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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°13221495
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 09-11-2007 à 22:56:51  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Salut à tous !
 
[:dawasko] [:dawasko] [:dawasko] [:dawasko] [:dawasko]
 
 
 

Citation :

-Voilà ta chambre. Je vais te montrer les commodités. Regardes par la fenêtre. Tu vois la cabane au fond ? Ce sont des toilettes. Nous allons y aller de suite pour que je puisse te montrer leur fonctionnement.
 
 Nous descendîmes par le même escalier puis sortîmes. Il nous fallut 5 minutes de marche rapide pour les atteindre. Où suis arrivé ? Me dis-je, je suis chez un arriéré, un pauvre ou un ignorant ? Ne connaît t-il pas les toilettes d'usage en Ahamikah ? Le bon vieux trône dans la maisonnée ou il suffit de faire quelques pas que ce soit de la chambre ou de la cuisine pour faire ses besoins ?
Mais je n'étais pas au bout de mes surprises. Quand il ouvrit la porte une émanation nauséabonde me fit cracher mes tripes ! Sa schlinguait la merde la plus puante. Même les concours de pets auxquels je m'adonnais - mon sport favoris- étaient minables à coté de cette odeur. Il me mit une petite taloche et me dit de me contrôler, que cette odeur fait partie de l'homme et qu'il ne faut pas la renier. Il y avait juste un trou béant dans une surélévation en bois, sorte d'estrade. Je m'étonnais d'entendre de petits bruits et des gémissements.
 
-Comment les déjections sont elles évacuées ? Lui demandai-je. Où est la chasse d'eau ?
-Il n'y en a pas, me répondit t-il.
-Pas de chasse d'eau ?! Mais ce n'est pas hygiénique, !! m'exclamai-je
-que connais-tu de l'hygiène ? En quoi n'est ce pas hygiénique ? Es-tu médecin ?
 
Je ne savais quoi répondre. C'est vrai, en quoi ce n'était pas hygiénique ? Je ne m'étais pas posé la question. J'étais née avec un système de toilette existant et tous Ahamikant utilisaientt ce même système. Un WC ou il suffisait de faire ses besoins, de tirer la chasse et c'était tout. L'eau se chargeait de faire le ménage. Des toilettes aussi propre qu'une cuisine. Odeur d'excrément éphémère garantie. Des toilettes propres "sans bactéries " selon le slogan du produit nettoyant.
 
-Et les microbes ? Dis-je naïvement ne savant quoi répondre.
 
-La vie est constituée de microbes et de bactéries. Elles font partie de notre écosystème et toi tu voudrais t'en débarrasser pour la seule raison que l'on t'a dit que celles-ci dérangent et n'ont pas lieu d'être ? Et que pour ton bien être personnelle tu fais fi de la nature ?
 
Ce que je n'avais pas encore compris à ce moment c'est que cette personne avait commencé à m'enseigner la vie en Kah-Pousspa.
 
-Mais comment traitez-vous les besoins alors?  
-ce n'est pas moi qui m'en occupe, mais la nature.
Viens avec moi à l'arrière des " w.c. "
 
Je le suivis. On fit le tour de la cabane par la gauche, descendîmes sur quelques mètres et là, je fus très surpris. Des animaux vivaient dans une marre de boue où les excréments se retrouvaient, une sorte de cochon. Il y avait une multitude de forme de vie. Des insectes, des bousiers et beaucoup de petites bêtes que j'avais pu observer dans la forêt et les champs.
 
-tu vois gamin se sont eux qui s'occupent de traiter tes excréments.
-Mais c'est inhumain de se nourrir de la merde ! c'est dégouttant.
-oui pour toi et pour l'Homme et d'autre espèce animal, mais ceux que tu peux observer en cet instant vivent des excréments. Tous  pas directement. Seulement ces gros animaux et ceux-la là-bas peuvent en manger les autres utilisent pour leur besoin comme faire de la bouse pour pondre des œufs a l'intérieur pour les maintenir au chaud par exemple.  
 
-Alors c'est cela les petites boules que les bousiers poussent avec leurs pattes arrières ?
- C'est exact, je vois que tu es très observateur.
- Oh vous savez, je n'ai pas vraiment de mérite. Je n'ai fait que cela pendant les quelques mois ou j'ai dormis dans ma cabane.
-La nature est bien faite et équilibrée. La clé de la vie est l'équilibre. A travers ces choix, l'homme doit maintenir cet équilibre même si cela doit lui coûter un minimum voire un maximum, comme supporter cette odeur pour toi.
Maintenant que tu connais les toilettes je vais te montrer la salle où l'on se lave. Mais d'abord tu vas me faire plaisirs de nettoyer ton dégueuli avant de me rejoindre dans la demeure. Compris ?
 
