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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°13361770
soands22
Posté le 25-11-2007 à 20:02:48  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Ce n'est pas très important, je ne peux pas vous la résumer, mais je pense que vous n'en avez pas besoin, de ce résumé, pour écrire cette scène. Mais te prend pas la tête avec ça michalatore.^^ Je ne veux forcer personne

mood
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Posté le 25-11-2007 à 20:02:48  profilanswer
 

n°13370207
soands22
Posté le 26-11-2007 à 18:36:17  profilanswer
 

Personne pour m'aider?
J'espère trouvé une réponse d'ici mercredi... Comprenez que l'écriture n'est pas une passion chez moi, je préfère de loin la lecture... Alors si vous pouviez m'aider pour cette scène, cela serait fort aimable!

n°13370773
elliotdoe
Posté le 26-11-2007 à 19:39:26  profilanswer
 

Le truc c'est que t'essaies même pas, donc forcément, ça nous encourage pas à t'aider.

 

L'aide, par définition, c'est une action envers ceux qui essaient.


Message édité par elliotdoe le 26-11-2007 à 19:39:41
n°13372754
Amibe_R Na​rd
Posté le 26-11-2007 à 23:15:02  profilanswer
 

Salut
 
Ok, un petit coup de main.
 
Ton personnage regarde par la fenêtre.
 
Il voit le bonhomme qui passe
 
Je te donne ce que je vois de ma fenêtre, qui ne donne pas sur la rue, mais sur la campagne, la route, et quelques oiseaux.
 
Ok, un nuage passe. (en réalité, il fait nuit, mais je te donne un exemple de ce que tu peux presser comme idée pour en faire jaillir l'écriture)
 
 
- Ah ! voici notre homme, là-bas en bas. Comme tous les matins, il entre à la boulangerie. Et ce sera quoi pour monsieur ? Un pain et deux croissants au beurre, comme d'habitude (voix un peu énervée de silence) : comme tous les jours de cette putain d'année, de la précédente, et de celles d'avant. Mais bien sûr, il ne dira rien de tout ça, il touchera juste son chapeau noir avec ce petit geste nerveux. Ce petit chapeau ridicule qu'il a mis le jour où on a descendu le cercueil de sa femme. Et le voilà qui ressort, son paquet sous le bras, et qui redescend de l'autre côté de la Spree (*) de sa démarche vaporeuse. Pauvre type, déjà prêt à s'envoler avec le vent, il a pris au moins dix kilos depuis ce fâcheux incident, encore un an, et il va rouler au bas de la pente pour ne plus en bouger...
- Tiens, voilà les deux petits pies qui se rendent à l'école, et vas-y que je te jacasse, et que je me chicane pour ce bout de coquillage trouvé un jour de grande marée. Et patati et patata, c'est à moi et pas à toi. C'est moi qui l'a trouvé, et pas toi. Nan, c'est moi ! Et puis papa m'avait dit qu'il me le donnait... Il m'a dit la même chose...  
Et la pauvre mère, tout de bleu vêtue avance en tirant la remorque de ces deux petits monstres déjà aigris par la vie. Un jour férié... férié pour qui, on se le demande. A jouer des jours fériés, les profs n'ont décidément aucune pitié pour les parents de nos jours. Allez petite mère, encore deux tours et tu pourras les enfermer dans leur chambre jusqu'au soir et te réfugier dans ton nid.
 
- Dix heures zéro sept, et c'est le tour de miss rousse. La dame écureuil, avec ses deux petites dents qui avancent. Bien le genre de celle qui vous casse les noisettes toute la journée. Plus ponctuelle qu'une horloge suisse, tu meurs, et toujours en train de grignoter sa barre de chocolat qu'elle va terminer à trois... Un, deux... deux et demi, et trois... et on se lèche les doigts avec sa bouche peinturlurée d'un rouge écarlate, et on s'en fout partout, exprès pour attirer l'attention de l'épicier turc, qui lui lance un sourire gras. Et elle le fait exprès pour faire bisquer la femme derrière le comptoir, pour la faire sortir de ses gonds. Jusqu'où va se loger le racisme de nos jours... Et Miss horloge glisse sur ses tic-tac talonnés, avant d'atteindre son but. Le lampadaire du cinquième, où ses bas résilles seront le mieux mis en valeur. Où l'épicier pourra mieux lui regarder les fesses en rangeant, lentement, ses pommes et ses oranges. C'est une dame du matin, miss rousse, avec ses réguliers, et sa façon particulière de battre le pavé. On dirait qu'elle marque son territoire de bout en bout et qu'elle compte jusqu'à mille talons avant de chalouper son derrière pour attirer le client... et, à chaque fois, une voiture s'arrête, aimantée par le balancier de sa jupe rouge.
 
