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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°28632860
geaivin
Anarchiste d'extrême justesse
Posté le 11-12-2011 à 17:50:11  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
le fils à tyson !


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Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences... A. Gavalda
mood
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Posté le 11-12-2011 à 17:50:11  profilanswer
 

n°28675008
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 15-12-2011 à 16:04:05  profilanswer
 

Extrait n° 16

 

Ce qui fait la différence entre un toubib et une caissière de supermarché, c’est que le praticien se lève pour aller à la rencontre de ses clients qui attendent dans la salle d’attente. Les caissières restent assises et ce sont les  clients qui viennent à elles. Intellectuellement, sans compter la moindre des politesses, c’est nul. Voilà pourquoi les médecins sont si bien payés et qu’ils font de si longues études. L’inspecteur Marlou faisait l’Américain, les jambes écartées sur son bureau, le feutre rejeté en arrière, tout en se curant à la Française la crasse de ses ongles avec un trombone déplié. La sonnette de l’entrée annonçât son premier client de la journée. Prenant exemple sur une secrétaire médicale, il le laissa poireauter un bon moment, histoire de faire l’occupé. L‘affaire Kiki lui avait rapporté de quoi rouler en Dacia, mais il avait tout bêtement préféré éponger ses dettes avec le pactole de Germaine. Il se racla longuement les chevilles et le lobe de l’oreille, à la Roumaine, puis il se décida à bouger.

 

L’homme qui attendait se trouvait seul, le visage plongé dans un Mickey-Parade. Lorsqu’il daigna reposer sa lecture, Marlou sentit tout de suite qu’il était en présence d’un client peu ordinaire. Les yeux de l’inconnu se trouvaient, bien sûr, mais il étaient masqués par de grosses lunettes noires. Il portait sur son bras un costume noir, tout comme sa cravate et son chapeau. Tout en lui était noir, d’ailleurs il était noir. Marlou remarqua la discrète bosse que dessinait son bazooka réglementaire sur la poche avant de son pantalon noir. Entre le moment où la sonnette avait retentit et l’entrée de Marlou dans la salle d’attente, l’homme noir avait eu le temps de poser un peu partout un nombre considérable de micros. Pour le moment il était à l’écoute. Marlou fit semblant de rien, se contentant d’introduire ce mystérieux homme sans couleur dans son bureau. Il savait déjà que ses honoraires allaient grimper en flèche avec ce gugus. L’amour, la violence, la tendresse s’exprimaient à la façon dont l’inconnu s’empara de sa chaise, après avoir une nouvelle fois réglé la fréquence de ses micros-micros. Il se racla la gorge pour annoncer enfin la couleur :

 

– Je dis bonjour patron. Y’en a l’agent Number Two, officier des services secrets du Gurukislapet. Le mien pays indépendant réclame ton étroite collaboration, pour toi m’aider à retrouver rondelle sacrée de notre princesse Ewij Nikasek, sachant que vous avez assisté naguère mon regretté camarade N°001. Toi y’en a connaître déjà ravisseurs. Votre mission, si vous l’acceptez, tu dis ok, et moi je donne cash.

 

L’entretien devint une sorte de huis-clos haletant, débouchant sur un écheveau de possibles que l’inspecteur Marlou s’efforça de tarifer mentalement :

 

– Je pense que l’on ne peut pas travailler sans boire un coup, annonçât Marlou en débouchant un litre de rosé, pendant que l’autre acquiesçait d’un revers de ses Ray-Ban, tout en dévissant l’ampoule de la lampe de bureau pour y glisser un micro à la place. Une société moderne, n’est-elle pas sécurité et transparence ?

 

– Entre nous, inspecteur patron, si toi et moi plus de criminels, plus de danger, nous se faire royalement chier, non ? En tout cas, y’en a jamais vu boula matari comme inspecteur Marlou.

 

– Naturellement, ça nous donne beaucoup de boulot et parfois on est même obligé de réfléchir. Moi, ma motivation c’est moins le plaisir de butter le quidam que les primes et le salaire. Le pognon, invariablement, ça fait émerger ma créativité.

 

Une extraordinaire interaction se produisit sur ces derniers mots entre son verre de rosé et le bout de ses lèvres. Number Two s’était levé pour poser quelques verrous supplémentaires sur la porte. Après quelques verres, il se mit à parler correctement le Français, à gesticuler, complètement noir, utilisant avec Marlou un code pour ne pas que l’ennemi comprenne ses paroles, à utiliser un tutoiement jovial et de très bon aloi. Ils s’embrassèrent, s’étreignirent comme des frères et échangèrent leurs numéros de fax portables. Marlou reconduisit l’agent du Gurukislapet le cœur lourd, par un passage secret, dévalant l’escalier à sa suite, saluant au passage quelques connaissances, marchant vite, parlant vitre, avant qu’il n’autorise enfin l’agent à sortir prudemment dans la rue. Derrière une porte cochère, l’inspecteur le regarda encore s’éloigner sur le trottoir et jeter discrètement un coup d’œil à tous les rétroviseurs des voitures en stationnement qu’il longeait. Marlou le vit sauter d’un train en marche et attendit de le perdre complètement de vue pour rengainer son arme. Une fois rentré dans son bureau, il bazooka à bout portant tous les micros que l’autre avait installé dans son cabinet, maison de tradition fondée en 1936. L’écho des coups de feu se répercuta dans les couloirs, éclairant nettement la façon dont l’inspecteur Marlou entendait mener à bien sa nouvelle mission. Les ravisseurs de la rondelle sacrée suscitaient en lui un ardent désir de rencontre.

 

Kiki Yorkshire lécha les mains de Germaine malgré sa peur des coups, car à chaque tentative d’évasion, Kiki à sa mémère prenait sur les reins une douloureuse volée de manche de pelle. Germaine hurlait à son encontre  d’incroyables monologues, oscillant entre emballement et ressassement, ce qui provoquait un repli prudent de Kiki vers son petit panier, finalement incompétent à cercler l’essence féminin. Babe lui manquait terriblement. Au cours de sauvages courses-poursuites nocturnes qui le voyaient galoper en tous sens pour fuir une Germaine amoureuse et insatiable, le souvenir de Babe enracinait en lui une farouche énergie, une foi aux vertus euphorisantes pour laquelle il priait les trois dieux uniques des trois religions. Germaine finissait toujours par le coincer sur le canapé pour l’aborder avec fraîcheur, marquant les joues de Kiki du rouge à lèvres de ses baisers brûlants. Les nuits se finissaient alors en apothéose et le corps de Germaine ondulait comme un poème, avant que Kiki Yorkshire ne largue les amarres de sa raison. Resté seul dans le grand lit blanc, Kiki perdait alors sur l’oreiller autant de larmes que d’urine, hanté par cette question lancinante : « où était Babe en ce moment ? ». De temps en temps, Germaine attachait au cou de son petit Kiki une lourde chaîne pour l’emmener voir quelques opérettes et autres comédies musicales. Dans la solitude des fauteuils du troisième rang, Kiki fomentait en secret un coupable désir de meurtre aux ramifications oniriques, qui faisaient de son cerveau un remake modernisé de la guerre du Vietnam. Un univers intime teinté de noirceur tirant vers le Far-West. La truffe grimaçante, il se retenait de mordre les longs orteils de Germaine appuyés devant lui sur le sol, pendant qu’elle faisait sa petite affaire avec l’acteur principal de la pièce de théâtre, dont le corps debout et froid s’attendait au pire de la part de cette vioque, surprise, et même étonnée par la chaleur qu’elle même dégageait.


