Salut Andy
CHAPITRE 1
Lya Narneca
« J'ouvris les yeux, le monde s'était retourné, je ne pouvais plus bouger. Il y avait des voix autour de moi, et je luttais pour garder les yeux ouverts. Je ne me souviens plus de rien, comment en suis-je arrivé là ? Pourquoi mes paupières furent si lourdes, et mon corps inerte ? Mais... ce sang, c'est le mien ? »
/sont si lourdes (irai mieux après je me souviens, (présent)
mais en même temps, furent ajoute une distorsion temporelle. A voir dans la suite, si tu l'utilises ou pas.
/
Une journée de plus s'achevait pour Lya, une journée d'étude. Il marchait dans les rues de la Cité de Silnai, capitale de la région du même nom. De nature solitaire, il passait son temps à penser, à elle en particulier. Il voyait constamment son visage, il l'imaginait souriante et cela lui suffisait pour l'admirer. Quoi de plus beau qu'un sourire ? Ça n'avait pas marché avec elle et Lya continuait de garder espoir, dans les larmes. Plus jamais il n'aimerait quelqu'un autant, se dit-il. Il en pleurait et elle ne le sut jamais. Sa présence ou les signes qu'il lui avait laissés,
/ne le saurait jamais
et elle ne l'avais jamais su
/
elle les oubliait. C'était sans doute là son défaut principal, elle devait alors être bien malheureuse, de passer à côté de tout cet amour.
Avant de rentrer chez lui, Lya se rendit à la bibliothèque pour travailler. De nombreux livres marquant plusieurs siècles d'histoire parcouraient les étagères. Après avoir trouvé ceux dont il
/parcouraient les étagères = ils se déplacent sur les étagères.
Parcourir est un verbe de mouvement.
S'étalaient sur
Encombraient (sont des verbes de position, avec une notion supplémentaire pour encombrer
)
/
avait besoin, il prit place à une table libre dans un coin obscur entre deux rangées d'étagères ;
/la répétition d'étagères n'est pas utile
deux rangées d'étagères = deux travées
mais tu peux dire deux meubles.
/
les tables à côté de la fenêtre étaient occupées et Lya voulait être seul. Il sortit de son sac des feuilles, une plume et un encrier. À peine eut-il le temps d'ouvrir le premier livre, qu'une fille s'approcha de lui. Pas de mot venait à Lya pour la décrire, si ce n'est qu'il la trouva à son goût.
/Aucun mot ne venait
Plus haut, tu parles d'elle... et voici qu'une autre fille arrive (dans le temps chronologique de la lecture, c'est l'effet que ça donne), et il en tombe aussitôt amoureux
/
Le battement de son cœur s'accéléra de plus en plus au fur et à mesure qu'elle s'approchait.
/s'accéléra contient déjà l'idée de plus en plus,
de plus en plus au fur et à mesure, c'est encore la même idée
Tu as aussi une répétition de s'approcher (s'approcha, s'approchait)
On ne comprend pas bien non plus pourquoi il a le coeur qui s'accélère.
Le battement de son cœur s'accéléra de plus en plus au fur et à mesure qu'elle avançait en le regardant.
Le battement de son cœur s'accéléra à mesure qu'elle avançait vers lui, son regard rivé au sien.
Le battement de son cœur s'accéléra à mesure qu'elle avançait vers lui.
Le battement de son cœur grimpa dans les aigus à mesure qu'elle avançait vers lui.
/
Elle était légèrement plus petite que lui (il n'était déjà pas grand du tout) et lui demanda si elle pouvait prendre la place en face de lui. Il répondit par un « oui » d'une voix très faible, presque inaudible, n'ayant pas l'habitude de parler à cause de sa timidité. Elle lui sourit, pas pour se moquer, mais plutôt parce qu'elle trouvait ça adorable.
C'était la fin du monde.
Lya ne ressentit plus rien, son corps lui semblait avoir explosé en un millier de morceaux.
