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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°19762106
Profil sup​primé
Posté le 07-09-2009 à 00:23:11  answer
 

Reprise du message précédent :
On peut poster autre chose que du roman ici ?
 
voici un truc écrit il y a longtemps - après avoir lu la condition humaine - , et j'avais oublié avant de le recevoir par mail (futureme :) )
 
c'est horrible de se relire (surtout quand on est déjà très mauvais mais bon :) )
 

Citation :


 
La condition humaine commence le jour de ma naissance.
 
ils ne savent pas, ou bien ils ne le montrent pas,
ou ils s'en foutent
 
des hommes, des mains engourdies par le froid, par le geste,
encore le geste, le même geste
par le geste qui humilie
 
leurs vie est lourde, comme la chair, lourde du sang qui ne vaut rien
la peau collée au tissu, qui ne vaut rien, qui ne cache rien
 
il ya des hommes, et il y a des tours, des chaines et des déserts
des efforts pour marcher, pour tenir debout, des yeux si petits qu'ils ne voient pas la misère
des sourires pour crier, la faim
 
et nous ne sommes pas égaux, devant la mort, avant la mort, elle qui choisit le plus simple.  
Le seul espoir est dans la mort, dans son ventre. Alors seulement, les forts deviennent faibles, et
le corps propre et lisse devient noir et puant. Voila l'acte qui rejoint le fou aux innocents dans leurs tours de verre. La mort ou la Justice.
 
 
Et il arrive, il n'a rien fait, dans le sang de l'innocence, il n'a rien demandé
Sans nom, sans raison, il est sur une île, au sommet d'une montagne, dans le désert loin des hommes
Il est le même, l'enfant unique, universel
Il vit, pour voir, pour toucher et pour courir
Et courir, pendant une heure, loin de chez lui,  
pour lui c'est le monde, l'univers sans frontière
Puis vient la douleur, la souffrance et la passion, la différence et l'interdiction
Et à ce moment là, l'énergie est dans son ventre, la colère et la violence dans ses mains,  
elles sont dans tous nos ventres
Et il est seul, sur terre.
 
Il y a le travail, l'argent, l'échange et le capital
Et j'espère que tu pourras voir,  
Il faut que tu voie, ses yeux, tes yeux, car ce sont les mêmes, au fond, à l'intérieur
Et je serai là, un roi, un ouvrier ou un assassin,  
et toi, j'espère que tu seras là, une reine, ou une femme.
Et nous ne pourrons rien faire
Car il souffrira, il se battra, pour nous.
Car Il y a ceux qui dorment, ceux qui ne veulent pas voir, et ceux qui n'ont pas compris.
Et il y a le gros qui regarde et qui ne dit rien
 
Mais partout, je ne sais plus où, ou bien j'ai oublié
Il y a celui qui travaille,  
Et la femme qui se courbe, qui nettoie, avec l'eau qu'elle ne possède pas
La femme noire qui rentre tard, le soir,  
et puis il y a celui qui travaille
Lui regarde la vie qu'il n'a pas,  
Il y celui qui fabrique les balles qui tueront son frère
Et cette nuit là, il y a la femme qui meurt mais qui est obligée de continuer à vivre
Il y a celui qui a peur de vivre, car il ne possède rien,  
Il y a celui qui a peur de mourir, car il possède tout
un autre qui lui possède tout son corps,  
Et il y a les lumières qui sont autant de doigts qui montrent ceux qui dorment dans la rue
L'échec, les millions de dollars et la poudre
Celui qui ne possède plus que sa folie et sa dignité
Que seul le combat ou la mort lui rendra
Mais je ne sais pas
Et il y a des minutes où je m'en fous, mais il est là
Celui qui travaille
Il était seul avec la mort, seul dans un lieu sans hommes
Et il y a celui qui travaille.


 
 :cry:  :o

mood
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Posté le 07-09-2009 à 00:23:11  profilanswer
 

n°19812891
Profil sup​primé
Posté le 11-09-2009 à 12:12:26  answer
 

Salut  :hello:  
 
Je redrap et j'aimerais avoir votre avis sur un truc que j'ai écrit d'un jet.
 
Merci d'avance ;)
 

Citation :

Aujourd’hui nous savons. Nous bâtissons. Nous construisons. Il y a peu, nous ignorions. Mais Lyon nous a déclaré la guerre et sous peu, ils seront à nos portes. Nous nous équipons d’arcs et de flèches de fortunes, nous ramassons des lances de plastiques, pathétiques piques molles et noirâtres qui ne perceraient rien que la chair nue de nos ennemies. Sur les parkings, nous nous frottons les uns contre les autres. Nous élevons des barricades de parpaings montés les uns sur les autres, nous récupérons des bouts de bois. Nous n’avons pas de chef, pas de général, pas de commandant. L’anarchie la plus totale règne. Nous sommes une ville d’artistes, d’artisans. Pas une ville de guerriers. Personne ne sait quoi faire, tout le monde s’occupe pourtant.
J’ai quelque expérience de la guerre. J’ai trouvé un hachoir dans la cuisine de mère. Il est passé à ma ceinture. J’apprends à certains à creuser dans le sable et y enfoncer des pieux de bois sur lesquels nos ennemis s’empaleront lors de leurs charges.  
Je regarde.
Je vois certains de mes camarades équipés de morceaux de branches que le moindre choc la fera exploser en mille morceaux. Ils l’a font tournoyer au-dessus d’eux avec des airs fiers. Je vois des enfants de 13 ans riant et dansant sous le soleil, persuadés de trouver la gloire en ce jour de bataille, bercés qu’ils ont été de récits de guerre victorieux et de petits soldats courageux. Je vois des disputes partout. Qui devra rester devant pour supporter l’assaut ? Quelle stratégie adopter ? Qui devra être sacrifié pour que vivent les autres ? Je vois des mères pleurer leurs enfants prochainement disparus. Je vois des fils pleurer leurs pères prochainement disparus.
 
Le lieu de la bataille est décidé. Un mail a été envoyé. Nous savons. Nous, petit peuple, devrons nous battre afin d’éviter que notre ville ne tombe entre les mains de Lyon.
Il y a du sable, une grande dune et en bas, une forêt. Tel est le lieu de la bataille. Il y a un grand bâtiment sur le côté. Personne n’a l’idée d’y mettre des archers. Je reste derrière avec mon hachoir.  
 
Nous sommes en contrebas dans la forêt. En haut, il y a la dune. Et en haut de cette dune, ils apparaissent. Les lyonnais. Ils ont des vestes en cuirs, des barres de fers, des piques de fers et certains mêmes, nous le voyons dans leurs arrières gardes, des arcs de compétitions en fibre de carbones. Nous avons des arcs de bambous. Quelqu’un dit : « Haha ! Ils sont peu nombreux, nous allons les écraser. » Un autre lui répond : « Tu ne vois rien mais derrière la dune, leur armée s’étend sur plusieurs centaines de mètres. » Un frisson nous parcourt à tous l’échine en entendant ces mots.  
 
J’ai peur. Ceux qui ont peur sont derrière. Hélas, un général saurait peut-être cela, ceux qui sont devant ne sont pas plus courageux en réalité. Ils vivent dans un rêve et oublient d’ouvrir les yeux. La charge des lyonnais s’occupe de les réveiller. 10 mètres avant l’impact la première ligne panique et s’enfuit en hurlant. Les lyonnais courent et ruent en plein milieu de notre armée. C’est la panique, l’hallali, le désastre. Ils arrivent vers moi. J’ai honte, je ne veux pas fuir. Je sors mon hachoir. Le premier sur moi est un enfant de 8 ans peut être. Je lui tranche la gorge. Il se tombe et hurle la main sur son cou qui devient rouge, rouge, rouge. Certains passent à côté de moi, sans me voir semble-t-il. Je cours et rattrape un jeune homme. C’est la confusion la plus totale. Je lui plante mon hachoir dans le dos. Puis, soudain, c’est fini. Tout le monde s’arrête. Lyon a gagné.  
 
Je me retrouve derrière le bâtiment avec notre armée et celle de Lyon. Certains rigolent. Certains pleurent. Il y a de nombreux blessés. Un enfant hurle sans s’arrêter, il a perdu sa main et le sang coule. Personne ne sait comment arrêter ça, alors personne ne fait rien. Au bout d’un moment, il cesse de hurler. Nous sommes hagards. Certains ont vu la réalité en face. Certains ne s’en remettront pas. Les plus niais, pourtant, continueront à rêver.
Je suis adossé contre un mur. Je me repose. Il n’y a rien à manger et de toute façon, je n’ai pas faim. Doucement, ils commencent à quitter les lieux pour rentrer chez eux retrouver leurs femmes. Certains attendront longtemps le retour des leurs avant de comprendre. J’écoute. C’est un murmure continu, doux, cotonneux. C’est un murmure qui a peur de briser ce bref moment de répit. À côté de moi, une voix vient écorcher mon repos. Il passe en marchant et en riant fort. C’est Alex, le général ennemi. Il est grand, viril, la barbe courte et le crâne rasé. Il ressemble à un boxeur. Je me lève et lui dit :
«  - Pourquoi ?
Il me regarde  de haut en bas et continue de marcher. Je lui dis :
«  - Pourquoi ?  
Il continue de marcher et me répond :
«  - Pourquoi quoi ? Pourquoi la guerre ? Mais parce que c’est ainsi. C’est la vie, nous devons envahir des villes, nous étendre, prendre ce que nous désirons, devenir plus puissant. Tel est la volonté de l’Homme. Tel est sa nature.
- Mais… Qui veut cela ? C’est étrange, il n’y avait ni police ni armée. Cela ne ressemble pas à une bataille. Que vas-tu prendre ? Tu ne peux décider de rien, tu n’as même pas battu notre police. Tu as tué des petites gens et des enfants. Cela ne te donne aucun droit.
Je regarde autour de moi. Des gens vont et viennent dans les magasins, personne ne semble se soucier de nous. Je ne comprends pas.
«  - Tu ne comprends pas, reprend Alex. C’est en vertu de 5ème amendement de notre constitution.
- Foutaises, je crie. Foutaises ! Notre constitution ne possède pas d’amendements mais uniquement des articles. Tu es un charlatan. Tu as fait combattre des gens pour rien.
Il marche plus vite. J’essaie de rester à sa hauteur. Il semble énervé.
- Pourquoi as-tu fait combattre des gens ? Tu n’as en fait aucune légitimité pour prendre notre ville. Tu es toi aussi une simple personne.
Il est rouge. Soudain, il s’arrête et me regarde :
« - Mais que veux-tu ? Ainsi va la vie l’ignores-tu ? Bien sûr que ça ne sert à rien, qui se soucie de cela ? Mais les gens sont faits ainsi qu’ils ont besoin de se battre, piller, tuer. Hélas, la démocratie puis la télévision a endormi nos sens. Alors, le pouvoir exécutif nous laisse nous organiser nos petites batailles. Nos petites tueries. Nos petites sauteries.
Il rit. Il est fou.
«  - Mais au final, rien ne change tu sais. Retournes à ton travail. Rien n’a changé. Il y a eu une guerre aujourd’hui mais tout le monde s’en fout. Et c’est normal, la vie suit son cours. Ne retiens que cela et cesse de te torturer : rien n’a changé.
Et il s’en va.
Il a tort. Quelque chose a changé. Aujourd’hui, j’ai tué un enfant. Pour rien.
Mais il a raison. Je m’en retourne à mes occupations. Quelques jours plus tard, j’oublie.
 
 

n°19815228
G-pady-D
Je pense, je suis, j'existe...
Posté le 11-09-2009 à 15:21:45  profilanswer
 

Bonjour à tous,  
J'aurais aimé vos avis objectifs sur ce petit début de roman.
Depuis que j'écris, je n'ai eu aucun avis, et je navigue un peu dans le flou pour tout avouer.
J'accepte toutes les critiques, elles ne peuvent être que bénéfiques.
Et j'ai aussi une question, j'écris avec l'aide d'open office, police: Bitstream Vera Sans  taille de caractère: 10. N'est-ce pas trop petit ?!
 