Je le regardais bouche bée, les yeux grand ouverts. J’avais pas tout saisis et il le devina. Maintenant j’en étais sûr cet homme était complétement fou.
 
-ce n'est pas grave. Me lança-t-il en rigolant
 
(Croquis des toilettes et animaux à dessiner)
 
Sur ces paroles, il s'éloigna, sortit une petite pipe qu'il alluma.. Je pus distinguer au loin les ronds de fumée qu'il s'exerçait à cracher. Un effluve de tabac mélangé à une autre odeur qui m'était inconnu m'emplissait les poumons. Je respirais cette senteur à pleines bouffées pour contrecarrer la puanteur du vomi et de la merde. Une sensation de bien être et d'euphorie s'emparèrent de mon corps. Et de ce fait je lavais ma gerbe avec le sourire, sans broncher. Une fois fini, je retournais à la demeure. Il avait un sourire qui lui montait jusqu'aux yeux. Je me rendis compte que je n'avais pas encore fait attention à son aspect. Je lui répondis à mon tour en souriant.


 
 
 

Citation :

Cocoricoooooo. Le chant du coq m'apparu une plus grande torture que le réveil matin qui me signalait que je devais me lever pour aller à l’école. Je cherche en vain une montre, une horloge pour me repérer dans le temps. Je décidais de me lever. Pas un bruit, rien. Je descendit dans la cuisine. sur la table une assiette de légumes était disposée avec un mot :
 
" Je ne serai pas là jusqu à ce que Mahanne-Té soit au Zénith. Manges ce plat si tu as faim. Je me doute que ce ne sont pas tes habitudes alimentaires de manger des légumes et du riz au petit déjeuner. Ici on est loin des moeurs alimentaires d'Ahamikah comme tu peux t'en rendre compte. Pas de simili cacao et de céréales industrielles. Une nourriture saine est la base de la vie en Kah-Pousspa. A bientôt. "
 
C'est vrai, je n'avais l'habitude que de manger du lait tantôt au cacao tantôt nature avec des céréales aux multiples vitamines. Je m'étais souvent posé la question comment se faisait-il que chaque céréale que j'avalai contenait la même dose de vitamine les une que les autres. Je me demandais aussi si c'était les céréales qui me nourrissaient ou bien les vitamines. Si ce sont effectivement les vitamines il doit yen avoir aussi dans le plat à ma disposition. Je décidais alors de m'en nourrir. C'est la première fois que je ne mangeais pas quelques choses de sucrés le matin. Ce n'était pour me déplaire et j'appréciais ce mets.
" Décidément les gens de Kah-Pousspa sont bizarre " m'exclamais-je, puis me corrigeai " peut-être est-ce les gens d'Ahamikah qui le sont " je me sentais plus convaincu par la deuxième proposition. C'est d'ailleurs parce que je me sentais pas à ma place dans la Vie en Ahamikah que j'avais décidé de partir vers Kah-Pousspa pour trouver une vie qui me conviendrait bien mieux. C'est à ce moment que je pris la résolution de rester ici en acceptant la  proposition de l'homme. J'étais encore loin de savoir ce qui allait m'attendre.  
 
