hyperboleske a écrit :
red leader tu disais que pour "conspirer", il n'y a pas besoin de beaucoup de personnages. soit
seulement dans le cas de l'avion sur le pentagone, il faudrait avoir mis la compagnie american airline dans le coup, tut ne penses pas ?
cc'est à dire leur dire :
-alors surtout ne dite pas que vous n'avez pas perdu d'avion sur le pentagone.
moi ça me parait un peu gros tout de meme.
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Non, dans la thèse alternative, il n'y pas [besoin de ] de complicité des companies
Voici le synopsis alternatif dans lequel on peut constater que les complicité sont restreintes
SYNOPSIS ALTERNATIF DU 11 SEPTEMBRE 2001 VERSION Mai 2005 (résumée par Red Leader, combinant notamment les conclusions de Snake Plissken et celles de nombreux auteurs du réseau)
PHASE I - LES PREPARATIFS - SABOTAGE DE LA DEFENSE AERIENNE
Un Boeing ravitailleur 767-300 de l'armée, rempli de fuel comme il se doit (c'est sa fonction première) et d'explosifs, et un système de télécommande est installé. Il est peint aux couleurs d'American Airlines. Il est légérement plus allongé que le 767-200 d'American Airlines (la différence peut être detectée sur les photos). Pour justifier aux yeux des témoins la "destruction" de la tour, il fallait une grosse explosion nécessitant beaucoup de fuel. Appellons le "pseudo vol 175".
Pour les 4 vols qui seront "détournés", les agents spécialisés ont les ordinateurs d'American Airlines et de United et pour une tâche très simple : limiter à un quart les places disponibles à la réservation pour les clients, il suffit d'inscrire des fausses réservations qui seront effacées une fois le" travail" terminé.
Par ailleurs, les comploteurs qui occcupent des positions de commandement aux Pentagone, décident d'organiser des "simulations d'attentats" d'une ampleur sans précédent dans l'histoire militaire justeemnt programmé le 11 septembre : http://911review.com/means/wargames.html
Quelle coïncidence! Ou bien alors Ben Laden leur a passé un coup de portable depuis sa cave de Tora Bora, pour leur dire que ça l'arrangerait bien si ces "simulations " avaient lieu au moment ou ses "kamikazes islamistes " allaient se crasher? Non, bien sûr je plaisante, l'intérêt de ces "simulations d'attentat" est évidemment de détourner l'attention des militaires, qui vont confondre les "vrais" attentats, avec les "faux". Vous suivez toujours, ça se complique un peu c'est vrai. Mais bon , imaginons que ces "simulations d'attentats" n'aient pas eu lieu justement, à point nommé, le 11 septembre 2001 , il y aurait eu immédiatement une mobilisation générale de l'aviation militaire et des interceptions de ces avions, et là évidemment ces avions aurait été descendus bien avant de démolir quoi que ce soit.
En effet, la procédure standard veut que si des terroristes ont manifestement pris le contrôle d'un aéronef quel qu'il soit, il est descendu sans scrupule aucun puisque les innoccents passagers mourront de toutes façons dans un crash! On ne va pas en plus ajouter d'innombrables victimes au sol!
Mais là tout va bien pour Ben Laden, car le temps que les militaires se rendent compte que les faux attentats sont des vrais crashes, c'est trop tard, dommage!
PHASE II - DETOURNEMENT ET PARCAGE DES AVIONS COMMERCIAUX
Les avions ont décollé normalement, mais ils ont été dérouté par un agent du Mossad placé dans chaque avion, qui se présente come agent de la CIA et possédait des codes et documents lui donnant autorité pour dérouter l'avion vers une anciennne base militaire récemment privatisée.
L'agent a indiqué que l'avion était sous la menace d'un attentat à la bombe. Le commandant de bord a donc obtempéré sans problème, l'information étant confirmé par un autre agent au Norad ou Pentagone
Les commandants de bord se doivent bien sûr d'obtempérer. Il ne leur viendrait même pas à l'idée de discuter des ordres émanant du agent de la CIA et confirmé au sol par un autre du NORAD, qui est l'autorité supérieure à l'aviation civile FAA. Les avions se dirigent donc vers la base militaire (AFB) indiquée
Ils ont également coupés leur transpondeur comme lagent de la CIA l'a ordonné. Ainsi, ils disparaissent des écrans des "aiguilleurs du ciel", qui perdent ainsi l'identité de l'avion, son type et son altitude. Bien sûr les radars, militaires ou civils détectent toujours la trace anonyme des avions sur les écrans radars.