— Qu'est-ce que tu lis ? demanda-t-elle.
— Un... un livre... C'est pour les cours.
Elle se mit à rire.
— Je m'appelle Niessa, et toi ?
— Lya.
— La-ya ?
— Oui. Mais certains le prononcent aussi Li-ya.
— Et tu préfères comment ?
— Je n'en accorde pas vraiment d'importance. C'est comme tu le désires.
/Je n'y accorde
/
— Alors, je vais t'appeler La-ya.
Le monde n'existait plus.
/j'aime bien ces deux petites phrases, avec c'était la fin du monde, qui caractérise bien ton personnage.
/
Lya finit par rentrer dans la conversation, sa timidité s'évaporait petit à petit. Il esquissa un sourire sur son visage, ce n'était pas arrivé depuis fort longtemps. Une bouffée de chaleur
/esquissa un sourire (c'est forcément sur son visage, tu ne peux pas esquisser un sourire sur le visage de quelqu'un d'autre)
par contre : "il dessina un sourire sur son visage". passe
Il traça un sourire sur son visage.
Il esquissa un sourire sur les rides de son visage (pour un personnage âgé, ça pourrait aller)
/
l'envahit, lui donnait l'impression d'être dans un rêve, ou tout est flou autour de soi.
/lui donna
où tout
/
Lya et Niessa quittèrent la bibliothèque ensemble et s'assirent sur les longues marches devant
/ça va bien vite.
Quel charisme !
/
l'entrée du bâtiment, face à la place publique.
— Où habites-tu ? demanda Lya.
— Quartier Sud, et toi ?
— Quartier Nord.
La Cité était divisée en quatre quartiers : le Centre où se trouvaient l'université, la bibliothèque, ainsi que le Siège, lieu de résidence du Dirigeant ; les quartiers Nord et Sud, respectivement au nord et au sud du quartier central ; puis enfin, le quartier Ouest, occupé en grande partie par le port.
/Le problème, c'est qu'il y a obligatoirement un quartier Est.
En disant, Nord, Sud, Ouest, tu as quatre points cardinaux.
En disant : Trord, Trud, Trouest, tu pourrais avoir un triangle cardinal, une autre façon de voir le monde. :-)
Et donc 4 quartiers
/
Le nord de la cité était situé en hauteur par rapport au sud, il y avait ainsi des falaises de
/était situé en hauteur (ne vaut pas était situé sur une colline dominant le sud)
/
plusieurs dizaines de mètres à l'ouest du quartier nord, zone très verte avec de nombreux arbres. De là, on avait une vue sur tout le quartier Ouest en bas des falaises, sur le port, mais également sur le vaste océan.
Lya et Niessa durent se séparer car la nuit allait tomber. Ils se firent la bise après s'être donné rendez-vous au même endroit le lendemain, puis Lya regarda Niessa disparaitre au coin d'une
/disparaître
/
rue. Pendant un moment il resta à regarder bêtement les marches, avant de lever les yeux pour regarder l'eau de la fontaine couler, au milieu de la grande place. Celle-ci était ronde et donnait sur plusieurs rues. Un grand fleuve traversait la cité pour se jeter dans la mer et Lya emprunta un pont pour aller vers la rive nord et rentrer chez lui.
/ Un grand fleuve traversait la cité pour se jeter dans la mer = c'est l'auteur qui raconte.
Le personnage ne raconterait pas les choses ainsi.
Celle-ci était ronde et donnait sur plusieurs rues ; alimentées par le grand fleuve du Nout, elle était inépuisable et bruyante. Lya se releva et emprunta un pont pour aller vers la rive nord et...