Message édité par talbazar le 15-12-2011 à 18:25:56
n°28732014
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 22-12-2011 à 07:59:27  profilanswer
 

Extrait n° 17

 

Comme ils n’avaient pas leurs épées, Test, tost, Sté, Ron, croisèrent leurs Opinels de cuisine pour raviver le serment qui les liaient à leur sainte cause. Les frères thuriféraires des évangiles secrètes de Saint Jean l’Apostiche de la Jésuralem Céleste, céroféraires du Saint Temple de l’amicale non laïque de l’école de la petite Jéricho, renouvelèrent ainsi leur désir de faire craquer le Pape ; en lui envoyant une vidéo secrète de la rondelle sacrée de la princesse du Gurukislapet, la petite Ewij Nikasek. Au passage ils faisaient chanter son père à la télé, réclamant le poids de sa fille en actions de start-up, afin de renflouer les caisses de la secte, mises à mal par leur passage en Albanie. Malheureusement, il leur faudrait peut-être sacrifier au rituel et immoler la princesse sur l’autel quatre étoiles situé près de la gare, car l’ésotérisme théologique de leur engagement commandait le prix d’une virginité. Ewij les regarda faire dans la pénombre de la cuisine, où elle abandonna son économe au milieu d’une montagne d’épluchures de patates. La pauvre enfant triste secoua son bonnet péruvien multicolore, tout en grattant sur sa joue l’acné rebelle de ses rebelles années, belle tannée par son enfance à St tropez, damnée par le ciel et fanée par le fiel de son enlèvement au cours duquel elle avait vu ses seins pousser :
– Bande de marioles, puisque je vous dit que je suis aussi vierge qu’il existe un spot de trompettes de la mort sur le boulevard Haussman.
 L’évocation des trompettes rappela à Sté la sainte Jéricho et il tomba à genou en extase au milieu des casseroles. Ron rengaina son opinel et balança une mandale à Ewij, parce qu’elle avait utilisé un de leurs parchemins millénaires pour emballer les épluchures de ses pommes de terre :
– Faudra vous le dire combien de fois de ne pas fouiller dans nos affaires ?
– C’est bon ça va j’ai compris, déjà qu’à cause de vous j’ai loupé les soldes !
 Ron se déboucha une bière sans répondre et proposa à Sté de se rendre au salon, par la fenêtre duquel se détachait la silhouette de la tour Eiffel.
– Non seulement tous les policiers de New-York sont des pédés, mais en plus il faut que tout le monde le sache.
– Pourquoi tu dis ça ? Demanda Sté qui se méfiait grandement des nouvelles inclinations amoureuses de son frère en la secte.
– Sur le dos de leurs blousons, c’est toujours écrit NYPD.
– T‘es con Ron, et lâche mon genou, s‘il te plait.
– Bon on se la tourne cette vidéo ?  Déboula Test, caméra au poing.
– Pas être possible, minauda Ewij, je suis en début de cycle.
 Tost lui balança une formidable torniole qui la plongea sur le canapé, pour lui apprendre à ne pas intervenir dans leurs plans. Dépité, Test posa sa caméra au milieu des bières :
– On se fait chier, si on louait une pute ?
– Je préfère qu’on se fasse livrer une pizza, parce que les frites de la petite, on est pas prêt de les bouffer.
 Test composa le numéro de Babe, sans savoir qu’il faisait ainsi pénétrer le loup dans sa bergerie.

   



Message édité par talbazar le 22-12-2011 à 08:08:39
n°28732043
quiet now
Posté le 22-12-2011 à 08:08:53  profilanswer
 

Citation :

Test, tost, Sté, Ron


[:m3e30:1]

n°28732076
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 22-12-2011 à 08:24:32  profilanswer
 

J'attire les smiley comme brigitte Bardot les amis des bêtes.

n°28734357
Mellodya
Posté le 22-12-2011 à 12:45:54  profilanswer
 

Copains :p y'a un endroit où lire tous les extraits en une fois s'il vous plaît :) ?

n°28735130
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 22-12-2011 à 14:02:27  profilanswer
 

Non, ami.
Mais je me flatte.

n°28735152
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 22-12-2011 à 14:04:04  profilanswer
 

Mellodya a écrit :

Copains :p y'a un endroit où lire tous les extraits en une fois s'il vous plaît :) ?


 
Tu en as pas mal de recensées dans le premier post, si tu ne l'as pas déjà lu.


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Ma chaîne YouTube d'écrivain qui déchire son père en pointillés - Ma page d'écrivain qui déchire sa mère en diagonale
n°28735420
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 22-12-2011 à 14:22:24  profilanswer
 

Surtout qu'en plus, "Marlou les doigts d'or", ça s'arrêtera quand je serai mort. [:abakuk:1]

n°28742283
eisbaer
alles ist so klar
Posté le 23-12-2011 à 10:05:14  profilanswer
 

Bonjour je lurké ce topic depuis un petit moment et je voulais votre avis sur un extrait de gribouilles (faut être réaliste je me prétend absolument pas écrivain) couchée sur le papier .
 
C'est u bout  de fantasy (oui je sais c'est über original ) pour l'instant la totalité de ma bafouille fait 107 pages ,j'ai pas mal de personnages d'intégrés dedans ,plus ou moins actif dedans ce qui fiat que je peut tout à fait rembrayer sur l'un d'eux le cas échéant  
 
Bref un petit extrait pour avis  
 
contexte : le personnage principal de ce passage est au sur le marché de la ville ,il bouscule un mec et ça part en vrille ...
 
note :c'est un perso secondaire  
 

Citation :

Le père de Sten était l'exact opposé de son fils, petit, râblé mais néanmoins une vraie bête de somme pour venir à bout du dur travail que représente la tenue d'une ferme.
Tous deux arpentaient les allées du marché quand croisant un groupe d'hommes en armes, l'un d'eux bouscula le père de Sten et celui ci tomba lourdement au sol.
 
