raison du numéro 2 et 1, j'étais "obligé" de courir (comme un dératé en plus).
 
La journée ne s'achevait pas, pour le prof de physique, à 16h, contrairement à la notre. Donc, à la sortie des cours, l'autre classe (qui n'avait me semble-t-il, rien avant) était déjà dans le couloir, attendant juste la libération de leurs places par la sonnerie et donc la fin du cours précédant.
Et moi, à chaque sonnerie, j'avais déjà tout rangé, n'attendant que l'approbation du prof pour être le premier à ouvrir la porte avec fracas et commencer ma course effreinée, sous les aclamations la plupart du temps, des élèves suivants.
 
Bien évidement, certains élèves de la classe suivante (en première aussi), étaient plutôt moqueurs. Je passe sur les feuilles grand format grand carreaux sur lesquelles étaient écrit mon nom en grand et placardé contre la fenêtre séparant la salle de cours du couloir, parfaitement syncrone avec les rires (stupides) étouffés que l'on enttendait à travers la cloison, qui sont déjà une honte en soit  
 
Mais le sommum de la bétise fût atteind le jour où ces joyeux driles décidèrent de me tendre un piège grossier.
A la fin d'un cour de physique, comme à mon habitude, j'étais dans les strating-blocks, pret au départ. Mes pieds, déjà, battaient la mesure afin d'échauffer les muscles qui me permettraient quelques minutes plus tard d'atteindre mon objectif avec succès  
Comme je l'attendais, toujours à la seconde près, la cloche sonna. Plus qu'un signal du prof...
"Vous pouves y al..."
 
Pan, je m'éjectais de mon siège avec célérité, traversais la salle de classe, ouvrais la porte (heureusement qu'elle s'ouvrait vers l'interieur, sinon j'en aurais sûrement malmené plus d'un qui se serait trouvé fortuitement sur le trajet effectué par la porte, tournant sur ses gonds à vive allure), et me penchais sur la droite pour entamer mon virage dans le couloir.
 
Et là, je n'ais pas vraiment eut le temps de réaliser. Foncant tête baissée, ne pouvant guerre (et n'ayant pas envie, pour si peu, de) m'arreter, je découvrais avec stupeur que ces hurluberlus avaient rassemblé la plus grande quantité de sac possible en plein milieu du couloir, spécialement à mon intention  
"Tant pis" me dis-je "je passerais au-dessus".
C'était sans compter sur la bétise extrème de certains. Non content d'avoir géné ma progression passivement, ils l'ont fait activement, en se jettant sur moi, des deux côtés en même temps, afin d'être sûr de me faire chavirer    
 
Les deux premiers se sont retrouvé à leur place juste après contact, ma vitesse et ma carrure (me masse corporelle aussi sans doute ) aidant. J'en fut néamoins ralentit, et les suivants (mais combien ils sont ) réussirent leur coup. Enfin, à moitié.
 
Je tombais, après maintes efforts pour resister, sous le poids d'un imbécile, accroché à moi comme de la glu, en plus de ma perte de vitesse occasionnée par les autres.
Mais j'ai réussi, dans un effort et un sens de l'équilibre hors du commun, à me rattraper sur un genou (donc en prenant la pose d'un chevalier qu'on nomme (chevalier)) ! (en plein sur les sacs bien sûr) L'autre n'ayant pas prévu cet arrêt subit dans une chutte qu'il penssait continuer jusqu'au sol, continua effectivement de tomber, relachant son étreinte du même coup, pour s'écraser molement sur la pile de sac  
 
Ayant réussi à ne pas tomber, et ayant éliminé de mon chemin la plupart de mes assaillants, je suis repartit en trombe pour finalement attraper mon bus.
Je ne me suis même pas retourné pour constater les dégats (surtout au niveau des sacs écrasés), mais en tout cas, je ne suis pas sûr qu'il y ait eut grand monde dans le lycée qui n'ait pas été mis au courant  
 
Epilogue : afin de ne pas réitérer un tel accident, je suis par la suite sortit de la salle en marchant, arborant un air fier, jusqu'à l'arrivé aux escaliers, nouveau point de départ de mon sprint!