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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°13486677
Gambzzz
Posté le 10-12-2007 à 19:14:51  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Salut à tous, écrivains en herbes, amateurs confirmés, et auteurs de best-sellers. :hello:  
J'avais posté un extrait de mon roman il y à déjà un moment.  
Depuis j'ai bien avancé, j'ai bientôt fini le chapitre 13 (sur 18) :D. J'ai tenu compte de vos conseils (surtout les tiens Amibe_R Nard) tout en développant mon style assez sinueux.
Voilà, c'était juste pour venir faire un petit tour sur cet excellent forum, plein de conseils pratiques, utiles, nécessaires et même indispensables.
Quand j'atteindrai la fin de mon roman je posterai encore des extraits si vous le souhaitez,
A+ ;)

mood
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Posté le 10-12-2007 à 19:14:51  profilanswer
 

n°13487233
Mitch-mitc​h
Bye
Posté le 10-12-2007 à 20:13:12  profilanswer
 

Je n'ai pas encore écris de romans mais je voudrai savoir comment faire des chapitres dans un livre. Qu'est ce qui coupe un chapitre d'un autre ? Quel est la transition ? Un changement de date ? de Lieu ?


---------------
La modèration de ce forum est stupide, je lui pisse au cul. Salut.
n°13489293
sico15
Posté le 10-12-2007 à 23:18:38  profilanswer
 

Mon conseil mitch mitch : ne fais pas de chapitre, fais un découpage type Misery (de Stephen KIng). Au cas où tu n'as pas ce bouquin : une fois que tu sais un peu comment vas se dérouler ton roman, pas dans le détail, mais suffisamment pour faire un découpage global, tu divise ton roman en deux à quatre parties, chacune pouvant englober un lieu précis, ou un personnage par exemple. Ensuite, à l'intérieur de ces parties, numérote 1, écrit ton ou tes paragraphes, et quand tu sens que sa part vers autre chose (autre action, lieu, ect), tu saute une ligne tu écrit 2, et paffe tu écrit.
Avantage : tu laisse beaucoup plus de liberté à tes idées, cela évite une planification à outrance. on a tendance à vouloir faire des chapitres à peu près équilibrés, (pas un qui fait deux pages et un autre 14 pages), du coup on se demande comment on va découper, qu'est-ce qu'on va mettre dedans.
Si tu préfère, ce type de découpage permet à tes "chapitres" de suivre le cours de l'histoire et non pas l'inverse.
autre avantage : si tu découpe de cette façon, il n'y aura pas de honte à avoir des parties déséquilibrées.

 

"coucher ses idées sur le papier" , ça peut paraître cul cul comme façon de voir l'écriture, mais cela permet de t'affirmer. Si tu écris ton truc sans te demander dès le départ dans quel chapitre ça ira, tu écriras un texte brut, avec ton propre style, ensuite tu remanie ton texte pour qu'il atteigne une certaine qualité. le risque des chapitres, c'est de se mettre à écrire dans le désordre, parce qu'on sait "ce qui va sse passer ensuite",
résultat : ton écriture tiens plus d'un genre de disserte où tu organises tout plutôt que d'un texte avec une âme.
fais des chapitres si cela te rassure, mais je te conseillerais de laisser aller la machine, tu verras quand tu auras terminé ton roman pour le mettre plus en forme.

 

je me suis lancé il ya trois jours dans un roman de fantasy (c'est ce qui s'appel retourner sa veste), j'y avait réfléchi une petite semaine auparavant, et là j'en ai écrit 18 pages sans chapitrer. J'ai juste divisé mon roman en trois grandes parties.

 

mettre par écrit des résumés de chaque chapitre et tout ce qui s'en suit
c'est pratique pour le genre policier.
Si tu t'autorise une écriture plus libre, tu ne te colles pas à ton histoire initiale, et ton roman peut mûrir, voire s'améliorer  au passage.
 Bref, j'ai encore écrit une tartine, excusez moi.


Message édité par sico15 le 10-12-2007 à 23:24:06
n°13500236
san marco
tune up - turn loud
Posté le 11-12-2007 à 23:57:57  profilanswer
 

en fait chacun a sa regle qui lui convient pour la cosntruction de son récit.
faut juste savoir où on va.

n°13503625
sico15
Posté le 12-12-2007 à 13:32:55  profilanswer
 

Oui, savoir où on va, t'as raison

n°13504078
youna and ​jinnas1
Posté le 12-12-2007 à 14:15:44  profilanswer
 

Généralement quand tu écrits, année en année  on ameliore nos écrits  et nos idder fuse mieux, enfain souvent c'est comme sa ( Pour moi par exemple ) .
On est vraiment obligé de écrire avec roman je trouve ue les livres sont toujours écrits avec la même écriture en même temps j'aime pas l'écriture italique mais je suis sur que il y as une écriture mieux que roman ( pour changer  )
.
Et je voulais savoir mettre des pirates dans un livres de fantasy c'est pas un peut special ????
Bien sûr  en fesant le necessaire pour s'éloigner de pirate des caraibes .

 

Voili voilo j'ai tout dit merci beaucoup  a+  ^^

 


youna


Message édité par youna and jinnas1 le 13-12-2007 à 07:10:46
n°13510278
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 13-12-2007 à 06:37:24  profilanswer
 

On a l'impression de lire la fille à Van Damme...

n°13510306
youna and ​jinnas1
Posté le 13-12-2007 à 07:10:12  profilanswer
 

Je connais pas ^^

n°13515353
sico15
Posté le 13-12-2007 à 18:38:52  profilanswer
 

Jean Claude Van Damme c'est un acteur américain d'origine française, si je me trompe pas, et à force de parler plusieurs langue à la fois, il s'est mis à parler bizarrement, en mélangeant des termes ("faut être aware" ), et ça lui arrive fréquemment de parler de manière incompréhensible.
 
