Reprise du message précédent :
et quand on te raconte mais que tu te souviends de rien, et que toi tu le raconte a une autre personne, comment cette personne peux faire pour etre si impartiale dans son jugemet et SURTOUT comment peux elle porter un jugement sur ce qu'elle n'a pas vecu et dont elle ne sais rien ?
 
 
dans ce cas, la meilleur choses a faire pour la personne qui en sais moi que la personne qui a vecu a la chose est de se taire.

 
Ça tue

 
Tu les as donné ?

 
ca me parait aussi assez anormal...
 
le prof qui en arrive la pour arrondir ses fins de mois...

  non mais ça va pas la tete  

Pendant un stage dans une grosse boîte, l'autre stagiaire et moi sommes invitées à la conventinon annuelle du personnel, un truc énorme avec tout les employés et les patrons etc...  
Le jour de la Convention, je fais la queue avec un monde fou jusqu'à l'entrée de la salle où je vois un mec qui me tent un papier, et je fais "oh c'est génial! C'est le programme de la soirée? J'espere qu'il y aura des sktechs!". Là tout le monde me regarde bizarre et je vois en fait qu'il s'agit d'un représentant syndical et que le papier exprime un ras le bol général des employés.  
 
Bon, là c'est pas encore très grave, c'est juste un petit moment de solitude, mais le pire c'est en rentrant dans le hall de la salle, un truc immense avec plein de beau monde. On avait le droit de fumer mais je voyais pas de cendrier et les gens jetaient leur mégot par terre. Moi, scandalisée je dis que c'est inadmissible d'être aussi sale, et je pars a la recherche d'un cendar. J'aperçois alors sur de hautes tables des petits buibuis en fer qui me semblent être des cendriers, et je me dis "tiens c'est original commme cendar" et j'écrase ma clope dedans. Là évidemment je vois les gens qui me dévisagent et je me retourne : ya un cuistot avec une casserole à fondue, il me dit "c'est pas un cendrier mademoiselle, c'est l'appareil à chauffer la fondue   "
 
 

Sinon j'en ai une petite arrivée à une copine (si si!) dans la rue. Elle commence à mater en insistant une nana avec un ventre rond sur le tottoir. La nana commence à s'énerver "ouha! pourquoi tu m'regarde comme ça toi??" et ma copine "Ben c'est juste que je trouve ça beau une femme enceinte!"  
Sauf que la nana était pas enceinte...

classique mais efficace

 
ca m'en rapelle une il y a 2 ans.
 
Je venais de commencer un stage dans une collectivité territoriale quand au 4ème jour on organise un convention qui réunit la plupart des maires/députés/sénateurs/conseillers généraux/régionaux de la région.
 
APrès avoir assuré leur accueil avec petit malette de documents, programme etc, je n'ai plus rien à faire pendant qu'ils assistent aux différentes présentations.
Je fais donc tranquillement la connaissance d'une stagiaire dans une autre admnistration et s'en suis une aprèm dans uen bonne ambiance à raconter pleins de conneries.
 
Viens enfin le moment tant attendu du pot de l'amitié, avec tous les élus qui se ruent comme des sauvages vers le vin blanc puis s'éloignent discuter avec leurs verres à la main. Ca y est, le bar est libre pour nous les stagiaires qui n'attendions que ca
Et là, idée merveuilleuse de l'intendance: des Curlys. Mais pas des curlys normaux, des géants et beaucoup moins courbés qu'à l'habitude. Evidemment c'est trop tentant, on enfile ca sous nos lèvres, et nous voicis tout 2 avec 4 dents énormes (et des meittes de curlys partout sur la face).
Et là évidemment un groupe d'élus qui nous regardent du coin de l'oeuil et un qui déclare aux autres: "j'espère bien qu'ils ne sont pas rémunérés les stagiaires".   aie* aie*, rouges de confusions (et de vin blanc il est vrai), on s'est vite éloigné l'un de l'autre, et je ne l'ai plus jamais recroisé (honte 2). M'enfin, m'enfou, j'ai qd même été rémunéré grassement pour le reste de mon oeuvre..
 