- Tu ne peux pas faire attention vieillard tu as failli me salir avec tes guenilles dit l'un d'eux au père de Sten.
 
Il n’eut juste le temps de finir sa phrase qu'un coup de poing vint le cueillir au menton.
A son tour il s'effondra au sol dans un fracas de métal.
 
-Qui a osé me frapper que je le saigne comme un porc hurla l'homme en armure au sol
-C'est moi espèce d'imbécile dit Sten, tu n'es pas digne de l'armure que tu portes.
 
Tout en se redressant l'homme s'approcha de Sten.
 
-Ce n'est pas un éleveur de poule qui va me dire ce que je dois faire, viens ici que je te passe l'habitude d'être insolent.
L'homme dégagea son épée et instantanément la foule s'écarta formant un cercle autour de Sten, son père et son agresseur.
 
Sten aidais son père à se relever quand avec la plus grande couardise l'homme en arme chargea dans le dos de son adversaire.
 
Sten sentant le danger arriver repoussa son père par terre et sortis une hachette qu'il portait en permanence à la ceinture et eu juste le temps de parer le coup qui aurais dû lui être fatal.
 
-Espèce de raclure de bas étages non seulement tu es vulgaire et irrespectueux des anciens mais en plus tu es lâche lança Sten.
-Je n'ai rien à attendre d'un manant comme toi, ta langue est bien trop pendue,je vais te calmer définitivement vociféra l'homme en armes.
 
Celui ci recula et s'apprêta à charger une nouvelle fois.
Sten était prêt il jugea rapidement de l'état de sa hache, celle ci ne pourrait résister longtemps pour parer les coups d'épées, le premier assaut avait déjà grandement entaillé le manche.
L'homme chargea de nouveau et d'un geste rapide Sten dévia la lame de sa poitrine vers le côté.
Emporté par son élan l'homme se retrouva à hauteur de Sten qui lui asséna un coup de coude dans la tempe qui le fit choir dans la poussière.
 
-Alors bouffon tu te relèves qu'on en finisse ricana Sten
 
L'homme un peu sonné se releva tant bien que mal en s'appuyant sur son épée.
De par son côté facétieux Sten faucha l'épée d'un coup de pied et l'homme en équilibre précaire retomba derechef.
 
-Tu te souviendras monsieur l'homme en arme de mon nom je suis Sten et si tu éprouvais encore une fois le besoin de calmer ton insolence je reste à ta disposition, au fait tu devrais nettoyer ton armure elle est bien sale.
 
Sur ce Sten épaula son père et tourna les talons fendant la foule pour partir.
 
-Holà mon gaillard tu ne compte pas nous faucher compagnie si vite j'espère mon collègue n'en as pas finis avec toi.
 
Devant Sten se tenait les quatre compagnons de l'homme en arme, épée au poing.
Soudain un hurlement jailli derrière Sten celui ci se retourna pour parer l'assaut mais il n’eut point à le faire l'homme c'était arrêté juste devant lui.
 
-Mes condoléances à ta mère chuchota t il à l'oreille de Sten.
 
Il recula d'un pas la lame de son épée ensanglantée.
Sten se tourna vers son père et vit celui ci, crispé les mains sur la poitrine sa chemise prenant une teinte rouge, tomber à genoux puis face contre terre le dos percé en son milieu.
 
 
-Nooooon !!!!!!!!!hurla Sten tombant à genoux et étreignant son père agonisant
 
.....
 


 
toute critiques constructive est la bienvenue  ;)


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Ich machte ein Eisbar sein ,im kalten Polar
mood
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Posté le 23-12-2011 à 10:05:14  profilanswer
 

n°28743710
Merome
Chef des blorks
Posté le 23-12-2011 à 12:02:17  profilanswer
 

eisbaer a écrit :


 

Citation :

Le père de Sten était l'exact opposé de son fils, petit, râblé mais néanmoins une vraie bête de somme pour venir à bout du dur travail que représente la tenue d'une ferme.
Tous deux arpentaient les allées du marché quand croisant un groupe d'hommes en armes, l'un d'eux bouscula le père de Sten et celui ci tomba lourdement au sol.
 
- Tu ne peux pas faire attention vieillard tu as failli me salir avec tes guenilles dit l'un d'eux au père de Sten.
 
Il n’eut juste le temps de finir sa phrase qu'un coup de poing vint le cueillir au menton.
A son tour il s'effondra au sol dans un fracas de métal.
 
-Qui a osé me frapper que je le saigne comme un porc hurla l'homme en armure au sol
-C'est moi espèce d'imbécile dit Sten, tu n'es pas digne de l'armure que tu portes.
 
Tout en se redressant l'homme s'approcha de Sten.
 
-Ce n'est pas un éleveur de poule qui va me dire ce que je dois faire, viens ici que je te passe l'habitude d'être insolent.
L'homme dégagea son épée et instantanément la foule s'écarta formant un cercle autour de Sten, son père et son agresseur.
 
Sten aidais son père à se relever quand avec la plus grande couardise l'homme en arme chargea dans le dos de son adversaire.
 
Sten sentant le danger arriver repoussa son père par terre et sortis une hachette qu'il portait en permanence à la ceinture et eu juste le temps de parer le coup qui aurais dû lui être fatal.
 
-Espèce de raclure de bas étages non seulement tu es vulgaire et irrespectueux des anciens mais en plus tu es lâche lança Sten.
-Je n'ai rien à attendre d'un manant comme toi, ta langue est bien trop pendue,je vais te calmer définitivement vociféra l'homme en armes.
 
Celui ci recula et s'apprêta à charger une nouvelle fois.
Sten était prêt il jugea rapidement de l'état de sa hache, celle ci ne pourrait résister longtemps pour parer les coups d'épées, le premier assaut avait déjà grandement entaillé le manche.
L'homme chargea de nouveau et d'un geste rapide Sten dévia la lame de sa poitrine vers le côté.
Emporté par son élan l'homme se retrouva à hauteur de Sten qui lui asséna un coup de coude dans la tempe qui le fit choir dans la poussière.
 
-Alors bouffon tu te relèves qu'on en finisse ricana Sten
 
L'homme un peu sonné se releva tant bien que mal en s'appuyant sur son épée.
De par son côté facétieux Sten faucha l'épée d'un coup de pied et l'homme en équilibre précaire retomba derechef.
 