 
 
 
 
Vous êtes-vous déjà demandé en regardant le ciel comment le genre humain a-t-il pu trouver une place dans cette univers infini ? Comment pouvons-nous toujours exister face à l'immensité du monde ? Nous sommes tellement petit, face à la réalité qui règne au-dessus de nos têtes. Nous sommes tellement libre sur Terre mais en même temps fatalement confiné dans cette bulle d'air à l'abri de tout. Qui a-t-il au-delà du voile opaque qu'est l'univers ? Le découvrirons-nous un jour ? Je pense que oui. Nous découvrirons à un moment précis de notre Histoire, les merveilles que cache notre ciel. Je pense fortement cela. Et je veux être là quand cela arrivera. Je voudrais être au première loge lors de ce grand jour. A l'égard de tout, à l'égard du monde, je pense à  ce rêve, à cette réalité qui pour le moment n'est qu'une utopie, un amas de désirs évasifs qui me donne l'envie d'y croire.    
                C'est sur mon lit, la tête tournée vers ma fenêtre et le ciel parsemé de constellations, toutes plus brillantes les unes que les autres, que je méditais sur ce monde, le cosmos et son futur. Chaque nuit de chaque jour, je questionnais la voie lactée. Je lui demandais par exemple si nous étions seul dans l'univers, ou encore si ce que l'on voyait dans nos films de Science-Fiction était à notre portée, est-ce que nous aussi nous connaîtrions, un jour, les voyages interstellaires en soucoupes volantes, ou encore, les rencontres avec d'autres espèces extra-terrestres ? Je posais d'innombrables questions mais inexorablement la réponse du ciel n'arrivait jamais. Pourtant je ne me décourageais pas pour autant. Et chaque soir de chaque jour, je perpétuais le même rituel en quête d'un signe, d'une réponse. Et chaque soir ne trouvant dans le ciel aucune réponse, je m'endormais sous les balais d'étoiles filantes ratissant le ciel à folle allure. Regarder les étoiles filantes était mon passe-temps favori. Et c'est exclusivement quand ces phénomènes célestes m'avait ébloui assez longtemps que j'arrivais enfin à m'endormir.  
               Il était environ six heures du matin quand je me réveillai chaque jour afin de me préparer pour aller au lycée. Je m'appelles Sawyer, j'ai 17 ans, et c'est l'année du grand examen qui déterminera ma vie futur. Je ne voulais le rater pour rien au monde. C'est grâce à ce morceau de papier que je pourrais, un jour, titiller le ciel du bout de mes doigts. Mais pour le moment ma plus grande l'épreuve était de me lever. Je n'aime pas les réveils, je ressentais une drôle de sensation au moment de me lever, c'était une sorte de mélange entre un lendemain dans un bar après avoir trop bu le soir et le sentiment que j'allais encore passer une journée très longue, ennuyeuse à mourir. Et c'est seulement une demi-heure après, que je trouvai enfin les forces nécessaires pour soulever mes soixante petits kilos, afin d'aller directement me laver sous de l'eau gelée, une eau qui me poussait à me laver au plus vite si je ne voulais pas finir transformé en glaçon. Quand je sortis à la hâte de la douche, je me dirigeai instantanément vers mon armoire où je pris machinalement un pantalon, un sous-vêtement, et un Tee-shirt sans attacher la moindre attention à ce que je venais de choisir afin d'aller à l'école. Je sortis enfin de chez moi vers sept heure, une pomme dans la main, mon sac dans l'autre, près à aller en cours.  
                     

n°19815734
Profil sup​primé
Posté le 11-09-2009 à 15:50:26  answer
 

C'est sympa, ça se laisse lire.

 

Cependant :

 

Tu as des problèmes de concordances des temps :

 
Citation :

Il était environ six heures du matin quand je me réveillai chaque jour afin de me préparer pour aller au lycée. Je m'appelles Sawyer, j'ai 17 ans, et c'est l'année du grand examen qui déterminera ma vie futur.

 

Plutôt ça :

Citation :

Il était environ six heures du matin quand je me réveillai chaque jour (Il était environ six heures du matin évoque un jour particulier :o) afin de me préparer pour aller au lycée. Je m'appelles Sawyer (Le présent est ok à la limite car tu t'appeles toujours Sawyer), j'ai 17 ans (mais là par contre c'est choquant. Tu commences au passé et tu poursuis au présent, ça pique la lecture :o), et c'est l'année du grand examen qui déterminera ma vie futur.

 

Bon c'est un exemple mais tu mélanges les temps, c'est extrêmement déroutant. Parfois c'est justifié (enfin pas trop trop choquant). Exemple :

 
Citation :

Je n'aime pas les réveils, je ressentais une drôle de sensation au moment de me lever

 

Tu peux à la limite mettre "je n'aime pas les réveils au présent". Cela indique que tu les aimes toujours. Mais la virgule perturbe car cela indique un lien de cause à effet. Donc c'est soit :

 
Citation :

Je n'aime pas les réveils. je ressentais une drôle de sensation au moment de me lever

 

Ou

 
Citation :

Je n'aimais pas les réveils, je ressentais une drôle de sensation au moment de me lever

 

Bien que dans ce dernier cas, la formulation reste un peu maladroite.

 

Il y a quelques coquilles

 
Citation :

Mais pour le moment ma plus grande l'épreuve était de me lever.

 

et quelques fautes de ponctuations et de grammaires

 
Citation :

je me dirigeai instantanément vers mon armoire où je pris machinalement un pantalon, un sous-vêtement, et un Tee-shirt sans attacher la moindre attention à ce que je venais de choisir afin d'aller à l'école.

 

Pas de virgule avant le "Et" ;)

 

Après, c'est difficile de juger la dessus puisque on a aucune trame scénaristique.

 

Sur le style pur, essaies de corriger ces quelques points et cela deviendra plus fluide à lire car là, mon cerveau ne sait plus à quel époque il est ;)

 

Enfin, prends ces remarques à la légère, je suis loin d'être une bête et ce n'est que mon avis :)

 

:jap:

 



Message édité par Profil supprimé le 11-09-2009 à 16:07:50
n°19816020
G-pady-D
Je pense, je suis, j'existe...
Posté le 11-09-2009 à 16:08:37  profilanswer
 

Merci pour tes remarques, je pense que ça m'aidera beaucoup =).
Pour ce que tu appelles le mélanges des temps, c'est voulu. Mon professeur de français, n'aimais pas non plus mais il disait que dans ma façon d'écrire, ce genre de procédé se digérait assez bien.
Ce n'est qu'un premier jet mais merci encore pour tes conseils.  
Enfin en ce qui concerne le scénario, c'est en gros une sorte d'histoire d'amour entre un ado torturé, les étoiles et une fille (bien sûr  ;) ). Ce serait assez complexe et réducteur d'en parler en 3 lignes, je ne saurais même pas le classer dans une catégorie particulière de roman.  
 
Bonne continuation.   ;)  

n°19849859
Ecriturede​l
Posté le 14-09-2009 à 22:48:54  profilanswer
 

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

n°19869528
G-pady-D
Je pense, je suis, j'existe...
Posté le 16-09-2009 à 13:36:09  profilanswer
 

Bonjour,
 
Merci de tes conseils, je pense que la phrase que tu as modifié passe vraiment mieux en effet. Cette phrase ne me parlait pas vraiment pour tout avouer mais là, j'arrive à la digérer.  
Merci aussi pour le compliment, c'est gentil. Et ce que j'ai écrit n'est qu'un extrait. Mais si tu y tiens je voudrais te faire lire un extrait du chapitre II, je l'ai écrit il y a peu et j'aurais bien aimé un avis dessus:
 
 
 
 
 
              Il y a sur Terre des silences, des moments d'absolu froideur du bruit, où se mêlent des nuances d'angoisse et de calme, de malaise et d'insouciance. Mais ces moments ne m'attire guère. Comme ces moments que le condamné à mort repousse incessamment en marchant à l'encontre de sa triste fin, ces moments qui sont si gênant pour deux personnes seules dans une pièce, ne savant plus quoi dire, ni quoi faire, se trouvant ainsi contraint d'écouter le silence de l'autre et espérant qu'un événement surnaturel puisse arriver au plus vite pour briser le mutisme régnant dans la pièce. Enfin ces moments de silence complet dans la nuit, poussant même les personnes les plus courageuses et les plus téméraires à courir le plus vite possible afin d'échapper aux griffes de la noirceur silencieuse.
             C'est dans un de ces silences, que j'arrivais au lycée. C'est sous le crépitement des gouttes, le léger clapotis de l'eau que Cyril, un des seuls surveillants qui connaissait mon nom, me dit alors que toute ma classe devait se réunir en salle d'étude. Pourquoi ? Il ne voulu pas me le dire. Je me précipitai alors dans cette salle où presque tous les camarades étaient déjà présent. Il y avait aussi Mme Céleste, encore elle, mais elle n'était pas odieuse comme à son habitude. Non, là elle me fit juste un signe de la tête, pas de reproches désagréables, pas de mimiques agressives, juste un petit signe de la tête, que j'interprétais comme un signe de bienvenu. Je m'assis sur une chaise près de la fenêtre, quand tout à coup, j'entendis une porte se fermer. Mais je me rendis compte alors qu'il manquait quelqu'un. C'était Ingrid, une fille que je connaissait puisque c'était une des seuls qui m'adressait la parole, enfin quelques mots. C'était une fille très réservée, mais elle était aussi très gentille, à ce que j'ai pu en voir. Elle devait surement être en retard, elle y était souvent d'ailleurs en retard, nous nous retrouvions souvent en même temps devant les portes de nos salles où nous avions cours, c'est aussi grâce à ces retards que nous pouvions discuter un petit peu avant de rentrer en classe, sauf que quant nous rentrions les conséquences négatives des retards m'étaient réservées, Ingrid, elle, n'avait jamais rien hormis un petit bonjour courtois des professeurs. Mais enfin je ne lui en voulais pas pour autant, elle, qui prenait la peine de me parler, de me montrer que je n'étais pas un être invisible, qui me donnait un brin d'attention, un rien suffit parfois.
                   Mme Céleste fit cesser tous les bavardages en martelant avec force le talon de sa chaussure contre le carrelage de la salle et pris la parole après avoir absorbé une grande quantité d'air comme elle allait plongé en apnée. « Écoutez moi, s'il vous plaît, voilà vous avez certainement dû vous apercevoir qu'Ingrid n'était pas là ? Je dois vous annoncez quelque chose  à son sujet. Ingrid avait un cancer, un cancer au cœur. Un cancer a cet endroit étant très très rare, les médecins l'ont diagnostiqué trop tard. Elle est décédée hier soir dans sa chambre d'hôpital. Donc si vous avez besoin de parler, sachez que la psychologue scolaire sera exceptionnellement présente toute la semaine et je suis là si vous avez besoin d'aide. Voilà, on se retrouve cette après-midi. Merci... vous pouvez retourner en cours. Et une dernière chose, dans ces moments, tout le monde peut avoir son moment de faiblesse, c'est normal... »
A la fin de ce monologue, Pénélope, la meilleur amie d'Ingrid éclata en sanglot, elle était effondrée. Dans sa rage d'avoir perdu une être chère, elle hurla d'une voix peinée et inconsolable : « Mais quel est le sens de notre vie ?! Pourquoi vivre quand on sait que l'on va mourir ? Est-ce ça le sens de nos vies ? Ne se résume-t-elle qu'à mourir ? C'est injuste ...tout simplement injuste !! ». Elle s'enfuit alors de la salle à toute allure, comme si elle tentait d'échapper à la vérité, une réalité auquelle elle aurait donné tout l'or du monde pour s'en libérer, puis quelques secondes plus tard se fut à mon tour de partir, accompagné de tous les autres élèves, autant sous le choc que moi, autant accablés par cette douleur intérieur que tout le monde à déjà connu, une douleur qui nous pénètre au plus profond de notre âme dont le seul remède est le temps.  
            Le reste de la journée se passa en silence. Un silence solennel, impartial, que personne ne voulait rompre. C'était une des première fois que je me sentais en harmonie avec le reste du groupe mais je m'attristais que ce soit en de telles circonstances. Nous ne faisions plus qu'un, une masse d'individus, tous aussi différents les uns que les autres, dont nos cœurs tous battait à l'unissions pour Ingrid. Et battement après battement, je me rapprochais des autres, et eux m'acceptaient. A chaque cours de la journée, chaque professeur y allait de sa petite phrase, une phrase pleine de compassions et de déceptions, mais chacune de ces phrases nous rapprochaient un peu plus du chagrin, une sorte de ravin remplit d'idées noires, de sanglots et d'afflictions, dont tout le monde essayait de nous y précipiter, sans pouvoir rien faire contre cela, comme paralysé par la peine éprouvée par le départ d'Ingrid. La fin de la journée arriva. Le dernier cours était celui de Mme Céleste. Et aussitôt assis, elle se tourna en direction du tableau et écrit :  

Rédaction facultative.
 
Thème: En mémoire à Ingrid.  
 
Peut prendre la forme d'un poème ou d'un texte .
 
1 heure.

 
 
 
 
              Quand elle se retourna, je vit alors quelque chose d'assez remarquable pour notre classe, une classe qui était jugé par le corps enseignant de ''difficile''. Tous mes camarades sans exception, prirent une feuille et un stylo et se mirent à écrire, ils regardèrent tous en l'air pour s'emparer de leur lueur d'inspiration qui se dressait au-dessus de leurs têtes. Quand à moi, j'inscrivais les mots sur le papier sans réfléchir,sans méditer à quoi que ce soit, Ingrid était dans ma tête, sa douce voix me transportait dans un autre monde, un monde sans peur ni crainte, un monde de légèreté, de douceur. L'océan à perte de vue, juste le bonheur de la vie au grès de la brise, juste l'amour du calme, de la nature. Un monde où personne ne dicte de conduite à avoir, où le respect prime sur le pouvoir. Où l'amour est un sentiment qui anime les plus belles preuves, un monde désintéressé par le prestige, un monde envoûté par les délices de la Terre, le léger bruissement des feuilles attisé par la bise, la délicate odeur de l'herbe après le passage de la rosée du matin, le majestueux grondement éprouvé par le rugissement de la houle. Un monde qui ne verra certainement jamais le jour.
      Quand l'heure commença à toucher à sa fin, je m'aperçus que je pouvais entrevoir ce que ma voisine, Ava, avait écrit. Ces mots furent d'une rare sincérité, je n'avais jamais lu quelque chose d'aussi sensible, dégageant une telle dose de sincérité, c'était comme si elle se dévoilait au grand jour en quelques lignes. Ce qui m'étonna encore plus sur le moment, c'est que cette jeune fille qui avait écrit ces mots, était une fille qui venait de déménager pour venir s'installer dans notre ville. Elle était nouvelle. Cela faisait à peine deux semaines qu'elle était là, elle ne parlait pas énormément, mais elle était vraiment très jolie. Tellement naturelle, elle dégageait une délicate odeur de fraise, une agréable nuance de naïveté et de spontanéité. Elle  attirait le regard de tous les garçons, mais elle ne s'en préoccupait pas un seul instant. Ses mots qu'elle avait écrit à l'encre bleu, reflétait parfaitement ce que je pensais d'elle.
 