Mais je parle, je parle, il est temps que je laisse la place à un autre.  
 
 
 
(* fleuve qui traverse Berlin, on confirme Berlin)
 
 
Ok, normalement tu as dû reconnaître  
Un nuage
Un couple de pies qui se chamaillent  
Un écureuil
 
Par la confrontation entre les mots, et la personnalisation de ces mots avec les passants, tu peux écrire n'importe quoi.
 
Donne-toi des mots, piqués dans le dictionnaire au hasard si tu le souhaites.
Tu fais tourner les pages, et tu prends le premier, le troisième, le septième.
Ou piochez autour de toi.
 
Et joue :)
 
Allez, allez, un chewing-gum, une cigarette, une paire de lunettes, un lapin, une limace, une mouche, un journal...
 
A toi !
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°13379827
soands22
Posté le 27-11-2007 à 19:53:08  profilanswer
 

Merci beaucoup L'Amibe_R Nard!
Je vais essayer de faire ça demain, aujourd'hui, trop de boulot encore...
En tout cas, je pense que c'est ce que je vais faire, parler de tout et n'importe quoi, ça m'étonnerait que cela donne quelque chose d'aussi "vivant" que ton texte, mais bon :S
sur ce, bonne soirée à tous.

n°13390201
sico15
Posté le 28-11-2007 à 19:03:50  profilanswer
 

Bonjour à tous. On m'a dirigé vers ce sujet pour obtenir d'éventuels commentaires, alors j'y vais. Cela dit j'ai pas l'ambition d'écrire un roman, je fais plutôt dans les textes relativement courts. Enfin bref, je remercie d'avance ceux qui voudront bien lire mon texte.
 
Milène
 
 Elle te sent, tu la sent, c'est tranquille voilà tout. Elle t'aime et il t'aime, vous le savez depuis si longtemps que les mots sont devenus sensibles, et que vous ne vous contentez plus que par le contact charnel. C'était comme cela. Vous deux dans un lit car il aimait être allongé sur un matelas moelleux, emmitouflé dans les plis d'une couette dans ces moments précieux. Progressif en douceur, et votre affection s'était construite comme toute autre : ce furent d'abord vos regards qui se croisèrent distraitement, puis vos mains qui firent connaissance l'une de l'autre, et enfin vous bouches s'étaient rencontrées. Tu te souviens encore de cette sensation chaude lorsque tu sentait des dizaines de papillons voleter dans ton ventre, lorsqu'il passait ses doigts dans tes cheveux. Vous n'étiez pas un couple d'exception, juste un couple normal, sans raison.
 Vos bouches se sont habitués à se rencontrer, et bientôt cette langue moîte s'y promenant devint une habitude, un nouveau langage de tendresse. Et puis un jour, car la nature est ainsi orchestrée, il a voulu que tu te dévoiles entièrement à lui. Positif. C'était apaisant, une bien jolie tenue que tu arborais, une tunique blanche étrangement calme, la matière fluide, un décolleté dont les plis de coton retombaient pudiquement au dessous de tes épaules, suggéraient seulement ta poitrine ; une sensualité timide qui se découvrait à sa vue par une large ouverture profonde s'aventurant jusqu'au bas de ton dos.  
Ils ne se jetèrent pas l'un sur l'autre, mais profitèrent de cet instant intime pour se parler tendrement à leur manière.  
 Pour être honnête, il ne se risqua pas à d'autres caresses que celles de ses épaules et de son dos, alors elle prit les devants et se débarrassa de sa tunique. Rien n'était comme il l'avait imaginé. L'or était pour lui une couleur prétentieuse, la où l'ocre était humble et fragile. Vêtue de rien, même à la lumière tamisée, son corps, sa peau surtout... Elle sentait bon de son parfum naturel, une odeur de châleur qui avait tout pour plaire, et ses mains féminines trainaient, hésitantes, le long du corps, sans savoir où se mettre ni se cacher. Sa peau couleur ocre rayonnait d'humanité, et bientôt ils se couchèrent ensemble dans le lit. Yeux, puis bouche, puis mains. Grisé d'affection, il savourait le grain de sa peau, un voilage de soie douce que n'humectait que la châleur humaine, quelques perles de sueur courant sur son front, et ses formes tendres entre les doigts, et leur doigts entrelaçés les uns dans les autres.
 Et si cela vous paraît une vision naïve, c'est sans doute car ce n'est qu'un rêve. Elle est devenue maigre, pâle. Ses nuits altèrnent entre ce rêve embué et le cauchemard vécu qui l'assaille, embué lui aussi, mais dans une atmosphère malsaine et brutale : un tableau d'aquarelle flou noyé dans cette brume dégueulasse.  
Ocre, ravissante, mais aujourd'hui elle est presque folle. Voilà ce qu'elle avait cru, ce qui lui aurait plu, avant que sa virginité... il ne la lui vole.
 
