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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°13554817
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 18-12-2007 à 17:34:09  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
pour l'amibe ernard :
merci pour les conseil  
mais aussi ya pa ke des ogres a la bataille du debut ya des gobelins et les gobelins y sont malins (ds mn histoire )
et aussi le gentil ya aucune chance contre les créatures du mal et contre leurs dragons et c'est pas pour rien que jlappelle lempire du chao
et la prophetie ta raison jvai laméliorée pck là .
Mais le groupe d'elfe qui doi chercher le garçon c pas pour le tuer c pour le proteger et l'initier aux armes et lui apprendre quelque tours .

mood
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Posté le 18-12-2007 à 17:34:09  profilanswer
 

n°13555175
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 18-12-2007 à 18:04:22  profilanswer
 

Ce jour là il faisait une nuit d'encre ,il n'y avait pas d'étoiles mais de la brume à perte de vue .
Ce soir là un groupe de soldat armé jusqu'aux dents entra dans le village de Grinestel pour y chercher le garçon de la prophetie .
Cette prophetie fut prédite par le maitre magicien Clastellir et elle disait :
   "Un garçon naitra ,il grandira et défiera les chefs ennemis et les fera tomber et ce même garçon sauvera des vies et arretera cette guerre ."
Mais, l'ennemis ,lui aussi était au courant de la naissance du garçon qui le détrônera .
Il prépara son armée et la mit en route pour grinestel .
Il brula tout ce qui fut sur son chemin laissant giser des corps inanimés .
Ils ne rencontrèrent que peu de resistance .  
Mais il passa quand même et sa grande armée s'arreta devant le fleuve qui séparait les territoires libre a ceux qui furent occupé.
Les cavaliers chargés de récuperer l'enfant furent pris dans une embuscade et combatirent pour proteger le nouveau nait .
Les chevaux des cavaliers elfes moururent sous les coups ennemis .
La chef des cavaliers elfes , Silmarillia , chargea la première en décimant les rangs ennemis ,ses soldats en firent autant mais ils furent contraints d'arreter leurs progression à cause des hommes lézards qui se tenaient derrière .
Ces hommes lézards ne laissaient aucun survivants et étaient cannibales .
Tout de suit après que les elfes découvrirent les lézards ils reculèrent et laissèrent la place aux lézards qui sautaient sur leurs proie .
Bien que beaucoup d'ennemis tomba la bataille fut perdu d'avance car de géants ogres s'avançaient bousculant les autres guerriers .
Peu après nos elfes du moins c qu'il en reste se regroupèrent derrière les arbres pour tirer une volée de flèche qui s'abattit sur les géants .
Plusieurs tombèrent mais bien décidé à écrabouiller les elfes ,les ogres coururent en faisant trembler le sol sous leurs pieds et arrivèrent jusqu'aux elfes qui ne purent combattre au corps à corps même avec leurs lances parce que les ogres détruiraient leurs armes .
Un des guerriers elfes s'avança en criant "pour le seigneur et la terre ! yeah".
Les autres le suivirent mais furent battu par le nombre imposant d'ennemis .
Les paladins de l'est engagés par l'empire du chaos gagna .
La chef de la compagnie prit la fuite en emmenant le sauveur de l'empire dans ses bras.
L'enfant dormait à point fermé.
Déjà loin du lieu du combat la femme elfe conduisit l'enfant dans la demeure d'un homme dont elle avait confiance .
Elle n'emmenait pas l'enfant chez ses parents car le village de Grinestel brula et ses habitants moururent tous .
L'elfe fut obligée de quitter la route à cause des pillards gobelins qui attaquaient les convois pour rendre leurs contenu à l'empire du chao .
Le roi de Firtalia fut prévenu de la défaite et de la disparition de ses guerriers mais il savait au moins que l'ennemis n'avait pas trouvé l'enfant .
Alors il envoya ses troupes aux frontières pour contenir l'assaut de l'empire du chaos .
Le roi de Firtalia se nommait Chancery le pieux ,il portait une longue cape rouge et blanche et une armure de parade en or et argent ornée de pierre precieuse en dessous de son armure on voyait une tunique sur laquelle fut déssiné son blason .
A sa taille une ceinture tenait son fourreau incrusté de cristal .
De son fourreau dépassait la garde de sa longue tranchante et pointu épée .
Une couronne d'or surplombait sa tête .
Il habitait un gigantesque palais qui se situait dans le coeur de la capitale .
Ce palais fut bati sur une colline qui dominait la cité , les murailles construitent en zigzag permettait de rendre difficile l'assaut de cette forteresse .
Un profond fossé séparait le palais de la ville .
Un pont levis permettait le passage des douves .
Quatre tours de guets surveillaient les alentours du fort.
Le donjon abritait un cachot et la salle d'or ,là où le roi enfermait son argent.
La grande salle se cachait juste derrière la porte du palais et il y avait tellement de place que lors d'une fête le roi pourra inviter la moitié de la grande ville.
Mais en cette période de crise il ne pourra pas faire de fêtes parce que la moitié de sa grande armée fut parti en guerre et l'ennemi avance à grand pas .
Le roi est obligé d'élever les impots  et de recruter beaucoup d'hommes pour defendre leurs patrie .
 