            Ingrid était une fille belle, intelligente et aimée de tous.  
 Elle avait une mère, un père, un frère, une famille. Pour certains c'était une confidente, pour d'autres une connaissance, pour beaucoup une grande amie au cœur gorgé d'amour.
                 Je ne connaissais pas Ingrid. Et maintenant je ne la connaitrai jamais...
Le chagrin est semblable à un océan, profond, infini et sombre. Il est si vaste, qu'il peut engloutir n'importe qui à tout moment.
Et la tristesse. La tristesse est comme une ombre intouchable, déversant le silence, elle est inconsolable, incontrôlable. Injuste.
Ce que tout le monde ressent en ces moments de peine, est injuste. Injuste mais inévitable...
 

 
 
 
 
             Quand à moi, je m'aperçus enfin de ce que je venais d'écrire, l'âme d'Ingrid avait dicté les mouvements de ma plume, elle était présente dans chacun de mes mots, chacune de mes phrases, chacune des syllabes de ce poème était imprégnées de sens:  
 
 
 Tout ce que tu touche se change en or
Comme l'ange tu es, tu ris en créant une douceur dans mon cœur
Tes yeux nous pénètrent, nous scotchant à tes côtés
Mais chacun de tout ces jours nous mènent à demain
Et demain sera un jour de moins sans toi
Mais s'il te plait, laisses juste la lumière allumée
Car toutes les routes que nous pourrons prendre, un jour, nous mèneront à cette lueur,
Et cette lueur nous mènera de nouveau à toi .
 
Comme l'ange tu es, tu ris en créant une légèreté dans ma poitrine,
Ne coupe pas notre fil,
Nous t'aimions tous tu sais,
Le grand vide misérable que tu laissés  
Ne sera jamais comblé.
Laisses juste ta lumière allumée
Et s'il te plait, ne ferme pas la porte à clé.
 
Comme l'ange, tu ris en nous envoûtant de tes mille saveurs
Quelque chose qui peut être goûtée indéfiniment, quelque chose dont on ne se lasse pas
Et même si la lumière est éteinte, nous retrouverons ton chemin  
Grâce ton regard de feu qui brisera l'obscurité,  
Car tes yeux nous pénètrent et ne cesseront jamais de nous faire profiter de ton âme.
Tu nous as couronné par ton amour, mais aujourd'hui, ton amour nous crucifie.
 
 

 
 
La sonnerie retentit. Tous les élèves, chacun leur tour, donnèrent leur copie à Mme Céleste. Tout ce passa dans une ambiance d'affliction, comme si tous rendait hommage à Ingrid par le silence. Un silence que tout le monde avait l'air d'apprécier à sa juste valeur.  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
C'est toujours un premier jet, je le redis, il doit donc certainement y avoir beaucoup de fautes    :sleep:  
 
Bonne continuation, et merci encore.
 

n°19876513
Ecriturede​l
Posté le 16-09-2009 à 22:59:38  profilanswer
 

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n°19878698
TAM136
Posté le 17-09-2009 à 07:39:04  profilanswer
 

G-pady-D a écrit :

Il y a sur Terre des silences, des moments d'absolue froideur J’aurais dit «de froideur absolue» du bruit, où se mêlent des nuances d'angoisse et de calme, de malaise et d'insouciance. Mais ces moments ne m'attirent guère. Comme ces moments que le condamné à mort repousse incessamment en marchant à l'encontre de sa triste fin, ces moments qui sont si gênants: ici, gênant est employé comme un adjectif qualificatif pour deux personnes seules dans une pièce, ne savant plus quoi dire, ni quoi faire, se trouvant ainsi contraintes: tu t’emmêles les pinceaux avec cette phrase un peu longue à mon sens d'écouter le silence de l'autre et espérant qu'un événement surnaturel puisse arriver au plus vite pour briser le mutisme tu emploies un synonyme afin de ne pas faire de répétition mais la tournure de la phrase est trop complexe surtout qu’elle exprime une seule idée, celle du silence pesant dans la pièce régnant dans la pièce. Enfin ces moments de silence complet dans la nuit, poussant même les personnes les plus courageuses et les plus téméraires à courir le plus vite possible afin d'échapper aux griffes de la noirceur silencieuseTu ne cesses de te répéter.
             C'est dans un de ces silences Sincèrement, tu serines, que j'arrivais au lycée. C'est sous le crépitement des gouttes, le léger clapotis de l'eau que Cyril, un des seuls surveillants qui connaissait mon nom, me dit alors que toute ma classe devait se réunir en salle d'étude.  
Pourquoi ? Si c’est du discours direct, va à la ligne et ouvre les guillemets». Si c’est du discours indirect, il faut revoir la formulation.
Il ne voulu pas me le dire. Je me précipitai alors dans cette salle où presque tous les camarades étaient déjà présent. Il y avait aussi Mme Céleste, encore elle, mais elle n'était pas odieuse comme à son habitude. Non, làmets une virgule après là car tu pourrais le supprimer sans conséquences sur la phrase. elle me fit juste un signe de la tête, pas de reproches désagréables, pas de mimiques agressives, juste un petit signe de la tête, que j'interprétais comme un signe de bienvenue : il s’agit d’un nom féminin. Je m'assis sur une chaise près de la fenêtre, quand tout à coup, j'entendis une porte se fermer. Mais je me rendis compte alors qu'il manquait quelqu'un. C'était Ingrid, une fille que je connaissais puisque c'était une des seulees qui m'adressait la parole, enfin quelques mots. C'était une fille très réservée, mais elle était aussi très gentille, à ce que j'ai pu en voir. Elle devait surement être en retard, elle y était souvent d'ailleurs en retard, nous nous retrouvions souvent en même temps devant les portes de nos salles où nous avions cours, c'est aussi grâce à ces retards que nous pouvions discuter un petit peu avant de rentrer en classe, sauf que quant nous rentrions les conséquences négatives des retards m'étaient réservées, Ingrid, elle, n'avait jamais rien hormis un petit bonjour courtois des professeurs Il y a de multiples phrases qui doivent être séparées par un point et non une virgule. . Mais enfin je ne lui en voulais pas pour autant, elle, qui prenait la peine de me parler, de me montrer que je n'étais pas un être invisible, qui me donnait un brin d'attention, un rien suffit parfois.  
                   Mme Céleste fit cesser tous les bavardages en martelant avec force le talon de sa chaussure contre le carrelage de la salle et prit la parole après avoir absorbé une grande quantité d'air comme sielle allait plongé en apnée. « Écoutez moi, s'il vous plaît, voilà vous avez certainement dû vous apercevoir qu'Ingrid n'était pas là ? Je dois vous annoncez annoncer : annoncer ne se rapporte pas à vous. Tu pourrais écrire: «Je dois vous dire». C’est donc bien le verbe à l’infinitif qui est employé ici. quelque chose  à son sujet. Ingrid avait un cancer, un cancer au cœur. Un cancer à cet endroit étant très très rare, les médecins l'ont diagnostiqué trop tard. Elle est décédée hier soir dans sa chambre d'hôpital. Donc si vous avez besoin de parler, sachez que la psychologue scolaire sera exceptionnellement présente toute la semaine et je suis là si vous avez besoin d'aide. Voilà, on se retrouve cette après-midi. Merci... vous pouvez retourner en cours. Et une dernière chose, dans ces moments, tout le monde peut avoir son moment de faiblesse, c'est normal... »  
A la fin de ce monologue, Pénélope, la meilleur amie d'Ingrid éclata en sanglots, elle était effondrée. Dans sa rage d'avoir perdu une être chère, elle hurla d'une voix peinée et inconsolable : « Mais quel est le sens de notre vie ?! Pourquoi vivre quand on sait que l'on va mourir ? Est-ce ça le sens de nos vies ? Ne se résument-t-elles qu'à mourir ? C'est injuste ...tout simplement injuste !! ». Elle s'enfuit alors de la salle à toute allure, comme si elle tentait d'échapper à la vérité, une réalité auquelle à laquelle elle aurait donné tout l'or du monde pour s'en libérer, puis quelques secondes plus tard ce fut à mon tour de partir, accompagné de tous les autres élèves, autant sous le choc que moi, autant accablés par cette douleur intérieure que tout le monde à déjà connu, une douleur qui nous pénètre au plus profond de notre âme dont le seul remède est le temps.  
            Le reste de la journée se passa en silence. Un silence solennel, impartial, que personne ne voulait rompre. C'était une des première fois que je me sentais en harmonie avec le reste du groupe mais je m'attristais que ce soit en de telles circonstances. Nous ne faisions plus qu'un, une masse d'individus, tous aussi différents les uns que les autres, dont nos cœurs àtous battaient à l'unissions pour Ingrid. Et battement après battement, je me rapprochais des autres, et eux m'acceptaient. A chaque cours de la journée, chaque professeur y allait de sa petite phrase, une phrase pleine de compassions et de déceptions, mais chacune de ces phrases nous rapprochaient C’est bien la phrase qui rapproche un peu plus du chagrin, une sorte de ravin remplit d'idées noires, de sanglots et d'afflictions, dont tout le monde essayait de nous y précipiter, sans pouvoir rien faire contre cela, comme paralysés par la peine éprouvée par le départ d'Ingrid. La fin de la journée arriva. Le dernier cours était celui de Mme Céleste. Et aussitôt assise: à moins que «assis» se rapporte aux élèves auquel cas, la tournure est gauche. , elle se tourna en direction du tableau et écrit écrivit pour assurer la concordance des temps :  
 
Rédaction facultative.  
 
Thème: En mémoire à Ingrid.  
 
Peut prendre la forme d'un poème ou d'un texte .  
 
1 heure.  
 
 
 
 
              Quand elle se retourna, je vis alors quelque chose d'assez remarquable pour notre classe, une classe qui était jugé par le corps enseignant de ''difficile''. Tous mes camarades sans exception, prirent une feuille et un stylo et se mirent à écrire. Ils: il y a une manie sur ce topic qui consiste à ne pas savoir quand une phrase se termine , regardèrent tous en l'air pour s'emparer de leur lueur d'inspiration qui se dressait au-dessus de leurs têtes leur tête à moins que ce ne soit des martiens. Quant  à moi, j'inscrivais les mots sur le papier sans réfléchir, sans méditer à sur quoi que ce soit. Ingrid était dans ma tête.Sa douce voix me transportait dans un autre monde, un monde sans peur ni crainte, un monde de légèreté, de douceur. L'océan à perte de vue, juste le bonheur de la vie au grès de la brise, juste l'amour du calme, de la nature.  C’est une phrase? . Un monde où personne ne dicte de conduite à avoir, où le respect prime sur le pouvoir. Où l'amour est un sentiment qui anime les plus belles preuves, un monde désintéressé par le prestige, un monde envoûté par les délices de la Terre, le léger bruissement des feuilles attisé par la bise, la délicate odeur de l'herbe après le passage de la rosée du matin et: attention à l’accumulation de propositions, suites de phrases….patati,patata et patato et non patati,patata,patato le majestueux grondement éprouvé par le rugissement de la houle. Un monde qui ne verra certainement jamais le jour.  
      Quand l'heure commença à toucher à sa fin, je m'aperçus que je pouvais entrevoir ce que ma voisine, Ava, avait écrit. Ses mots furent d'une rare sincérité.Je n'avais jamais lu quelque chose d'aussi sensible, dégageant une telle dose de sincérité. C'était comme si elle se dévoilait au grand jour en quelques lignes. Ce qui m'étonna encore plus sur le moment, c'est que cette jeune fille qui avait écrit ces mots, était une fille qui venait de déménager pour venir s'installer dans notre ville. Elle était nouvelle On en déduit qu’elle est nouvelle. Cela faisait à peine deux semaines qu'elle était là.Elle ne parlait pas énormément, mais elle était vraiment très jolie et tellement naturelle.Elle dégageait une délicate odeur de fraise, une agréable nuance de naïveté et de spontanéité. Elle  attirait le regard de tous les garçons, mais elle ne s'en préoccupait pas un seul instant. Ses mots qu'elle avait écrit à l'encre bleu, reflétaient parfaitement ce que je pensais d'elle.  
 