 

n°13391112
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 28-11-2007 à 20:45:50  profilanswer
 

Hum. A part la chute, brutale, surprenante et en même temps classique, il y a beaucoup d'hésitation dans ce texte...
 
- Choisis un mode de narration. Soit tu t'adresses à un de tes personnages comme tu le fais au début "elle te sent, tu la sens... vous ne vous contentez plus que..." ; soit tu parles à la troisième personne comme tu le fais ensuite "Ils ne se jetèrent pas l'un sur l'autre"...
 
- Choisis un temps. Soit tu utilises le présent, comme dans tes deux premières phrases, soit le passé comme par la suite. Ou bien encore tu fais ressentir au lecteur différents moments de la vie de tes personnages, en passant habilement du présent au passé...

n°13391157
elliotdoe
Posté le 28-11-2007 à 20:49:36  profilanswer
 

J'ai pas tout lu mais j'aime bien le style.
Juste une remarque valable pour tout le monde : "C'était comme cela." >> "ça", c'est pas une insulte ou un mot argotique, donc arrêtez de nous mettre des couches de "cela" quand on doit dire "ça" ;)

 

édit : d'autant plus que c'est dans le ton de ton texte, qui se veut d'un parlé franc (cf le "dégueulasse" de la fin).


Message édité par elliotdoe le 28-11-2007 à 20:50:30
n°13391256
sico15
Posté le 28-11-2007 à 20:57:31  profilanswer
 

Bon, que je fasse une réponse groupée.
Pour les "cela" partout, dsl michalatore, mais je croyais effectivement qu'en terme d'écriture "ça" était un terme plus ou moins argotique.
 
Pour le système de narration que tu me fais remarquer tigrou, il y a une autre personne qui m'a dit la même chose, le pb étant que j'ai pas fait attention au mode narratif en écrivant ce texte, ce qui fait que je n'ai pas encore trouvé le moyen de rectifier le tire sans chambouler toute la construction. mais bon, j'y travaille.
 
Merci pour vos conseils !

n°13391366
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 28-11-2007 à 21:07:25  profilanswer
 

Ah oui, juste une chose aussi, dans ta seconde phrase : "Elle t'aime et il t'aime"... Ca fait un peu ménage à 3... :lol:

mood
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Posté le 28-11-2007 à 21:07:25  profilanswer
 

n°13391439
sico15
Posté le 28-11-2007 à 21:11:55  profilanswer
 

Ah oui je viens de comprendre ! effectivement c'est balo, j'avais pas vu ça comme ça ! Je vais poster une version corrigée quand j'aurais enlevé la plupart des fautes. C'est un peu bête j'avoue.

n°13391956
elliotdoe
Posté le 28-11-2007 à 21:55:17  profilanswer
 

Bin on évite généralement de dire "ça" dans un texte, mais dans ton cas, ça fait parti de l'ambiance. Et surtout le truc à ne pas faire, c'est remplacer systématiquement par "cela". Dans un texte un peu pompeux oui, d'accord. Dans un texte qui se veut simple et franc, un peu parlé, on ne peut pas.

n°13391998
sico15
Posté le 28-11-2007 à 21:58:14  profilanswer
 

Ok, je crois que j'ai compris le principe de "ça".

n°13392238
elliotdoe
Posté le 28-11-2007 à 22:15:28  profilanswer
 

C'est pas un mot facile à utiliser ;)

n°13400958
sico15
Posté le 29-11-2007 à 20:57:21  profilanswer
 

Le problème de la narration est simplifié, mais delà à dire qu'il est résolu... Enfin bref, j'ai apporté des modifications ici et là :
 