Ca fait un peu comme toi youna, des fois tu postes des messages normaux des fois (comme pour ton dernier message), c'est incompréhensible.
 
pour toi exemple : "On est vraiment obligé de écrire avec roman je trouve ue les livres sont toujours écrits avec la même écriture en même temps j'aime pas l'écriture italique mais je suis sur que il y as une écriture mieux que roman ( pour changer  )" cette phrase ne veut rien dire.

n°13516003
simouu
equipe serpentard
Posté le 13-12-2007 à 19:48:35  profilanswer
 

sico15 a écrit :

Jean Claude Van Damme c'est un acteur américain d'origine française, si je me trompe pas, et à force de parler plusieurs langue à la fois, il s'est mis à parler bizarrement, en mélangeant des termes ("faut être aware" ), et ça lui arrive fréquemment de parler de manière incompréhensible.
 
Ca fait un peu comme toi youna, des fois tu postes des messages normaux des fois (comme pour ton dernier message), c'est incompréhensible.
 
pour toi exemple : "On est vraiment obligé de écrire avec roman je trouve ue les livres sont toujours écrits avec la même écriture en même temps j'aime pas l'écriture italique mais je suis sur que il y as une écriture mieux que roman ( pour changer  )" cette phrase ne veut rien dire.


Belge  [:aloy]


---------------
"Je préfère jouer à la play qu'en D2 à Sochaux"
mood
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Posté le 13-12-2007 à 19:48:35  profilanswer
 

n°13516170
sico15
Posté le 13-12-2007 à 20:07:28  profilanswer
 

oups, dsl pour l'erreur

n°13519397
youna and ​jinnas1
Posté le 14-12-2007 à 07:22:04  profilanswer
 

Euh désoler en faite j'écris un peut dans le stresse ,^^'  de peur de me faire voir en train d'écrire ^^ ( je n'est plus le droit de trainer sur se forum donc je me relis pas quand j'écrit ^^.)


Message édité par youna and jinnas1 le 14-12-2007 à 07:23:34
n°13519402
youna and ​jinnas1
Posté le 14-12-2007 à 07:26:02  profilanswer
 

En effet je viens de me relire sais pas " emfrais du tout" ( un peut d'humour ) je m'escuse en faite je demandais : sommes nous  obligé d'écrire  avec l'écriture roman et  pensez vous que c'est bien de mettre des pirates dans un monde de fantasy sans que sa resemble à pirates des caraibes ????euh... vous comprenez ????

n°13524709
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 14-12-2007 à 17:41:59  profilanswer
 

youna and jinnas1 a écrit :

euh... vous comprenez ????

 

non  :o


Message édité par -redmoon- le 14-12-2007 à 17:42:14
n°13524929
youna and ​jinnas1
Posté le 14-12-2007 à 18:07:48  profilanswer
 

Put.. °^°^  alors je demander: si on pouvais utiliser une autres écriture que roman et compagnie et  mettre dans un livre fantasy des pirates ces pas tros bizarre ??? ( sans que sa resemble à pirates des caraibe)
 
 
il faut pas y mettre de la mauvaise foir aussi ^^

n°13524947
san marco
tune up - turn loud
Posté le 14-12-2007 à 18:10:08  profilanswer
 

ben tu passe du coq à l'ane dans la meme phrase, tu construis tes phrases bizarrement si bien qu'on en arrive pas à extraire l'information

n°13525025
sico15
Posté le 14-12-2007 à 18:19:43  profilanswer
 

Je capte rien à ta question. Reformule.

n°13525326
youna and ​jinnas1
Posté le 14-12-2007 à 18:57:38  profilanswer
 

C'est pas compliquer je demande si écrire avec  l'écriture roman c'est conseilé ou pas  et si  mettre des pirates dans une dimension de fantasy c'est genant   ( sans imiter pirates des caraibes)  d'accord c'est dit bizzaremmentttttt mais on saisi parfaitemment le sens okay !!!!!

  

Bon j'ésper que cette fois VOUS COMPRENER.    ( bref cette fois je suis claire , en faite j'ai remarquer pourquoi je m'embrouille aussi pndant que je vous écrit je pense carrément à autre chose mais alors totalemment  à autres chose  que defois même j'écrits e que je pense à la seconde pret ^^ merci de ne pas commencer un nouveau topic à se sujet .)

 


Message édité par youna and jinnas1 le 14-12-2007 à 19:03:57
n°13526545
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 14-12-2007 à 21:38:39  profilanswer
 

Citation :


celdasco a écrit :

Bon, voila un extrait. désolé si il y'a des fautes. je ne pense pas, j'ai corrigé au fur et a mesure.Et ceci n'est pas un chapitre, seulement l'extrait de début.Et Popeye, si tu pouvais être plus clair dans tes messages...
Pour l'histoire, ce n'est pas de l'héroic-fantaisy. C'est du réel, j'usqu'a ce que le(s) héros(ïne)  
atteignent l'Irlande.Bonne lecture! :)  
 