            Ingrid était une fille belle, intelligente et aimée de tous.  
 Elle avait une mère, un père, un frère, une famille. Pour certains c'était une confidente, pour d'autres une connaissance, pour beaucoup une grande amie au cœur gorgé d'amour.  
                 Je ne connaissais pas Ingrid. Et maintenant je ne la connaitrai jamais...  
Le chagrin est semblable à un océan, profond, infini et sombre. Il est si vaste, qu'il peut engloutir n'importe qui à tout moment.  
Et la tristesse. La tristesse est comme une ombre intouchable, déversant le silence, elle est inconsolable, incontrôlable. Injuste.  
Ce que tout le monde ressent en ces moments de peine, est injuste. Injuste mais inévitable...  
 
 
 
 
 
 
             Quant à moi, je m'aperçus enfin de ce que je venais d'écrire.L'âme d'Ingrid avait dicté les mouvements de ma plume.Elle était présente dans chacun de mes mots.Chacune de mes phrases, chacune des syllabes de ce poème était imprégnées de sens:  
 
 
 Tout ce que tu touche se change en or  
Comme l'ange tu es, tu ris en créant une douceur dans mon cœur  
Tes yeux nous pénètrent, nous scotchant à tes côtés  
Mais chacun de tout ces jours nous mènent à demain  
Et demain sera un jour de moins sans toi  
Mais s'il te plait, laisses juste la lumière allumée  
Car toutes les routes que nous pourrons prendre, un jour, nous mèneront à cette lueur,  
Et cette lueur nous mènera de nouveau à toi .  
 
Comme l'ange tu es, tu ris en créant une légèreté dans ma poitrine,  
Ne coupe pas notre fil,  
Nous t'aimions tous tu sais,  
Le grand vide misérable que tu laissés  
Ne sera jamais comblé.  
Laisses juste ta lumière allumée  
Et s'il te plait, ne ferme pas la porte à clé.  
 
Comme l'ange, tu ris en nous envoûtant de tes mille saveurs  
Quelque chose qui peut être goûtée indéfiniment, quelque chose dont on ne se lasse pas  
Et même si la lumière est éteinte, nous retrouverons ton chemin  
Grâce ton regard de feu qui brisera l'obscurité,  
Car tes yeux nous pénètrent et ne cesseront jamais de nous faire profiter de ton âme.  
Tu nous as couronné par ton amour, mais aujourd'hui, ton amour nous crucifie.  
 
 
 
 
 
La sonnerie retentit. Tous les élèves, chacun leur tour, donnèrent leur copie à Mme Céleste. Tout ce passa dans une ambiance d'affliction, comme si tous rendait hommage à Ingrid par le silence. Un silence que tout le monde avait l'air d'apprécier à sa juste valeur.  
   
 
C'est toujours un premier jet, je le redis, il doit donc certainement y avoir beaucoup de fautes        
 
Bonne continuation, et merci encore.  
 
Ce n’est pas toujours compréhensible du fait de phrases trop longues, de répétitions, de tournures «gauches» et surtout du fait que tu veux tellement faire bien que tu n’arrives pas à t’en sortir.



Message édité par TAM136 le 17-09-2009 à 07:40:19
n°20088821
Ecriturede​l
Posté le 05-10-2009 à 23:12:01  profilanswer
 

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mood
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Posté le 05-10-2009 à 23:12:01  profilanswer
 

n°20253503
Prince Vaa​n
Posté le 20-10-2009 à 05:04:42  profilanswer
 

Coucou tout le monde.
J'aimerais avoir votre avis sur ce texte qui est le début de mon futur roman.
 
Le ciel était bleu sans l'ombre d'un nuage, le soleil était à son zénith. Ici, la neige était omniprésente et faisait de cet endroit un paradis. La blancheur de l'horizon donnait un aspect de pureté. Le sommet des falaises et quelques conifères laissaient aperçevoir des teintes colorées. Malgré les rayons de soleil, le froid s'était définitivement installé.
Trois individus apparaissaient, comme une tâche d'encre sur un tableau, ils cassaient ce paysage céleste. Impossible de voir leur corps, cachés par de long manteaux noirs. Impossible de discerner leurs visages, de grandes capuches en gardaient le mystère. Seul des lèvres gercées restaient à découvert. A chacune de leur expiration, un petit nuage se formait et disparaissait après quelques secondes. La neige craquait sous leur pas, quand, l'un d'entre eux s'arrêta et leva lentement sa capuche. Un oeil, de couleur noisette, apparu. Peu à peu la taille de son iris rétrécissait, jusqu'à devenir un simple point dans son oeil. Sa vision augmentait considérablement, il voyait de plus en plus loin.
"C'est bon. Je l'ai." D'une délicate voix féminine.
"La grotte, elle est en face de nous. A 400 mètres." dit-elle à ses partenaires.
Arrivé en face de la montagne, elle leva la tête et dit: " Au dessus."
Ils sautèrent de rochers en rochers et arrivèrent à l'entrée de la grotte. Une énorme porte métallique bloquait le passage. Finalement, ils retirèrent leurs capuches; l'équipe était constituée de 2 garçons et d'une fille.
Le plus jeune, âgé de 21 ans, était au milieu. Ses longs cheveux noirs cachaient la moitié gauche de son visage délicat. De beaux yeux gris, de long cils et des fins sourcils lui donnaient un aspect androgyne. Son prénom...Anryon.
"Normalement, je devrais être à l'école. Discuter avec mes amis, penser à mon futur... la vie d'un adolescent normal. Mais, depuis bien longtemps, 'les choses normales' avaient disparu de ma vie." pensait Anryon.
Il jeta un coup d'oeil sur son compagnon de droite, le second garçon, Abel. Il était plus âgé du groupe, 27 ans. L'arrière de son crâne, caractérisé par une coupe de cheveux trés courte, avait un étrange appareil noir enfoncé. Le reste de son crâne était couvert par des cheveux bruns de taille moyenne. Ses quatres boucles d'oreille lui donnaient une apparence rebelle. plus grand et plus musclé qu'Anryon, son charisme était incroyable. Abel était incontestablement le leader du groupe. Anryon le considérait comme un model, un grand frère. Abel tourna la tête vers Anryon, son visage était transi par le froid, pourtant il fit un petit sourire à son coéquipier. Intimidé, Anryon baissa la tête et sourit.
Le dernier membre du groupe était Heria, jeune fille de 24 ans. Blonde aux cheveux courts, Heria était unique pa ses yeux. elle souffrait d'hétérochromie, communément appelé les yeux vairons, avec un oeil noir et un oeil de couleur noisette. Cette paricularité lui donnait un certain charme mais aussi un aspect démoniaque. Elle caressait ses lèvres gércées. Timidement, elle contemplait son héros, Abel. Ses yeux dénonçaient son sentiment amoureux.
 
Voià, j'aimerais avoir vos avis sur le style, la manière dont j'introduit les personnages, les descriptions. si vous avez des suggestions (et puis mm si vous voulez connaître la suite :') ). J'atends avec impatient vos avis. Merci pour votre lecture.

n°20253631
TAM136
Posté le 20-10-2009 à 07:54:47  profilanswer
 

Salut,
 
C'est plutôt pas mal dans l'ensemble.C'est bien écrit:il n'y a pas de fioritures ni de tournures alambiquées comme chez certains.Ton style est plutôt correct.Il y a une certaine atmosphère.
Par contre,je l'ai déjà dit mais je n'aime pas trop les phrases du type:"Trois individus apparaissaient, comme une tâche d'encre sur un tableau, ils cassaient ce paysage céleste.",c'est-à-dire les doubles phrases.Mais c'est un point de vue.
Juste une petite faute d'orthographe sur "Arrivé en face... "

n°20255384
Koko90
L'éternité plus 10%
Posté le 20-10-2009 à 11:46:08  profilanswer
 

Trop de chiffres (les ages exactes dès l'introduction des personnages, qui plus est en chiffres romains, ça fait un peu première partie de D&D).
 

Citation :

Heria était unique par ses yeux. Elle souffrait d'hétérochromie, communément appelé les yeux vairons, avec un oeil noir et un oeil de couleur noisette. Cette particularité lui donnait un certain charme mais aussi un aspect démoniaque. Elle caressait ses lèvres gercées. Timidement, elle contemplait son héros, Abel. Ses yeux dénonçaient son sentiment amoureux.


 
Sur la forme on a :
Capitalisation incorrecte, fautes d'orthographes mineures mais désagréables, répétitions dignes d'un rapport scientifique (le mot oeil apparait 5 fois en deux lignes).


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Découvrez l'anthologie des posts de Mikhail. Je suis le cinéphile déviant.
n°20255930
TAM136
Posté le 20-10-2009 à 12:42:55  profilanswer
 

Koko90 a écrit :

Trop de chiffres (les ages exactes dès l'introduction des personnages, qui plus est en chiffres romains, ça fait un peu première partie de D&D).
 

Citation :

Heria était unique par ses yeux. Elle souffrait d'hétérochromie, communément appelé les yeux vairons, avec un oeil noir et un oeil de couleur noisette. Cette particularité lui donnait un certain charme mais aussi un aspect démoniaque. Elle caressait ses lèvres gercées. Timidement, elle contemplait son héros, Abel. Ses yeux dénonçaient son sentiment amoureux.


 
Sur la forme on a :
Capitalisation incorrecte, fautes d'orthographes mineures mais désagréables, répétitions dignes d'un rapport scientifique (le mot oeil apparait 5 fois en deux lignes).


 
Effectivement il y a quelque fautes mineures, peut-être d'ailleurs liée à la frappe qui peuvent être facilement corrigées.
aperçevoir, longs cils, communément appelée
 
Pour la répétition du terme "oeil",effectivement,ça fait un peu trop.

n°20268188
Prince Vaa​n
Posté le 21-10-2009 à 08:53:27  profilanswer
 

Re bonjour amis écrivains.
 
Je tenais dans un premier temps à remercier les personnes qui ont prit du temps pour lire mon texte, et pour me corriger. Je dois avouer que la réécriture est un passage très délicat, mais lorsqu'on trouve des personnes pour nous indiquer les passages à corriger, à reformer et à paufiner, celà rend le travail moins pénible et plus rapide surtout. Notamment que certaines érreurs sont stupides, mais pas évidentes aperçevoir ( particulièrement la répétitons du mot 'oeil' dans mon cas). Je prends donc vos suggestions très  au sérieux. Thank you so much.
 
Koko90: Je tenais à te remerçier, car tes remarques sont judicieuses. J'ai remanipuler mon texte car en effet la répétition du mot 'oeil' est très lourde. J'avais jamais fait attention...comme quoi, un regard exterieur est toujours necessaire. Voilà ce que cela donne:
 
Blonde aux cheveux courts, Heria était unique en son genre. Elle souffrait d'hétérochromie, communément appelée les yeux vairons. L'oeil gauche était noir et le droit de couleur noisette. Cette particularité lui donnait un certain charme mais aussi un aspect démoniaque. Elle caressait ses lèvres gerçées. Timidement, elle contemplait son héros, Abel. Son regard lascif dénonçait son sentiment amoureux.
 
 
Maintenant si vous le permettez j'aimerais vous présentez la suite du texte. Et je vous laisse juger!
 
Un vent glacial les frappa. Tout le corps d'Heria frissonna et elle remit sa capuche, Abel tourna la tête et protégea son visage de sa main. Anryon, quant à lui, restait immobile, droit, les yeux ouverts. Heria observa son jeune coéquipier.
"Plus je le côtoie et plus il m'étonne. Abel et moi sommes frigorifiés, alors que lui...pff." Murmura t-elle avec incompréhension.
Abel sortit de sa poche une petite balle métallique, l'actionna et la fixa sur la porte. La bombe explosa et ainsi libéra le passage. Un mélange de poussière et de neige formait une épaisse fumée blanchâtre. Soudain, un monstre jaillit de la purée de pois, les crocs en avant. D'une vitesse étonnante, Heria saisit son arme à feu et l'extirpa de son holster. Un coup de feu retentit. La tête de la créature explosa et il s'éffondra à quelques centimètres d'Anryon qui restait impassible. Pendant un instant, le regard d'Anryon se posa sur la bête. Elle était de couleur noir et marron, grande et maigre, avec de longs doigts pointus comme des couteaux. Rien d'humain, si ce n'est...le sang qui s'écoulait.
"Ok, on fait comme d'habitude." Balança froidement Abel.
"Alors c'est à moi de jouer." Dit Heria avec les yeux grands ouverts.
Heria s'engouffra la première dans cette grotte, où les ténèbres régnait en maître. Des grognements sauvages se faisaient entendre et des coups de feu retentissaient. Peu après, la jeune femme actionna l'interrupteur et la lumière apparue. Abel et Anryon la rejoignèrent. Les corps mutilés, parfois démembrés des monstres gisaient sur le sol, l'arme à feu d'Heria fûmait encore.
"Ce fût avec plaisir." Dit la jeune femme avec sourire.
Ils continuaient, ensemble, leur avancée dans la grotte jusqu'à une bifurcation. Sans prononcer un mot, le groupe se sépara, Abel à gauche et les deux autres à droite.
Abel, seul, empreinta un petit escalier. Il descendit et arriva devant une petite salle amménagée en laboratoire. Les ampoules éléctriques au bord de la rupture, provoquaient des extinctions intempestives. Des papiers étaient éparpillés sur le sol, l'ordinateur encore branché était en état de fonctionnement. Un corps humain, nu, apparemment mort, était allongé sur une table d'opération. D'un simple regard, Abel activa l'ordinateur. Le jeune homme marchait à travers le laboratoire et s'arrêta devant un immense aquarium, qui contenait des milliers de litres d'eau...mais aucun poisson. Abel retourna à l'écran d'ordinateur qui affichait: "NO DATA".
Il soupira brievement et regarda autour de lui.
"Un aquarium sans poisson, un ordinateur vide et un corps allongé sur une table d'opération..."  
Il s'approcha du corps humain, qui était inerte, allongé sur la table d'opération. Sous sa tête, un petit carnet. Abel regarda le corps durant plusieurs secondes. Lentement, il tendit la main vers son visage.
 