-Tu te souviendras monsieur l'homme en arme de mon nom je suis Sten et si tu éprouvais encore une fois le besoin de calmer ton insolence je reste à ta disposition, au fait tu devrais nettoyer ton armure elle est bien sale.
 
Sur ce Sten épaula son père et tourna les talons fendant la foule pour partir.
 
-Holà mon gaillard tu ne compte pas nous faucher compagnie si vite j'espère mon collègue n'en as pas finis avec toi.
 
Devant Sten se tenait les quatre compagnons de l'homme en arme, épée au poing.
Soudain un hurlement jailli derrière Sten celui ci se retourna pour parer l'assaut mais il n’eut point à le faire l'homme c'était arrêté juste devant lui.
 
-Mes condoléances à ta mère chuchota t il à l'oreille de Sten.
 
Il recula d'un pas la lame de son épée ensanglantée.
Sten se tourna vers son père et vit celui ci, crispé les mains sur la poitrine sa chemise prenant une teinte rouge, tomber à genoux puis face contre terre le dos percé en son milieu.
 
 
-Nooooon !!!!!!!!!hurla Sten tombant à genoux et étreignant son père agonisant
 
.....
 


 
toute critiques constructive est la bienvenue  ;)


 
Je sais pas si c'est constructif, mais j'ai mis en gras tout ce qui m'a sauté aux yeux comme fautes et comme maladresses.
Des "quand" et des "qui" utilisés n'importe comment. Des expressions mal utilisées. Des virgules qui manquent pour comprendre ce qui se passe. Des insultes anachroniques.
Bon, et puis c'est de la fantasy...
 [:massys]


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Ceci n'est pas une démocratie
n°28744150
eisbaer
alles ist so klar
Posté le 23-12-2011 à 13:06:24  profilanswer
 

si c'est bien constructif ,merci à toi ,le fait de lire et relire la même chose fait qu'au bout d'un moment on ne voit plus ou cela pêche et le fait est que tout ce que tu as souligné ,colle mal mais je ne le voyais plus .
On a souvent tendance à se focaliser sur l'orthographe mais pour la syntaxe et la structure c'est plus dur de prendre du recul je vais rebosser cette partie pour un second jet voir si ça passe mieux,  
 
bien que ce soit de la fantasy  :o


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Ich machte ein Eisbar sein ,im kalten Polar
n°28744271
eisbaer
alles ist so klar
Posté le 23-12-2011 à 13:20:55  profilanswer
 


 
Le père de Sten était l'exact opposé de son fils, petit, râblé mais néanmoins une vraie bête de somme pour venir à bout du dur travail que représente la tenue d'une ferme.
Tous deux arpentaient les allées du marché, quanden croisant un groupe d'hommes en armes, l'un d'eux bouscula le père de Sten et celui ci tomba lourdement au sol.
 
- Tu ne peux pas faire attention vieillard tu as failli me salir avec tes guenilles dit l'un d'eux au père de Sten.
 
Il n’eut justepas le temps de finir sa phrase qu'un coup de poing vint le cueillir au menton.
A son tour il s'effondra au sol dans un fracas de métal.
 
-Qui a osé me frapper que je le saigne comme un porc ! hurla l'homme en armure au sol
-C'est moi espèce d'imbécile dit Sten, tu n'es pas digne de l'armure que tu portes.
 
Tout en se redressant l'homme s'approcha de Sten.
 
-Ce n'est pas un éleveur de poule qui va me dire ce que je dois faire, viens ici que je te passe l'habitude d'être insolent.
L'homme dégagea son épée et instantanément la foule s'écarta formant un cercle autour de Sten, son père et son agresseur.
 
Sten aidais son père à se relever quand avec la plus grande couardise l'homme en arme chargea dans le dos de son adversaire.
 Sten était en train d'aider son père à se relever lorsque sournoisement l'homme en arme le chargea dans le dos .
 
Sten sentant le danger arriver repoussa son père par terre et sortis une hachette qu'il portait en permanence à la ceinture et eu juste le temps de parer le coup qui aurais dû lui être fatal.
 
-Espèce de raclure de bas étages non seulement tu es vulgaire et irrespectueux des anciens mais en plus tu es lâche lança Sten.
-Je n'ai rien à attendre d'un manant comme toi, ta langue est bien trop pendue,je vais te calmer définitivement vociféra l'homme en armes.
 
Celui ci recula et s'apprêta à charger une nouvelle fois.
Sten était prêt à encaisser un nouvel assault , il jugea rapidement de l'état de sa hache, celle ci ne pourrait résister longtemps pour parer les coups d'épées, le premier assaut avait déjà grandement entaillé le manche.
L'homme chargea de nouveau et d'un geste rapide Sten dévia la lame de sa poitrine vers le côtédévia la lame plongeant droit vers sa poitirne .
Emporté par son élan l'homme se retrouva à hauteur de Sten qui ,celui ci  luiasséna un coup de coude dans la tempe qui le fit choir dans la poussière.
 
-Alors bouffon(sais pas quoi mettre) tu te relèves qu'on en finisse ricanalui lança Sten
 
L'homme un peu sonné se releva tant bien que mal en s'appuyant sur son épée.
De par son côté facétieux Sten faucha l'épée d'un coup de pied et l'homme en équilibre précaire retomba derechef.
 
-Tu te souviendras monsieur l'homme en arme de mon nom je suis Sten et si tu éprouvais encore une fois le besoin de calmer ton insolence je reste à ta disposition, au fait tu devrais nettoyer ton armure elle est bien sale.
 
Sur ce Sten épaula son père et tourna les talons fendant la foule pour partir.
 
-Holà mon gaillard tu ne compte pas nous faucher compagnie si vite j'espère  Tsss mon collègue n'en as pas finis avec toi.
 
Devant Sten se tenait les quatre compagnons de l'homme en arme, épée au poing.
Soudain un hurlement jailli derrière Sten celui ci se retourna pour parer l'assaut mais il n'en eu pas l'occasion son adversaire n’eut point à le faire l'homme s'était arrêté juste devant lui.
 
-Mes condoléances à ta mère chuchota t il à l'oreille de Sten.
 
Il recula d'un pas la lame de son épée ensanglantéed'un pas laissant apparaître la lame de son épée ensanglantée.
Sten se tourna vers son père et vit celui ci, crispé les mains sur la poitrine sa chemise prenant une teinte rouge, tomber à genoux puis face contre terre le dos percé en son milieu.
 
 
voila le 2éme jet  :ange:  
 
 
-Nooooon !!!!!!!!!hurla Sten tombant à genoux et étreignant son père agonisant
 
.....