Paris, 1948. Après-guerre
  La porte de la bibliothèque claqua. Tel une furie, le surveillant bondit dans la salle et interrompit l’orphelin en pleine lecture.
 − Encore là, toi !
L’enfant sursauta et vit Monsieur Rabot, écumant de rage. A son regard flamboyant, Gwenaël su tout de suite qu’il aurait de gros ennuis.
 − Tout les élèves doivent être dans leur lit a neuf heures ! aboya le pion C’est la troisième fois en deux semaines que je te prends en train de lire alors qu’il est dix heures passées !Tu vas avoir des ennuis, petit.
Destination : le bureau de Monsieur le Directeur !
Il prit brutalement le bras de Gwenaël et le traîna dans le couloir.
 − Non, pitié m’sieur, pas chez le Directeur ! S’il vous plaît ! J’entretiendrais le dortoir pendant un mois, je copierais des lignes ! Mais pitié, pas chez Monsieur le Directeur !
 − Ras le bol de vos conneries. Cette fois, pas de sursis. Je veillerais a ce que tu finisse au cachot pendant au moins une semaine !
  Sur ces mots, il mit a Gwenaël une bonne paire de baffes et le mena a la partie la plus haute de l’orphelinat, le clocher, servant d’appartements au Directeur, sourd au lamentations de l’enfant.  
Ils empruntèrent bientôt l’escalier en colimaçon permettant d’accéder au bureau du directeur de l’établissement. Arrivé devant la porte, Monsieur Rabot frappa à la porte à l’aide du lourd heurtoir de bronze.
 − Qui est-ce ?
 − C’est moi, Monsieur Rabot. Je vous amène un récalcitrant !
 − Entrez, je vous prie.
Le surveillant poussa Gwenaël devant lui en grognant un ordre au jeune garçon.
 − Je l’ai surprit en train de lire dans la bibliothèque. C’est la troisième fois en deux semaines.
Si je peux me permettre, j’aimerais vous formuler une requête.
 − Laquelle ?
 − Je demande pour ce garnement au moins une semaine de cachot.
 − Que lisait-tu quand tu t’es fait prendre par Monsieur Rabot ?
 − Un livre sur l’Irlande.
 − Je me ferais un plaisir de te le restituer. Tu en en auras bien besoin de toute manière.
 − Oh, merci ! fit Gwenaël Mais pourquoi en aurais-je tant besoin, Monsieur le Directeur ?
 − Parce qu’il t’occupera pendant tes deux semaines au cachot.
Le sang du jeune homme se glaça et le surveillant intervint :  
 − Mais Monsieur ! Ce vandale ne doit pas avoir de divertissements au cachot ! C’est vous même qui avez imposé cette règle !
 − Rassurez vous, ce n’est pas pour lire que ce gamin aura son livre au cachot, c’est pour le recopier…
 
 
  L’Irlande était appelée par les Anciens, l’île d’Erin. La religion de cette île était polythéiste, elle comportait une foultitude de dieux différents, dont Lug, Dagda et bien d’autres. − Quelle peau de vache, ce Rabot. Me filer un bouquin soporifique à la place de l’autre…
Gwenaël suait a grosses gouttes.  La chaleur de la petite pièce était intenable. Contrairement aux cachots classiques, celui-ci n’était pas dans les sous-sols mais au deuxième étage. Il n’y avait aucune fenêtres et aucun meubles, exempté une chaise inconfortable, un pupitre et ce que l’on aurait pu appeler un lit si il y’avait eu ne serait-ce qu’une paillasse faisant guise de matelas. Non, ce n’était pas un lit mais une planche de bois posée à même le sol. C était toujours plus confortable que les pavés rebondis  sur lequel il était fréquent que les punis se tordent une cheville.
L’Irlande était et est toujours divisé a quelques choses près en cinq régions : le Leinster du Nord, le Leinster du Sud, le Munster, le Connacht et l’Ulster. Actuellement, le Leinster du Nord et celui du Sud ne font désormais plus qu’un. En revanche, l’Ulster est devenu depuis une contrée appartenant au Royaumes Unis.− Mais je le sait, que les deux Leinster ont fusionné ! Ce serait bien le diable si je ne connaissais pas la géographie de mon pays d’origine !
Il repensa aux événements qui l’avaient amené ici. Le coup classique : sa mère meurt, laissant seul Gwenaël et son père. Celui-ci, deux ans après, pour des raisons obscures, celui-ci se voit enlever la garde de son enfant avec interdiction de le revoir. Gwenaël, alors age de six ans est placé en  pension, à Paris. Son père, fou de chagrin, se jeta du haut d’une falaise trois mois après l’entrée de son fils en pension. Le jeune garçon se retrouve donc à l’orphelinat du Clocher de la Lune, dans un bourg aux alentours de la capitale.
Il fût brusquement tiré des ses rêveries par une voix moqueuse qui s’élevait de derrière les barreaux :
 − Alors Gwenaël, on parle tout seul maintenant ?
 − Fiche moi la paix, Jules.
Sourd a sa remarque, le dénommé Jules continua :  
 − C’est pas gentil, gentil ce que tu disais a propos de Monsieur Rabot, n’est-ce pas ?
 − C’est bon, tout le monde l’appelle comme ça.
 − J’ai deux cent lignes à copier. Si tu les faits a ma place, je ne te dénoncerais pas à Rabot.
 − D’accord, de toute façon, c’est mieux que de faire trois jours de cachot en plus.
Jules eu un sourire satisfait, indiqua à Gwenaël la phrase à recopier et tourna les talons. Ce n’était pas commode de se frotter a lui : il était fort comme pas deux et était aussi solide qu’un roc. Il avait des yeux verts et une peau très blanche, ce qui lui donnait l’air d’un fantôme. Gwenaël était très frêle, au plus grand plaisir de ses camarades qui lui donnait leurs devoirs sous peine de gros ennuis…. Ils n’en disaient jamais plus, mais le jeune garçon se doutaient de ce qui lui arriverait si il ne se pliait pas a leurs volontés. Ayant un caractère assez fort, il tenait souvent tête à ses camarades, avant de finalement céder à leurs caprices. Aujourd’hui, il préférait mettre sa grande gueule de côté.
Chaque jours de ces deux semaines, il écrivit du matin au soir et s’endormait avec une affreuse douleur au poignet. Il eu tout le temps de réfléchir, pendant son séjour au cachot et concocta un plan ayant pour but de servir son rêve le plus cher : s’évader de l’orphelinat et rejoindre son pays natal par tout les moyens. Bref, il voulait rejoindre la terre d’Irlande.
Pendant les deux mois qui suivirent son long passage au cachot, il prépara tous les éléments nécessaires à accomplir son dessein. Il rechercha tout d’abord dans les archives de la bibliothèque un plan précis de l’orphelinat et l’appris par cœur. Il vola un petit atlas des environs et proposa ses services aux autres élèves pour faire leurs devoirs contre quelques pièces. Il eu tout de suite une bonne clientèle et dû instaurer un roulement : Il ne prenait pas plus de deux " clients " par jour. Il trouva même un système permettant à celui qui payait une taxe de passer en priorité. Gwenaël gagna rapidement trois cents francs en un mois et demi. Au cours des deux dernières semaines, il subtilisa des vivres dans la cuisine de l’orphelinat. Le grand jour approchait, dans quelques heures, il serait soit hors de cet orphelinat de malheur, soit dans le cachot tant redouté par les pensionnaires du Clocher de la Lune.
 