 
j'en peux plus      

Cette réflexion de @'#!&}    

 
Ouahahahaha excellent  
 
Bien joué  

Un inconscient a réclamé du gore dans un post précédent
En voila un : combo vomi de ma prime jeunesse
 
[sorry pour la longueur, si ça vous saoûle, faites comme pour Tolstoï : allez directement à la fin ]
 
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Acte I
 
Avec mes parents, on se rendait à une convention des anciens de l'école de mon père  
Ça se passait à X centaines de kilomètres
Donc trajet en voiture
Mise en situation: père fumeur chaleur et route sinueuse  
 
Ça roule
Roule
Roule roule roule  
Tandis que je joue le rôle du tabagé passif  
Les virages se suivent
Et put#in que j'ai chaud
Une vieille nausée péhistorique me monte à la tête
Qui enfle... j'ai une boule de pétanque dans la gorge, accompagnée des classiques suées
C'est donc un Kotontij verdâtre qui entend qu'on "est bientôt arrivés" ouf
"Beuuuuhaaaar" réponds-je intérieurement  
 
La convention démarrait par une réu suivie d'un repas
On arrive, et effectivement ils ont pas fait les choses à moitié : auberge "relais & chateaux" dans une demeure classée, déco soignée, bref le truc qui a un max de gueule
Le truc qui tue, c'est le parterre de rosiers entre le bâtiment, et le parking
Un chouette parterre : des massifs finement entretenus avec amûr, des bordures en pierre taillée, pelouse millimetrée, sens du détail, toussa bref le truc de toute bôôôté
 
On pose la voiture
 
Et en fait, pendant que vous avez lu la description ci-dessus, la boule de pétanque a muté en boule de bowling  
La calèche à peine stoppée, je bondis dehors prendre l'air frais, me dégourdir les pâtes, et me changer les idées
Faire fuit cette nausée
Ce qui devait être une joyeux gambadage champêtre en décor luskueux c'est vite transformé en titubage hagard
Non, décidement ça passait pas
Je titube quelques pas, et balance convulsivement une énorme queue de renard sur le parterre de rosiers
Genre le corps n'obéit plus, tu n'as plus qu'un muscle, dédié à te retourner l'estomac
4 furieuses giclées RRÔÔÔÔAAARRK et je suis purgé
Un filet de bave court de ma lèvre tremblottante jusqu'à mes pieds, filet qui s'arque tandis qu'une petite brise souffle
Pour compléter le portrait, j'ai les yeux exhorbités plus la tronche du mec soulagé
 
Je relève le nez pour tomber nez à nez avec la merco d'un arrivant qui se gare à l'instant : une huile donc  
Monsieur :  
Madame, sortant : "ohlalalala... ça va mieux ?"
Moi : v...vouiiii  
 
Les pauvres gens, accueillis non pas par une gerbe de fleur, mais par une gerbe tout court  
 
Mes parents, flippés à mort de honte devant le spectacle  
Bon, on m'évacue prestement, Sopalin sur la face, debriefing... ok retour sur scène
On s'emmène voir ailleurs
Quant à la vieille flaque cloaqueuse, bon ben on dira que c'est une bête (c'est pas si éloigné de la réalité )
Pauvre jardinier, il va retrouver des Rosae Degueuliis  
 
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Acte II
 
On entre donc dans l'auberge
Plein de cravateux bedonnant partout et de rombières en robes Daxon à fleur (ou presque)
On s'immisce dans la place
Profil bas, par sécurité
Pôpa va pour nourrir son network, Môman me surveille tandis qu'elle tient le crachoir à d'autres
 