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Ich machte ein Eisbar sein ,im kalten Polar
n°28744520
Chou Andy
Would you know my nem
Posté le 23-12-2011 à 13:52:22  profilanswer
 

C'est déjà mieux, mais il manque encore pas mal de ponctuation, et globalement ton style est très pataud, car ultra descriptif...
 
Rien qu'une action comme celle-là :
 

Citation :

Tous deux arpentaient les allées du marché, en croisant un groupe d'hommes en armes, l'un d'eux bouscula le père de Sten et celui ci tomba lourdement au sol.


 
Il y a différents moyens de la décrire, mais celui que tu choisis est peut-être le pire... La phrase n'est pas construite (ce sont quatre morceaux que tu mets les uns à la suite des autres) et n'a donc aucun rythme. L'enchaînement "Tous deux, l'un d'eux, celui-ci" est lourd et inutile pour la compréhension de la scène.
 
Tu t'imagines les scènes dans ta tête, et tu les retranscris "à plat". Il faut vraiment que tu travailles la construction, réfléchis à la ponctuation ça devrait t'aider, essaye de minimiser le nombre de fois où tu explicites le sujet d'une phrase, car à force ça fait très lourd (par exemple "Sten" reviens dix fois trop dans le texte, de même que lesp ronoms du genre "celui-ci" ).
 
Quelques pistes lancées comme ça. Dis-toi bien qu'on s'en fout de ce que tu as à raconter, ce ne sera jamais ça qui captivera ton lecteur, c'est ton style qui doit donner envie de continuer de lire.

n°28744685
eisbaer
alles ist so klar
Posté le 23-12-2011 à 14:10:24  profilanswer
 

c'est bien à ce niveau là que je pêche, typiquement la phrase que tu as citée tu la construirait comment ?


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Ich machte ein Eisbar sein ,im kalten Polar
n°28744939
Chou Andy
Would you know my nem
Posté le 23-12-2011 à 14:31:43  profilanswer
 

J'y réfléchis mais je ne trouve rien de bien. Le problème vient, je pense, du fait qu'il n'y a aucun contexte. Je te propose de réécrire l'action en trois phrases (précisément) :
 
1. Une phrase pour décrire ce que Sten et son papa font là (c'est-à-dire détailler un peu "arpenter les allées du marché" ).
2. Une phrase pour décrire les gens qui font partie du paysage (tu t'en sers pour introduire habilement les hommes en armes).
3. Une phrase pour décrire la bousculade.
 
Pas besoin de phrases très longues, essaye de faire simple en incorporant juste quelques détails évocateurs.
 
A mon avis ça passera mieux.

n°28745821
chronicles
For a better world
Posté le 23-12-2011 à 16:11:02  profilanswer
 

eisbaer a écrit :


 
Le père de Sten était l'exact opposé de son fils, petit, râblé mais néanmoins une vraie bête de somme pour venir à bout du dur travail que représente la tenue d'une ferme.
Tous deux arpentaient les allées du marché, quanden croisant un groupe d'hommes en armes, l'un d'eux bouscula le père de Sten et celui ci tomba lourdement au sol.
 


 
Là non plus ça ne fonctionne pas très bien en fait, mais c'est surtout un problème de style. Il faut trouver le bon compromis entre synthèse et description en cherchant à atteindre une bonne fluidité de lecture. Je passe sur l'orthographe qui est un pré-requis plus qu'essentiel (et là, c'est l'éditeur que je suis qui parle) si tu cherches un minimum de crédibilité. Je te mets quelques remarques générales en rouge.
 
"Le père de Sten était l'exact opposé de son fils ("Le père de" et "de son fils" font référence à la même chose et alourdissent la phrase), petit, râblé mais néanmoins ("mais" et "néanmoins" sont deux oppositions, il faut en choisir une) une vraie bête de somme pour venir à bout du dur travail que représente la tenue d'une ferme.
 
Ex : Petit et râblé, il n'en était pas moins capable de gérer seul le lourd labeur imposé par l'entretien d'une ferme.
 
Tous deux arpentaient les allées du marché, quand, en croisant un groupe d'hommes en armes, l'un d'eux bouscula le père de Sten et celui ciqui tomba lourdement au sol."  
 
Ici la phrase est maladroite dans sa construction.  
 
"Alors que Sten et son père arpentaient les allées du marché, ils croisèrent un groupe d'hommes en armes. L'un deux bouscula violemment le père qui vacilla et chuta lourdement sur le sol.

 
 

n°28746394
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 23-12-2011 à 17:45:59  profilanswer
 

eisbaer a écrit :

c'est bien à ce niveau là que je pêche, typiquement la phrase que tu as citée tu la construirait comment ?


 
Original:
 

Citation :

Tous deux arpentaient les allées du marché, en croisant un groupe d'hommes en armes, l'un d'eux bouscula le père de Sten et celui ci tomba lourdement au sol.


 
Tous deux arpentaient les allées du marché rendues glissantes par la pluie de la veille. Autour d'eux, les premiers commerçants préparaient leurs étals. Le bruit des caisses de marchandises déchargées des charrettes se confondait avec les harangues de ceux déjà installés. Un poissonnier à la voix aussi forte que son odeur corporelle agitait une truite à bout de bras, à moins que ce fût un brochet - le jeune homme n'avait jamais compris la différence.
 
Sten se penchait vers son père pour lui poser la question lorsque les cris des marchands prirent une teinte indignée. Il releva la tête, juste à temps pour voir une groupe d'hommes en armes se frayer un chemin avec la hampe de leur lance. C'étaient des brutes, de grands gaillards aux muscles noueux et aux yeux cruels, le genre que Sten se serait bien passé de rencontrer.
 
- Filons, murmura-t-il.
 
Son père se retourna sans comprendre. Son ouïe n'était plus la même à son âge et, absorbé par les formes rebondies d'une vendeuse de bijoux, il n'avait pas vu la troupe approcher. Lorsque l'épaule du premier spadassin le heurta de côté, il n'eut pas même la présence d'esprit d'écarter les bras pour reprendre son équilibre. Un grognement de surprise, un genou fragile, et il se retrouva sur le sol à se tordre de douleur.


---------------
Ma chaîne YouTube d'écrivain qui déchire son père en pointillés - Ma page d'écrivain qui déchire sa mère en diagonale
n°28786060
Merome
Chef des blorks
Posté le 29-12-2011 à 17:19:48  profilanswer
 

Millionnaire grâce à l'auto-édition d'ebooks :  
 
http://www.20min.ch/ro/multimedia/ [...] y/29529222
 
(avec des bouquins de vampire  [:goumite:2] )


---------------
Ceci n'est pas une démocratie
n°28791664
metal777
Posté le 30-12-2011 à 11:56:43  profilanswer
 

Citation :

Merome a écrit :  
 
Millionnaire grâce à l'auto-édition d'ebooks :  
 
(avec des bouquins de vampire  [:goumite:2] )


 
Bah, rien d'étonnant sous la lune.
 