J'èspere que ça vous a plu.Mais pas trop pour que le plagiat ne valent pas le coup. :o


n°13526569
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 14-12-2007 à 21:41:19  profilanswer
 

hello jsuis nouveau et j'ai 12 en age
je commence un livre mais les noms si ca va pas ba je changerai et je peux vous montrer ce ke jai écrit ?

n°13527088
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 14-12-2007 à 22:25:08  profilanswer
 

Ce jour là il faisait une nuit d'encre ,il n'y avait pas d'étoiles mais de la brume à perte de vue .
Ce soir là un groupe de soldat armé jusqu'au dent entra dans le village de Grinestel pour y chercher le garçon de la prophetie .
Cette prophetie fut prédite par le maitre magicien Clastellir et elle disait :
   "Un garçon naitra ,il grandira et defiera les chefs ennemis et les fera tomber et ce même garçon sauvera des vies et arretera cette guerre ."
Mais, l'ennemis ,lui aussi était au courant de la naissance du garçon qui le detronera .
Il prépara son armée et la mit en route pour grinestel .
Il brula tout ce qui fut sur son chemin laissant giser des corps inanimés .
Ils ne rencontrèrent que peu de resistance .  
Mais il passa quand même et sa grande armée s'arreta devant le fleuve qui séparait les territoires libre a ceux qui furent occupé.
Les cavaliers chargés de récuperer l'enfant furent pris dans une embuscade et combatirent pour proteger le nouveau nait .
Les chevaux des cavaliers elfes moururent sous les coups ennemis .
La chef des cavaliers elfes , Silmarillia , chargea la première en décimant les rangs ennemis ,ses soldats en firent autant mais ils furent contraints d'arreter leurs progression à cause des hommes lézards qui se tenaient derrière .
Ces hommes lézards ne laissaient aucun survivants et étaient cannibales .
Tout de suit après que les elfes découvrirent les lézards ils reculèrent et laissèrent la place aux lézards qui sautaient sur leurs proie .
Bien que beaucoup d'ennemis tomba la bataille fut perdu d'avance car de géants ogres s'avançaient bousculant les autres guerriers .
Peu après nos elfes du moins c qu'il en reste se regroupèrent derrière les arbres pour tirer une volée de flèche qui s'abattit sur les géants .
Plusieurs tombèrent mais bien décidé à écrabouiller les elfes ,les ogres coururent en faisant trembler le sol sous leurs pieds et arrivèrent jusqu'aux elfes qui ne purent combattre au corps à corps même avec leurs lances parce que les ogres détruiraient leurs armes .
Un des guerriers elfes s'avança en criant "pour le seigneur et la terre ! yeah".
Les autres le suivirent mais furent battu par le nombre imposant d'ennemis .
Les paladins de l'est engagés par l'empire du chaos gagna .
La chef de la compagnie prit la fuite en emmenant le sauveur de l'empire dans ses bras.
L'enfant dormait à point fermé.
Déjà loin du lieu du combat la femme elfe conduisit l'enfant dans la demeure d'un homme dont elle avait confiance .
Elle n'emmenait pas l'enfant chez ses parents car le village de Grinestel brula et ses habitants moururent tous .
L'elfe fut obligée de quitter la route à cause des pillards gobelins qui attaquaient les convois pour rendre leurs contenu à l'empire du chao .
Le roi de Firtalia fut prévenu de la défaite et de la disparition de ses guerriers mais il savait au moins que l'ennemis n'avait pas trouvé l'enfant .
Alors il envoya ses troupes aux frontières pour contenir l'assaut de l'empire du chaos .
Le roi de Firtalia se nommait Chancery le pieux ,il portait une longue cape rouge et blanche et une armure de parade en or et argent ornée de pierre precieuse en dessous de son armure on voyait une tunique sur laquelle fut déssiné son blason .
A sa taille une ceinture tenait son fourreau incrusté de cristal .
De son fourreau dépassait la garde de sa longue tranchante et pointu épée .
Une couronne d'or surplombait sa tête .
Il habitait un gigantesque palais qui se situait dans le coeur de la capitale .
Ce palais fut bati sur une colline qui dominait la cité , les murailles construitent en zigzag permettait de rendre difficile l'assaut de cette forteresse .
Un profond fossé séparait le palais de la ville .
Un pont levis permettait le passage des douves .
Quatre tours de guets surveillaient les alentours du fort.
Le donjon abritait un cachot et la salle d'or ,là où le roi enfermait son argent.
La grande salle se cachait juste derrière la porte du palais et il y avait tellement de place que lors d'une fête le roi pourra inviter la moitié de la grande ville.
Mais en cette période de crise il ne pourra pas faire de fêtes parce que la moitié de sa grande armée fut parti en guerre et l'ennemi avance à grand pas .
Le roi est obligé d'élever les impots  et de recruter beaucoup d'hommes pour defendre leurs patrie .
 