Le repas arrive
Mon organisme est encore malmené par la vieille ramonée de tout à l'heure
Je vois passer les plats, sans intéret, et je me fais grave chier  
Quand vient le dessert
Pas de bol, un gâteau au chocolat de premier ordre commence à circuler, avec sauce anglaise succulente par dessus le marché  
Bon, le goret en pleine croissance que j'étais n'a pu résister - en plus je m'ennuyais ferme
Malgré mon état blobeux, et mon absence totale d'appétit, je commence à taper dans mon assiette
Maman Kotontij rassurée de voir son rejeton reprendre vie  
Plus le regard attendri des quinqua/sexagénaires femelles alentour : bon ok tout le monde est au courant de ma performance  
apparemment
Supayr  
 
Le gateau au choco était tellement bon que j'ai dû en taper plusieurs parts  
Bref c'est ragaillardi et proche de l'ataraxie que nous sortons de table pour embrayer sur la visite d'entreprise prévue  
 
Arrive la fin d'après-midi, fin de la convention
J'assiste au serrage de louche rituel, puis on dégage
 
Et là, je me retape le trajet retour
Les virages tournent dans l'autre sens mais c'est pareil  
Tandis que mon estomac, comme la première fois, tourne toujours dans le mauvais sens : beuuuuuhaaaar  
Chaleur, gitanes sans filtre fumées industriellement, virages : chouette je repars pour un tour  
 
Je tiens le coup malgré tout, stoïquement et courageusement, enfoncé dans la banquette arrière, occupé à réciter le notre père
 
Dernière agglomération avant l'arrivée at home : on touche au but
Et là, je dois prendre une sale couleur inquiétante vu que ma mère, se retournant pour m'évaluer conseille à mon père de s'arrêter au plus vite  
Il oblique donc sur un parking qui se trouvait là
Se gare
Mais c'est un virage de trop : j'ouvre la portière, et galope tant bien que mal vers la première chose verticale disponible
Un mur  
Qui sent la marde et la pisse  
Pô grave
Et BOUAAARK rebelotte
Une gerbe qui veut faire concurrence à la première... et qui réussit  
J'enchaîne les quintes, le truc classique genre : je gerbe => je vois la gerbe => ça me fait gerber => je gerbe
Sauf que là je suis seul donc je me gêne pas pout me lâcher un bon coup : je me tiens au mur et accompagne les convulsions de mon appareil digestif
Fini  
Je relève le nez, et pareil padbol, là aussi j'ai un spectateur  
Un petit vieux qui promène son clébard
Il a un regard complètement halluciné situé entre stupéfaction et dégoût  
Mon regard passe du vieux à la flaque à mes pieds : effectivement la gerbe de gateau au choco ça présente un aspect noirâtre assez saisissant et mystique
Voire inquiétant
 
Je demande pas mon reste (de toute façon j'en avais plus ) et je me casse
Ma mère vient à ma rencontre, nantie du Sopalin habituel (avec toutes les gerbes "bagnole" de mon existence, j'ai dû financer une usine Sopalin à moi tout seul)
 
Bon on s'attarde pas, d'autant que le vieux est toujours figé dans sa stupeur
Tenant son clébard serré, de peur qu'il ne s'en approche  
On se casse, retour à la maison sans problème
 
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Epilogue: mon père a arreté de fumer, et les voitures c'est moi qui les conduit maintenant
Epilogue2 : je me marre toujours autant à l'idée du vieux, perplexe, qui a dû se demander ce que j'ai bien pu bouffer

Kotontij t'as trop le staÿle quand tu racontes tes hontes. Je suis écroulé à chaque fois.
 
Et oh, une honte vomÿ qui revient !! Je sais plus si je l'ai postée mais bon.... Ahnon en fait 2
 
 
 
------La première -------
J'étais en CE1, voyage de classe de fin d'année, on était allé en Camargue.
 
Ahhhh la camargue, les flamands roses, les moustiques les rizières, le sel, bref tout le bordel....
Le voyage touchait à sa fin et nous etions tous dans le bus sur le chemin du retour.  
Dans mon école j'étais bien connu des profs, de la maternelle au cm2 (1 seule classe de chaque). Pour 2 choses :  
1-La bonne: j'étais un enfant "précoce", su lire avant d'aller à l'ecole, je parlais très bien, mes amis avaient 3 ans de + que moi et j'avais sauté le cp.
 