 
La guerrière elfe arriva devant la maison de son ami :
 "Ouvre moi s'il te plaît !
 _Qui va là !? lui demanda l'homme.
 _C'est moi ,Silmarillia !! cria t'elle
 _ah !c'est toi ! entre ,dit -il en ouvrant la porte.
 _Il fait froid dehors .
 _Va donc te réchauffer la cheminer est par là .
 _Est-ce que je peux te présenter un enfant ?demanda t-elle
 _Biensur que oui! repondit-il
 _Il s'appelle nallewir .
 _bonjour mon petit bout de choux ! s'exclama t-il
 _où son ses parents ? l'interrogea t-il .
 _Bon je vais te dire un secret . J'ai confiance en toi tu ne dois le dire à personne ,compris ?  
 _Compris ! répéta t-il .
 _Cet enfant et le sauveur d'Iriankidiev . chuchota t-elle .
 _Combiens de temps dois-je t'éberger , s'informa t-il.
 _pas beaucoup de temps en tout cas.
 _J'ai une chambre là haut tu y dormiras le temps qu'il te faudra .
 _Merci beaucoup . "
Puis elle monta ses affaires et le petit sauveur .
Elle installa l'enfant attendit qu'il dorme et elle descendit souper.
Il mangèrent et parlèrent pendant plus d'une heure et la femme elfe partit se coucher au côtès de l'enfant .
Pendant ce temps l'ennemis arriva devant la porte de la capitale et ils firent une breche dans la muraille et entrèrent .
Les géants démolirent les murs prirent des pierres et les lancèrent .
Les gobelins impériaux brulèrent les maisons et tuèrent beaucoup de civile .
La garde royale arriva un peu trop tard car la moitié de la population  était morte .
Mais ils parvinrent quand même à contenir l'assaut de la citadelle qui abritait les survivants.
Les balistes ennemis trouèrent les murailles .
Les civils eux prirent un passage qui fut creusé dans la montagne .
Pendant que les civils se réfugiaient les soldats combattirent avec rage .
Mais quand vint l'élite de l'empire du chaos ils reculèrent .
Cette erreur leur couta la vie .
Après que l'ennemis prit la ville ils la pillèrent et partirent .
Cette victoire marqua la défaite de Firtalia .
La guerre fut perdu mais pas términé car l'enfant était toujours en vie et il réstait toujours des milliers de soldats mais ils n'étaient pas assez nombreux pour se mesurere ainsi à l'empire .
Ce qui réstait des citadins et de l'armée partit dans les montagnes .
Au beau matin ,ils se réveillèrent et descendirent prendre le petit déjeuner .
L'homme lui demanda
 "A t-il bien dormit cette nuit ?
 _Oui ,comme un bébé . répondit-elle en riant .
 _Tu compte réster combient de temps ?
 _Je crois que je partirai cet après midi car le roi doit attendre l'enfant .
 _Alors je vais t'aider à faire tes bagages ."
Puis ils firent leurs bagages et s'en allèrent.
Ils ne rencontrèrent aucun problème sur la route et ils firent plusieurs escales .
Lorsqu'ils arrivèrent aux portes de la capitale les gardes n'étaient pas là .
Alors ils entrèrent et quand ils virent des centaines de cadavres à terre et la ville bruler ils partirent sur le champs a la recherche d'un endroit où ils seraient en sécurité .
Elle eut l'idée de repartir chez elle ,chez les elfes .
La route fut longue .
Plusieurs ennemis brulèrent ce qui réstait de l'empire .
Silmarilla arriva chez les siens et leurs raconta la funeste histoire .
Le roi elfe Limahil écouta et décida de venir en aide aux survivants humains .
Il eut l'idée de réveiller les dragons bleus .
Aussi fallait-il les trouver .
Leurs amis les nains voudraient peut-être les aider à faire face à la menace de l'empire .
Limahil envoya un convoi armé aux montagnes profondes pour demander aux nains de l'aide.
Mais la route est dangereuse car les gobelins surveillent les routes et les géants des collines gardent l'entrée des montagnes .      
Ils ne pouvaient non plus passer par les marais d'Hictarilla car de nombreuses créatures démoniaque habitaient là-bas.
Et les plaines étaient trop dangereuses car ils seraient à découvert .
Les forêts ne sont plus sûr ,les dryades sont endormies et les gobelins commencent à brûler la forêt .
Le seul moyen était de passer par le desert d'Ignis mais c'était encore trop dangereux.
Le roi eut l'idée de passer à l'exterieur de l'empire .
Là ils rencontreront que peu de danger car ces terres sont dites inhabitées .
Ils enverraient aussi des soldats réveiller les dryades .
Avec ces derniers ils auront de puissantes alliées .
Ils fallaient aussi chasser ces gobelins .
La moitié de la forêt brûle à l'heure qu'il est .
Et il fallait aussi trouver les survivants de la capitale.
Beaucoup de soldats partirent des forêts .
Un groupe partit vers les montagnes et l'autre réveiller les dryades.
Le premier groupe partit à l'aube .
Et le deuxième à midi .
Le deuxième arriva près du village des dryades .
Avec eux ils avaient un magicien qui pouvait les réveiller.
Mais le village était bien garder ,et les gobelins n'hésiteraient pas à tout brûler s'il le faut.
Les elfes attendirent la nuit pour attaquer car les gobelins n'aiment pas le noir.
Ils arrivèrent lentement devant le camp des gobelins .
Mais un elfe fit craquer une branche et sursauta .
Un gobelin se réveilla en sursaut et donna l'alerte .
Tout les gobelins se levèrent et se mirent à attaquer les seigneurs des forêts .
Ces derniers se mirent en rang de 10 soldats .
Ceux qui portaient des boucliers se placèrent devant , les lanciers derrière  les fantassins couvrirent les côtès et les archers au centre .
Avec ce système les gobelins n'arriveront pas à passer .
Mais ils n'avaient pas prévu l'arrivée des géants .
Ces derniers coururent sur l'ennemi .
Mais cette assaut fut une grande erreur pour l'empire car les lanciers embrochèrent plusieurs géants en faisant casser leur lance .
Et les archers tirèrent plusieurs traits .
Au contact des deux factions plusieurs soldats moururent écrasé et embroché .
Pendant que les ogres passèrent et repassèrent , leur nombre s'amenuisait et au fur et à mesure des allers-retour ils ne furent que deux .
Les archers se regroupèrent armèrent et tirèrent tuant les deux derniers ogres .
Mais il réstait encore les gobelins .
Ces derniers profitèrent de l'inattention des elfes pour attaquer .
Mais les elfes portant les boucliers sauvèrent leurs compagnons .
Les fantassins chargèrent en criant :
 "sus à l'ennemi !"
La charge fut tellement rapide que la moitié des gobelins moururent désarçoné .
Les gobelins partirent chercher du renfort abandonnant la forêt aux elfes .
Les seigneurs des forêts arrivèrent à l'endroit où les dryades étaient endormies .
Le magicien arriva prononça bien haut et en articulant la formule permettant de réveiller les dryades .
 "Dryades , réveillez vous ,réveillez vous ,dryades .
à partir de ce jour vous serez libres ."
Au bout d'un moment d'attente les dryades se réveillèrent et demandèrent :4
 "Pourquoi nous avez vous réveillez ?
 _Pour sauver le monde . Répondit le magicien .
 _En ce cas je veux bien vous aider , mais seulement pour donner une bonne leçon à ces gobelins .
 _Oui mais avant cela il faudrait réveiller les arbres ,nous vous avions libérer pour que vous réveillez les arbres .
 _Attendez je cherche la formule ."
Elle parcourut sa mémoire et trouva la formule .
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

n°13562073
youna and ​jinnas1
Posté le 19-12-2007 à 13:51:34  profilanswer
 

voici un texte a moi  ^^ :(si dessou:(

 


tout debut à une fin .toute fin à un debut .le dubut de la fin c'est le commencement de la terre. le commencemment de la terre c'est le debut de la fin.

 


ne soyer pas cruel, ni injuste  tout le monde se vaut d'une façon differente, ou d'une maniere que on comprend pas . Mais surtout oublier pas LA NATURE DICTE SES LOIS NON L'INVERSE

 


 :ange:  :ange:  :ange:  :pfff:  :pfff: petite parade de mots ^^  :lol:  :lol:  :lol:


Message édité par youna and jinnas1 le 19-12-2007 à 14:16:18
n°13562143
youna and ​jinnas1
Posté le 19-12-2007 à 13:58:50  profilanswer
 

                                        LE PEUPLE DE L’EAU

 

Depuis tout petit déjà Jinko rêvait de quittait  sa terre natale, mais jamais il en avait  eu le courage Craignant la réaction des shraniens.  Mais quand lynx était arrivé dans shrana, et que il fut   accusé d’être la réincarnation du mal  il fut immédiatement mis à mort. Ils s’étaient enfuis  vers les mers infranchissables, mais les mers étaient énervées et elles décidèrent de tuer les deux fuyards.
Jinko et Lynx tombèrent dans l’eau glacer ,Jinko avait ouvèrent les yeux et regardait Lynx tomber dans le fond noirs des mers , bientôt celui-là disparut ,Jinko était sur le bord de l’évanouissement il essayer en vain de remonté à la surface de l’eau mais quelque chose l’en empêcha, l’esprit des mers se tenais devant lui ,cette esprit était laid, mais avais  une certaine beauté il ressemblait vaguement à un humain mais il avait un visage plus large ,ses trait de visage était mou, si mou que on aurait dit qu’il était élastique ses oreilles était longues  semblables à celles des lapins  mais en moins pointue, et de sa bouche sortait deux dents pointu qui rappelait les canines des loups mais de tailles différentes , il était grand et il portait un casque sur sa tête .
Jinko le regarda longtemps et il s’évanoui.

 

Le soleil était chauds, trop chaud, le vent manquait et le chants des oiseaux était différent de ce de shrana, trop surréaliste songea Jinko ; il avait trahis sont pays et il allait aller en enfer, bien qu’il n’y croie pas, ce qui l’étonna le plus se fut le tapis de mousses et de lichen sur lequel il était coucher, alors doucement, tout doucement il ouvrit un œil puis l’autre, il sursauta en voyant un homme penché vers lui, alors il demanda
-Je suis mort ?
- Tu as faillis répondit  l’homme que Jinko baptisa sourire hideux.
-Où suis-je ?
-Tu est chez le peuple de l’eau, comment t’appel tu demanda t’il avec une politesse inébranlable
Il hésita à répondre maintenant à l’heure qu’il est shrana devaient le rechercher pour complicité d’évasion, soudain il réalisa, Lynx ou était t-il l’avait t-ils sauvent de leur noyade périlleuse ? D’un coup il se leva, mais il retomba vite car il avait peut de force, sourire hideux le regardait avec un air mélancolique
-Je  balbuta t-il je m’appel Jinko et je me suis échouer avec mon compagnon L… lytael mieux valait mentir sur le nom de lynx car lui Jinko n’était pas connus mais Lynx était un nom malsain et maudit et il craignait la réaction du peuple de l’eau
-Je n’est trouver que toi en pêchant du poisson.
Jinko en avait mal au ventre il était mort, bien qu’il n’est voyager que quelque temps avec lui il éprouver une certaine honte.
- Tu ne me demandes pas mon prénom ? A quoi pense tu ?