 
La guerrière elfe arriva devant la maison de son ami :
 "Ouvre moi s'il te plaît !
 _Qui va là !? lui demanda l'homme.
 _C'est moi ,Silmarillia !! cria t'elle
 _ah !c'est toi ! entre ,dit -il en ouvrant la porte.
 _Il fait froid dehors .
 _Va donc te réchauffer la cheminer est par là .
 _Est-ce que je peux te présenter un enfant ?demanda t-elle
 _Biensur que oui! repondit-il
 _Il s'appelle nallewir .
 _bonjour mon petit bout de choux ! s'exclama t-il
 _où son ses parents ? l'interrogea t-il .
 _Bon je vais te dire un secret . J'ai confiance en toi tu ne dois le dire à personne ,compris ?  
 _Compris ! répéta t-il .
 _Cet enfant et le sauveur d'Iriankidiev . chuchota t-elle .
 _Combiens de temps dois-je t'éberger , s'informa t-il.
 _pas beaucoup de temps en tout cas.
 _J'ai une chambre là haut tu y dormiras le temps qu'il te faudra .
 _Merci beaucoup . "
Puis elle monta ses affaires et le petit sauveur .
Elle installa l'enfant attendit qu'il dorme et elle descendit souper;

n°13529008
youna and ​jinnas1
Posté le 15-12-2007 à 07:15:19  profilanswer
 

Les deux texte presenter sont genial

n°13529113
rampa99
Posté le 15-12-2007 à 09:32:22  profilanswer
 

"écrire avec  l'écriture roman c'est conseilé ou pas": tu parles surement de la police "Times New Roman"... Ben tu fais ce que tu veux, Times ou Arial sont les polices standard..
 
"mettre des pirates dans une dimension de fantasy": non du moment que tu ne recopies pas Pirates des caraibes

n°13530032
sico15
Posté le 15-12-2007 à 13:06:37  profilanswer
 

Si tu parles de la poilce roman, je te la déconseile, reste dans le time nex roman, ca vaudra mieux.
Ensuite je ne vois pourquoi ce serait gênant de mettre des pirates dans un roman de fantasy.

 

ps : arr^te de t'embrouiller, pense à ce que tu écris pour l'amour du ciel !


Message édité par sico15 le 15-12-2007 à 13:08:57
n°13530441
youna and ​jinnas1
Posté le 15-12-2007 à 14:10:15  profilanswer
 

oui desoler  ^^


Message édité par youna and jinnas1 le 15-12-2007 à 14:31:57
n°13537446
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 16-12-2007 à 17:26:02  profilanswer
 

hey pour les pirates dans une fantasy ba tu peux
pck ya bien les vampirates XD

n°13538537
youna and ​jinnas1
Posté le 16-12-2007 à 19:32:42  profilanswer
 

Ouai mais j'en ais pas beaucoup vu dans les livres que je lis

n°13542528
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 17-12-2007 à 11:32:24  profilanswer
 

Les fêtes de fin d'année approchent, je vous offre ces petits liens dont je suis sûr que personne ne mettra en oeuvre...
 


n°13543448
capucine2a
Posté le 17-12-2007 à 13:36:21  profilanswer
 

dPca a écrit :

Les fêtes de fin d'année approchent, je vous offre ces petits liens dont je suis sûr que personne ne mettra en oeuvre...
 




 
Dont je suis sûr QU'ILS ne SERONT mis en oeuvre par personne : Ce "dont" represente tes liens.... Donc conjugué au pluriel. Je fais moi même régulièrement des fautes de conjugaison mais si un jour je postais pour dire aux gens d'aller sur "le conjugueur", je suppose que je ferais en sorte d'écrire une phrase grammaticalement correct.  :jap:  
 
Peut-être devrais-tu envisager la possibilité que toi aussi tu as besoin du conjugueur....

Message cité 1 fois
Message édité par capucine2a le 17-12-2007 à 13:39:44
n°13544338
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 17-12-2007 à 15:03:29  profilanswer
 

capucine2a a écrit :


 
Dont je suis sûr QU'ILS ne SERONT mis en oeuvre par personne : Ce "dont" represente tes liens....


 
 
> dont
(pron.relat.)
De qui, duquel, de laquelle, desquels, desquelles.
De quoi.
 
Ma chère capucine,  
 
Reprenons la grammaire à la base : sujet + verbe + complément.
 
A la question "Qui est-ce qui ne mettra pas en oeuvre" je réponds "Personne"
 
Personne (sujet) ne mettra (verbe) en oeuvre...
 
Personne, ici, représente tous nos petits écrivains en herbe (s si tu penses qu'il y a plein d'herbe) qui ne s'occupent pas de savoir s'ils ont faits des fautes. C'est un ensemble, donc "il", troisième personne du singulier.
Maintenant si on commence à lire mes phrases dans un autre sens que celui qui est écrit, alors où on va...
 
Capucine, voilà un lien exclusivement pour toi : le bon patron
Tu peux y coller ma phrase telle que je l'ai écrit à l'origine et tu verras qu'il n'y a pas de fautes...
 
Relis sept fois les posts avant de répondre et demande l'avis à tes parents la prochaine fois.  :kaola:

n°13545027
capucine2a
Posté le 17-12-2007 à 16:27:54  profilanswer
 

Oups, j'ai lu ta phrase indépendament des liens : en effet, elle est correct lu avec.....
 
Que dire alors, sinon : je suis désolée.

n°13545036
BoraBora
Dilettante
Posté le 17-12-2007 à 16:28:21  profilanswer
 

Euuuh... je suis d'accord avec toi sur le fond (et l'intention), mais Capucine a raison : ta phrase est incorrecte.
 
"ces petits liens dont je suis sûr qu'ils ne seront mis en oeuvre par personne" (version Capucine)
 
ou
 
"ces petits liens que personne, j'en suis sûr, ne mettra en oeuvre... "
 
ou plus simplement (bancal sans que je m'explique trop pourquoi) :
 
"ces petits liens dont je suis sûr que personne ne les mettra en oeuvre..."

n°13545388
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 17-12-2007 à 17:12:26  profilanswer
 

Eh bien, de mon côté, j'aurais écrit : "ces petits liens que, je suis sûre, personne ne mettra en oeuvre...".
 
Cependant, même si elle me parait bizarre, la formulation de dPca me semble juste, je ne suis pas académicienne, et j'en profite pour lui dire un grand merci de nous avoir signalé ces sites ! :jap:
 
Non contents de servir pour corriger nos fautes potentielles, ces sites sont également de petits trésors pour notre culture générale... ;)

n°13545761
youna and ​jinnas1
Posté le 17-12-2007 à 17:52:50  profilanswer
 

En tout cas se que tu as mis ME seras utile ^^ :)

 



Message édité par youna and jinnas1 le 17-12-2007 à 17:53:36
n°13545842
Amibe_R Na​rd
Posté le 17-12-2007 à 18:02:50  profilanswer
 

tigrou_bis a écrit :

Eh bien, de mon côté, j'aurais écrit : "ces petits liens que, je suis sûre, personne ne mettra en oeuvre...".
 