Et voilà, j'attends avec impatience vos avis. Merci pour cette seconde lecture.  
 
 
 

n°20270808
TAM136
Posté le 21-10-2009 à 12:51:26  profilanswer
 

Prince Vaan a écrit :


 
Un vent glacial les frappa. Tout le corps d'Heria frissonna et elle remit sa capuche.Une nouvelle phrase commenceAbel tourna la tête et protégea son visage de sa main. Anryon, quant à lui, restait immobile, droit, les yeux ouverts. Heria observa son jeune coéquipier.
"Plus je le côtoie et plus il m'étonne. Abel et moi sommes frigorifiés, alors que lui...pff" murmura t-elle avec incompréhension.
Abel sortit de sa poche une petite balle métallique, l'actionna et la fixa sur la porte. La bombe la balle est une bombe? explosa et ainsi libéra le passage. Un mélange de poussière et de neige formait une épaisse fumée blanchâtre. Soudain, un monstre jaillit de la purée de pois, les crocs en avant. D'une vitesse étonnante, Heria saisit son arme à feu et l'extirpa de son holster. Un coup de feu retentit. La tête de la créature explosa et il elle puisque tu emploies le terme créature et non plus le terme de monstre s'éffondra à quelques centimètres d'Anryon qui restait impassible. Pendant un instant, le regard d'Anryon se posa sur la bête. Elle était de couleur noir et marron, grande et maigre, avec de longs doigts pointus comme des couteaux. Rien d'humain, si ce n'est...le sang qui s'écoulait.
"Ok, on fait comme d'habitude." Balança froidement Abel.
"Alors c'est à moi de jouer"dit ou alors tu écris Heria dit:"..." Heria avec les yeux grands ouverts.
Heria s'engouffra la première dans cette grotte, où les ténèbres régnaient en maître. Des grognements sauvages se faisaient entendre et des coups de feu retentissaient. Peu après, la jeune femme actionna uninterrupteur et la lumière apparut. Abel et Anryon la rejoignirent. Les corps mutilés, parfois démembrés des monstres gisaient sur le sol.L'arme à feu d'Heria fûmait encore.
"Ce fût avec plaisir"dit la jeune femme avec sourire.
Ils continuaient, ensemble, leur avancée dans la grotte jusqu'à une bifurcation. Sans prononcer un mot, le groupe se sépara, Abel à gauche et les deux autres à droite.
Abel, seul, emprunta:ne pas confondre emprunter et empreinter qui n'existe pas de toute façon un petit escalier. Il descendit et arriva devant une petite salle amménagée en laboratoire. Les ampoules éléctriques au bord de la rupture, provoquaient des extinctions intempestives. Des papiers étaient éparpillés sur le sol, l'ordinateur encore branché était en état de fonctionnement. Un corps humain, nu, apparemment mort, était allongé sur une table d'opération. D'un simple regard, Abel activa l'ordinateur. Le jeune homme marchait à travers le laboratoire et s'arrêta devant un immense aquarium, qui contenait des milliers de litres d'eau...mais aucun poisson. Abel retourna à l'écran d'ordinateur qui affichait: "NO DATA".
Il soupira brievement et regarda autour de lui.
"Un aquarium sans poisson, un ordinateur vide et un corps allongé sur une table d'opération..."  
Il s'approcha du corps humain, qui était inerte, allongé sur la table d'opération. Sous sa tête, un petit carnet. Abel regarda le corps durant plusieurs secondes. Lentement, il tendit la main vers son visage.
 
Et voilà, j'attends avec impatience vos avis. Merci pour cette seconde lecture.  


 
Attention encore une fois à bien couper tes phrases.


Message édité par TAM136 le 21-10-2009 à 12:56:42
n°20276571
Prince Vaa​n
Posté le 21-10-2009 à 20:26:06  profilanswer
 

Je te remercie TAM136 pour ta lecture, mais aussi pour tes corrections et tes suggestions judicieuses. Je posterai très prochainement la suite et fin de mon chapitre premier.
PS: C'est bien dommage que ce forum soit plutôt inactif, j'aurais aimé avoir un peu plus de points de vue.

n°20280769
TAM136
Posté le 22-10-2009 à 07:44:45  profilanswer
 

Pas de souci.Ceci étant dit concernant ta remarque sur le fait que personne ne te réponde,je dirais moi que je trouve dommage que d'autres contrairement à toi,"ne laissent plus de nouvelles" après avoir posté un extrait de leur roman et obtenu "une critique" ne serait-ce que pour s'expliquer et dire ce qu'ils pensent de la critique.Je ne demande pas un merci mais comme déjà dit sur le forum Aide aux devoirs,ça pourrait aider les autres.

n°20293238
Ecriturede​l
Posté le 23-10-2009 à 02:29:47  profilanswer
 

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

n°20293834
Prince Vaa​n
Posté le 23-10-2009 à 06:32:34  profilanswer
 

Coucou me re-voici.
Voici la troisième et dernière partie de mon chapitre premier. J'aimerais avoir vos avis et vos suggestions, mais je voudrais aussi savoir si ce premier chapitre éveille la curiosité  ou l'envie d'en connaitre plus (ne serait-ce qu'un peu).
 
Finalement Abel saisit le carnet et le fit glisser lentement sous la tête du cadavre. Sur la couverture, un logo signé G.S. Corp. Le document en sa possession, Abel le feuilletait. Les pages étaient blanches... sauf une!
Il y lisait: "Genèse chapitre 1 verset 26 et 27.
               Genèse chapitre 2 verset 17.
               Genèse chapitre 3 verset 6 et verset 19.
               Genèse chapitre 3 verset 22."
Il fronça les sourcils et murmura: "La Bible?"
A cet instant un petit bruit l'interrompit dans sa réfflexion. Son premier reflexe fût d'observer le corps en face de lui. Allongé, sans bouger de la table, il jouait parfaitement son rôle de mort. Il jeta donc un oeil autour de lui, mais rien à signaler. Une petite pierre, sortit d'en haut, ricocha sur le petit carnet et finit sa chute sur le sol. Abel leva la tête et éffectivement il n'était pas seul. Un monstre, collé au plafond, l'épiait. Abel fit quelques pas en arrière. Le monstre se laissa tomber et attérit lourdement sur ses pattes. Abel referma le carnet et le mit dans une poche intérieure.  
La créature se mit à hurler sauvagement. De long filets de bave reliaient ses canines inférieures et supérieures. Avant que celle-ci n'eût terminé son intimidation vocale, elle fût heurtée violemment par l'ordinateur. La créature tomba sur le sol, étourdi, mais se releva rapidement. Elle sauta sur Abel, mais il utilisa son pouvoir pour soulever la table et l'envoyer sur le monstre. Le jeune homme avait des dons de télékinesie avancés. Le monstre s'écrasa sur l'aquarium. Une profonde fissure apparut et s'étendait sur la totalité de l'aquarium. Sous la pression, la vitre céda et laissa échapper tout son contenu. L'eau envahit rapidement la pièce. Le monstre sauta un seconde fois sur Abel. Le jeune homme utilisa l'eau comme un mur pour se protéger et repousser l'attaque de son ennemi.  
Abel joignit ensuite ses deux mains afin de rassembler toute l'eau contenu dans la pièce. Lorsqu'il ferma ses poings, l'eau prit la forme de poings serrés. Son contrôle de l'eau était parfait. le monstre poussa un hurlement furieux avant d'attaquer. Abel mima un coup de poing et l'un des poing aqueux frappa fortement le monstre. Les coups portés par le jeune homme étaient d'une grande violence et faisaient virevolter la créature dans toute la salle. La dernière attaque d'Abel terrassa la bête. Elle finit écrasé contre le mur comme un vulgaire insecte.  
- Je pense qu'il n'y a plus rien d'interessant ici, conclua-t-il.
Anryon fouillait activement la petite salle où il se trouvait. elle ressemblait à un petit local à provision. Heria, elle, se trouvait dans la pièce à coté.
- C'est bon, arrête. il n'y a rien ici aussi, se dit-elle.
Finalement Anryon la rejoingnit.
- Alors tu as trouvé quelque chose Anryon?
Le jeune garçon hôcha la tête négativement.
Heria s'exclama: "Des fois je ne comprends pas du tout Abel. Qu'est ce qu'il veut au juste?"
La jeune femme tourna la tête subitement.
- On a de la visite énonça-t-elle.
Elle sortit ses deux armes à feu. Puis après quelques secondes, une dizaine de monstres entrèrent dans la salle. les carnivores les encerclèrent rapidement. Les protagonistes restaient immobiles. La respiration d'Heria ralentit en signe de concentration. Les monstres observaient leurs futures victimes, attendaient le moment opportun pour attaquer. L'un des monstres sauta sur Heria et Anryon avec vivacité. Heria pointa son arme et appuya sur la gachette.  
La balle sortit du canon et perfora la tête de la créature. Ce fût le signal de départ, toutes les bêtes se précipitèrent sur eux. La vitesse de réaction d'Heria associée à sa grande précision étaient une arme beaucoup plus redoutable que le surnombre de ses bêtes. Elle ne leur laissait aucune chance, les éxecutait un à un. Les créatures avaient à peine le temps d'avancer que la mort s'abattait sur eux. Malgré les tirs bruyants et le sang qui jaillissait, Anryon restait dans une profonde quiétude. Au final, il ne restait qu'un monstre, la conclusion de cette boucherie. Heria dirigea ses deux revolvers sur lui.
- Adieu! dit-elle avec froideur.
Elle appuie sur les deux gachettes...mais rien. Elle réitera son attaque, les barillets tournaient mais aucun tir. Manque de munitions.
- Oups. murmura-t-elle.
Le temps de recharger, le monstre fonça sur elle. Il se trouvait en face d'elle, prêt à attaquer quand... il fut transperçé dans le dos, par le bras d'Anryon. D'un mouvement horizontal, le jeune garçon lui arracha toute la partie gauche de sa hanche. le monstre s'écroula sur le sol. Anryon regardait son bras recouvert d'un sang qui n'était pas le sien.
- Je vois que tu gardes le style Anryon. dit Heria.
Abel entra dans la salle.
- Vous avez trouvé quelque chose?
Joyeuse de retrouver celui qu'elle aime, Heria sourit et dit:
- Non, rien à signaler. On s'est simplement fait attaquer par des...
Abel envoya un regard froid et méprisant à sa coéquipière. Heria trésaillit à en perdre son sourire.
- Et toi Anryon, ajouta-t-il, tu as découvert quelque chose?
Le jeune homme dit "non" de la tête sans regarder son aîné dans les yeux. Mais Abel posa sa main sur son épaule et dit d'un ton rassurant:
- Aucun problème. Retournons à Alcaran.
 
J'attends vos réactions. Merci.

n°20293932
TAM136
Posté le 23-10-2009 à 08:02:09  profilanswer
 

Ecrituredel a écrit :

Je viens de voir ce que tu as dit TAM et je comprends pas très bien ce que tu entends par: ça pourrait aider les autres? Un petit éclaircissement serait apprécié...


 
Je ne vois pas ce qu'il y a de compliqué.Une personne est plus ou moins confrontée à une difficulté,commet des travers, a de mauvaises habitudes dans son écriture...Ceux qui veulent à leur tour se mettre à l'écriture,verront ce qu'il faut faire ou non.Sincèrement,tu ne trouves pas étrange que quelqu'un poste afin de demander un avis et ne donne plus donner de nouvelles ne serait-ce que pour dire s'il est d'accord ou non avec la critique?Ou s'agit-il tout simplement de confirmer ce que disent les parents de ceux qui écrivent,à savoir que le livre est génial même s'il est truffé de fautes de français et ainsi "l'écrivain pourra s'en aller tout fier"?


Message édité par TAM136 le 23-10-2009 à 08:03:26
n°20296618
TAM136
Posté le 23-10-2009 à 13:16:03  profilanswer
 

Prince Vaan a écrit :

Coucou me re-voici.
Voici la troisième et dernière partie de mon chapitre premier. J'aimerais avoir vos avis et vos suggestions, mais je voudrais aussi savoir si ce premier chapitre éveille la curiosité  ou l'envie d'en connaitre plus (ne serait-ce qu'un peu).
 