 

- Comment fait tu pour pêcher sur les mers ? et quel est ton nom ?

 

- Je m’appel Sardâkah, mais mon surnom est sourire radieux, les mers ne sont pas agiter pour le peuple de l’eau elle paraisse molles un peut comme le dieu de ses mers. En disant ses mots il regarda Jinko d’un œil perçant, mais Jinko l’ignora Lynx était sans doute mort    

   

Je n'ai pas relus ( enfain si mais pas beaucoup) je voulais juste savoir si l'idder est bien ou pas car quand je montre ce texte  :  8 disent  que c'est  bien (l'histoire) et 2 disent que c'est bof ....
Je ne comprend pas pourquoi ( bien sur chacun ses gouts mes ses deux là sont des fan de lecteur ) quand je leur demandent pourquoi ils ne savent pas me reponde rien ...
Ce qui ne m'aide pas ....
L'histoire en elle même peut être bien ou nul selon les gouts des lecteurs , mais quand ou trouvent quelque chose de bien ou nul il faut dire pourquoi.

 

Mon texte et bien ou nul ????  ( en fermant les yeux sur les fautes pour une fois ) ... :d :p :)

 

Message cité 1 fois
Message édité par youna and jinnas1 le 19-12-2007 à 14:59:55
n°13563692
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 19-12-2007 à 16:35:19  profilanswer
 

youna and jinnas1 a écrit :

           
 
Je n'ai pas relus ( enfain si mais pas beaucoup) je voulais juste savoir si l'idder est bien ou pas car quand je montre ce texte  :  8 disent  que c'est  bien (l'histoire) et 2 disent que c'est bof ....
Je ne comprend pas pourquoi ( bien sur chacun ses gouts mes ses deux là sont des fan de lecteur ) quand je leur demandent pourquoi ils ne savent pas me reponde rien ...
Ce qui ne m'aide pas ....
L'histoire en elle même peut être bien ou nul selon les gouts des lecteurs , mais quand ou trouvent quelque chose de bien ou nul il faut dire pourquoi.
 
Mon texte et bien ou nul ????  ( en fermant les yeux sur les fautes pour une fois ) ... :d :p :)  
 


 
Je suis désolée Youna, mais il y a tellement de  fautes que c'est incompréhensible...
Je dois relire certaines phrases trois fois avant de les comprendre (et encore, je ne suis même pas sûre que ce que je comprend correspond à ce que tu voulais dire...)
 
Donc personellement, je ne peux pas fermer les yeux sur les fautes, car à cause d'elles ton texte est illisible.
 
 
 
 

n°13564050
lfcclb
Posté le 19-12-2007 à 17:16:19  profilanswer
 

J'ai un vieux roman/nouvelle à finir... il faudrait que je m'y remette !
 
je vous poste le premier chapitre et vous me dites si vous auriez envie de lire la suite ? il s'agit de la dernière journée d'un homme qui a été pendant 2 siècles l'amant de la mort !
 
ça n'est PAS de la fantasy  :D  
 
 
A moins qu’elle ne change d’avis, ce soir Michel sera enfin mort…
 
Oui, lui, le presque immortel, lui qui a bravé les révolutions et les guerres, de conquête, de défense, de malentendu, d’ingérence, des étoiles, localisées, mondiales ou civiles, froides, économiques ou stratégiques, lui qui a survécu aux famines, à la déforestation, aux épidémies, aux incendies, aux inondations, aux tremblements de terre, aux raz-de-marée, à l’effet de serre, à Tchernobyl et à Chirac, lui qui a évité pendant plus de deux siècles les accidents d’escalier, de cheval, de carosse, de bicyclette, de train, de voiture, de bateau, d’automobile, d’avion, de fusée, lui qui a résisté à la peste, au choléra, à la rage, à la tuberculose, à l’affaire Dreyfus, au cancer, au sida et à la vache folle, lui, il va mourir ce soir, pour une simple histoire de cul ; à moins qu’elle ne change d’avis.  
 
Bien sûr, pas plus que lui, ou qu’elle-même, nous ne prétendons pouvoir prévoir les désirs d’une femme, encore moins lorsqu’il s’agit de celle-ci que vous apprendrez, vous aussi, à connaître, mais, oui, sûrement, il va mourir ce soir. Il s’est péniblement endormi hier, dernier sommeil angoissé d’un condamné, et les vagues de sa couette couleur marine ainsi que l’oreiller qu’il étouffe fièvreusement entre ses bras en témoignent encore ce matin alors que son réveil va le ramener à son funeste destin.
 
Tuut ! Tuut ! Tuut ! Tuut ! Tu… Clac ! Qui ? Quoi ? Où ? Moi, ce putain de réveil et… Et cette chambre au papier peint jaune…  Jaune beurk… Pas longtemps que j’y vis. Trop longtemps que je vis. Quand même peur de mourir ce soir. Bah je ne souffrirai pas, elle viendra par surprise. Un baiser et tout sera fini. Plus terrible encore de crever dans un souffle. Sans conscience. Science sans conscience... Ou bien le contraire ? On ne meure qu’une fois. La seule, la pire. Ma vie pour un empire. Question de point de vue. Vue sur l’au-delà. Quelle raison de ne pas y croire déjà ? Elle n’y croit pas non plus. Mais elle s’en fout évidemment, c’est différent. Je l’aime toujours, Elle. C’est con l’amour. Pourquoi les meilleures choses ont-elles une fin ? Cette nuit où pour la première fois je l’ai tenue dans mes bras… Elle endormie, moi heureux. Jamais plus depuis. En deux cents ans… Vivant et conscient d’être vivant, survivant in vivo, vie et violence, vie vit vite vice vis. Mon cœur qui bat, ma poitrine qui se soulève ma bite dure et Elle dans mes bras. Elle m’a tout montré. Et lèche ici et lèche là. Patiente, amoureuse, fougueuse, belle. Et puis on se lasse de tous les jouets… Aucun homme n’en aurait rêvé et moi je l’ai vécu. 1789, ça ne me rajeunit pas… J’avais seize ans et elle trente ? Elle n’a pas changé. J’en ai vu des choses extraordinaires, des morts, des mariages, des naissances et des naissances, des morts, des mariages… Tous ces gens, toutes leurs vies qui se ressemblent… Je m’en fous au fond. C’est ma vie qui m’a toujours intéressé. Et ce soir elle va se finir pour une engueulade à la con. Si j’avais su… Je sais pas, j’aurais… Je lui aurais pas dit…  
Tuut ! Tuut !… Clac ! Ah merde, cinq minutes déjà. Putain de réveil. Faut y’aller quand même comme si tout continuait. Comme si elle allait changer d’avis, avant ce soir. Et Merde ! MERDE !
 
Il finit donc de se réveiller, repousse la couette marine et se gratte les testicules puis le crâne, en bâillant bruyamment, dans cet ordre comme presque à chaque fois depuis deux cents ans. Il s’étire longuement en tous sens et se dirige à tâtons vers l’autre pièce où l’attend son bol. Il ouvre le frigo, prend la brique de lait froid et, en revenant de la cuisine, sur l’évier à côté de la porte, met deux tranches de pain de mie dans le grille-pain. Dans le placard, il se saisit de ses céréales, en verse jusqu’à la marque imprécise qu’en dix ans elle ont fini par laisser tout autour du bol. Enfin il verse le lait et profite, comme dans la publicité, des craquements que fait le liquide qui pénètre flocon après flocon et les ramollit savoureusement. Il ne lui reste plus qu’à déguster rêveusement devant TF1 info, ses deux toasts à la confiture.
 