Que Stoker et Murnau se retournent dans leurs tombes vides...  
 
http://img717.imageshack.us/img717/7273/wampf.jpg
 
C'est pour cela qu'il faut laisser eisbaer s'amuser à "écrire" comme il le veut sinon, au prix de très gros efforts, il va se retrouver avec un texte artificiel qui ne lui plaira sans doute pas.  
 

Citation :

Merome a écrit :
 
Des insultes anachroniques.  
Bon, et puis c'est de la fantasy...


Euh... la Fantasy, sans anachronismes, n'est plus de la Fantasy.
 
Grenouille Bleue, tu maîtrises, c'est indéniable. Tu abuses peut-être un peu des synesthésies sinon :  [:implosion du tibia]

n°28818973
The Smokin​g Man
Distributeur de rage
Posté le 02-01-2012 à 22:45:29  profilanswer
 

Question très importante :

 

un manuscrit d'environ 300 pages, à imprimer/relier et donc envoyer, s'il y a des gens qui l'ont déjà fait, quelle est la solution la moins chère ? (en sachant que je vis à Paris)
J'ai fait un devis dans une imprimerie, j'en aurais pour 280€ si je veux imprimer dix manuscrits :sweat:

 

Bref, imprimer par moi-même devient très galère, l'imprimante n'étant pas fiable du tout... Donc si vous avez des tuyaux, des adresses... :o

 

Ah et je pensais pour les envois : n'est-ce pas mieux d'aller directement à la maison d'édition et de laisser le manuscrit à la réception ou autre ? :o
Plutôt que se taper 10€ d'envoi à chaque fois par colissimo...
Danke very much :jap:

Message cité 2 fois
Message édité par The Smoking Man le 02-01-2012 à 22:46:10
n°28820920
Merome
Chef des blorks
Posté le 03-01-2012 à 08:29:40  profilanswer
 

The Smoking Man a écrit :

Question très importante :
 
un manuscrit d'environ 300 pages, à imprimer/relier et donc envoyer, s'il y a des gens qui l'ont déjà fait, quelle est la solution la moins chère ? (en sachant que je vis à Paris)
J'ai fait un devis dans une imprimerie, j'en aurais pour 280€ si je veux imprimer dix manuscrits :sweat:
 
Bref, imprimer par moi-même devient très galère, l'imprimante n'étant pas fiable du tout... Donc si vous avez des tuyaux, des adresses... :o
 
Ah et je pensais pour les envois : n'est-ce pas mieux d'aller directement à la maison d'édition et de laisser le manuscrit à la réception ou autre ? :o
Plutôt que se taper 10€ d'envoi à chaque fois par colissimo...
Danke very much :jap:


 
Sur Lulu.com où j'ai fait éditer mes 4 romans (le dernier fait pile 300 pages), un exemplaire me revient à 10/12 euros, selon le nombre que je commande. Avec une belle couverture couleur et un rendu final proche de ce qu'on trouve en librairie.
Ceci dit, j'ai cru lire quelque part que les éditeurs n'aimaient pas qu'on leur file un manuscrit déjà au format "final". Ce n'est donc peut-être pas la bonne solution pour toi.


---------------
Ceci n'est pas une démocratie
n°28821309
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 03-01-2012 à 10:00:32  profilanswer
 

The Smoking Man a écrit :

Question très importante :
 
un manuscrit d'environ 300 pages, à imprimer/relier et donc envoyer, s'il y a des gens qui l'ont déjà fait, quelle est la solution la moins chère ? (en sachant que je vis à Paris)
J'ai fait un devis dans une imprimerie, j'en aurais pour 280€ si je veux imprimer dix manuscrits :sweat:
 
Bref, imprimer par moi-même devient très galère, l'imprimante n'étant pas fiable du tout... Donc si vous avez des tuyaux, des adresses... :o
 
Ah et je pensais pour les envois : n'est-ce pas mieux d'aller directement à la maison d'édition et de laisser le manuscrit à la réception ou autre ? :o
Plutôt que se taper 10€ d'envoi à chaque fois par colissimo...
Danke very much :jap:


 
Pour imprimer, à part faire jouer la concurrence, je vois pas trop  [:transparency]  
Tu as essayé de voir du côté des facs ? Il y a tout un tas de gens autour en général qui impriment/relient les polys, il y en a sûrement qui ont des tarifs moins chers que d'autres.  
 
Pour le dépôt chez l'imprimeur, aucune idée sinon que je pense qu'ils ont sûrement un service pour gérer le courrier, qui est formé/optimisé pour ça (vu les kilotonnes de manuscrits qu'ils doivent recevoir) alors que si tu déposes à l'accueil tu as plus de risques d'être "hors process" et donc moins bien "géré" (que ça traîne / soit oublié / etc).
 
Sinon il y a un topic "faire éditer son livre" au fond du forum, ça pourrait être une occasion de le ressusciter et en plus il y a sûrement la réponse à tes questions (ou approchant) dedans, parce que je pense que d'autres ont dû se les poser auparavant :D


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°28823934
chronicles
For a better world
Posté le 03-01-2012 à 14:41:45  profilanswer
 

Merome a écrit :


 
Ceci dit, j'ai cru lire quelque part que les éditeurs n'aimaient pas qu'on leur file un manuscrit déjà au format "final". Ce n'est donc peut-être pas la bonne solution pour toi.