Finalement Abel saisit le carnet et le fit glisser lentement sous la tête du cadavre. Sur la couverture, un logo signé G.S. Corp. Le document en sa possession, Abel le feuilletait. Les pages étaient blanches... sauf une!
Il y lisait: "Genèse chapitre 1 verset 26 et 27.
               Genèse chapitre 2 verset 17.
               Genèse chapitre 3 verset 6 et verset 19.
               Genèse chapitre 3 verset 22."
Il fronça les sourcils et murmura: "La Bible?"
A cet instant un petit bruit l'interrompit dans sa réflexion. Son premier réflexe fût d'observer le corps en face de lui. Allongé, sans bouger de la table, il jouait parfaitement son rôle de mort. Il jeta donc un oeil autour de lui, mais rien à signaler. Une petite pierre, sortit d'en haut, ricocha sur le petit carnet et finit sa chute sur le sol. Abel leva la tête et effectivement il n'était pas seul. Un monstre, collé au plafond, l'épiait. Abel fit quelques pas en arrière. Le monstre se laissa tomber et atterrit lourdement sur ses pattes. Abel referma le carnet et le mit dans une poche intérieure.  
La créature se mit à hurler sauvagement. De long filets de bave reliaient ses canines inférieures et supérieures. Avant que celle-ci n'eût terminé son intimidation vocale, elle fût heurtée violemment par l'ordinateurQuel ordinateur? Je ne comprends pas. La créature tomba sur le solTu écris,"le monstre atterrit et ensuite qu'il tombe sur le sol comme s'il tombait 2 fois!!??, étourdie, mais se releva rapidement. Elle sauta sur Abel, mais il utilisa son pouvoir pour soulever la table et l'envoyer sur le monstre. Le jeune homme avait des dons de télékinesie avancés. Le monstre s'écrasa sur l'aquarium. Une profonde fissure apparut et s'étendait sur la totalité de l'aquarium. Sous la pression, la vitre céda et laissa échapper tout son contenu. L'eau envahit rapidement la pièce. Le monstre sauta un seconde fois sur Abel. Le jeune homme utilisa l'eau comme un mur pour se protéger et repousser l'attaque de son ennemi.  
Abel joignit ensuite ses deux mains afin de rassembler toute l'eau contenue dans la pièce. Lorsqu'il ferma ses poings, l'eau prit la forme de poings serrés. Son contrôle de l'eau était parfait. Le monstre poussa un hurlement furieux avant d'attaquer. Abel mima un coup de poing et l'un des poing aqueux frappa fortement le monstre. Les coups portés par le jeune homme étaient d'une grande violence et faisaient virevolter la créature dans toute la salle. La dernière attaque d'Abel terrassa la bête. Elle finit écrasée contre le mur comme un vulgaire insecte.  
- Je pense qu'il n'y a plus rien d'interessant ici, conclua-t-il.
Anryon fouillait activement la petite salle où il se trouvait. Elle ressemblait à un petit local à provision. Heria, elle, se trouvait dans la pièce à coté.
- C'est bon, arrête. il n'y a rien ici aussi, se dit-elle.
Finalement Anryon la rejoingnit.
- Alors tu as trouvé quelque chose Anryon?
Le jeune garçon hôcha la tête négativement.
Heria s'exclama: "Des fois je ne comprends pas du tout Abel. Qu'est ce qu'il veut au juste?"
La jeune femme tourna la tête subitement.
- On a de la visite énonça-t-elle.
Elle sortit ses deux armes à feu. Puis après quelques secondes, une dizaine de monstres entrèrent dans la salle. Les carnivores les encerclèrent rapidement. Les protagonistes restaient immobiles. La respiration d'Heria ralentit en signe de concentration. Les monstres observaient leurs futures victimes, attendaient le moment opportun pour attaquer. L'un des monstres sauta sur Heria et Anryon avec vivacité. Heria pointa son arme et appuya sur la gachette.  
La balle sortit du canon et perfora la tête de la créature. Ce fût le signal de départ, toutes les bêtes se précipitèrent sur eux. La vitesse de réaction d'Heria associée à sa grande précision étaient une arme beaucoup plus redoutable que le surnombre de ses bêtes. Elle ne leur laissait aucune chance, les éxecutait une à une: attention, à ne pas trop jonglet entre monstre,bête,créature...même si tu veux éviter des répétitions car de la sorte tu "t'emmêles les pinceaux". Les créatures avaient à peine le temps d'avancer que la mort s'abattait sur elles. Malgré les tirs bruyants et le sang qui jaillissait, Anryon restait dans une profonde quiétude. Au final, il ne restait qu'un monstre, la conclusion de cette boucherie. Heria dirigea ses deux revolvers sur lui.
- Adieu! dit-elle avec froideur.
Elle appuya:attention à la cohésion dans l'emploi des temps sur les deux gachettes...mais rien. Elle réitéra Tu ne mets pas les accents parce que tu tapes trop vite ou est-ce pour une autre raison?
 son attaque.Les barillets tournaient mais aucun tirA mon avis puisque tu te répètes,ici tu pourrais écrire "mais toujours rien..enfin, à toi de voir la formulation. Manque de munitions.
- Oups. murmura-t-elle.
Le temps de recharger, le monstre fonça sur elle. Il se trouvait en face d'elle, prêt à attaquer quand... il fut transperçé dans le dos, par le bras d'Anryon. D'un mouvement horizontal, le jeune garçon lui arracha toute la partie gauche de sa hanche. Le monstre s'écroula sur le sol. Anryon regardait son bras recouvert d'un sang qui n'était pas le sien.
- Je vois que tu gardes le style Anryon. dit Heria.
Abel entra dans la salle.
- Vous avez trouvé quelque chose?
Joyeuse de retrouver celui qu'elle aime, Heria sourit et dit:
- Non, rien à signaler. On s'est simplement fait attaquer par des...
Abel envoya un regard froid et méprisant à sa coéquipière. Heria tressaillit à en perdre son sourire.
- Et toi Anryon, ajouta-t-il, tu as découvert quelque chose?
Le jeune homme dit "non" de la tête sans regarder son aîné dans les yeux. Mais Abel posa sa main sur son épaule et dit d'un ton rassurant:
- Aucun problème. Retournons à Alcaran.
 
J'attends vos réactions. Merci.


n°20296677
Ecriturede​l
Posté le 23-10-2009 à 13:23:59  profilanswer
 

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

n°20338282
Wlahndrau
Posté le 27-10-2009 à 01:11:33  profilanswer
 


Salutation aux participants de ce topic .
J'entame donc ma participation ...
____________________________
 
Je reste tremblant de cette rencontre qui n'eus lieu qu'en un instant qui échappe a mes sens
et j'écris ces ligne avant de perdre ce qui a été promis a l'oubli .
Je ne sait plus de quel temps je venais ni ou nous sommes mais il me semble qu'il y a peu ,
a l'instant un peu plus tôt j'ai vu un souffle figé comme le silence au cœur du bruit .
 
Je suis enclin a plaider l'imaginaire la fatigue et même la folie
mais peut on décliner une pensée une empreinte non tel une vérité mais comme une allégorie
troublant les sens , bouleversant l'imaginaire et meurtrissant toute logique .
Ce temps je l'ai vu bien qu'il ne puisse être ,
même si le plus consistant des rêves ne saurait l'accueillir
et que la plus improbable pensée ne saurait le faire vivre il a bien existé .
 
Des yeux comme il n'en existe pas aux nôtres ,
des mots que l'on comprend sans entendre une vérité trop lourde
pour un esprit vertébré soucieux de sa chaire .
Il en est ainsi , une plongée vers le haut , vertigineuse .
Et maintenant je vois en bas ces fourmis qui me jauges .
 
Seul dans cette certitude je resterais contre tous ceux qui savent sans raisonner ,
qui voient sans regarder , qui entendent sans écouter .
Et surtout contre et malgré ceux qui vivent sans exister .
Je sais sans pouvoir dire ce qui est vrais même s'il m'arrive d'en douter
et je sais que mon dernier souffle sera ma liberté .

Message cité 1 fois
Message édité par Wlahndrau le 27-10-2009 à 01:39:59
n°20339281
TAM136
Posté le 27-10-2009 à 07:49:20  profilanswer
 

Salutations à toi,
 

Wlahndrau a écrit :


Salutation aux participants de ce topic .
J'entame donc ma participation ...
____________________________
 
Je reste tremblant de cette rencontre qui n'eut lieu qu'en un instant qui échappe a mes sens
et j'écris ces lignes avant de perdre ce qui a été promis a l'oubli .
Je ne sais plus de quel temps je venais ni ou nous sommes mais il me semble qu'il y a peu ,
a l'instant un peu plus tôt j'ai vu un souffle figé comme le silence au cœur du bruit .
 
Je suis enclin a plaider l'imaginaire la fatigue et même la folie
mais peut on décliner une pensée une empreinte non telle une vérité mais comme une allégorie
troublant les sens , bouleversant l'imaginaire et meurtrissant toute logique .
Ce temps je l'ai vu bien qu'il ne puisse être ,
même si le plus consistant des rêves ne saurait l'accueillir
et que la plus improbable pensée ne saurait le faire vivre il a bien existé .
 
Des yeux comme il n'en existe pas aux nôtres ,
des mots que l'on comprend sans entendre une vérité trop lourde
pour un esprit vertébré soucieux de sa chair .
Il en est ainsi , une plongée vers le haut , vertigineuse .
Et maintenant je vois en bas ces fourmis qui me jaugent .
 
Seul dans cette certitude je resterais(conditionnel/resterai(futur) contre tous ceux qui savent sans raisonner ,
qui voient sans regarder , qui entendent sans écouter .
Et surtout contre et malgré ceux qui vivent sans exister .
Je sais sans pouvoir dire ce qui est vrai même s'il m'arrive d'en douter
et je sais que mon dernier souffle sera ma liberté .



Message édité par TAM136 le 27-10-2009 à 07:50:46
n°20343028
tinkywinky
Posté le 27-10-2009 à 14:30:44  profilanswer
 

[quotemsg=20293834,2520,711212 Heria pointa son arme et appuya sur la gachette. [/quotemsg]Pour être pointilleux il faudrait utiliser le terme "détente" en lieu et place de "gâchette".  

n°20351003
TAM136
Posté le 28-10-2009 à 07:34:16  profilanswer
 

Je n’avais pas vu certaines fautes
 
 
 
 
 
Je reste tremblant de cette rencontre qui n'eus lieu qu'en un instant qui échappe à mes sens  
et j'écris ces ligne avant de perdre ce qui a été promis à  l'oubli .  
Je ne sait plus de quel temps je venais Pourquoi écrire tout d’un coup à l’imparfait ni ou nous sommes mais il me semble qu'il y a peu ,  
à  l'instant un peu plus tôt j'ai vu un souffle figé comme le silence au cœur du bruit .  
   
Je suis enclin à : tu sembles fâché avec les à  plaider l'imaginaire la fatigue et même la folie  
mais peut on décliner une pensée une empreinte non tel une vérité mais comme une allégorie  
troublant les sens , bouleversant l'imaginaire et meurtrissant toute logique .  
Ce temps je l'ai vu bien qu'il ne puisse être ,  
même si le plus consistant des rêves ne saurait l'accueillir  
et que la plus improbable pensée ne saurait le faire vivre il a bien existé Ce n’est pas très compréhensible.  
   
Des yeux comme il n'en existe pas aux nôtres ,  
des mots que l'on comprend sans entendre une vérité trop lourde  
pour un esprit vertébré soucieux de sa chaire .  
Il en est ainsi , une plongée vers le haut , vertigineuse .  
Et maintenant je vois en bas ces fourmis qui me jauges .  
   
Seul dans cette certitude je resterais contre tous ceux qui savent sans raisonner ,  
qui voient sans regarder , qui entendent sans écouter .  
Et surtout contre et malgré ceux qui vivent sans exister .  
Je sais sans pouvoir dire ce qui est vrais même s'il m'arrive d'en douter  
et je sais que mon dernier souffle sera ma liberté .
 

n°20372223
nergal
Posté le 29-10-2009 à 21:17:13  profilanswer
 

Bonsoir à tous, j'écris également un roman j'utilise Word (avec le correcteur) car je commet pas mal de faute, mais j'ai un soucis plus de style qu'autres choses.
 
J'ai l'idée, j'ai le scénario, le début, la fin, pas de soucis. Le problème majeur de mon texte est l'énumération. C'est assez lourd et je pense que sa décourage fortement le lecteur.
 
L'histoire est en faite une génèse du monde que j'ai créé, donc c'est lourd à ingérer. J'ai conçu un univers complet, ou près de 1000 joueurs ont participés sur internet, via forum et jeu php. Ayant créé le Background du jeu, j'établis aujourd'hui une génèse de ce monde.
 
Y a t-il des solutions afin de réduire l'énumération des races et autres personnages et créatures, ou encore des astuces pour que cela passe plus inaperçut ^^ ?
 
J'ai déjà écris plus de 150 pages déjà. (j'ai des bêta lecteurs).

n°20373169
Ecriturede​l
Posté le 29-10-2009 à 22:56:55  profilanswer
 

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

n°20373739
nergal
Posté le 29-10-2009 à 23:56:45  profilanswer
 

J'ai corigé l'ensemble avec Word, mais il doit sans doute resté des fautes... (J'ai deux personnes qui doivent établir la correction du texte et le sens des phrases une fois le roman fini).
 