Il pourrait divaguer, se remémorer, à l’aube de sa mort, tous ses petits déjeuners, tous les endroits où il les a pris, tous les mêmes aujourd’hui que tout va se finir. Il se rappellerait peut être la tièdeur un peu écoeurante du lait tout juste traît de la vache, que sa mère lui amenait parfois dans un bol de bois grossier et dans lequel, les jours de fête, il trempait un croûton de pain rassis ; le soleil pénétrait à peine par les carreaux sales et fendus et il s’absorbait rêveusement dans la contemplation des fissures de la grosse poutre ou suivait des yeux le vol ivre d’une des nombreuses mouches bleues qui bourdonnaient toute la journée dans la petite pièce. Ou alors il se remémorerait la fraîcheur d’une aube parisienne soufflant par le vasistas d’une chambre de bonne, un siècle plus tard, au dessus d’un des grands boulevards grouillants d’une humanité laborieuse, d’où il entendait monter ce grondement populeux, cette soif de liberté ; mais lui qui avait vraiment vécu quatre-vingt treize, lui préférait se retourner dans son lit et cacher sa précieuse tête sous le traversin. Ou encore il se souviendrait d’un réveil tardif, l’été 1948, pressé d’entendre une voix chevrottante relater les derniers exploits de Bartali et Coppi, seigneurs aujourd’hui défunts de la France d’après guerre, magnifiques transalpins harassants sans relâche leurs machines de fer, dans l’enthousiasme général d’un Hexagone oscillant entre un soleil de Calabre et une pluie wallonne, comme tous les ans depuis Garin jusqu’à Armstrong.
 
Reverrait-il ces matins tragiques, quand son histoire, et la nôtre, devenait l’Histoire le plus souvent dans son indifférence la plus totale, force est de le reconnaître ? Le 14 juillet 1789 il cuvait un mauvais vin, bouche grande ouverte, le drap collé par la sueur sur ses jambes, empuantissant toute la pièce de lourds relents d’aisselle et de raisin mal digéré. Le 28 juillet 1914 il songeait médiocrement que son café était bien fade et Jaurès bien lâche… Le 22 juillet 1969, il crut durant quelques secondes avoir rêvé, et assis droit dans son lit il réalisa l’incongruité de son destin qui l’avait amené de Benjamin Franklin jusqu’à Armstrong, Neil cette fois… Aujourd’hui, il suit distraitement les informations sur le petit écran qui fait l’angle de son salon: énième attentat en Israël, campagne présidentielle, week-end de L1… Mais comment s’y intéresserait-il, lui qui a survécu à des milliards de contemporains, une cinquantaine de présidents, quatre républiques, deux empires, une monarchie, un consulat, un directoire et j’en oublie, tout comme lui d’ailleurs ?
 
Ses céréales terminées, il pose le bol sur une assiette sale juchée sur une casserole collée de raviolis, elle même scotchée par un reste d’omelette dans la poële, sur l’évier. Le tout dégage une odeur un peu écoeurante de produit vaisselle, c’est naturel, et d’égoûts, c’est plus inquiétant. Dans la salle de bains, il referme le couvercle du chiotte, pour s’épargner la vue des tâches brunes sur fond blanc, qu’il se promet de gratter depuis une semaine. Il laisse paresseusement glisser son caleçon à ses pieds et enjambe le rebord de la baignoire. Epargnons-nous à notre tour un examen approfondi des divers dépôts calcaires et regardons-le plutôt, lui, sous sa douche. Ne rougissez pas jeunes filles quand il empoigne machinalement sa bite ! Ne fuyez pas vieilles prudes alors qu’il commence paresseusement à se branler ! Les hommes sont ainsi faits, et les plus extraordinaires d’entre eux ne font pas exception, que le réveil leur donne des raideurs, qui se déplacent avec l’âge, comme se plaît à le souligner souvent, non sans quelque lourdeur, notre héros. Toujours est-il que les raideurs de jeunesse sont plus faciles à apaiser que d’infâmes arthroses rhumatiques : il suffit ici de quelques va-et-vients de la main droite et d’un peu de concentration alors qu’il s’agit là de souffrir sans autre remède qu’une amputation devant laquelle les vieillards, rendus lâches par l’âge sans doute, reculent trop souvent pour se vautrer dans les jérémiades sans fin et les petits oublis de leur prostate.
 
Mais retrouvons vite Michel qui allait bientôt en finir sans nous, tandis que nous digressions un petit peu : physiquement, il utilise la technique la plus simple, consistant en un empoignement ferme du phallus et un décalottage rapide, pour une course totale de la peau sur le gland de l’ordre de quatre à cinq centimètres. Mais c’est intellectuellement bien sûr que s’effectue la majeure partie du travail… Et là c’est une jungle de fantasmes tropicaux, un entrelacs de pulsions inavouables, un décor baroque de déesses alanguies, une gourmandise de chairs tendres et pulpeuses qui n’aboutit modestement qu’à une petite éjaculation minable dans les vapeurs d’une salle de bain clichoise. Enfin tel est le lot des branleurs…
 
Au sortir de la douche, dégouttant sur le tapis de bain maculé de tâches douteuses, il a tout loisir de s’observer longuement dans le reflet d’étain mal désembué du miroir, comme un cliché flou d’un autre siècle. Il l’a vu souvent ce visage au bel ovale, la pointe ironique du menton, les belles parallèles des tempes, les grands yeux bruns très doux. Tout cela donne une impression trompeuse de tendresse et d’intelligence désabusée chez un homme qu’ont toujours dominés l’orgueil et la médiocrité. Il y voit cette ombre de barbe qu’une nuit a suffi à faire pousser et à peine a-t-il commencé à se demander s’il allait se raser ou non que s’impose de nouveau à lui cette réalité insoutenable de sa mort prochaine, qui est notre quotidien à tous mais que deux siècles d’immortalité lui avaient presque faite oublier : à quoi bon se raser quand cette vie-ci est sur le point de s’achever ? A quoi bon s’être rasé pendant deux siècles, pour être enterré demain ? Œuf tu étais, pourriture tu seras ; éphémère, tu as vécu un long instant, ce que vivent les hommes, le temps d’un ennui…  Cette confusion d’émotions impitoyables lui étreint soudainement la poitrine, c’est comme un coup de surin en plein cœur alors il projette son poing vers ce reflet et ce n’est qu’au dernier moment qu’il se souvient de ce que lui a coûté ce petit meuble il y’a à peine un an chez Ikea… Il détourne donc son geste pour se saisir de son Phillishave et se rase frénétiquement comme s’il y’avait un lendemain, comme si cela signifiait encore quelque chose… et effectivement, au bout de cinq minutes, force est d’admettre qu’il n’y a plus guère d’ombre au tableau qui lui fait face et Michel se croirait presque revenu au royaume des vivants.
 
Il faut dire qu’en deux siècles d’existence, jamais il ne s’est senti si près du gouffre. Bien sûr il y’a eu cette soirée terrible de 1871, c’était la Commune alors…

n°13565237
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 19-12-2007 à 19:28:34  profilanswer
 

lfcclb a écrit :

ça n'est PAS de la fantasy  :D


 
Non, c'est un nouveau genre, le roman avec de la pub (tf1, ikéa, phillips...).
 
Histoire pas mal, la forme un peu lourde des fois.
 
La suite...
 
 
Youna, est-ce que tu m'autorises à publier tes histoires ?
On partage les bénéfices bien sûr.

Message cité 1 fois
Message édité par dPca le 19-12-2007 à 19:29:15
n°13565556
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 19-12-2007 à 20:11:01  profilanswer
 

hi hi  tu na pas vu mes fautes ????

 

il y as que moi qui comprenne vous qui lisent mon histoire restent inerte devant vous demandans :lol: si c'est un nouveau langage :lol:

 

;)

 

ou alors tu veu publie comme " comment  ecrire un livre pour que les autres ne  comprenne pas ^^ :p:p:p:p ......

  

à voir ...