Un avion de taille moyenne assez maniable est alors envoyé s'écraser à 8H46 sur la tour Nord WTC1, à la place du vol AA11 réel qui se pose sur la base militaire, il n'est filmé que par hasard, car bien évidemment aucune caméra n'est installée AVANT le premier crash (sauf pour GW Bush qui a bien expliqué qu'il a vu le premier avion s'écraser EN DIRECT SUR EN ECRAN (? Qui filmait en direct???)
A partir de ce moment-là, les télévisions du monde entier sont braquées sur le WTC, ce qui était bien l'effet recherché : supposons qu'il n'y ait eu qu'un seul avion, on aurait quasiment rien vu, et évidemment pas en direct! C'est la raison principale pour laquelle il fallait deux avions, pour bien laissr le temps aux caméra de filmer le deuxième crash bien spectaculaire et nous le faire vivre en DIRECT, ce qui a un impact incomparable sur les esprits.
PHASE III - LE BIG ATTENTAT EN DIRECT, AVEC BIG EXPLOSION
Puis tandis que le vrai vol 175 se pose lui aussi sur la même base militaire, le "pseudo vol 175" bourré de fuel et d'explosifs, est guidé à distance (technologie militaire Global Hawk) pour s'écraser, cette fois-ci en direct et en mondovision, sur la tour Sud. Les opérateurs à distance ont eu beaucoup de mal à faire tourner ce 767 en épingle à cheveux, et il s'est écrasé sur le coin de la tour.
Pour faire une si énorme flamme incandescente digne des explosions dans les films de Bruce Willis, il fallait mettre la paquet, on n'aurait jamais obtenu cet effet spécial hollywoodien avec le peu de kérosène de l'avion de ligne. Et on auraitpeut-êter plus douté qu'un explosion minable pouvait démolir deux tours avec une âme en béton armé.
En plus, il fallait bien que l'on justifie la démolition de la tour par une grosse explosion. Au fait, à quoi sert la démolition des tours??? Imaginons que l'on ne les ait pas démolies : des centaines de pompiers se seraient aperçu qu'il n'y avait aucun corps dans les avions! ni d'ailleurs de sièges. Contrairement au pentagone où les opérations "anti-incendie et de nettoyage" étaient étroitement contrôlées par Donald Rumsfeld himself.
PHASE IV - LE PENTAGONE, AU FAIT POURQUOI LE PENTAGONE??
Les comploteurs, personnages hauts placés mais qui ne sont qu'un petit groupe au Pentagone, avaient un gros problème à résoudre. En effet, le pot-aux-roses du 11 septembre était inéluctablement condamné à être découvert un jour ou l'autre par leurs collègues du Pentagone qui eux ne faisaient pas partie du complot.
Ils ont donc eu une idée de génie (du mal) : réunir tous ces "pacifistes" (du point de vue de ces dangereux fascistes) du Pentagone pour "faire le point sur l'attaque en cours au WTC, dans une salle de l'aile ouest du pentagone.
Il faut voir que ce point éclaircit deux anciens "mystères" du 11 septembre :
pourquoi attaquer le pentagone, défendu par cinq batteries anti-missiles extrêmement sophistiquées (qui bien sûr nont pas fonctionnée ce jour là, sûrement à cause des multiples simulations en cours, programmées par hasard pour le 11 septembre)
IL NY AUCUNE POSSIBILITE QUE LES CINQ BATTERIES SOIENT DESACTIVEES, LAISSANT AINSI LE CENTRE DE COMMANDEMENT NEVRALGIQUE DE LARMEE LA PLUS TECHNIQUEMENT AVANCEE AU MONDE (ET DE LOIN) SANS DEFENSE AUCUNE, SANS COMPLICITE AU PENTAGONE ET SANS LORGANISATION DES SIMULATIONS (WARGAMES)
et pourquoi ne pas se contenter de faire un attentat sur le WTC, nous disent les croyants de la version officielle? si c'est un complot, ils auraient pu se contenter de démolir le WTC?
Non, les initiateurs du 11 septembre ne pouvaient se contenter de simuler un "attentat islamique" sur le WTC : ils étaient dans l'obligation de se débarrasser de collègues qui allaient forcément devenir très génants et dangereux pour eux!