Asmoday, un ange au rand de chérubin, profitant de tous ce vacarme était venu sur le monde depuis quelques jours et observait une femme belle et magnifique, comme Iblis il voulu charmé la jeune femme, sachant que son corps fut fait d’une grande beauté alors il s’avança vers elle « Bonjour ma belle, je suis Chammadai, un jeune berger qui désir passé un peu de temps à vos côtés, puis-je ? ». La jeune femme les yeux fermés, un peu gêné, se retourna et n’y pris aucune attention et soupira, elle ajouta « Mon cœur n’est plus a prendre, il appartient à un être exceptionnel » et elle sourit en pensant à lui. Asmoday tomba de haut en entendant cela, et rétorqua « Pardon belle demoiselle, j’ai dû mal comprendre qu’à t’il de mieux que moi ? » elle ne dit qu’une chose « Il m’aime et moi aussi je l‘aime ». L’ange l’attrapa au bras brusquement « Vous ne me regardez même pas, comment pouvez dire que je ne vous plaises pas ? ». Prise de panique la femme se débâtit « Lâchez moi, je vous en pris ! Que faite vous !  » Il la lâcha et la laissa partir, triste de la situation. Il laissa la femme avancer et la suivit de loin en s’envolant dans les airs, jaloux de savoir qu’elle pouvait aimé et qu’il soit mieux que lui. Puis elle arriva devant une demeure, ou un vieil homme dodu l’attendait avec sa grande barbe. Asmoday les vit s’enlacés l’un et l’autre et vit qu’il ne s’agissait pas de son père, c’était bien l’homme de sa vie, le cœur plein de jalousie il s’élança vers le couple et frappa l’homme au visage « C’est pour lui que tu te refuse à moi ! As-tu vu comme il est laid et grassouillet ! ». Il étrangla l’homme le méprisant de toute son âme. L’entendant mourir la femme versa des larmes et lui demanda de mourir elle aussi, car s’en lui elle ne pourrait plus avoir goût en la vie. Asmoday attrapa la femme et la souleva dans les airs, il serra sa gorge d’une main pendant qu’elle pleurait « Mais regarde moi !! Regardes moi au moins ! Tu ne ma même pas vu avant de me rejeté de la sorte ! » Elle ouvrit les yeux et là il fut tétanisé, elle était aveugle, et depuis tous ce temps il ne l’avait pas remarqué. Jamais il ne s’était sentit aussi mal de toute sa vie. Il déposa la femme et s’enfuit, mais il était trop tard le mal était fait, il venait de tué un élohim. Iblis le rattrapa au vol et le stoppa dans sa fuite « Ou va tu félon ! » Plein de colère Asmoday le repoussa et le dévisageant, il reconnu Iblis malgré son apparence monstrueuse « Est-ce toi seigneur ? ». Iblis le saisit plus fortement « Ai-je l’air si dégoûtant que tu parle si bassement de moi, qu’ai-je commis de pire que toi pour mérités tant de mépris ? Accompagne moi, maintenant tu n’a nulle part ou allé de tout façon ». Asmoday hésita un instant « C’est vrai, j’ai trahit mes propres convictions et nos frères me le pardonnerons jamais ». Les deux anges déchus partirent loin de ces lieux ensemble.
 
Dans ce passage il n'y a pas d'énumération... mais cela montre mon écriture, je sait pas si cela suffit...

n°20375230
TAM136
Posté le 30-10-2009 à 08:52:48  profilanswer
 

nergal a écrit :

J'ai corigé l'ensemble avec Word, mais il doit sans doute (je pense effectivement!)  rester des fautes... (J'ai deux personnes qui doivent établir la correction du texte et le sens des phrases une fois le roman fini).
 
Asmoday, un ange au rang de chérubin, profitant de tout ce vacarme était venu sur le monde depuis quelques jours et observait une femme belle et magnifique. Comme: une nouvelle phrase commence Iblis il voulut charmer la jeune femme, sachant que son corps était fait d’une grande beauté. Alors il s’avança vers elle « Bonjour ma belle. Je suis Chammadai, un jeune berger qui désire passer un peu de temps à vos côtés. Puis-je ? ». La jeune femme les yeux fermés, un peu gênée, se retourna et n’y prit aucune attention Elle n'y prend aucune attention et pourtant se sent gênée? et soupira. Elle ajouta Elle n'a rien dit jusque là.Alors comment peux-tu écrire "Elle ajouta? « Mon cœur n’est plus a prendre. Il appartient à un être exceptionnel » et elle sourit en pensant à lui. Asmoday tomba de haut en entendant celà, et rétorqua « Pardon belle demoiselle. J’ai dû mal comprendre. Qu: il faut séparer ’à t’il de mieux que moi ? » .Elle ne dit qu’une chose « Il m’aime et moi aussi je l‘aime ». L’ange l’attrapa au bras brusquement « Vous ne me regardez même pas. Comment pouvez dire que je ne vous plais pas ? ». Prise de panique, la femme se débattit .« Lâchez moi. Je vous en prie ! Que faites vous ?  » Il la lâcha et la laissa partir, triste de la situation. Il laissa la femme avancer et la suivit de loin en s’envolant dans les airs, jaloux de savoir qu’elle pouvait l'aimer et qu’il était mieux que lui. Puis elle arriva devant une demeure, un vieil homme dodu l’attendait avec sa grande barbe. Asmoday les vit s’enlacer l’un et l’autre et vit qu’il ne s’agissait pas de son père. C’était bien l’homme de sa vie. Le cœur plein de jalousie, il s’élança vers le couple et frappa l’homme au visage. « C’est pour lui que tu te refuses à moi ! As-tu vu comme il est laid et grassouillet ! ». Il étrangla l’homme, le méprisant de toute son âme. L’entendant mourir la femme versa des larmes et lui demanda de mourir elle aussi, car sans lui elle ne pourrait plus avoir goût en la vie. Asmoday attrapa la femme et la souleva dans les airs. Il serra sa gorge d’une main pendant qu’elle pleurait « Mais regarde moi !! Regardes moi au moins ! Tu ne m'a même pas vu avant de me rejeter de la sorte ! » Elle ouvrit les yeux et là il fut tétanisé .Elle était aveugle, et depuis tous ce temps il ne l’avait pas remarqué. Jamais il ne s’était senti aussi mal de toute sa vie. Il déposa la femme et s’enfuit. Mais il était trop tard. Le mal était fait .Il venait de tuer un élohim. Iblis le rattrapa au vol et le stoppa dans sa fuite « Où vas-tu félon ! » Plein de colère Asmoday le repoussa et le dévisageant, il reconnut Iblis malgré son apparence monstrueuse « Est-ce toi seigneur ? ». Iblis le saisit plus fortement « Ai-je l’air si dégoûtant que tu parles si bassement de moi .Qu’ai-je commis de pire que toi pour mériter tant de mépris ? Accompagne moi .Maintenant tu n’as nulle part où aller de tout façon ». Asmoday hésita un instant « C’est vrai, j’ai trahi mes propres convictions et nos frères ne me le pardonneront jamais ». Les deux anges déchus partirent loin de ces lieux ensemble.
 
Dans ce passage il n'y a pas d'énumération... mais cela montre mon écriture, je ne sais pas si celà suffit...


 
C'est truffé de fautes.Il faut absolument que tu revoies tout ce que tu as écrit.Tu ne coupes pas tes phrases.Tu as quelques soucis avec l'othographe.


Message édité par TAM136 le 30-10-2009 à 12:32:37
n°20384665
nergal
Posté le 30-10-2009 à 21:38:21  profilanswer
 

^^ Ah oui tout de même ^^ j'imagine le reste, hormis les fautes nombreuses mon soucis est la ponctuation des phrases qui sont trop longue. Sinon le contenu ou l'écriture en elle même c'est correct ? Est-ce que la lecture passe bien ? (Sans faute c'est sure c'est mieux ça fait mon mal à la tête :D).
 
Asmoday, un ange au rang de chérubin, profitant de tout ce vacarme était venu sur le monde depuis quelques jours et observait une femme belle et magnifique. Comme Iblis il voulut charmer la jeune femme, sachant que son corps était fait d’une grande beauté. Alors il s’avança vers elle « Bonjour ma belle. Je suis Chammadai, un jeune berger qui désire passer un peu de temps à vos côtés. Puis-je ? ». La jeune femme les yeux fermés, un peu gênée, se retourna et dit « Mon cœur n’est plus à prendre. Il appartient à un être exceptionnel » et elle sourit en pensant à lui. Asmoday tomba de haut en entendant celà, et rétorqua « Pardon belle demoiselle. J’ai dû mal comprendre. Qu’à t’il de mieux que moi ? » .Elle ne dit qu’une chose « Il m’aime et moi aussi je l‘aime ». L’ange l’attrapa au bras brusquement « Vous ne me regardez même pas. Comment pouvez dire que je ne vous plais pas ? ». Prise de panique, la femme se débattit et dit « Lâchez moi. Je vous en prie ! Que faites vous ?  » Il la lâcha et la laissa partir, triste de la situation. Il laissa la femme avancer et la suivit de loin en s’envolant dans les airs, jaloux de savoir qu’elle pouvait l'aimer et qu’il était mieux que lui. Puis elle arriva devant une demeure, où un vieil homme dodu l’attendait avec sa grande barbe. Asmoday les vit s’enlacer et vit qu’il ne s’agissait pas de son père. C’était bien l’homme de sa vie. Le cœur plein de jalousie, il s’élança vers le couple et frappa l’homme au visage. « C’est pour lui que tu te refuses à moi ! As-tu vu comme il est laid et grassouillet ! ». Il étrangla l’homme, le méprisant de toute son âme. L’entendant mourir la femme versa des larmes et lui demanda de mourir elle aussi, car sans lui elle ne pourrait plus avoir goût en la vie. Asmoday attrapa la femme et la souleva dans les airs. Il serra sa gorge d’une main pendant qu’elle pleurait « Mais regarde moi !! Regardes moi au moins ! Tu ne m'as même pas vu avant de me rejeter de la sorte ! » Elle ouvrit les yeux et là il fut tétanisé .Elle était aveugle, et depuis tous ce temps il ne l’avait pas remarqué. Jamais il ne s’était senti aussi mal de toute sa vie. Il déposa la femme et s’enfuit. Mais il était trop tard. Le mal était fait .Il venait de tuer un élohim. Iblis le rattrapa au vol et le stoppa dans sa fuite « Où vas-tu félon ! » Plein de colère Asmoday le repoussa et le dévisageant, il reconnut Iblis malgré son apparence monstrueuse « Est-ce toi seigneur ? ». Iblis le saisit plus fortement « Ai-je l’air si dégoûtant que tu parles si bassement de moi .Qu’ai-je commis de pire que toi pour mériter tant de mépris ? Accompagne moi .Maintenant tu n’as nulle part où aller de tout façon ». Asmoday hésita un instant « C’est vrai, j’ai trahi mes propres convictions et nos frères ne me le pardonneront jamais ». Les deux anges déchus partirent loin de ces lieux ensemble.


Message édité par nergal le 30-10-2009 à 21:51:55
n°20388850
Wlahndrau
Posté le 31-10-2009 à 05:13:26  profilanswer
 

:pfff: mwais ... si c'est un topic de masturbation sur les pages du petit robert ... très peu pour moi .
Non pas que je soit contre la correction de fautes d'orthographe ( au contraire c'est " d'utilité publique " )
mais si cela constitue la névrose dont on ne peut s'abstenir pour participer a ce forum ...  :heink:
 
Non je vous le dis de suite je n'accepte pas la médiocrité .
Apprenez a comprendre ce que vous lisez avant de savoir quelle inéluctable règle orthographique s'applique a un texte que vous ne pouvez aborder que par l'orthographe puisque le sens vous en échappe .
 
Mais bon je ne vais pas juger un topic sur 2 - 3 posts a la con , j'attends de voir s'il y a quelque chose d'intéressant .
Pour l'instant j'ai la désagréable impression de participer a un casting de la "(bler,star,golio)academie" .
 
Mais il n'y a pas que l'orthographe , comme "nergal" le dis si bien :  
" Sans faute c'est sure c'est mieux ça fait mon mal à la tête "
Désolé pour ta tête mais lorsqu'on ne sait pas écrire "moins" on en fait ... pas autant .
"Fautes" au pluriel s'il te plais , puisqu'il semble que je soit l'être le plus illettré que tu ais jamais rencontré ,
je n'ai donc pas pu faire qu'une seule faute ... non il doit y en avoir une a chaque mot .
 
Au passage : recopier un texte a la con sans aucun style et bien nièvre ne peut en aucune façon justifier ton post ->  :hello: ( Raconte nous l'histoire de Blanche neige et des sept chérubins la prochaine )
En tout cas mieu vaut pour toi que tu n'ai pas écrit cette Bouze ... arrête de recopier .
Mais si je me trompe alors ... désolé ... pour toi .
 
Cela me désole de voir une vulgaire bande de troller prendre possession d'un topic qui les dépassent en tout point .
Non je ne part pas , j'ai posté ici , des demeurés m'ont insulté , ils doivent maintenant en répondre !
 
