Salut 13Latte
***
De toute ma vie, je n’avais jamais autant manqué de confiance en moi. Un frisson me parcourut la colonne vertébrale sur toute sa longueur.
/économie de moyens
on supprime sur toute sa longueur. Lorsque tu parcours un trajet, c'est sur toute la longueur. Donc parcourir contient déjà "sur toute sa longueur"
/
En tentant vainement de cacher cet état de stress à mes trois adversaires, je n’arrivais pas à réprimer une secousse nerveuse de la tête.
/ une secousse nerveuse de la tête.
C'est quoi exactement ?
Pas à réprimer un tremblement nerveux. (serait plus simple. Bien sûr, c'est tout le corps qui bouge, pas seulement la tête
)
/
Les trois hommes face à moi, quant à eux, restaient complètement immobiles, tels des statues. J’aurais peut être préféré affronter des statues. Aucun ne doutait de sa propre puissance, et ils avaient bien raison. Leur puissance respective aurait suffit a m’écraser, mais je savais que le combat
/à m'écraser
/
d’aujourd’hui ne se jouerait pas seulement à la force brute. Un précieux allié viendrait
/ne se dénouerait pas seulement avec la force brute
ne jouerait pas seulement sur la force brute.
/
réduire le nombre inégal de combattants, et changer ainsi le déroulement du combat.
L’adversaire le plus proche me regardait de ses petits yeux qui laissaient déborder une quantité de haine inconcevable pour un être humain.
/Là, c'est du premier jet. Même relu, revu. Phrase longue, avec un qui au milieu.
Allez. Raconte-moi l'histoire dans le creux de l'oreille, alors que nous buvons un pot à la taverne.
Style :
L’adversaire le plus proche me regardait de ses petits yeux haineux. Comment imaginer une telle haine chez un être humain ?
Comme tu as une répétition de haineux, tu vas devoir ruser... en dessous, tu utilises bête.
Des petits yeux porcins.
L’adversaire le plus proche me regardait de ses petits yeux porcins. Comment imaginer une telle haine chez un être humain ? Dans son esprit, je sentais le bête assoiffée de sang et de chair. Ma chair et mon sang.
Un sourire épais coulait le long de ses joues. Il me décerna une grimace féroce et se mordit les lèvres jusqu'au sang. Taillées en pointes, ses canines se couvrirent d'écarlate.
Car, tu as oublié un point de détail important : c'est le personnage qui voit.
Et c'est lui qui raconte.
Donc, tu dois te mettre à sa place, et me raconter l'histoire comme lui la dirait, assis devant un pichet de bière.
Ainsi, tu obtiendras l'unité de personnage. Tes phrases seront plus courtes.
Et en décrivant les adversaires, tu décriras aussi ton personnage.
En effet, si tu dis qu'il a peur de cette férocité, tu le décris comme peureux.
Mais il peut faire semblant, et va le penser. On verra la scène de son point de vue.
La caméra sera perchée sur son épaule.
L'avantage de l'écriture, c'est qu'il est possible de changer (utilement) de point de vue.
Tu peux quitter le point de vue du personnage, pour utiliser celui d'un autre.
Voire prendre un peu de hauteur pour décrire la scène de plus haut, comme le ferait une caméra qui surplombe la scène. Comme le ferait un spectateur planqué sur le toit.
Ce qui permet de décrire ce que l'adversaire cache dans son dos, sans que le héros puisse le voir.
Dans l'écriture, tout est manipulation d'une caméra.
Mais une caméra qui pense, et peut intervenir (par les mots) et juger la scène : le point de vue de l'auteur. (auteur qui peut-être vu de plus haut
)
/
Dans son esprit, une bête à la soif de sang intarissable se débattait pour parvenir à goûter à ma chair. Un sourire laissait couler un filet de bave écumeuse sur la partie inférieure de sa mâchoire et d’immenses dents taillées en pointes extrêmement rudimentaires pointaient par-dessus ses lèvres. Le torse large et découvert laissait présager l’expérience du grand guerrier à travers de nombreuses cicatrices. On ne pouvait rien deviner de plus de cet homme supposé combattant au corps à corps. Néanmoins je pressentis un coup de bluff de « la posture bête sauvage montrant les dents » : une arme devait sûrement être dissimulée sous son large pantalon.