/
Il avait trop tardé avec Niessa et il faisait pratiquement nuit. Par habitude, il prit des petites ruelles en guise de raccourci et à cette heure-là, on ne pouvait dire qu'il y avait beaucoup de
/et, (virgule)
/
monde. Il pénétra dans une ruelle entre de grands édifices, la rendant ainsi plus sombre que
/dans une ruelle familière entre de grands
(d'abord, on justifie qu'il entre ainsi dans une ruelle plus sombre)
ensuite, on prépare le : Tiens, encore lui, dit le premier
eh oui, un simple petit mot pour préparer la suite
/
les autres. Dans un cul-de-sac de la ruelle, deux individus discutaient à l'approche de Lya :
— Tiens, encore lui, dit le premier.
— On a intérêt à l'avoir ce coup-ci, répondit l'autre.
— Je ne le sens pas trop, vu la dernière fois.
— Ça ne se reproduira pas, il n'y a que nous et lui. Allons-y, dit-il en sortant son couteau.
L'un se cacha derrière des caisses, tandis que l'autre se mit contre le mur, juste au coin du cul-de-sac et la ruelle. Il bondit sur Lya, l'attrapa et le plaqua contre le mur et lui mit son couteau
/et de la ruelle
/
sous la gorge. Mais au même instant, une autre personne intervint dans la scène, surprenant le malfrat caché par les caisses et le neutralisant aisément. Il était vêtu d'une cape, la tête sous une capuche.
— Lâchez-le, ordonna-t-il au bandit qui tenait Lya contre le mur.
— Encore toi ? Qui es-tu donc ? Ce n'est pas la première fois que tu t'attaques à nous pour le protéger.
L'homme mystérieux sortit un poignard de sous sa cape, menaçant le malfrat neutralisé.
— Lâchez-le, ou je tue votre compagnon.
— Et moi, je tuerai votre protégé.
— C'est ça, et à la seconde suivante, vous n'aurez même pas le temps de souffler et j'aurais
/souffler : j'aurais
/
tranché votre gorge. Vous ne faites pas le poids contre moi.
Le bandit était pris au piège et lâcha Lya. Ce dernier fut sous le choc, il n'avait jamais subi ça
auparavant, alors qu'il avait traversé de nombreuses fois ces rues.
— Pars ! lui ordonna l'homme mystérieux. Ne reste pas ici, va-t'en !
/pas ici, plus jamais, va-t'en !
/
Lya ramassa ses affaires tombées et partit en courant. L'homme mystérieux ordonna ensuite aux deux bandits de s'en aller et ne plus approcher de Lya. Puis il se volatilisa dans la nuit de
/s'approcher de Lya (mais tu l'as déjà utilise là-haut)
de ne plus approcher Lya, jamais ! (oui, c'est un arrêt définitif)
de ne plus ennuyer Lya.
/
la cité.
Lya arriva dans une grande rue et s'arrêta alors de courir, essoufflé. Il reprit petit à petit une respiration normale, ainsi ses parents ne lui poseraient pas de question. Il n'aimait pas leur parler de sa journée au dîner et ils ne s'intéressaient pas vraiment à lui. Les rares fois où ils lui demandaient quelque chose, il les ignorait. Il avait deux frères, de quelques années ses aînés. Il n'avait pas grand-chose en commun et ne passait ainsi pas beaucoup de temps avec. Eux
/et ne les fréquentait pas beaucoup.
/
étaient très proches de leur père, contrairement à Lya. Et enfin, il avait une petite sœur, appelée Evy.
/tu as donné beaucoup de noms.
Eux, batailleurs et querelleurs, étaient très proches de leur père, contrairement à Lya (dirait pourquoi ils sont proches de leur père)
appelée Evy. Une erreur du retour d'âge.
appelée Evy, toujours dans les jupes de sa môman ! (c'est Lya qui voit sa famille
)
si tu le préfères plus nobles
appelée Evy, toujours dans les jupes de mère !