La mauvaise : Iryn en bus c'est devant avec un sac plastique parce que j'étais Dégueulis man !
 
Durant ce voyage, je n'avais meme pas été malade en bus, trop la classe, je m'étais dit que j'étais guéri! Ouéééééé....
 
Mais non en fait.
 
Voilà une heure que nous roulions dans ce foutu bus, il faisait chaud et je ne m'étais pa mis devant (ben ouais, je croyais que j'étais guéri). Soudain me monte une envie de gerber monstrueuse. Je me dis que je vais la contenir, je suis pas un paidai je suis guérÿ hein ! Mais non !! Je demande que l'on s'arrete (blourb) et le bus n'a même pas le temps d'ouvrir la porte centrale que je gerbe  dans ma casquette toute neuve et sur les pieds des 2 plus proches camarades. Eux :   , moi :  .  
Finalement je suis sorti du bus et j'ai lavé ma casquette dans une rizière du bord de la route. Mes amis n'ont plus mangé de riz pendant un mois et cette honte a fait le tour de l'ecole (c'etait marqué sur le compte rendu journalier du voyage, qui était fait pour les parents et affiché à l'entrée de l'école).
 
 
 
--------Deuxième honte ----------
 
Moi j'aime pas l'école ni le sport        Quand l'un me donne l'opportunité de rater l'autre alors je n'hésite pas.
 
C'est ainsi qu'en classe de première je me suis incrit à une journée sportive à Albi qui me permettait de louper une journée chargée (espagnol, anglais, maths ........).
Les inscrits du lycée se sont donc entrainés pendant les cours de sport (moi y compris) et vint enfin le jour j Youpi, une journée à Glander
 
Le matin je me dis que je vais prendre des frces alors je prends mon actimel quotidien (cay de la merde ce truc n'en buvez pas) et je sais pas ce que j'avais fumé mais je me suis dit que actimel dans chocolat au lait ca peut etre pas mal, après tout.... Du lait sucré dans du chocolat .
 
Mais en fait non.... C'est chelou mais je bois quand même, trop la dalle du matin....  
C'est donc l'estomac barbouillé que je pars au bahut pour prendre le bus. Je m'installe a coté de mon pote, coté fenêtre, de toute façons chuis plus malade en bus moi   .
 
Le voyage se passe bien jusqu'à gaillac, endroit à partir duquel ca touuuurne ..... Bon ca passe je sens rien je suis content. Et la la prof de sport qui nous file une barre céréalière à la banane pour avoir des forces , youpi.....
 
Mais quel con d'avoir mangé ca.
 
Dix bornes plus tard je sens vraiment que je vais gerber et la un rot et tout est remonté... Je ferme donc la bouche et serre les dents, me retourne vers mon pote en poussant des gemissements hhhhphhmmphphhh  
 
lui : koi ? tu vas gerber ?
moi : mphmmhphphm (acquiescement de la tete)
 
il a pas eu le temps de se sortir le pauvre.... (et ui j'etais coté fenetre au milieu du bus). J'ai éssayé d'en disperser le moins possible mais j'ai pas réussi à evter le bas de mon falzard et les cuisses du sien (quelques projections et une petite tache seulement).
 
Pouah, c'était une espece de glaire caoutchouteuse transparente et on a du se taper ca a nos pieds tout le trajet, mon pote méfiant s'attendant à une seconde rasade....
La galette allait de gauche à droite dans les virages, sans s'étaler (et ouais, caoutchout glavioteux insayde) et je trouvais ca a la fois immonde et remarquable (surtout pour celui qui allait nettoyer après ^^)
 
On arrive finalement à la journée sportive, je trimbale une espece de vielle odeur de gerbe sur moi et ca se voit, les gens se retournent en me regardant (j'étais en tenue de sport dans le bus donc je me suis pas rechangé).
 