Le deuxième restait légèrement en retrait derrière son partenaire en prenant grand soin de rester dans l’ombre d’un arbre, même si sa tête était recouverte d’une capuche. Mais le grimoire qu’il essayait inutilement de cacher sous sa longue toge informait de sa
/m'informait
/
nature de magicien. Je me rendis rapidement compte du danger existant à laisser un homme tel que celui-ci engager le combat. Sa légère supériorité n’était pas très
/un tel homme engager le combat.
/
impressionnante, mais certain de ses sortilèges pourraient peut-être aider le troisième à
/certains
le troisième larron
/
se débarrasser du sort que je lui avais réservé.
Le dernier se trouvait sur ma droite, légèrement désaxé par rapport au deux autres. Ses
/Ce dernier
aux deux
/
cheveux blancs argentés voletaient dans toutes les directions en même temps que les pulsations d’énergies qu’il libérait de tout son être.
/qui s'échappait de
/
Sur ses habits, des dizaines de mètres de chaîne barbelée l’entouraient en s’entrechoquant les unes avec les autres dans un cliquetis régulier.
/Là encore, c'est long.
Il te manque la phase compression du texte. Dire autant en moins de mots.
Sur ses habits, des dizaines de mètres de chaîne barbelée
s’entrechoquaient dans un cliquetis régulier.
Il te manque juste la notion d'entourer
Sur ses habits, des dizaines de mètres de chaîne barbelée
l'enrobaient dans un cliquetis régulier.
Sur ses habits, des dizaines de mètres de chaîne barbelée
l'enrobaient dans un bruit de crécelle. (celle du serpent à sonnettes)
l'enrobaient fonctionnait avec cliquetis
Sur ses habits, des dizaines de mètres de chaîne barbelée l'entouraient dans une valse de crécelles.
Maintenant, on pourrait reprocher sur ses habits (pourquoi sur ses habits)
Sur son torse nu, des dizaines de mètres de chaînes barbelées dansaient une valse endiablée de crécelles.
Sur son torse nu, des dizaines de mètres de chaîne barbelée dansaient comme des serpents à sonnette.
Dansaient/glissaient
En revenant à l'image première, on sent qu'il manque quelque au début de la phrase :
Courant sur ses habits, des dizaines de mètres de chaîne barbelée s’entrechoquaient dans un cliquetis reptilien.
A toi de voir l'image que tu veux donner à lire, mais rappelle-toi quand même qu'une phrase / une séquence de plus de douze mots est difficile à comprendre.
Courant sur ses habits, (4)
des dizaines de mètres de chaîne barbelée s’entrechoquaient dans un cliquetis reptilien. (12, les mots avec apostrophe sont lus comme une seule entité par le cerveau, il ne compte donc que pour un.)
Ta phrase :
Sur ses habits, (3)
des dizaines de mètres de chaîne barbelée l’entouraient en s’entrechoquant les unes avec les autres dans un cliquetis régulier. (19)
C'est comme ça que je procède pour réduire mes phrases. (quand c'est possible)
12, c'est une moyenne. 8 et 16, ça fait 12 en moyenne.
/
Ses deux yeux bleus qui me fixaient sans relâche montraient clairement une forme
/Suivant le précepte précédent, il faudrait entourer
"qui me fixaient sans relâche" de virgules, pour alléger la phrase.
/
d’intelligence bien plus développée et machiavélique que la méchanceté primitive du premier. Je pensai avoir été compris et anticipé depuis le début : il était sûrement déjà au courant pour l’arme a feu dans ma manche. C’est pour cela que je comptais entièrement sur ma botte secrète pour me débarrasser de lui. D’ailleurs, « Elle » était presque arrivée.
La tension augmentait exponentiellement par rapport au temps.
/un adverbe en -ement... leur plus gros défaut, c'est d'être long, très long.
Et très, trop facile à utiliser.
Et que veut dire "La tension augmentait exponentiellement par rapport au temps."
Quelle image donnes-tu à lire ?
La tension se cristallisa dans le temps.