/
Les Narneca, ainsi s'appelèrent-ils, habitaient une maison très correcte, pas la plus jolie, mais
/s'appelèrent-ils en arrivant en ville (ajouterait du suspens. Changer de nom est toujours suspect d'un lourd secret
)
sinon élimine "ainsi s'appelèrent-ils"
Les Narneca habitaient
/
tout de même assez spacieuse pour toute la famille. Lya arriva peu avant le dîner, sa mère cuisinait, aidée par Evy. À peine rentré, il monta dans sa chambre poser ses affaires. Il y avait deux lits, chacun le long des murs se faisant face. L'un était à lui, l'autre à Evy. Il s'allongea et prit une grande inspiration. Son front était brûlant au toucher. La fatigue le prit, des bouts de rêves apparurent devant ses yeux éveillés.
C'était une grande salle, un hall sembla-t-il au premier abord. Des vitraux de couleurs
/Une grande salle apparue, un hall lui sembla-t-il au premier (on économise un c'était)
/
filtraient la lumière qui se projetait sur le sol de marbre, éblouissant, car il était lisse. Un motif immense principalement bleu était dessiné sur ce sol, mais il ne devait prendre forme qu'en hauteur. L'entrée était soutenue par deux grandes colonnes, taillées dans la pierre. Elles représentaient deux cascades d'eau, tout comme la dizaine de piliers qui soutenaient le plafond de la salle.
/ Une entrée monumentale, soutenue par deux grandes colonnes taillées dans la pierre. Lya sentit qu'elles aspiraient son regard. Elles représentaient deux cascades d'eau, tout comme la dizaine de piliers qui soutenaient le plafond de la salle.
/
Lentement, il marcha, puis s'arrêta entre deux piliers. Il était vêtu d'une cape sale et déchirée en de nombreux endroits. Sa main gauche tenait fermement une épée. Face à lui se trouvaient
/supprime "en de nombreux endroits"
/
des marches menant à un grand siège sculpté dans le marbre. Un homme y était assis, les mains l'une dans l'autre, et regardait l'individu qui avait réussi à venir devant lui. Il ne
/les mains l'une dans l'autre, et le regardait. Aucun peur dans son visage, malgré l'épée. Lorsqu'il se leva en tenant l'objet caché dans ses mains, tous deux se fixèrent
/
semblait avoir peur et se leva en tenant un objet dans la main. Tous deux se fixèrent droit dans les yeux...
— Lya... Lya, réveille-toi. C'est l'heure du dîner.
Lya ouvrit les yeux, la main d'Evy était sur son front. Elle fut inquiète.
— Lya, ça va ? Tu transpires, c'était un cauchemar ?
— Oui, ça va, répondit-il déboussolé.
— Allez, viens petit gars, dit-elle en prenant la main de son frère. Ça fait cinq minutes que l'on t'appelle.
Il s'essuya le visage avant de descendre se mettre à table. L'appétit n'était pas là, mais il se força à manger pour ne pas attirer l'attention de ses parents. Pourtant, il manqua à plusieurs reprises de s'endormir. Evy lui donna des coups de pieds sous la table pour l'en empêcher.
Une fois le dîner fini et la table débarrassée, il retourna dans sa chambre avec Evy, qui referma la porte.
— Que t'arrive-t-il, Lya ? demanda-t-elle en s'asseyant sur son lit, le dos contre le mur et les jambes croisées.
Lya se mit dans la même position que sa sœur et lui répondit :
— Tout ça, tu sais bien...
— Tu penses toujours à elle ?
— Oui, mais ce n'est pas ça le problème.
Evy pencha la tête et le regarda de travers, comme si cela lui permettait de comprendre les paroles de Lya d'une autre façon.
— Je ne pense aucun mal d'elle, elle ne m'a rien fait. Je dois accepter les choses telles qu'elles sont, reprit Lya.
Une larme coula sur sa joue, et ses yeux furent remplis de larmes.
— Et j'ai rencontré une fille aujourd'hui. Il y a l'air d'avoir quelque chose entre nous.
Il passa sa main sur sa joue pour essuyer la larme et tourna la tête pour regarder dehors.
/une main sur sa joue (on évite les deux sa)
/
— Malgré tout, j'ai toujours ce sentiment de mal-être, ici. Que je ne suis pas à ma place.