 
Je te confirme que je préfère recevoir un tapuscrit qu'un ouvrage déjà relié, parce que souvent mal relié et mal mis en page et avec des fantaisies typographiques qui entravent ma lecture.  :sarcastic:  
 
Mais bon, ça a déjà été dit, l'auto édition coûte très cher pour un résultat aléatoire. Sans doute aussi que d'autres éditeurs préfèrent recevoir les manuscrits de manières plus traditionnelles hein, chacun son style !
 

n°28830514
The Smokin​g Man
Distributeur de rage
Posté le 04-01-2012 à 01:47:51  profilanswer
 

Bref, je vais devoir raquer :D
Des noms de petites maisons d'éditions à me conseiller susceptibles d'être intéressées par un roman classique (pas vraiment d'histoire, juste une petite tranche de vie, un style plutôt minimaliste et un langage qui n'est pas des plus fleuri) ? :o

n°28831739
chronicles
For a better world
Posté le 04-01-2012 à 10:06:07  profilanswer
 

Je t'ai envoyé un MP :)

n°28835446
eisbaer
alles ist so klar
Posté le 04-01-2012 à 15:13:53  profilanswer
 

merci pour vos réponses ,c'était les fêtes donc j'ai pas trainé sur le topic depuis je vais retravailler tout ça ,autant j'ai déjà avancé sur l'histoire autant le style /méthode/etc est à revoir je vous remet une mouture sous peu ;)


---------------
Ich machte ein Eisbar sein ,im kalten Polar
n°28875261
paupaulivr​e
Posté le 08-01-2012 à 19:40:14  profilanswer
 

Voila, j'ai 11 ans et je voudrais écrire un  livre                                           Une vie de chien
 
Prologue:
Ce cauchemar va-t-il finir? Si oui comment? J’ai mal aux pattes comme au reste du corps d’ailleurs.J’ai peur d’Eux. Eux se sont les hommes. Ceux qui me traitre de chien errant, de chien de rues et qui me jettent  des cailloux.J’ai vu que  des chiens était attaché a Eux mais pas moi. Moi je ne les aimes pas. Ce sont des monstres. La preuve c’est qu’ils sont en train de me poursuivre en se moment avec un camion. Je ne veux pas qu’ils m attrapent. Soudain une voiture apparait de l autre coté de la rue. Je me retrouve coincée entre les deux mais je parviens a m enfuir au prix d une patte en sang. Je m enfuie aussi loin que je peux et je passe la nuit derrière une poubelle. Le soleil m éblouie les yeux, j ai mal a la patte et j ai peur.  Non je n ai pas peur de mourir, j ai  peur car j entends des pas. Des pas d homme. Et soudain je vois  devant  moi  un homme, l homme qui hier ma poursuivit en camion et qui ma écrasé la patte. Il me parle gentiment mais j’ai peur de lui. J essaye  de le morde pour lui faire comprendre mon message   « Dégage » mais rien ni fait: l’homme m attrape et me m enferme dans une cage dans le camion. On  roule longtemps.   Puis on arrive a une sorte de maison. Je n aime pas les maisons car dedans il y a plein d hommes. Mais la sa sentait beaucoup  le chien d’ailleurs aussi le chat: je n ai rien contre les autre animaux que les chiens  car il ont le même problème que les chiens: l’homme. Les hommes. On me sort du camion. Il y avait 4 hommes. Je mords,j’aboie, un homme laisse tomber la cage en hurlant. J’ai peur,j’ai mal et je mords encore mais les autres ne veulent pas arrêter de tenir la cage et ils m emmène dans une grande pièce ou se trouve plein d autres cage avec plein de chiens a l’intérieur. Ils ne s attardèrent pas la et bientôt  j aperçois une autre pièce rempli d’Eux. Ils me  font une piqure et je dois lutter contre le sommeil. Quand je me réveille je suis dans une autre cage dans la même pièce que les autres chiens que j’ai vu tout ta l’heure. Dans le même pétrin.
 
Chapitre 1: Ou suis-je?
 
J étais perdue. Perdue au sens quand on ne sais pas ou l’on est, mais aussi perdue quand notre vie na plus de sens comme maitenant. Pour me reprendre la chose a faire et d imaginer se que ma mère me dirait: Reprends toi Emeraude( C’est mon nom) bon sang, arrête tes bêtises tu n’ai pas fichue de montre ton intelligence. Je n’ai pas tout sacrifié pour te voir faire ca.. Je pense a toi maman, toi, ma seul maman, celle que j’ai aimée et qui a sacrifié ta vie pour moi, a cause d’Eux. Eux, qui m’ont attrapé  alors que je n étais qu’un bébé, et toi qui a bondi sur Eux, toi, qui a tout fait pour me voir vivre, qui a tué deux hommes pour moi, et tu t’est fait tué par le troisième encore pour moi. Tout c est effort rien que pour moi, oui tu as raison maman tu na pas fais tous sa pour me voir mourir a cause d Eux. Je  te le promets. Je te promets aussi de rester une chienne errante comme toi, et être fidèle qu’ a une chose: la liberté. Ma liberté. Soudain j aperçois un homme qui me regarde! Je gronde! Ah non c est une femme. Une jeune. Mais c’est pareil, je le sais! J ai peur. Mais je ne veux  pas le montrer. Je mords le barreau  de la cage et je retombe sur ma patte bléssé. Je  l avais oublié. Quelque chose de blanc collé a ma patte et m empêchais de la lécher. Un bandage. C’est quelques chose d’humains donc il faut que je l’arrache. Mais soudain je pense a ma mère qui disait toujours: Il faut se soigner avec les moyen qu’on a . Mais aussi: Il ne faut jamais accepter quelque chose que l homme nous donnes ou nous fait.
 :) .Donner moi votre avis.

n°28875750
Deouss
SOLA GRATIA
Posté le 08-01-2012 à 20:22:33  profilanswer
 

Citation :

Date de naissance :  17/12/2000


 
 [:bakk24]


---------------
The relations of the soul to the divine spirit are so pure, that it is profane to seek to interpose helps.
n°28876040
Merome
Chef des blorks
Posté le 08-01-2012 à 20:47:46  profilanswer
 

paupaulivre a écrit :

Voila, j'ai 11 ans et je voudrais écrire un  livre                                           Une vie de chien
 
Prologue:
Ce cauchemar va-t-il finir? Si oui comment? J’ai mal aux pattes comme au reste du corps d’ailleurs.J’ai peur d’Eux. Eux se sont les hommes. Ceux qui me traitre de chien errant, de chien de rues et qui me jettent  des cailloux.J’ai vu que  des chiens était attaché a Eux mais pas moi. Moi je ne les aimes pas. Ce sont des monstres. La preuve c’est qu’ils sont en train de me poursuivre en se moment avec un camion. Je ne veux pas qu’ils m attrapent. Soudain une voiture apparait de l autre coté de la rue. Je me retrouve coincée entre les deux mais je parviens a m enfuir au prix d une patte en sang. Je m enfuie aussi loin que je peux et je passe la nuit derrière une poubelle. Le soleil m éblouie les yeux, j ai mal a la patte et j ai peur.  Non je n ai pas peur de mourir, j ai  peur car j entends des pas. Des pas d homme. Et soudain je vois  devant  moi  un homme, l homme qui hier ma poursuivit en camion et qui ma écrasé la patte. Il me parle gentiment mais j’ai peur de lui. J essaye  de le morde pour lui faire comprendre mon message   « Dégage » mais rien ni fait: l’homme m attrape et me m enferme dans une cage dans le camion. On  roule longtemps.   Puis on arrive a une sorte de maison. Je n aime pas les maisons car dedans il y a plein d hommes. Mais la sa sentait beaucoup  le chien d’ailleurs aussi le chat: je n ai rien contre les autre animaux que les chiens  car il ont le même problème que les chiens: l’homme. Les hommes. On me sort du camion. Il y avait 4 hommes. Je mords,j’aboie, un homme laisse tomber la cage en hurlant. J’ai peur,j’ai mal et je mords encore mais les autres ne veulent pas arrêter de tenir la cage et ils m emmène dans une grande pièce ou se trouve plein d autres cage avec plein de chiens a l’intérieur. Ils ne s attardèrent pas la et bientôt  j aperçois une autre pièce rempli d’Eux. Ils me  font une piqure et je dois lutter contre le sommeil. Quand je me réveille je suis dans une autre cage dans la même pièce que les autres chiens que j’ai vu tout ta l’heure. Dans le même pétrin.
 