/
Une légère goutte de sueur perla de mon front pour venir s’éclater sur ma botte en cuir noir flambant neuve. « Elle » arrivait à une vitesse incroyable. La forêt derrière l’homme aux chaînes commença à produire un léger bruit. Les coups d’œil rapides des deux
/léger/légère juste avant (le légère pourrait disparaître)
un léger bruissement. (bruit, c'est un mot vide, car il demande une précision sonore : un bruit de pot d'échappement, un bruit de pattes sur le plancher)
/
adversaires à visage dévoilé m’indiquaient que tout le monde venait d’entendre le même bruit.
/répétition de bruit, d'où l'importance du bruissement
/
Les sourires effacés, mes adversaires commençaient ils à douter ?
/Sourires effacés, mes adversaires commencèrent à douter.
/
Et avant qu’aucun des trois n’eût trouvé une explication logique à ce bruit, un buisson
/à ce phénomène
/
derrière le plus puissant des trois vola en éclats. Une veuve noire d’une envergure supérieure à cinq mètres sortit de la forêt et se rua sur l’homme aux chaînes.
/envergure pourrait être utilisé par un marin, puisqu'il s'agit d'une longueur de voile.
Moi, ce que je te reprocherais ici, c'est la crédibilité :
Buisson et cinq mètres d'envergure.
Soit des buissons sont très grands, soit ils sont comme des arbres
Une veuve noire, large comme un poney, sortit de la forêt.
Une veuve noire, large comme deux hommes, sortit de la forêt.
/
En apercevant ce nouvel adversaire, son visage fut marqué d’une expression de réelle terreur. « Elle » faisait toujours le même effet. Ces chaînes n’eurent même pas le temps
/elle faisait (le verbe faire rajoute de la rouille dans le texte, ou du fer si tu préfères
)
elle produisait toujours le même effet.
/
de se dérouler de son corps. Les deux autres, l’air ahuri, ne réalisaient pas qu’une monstruosité de la nature se trouvait sous leurs yeux et tentait de décapiter leur compagnon à l’aide de ses énormes mandibules. La brute qui se voulait si impressionnante se retrouva pris de torpeur lorsque son ami fut transpercé par une mandibule au niveau de l’épaule.
/mandibule pour une araignée ?
http://www.infovisual.info/02/051_fr.html
chélicère
Qui a dit qu'écrire ce n'était pas aussi apprendre le monde
/
« Elle » fit jaillir une omoplate dans une gerbe de sang au bout de laquelle gisait un bras désarticulé.
/le laquelle porte sur le premier mot féminin précédant laquelle, ici la gerbe.
Dans le doute, supprime " au bout de laquelle gisait un bras désarticulé"
Est-ce que l'image est plus forte ?
Ou pas ?
Une omoplate expulsée hors du corps, c'est un bras inutilisable
/
Le magicien avait déjà commencé ses incantations au dessus de son livre. Tourné dans la direction de la veuve noire, il fit l’erreur de ne pas prêter attention aux faits de son autre ennemi, moi. En baissant mon bras droit à la verticale, je sentis le métal gelé de mon arme glisser. Elle tomba directement dans la paume de ma main qui se referma
/glisser dans ma main. Le « six-coup » au bout s'aligna
/
par réflexe, le « six-coup » au bout de mon bras droit s’alignant entre mon œil et la tête du magicien.
/quand tu utilises un participe présent dans une phrase, c'est très souvent le signe d'une phrase trop longue.
Or ici, tu dois jouer de phrases courtes. Tout se déroule en même temps. Les actions se succèdent en cascade.
/
Mon premier ennemi fit preuve de réflexes affûtés, il décela mon mouvement et put m’apercevoir le bras tendu, en train de mettre son allié en joue avec mon arme. Tout en
/supprime "avec mon arme"
/
amorçant un demi-tour vers la forêt, il cria pour avertir son acolyte : « Il a une arme à feu! ». Le mage tourna sa tête dans ma direction et ses yeux se plongèrent dans les miens l’espace d’une demi seconde. Un reflet d’étoile parvint à montrer l’étincelle d’intelligence qui résidait en lui, une intelligence que je ne pus doser. Je ne lus aucune peur de la mort, ni même une quelconque rage ou haine similaire à celles des deux autres. En pressant la gâchette, un goût amer s’installa au fond de ma gorge. Que mon dieu est pitié de cet homme qui n’eut pas la chance de naître ailleurs. La balle l’atteignit
/ait (mon dieu aura pitié)
/
entre ses deux yeux luisants et la puissance de l’impact le propulsa en arrière en faisant glisser sa capuche de sa tête.