Message édité par youna and jinnas le 20-12-2007 à 07:23:45
n°13565564
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 19-12-2007 à 20:12:06  profilanswer
 

as oui j'ai repris l'ancienne adresse l'admistrateur ma banni pendant 10 jours donc etonnée vous pas si mon pseudow  à un chiffre en moins ^^ ..............
..........................
...............................
.........................................

     

J'aime asser bien  ton histoire
lfcclb. mais vu que ce n'ai pas de la fantasy sa me fait tout bizzar de lire .......


Message édité par youna and jinnas le 20-12-2007 à 07:24:34
n°13571973
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 20-12-2007 à 15:00:12  profilanswer
 

dPca a écrit :

Non, c'est un nouveau genre, le roman avec de la pub (tf1, ikéa, phillips...).
 
Histoire pas mal, la forme un peu lourde des fois.
 
La suite...

C'est vrai qu'il y a pas mal de pub :p
Mais j'ai bien ri, je trouve le style décalé... La suite ?!

mood
Publicité
Posté le 20-12-2007 à 15:00:12  profilanswer
 

n°13573204
lfcclb
Posté le 20-12-2007 à 17:12:07  profilanswer
 

quelle pub ?   :whistle:  c'est notre quotidien les marques non ? Bret Easton Ellis avait fait ça de manière systématique dans "American Psycho"...
allez la suite...
 
CHAPITRE 2
Le peuple est dans la rue ce matin. C’est à travers tout Paris un fourmillement incroyable en ce 26 mars 1871. Et le temps hésitant n’arrive pas à dissimuler aux parisiens que c’est bel et bien une nouvelle saison qui est arrivée à l’improviste. Car Paris, aujourd’hui, est rouge et bleue comme l’été, car la liberté est un sentiment bien doux, car la révolution est comme un premier amour de vacances sur une plage normande, à l’abri d’une vague de dunes, sous le regard attendri d’une mouette rieuse. Tout semble changé : les fenêtres sont ouvertes, les portes accueillantes, les commerçants poètes ; jusqu’à la Seine qu’on dirait rajeunie à en juger par l’écume tumultueuse qui lèche les vieilles pierres du Pont-Neuf. Ah les vieux amants que voilà, depuis toujours embrassés au cœur de Paris ! Elle à ses pieds, lui à sa merci. On pourrait parier qu’il n’y a pas jusques à eux deux pour s’aimer comme jamais : aujourd’hui il la protège et elle le caresse. Mais, chers lecteurs, vous savez déjà que tout ça se finira bientôt car, comme le chante l’autre, il n’y a pas d’amour heureux.
 
─ Demandez Le Cri du Peuple par Jacques Vingtras !
On n’entend que cela et le marchand n’y peut suffire. Michel, que tous ces événement indiffèrent, ne peut résister à l’envie de lire comme tous les autres ce qu’on écrit dans ce fameux Cri du Peuple. Quelle prose vibrante et élégante, il y trouve ! On y croirait la révolution joyeuse et fraîche. « Liberté », « honneur », « lâcheté », les grands mots que voilà, pour ce qui n’est en fait qu’une vague révolution de plus. Et puis celle-là, il le sent bien, ne durera guère ; car il y’a du vrai dans la prose de ce Vingtras, elle est trop belle et pure. Elle se perdra elle aussi, comme se sont perdues les autres, dans les conflits d’intérêt, dans la médiocrité des hommes, dans la réaction qui vient immanquablement compenser l’action. A d’autres, oui ! Lui il en a trop vues. « Fils des désespérés, tu seras un homme libre ». La belle âme qui peut se prévaloir de tels élans ! Il les verra, lui, les fils des désespérés, se crever à la tâche dans les usines ou les mines ; leurs petits-fils laisser leurs entrailles dans les tranchées de Verdun. A eux aussi on dira : « Clairons ! sonnez dans le vent ! Tambours ! battez aux champs ! ». Bien trop d’exclamations pour notre héros, quant à lui plutôt un adepte du point-virgule qui sourit vaguement, qui ne conclue rien, qui accorde un long souffle au lecteur et autorise les enchaînements les plus creux. Non décidément cette Commune n’est pas la sienne !
 
Déjà il a jeté son Cri du peuple dans le caniveau, et s’est réfugié dans un des bistros du boulevard des Italiens dont les terrasses, en cette belle matinée, regorgent de récents convertis au socialisme, très démonstratifs, et de dindes piaffant après les nouveaux héros, tout aussi démonstratives. A la terrasse, les poseurs, à l’intérieur, les penseurs. Perdu dans les fumées âcres, Michel a été s’asseoir dans un recoin étroit, non loin d’une table très animée. Il peut donc écouter à loisir ce beau monde qui s’agite : ouvriers, artisans, instituteurs, les intellectuels et les manuels réunis en une belle communion. Une fois de plus, pense-t-il, et combien de fois encore à venir ?
 
Un grand gaillard s’emporte en violentes diatribes, un petit vieux rumine de vieilles utopies, un scribouillard desséché au regard fièvreux est venu cultiver sa haine, deux alcooliques approuvent, hébétés, tant que l’absinthe remplit leur verre ; voilà la Commune telle que la découvre Michel en ce beau matin de mars. Mais notre héros est de ces hommes que les discours fatiguent vite parce qu’il se méfie de ces belles phrases qui nous mènent aux pires folies, parce qu’il n’aime pas trop ces bavards qui s’écoutent bien plus qu’ils ne disent, parce que les théories l’ennuient ; alors, distrait, il ne capte que des fragments de la conversation :
 
- Camarades, l’heure a sonné pour tous ces brigands, c’est à nous qu’ils vont rendre raison !
(…)
- A Versailles, comme toujours ! Une fois encore le peuple ira les chercher…
(…)
- Les députés ? Traîtres et compagnie, qu’ont-ils fait pour nous ? Rien… Que feront-ils pour nous ? Vous le savez comme moi camarades…
(…)
- Une autre tournée, cafetier !
(…)
- Le sang n’aurait pas dû couler… La révolution n’a jamais besoin du sang des citoyens, juste de leur amour !
(…)
- Maintenant il faut des ministres à notre Commune !
(…)
- Cette fois la Liberté a retrouvé sa patrie
(…)
- Allons à l’hôtel de ville, camarades ! Au cœur de Paris, le futur de la nation !
(…)
- Remettez-en une cafetier !
(…)
 
Après une petite heure de débat, deux de nos révolutionnaires se sont effondrés sur la table dans une ronflerie d’ivrogne, filet de bave aux lèvres, un continue de pérorer pour une assemblé de verres vides et les deux autres se sont éclipsés en titubant, enivrés de liberté, égalité, fraternité, au moins pour la journée. Michel décide alors de retrouver l’atmosphère révolutionnaire de la rue.
 
La Commune c’est bien plus, en ce jour là, cette foule joyeuse et agitée sur les grands boulevards : un boucher en pleine effervescence, trois gamins en pleine délinquance, un groupe d’employés en pleine déliquescence, quelques ouvriers en pleine espérance. Et c’est ce dont Michel veut profiter par ce beau matin, croiser cette humanité plus joyeuse, plus agitée, plus anxieuse qu’à l’accoutumée ; il y’a quelques occasions où la foule offre ce spectacle étonnant : l’on croirait que chez tout un chacun seules les qualités subsistent : tel n’est qu’amour, le visage de l’autre respire le courage, un autre encore incarne soudain la générosité. La prise de la Bastille, la Commune, la Libération, la Coupe du monde 98… que sais-je encore : c’est à Michel qu’il faudrait poser la question. Parfois donc les événements subliment les hommes mais en général ce sont bien les hommes qui subliment les événements. Croire en la providence ou en la grâce dans ces rares occasions ce serait oublier bien vite Thuriot et de Launey, Brunel et Lecomte, Leclerc et von Choltitz, Zidane et Ronaldo et surtout le Peuple, immense abstraction faite de corps et de misères, de vraies rages et de faux espoirs, une abstraction bien rélle mais d’une réalité qu’on ne peut que trop rarement palper. Cependant quel instant béni celui où l’on se sent pour la première fois grandi de mille expériences, de mille humaines splendeurs, l’instant unique où l’on n’est plus seul, où l’on est éternel puisque l’on est aussi tous les Peuples à venir. Ah ! vertiges de la révolution ! Ivresse de la foule !
 