Chapitre 1: Ou suis-je?
 
J étais perdue. Perdue au sens quand on ne sais pas ou l’on est, mais aussi perdue quand notre vie na plus de sens comme maitenant. Pour me reprendre la chose a faire et d imaginer se que ma mère me dirait: Reprends toi Emeraude( C’est mon nom) bon sang, arrête tes bêtises tu n’ai pas fichue de montre ton intelligence. Je n’ai pas tout sacrifié pour te voir faire ca.. Je pense a toi maman, toi, ma seul maman, celle que j’ai aimée et qui a sacrifié ta vie pour moi, a cause d’Eux. Eux, qui m’ont attrapé  alors que je n étais qu’un bébé, et toi qui a bondi sur Eux, toi, qui a tout fait pour me voir vivre, qui a tué deux hommes pour moi, et tu t’est fait tué par le troisième encore pour moi. Tout c est effort rien que pour moi, oui tu as raison maman tu na pas fais tous sa pour me voir mourir a cause d Eux. Je  te le promets. Je te promets aussi de rester une chienne errante comme toi, et être fidèle qu’ a une chose: la liberté. Ma liberté. Soudain j aperçois un homme qui me regarde! Je gronde! Ah non c est une femme. Une jeune. Mais c’est pareil, je le sais! J ai peur. Mais je ne veux  pas le montrer. Je mords le barreau  de la cage et je retombe sur ma patte bléssé. Je  l avais oublié. Quelque chose de blanc collé a ma patte et m empêchais de la lécher. Un bandage. C’est quelques chose d’humains donc il faut que je l’arrache. Mais soudain je pense a ma mère qui disait toujours: Il faut se soigner avec les moyen qu’on a . Mais aussi: Il ne faut jamais accepter quelque chose que l homme nous donnes ou nous fait.
 :) .Donner moi votre avis.


 
C'est bien de t'intéresser à ça à 11 ans, et on a vu pire ici, fait par des adultes. Mais c'est blindé de fautes d'orthographe, commence par soigner ceci avant d'aller plus loin.


---------------
Ceci n'est pas une démocratie
n°28883454
chronicles
For a better world
Posté le 09-01-2012 à 15:23:40  profilanswer
 

Même avis que Merome, sachant que pour ton âge, c'est plutôt encourageant :)

n°28884324
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 09-01-2012 à 16:29:46  profilanswer
 
n°28884509
Profil sup​primé
Posté le 09-01-2012 à 16:42:40  answer
 

ibid que dalle même.

n°28884544
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 09-01-2012 à 16:45:57  profilanswer
 
n°28884631
philibear
Orbital Bacon
Posté le 09-01-2012 à 16:52:19  profilanswer
 

Grenouille Bleue a écrit :


 
Original:
 

Citation :

Tous deux arpentaient les allées du marché, en croisant un groupe d'hommes en armes, l'un d'eux bouscula le père de Sten et celui ci tomba lourdement au sol.


 
Tous deux arpentaient les allées du marché rendues glissantes par la pluie de la veille. Autour d'eux, les premiers commerçants préparaient leurs étals. Le bruit des caisses de marchandises déchargées des charrettes se confondait avec les harangues de ceux déjà installés. Un poissonnier à la voix aussi forte que son odeur corporelle agitait une truite à bout de bras, à moins que ce fût un brochet - le jeune homme n'avait jamais compris la différence.
 
Sten se penchait vers son père pour lui poser la question lorsque les cris des marchands prirent une teinte indignée. Il releva la tête, juste à temps pour voir une groupe d'hommes en armes se frayer un chemin avec la hampe de leur lance. C'étaient des brutes, de grands gaillards aux muscles noueux et aux yeux cruels, le genre que Sten se serait bien passé de rencontrer.
 
- Filons, murmura-t-il.
 
Son père se retourna sans comprendre. Son ouïe n'était plus la même à son âge et, absorbé par les formes rebondies d'une vendeuse de bijoux, il n'avait pas vu la troupe approcher. Lorsque l'épaule du premier spadassin le heurta de côté, il n'eut pas même la présence d'esprit d'écarter les bras pour reprendre son équilibre. Un grognement de surprise, un genou fragile, et il se retrouva sur le sol à se tordre de douleur.


 
Comment peut-on comprendre la différence entre deux poissons ? [:dks]

n°28885801
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 09-01-2012 à 18:16:10  profilanswer
 

philibear a écrit :


 
Comment peut-on comprendre la différence entre deux poissons ? [:dks]


 
J'avoue :o
"Retenu" serait peut-être plus approprié. M'enfin ce n'est pas mon texte, hein :D


---------------
Ma chaîne YouTube d'écrivain qui déchire son père en pointillés - Ma page d'écrivain qui déchire sa mère en diagonale
n°28886246
paupaulivr​e
Posté le 09-01-2012 à 18:54:30  profilanswer
 

J aimerais remerciais celle ou ceux qui m ont félicité etje sais que l orthographe c est pas mon truc mais que les fautes si
merci.

n°28886273
paupaulivr​e
Posté le 09-01-2012 à 18:56:54  profilanswer
 

Je donnerai une belle version corrigé bientot.

n°28887180
The Smokin​g Man
Distributeur de rage
Posté le 09-01-2012 à 20:29:38  profilanswer
 

paupaulivre a écrit :

J aimerais remerciais celle ou ceux qui m ont félicité etje sais que l orthographe c est pas mon truc mais que les fautes si
merci.


Quoi ? [:tinostar]

n°28887266
scOulOu
Born Under Saturn
Posté le 09-01-2012 à 20:38:52  profilanswer
 


Les fautes, c'est plus son truc que le respect de l'orthographe :o

mood
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