/faisant = rouille
arrachant sa capuche
pour couper la phrase, on pourrait mettre une virgule derrière luisants
/
Comme au ralenti, sous la clarté de cette nuit, je vis partir son visage infantile vers une nouvelle tranquillité.
Sur ma gauche le lâche détalait avec rapidité. Sa démarche bondissante me mit les idées au clair : il se battait en réalité uniquement avec ses dents. Son pantalon large ne servait pas à camoufler une arme, mais à résister à ses transformations. Il s’enfuyait pour me revenir à la pleine lune. Une de mes balles traversa son genou par derrière en pulvérisant sa rotule en plein vol.
/et pulvérisa
ou
par derrière, (virgule) pulvérisant (le han han est à éviter)
/
Lorsque son pied toucha le sol, son genou céda sous son poids en se pliant dans le
/son autre genou (?)
parce que le premier n'existe plus
/
mauvais sens. En s’écrasant par terre dans un bruit d’os broyé, il poussa un hurlement de douleur mais tenta quand même de rejoindre l’orée de la forêt en rampant. Je marchai vers cet être mutilé d’un pas assuré et je remis mon six coup dans son étui où je sentis le poids de deux balles se rajouter.
/???
Elles proviennent du néant ?
C'est un colt à rechargement atomique ?
/
Cet odieux personnage ne méritait pas une mort si douce. En prononçant le mot d’invocation, une épée se matérialisa dans ma main droite et celle-ci se mit à hurler un
/celle-ci = la main
et se mit à rire dans un grincement inhumain.
Ou, plus simple
Et se mit à pousser mille rires inhumains (=> là, on prépare l'amas de bouches qui va suivre)
/
grincement similaire à un rire inhumain. A l’entente de ce son démoniaque, le rampeur se retourna et parut terrorisé par ce qu’il vit : la lame de l’épée était représentée par un
/se retourna, terrorisé. La lame de l'épée déploya son amas
elle n'est pas représentée, elle est ! ;-)
/
amas de bouches difformes qui se mouvaient les unes sur les autres au rythme de leur effroyable chant. Certaines de ces bouches s’occupaient à aspirer toute parcelle de lumière ambiante. J’imaginai mal la prestance que je pouvais dégager en étant entièrement coloré en noir par l’obscurité ambiante nouvellement créée. L’horreur était telle qu’il ne pensa même pas à implorer ma clémence lorsqu’une tache d’urine recouvrit son vieil habit rapiécé. Le rire strident et démentiel de mon arme lui perça simultanément les deux tympans. Il se mit a hurler de souffrance en se maintenant les deux oreilles fermement.
/supprime fermement (on se doute qu'il ne se fait pas un cache-oreilles, puisqu'il souffre
)
/
Son cri déchirant se transforma alors en gargouillis immonde lorsque ma lame lui transperça la gorge dans toute sa longueur.
/là encore, la précision est sans superflue : transpercer, c'est obligatoirement de part en part. Sinon, ce n'est pas transpercer (percer au travers), mais perforer.
/
C’est ainsi que celui qui se croyait impressionnant, mourut noyé dans son propre sang en se contorsionnant sur le sol.
Ma lame disparût et je me retournai pour voir comment « Elle » s’en sortait.