Mais Michel ne ressent rien de tout cela, il s’amuse d’un spectacle qu’il connait trop bien : celui de l’effervescence qui précède la rancœur ; seul le délai avant que la réaction ne se manifeste lui est inconnu : quelques jours ou bien quelques mois ? Enfin vous aurez compris que le second Empire n’a guère affligé notre héros, ou plutôt qu’il n’attend rien de mieux de cette période qu’il voit naître. De toutes façons il n’a jamais cru en la politique, enfin il n’a jamais cru que la politique puisse être de quelque utilité au peuple, peut-être parce qu’il ne comprend qu’à peine ce que la vie sociale demande de mesure et de mesures pour conserver un semblant d’harmonie, la beauté de ladite harmonie n’étant que question de goût. Il est donc bien plus sensible au spectacle des passions humaines qu’au sentiment d’une communauté d’espoir dans des temps nouveaux.
 
Alors il marche, tête haute et nue, il fend la foule, les couples béats et les attroupements guerriers, il bat le pavé d’un pas altier, son cynisme le grandit, il est immense d’indifférence ; oui, lui, est bien au dessus de tous ceux-là, parce qu’il est triste en fait alors que tous sont heureux. Et, alors que la joie est une mélodie intérieure, la tristesse est un cri qui n’attend qu’une oreille compatissante. C’est ainsi que cet homme seul et calme, marchant droit, insensible à tous ces élans de fraternité, ne peut qu’attirer la curiosité d’une de ces femmes pour qui toute forme d’excitation, même collective, se résume finalement aux élans du corps. Et c’est bien sûr ce qui arrive…
 
Il y’a, appuyée à une devanture, une de ces filles, arborant une indifférence dédaigneuse face à l’effervescence populaire. Elle en ressent les frissons, comme tous sur le boulevard, mais trop fière, trop orgueilleuse elle refuse de manifester son exaltation par des slogans révolutionnaires ou des démonstrations patriotiques. Aujourd’hui elle s’imagine plutôt en Charlotte Corday égorgeant Marat ou bien la cocotte d’un ministre, haïe du peuple, ou bien espionne au service des prussiens ; mais bêtement exaltée comme toutes ces mégères ? Ah, ça non ! Elle s’appelle Marie. Son père, un misérable, était homme à tout faire aux Halles, dans les faubourgs… homme à tout faire c’est à dire bon à rien. Alcoolique occasionnel, violent, aigri contre tous il est mort d’une glissade, comme chante l’autre, quand elle avait douze ans. Sa mère est modiste, elle a quelques clientes honnêtes, des petites bourgeoises fidélisées par son sérieux et son application. Elle aime profondément sa mère mais sa misère, cette vie de désespoir qui n’est qu’une attente résignée de la mort, ont fini par la dégoûter. Cette femme humble, qui s’est toujours consacrée à ce qu’on lui disait être ses devoirs, a fini par représenter pour elle un spectre indicible : la misère, la misère, la misère, le maître mot de cette époque. Alors un matin elle s’est enfuie, il y’a deux ans de cela, et depuis elle vit au jour le jour, fille des faubourgs, mais fille de la misère surtout, libre mais pieds et poings liés, folle de rêver plus haut que sa classe. Elle a déjà en elle les germes de cette maladie immonde qui la tuera bientôt, laissée en guise de pourboire par un bourgeois encanaillé d’un soir. Elle en mourra seule, dans un dispensaire de banlieue minable, abandonnée de Dieu, des hommes et d’elle même, à moitié folle, ressassant des contes pour petite fille, de ceux qui parlent de princesses et de fées.
 
Rusée comme le sont ses semblables, élevées dans les vices de leur milieu, elle ne va avoir aucun mal à profiter de la naïveté de notre héros. La voilà donc qui l’aborde franchement et gaiement, sourire aux lèvres et poitrine battante :
« On dirait que ça ne vous fait rien à vous ! Ah tous ces fous qui courent, qui s’affolent parce qu’on leur a changé leurs maîtres… Moi peu m’importe le maître pourvu que j’ai l’ivresse… » Elle lui chuchote à l’oreille : « Mon plaisir s’accomoderait bien d’un roi… ». Cette audace insensée, cette force de caractère et puis surtout cette jeune gorge qui palpite à portée de main ont déjà réchauffé les sens de notre héros. Lui qui n’était qu’un promeneur blasé devient aussitôt le plus sarcastique jouisseur, pour peu que cette mignonne puisse se laisser apprivoiser bientôt : « Tu les vois, petite, s’agiter en tous sens sans raison ? L’odeur du sang, le parfum de la gloire et euhhh… » il se relève heureusement bien vite de cette défaillance de son éloquence pour conclure piètrement : « enfin il y’a d’autres passions que celles de la politique ». Envolée faible mais suffisante pour étourdir une âme déjà conquise. « Monsieur, prenez mon bras et marchons un peu avec ces drôles… »
   
Pas la peine de s’attarder plus longtemps sur cette ballade complaisamment sarcastique, étonnament fraîche et joyeuse pourtant ; ils marchaient tous deux, passagèrement amoureux, heureux comme tous les autres autour d’eux, ils s’enivraient un peu de ce qu’ils croyaient être leur désir et qui n’était rien d’autre que le souffle torride et glacial de la révolution. Leur histoire se finit comme elle se devait dans un pauvre meublé, dans la sueur et la frustration d’une relation sans grandeur. Monologue du plaisir, effort de la jouissance, désarroi du quotidien. Elle n’osa rien lui demander, il n’osa rien lui proposer, ils se quittèrent ainsi déçus d’eux-mêmes. De même finirait trois mois plus tard la Commune de Paris…
 
Mais le soir même, alors que Michel, rêvassait allongé sur une couche étroite, alors qu’il essayait vainement de faire le point sur cette journée d’agitations, Elle entra brusquement dans la pièce et, comme folle : « Comment as-tu osé ? Misérable, ta vie s’arrête donc au bout de ton gland ! Tu vas mourir maintenant !». Avez-vous déjà vu votre échafaud se dresser au fond du regard qui va vous consumer dans un instant ? Avez-vous déjà senti le souffle frigide de la mort vous envelopper ? Avez-vous déjà perçu la frontière entre l’être et le néant au pied de votre lit ?


Message édité par lfcclb le 20-12-2007 à 17:14:09
n°13573401
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 20-12-2007 à 17:35:58  profilanswer
 

ah voila j'ai corriger  sa doir être mieux nan ???
 
 
 
 
 
 
 
             le peuple de l'eau
                   
 
       
Depuis tout petit déjà Jinko rêvait de quitter sa terre natale, mais jamais il n'en avait eu l'occasion. Craignant la réaction des shraniens. Mais quand Lynx était arrivé dans Shrana, et qu’il fut accusé d'être la réincarnation du mal, il fut immédiatement mis à mort. Ils s'étaient enfuis vers les mers infranchissables, mais les mers étaient énervées et elles décidèrent de tuer les deux fuyards.
Jinko et Lynx tombèrent dans l'eau glacée, Jinko avait ouvert les yeux et regardait Lynx tomber dans le fond noir des mers, bientôt celui-ci disparut, Jinko était sur le bord de l'évanouissement. Il essayait en vain de remonter à la surface de l'eau mais quelque chose l'en empêcha, l'esprit des mers se tenait devant lui, cette esprit était laid, mais avait une certaine beauté. Il ressemblait vaguement à un humain mais il avait un visage plus large, les traits de son visage était mous, si mou qu’on aurait dit qu'il était élastique. Ses oreilles était longues, semblables à celles des lapins mais en moins pointues, et de sa bouche sortait deux dents pointues qui rappelaient les canines des loups mais de tailles différentes. Il était grand et il portait un casque sur sa tête.
Jinko le regarda longtemps et il s'évanouit.
 