Cependant, même si elle me parait bizarre, la formulation de dPca me semble juste, je ne suis pas académicienne, et j'en profite pour lui dire un grand merci de nous avoir signalé ces sites ! :jap:
 
Non contents de servir pour corriger nos fautes potentielles, ces sites sont également de petits trésors pour notre culture générale... ;)


 
 
Salut
 
Ces petits liens dont je suis sûr que personne ne mettra en oeuvre
Cette phrase n'est pas correcte, effectivement
 
Enlevons l'incise "je suis sûr", il reste :
Ces petits liens dont que personne ne mettra en oeuvre
 
Il y a un heurt entre le dont et le que, et le que est de trop
 
Enlevons le que :
Ces petits liens dont personne n'ira chatouiller la queue du lien
Ces petits liens dont, je suis sûr, personne n'ira chatouiller la queue du lien.
Ces petits liens dont, je suis sûr, personne ne mettra en oeuvre la pertinence.
 
Ces petits liens dont, je suis sûr, personne ne relèvera l'impertinence.
 
Ces petits liens dont, je suis sûr, personne n'ouvrira le lien.
Ces petits liens dont, je suis sûr, personne ne tripotera le lien.
 
 
Bora Bora
ou plus simplement (bancal sans que je m'explique trop pourquoi) :  
 
"ces petits liens dont je suis sûr que personne ne les mettra en oeuvre..."  
 
n'est pas bancale, mais lourde  :)
On peut l'écrire plus simplement, en moins de mots  (14 mots ici, avec un que, un en, un dont... sans oublier le reste de la phrase.)
 
En collant une virgule, ça marche un peu mieux.
"ces petits liens, dont je suis sûr que personne ne les mettra en oeuvre..."
 
Mais on peut tricoter beaucoup mieux.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°13546452
Amibe_R Na​rd
Posté le 17-12-2007 à 19:10:34  profilanswer
 

Bonjour Nallewir
 

Citation :

Ce jour là il faisait une nuit d'encre ,il n'y avait pas d'étoiles mais de la brume à perte de vue .
Ce soir là un groupe de soldat armé jusqu'au dent entra dans le village de Grinestel pour y chercher le garçon de la prophetie .


 
 
Donc tu as là un embryon d'histoire.
Le tout début du récit.
 
L'orthographe et la grammaire ne sont pas tout à fait au rendez-vous
(exemple : un groupe de soldat armé, ça ne fait pas beaucoup de soldats  :-) )
 
Mais ce n'est pas le plus important pour l'instant.
 
Ce que tu nous as donné à lire est un peu comme le squelette de ton histoire.
Il lui faut de la chair... soit plus de développements.
 
 
Tu as une prophétie.
 
Que dit-elle exactement ?
 
C'est le magicien Clastellir qui l'a prophétisée... qui est-il ?
De la part d'un rigolo, c'est une prophétie de pacotille.
De la part d'un grand maître mage, dont le sérieux est évident, ce n'est plus la même chose, surtout s'il a prophétisé bien d'autres événements !
 
Est-il encore en vie ?
 
Tu utilises une armée pour abattre ce nouveau né.
Mais, si j'étais vraiment tout puissant, j'utiliserais plutôt une poignée d'assassins professionnelles. Plus discrets, moins coûteux... Surtout si on sait où et quand doit naître l'enfant.
 
Donc là, il va te falloir expliquer pourquoi le nouveau né ne subit pas le kriss d'un assassin.
Pourquoi les parents de ton nouveau né ne sont pas assassinés tout de suite.
 
Et pourquoi ils sont massacrés ensuite, alors que si tu tiens les parents, tu tiens aussi l'enfant.
Du style : tu accomplis la prophétie, je tue tes parents.
 
Il faut arrêter de penser que le seul bon méchant, c'est la brute totalement stupide qui élimine tout le monde sur son passage. Ça c'est le bon ogre primaire, mais ce n'est pas le chef d'un empire.
 
Pourquoi ?
Parce que déployer autant de moyens pour éliminer un nouveau né, c'est croire à la prophétie à fond. Et donc donner un moyen à tous ceux qui s'opposent à toi de se regrouper derrière lui.
 
A ce niveau, tu peux avoir deux attitudes (en tant que méchant)
- c'est le bon moyen pour faire sortir du bois tous tes ennemis (et de les éliminer)
- tu fais semblant de t'en moquer, mais vu la qualité de la prophétie, tu envoies quand même quelques assassins, pour effacer le problème... ou au moins pour récupérer les parents avant la naissance. (pourquoi attendre juste, pile poil, la naissance de l'élu de la prophétie... lorsque tu connais cette prophétie depuis longtemps ! Sauf si tu ne sais pas qui il sera... et même là, il te suffit de rayer le village de la carte pour être définitivement tranquille !)
 
Mais une prophétie peut se lire dans au moins deux sens.
 
   "Un garçon naîtra, il grandira et défiera les chefs ennemis et les fera tomber et ce même garçon sauvera des vies et arrêtera cette guerre."
 
Le garçon gagne.
Ou alors, par sa présence la guerre s'arrête faute de combattants... parce que le méchant a éliminé tout le monde. (une prophétie peut aussi être un piège... un piège tendu par un chef d'empire. Un mage, ça peut aussi être convaincu de faire une bonne prophétie, totalement fausse. C'est un jeu dans le jeu. Et le piège mortel d'une araignée qui attend sa proie.
Sauf lorsque la prophétie devient vraie malgré tout ! :)... et le piège n'est plus pour celui qui pensait le tendre.)
 
 
Voilà pourquoi je te demande : que dit exactement ta prophétie ?
 