Sans compter que pour la "malheureuse disparition" de tous ces opposants permet d'avoir le champ libre pour engager à fond, sans entrave, la nouvelle politique de guerre infinie contre le terrorisme" et tous azimuths, qui allait être justifiée comme "légitime défense" en réponse aux attaques du 11 septembre.
Les comploteurs qui occupent une position de commandement au Pentagone organisent un réunion dans les locaux Naval Intelligence Service, justement - il faut avouer que les néoconservateurs ont le sens de l'humour (noir) - pour analyser les attentats du WTC qui viennent d'avoir lieu!
Dès que ceux-ci sont réunis dans les locaux de la Naval Intelligence Service, les agents à bord du faux vol AA77 leur expédie directement un missile à tête en uranium appauvri, qui justement perce les blindages des bunkers en béton armé. Seul un missile possède la précision nécessaire pour éliminer une cible qui se trouve dans une salle déterminée du Pentagone
Un camion explose au moment du passage de lavion juste au dessus du Pentagone, disparaissant ainsi dans le nuage de lexplosion. Juste derrière le Pentagone, en ligne droite dans la direction de limpact, se trouve laéroport où lavion atterrit normalement.
(Remarque : ici ,la version alternative est un peu différente de celle de Meyssan, qui fut quand même lun des premiers à constater que les dêgats ne correspondent pas à limpact dun avion, mais a la percée dun missile. Toutefois, plusieurs témoins qui paraissent crédibles attestent avoir vu un avion de ligne voler au dessus deux à très basse altitude ; conclusion : il y a bel et bien eu un avion qui est passé par là)
Le missile ultra précis passe par la fenêtre de la salle visée, sa charge éliminant proprement au passage les "pacifistes" du Pentagone placés au mauvais endroit par le "destin", et son nez un uranium appauvri traverse TROIS anneaux du Pentagone et ressort en faisant un trou de 2M60 de diamètre à la sortie. (la version officielle dit que l'avion s'est vaporisé à l'extérieur - c'est pour cela que le mur et les fenêtres sont intactes pendant 40 minutes après l'impact - puis, tout vaporisé qu'il est, a traversé 6 épaisses parois en béton armé de kevlar. Coup de chance, Ben Laden avait choisi justement de frapper une partie qui, ça tombe bien, était en REFECTION.)
Au mêmemoment, à chaque endroit où une caméra vidéo a pu filmer l'avion et son missile, un "agent de la CIA" (du Mossad) vient saisir la vidéo sous les yeux ébahis des témoins stupéfaits par la rapidité de récation de ces supers agents (mais avouons que de savoir d'avance les a un peu aidé à intervenir "dans la minute" )
Donald Rumsfeld, qui a la chance extrême ;-) de ne pas être à la réunion, fait alors immédiatement recouvrir le site de tonnes de gravier. Les bigots de la théorie officielle nous assure que sans gravier, les camions des pompiers se seraient enfoncés sous la terre (car comme chacun sait, le Pentagone est construit sur des sables mouvants)
PHASE V- ELIMINATION MALHEUREUSEMENT INEVITABLE DES PASSAGERS
Pendant ce temps là, sur la base militaire on demande gentiment, "pour leur propre sécurité", aux passagers des vols 11, 175 et 77 de rejoindre ceux du vol 93. On comprendra aisément que tous ces passagers, censés avoir disparu dans les "attentats", ne peuvent pas être gardés en vie.
On explique donc aux commandants de bord qu'ils doivent retourner vers Philadelphie par exemple. Ensuite l'ordre est donné d'abattre l'avion. Comme lot de consolation, ces victimes seront élevés aux rang de héros, qui tels Bruce Willis (tiens encore lui, je crois que les comploteurs du 11 septembre sont fan de la série "die hard" ), ont combattus courageusement les lâches terroristes islamistes. Ces derniers leur laissaient quand même le temps de passer quelques coups de fils avec leurs portables ; au fait vous avez déjà essayer de passer un coup de portable depuis un avion en vol?
Malheureusement les, quatre terroristes islamiques, seulement armé de cutters, mais génétiquement modifiés par les ingénieurs d'Al Qaeda (au sein de leurs labos ultra futuristes dans leurs bases géantes souterraines d'afghanistan), ont eu le dessus sur les 80 passagers.
Mais, déprimés par l'obstination inattendue de ces héros américains, les terroristes ont décidé de se crasher dans un champ de pennsylvanie, au beau milieu de nul part, au lieu de démolir le Capitole ou la Maison Blanche, ce qui était pourtant leur objectif initial.