Le soleil était chaud, trop chaud, le vent manquait et le chant des oiseaux était différent de ceux de Shrana, trop surréaliste songea Jinko; il avait trahi son pays et il allait aller en enfer, bien qu'il n'y croit pas. Ce qui l'étonna le plus, se fut le tapis de mousses et de lichen sur lequel il était couché. Alors, doucement, tout doucement, il ouvrit un œil puis l'autre, il sursauta en voyant un homme penché vers lui, alors il lui demanda :
- Je suis mort ?
- Tu as failli, répondit l'homme que Jinko baptisa sourire hideux.
- Où suis-je ?
- Tu es chez le peuple de l'eau, comment t'appelles tu ? demanda-t-il avec une politesse inébranlable.
Il hésita à répondre. À l'heure qu'il est, Shrana devait le rechercher pour complicité d'évasion. Soudain il réalisa : Lynx l'avait-il sauvé de leur noyade périlleuse ? D'un coup il se leva, mais il retomba vite car il avait peut de force, sourire hideux le regardait avec un air mélancolique.
-Je… balbutia-t-il. Je m'appelle Jinko et j’ai échoué avec mon compagnon L... Lytael. Mieux valait mentir sur le nom de Lynx car lui, Jinko, n'était pas connu mais Lynx était un nom malsain et maudit et il craignait la réaction du peuple de l'eau
-Je n'est trouvé que toi en pêchant du poisson.
Jinko en avait mal au ventre, il était mort bien qu'il n'ait voyagé que quelque temps avec lui, il éprouvait une certaine honte.
- Tu ne me demandes pas mon prénom ? A quoi penses-tu ?
 
- Comment fais-tu pour pêcher sur les mers ? Et quel est ton nom ?
 
- Je m'appelle Sardâkah, mais mon surnom est sourire radieux. Les mers ne sont pas agitées pour le peuple de l'eau : elles paraissent molles, un peu comme le dieu de ses mers. En disant ses mots, il regarda Jinko d'un œil perçant, mais Jinko l'ignora, Lynx était sans doute mort.

n°13573798
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 20-12-2007 à 18:16:04  profilanswer
 

euh... Vous comprenez ????

n°13577941
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 21-12-2007 à 10:19:07  profilanswer
 

youna and jinnas a écrit :

euh... Vous comprenez ????

Tu vois que tu peux corriger tes fautes ! :D (la plupart en tout cas...)
 
Ca devient lisible, mais à certains endroits tes phrases manquent de sens ou sont carrément absurdes : "cette esprit était laid, mais avait une certaine beauté" :heink: Je ne suis pas sûre que tu recherchais l'oxymore dans cette phrase...


Message édité par tigrou_bis le 21-12-2007 à 10:19:26
n°13581259
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 21-12-2007 à 16:16:43  profilanswer
 

Bah tu as jamais vu quelque chose que tu trouver laid, mais qui  à l'interieur de lui même avait une certaines beauté, un peut comme un rose   .Il y en  as qui trouve sa  laid mais les roses on en elle m'aime on une beauter  ,même si on les trouves pas belles ( ce qui est mon cas ^^ )

 


Je ne connais pas le definition l'oxymore :s::s:s  :)

 


Message édité par youna and jinnas le 21-12-2007 à 17:50:37
n°13582276
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 21-12-2007 à 18:16:09  profilanswer
 

Je suis la base de la relation humaine.
Base de toutes vies sereines.
 
Un homme peut m'accorder à une seule personne !
Si l'homme en question,
Vient alors de perde raison,
Je suis la première chose en qui son coeur raisonne.
 
Je suis très lunatique.
 
Parfois, je ne suis qu'un don superficiel.
Parfois, je cause de graves maladies démentielles.
Parfois, je suis intense source de bonheur
Ou de jalousie.
 
Mieux vaut ne jamais me connaître,
Que de vraiment me perdre un jour.
Considérez moi comme l'égale de l'Amour
Car ma perte peut vous coûtez la vie !
 
L'Amour est mon égale je le reconnais.
Mais à un détail prêt :
L'Amour est un fléau ravageur,
Moi je ne peux détruire de coeurs.
 
Je n'ai pas de prénom, pas d'avatar.
Je ne suis l'inventeur que de belles histoires.
N'avez vous toujours pas deviné qui je suis ?

n°13586736
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 22-12-2007 à 06:42:36  profilanswer
 
n°13587304
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 22-12-2007 à 12:10:57  profilanswer
 

Ok   :lol: :d.....

  

Mais dPca tu ne comprend pas ce qu'il as marquer çi dessus ????:'(


Message édité par youna and jinnas le 22-12-2007 à 13:48:12
n°13592378
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 23-12-2007 à 13:45:00  profilanswer
 

Je voulais savoir , combien de pages doit faire un chapitres ???
 

n°13592537
Toonnette
Posté le 23-12-2007 à 14:19:21  profilanswer
 

Au minimum une...


---------------
Sans la musique, la vie serait une erreur.
n°13592826
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 23-12-2007 à 15:28:17  profilanswer
 

Une quoi??? :p


Message édité par youna and jinnas le 23-12-2007 à 16:39:42
n°13593156
Toonnette
Posté le 23-12-2007 à 16:54:20  profilanswer
 

Ecoutes, si tu es ici pour poser des questions stupides sans réfléchir par toi même tu peux t'en abstenir.
Si tu avais autant lu que tu le dit, tu saurais que les chapitres n'ont pas de nombre de pages défini, sauf chez Harlequin.
 
Et quand je disais "Au minimum une" c'était de l'ironie parce que personne ne peut dire combien de pages doit faire un chapitre.


---------------
Sans la musique, la vie serait une erreur.
n°13593461
boc21fr
Posté le 23-12-2007 à 18:01:22  profilanswer
 

Amibe_R Nard a écrit :


 
Salut
 
police : Times New Roman  (à cause des empattements)
Taille : 14
interligne : double !
 
Oui, ça fait quelque chose d'énorme, mais il ne faut pas oublier que ta page A4 va se transformer en une page inférieure au A5 par un procédé mécanique.
 
Avec un numéro de page + ton nom + le titre de ton livre (en entête ou en bas de page)
Histoire que, si ton manuscrit est renversé malencontreusement, tout le monde puisse le remettre dans l'ordre.
 
En première page
Le nombre de mots
Le nombre de lettres (Fichier/propriétés/statistiques sous Word)
 
Pour que l'éditeur sache aussitôt combien de pages va prendre le livre.
 
Au passage, le titre en gros au centre de la page, ça ne mange pas de pain.
Le Copyright, avec le nom et le prénom, plus le mois et l'année. (en cours, c'est bien :-) )
 
En haut à gauche, votre nom, votre adresse, tel, mail  (une lettre ça se perd)
Un manuscrit c'est plus gros, moins de chance qu'il ne s'échappe.
 
On évite le brochage, chaque éditeur a sa propre façon de faire... et il peut fort bien distribuer le manuscrit photocopié à plusieurs lecteurs.
En plus, ça coûte déjà assez cher.
 
 
Oui, les frais de poste vont se révéler chers. Et votre manuscrit ne vous sera pas forcément renvoyer, ça coûte cher à l'éditeur aussi.
 
C'est un investissement, alors autant s'assurer auprès d'autres lecteurs que votre livre vaut le coût ! :)
 
Et bien sûr, on garde un exemplaire pour soi, et on vérifie d'avoir trois sauvegardes numériques, avec une sur CDRW ou DVDRW, clé USB... des fois que, votre texte soit accepté dans les deux années à venir.
 
Réponse probable dans six mois ou un an, si ce n'est pas deux. ;)
La genèse d'un livre est longue. Celle de sa sortie en librairie rajoute de un à deux ans, après acceptation.
 
Donc on continue à écrire. Pour être prêt. Si le premier texte est accepté, il en faudra sans doute un pour l'année qui suit.  
Plusieurs auteurs n'ont pas été sélectionnés avant leur quatre à cinquième titre (Amélie Nothomb par exemple). A se demander si les éditeurs n'ont pas une base de données pour vérifier si l'auteur est capable d'écrire sur la durée ou non, s'il est capable d'insister ou pas.
On investit sur un cheval qui en veut !
 