Il te sent, tu le sens, c'est tranquille voilà tout. Il t'aime et tu l'aime, vous le savez depuis si longtemps que les mots sont devenus insensibles, et que vous ne vous contentez plus que par le contact charnel. C'était comme ça. Vous deux dans un lit car il aimait être allongé sur un matelas moelleux, emmitouflé dans les plis d'une couette dans ces moments précieux. Progressif en douceur, et votre affection s'était construite comme toute autre : ce furent d'abord vos regards qui se croisèrent distraitement, puis vos mains qui firent connaissance l'une de l'autre, et enfin vos bouches s'étaient rencontrées. Tu te souviens encore de cette sensation chaude lorsque tu sentais des dizaines de papillons voleter dans ton ventre, lorsqu'il passait ses doigts dans tes cheveux. Vous n'étiez pas un couple d'exception, juste un couple normale, sans raison.  
  Vos bouches se sont habitués à se rencontrer, et bientôt cette langue moîte s'y promenant devint une habitude, un nouveau langage de tendresse. Et puis un jour, car la nature est ainsi orchestrée, il a voulu que tu te dévoiles entièrement à lui. Positif. C'était apaisant, une bien jolie tenue que tu arborais, une tunique blanche étrangement calme, la matière fluide, un décolleté dont les plis de coton retombaient pudiquement au dessous de tes épaules, suggéraient seulement ta poitrine ; une sensualité timide qui se découvrait à sa vue par une large ouverture profonde s'aventurant jusqu'au bas de ton dos.  
Il ne se jeta pas sur toi, mais profita de cet instant intime pour te parler tendrement à votre manière.  
 Pour être honnête, il ne se risqua pas à d'autres caresses que celles de ses épaules et de son dos, alors elle prit les devants et se débarrassa de sa tunique. Rien n'était comme il l'avait imaginé. L'or était pour lui une couleur prétentieuse, la où l'ocre était humble et fragile. Vêtue de rien, même à la lumière tamisée, son corps, sa peau surtout... Elle sentait bon de son parfum naturel, une odeur de chaleur qui avait tout pour plaire, et ses mains féminines trainaient, hésitantes, le long du corps, sans savoir où se mettre ni se cacher. Sa peau couleur ocre rayonnait d'humanité, et bientôt ils se couchèrent ensemble dans le lit. Yeux, puis bouche, puis mains. Grisé d'affection, il savourait le grain de sa peau, un voilage de soie douce que n'humectait que la chaleur humaine, quelques perles de sueur courant sur son front, ses formes tendres entre les doigts, et leur doigts entrelaçés les uns entre les autres...
 ...Et si cela paraît être une vision naïve, c'est sans doute car ce n'est qu'un rêve. Elle est devenue maigre, pâle. Ses nuits altèrnent entre ce rêve embué et le cauchemard vécu qui l'assaille, embué lui aussi, mais dans une atmosphère malsaine et brutale : un tableau d'aquarelle flou noyé dans cette brume dégueulasse.  
Ocre, ravissante, mais aujourd'hui elle est presque folle. Voilà ce qu'elle avait cru, ce qui lui aurait plu, avant que sa virginité... il ne la lui vole.  
 

n°13402525
sico15
Posté le 29-11-2007 à 23:34:03  profilanswer
 

Slt, c'est en tant que débutant que je vais t'apporter quelques corrections sur la forme pure et simple:
 
- "ne savant où aller" : ne sachant où aller
 
- "Tu as peu d’argent et tu vit grâce a l’argent de ta femme " : répétition sur mot argent qui pèse
 
- "minuscules cratères jonchaient le sol tels de petits arbustes; des étincelles y poussaient étrangement" : je vois mal des cratères ressembler à des arbustes, en revanche, tu garderais ton image intact (et très belle au passage) en disant, que des étincelles, ou flammèches,  y poussaient (en crépitant par exemple) telles les branches d'un arbuste.
 
- "J’essayais de me rappeler d’un moment heureux mais ne réussis pas" : mauvaise concordance ; voici une proposition, "J'essayai... mais n'y réussis pas".
Sinon, j'ai l'impression que cette phrase sert de transition pour la suite de ta nouvelle, aussi je te conseille de stopper ta dernière phrase à "mais", et de mettre des points de suspension, que ça donne matière à aller plus loin, ça te donnerait "J'essayai de me rappeler d'un moment heureux mais..."
 
Mon avis : un peu poussif efectivement, mais comme dirait ma prof d'anglais, c'est perfectible. le passage où il marche ne sachant où aller fait à mon avis très cliché, tu pourrait tout simplement dire qu'il se sentait perdu.
Bon ensuite ton diable ne me semble pas très réaliste (je sais le diable n'est pas réel, mais c'est par rapport au concept), il fait plus pélerin ou moine qui cherche à aider son prochain, je pense que tu gagnerais à le faire plus imposant, cruel, et même sarcastique. Une description rapide de ce même diable (auquel cas, éviter la fourche et la queue en pointue) pourrait rendre le texte plus attrayant.
 