La journée passe, on passe les epreuves sportives et vient le soir, moment de repartir....
 
Je m'installe à ma place normale, tout a été nettoyé (merci le chauffeur qui m'a dit "Ah non c'est degueu je nettoie pas ca moi !! " quand je suis sorti du bus et qui finalement s'est résigné à le faire)
 
Le truc c'est que la prof me voit, me cale d'office devant (putain je serai pas malade je vous dis, c'est le melange de ce matin....... ) et me file un sachet plastique....
 
Je me suis tapé tout le trajet seul devant (et ui quand on est que 25 un bus n'est pas plein) obligé d'écouter les vannes péraves des profs accompagnateurs....
 
 
bilan : Actimel dans chocolat au lait + barre céréalière à la banane dans le bus sur route qui tourne cay le male.

oula le roman , long, mais marrant

Le gars qui gerbe du slime

génial

Bon aller, depuis le temps que je m'éclate sur ce topic, c'est mon tour
 
Alors on était au planet des champs avec des amis pour l'anniversaire de l'un d'entre eux, tranquillement.
 
On est assez chaud, donc on a le champagne, l'entrée, le plat et le desert (en plus du verre d'eau indispensable bien sur ) et il faut préciser que je tiens assez mal le champagne.
 
Alors je commence soft avec une césar au poulet assez énorme, mais bon ca va tranquillement, on parle, on mange on boit etc..
 
Pis après arrive le plat, je suis plus trop sur de ce que c'était la par contre, mais encore du grand format, et ca continue tout tranquillement.
 
Ou est la honte me direz vous ? ca va venir
 
Apres l'entrée et le plat on passe au dessert, et donc forcément au gateau d'anniversaire.
Il s'agit la d'un gateau au chocolat assez grand.
 
Un pote, le frere du gars qui fait son anniversaire et moi, on essaie de se la jouer un peu, on est pas des kekos on peut prendre plus qu'une part de gateau par personne, même apres avoir mangé tout cela ... oui mais moi, à l'époque j'étais pas tres épais donc c'etait pas facile, et je n'ai pas l'habitude de manger beaucoup (je mange plus souvent dans la journée, que beaucoup d'un coup en fait, gouter, apero, etc..).
 
Mais bon tranquillement j'attaque ma 2e part, en faisant descendre le tout avec de l'eau, car je sens que le champagne passe plus trop ...
 
Au bout d'un moment je calle, je me met bien en arrière tranquille, et un de mes potes a à ce moment là, la mauvaise idée de me tapper sur le ventre pour me dire 'hey alors t'y arrives plus ', ce qui devait arriver arriva, je remplis le magnifique verre d'eau devant moi (j'ai eu du bol il était vide) d'un magnifique milk shake au chocolat, avec des petits morceaux verts faisant penser à de la menthe (mais c'etait plus de la salade ), et le truc c'est que je rempli pile le verre, rien a coté, et pas le verre à moitié.
 
On a pas osé expliqué au server ce que c'était donc on la recouvert d'une serviette et on s'est barré en esperant qu'il cherche  pas trop
 
 
Moralité : je n'ai plus jamais mélangé le champagne avec un gateau à la creme, car ce n'était pas ma 1ere experience du genre, bien que la j'avais un peu forcé sur la nourriture.
 
Précision : y'avait un pote a gauche qui m'a tappé dessus, mais à droite c'était une fille fort choquée

Ben c'était pas de ta faute, au contraire tu as tout fait pour limiter les dégâts.
Quelle grognasse    

la précision chirurgicale mes respects

Merci,
 
pis t'en fais pas, 15 secondes apres la fille s'inquiétait plus pour moi que pour la table, mais bon ca fait bizarre, par contre le verre était nickel de l'exterieur, vive les verres d'eau americain

Si vous avez aimé je peux vous en sortir d'autres des comme ca

Magnifique kontontij

 

 
Quelqu'un a un verre ? Vite !

nan c'est la seule fois ou j'ai fait server de milkshake en fait
j'ai pas toujours meme touch