Bon courage à toi.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard


 
Oui...bon...entièrement d'accord avec toi...
Juste tout de même un petit ajout car tes conseils s'adressent exclusivement à une publication chez un GROS éditeur...
Avec un petit éditeur, la réponse peut-être bien plus rapide et la publication aussi...
Je ne reviendrai pas sur les inconvénients qu'il y a à faire éditer un ouvrage chez un petit éditeur (peu d'ouvrages imprimés et encore moins de diffusés chez les libraires, peu de droits d'auteurs...) d'autres que moi l'ont déjà fait...
Mais sincèrement, si vous aimez vraiment écrire...
Eh bien ne restez pas seuls...
Cela fait deux fois que je l'écris, mais c'est si important...
Rencontrez ceux qui font vivre le livre dans votre région. Le CRL (centre régional du livre) est généralement fait pour cela...il vous donnera la liste des petits éditeurs de votre région ainsi que leur spécialité (pas la peine d'amener une nouvelle de SF ou un roman à un éditeur qui fait du régionalisme ou des livres de cuisine par exemple).

Message cité 1 fois
Message édité par boc21fr le 23-12-2007 à 18:02:54
n°13600310
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 24-12-2007 à 14:12:28  profilanswer
 

Oui j'ai lu autent que je le dit , et des livres differents je ne me vois pas faire un chapitre de 10 pages comme de une page ..
tu vois il y as toujour un mots qi definis le nombre de page comme " environ" tu vois je c'est très bien que dans tel livres les chapitre font 50 pages et dans d'autre 10 ...  

n°13600575
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 24-12-2007 à 14:55:42  profilanswer
 

MOI JSUI PRESKE ARRIVER A LA FIN DU 1er chap ya environ 8 a 10 pages

n°13600586
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 24-12-2007 à 14:56:33  profilanswer
 

mais c ke l'histoire du début quoi

n°13600716
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 24-12-2007 à 15:16:00  profilanswer
 

POUR R2SUMER YA KAN LE prophete y di sa prophetie
et kan le convoi armé part dans le but d'ammener l'enfant de la prophetie  
et kan la 1ere bataille du livre a lieu entre l'empire et les elfes  
et kan l'ami de silmarilla les eberge
et kan la capitale de firtalia tombe
et kan silmarilla rejoint les siens  
et kan ils decident comment ils vont faire pour atteindre les montagnes  
et kan a lieu la 3e bataille pour les dryades  
et kan ils arrivent a la porte bloker
et kan a lieu la 4e bataille avec les goblin les dragons les dryades et les elfes

n°13600851
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 24-12-2007 à 15:38:35  profilanswer
 

Sa resemble pas un peut au seigneur des anneaux ??? /S

n°13601974
Amibe_R Na​rd
Posté le 24-12-2007 à 18:53:15  profilanswer
 

boc21fr a écrit :


 
Oui...bon...entièrement d'accord avec toi...
Juste tout de même un petit ajout car tes conseils s'adressent exclusivement à une publication chez un GROS éditeur...
Avec un petit éditeur, la réponse peut-être bien plus rapide et la publication aussi...
Je ne reviendrai pas sur les inconvénients qu'il y a à faire éditer un ouvrage chez un petit éditeur (peu d'ouvrages imprimés et encore moins de diffusés chez les libraires, peu de droits d'auteurs...) d'autres que moi l'ont déjà fait...
Mais sincèrement, si vous aimez vraiment écrire...
Eh bien ne restez pas seuls...
Cela fait deux fois que je l'écris, mais c'est si important...
Rencontrez ceux qui font vivre le livre dans votre région. Le CRL (centre régional du livre) est généralement fait pour cela...il vous donnera la liste des petits éditeurs de votre région ainsi que leur spécialité (pas la peine d'amener une nouvelle de SF ou un roman à un éditeur qui fait du régionalisme ou des livres de cuisine par exemple).


 
 
Bonjour Boc21fr
 
Ne pas rester seul est le B.A.BA de l'auteur  :)
 
Pour être lu, pour savoir ce qui existe alentour, les opportunités d'écriture, etc. il vaut mieux avoir plusieurs oreilles attentives, et une centaine d'yeux  ;)
 
 
Pour les délais, même les petits éditeurs peuvent être surbookés. L'un d'eux était invité à un colloque où je me suis rendu... et il a quand même mis deux ans pour répondre favorablement à un auteur. Depuis, il s'est rattrapé en publiant deux autres albums jeunesse du même auteur.
 
Mais quand même : deux ans !
 
Sauf si votre texte est génial, et qu'il explose l'ordinaire, c'est un délai normal dans le monde de l'écriture. Ça permet de relativiser le temps... et d'éliminer toute précipitation lorsqu'il s'agit d'envoyer son texte à l'éditeur. (grand ou petit)
 
Et surtout de continuer à écrire  :)
 
Parce que, putain c'est long deux ans, disait une marionnette sur Canal + !  :o
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard (qui vous souhaite un bon Noël à tous)

n°13602314
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 24-12-2007 à 19:59:23  profilanswer
 

Bon joyeux noel a tous et a toute passer un moment merveilleux en famille ou entre amis ..

n°13606497
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 25-12-2007 à 20:08:26  profilanswer
 

pour youna and jinas
 
ba oai un peu mais pas tro moi jvoi pa en koi sa ressemble au seigneur des anneaux parceke moi les humains et les elfes y s'entendent pas tro
ya aucune ville ki tombe au main de lennemi meme pa le gouffre de elm mai preske minas thirit

n°13606511
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 25-12-2007 à 20:11:50  profilanswer
 

en fait jai un peu fai sur lexemple d'eragon et pour les dryades celui des ents

n°13606522
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 25-12-2007 à 20:15:02  profilanswer
 

hey bientôt nouvel an jvous souhaiterai a tous bonne année et jvous souhaiterai aussi de bien vous amuser

n°13607806
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 26-12-2007 à 00:26:26  profilanswer
 

J'ai absolument rien compris ( et ses moi qui dit sa lol) :d

n°13608465
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 26-12-2007 à 06:27:53  profilanswer
 
n°13609416
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 26-12-2007 à 12:08:16  profilanswer
 

Ici je pense que un grand nombre on lut Narnia non :s ??
Si vous l'avait lu vous avez était choquée des commentaires ue laisée l'auteur tout au long de l'histoire ???

n°13610032
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 26-12-2007 à 14:03:57  profilanswer
 

je l'ai pas encore lu moi je suis en plein eragon les chevaliers d'emerauds (dont je fais la collection) et le monde d'ewilan

n°13610047
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 26-12-2007 à 14:06:37  profilanswer
 

YA KELKUN KI VEU LIRE LE DEBUT DE MA FANTASY ?

n°13610246
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 26-12-2007 à 14:36:47  profilanswer
 

moi.
nallewir vazy ( lol) passe on histoire


Message édité par youna and jinnas le 26-12-2007 à 15:02:24
n°13610369
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 26-12-2007 à 15:01:24  profilanswer
 

Ma parole nallewir c'est que nous avons les même gout ( appart ewilan je n'aime pas pierre bottero) . J'ai lut eragon 10 fois et les chevalier 2 fois de chaque ( bref en s'en fous) .
Mais je me demande toujour si laisser des commentaires dans un roman et genant ( moi sa me gene pas du tout mais vous je l'ignore) Je donne un exemple ( pour ce qui on pas comprit).
: Aradon ne se rappelait que des detail du rêve ( n'oublions pas que vous cher lecteur vous avez vus tout les detail du rêve et pas Aradon). Vous voyez des commentaire comme sa ces genant??

n°13610629
Tyler
Posté le 26-12-2007 à 15:57:05  profilanswer
 

C'est quoi ce topic "Ecrire un livre" où les gens savent pas écrire correctement? Un troll caché? [:poooop]

mood
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