Et pourquoi je rajoute : il y faut de la chair... soit plus de développements.
 
Ensuite, tu pourras décrire plus longuement les actions de tes personnages.
La bataille, la fuite du nouveau né, etc.
 
Et tout ce qui suit.
 
 
C'est ainsi que le bébé de l'écriture, grandit et réalise, lui aussi, sa prophétie.
 
 
L'étape qui vient après le début, (comme tu viens de l'écrire) c'est de trouver la fin.
Le moment où le héros gagne !
Comment il gagne, avec quoi et avec qui il gagne... et pourquoi il gagne.
 
Quand tu tiens cette fin, tu sais exactement tout ce qu'il faut mettre pour que ton héros gagne, finisse par gagner.
Ce qui te permet ensuite de construire un méchant malin et retors (qui est loin de la grosse brute débile) et qui va mettre le maximum de bâtons dans les jambes de ton héros. Car plus le méchant est malin, plus l'histoire est forte et intéressante.
 
D'où la prophétie créée par le méchant
 
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°13549675
zoxea69
Posté le 18-12-2007 à 00:57:12  profilanswer
 

bonjour tout le monde, ou plutot bonsoir, quoiqu'il fera surement jour quand je serais lu^^
 
Après avoir les premières pages de ce topic j'ai décidé d'en sauter une trentaine pour arriver directement ici.
 
Je me suis mis a l'écriture d'un roman (de fantasy pour faire original :whistle: ). Pour le moment je n'ai qu'une esquisse de plan et forcément les idées ne viennent que quand je ne peux pas écrire. J'ai quand même décidé d'écrire l'introduction que j'ai en tête depuis un moment déjà. Je m'attaquerais a la suite que quand j'auais une idée plus précise de la direction que je vais prendre.  
Je voulais avoir des critiques, des remarques, des conseils et puis des encouragements pourquoi pas aussi^^
Je tiens d'abord a préciser que je ne suis pas un gros lecteur. Je m'y met doucement mais il est dur d'effacer les années de travail des profs de collège et de lycée qui arrivent a dégouter bon nombre d'élèves de la lecture. J'en ai malheureusement fait parti. Faire lire Rousseau, Balzac ou hugo a des élèves de 14-15 ans c'est pas une idée grandiose, surtout quand ces même élèves tuent des zombis sur leur console en rentrant à la maison.
 voila donc le début de mon histoire:
 

Citation :