 
 
Ouh la, je mets ça de côté pour tester  

j'aime pas les sardines donc je passe

Le truc immonde

faut arreter de lire Gaston  
 
 
m'enfin

 
Faut croire que c'était la mode à l'époque  
Mon mien de pôpa a touché également aux explosifs, de façon amateur
Même qu'à l'époque y avait eu une histoire, un mec avait essayé de moudre et mélanger sa préparation perso dans un moulin à café manuel (le vieux truc où on tourne la manivelle)  
Bah ça lui a pété à la gueule, et le mec est mort  

ça doit être l'époque effectivement...
 
Le mien avait trouvé un petit obus avec ses cousins...    
 
Ils ont voulu tenter une expérience.    
Ils ont donc mis l'obus dans un four    
 
Jusqu'à ce que leur oncle arrive         NON MAIS CA VA PAS ??? TT LE MONDE DEHORS !!!!
 
Donc évidemment, ça c'est su dans tout le village, il y a eu les pompiers et la gendarmerie qui sont intervenus...  

On trouve ce genre de scène amusante dans le film "l'effet papillon"

Pour les hontes truc qui pètent à la gueule,
 
Je sais pas si vous voyez les cartouches de gaz à usage unique pour lampe a souder réchaud et compagnie...
Bref, on en a trouvé une qui était vide et percée en son sommet d'un chit trou de quelques millimètres
 
Et là, vient l'idée du siècle dans nos pauv' petit crâne d'ado prépubère
Le remplir de flotte, la taper dans le feu en ayant placé un pitit bout d'boué dans le trou  
Yehha, ça décolle , trois ou 4 fois, un petit bous de bois décolle d'une dizaine de mètre
Vient alors l'idée débile de coicer plus le bois, pour que ça décolle plus haut  
Pas sur de not' coup on a reculé de 2 - 3 m  
Et malheureusement, la soudure qui tenait le fond de la cartouche à laché projetant la feraille en l'air accompagné de ce baoum si discret audible à des kilomètres.
On a pas demandé not' reste, on a éteind le feu et on s'est barré de croiser quelqu'un sur le chemin.

On voit les gens qui ont grandi avec un vocaulaire à la Audiard Continue sur cette voie kotontij !

 
Pas loin, mais... non  
Je vais révéler l'identité de l'une de mes références (en tout cas pour la forme) dans la hontounette qui suit  
 
Train grandes lignes hessenesseheff
Wagon corail avec le faux cuir qui pue qu'est moche
J'occupe l'une des places en vis à vis, seul dans cet espace de 4
En train de lire un délicieux ouvrage qui m'étire les zygomatiques tout en m'offrant la chance de pas voir le temps passer  
 
Arrêt en gare
Des gens montent dans le ouagon
Dont 2 donzelles apparemment pas farouches
S'installent un peu plus loin, mais de telle sorte que nous sommes face à face à quelques mètres l'un de l'autre
Je reprends ma passionnante lecture, tandis que le dur reprend sa route
Quelques minutes plus tard, j'entends pouffer
Lève les yeux
Et avise les 2 nanas souriantes qui me dévisagent
Moi, sachant reconnaître quant ma beauté racée trouble mes contemporaines féminines, je me fends du sourire enjôleur number 41bis, style mystérieux/ombrageux, mais la pupille humide qui laisse deviner humour, bonnes manières et sensualité
Bref, le viking de l'amûr que je suis se préparait et affûte ses grappins  
 
Je reprends ma lecture à nouveau, devinant que de l'action allait suivre  
Je ne fus point déçu
 
Une minute ou deux après, mon fan club reprend de plus belle
Cette fois, tandis que je me tourne vers elles pour passer au regard kitü no57 (celui où je compose c.u.n.i.l.i.n.g.u.s en morse avec mes paupières), je me rends compte qu'elles sont maintenant mortes de rire  
 