Voilà. Encore une fois, je suis comme toi débutant, alors juge par toi même ce qui te semble légitime de remanier, et bonne chance !

n°13409008
youna and ​jinnas1
Posté le 30-11-2007 à 21:23:53  profilanswer
 

   Zephir oui c'est sa zephir c'est mon nom, enfain c'était mon nom bien que personne ne se rappel de moi et que moi je me rappel de vous je me souviens de mon ancien nom jamais, non jamais je n'ai fait de mal à quelq'un même par vengence , peut être j'ésperer aller au paradis en mourant d'une mort douce et chaleureuse, se n'est pas se qui se passa.

 

Du fond de ma memoire du peut que je me rappel j'aimais personne les humains me dégouter , mais je ne laisser rien paraitre mieux vaut souffrir que faire souffrir les autres tels était ma devise, enfain il me semble.
Moi qui ésperer une belle mort avec de tendre homage de la part des gens que j'ai fait semblant d"aimer , non , non
ma mort à était lamentable moi qui vivait pour mourir moi qui était de pensée noirs et obscurs  je suis mort un poignard enfoncer dans mon estomac je me rappel encore  la lame froide se planter dans dans mon corps si chauds , je me souviens encore comment je suis tomber par terre sans aucune digniter et je me rappel surtout , la tête de mon assassin.

 

C'était un être vetue de noirs même sont visage était noirs , non pas une jolie couleur de peau noir mais un noir si intense que vous en pleurer ,alors mon assassin  ma dit
: j'aurais aimer que on se rencontre dans d'autre circonstence
mes yeux  gris pale se sont plonger dans ses yeux noirs il as sourit e à murmurer
doucemment tous doucemment  qu'il me fallut presque lire sur ces levres
je ne te dit pas paix à ton âme il as éclater de rire et la

 

je suis devenus

 

                                       
                   
                                                                                emeraude  

 

Mes beau yeux gris sont devenus emeraude et ma si belle peau noir est devenus  rouge et noir charbon  oh oui j'ai pleurer si bien que je voulais mourir mais impossible de mourir qu'on on est deja mort j'était demon mon être était demon mon sang mon rire ma voix mon corps tout était mal et le monde qui m'entourer tourner cent àl'heure

   

c'est encore moi .
bonne mauvaise critiques ^^ et lacher vous pas trop :)


Message édité par youna and jinnas1 le 01-12-2007 à 08:32:10
n°13413270
sico15
Posté le 01-12-2007 à 14:30:32  profilanswer
 

Salut Youna, tout d'abord je tiens à te dire que la critique que je vais faire de ton texte se veut objective et constructive, donc ne le prend pas mal. Et elle reisque en plus d'être très longue.
 
1) L'orthographe de ton texte, sa ponctuation, sa grammaire et concordance des temps : absolument pitoyable, je n'ai jamais vu ça. J'ai compté en moyenne 6 fautes d'orthographe ou/et de construction par phrase. Donc voilà ton texte corrigé, pas entièrement, mais ce sera toujours mieux que ce que tu as posté.
 
Zephir oui, c'est sa zephir, c'est mon nom. Enfin c'était mon nom, bien que personne ne se rappel de moi et que moi je me rappel de vous. Je me souviens de mon ancien nom. Jamais, non, jamais je n'ai fait de mal à quelqu'un même par vengeance, peut-être que j'espérais aller au paradis en mourant d'une mort douce et chaleureuse, ce n'est pas ce qui se passa.
Du fond de ma mémoire, du peu que je me rappel, je n'aimais personne, les humains me dégoutaient , mais je ne laissais rien paraître : mieux vaut souffrir que faire souffrir les autres, telle était ma devise, enfin il me semble.
Moi qui espérais une belle mort avec de tendres hommages de la part des gens que j'avais fait semblant daimer, non , non.
Ma mort a été lamentable. Moi qui vivais pour mourir, moi qui étais de pensées noires et obscures, je suis mort d'un poignard enfoncé dans mon estomac. Je me rappel encore  de la lame froide se plantant dans mon corps si chaud, je me souviens encore comment je suis tombé par terre sans aucune dignité et je me rappel surtout, la tête de mon assassin.
C'était un être vêtu de noir, même son visage était noir. Non pas une jolie couleur de peau noire, mais un noir si intense que vous en pleureriez, alors mon assassin m'a dit : j'aurais aimé que l'on se rencontre dans d'autres circonstances. Mes yeux gris pâls se sont plongés dans ses yeux noirs. Il a souri et a murmuré doucement, si doucement qu'il me fallut presque lire sur ces lèvres : « je ne te dis pas paix à ton âme ». Il a éclaté de rire et là, je suis devenu
émeraude
Mes beaux yeux gris sont devenus émeraude et ma si belle peau noire est devenue rouge et noire charbon. Oh oui j'ai pleuré ! Si bien que je voulus mourir mais impossible de mourir quand on est dejà mort. J'étais démon. Mon être était démon, mon sang, mon rire, ma voix, mon corps, tout était mal et le monde qui m'entourait tournait à cent à l'heure.
 