« Bonjour à tous, il est six heures, le journal vous est présenté par Carie Damon.
- Nouvelle explosion hier dans le métro de Lycia. Le bilan provisoire fait état de 23 morts et d’une centaine de blessés ce qui porte le bilan de la vague d’attentat qui frappe le Lycian à plus de deux cents morts et près d’un millier de blessé. Cependant le président refuse toujours de céder… »
La voix de la journaliste s’interrompit brutalement.  
« Déjà l’heure de se lever », grommela Yzak dont la main venant de frapper brusquement le malheureux réveil. Il venait de fêter ses dix-neuf ans, c’était un garçon plutôt grand et d’une corpulence ordinaire, ses grands yeux d’un vert très clair contrastaient avec sa chevelure noire comme une nuit sans lune.  Mais il lui en fallait plus pour se décider à quitter la chaleur douillette de son lit. Ce ne fût qu’à la quatrième tentative de ce pauvre réveil que le jeune homme décida enfin qu’il serait plus raisonnable d’aller se préparer. Et pour une fois de ne pas être en retard.
Après une courte halte par la salle de bain Yzak pris la direction de la cuisine, salua sa mère et attrapa sa veste tout en engloutissant un croissant à moitié rassis.
-Tu sais, la voix de sa mère le stoppa dans son élan,  tu n’es pas obligé d’aller en cours. Le temps que toutes ces attaques cessent. Si jamais il t’arrivait…
-Il ne m’arrivera rien, j’éviterais les lieux à forte fréquentation et puis il est hors de question que j’arrête de vivre. Je ne ferais pas ce plaisir à ces salauds.
Sa génitrice n’eut pas le temps de répliquer, qu’Yzak avait déjà fermé la porter derrière lui. 6h54, il allait encore rater son bus. « Pour peu il ne passera pas », songea t-il. Certains chauffeur commençant à trouver que 3000 Deca par mois ne valaient pas la peine de se faire tuer.  
A bout de souffle, Yzak arriva juste à temps pour grimper dans l’autocar. Il s’assit comme a son habitude tout au fond, « son » siège était toujours libre. Il jeta un coup d’œil au reste du bus. Seulement quatre autres personnes y avaient pris place et le jour qui n’avait toujours pas pris la peine de se lever le rendait nerveux. Un jeune garçon qui semblait être du même âge que lui écoutait son baladeur MP3, un homme et une femme d’une trentaine d’année chacun discutaient derrière la cabine du chauffeur. « On dirait des flics » pensa Yzak. Mais celui qui retint le plus son attention se tenait debout au milieu du véhicule.  
Yzak se demanda ce qui le mettait le plus mal à l’aise, les terrifiants évènements qui frappaient son pays et qui vidaient son bus, chaque matin un peu plus, ou bien cet homme à la carrure imposante qui semblait le fixer derrière des lunettes de soleil. En d’autres circonstances Yzak aurait certainement trouvé ce personnage amusant avec sa longue veste noire sortie tout droit d’un mauvais film de science fiction. Mais ces temps-ci même les plus braves avaient perdu tout sens de l’humour. Yzak tourna la tête pour regarder défiler le paysage qu’il connaissait par cœur, l’homme au manteau ténébreux ne pouvait être la pour commettre un nouvel attentat. Qui voudraient donner sa vie pour tuer seulement cinq personnes ? Lorsqu’il osa de nouveau regarder le mystérieux individu celui-ci avait disparut. Le bus ne s’était pourtant pas arrêté, Yzak en était sur.
La journée se déroula normalement, seul un fort absentéisme chez les élèves comme chez les professeurs vint perturber l’université ou Yzak étudiait le droit. Il voulait devenir journaliste avec le vague espoir de découvrir le monde, explorer des contrées lointaines, côtoyer de nouvelles cultures et épancher sa soif d’aventure.
En rentrant chez lui Yzak attrapât son téléphone portable pour appeler Kayla, sa copine. Mais au moment d’appuyer sur la touche « appeler », il l’aperçut de nouveau. L’homme a la veste noire. Il était assis à la terrasse d’un café. Il l’observait. Yzak en était sur cette fois. À travers la vitre du bus c’est vers lui que ce dirigeait son regard toujours camouflé derrière des lunettes de soleil. Un frisson le parcouru. A midi déjà il avait cru l’apercevoir au coin d’une rue mais sur le moment il avait pensé que son imagination lui jouait des tours. Non, ca ne pouvait pas être le hasard. Yzak était suivi.  
Qui était-ce ? Que lui voulait-il ? C’était peu et à la fois beaucoup trop de questions. Il avait déjà assez de problèmes en tête. Entre les examens qui approchaient, sa copine qui s’avérait être la fille la plus lunatique de tout Lycia, les attentats qui malgré tout commençaient à sérieusement l’inquiéter, il était maintenant suivi par un type qui lui semblait de plus en plus inquiétant, effrayant même. Le vent qui s’engouffrait par une fenêtre du bus lui sembla glacial d’un seul coup et les rues lui apparaissaient plus désertes que jamais.  
Pendant le trajet qui le menait chez lui, Yzak ne bougea que pour ramasser son téléphone qui ne cessait de lui échapper des mains. Quand il fut dans sa chambre, il appela Kayla pour lui raconter sa journée pour le moins mouvementée. Elle eu bien évidement du mal à croire a son histoire. Ce qui l’amena à se demander à quoi pouvait bien lui servir une petite amie qui ne le soutenait pas dans ce genre de moment.
Les jours qui suivirent, aucune déflagration ne vint perturber la capitale Lycianaise, ni le reste du pays. Plusieurs chefs du groupe terroriste qui semait la terreur depuis quelques semaines avaient été appréhendés. La vie commençait timidement à reprendre le dessus. Yzak avait pourtant du mal à oublier cet homme qui l’avait suivi une semaine auparavant, même s’il ne l’avait revu depuis.
Il était onze heures du matin lorsque son téléphone sonna, c’était Jon, le frère de Kayla.
-Il faut que tu viennes immédiatement, dit brutalement Jon, c’est Kayla. Elle a eu un accident. Elle est à l’hôpital du centre.
-J’arrive tout de suite, répliqua Yzak sans prendre le temps de demander ce qui c’était passé et comment elle allait. Ce qu’il regretta très vite, son inquiétude n’en étant que décuplée.
Il sauta dans la station de métro la plus proche, à trois arrêts seulement de l’hôpital. Il resta debout, il ne voulait pas s’assoir. Il n’aurait de toute manière pas pu, le métro était bondé.  
Plus que deux stations. Yzak tremblait, il n’avait jamais vécu une telle situation. Et si c’était vraiment grave, si elle mourait !
Plus qu’une station. Ses mains étaient moites, sa vision était troublée par la sueur qui coulait abondement sur son visage.
Ca y est, le métro arrivait à destination. Yzak était prêt à se jeter dehors. Il y avait énormément de monde sur le quai, mais c’était comme s’il était seul au monde.  
Les portes s’ouvrirent plus lentement que jamais. Il senti une main se poser sur son épaule.
-Il est temps Yzak, dit une voix grave.
Sa tête pivota. Tout se mit à tourner autour de lui, il sentit ses jambes se dérober. S’en était trop. L’homme au manteau noir se tenait face à lui, sa main lui tenant toujours l’épaule.  
Une femme cria. Elle était à cinq ou six mètres des deux hommes. Face à elle un individu avait sorti un petit boitier métallique. Il appuya sur un bouton.
L’explosion fut immédiate le souffle destructeur envahi aussitôt tout le wagon, tuant et détruisant tout sur son passage.
Yzak n’eu pas le temps de voir sa vie défiler sous ses yeux.
Il allait mourir.


je suis conscient que je fait plein d'erreur, j'ai juste besoin de quelqu'un pour mettre le doigt dessus.
 
merci d'avance  ;)


Message édité par zoxea69 le 18-12-2007 à 01:04:35
n°13550191
youna and ​jinnas1
Posté le 18-12-2007 à 07:17:37  profilanswer
 

Ne tinquete pas niveau fautes  tu ne seras pas la seul .

n°13550975
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 18-12-2007 à 10:49:57  profilanswer
 

Zoxea69 : c'est vraiment le début de ton histoire ?? Parce que faire mourir ton héros au bout d'une page, je ne sais pas si c'est le meilleur moyen de faire un roman... Ce serait une nouvelle assez sympathique, par contre.
 
Autre chose, tu dis écrire de la fantasy, mais l'extrait que tu nous donnes ici ressemble davantage à de la science fiction...

n°13551082
zoxea69
Posté le 18-12-2007 à 11:03:27  profilanswer
 

Il y a un indice dans le texte qui laisse deviner ce qui va arriver au héro, j'en dit pas plus  ;)  
 
La je vais me remettre a la construction de mon histoire, j'avais surtout envie de voir ce que je pouvais écrire pour le moment.

n°13554817
nallewir
qui s'y frotte s'y pique
Posté le 18-12-2007 à 17:34:09  profilanswer
 

pour l'amibe ernard :
merci pour les conseil  
mais aussi ya pa ke des ogres a la bataille du debut ya des gobelins et les gobelins y sont malins (ds mn histoire )
et aussi le gentil ya aucune chance contre les créatures du mal et contre leurs dragons et c'est pas pour rien que jlappelle lempire du chao
et la prophetie ta raison jvai laméliorée pck là .
Mais le groupe d'elfe qui doi chercher le garçon c pas pour le tuer c pour le proteger et l'initier aux armes et lui apprendre quelque tours .

mood
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