Et j'attends cette réponse ... ( juste pour rire de leur candeur  :sol:  )
 
Mais j'attends autre chose de plus intéressant en priorité , cqfd .
Un texte  :ouch:  ??? non ?? ce n'est pas le but de ce topic ? on est juste la pour tailler , et le plus gros golio décroche la médaille ....  :lol:  désolé la bêtise humaine m'agace quelque peut .
 
PS : s'il existe bel et bien une communauté de "golios" ( c'est le terme que j'utilise mais vous pouvez vous nommer comme vous l'entendez , je respecterais le terme que vous aurez défini ) .
Je vous invite a organiser vos élucubrations au sein d'un autre topic afin d'éviter le "trolling" .
Je ne suis pas venu ici pour "matter du gollio" mais pour communiquer avec des êtres doué d'intelligence .
En ce sens je suis prêt a vous suivre sur cet autre topic spécialement dédié a votre "cause" afin d'épargner celui-ci .

Message cité 3 fois
Message édité par Wlahndrau le 31-10-2009 à 05:56:15
n°20389054
dam57
Posté le 31-10-2009 à 09:43:36  profilanswer
 

Wlahndrau a écrit :

:pfff: mwais ... si c'est un topic de masturbation sur les pages du petit robert ... très peu pour moi .
Non pas que je soit contre la correction de fautes d'orthographe ( au contraire c'est " d'utilité publique " )
mais si cela constitue la névrose dont on ne peut s'abstenir pour participer a ce forum ...  :heink:
 
Non je vous le dis de suite je n'accepte pas la médiocrité .
Apprenez a comprendre ce que vous lisez avant de savoir quelle inéluctable règle orthographique s'applique a un texte que vous ne pouvez aborder que par l'orthographe puisque le sens vous en échappe .
 
Mais bon je ne vais pas juger un topic sur 2 - 3 posts a la con , j'attends de voir s'il y a quelque chose d'intéressant .
Pour l'instant j'ai la désagréable impression de participer a un casting de la "(bler,star,golio)academie" .
 
Mais il n'y a pas que l'orthographe , comme "nergal" le dis si bien :  
" Sans faute c'est sure c'est mieux ça fait mon mal à la tête "
Désolé pour ta tête mais lorsqu'on ne sait pas écrire "moins" on en fait ... pas autant .
"Fautes" au pluriel s'il te plais , puisqu'il semble que je soit l'être le plus illettré que tu ais jamais rencontré ,
je n'ai donc pas pu faire qu'une seule faute ... non il doit y en avoir une a chaque mot .
 
Au passage : recopier un texte a la con sans aucun style et bien nièvre ne peut en aucune façon justifier ton post ->  :hello: ( Raconte nous l'histoire de Blanche neige et des sept chérubins la prochaine )
En tout cas mieu vaut pour toi que tu n'ai pas écrit cette Bouze ... arrête de recopier .
Mais si je me trompe alors ... désolé ... pour toi .
 
Cela me désole de voir une vulgaire bande de troller prendre possession d'un topic qui les dépassent en tout point .
Non je ne part pas , j'ai posté ici , des demeurés m'ont insulté , ils doivent maintenant en répondre !
 
Et j'attends cette réponse ... ( juste pour rire de leur candeur  :sol:  )
 
Mais j'attends autre chose de plus intéressant en priorité , cqfd .
Un texte  :ouch:  ??? non ?? ce n'est pas le but de ce topic ? on est juste la pour tailler , et le plus gros golio décroche la médaille ....  :lol:  désolé la bêtise humaine m'agace quelque peut .
 
PS : s'il existe bel et bien une communauté de "golios" ( c'est le terme que j'utilise mais vous pouvez vous nommer comme vous l'entendez , je respecterais le terme que vous aurez défini ) .
Je vous invite a organiser vos élucubrations au sein d'un autre topic afin d'éviter le "trolling" .
Je ne suis pas venu ici pour "matter du gollio" mais pour communiquer avec des êtres doué d'intelligence .
En ce sens je suis prêt a vous suivre sur cet autre topic spécialement dédié a votre "cause" afin d'épargner celui-ci .


 
Mais qu'est ce que c'est que ca?
Tu ne t'es pas trompé de topic?
Tu étais bourré en écrivant?
Tu es schizophrene?
Te rends tu compte que ce que tu as écrit est totalement incoherent?
 
 
A+
DAM

n°20389132
malkus
Posté le 31-10-2009 à 10:05:16  profilanswer
 

Tout n'y est pas si incohérent, mais ça fait un peu "génie incompris".
Et puis, que de fautes d'orthographe... ;)
Wlahndrau, si tu veux qu'on essaie de sonder les profondeurs de ton écriture, prends ton mal en patience, et un peu d'indulgence pour les golios, même s'ils ne méritent pas de vivre, hein!
Sur le coup je préfère me ranger de leur côté plutôt que de celui des "êtres doués d'intelligence".
Puis sur ce, je vais me curer le nez, tiens ! Nan mais !

 

 


Message édité par malkus le 31-10-2009 à 10:12:25
n°20390789
Ecriturede​l
Posté le 31-10-2009 à 14:49:25  profilanswer
 

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur


Message édité par Ecrituredel le 31-10-2009 à 14:52:48
n°20404219
TAM136
Posté le 02-11-2009 à 07:39:15  profilanswer
 

Wlahndrau a écrit :

:pfff: mwais ... si c'est un topic de masturbation sur les pages du petit robert ... très peu pour moi .
Non pas que je soit contre la correction de fautes d'orthographe ( au contraire c'est " d'utilité publique " )
mais si cela constitue la névrose dont on ne peut s'abstenir pour participer a ce forum ...  :heink:
 
Non je vous le dis de suite je n'accepte pas la médiocrité .
Apprenez a comprendre ce que vous lisez avant de savoir quelle inéluctable règle orthographique s'applique a un texte que vous ne pouvez aborder que par l'orthographe puisque le sens vous en échappe .
 
Mais bon je ne vais pas juger un topic sur 2 - 3 posts a la con , j'attends de voir s'il y a quelque chose d'intéressant .
Pour l'instant j'ai la désagréable impression de participer a un casting de la "(bler,star,golio)academie" .
 
Mais il n'y a pas que l'orthographe , comme "nergal" le dis si bien :  
" Sans faute c'est sure c'est mieux ça fait mon mal à la tête "
Désolé pour ta tête mais lorsqu'on ne sait pas écrire "moins" on en fait ... pas autant .
"Fautes" au pluriel s'il te plais , puisqu'il semble que je soit l'être le plus illettré que tu ais jamais rencontré ,
je n'ai donc pas pu faire qu'une seule faute ... non il doit y en avoir une a chaque mot .
 
Au passage : recopier un texte a la con sans aucun style et bien nièvre ne peut en aucune façon justifier ton post ->  :hello: ( Raconte nous l'histoire de Blanche neige et des sept chérubins la prochaine )
En tout cas mieu vaut pour toi que tu n'ai pas écrit cette Bouze ... arrête de recopier .
Mais si je me trompe alors ... désolé ... pour toi .
 
Cela me désole de voir une vulgaire bande de troller prendre possession d'un topic qui les dépassent en tout point .
Non je ne part pas , j'ai posté ici , des demeurés m'ont insulté , ils doivent maintenant en répondre !
 
Et j'attends cette réponse ... ( juste pour rire de leur candeur  :sol:  )
 
Mais j'attends autre chose de plus intéressant en priorité , cqfd .
Un texte  :ouch:  ??? non ?? ce n'est pas le but de ce topic ? on est juste la pour tailler , et le plus gros golio décroche la médaille ....  :lol:  désolé la bêtise humaine m'agace quelque peut .
 
PS : s'il existe bel et bien une communauté de "golios" ( c'est le terme que j'utilise mais vous pouvez vous nommer comme vous l'entendez , je respecterais le terme que vous aurez défini ) .
Je vous invite a organiser vos élucubrations au sein d'un autre topic afin d'éviter le "trolling" .
Je ne suis pas venu ici pour "matter du gollio" mais pour communiquer avec des êtres doué d'intelligence .
En ce sens je suis prêt a vous suivre sur cet autre topic spécialement dédié a votre "cause" afin d'épargner celui-ci .


 
J’avoue ne pas avoir trop compris ton discours filandreux même si j’ai eu l’impression d’une attaque à mon égard. Tes arguments me laissent assez perplexe puisque tu n’es pas contre l’application des règles orthographiques mais qu’on peut selon tes dires parler des fautes orthographiques car le faire, c’est ne pas comprendre les textes. Je ne vois absolument pas le rapport.
On peut émettre un avis sur la forme et sur le fond bien que j’avoue ne pas me prononcer sur le fond. Je mets effectivement les fautes en relief car je ne vois pas comment on peut émettre un avis sur le fond et occulter la forme. Je ne suis pas un critique patenté et je peux même me tromper. Mais je ne peux pas laisser passer des fautes flagrantes (verbes du 1er groupe conjugués comme des verbes du 3ème, des pluriels sans s…). Je ne suis pas un être totalitaire mais il ne faut pas aller dans l’excès inverse et accepter des fautes sous divers prétextes (cf le topic sur la réforme de l’orthographe).
Il ne faut pas oublier qu’il y a des milliers de romanciers en herbe. Les maisons d’édition croulent sous les colis et évidemment, seuls quelques romans vont retenir leur attention.
Il faut donc essayer d’attirer leur attention. Si le livre est bon sur le fond, il n’y a aucun souci pour l’éditeur qui fera corriger de toute façon le livre mais ce n’est pas le cas de tout ce que je vois. Je ne dis pas que c’est mauvais mais c’est classique. Alors, si en plus, il y a des fautes d’orthographe en pagaille….
Plus que la mode selon laquelle, chacun cherche à casser du politique ou du journaliste tant ils commettent de fautes à l’oral et à l’écrit, je pense simplement qu’une critique se doit d’être honnête et objective et non une critique «de faux derche: votre roman a attiré toute notre attention mais…et nous vous souhaitons …».
Je ne vois aucun abus dans le fait de souligner les fautes d’orthographe et je ne cherche pas la petite bête.
 
 


Message édité par TAM136 le 02-11-2009 à 07:40:30
n°20416459
Ecriturede​l
Posté le 03-11-2009 à 04:25:05  profilanswer
 

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

n°20516211
Gambzzz
Posté le 11-11-2009 à 16:53:44  profilanswer
 

Bonjour tout le monde.
J'ai envoyé mon manuscrit aux Editions Mnemos il y a plus de seps mois et j'ai enfin reçu leur réponse hier.
Voilà ce qu'ils disent:
 
"Nous vous remercions d'avoir bien voulu nous confier votre manuscrit.
Après examen, votre idée de mélanger science-fiction et fantasy nous a semblé originale. Mnémos affectionne tout particulièrement le mélange des genres.
Cependant, l'ensemble ne nous a pas assez convaincus pour que nous décidions de l'intégrer au planning de nos publications : les places sont réduites, tributaires de ces petits "plus" qui nous ont fait défaut à la lecture de votre texte.
Nous vous conseillons tout d'abord de retravailler les dialogues qui manquent de naturel. Ensuite, votr texte connaît quelqes problèmes de rythme : certains passages gagneraient à être développés. De même quelques descriptions çà et là serviraient l'intrigue sans pour autant ralentir le rythme de l'histoire.
Enfin, il faudrait revoir certaines répétitions ou autres maladresses stylistiques qui nuisent à la lecture sinon plaisante de votre manuscrit.
Nous en sommes désolés et vous prions de recevoir toute notre estime et tous nos encouragements."
 
Moi je croyais que c'était eux qui corrigeaient, qui s'occupaient de la syntaxe, de la grammaire,...
Enfin, vous en pensez quoi, je tente d'autres éditeurs ?

n°20516327
Borabora
Dilettante
Posté le 11-11-2009 à 17:04:20  profilanswer
 

Gambzzz a écrit :

Moi je croyais que c'était eux qui corrigeaient, qui s'occupaient de la syntaxe, de la grammaire,...


Leurs remarques portent sur le style. ;) Un correcteur s'assure seulement que le livre ne comporte pas de fautes mais n'est pas là pour écrire des dialogues "naturels" à ta place ou mieux charpenter le bouquin afin d'améliorer son rythme.

Citation :

Enfin, vous en pensez quoi, je tente d'autres éditeurs ?


Pourquoi pas ? Mais tu peux aussi profiter de leurs remarques pour revoir ta copie avant de la proposer à d'autres éditeurs. Parce que si un éditeur peu exigeant comme Mnémos trouve ton tapuscrit impubliable en l'état, il y a de bonnes chances que les autres te jettent aussi.  :sweat:


---------------
Qui peut le moins peut le moins.
n°20523032
Gambzzz
Posté le 12-11-2009 à 07:22:32  profilanswer
 

Citation :

tu peux aussi profiter de leurs remarques pour revoir ta copie avant de la proposer à d'autres éditeurs.


 
C'est ce qu'il faudrait faire, c'est vrai. Mais je l'ai lu tellement de fois que je n'ai plus envie de le revoir.
Je préfère écrire autre chose  :sweat:  
 
Sinon j'ai entendu parler de Lulu.com, ça à l'ai pas mal.

mood
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