Evy lui fit un sourire.
— Dans ce cas, pars.
— J'aimerais servir à quelque chose, faire un truc pour le bien des autres. Me sentir utile.
À présent, il regardait par terre. Evy, elle, regardait le plafond.
— Et je ne je vois pas comment l'être.
— On va regarder les étoiles ? demanda Evy, comme si elle n'avait prêté attention à ce que
/aucune attention
/
Lya venait de dire.
Elle alla à la fenêtre, l'ouvrit et pencha la tête à l'extérieur.
— Viens, Lya, ça t'apaisera l'esprit.
La fenêtre était assez large pour eux deux. Il la rejoignit.
— Regarde, le ciel est dégagé, on peut voir toutes les étoiles.
— J'ai toujours aimé cette forme de faucille.
— De casserole surtout, dit Evy, riant. Elle a une petite sœur à côté, qui la regarde, la surveille et prend soin d'elle. Elle la protège.
— C'est son ange.
Lya prit la main de sa sœur.
— Mon ange...
Evy posa sa tête contre lui.
— Tu te sens mal ici, alors tu comptes partir ?
— Je n'y arriverai jamais, puis je viens de rencontrer Niessa.
— Dis-moi, Lya...
— Oui ?
— Au fond de toi, qu'est-ce que tu veux, réellement ?
Lya ne dit mot et embrassa sa sœur pour lui souhaiter une bonne nuit.
_______
Ma petite analyse vite fait :
– Le premier paragraphe est un peu inutile. Il a une signification particulière pour moi, mais n'a pas grand-chose à voir avec le récit. Je l'ai laissé pour que vous le découvriez.
/Tout dépend, il peut rajouter un quelque chose si tu en tires profit plus tard.
Au moins, il est intriguant... Et c'est du tout bon pour amorcer une lecture.
/
– L'attaque des bandits au milieu du chapitre n'est peut-être pas très bien amenée, et sans suspense.
/la question est : pourquoi lui en veulent-ils ?
Avec le mot "familier", on peut estimer qu'il franchit une fois de trop leur territoire.
Cela peut suffire à justifier l'agression.
/
– Le rêve de Lya, en me demandant "pourquoi ?" je n'ai pas réussi à trouver la raison qu'il fasse ce rêve. Il aura toute sa signification bien plus tard dans le récit, mais pourquoi Lya fait-il ce rêve à ce moment précis ? (Enfin là, je viens de penser à des bizarreries quelques chapitres plus loin et finalement, ce n'est pas si bizarre si on accepte que son destin apparaisse en présage dans un rêve).
/Tout à fait.
Le pourquoi peut se révéler plus tard dans un récit.
Le tout c'est que tu ne l'oublies pas en chemin.
Là, tu viens de poser une question dans l'esprit du lecteur : qui est cet homme, que tient-il dans les mains ?
En tant qu'auteur, tu dois (à la fin de ton texte
) savoir pourquoi il est là, qui il est, quel est son rôle dans ton histoire.
Ici, c'est un hameçon pour le lecteur.
L'attaque des bandits aussi. (parce que ça introduit le protecteur)
Si tu dis qu'ils s'appellent maintenant
Les Narneca en arrivant en ville, ça rajoute un troisième hameçon.
On pêche au gros
/
– Ça peut paraitre ambigüe, mais je vous rassure : il n'y a pas d'inceste entre Lya et Evy
/Je n'en ai pas lu.
Par contre, elle semble plus âgée que lui.
Si lui était le petit dernier de la famille, ça pourrait expliquer pourquoi il ne s'entend pas avec ses frères et pourquoi il couche avec sa soeur.
Elle accepte aussi (très, trop ?) facilement qu'il s'en aille... il faudra expliquer pourquoi.
Ce peut être une coutume familiale : partir pour faire sa vie quelque temps et revenir ensuite.
En tout cas, tu as là un bon début.
Bien Amicalement
L'Amibe_R Nard