/disparut
/
Apparemment j’avais même sous-estimé mon dernier adversaire. Alors que son ancien
/supprime le même
/
bras gisait à quelques mètres de là, un nouveau bras droit avait prit place là où se trouvait l’ancien trou ensanglanté. Une à une, ses chaînes avaient réussi à bloquer les pattes de l’araignée et commençaient maintenant à s’enrouler autour de son buste afin de la paralyser. Les mandibules étaient déjà bloquées, évitant à « Elle » de lui
/voir plus haut sur les mandibules
empêchant "Elle"
/
administrer de puissantes attaques. Alors qu’il croyait commencer à maîtriser la situation, elle appela à l’aide. Tandis que de toute sa puissance magique il contrôlait de plus en plus aisément les assauts de la bête, des milliers de répliques miniatures de ma veuve noire marchaient sur les chaînes d’acier vers une proie encore inconsciente de
/couraient / dévalaient les chaînes
/
son sort. Lorsque quelques picotements se firent ressentir ça ne sembla pas l’inquiéter, mais lorsque ceux-ci se démultiplièrent, il commença a se rendre compte de son funeste destin. Plus par l’idée de mourir de cette façon qu’à cause de la douleur, il se mit à crier comme un dément.
/à crier ou à jurer ?
/
Lorsque l’une d’elle s’attaqua à son œil et perça la cornée, son cri se transforma rapidement. Mais son hurlement d’agonie fut étouffé par des dizaines d’arachnides qui s’engouffraient dans sa gorge. Toutes les chaînes libérèrent alors la veuve noire et se mirent à le fouetter si prêt du corps que des bouts de chair s’envolèrent dans toutes les
/si près
/
directions à cause des barbelés. En même temps il se frappait frénétiquement le visage
/même temps, il se griffait
(perso, avec des dizaines d'arachnides dans la bouche, je le vois mal continuer à vivre
)
/
qu’on distinguait à peine sous la masse grouillante. Sans pouvoir exprimer sa douleur, il se faisait lentement dévorer vivant. Il était devenu une masse informe et mouvante qui chancelait péniblement dans la clairière. Les chaînes ralentirent lorsque qu’il posa les genoux à terre, puis il s’effondra. Les araignées continuèrent de grouiller à sa surface durant encore quelques minutes, puis elles retournèrent sur le dos de leur mère qui prit la direction des bois.
Je fis une brève prière destinée au magicien et continuai ma route vers le nord dans l’espoir de trouver une couchette pour cette nuit sans lune.
***
Alors je me suis relu plusieurs fois, pour éviter au maximum les fautes d'orthographes, mais j'ai conscience que c'est un domaine ou je suis plutôt médiocre,
/pas tant que ça.
Il s'en trouve même fort peu.
/
Sinon j'aurais évidemment besoin de conseil, c'est pour cela que j'ai quelque question:
- Est ce j'arrive bien à définir les images visibles, les personnages et les actions? Voit-on exactement ce que je veux raconter? (pas de flou,...)
/Là, tu as un peu de flou.
Mais ça vient de l'absence de compression du texte.
Lors de la compression, les participes présents, les adverbes en -ment, les qui, les que, le verbe faire, les mots vides (qui ne font pas image), les mots "faciles", sont écrasés.
Car il s'agit de gagner un tiers de caractères. (ou au moins 25 %)
Moins par la suite, parce que le travail de compression devient naturel.
Et même là, ce n'est pas sûr... mieux vaut se laisser libre d'écrire beaucoup, en sachant que l'on va compresser le texte, pour en extirper le meilleur vin.
/
- Les phrases sont elles correctement formulées, rendant le style correct? ou est il trop lourd/ pas assez décrit/... Est ce que la lecture est plaisante et facile?
- Est ce que passage d'histoire se révèlerait elle assez intéressante pour attiser la curiosité du lecteur (pour une lecture éventuelle d'une suite par exemple ou de plus d'explication sur le pourquoi du comment)
/le pourquoi du comment serait plus intéressant.
On aimerait bien comprendre : pourquoi cette bataille ? Pourquoi à cet endroit ?
Pourquoi les trois types poursuivaient ton personnage ? Au point de vouloir lui trouer la peau
/
- Est il intéressant le point de vue première personne pour se référer un minimum à la psychologie du personnage? ou ce point mériterait il plus d'attention?
/voir plus haut, sur la notion de point de vue et de caméra.
/
-...
Voila je ne vois pas d'autre question à demander (même si il y en a sûrement des tas)
Donc si vous avez toute critique à faire, merci beaucoup je suis preneur,
/Bien Amicalement
L'Amibe_R Nard