Je me persuade qu'une grande excitation sensuelle et visuelle, telle que je peux en déclencher, peut parfois à l'instar de l'orgasme, entraîner une hilarité incontrôlable
Mais en fait non je n'arrive pas à me convaincre, et je commence à sentir qu'il y a une couille dans le potage là
 
Nouvel éclat de rire, les nanas sont pliées en 2, et se cachent derrière le dossier
Oups
Y a un truc
 
Je dois arborer une mine défaite, car l'une des nanas se relèvant, elle se décide à révéler le motif de son hilarité
"C'est sympa ce que tu lis"  
 
Moi  
 
Je retourne mon bouquin, mate la couverture  
Et je comprends  
Le titre en était "Remets ton slip, gondolier", avec un visuel éroto-cul caractéristique de certaines des publications Fleuve Noir
 
Evidemment les manants alentour ont capté le manège et ont la politesse de ne point manifester leur amusement trop fort
Mais je sens que je suis bon pour HFR/hontes même si HFR n'existait pas encore à l'époque
 
Grillé, piteux, rougecommeunepivoiné, je sors un maladroit et misérable :
"pourquoi, tu veux le lire ?" pour montrer que j'ai malgré tout un sens de la répartie laconique en sus d'un grand altruimse
 
Je reprends ma lecture avec une morgue indifférence mais j'avais les boules quand même intérieurement en moi-même
Donc finalement un peu plus tard je remballe ce monument de littérature qu'est cet épisode des aventures du commissaire San-Antonio et son équipe en Italie à l'invitation du marquis de Bellazezeta (je crois ?)
 
Heureusement, Paris s'annonçait au loin
 
M'en fous, j'suis pas connu  
Pas encore

bon allait une petite honte bien marrante d'un pote
 
on jouait foot dans un parc. Bon pour situer l'affaire le terrain était délimité par quatres arbres et le terrain penchait vers un étang qui sentait l'égout vu que l'eau avait eu le temps de bien massérer    vous le sentez déjà venir hein ?    
 
Enfin bref le matin et les jours avant il avait plu et le sol était on ne peut plus glissant   et voilà que pour la 7ème fois le ballon se dirigeait droit vers l'étang. Mais cette fois décidés de le rattraper avant qu'il ne vole dedans, le pote en question et moi courrions à fond la caisse pour le choper. Bon moi voyant l'histoire arriver je me retiens à un poteau de lampadaire 2mètre avant l'étang, par contre lui tout sûr il continue, effectue un magnifique tacle, une magnifique réception, un retourné splendide mais c'est là qu'il se rend compte que le sol n'est qu'une vraie patinoire. J'ai juste eu le temps de le voir faire un demi tour (je le voyais de dos) et son regard défait et appeuré qu'on a entendu un gros PLOUF    
 
j'en ris encore, rien que pour le coup du regard dans lequel on pouvait déceler clairement un "HELP"    
 
Sinon au milieu de l'étang se trouve une petite île au canard comme on l'appelle. Quand la balle vole dans l'eau et qu'elle approche de l'île on sait aller jusque là mais le problème c'est qu'il y a deux oies qui attaquent comme des salopes. Elles ont pas peur les bougresses    mais ce qui est drôle c'est que le plupart du temps on envoie le mec qui en a une peur bleue alors c'est vraiment marrant de le voir tenir son baton de 30cm vers les deux bestioles tout en s'abaissant pour récupérer le ballon et biensur sous le regard de dizaine de personnes, leur nombre étant proportionnel au niveau d'UV
 
 

Rien qu'au début quand tu as dit "presque" j'ai pensé à San Antonio. Enfin, fallait le vouloir quand même, je suis sur que tu avais des SAS dans ton sac en plus

San-A roxx
RIP M. Dard

A celle de Kotontij sont et resteront les meilleurs          

 
J'ai dû en lire 3 ou 4, mais ça m'a saoûlé en fait
Je lui préfère la liberté de ton et d'expression de Dard, même si c'est parfois un peu puant
'fin bref on va pas initier un HS topicoïde sur San Antonio ici