Deux trois conseils :  on dit je me rappel quelque chose et je me souviens DE quelque chose. Une Phrase commence par une majuscule, comprend souvent des virgules, et se termine par un point. Si je te dis cela c'est parce que ta ponctuation était soit inexistante soit complétement incensée. Ensuite, revois, ou réapprends, et je te le dis le plus sérieusement du monde, la conjugaison des verbes, parce que c'est du grand n'importe quoi. Je fais en général pas mal de fautes dans mes textes, mias je dois bien en faire cinq fois moins que toi. Il est désagréable de lire un texte bourré de fautes en tout genre, cela nuit fortement à la compréhension, et ça énerve.
Niveau syntaxique, orthographique, et à peu près tout, tout texte est catastrophique.
 
2) Maintenant que j'ai fini ma crise, voilà mon opinion : ça tape pas mal dans le "déjà vu", notamment le "je n'ai jamais fait de mal pas même par vengeance" ect. C'est très décousu (alors après peut-être est-ce ton style), la lecture et difficile, je n'ai pas vraiment vu où tu voulais en venir. Ton texte n'est pas spécialement captivant, pas original, on dirait le prologue d'une autobiographie clichée. Je ne sais quoi dire d'autre.  
 
Retravaille TOUT tes points de grammaire, rechrche un sujet plus attraillant... Bref retravailles, retravailles, et retravailles encore.  
En tout cas je te souhaites bonne chance et désolé pour cette critique peu élogieuse.

n°13413376
simouu
equipe serpentard
Posté le 01-12-2007 à 14:55:02  profilanswer
 

Non mais faire la morale à youna et jinnas1 sur l'ortographe, c'est un peu peine perdue. Fais une recherche depuis le début du topic avec son nom et tu comprendras...


---------------
"Je préfère jouer à la play qu'en D2 à Sochaux"
n°13413462
sico15
Posté le 01-12-2007 à 15:12:43  profilanswer
 

Ah il a déjà posté avant ? J'ai pas lu entièrement le topic.

n°13414010
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 01-12-2007 à 17:12:38  profilanswer
 

loui514
 

loui514 a écrit :

Je vous l'incipit que je trouv un peu poussif personellement.


 
 
 :??:  
 

Citation :

C’est alors que je regardais plus attentivement le sol et [je] m’aperçus que j’avançais sur des braises.


 
Un sujet + un verbe, toujours.
 
 
sico15
 
Oui, simouu a raison.
Donner des conseils à younas c'est comme faire un trou dans l'eau.
Tu n'obtiendras rien de cette Kevin...

n°13416500
sico15
Posté le 02-12-2007 à 02:14:59  profilanswer
 

Au fait, pour ceux qui s'y connaissent, quelqu'un pourrait-il m'expliquer la différence entre fantastique et fantasy ?

n°13416525
sico15
Posté le 02-12-2007 à 02:20:20  profilanswer
 

Ouais bon, en même temps c'est peu probable qu'on me réponde à deux heures du matin. Louis514, je pense que pour le fantastique, c'est un peu comme pour tous les genres, d'autant plus si tu compte décrire des évènements surnaturels : quelques descriptions bien dosées et bien placées rendront ton texte plus vivant. Ensuite faire dans le fantastique ne veut pas dire suivre à la lettre les règles de ce genre. Enfin je m'avance peut être un peu trop là.

n°13416990
rampa99
Posté le 02-12-2007 à 09:24:54  profilanswer
 

Fantastique: il se passe un truc anormal dans notre univers (exemple la métamorphose de Kafa: le narrateur se transforme en cafard), les histoires de fantomes...
Fantasy=Heroic Fantasy: Kaamelott, le seigneur des anneaux, Conan le barbare, le Disque-Monde,.... de la magie dans une époque médiévale-renaissance...

n°13417155
youna and ​jinnas1
Posté le 02-12-2007 à 11:01:37  profilanswer
 

Hi,hi je m'attendais à sa il est logique que je fasse des fautes mais en faites suis sur un forum rpg et je raconte la suite d'une histoire mais ceci n'est pas  mon style je m'adapte au autre.Comme vous devrais vou adapter à moi mais les gens comme  vous je les aimes bien.Savait vous que bernard werber et l'écrivain qii as fais l plus de fautes


Message édité par youna and jinnas1 le 02-12-2007 à 12:09:50
n°13418405
sico15
Posté le 02-12-2007 à 14:48:50  profilanswer
 

Ouais, en fait c'est à peu ce que je croyais le fantastique.

n°13418408
sico15
Posté le 02-12-2007 à 14:49:17  profilanswer
 

Si j'ai bien compris Youna, tu es dyslexique?

n°13418622
youna and ​jinnas1
Posté le 02-12-2007 à 15:27:17  profilanswer
 

Nan precoce c'est as pareil en réaliter on ma fait un texte du cerveau et je suis plus inteligente que la moyenne PRECOCE, mais ma seul lacune c'est que j'apprend si vite que j'oublie ensuite, j'ai un ordre d'ider qui est differen t des non precoce en réaliter en cours je comprend tous mais le lendemain j'ai oublier parce'que ma prof (qui n'est pas précoce) fait des longues phrases à rallonges et moi je d'écroche pour moi il est plus simple (exemple ) de dire:
Pour faire une equantion il faut mettre les X à droite et les chiffre a gauche et pour basculer un chiffre il faut faire Ex:1-1 ou 1+1
se qui n'est pas logique pour moi c'est que (exemple ) le prof dit :
pour faire une equation il faut faire comme une balance si tu as 10 k a gauche et 5 à droite cela va faire 15 k moi je ne vois pas le rapport c'est pour sa que pour moi lire le beshrelle me sert à rien il faut me dire les chose les plus logique et les plus simples qu'elle soit par exemple au lie de dire revise tes conjugaison , il faut dire quand il y as un à il y a "ER" .
Bref vos opinion sur ma précociter ne m'interesse pas cela me regarde et je ne veux pas entendre dire
Ouai bah t'est dixletxique , de toute facons il vous faut deja apprendre a faire la difference les vieux.
 


Message édité par youna and jinnas1 le 02-12-2007 à 15:34:39
n°13418833
sico15
Posté le 02-12-2007 à 16:11:41  profilanswer
 

Slt louis 514. Effectivement c'est mieux, surtout le premier paragraphe. Pour ce qui concerne le deuxième, j'aurais deux ou trois questions :
Quel est le caractère de ton personnage? Il est tout de même en présence du diable, c'est un monstre imposant ect... Bref, ou bien ton personnage est une vraie tête brûlée qui n'a jamais peur de rien, et dans ce cas là je le verrais (mais cela dépend de ce que tu veux faire évidemment) un peu plus prétentieux, plus sûre de lui. Si tu ne vois pas ce que je veux dire, fais une recherche sur le jeu Devil May Cry.  
 
Si, au contraire, ton personnage est un gars pas vraiment couirageux, je verrais une réaction plus marquée par la peur, ton héros peu crier, ou reculer, ou même se "vider involontairement". Parce que là, je dois dire que je ne cerne pas ton personage : il n'a pas l'air vraiment sûre de lui, mais répond tout de meêm au diable qu'il n'a pas peur de lui.  
Bref, je pense que ton texte gagnerait en émotions diverses si tu précisait plus le caractère de ton héros. J'ai vu que tu utilisait des mots comme "terrifiant", mais peut-être devrait tu mettre mieux à profit ta ponctuation (avec des points de suspension ou d'exclamation). de plus, si tu me montre dès le début son caractère par des faits et gestes marquants, tu n'auras pas à dire "il était plus téméraire" bref, les descriptions chiantes que l'on trouve souvent.
 
Je trouve que c'est mieux, mais que ton second paragraphe manque un peu de vie. J'espère t'être utile. Bonne continuation.

n°13420155
reglisse25
Posté le 02-12-2007 à 19:15:15  profilanswer
 

Voilà je sais si vous avez lu mon extrait de chapitre 1 sur le forum mais j'aimerais vous faire parvenir un résumé de mon histoire, dites moi ce que vous en pensez :  
 
Clélie vit en 1618, Héria, elle vit en 2009. Comment se fait-il que leur destin vont finir par se croisé ?  
La soeur de Héria disparaît mystérieusement et se retrouve plonger en plein 17e siècle.  
Héria ne supportant pas la perte de sa petite soeur décide de la chercher. Soudain, elle tombe sur une brèche s'ouvrant sur le 17e siècle. Là, elle va rencontré Clélie et découvre les pouvoirs de celle-ci. Ensemble, elles vont vivre de terrifiantes aventures dans le seul but de retrouver la soeur de Héria.
 
Voilà c'est juste un petit résumé rédiger à la va vite. De toute façon je suis pas très douer en résumé

n°13420331
Mitch-mitc​h
Bye
Posté le 02-12-2007 à 19:31:38  profilanswer
 


 
Dites moi, vous écrivez pour votre plaisir personnel ou dans l'espoir d'être publié ?


---------------
La modèration de ce forum est stupide, je lui pisse au cul. Salut.
n°13420545
sico15
Posté le 02-12-2007 à 19:50:51  profilanswer
 

Slt Mitch. De mon côté, j'écris d'abord pour moi, parce que j'aime me relire, et puis j'aime ce que j'écris généralement. L'avantage d'écrire pour soi c'est d'être constamment motivé pour écrire. J'aimerais bien être publié ça  concrétiserait la posssible valeur de mes textes, mais ça s'arrête là.

n°13420618
Mitch-mitc​h
Bye
Posté le 02-12-2007 à 19:59:00  profilanswer
 

A votre avis,  le plus important c'est l'histoire de votre livre ou votre style. Quand je lis un certain Bernard Werber, je suis pas emballé par son style ( loin de là ) mais malgrè ça, il arrive à me captiver dans son histoire.
 
Alors Style ou histoire, qu'est ce qui compte le plus ?


---------------
La modèration de ce forum est stupide, je lui pisse au cul. Salut.
n°13420671
sico15
Posté le 02-12-2007 à 20:03:50  profilanswer
 

A mon avis, c'est le style (mais le préferais dire la "forme" ) qui compte le plus. On est arrivé à un point où rares sont les scénarios de roman qui offrent vraiment une originalité. je pense qu'il faut davantage soigner son style pour compenser les défaillances au niveau de l'histoire. Pour répondre à ta question reglisse, ton histoire me semble un peu banale, mais si tu écris ton roman de façon originale, ce sera bien quand même.

n°13421144
sico15
Posté le 02-12-2007 à 20:52:13  profilanswer
 

Moi ça me gave maintenant le genre de la fantasy. Tout le monde s'y est mis à cause de Harry Potter et du Seigneur des Anneaux, et maintenant on voit plein de gens qui pourraient écrire des choses sympas, mais se sentent obligées d'inventer de toute pièce un monde plein de noms bizarres, de races, ou de magie, pour au final n'avoir aucune intrigue intéressante à proposer. Et le pire c'est quand on se met à vouloir écrire à la tolkien des descritpions recherchées et littéraires qu'ils ne maitrisent pas la plupart du temps, au final ça ressemble à rien. bien écrire commence par écrire sur des choses que l'on connait.

n°13421200
youna and ​jinnas1
Posté le 02-12-2007 à 20:58:21  profilanswer
 

écrire comme tolkien °)° MAIS c'est dur et surtout il faut être motiver  
et surtout etre bon en descriptif (je relis le premier tom je trouve sa lomgt 50 pages de descriptif sans dialogue ^^)

n°13421248
sico15
Posté le 02-12-2007 à 21:03:22  profilanswer
 

Pour écrire comme tolkien, faut avoir un putain de vocabulaire, maîtriser la grammaire, l'orthographe, la construction des phrases, avoir une bonne culture, et surtout ne pas faire de description pour faire de la description. Bref, je ne pense pas que quiquonce arrive jamais à réécrire une oeuvre comme celle de tolkien. Poour moi la fantasy tourne au cauchemard.

n°13421312
sico15
Posté le 02-12-2007 à 21:09:56  profilanswer
 

Uniquement des nouvelles, parce que j'écris par vagues, et sinon je tiens pas la longueur. Tout dans notre cher monde réel. J'ai écrit un peu de fantasy au début, mais ça m'a lassé.

n°13421363
sico15
Posté le 02-12-2007 à 21:15:32  profilanswer
 

Page 35 en fait, mais merci pour le compliment. J'espère que tu as pu travailer sur l'extrait que tu as posté.

n°13421433
sico15
Posté le 02-12-2007 à 21:27:46  profilanswer
 

Je me demande un truc : est-ce que tous les "futurs auteurs" de fantasy de ce forum font des fiches détaillées perso, lieux, chapitres ?

n°13424402
san marco
tune up - turn loud
Posté le 03-12-2007 à 11:43:22  profilanswer
 

Mitch-mitch a écrit :

A votre avis,  le plus important c'est l'histoire de votre livre ou votre style. Quand je lis un certain Bernard Werber, je suis pas emballé par son style ( loin de là ) mais malgrè ça, il arrive à me captiver dans son histoire.
 
Alors Style ou histoire, qu'est ce qui compte le plus ?


 
moi j'aurais dit le rythme.

mood
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