Quelque chose me troublait en Ahamikah, je trouvais que quelques choses ne tournaient pas rond. On poussait les gens à consommer tout et n'importe quoi. Les gens couraient après l'argent pour s'approprier des biens qui leur provoqueraient du plaisirs. J'avais compris que la vie était comme çà. On aspirait tous au bonheur et qu'en Ahamikah celui-ci se trouvait dans la consommation de bien accessible grâce à l'argent. Tout était prétexte pour s'enrichir. Les actes les plus abominable était courant. Il y avait des codes de loi bien sur à respespecter, mais l'immoralité elle, n'hétait pas répréhensible. Plutôt un facteur de réussite même ds de nombreux cas. Je ne me considérai pas comme un consommateur, je n'avais que très peu de besoins. Je ne voulais pas m'en créer me demandant si je pouvais y subvenir régulièrement. Je m'étais aperçu que j'étais devenu accro à la télévision et qu'il m'était difficile de m'en passer. J'avais donc pensé qu'il en serait de même si je commençais à m'attacher à tout ce qui promettait des instants de bonheurs et de joie selon les publicitaires. Je ne pense pas que mon mal-être provenait de ce refus de suivre le fonctionnement de notre socièté bien qu'ayant mainte fois essayer de m'intégrer mais que mon état psychologique en était fortement lié. Je me rapelle souvent  avoir souhaité devenir amnésique pour que l'on puisse me rééduquer car longtemps j'eu pensé et pense encore avoir un problème.  J'étais souvent seul dans ma chambre à écouter de la musique et regarder des films. A l'école, je m'ennuyais. Souvent je regardais par la fenêtre observant les rares oiseaux s'ébattant dans un ciel grisé par la pollution industriel. Quand je m'efforçais d'écouter mes professeurs il suffisait que ceux-ci prononcent un mot qui me fasse penser à quelques chose pour partir dans mes rêves éveillés ! Je n'arrivais jamais à suivre un cours. Mes résultats scolaires s'en faisaient ressentir et je désespérais touts mes professeurs qui pensaient que j'étais un gros fainéant, il y avait un peu de cela mais ce n'était pas tout. Jamais un professeur ne m'eu demandé si j'allais bien ou si j'avais des soucis. De toute façon je leur aurais répondu que non. J'étais quelqu'un de replié sur lui-même, très timide et n'osant intervenir pour exprimer mes doutes et ce que je ressentais. Les rares fois où je parlais à voix haute c'était uniquement en classe pour faire rire mes camarades et le professeur. Celui-ci n'approuvant pas toujours mes interventions évidemment. Ca donnait l'impression que j'avais de l'assurance et je cachais ma vrai nature derrière cette facette. Et cette apparence de troublions qui masquait mon mal être lié à une sentiment de différence - pas un sentiment d'infériorité mais "d'étranger" comme si malgré ma forme physique et ma physionomie, j'appartenais à une autre espèce-renforçait l'idée que ce faisait de moi la classe enseignante, un branleur de première ordre loin d'être bête. Ce qu ils ne savaient pas c'est que ces interventions en classe étaient les eul moment où je m'exprimais et rigolais.  
Je me sentais différent comme si le moule utilisé pour le cake que je suis n'était pas du tout identique à celui utilisé pour les autres personnes, d'une forme incompatible. Essayez de faire une tarte avec un plat à kouglof. Ce que je ne savais pas, c'est si j'étais la tarte ou le Kouglof.
 
Après ce repas je lavais soigneusement le plat dans l'évier et rangea l'assiette faite en ardoises avec les autres empilé sur une simple étagère de bois et sorti prendre l'air. Le ciel était bleu azur comme souvent je l'avais constaté dans cette région. L'air vivifiant, je la respirais à pleins poumons. Le premier soleil était déjà haut ds le ciel, Mahanne-Té  à mi-chemin. D'ici quelques heures il sera de retour et je lui annoncerai mon choix. Pour la première fois je me sentais libre et avait l'impression de pouvoir utiliser mon libre arbitre.
 En attendant, je vais faire un saut dans la cabane du fond et nourrir de ce fait les cochons. J'ouvris la porte et cette odeur nauséabonde était toujours présente. Je me pinçais le nez, refermait la porte et m'assis au-dessus du trou. " Il faut que je m'habitue à cette odeur ". Pour ce faire je prenais de petite bouffée d'air à intervalle régulier en espérant m'habituer à cette puanteur. Une puanteur des plus naturelle. Je souriais bêtement à l'idée que j'étais entrains de contribuer à l'émancipation de la nature en chiant un coup. Ce qui me fit presque perdre l'équilibre. Pendant les mois où je vivais dans la forêt je me plaisais à faire mes besoins dans la nature, une sensation de liberté m'emplissait le corps. Cette même sensation je la retrouvais mais décupler à cet instant même. Une fois mon pâté fini je cherchai du regard de quoi m'essuyer et aperçu quelques de ce qui me semblait être des feuilles issu du bananier. J'en avais déjà vu à la télé sur la chaîne Nature. Ah, cette bonne vieille télé, que de nostalgie, je n'en m'étais pas totalement désintoxiqué. Malgré le nombre de conneries retransmis sur toutes les chaînes, il y avait une part minime de choses intéressantes. C'est à ce moment que je me fis une des plus importantes réflexions qui me permirent plus tard d'avancer dans ma quête du spirituel : " Même derrière la boue, se trouve de l'or ".
Derrière les apparences de cet homme se trouvait une personne formidable, derrière la vétusté de la maison, celle-ci renfermait une chaleur humaine que je n'avais encore jamais ressentie et que n'importe quels autres décors et artifices n'auraient pu me procurer.
 
L'homme rentra  quelque temps après et je lui annonçai la nouvelle.


 
 
 
yo  
 
je poste ces extraits pour savoir si le fond de ces deux textes ne fait pas gnangnan ou trop donneur de leçon.
 
Ne vous embêtez pas à corriger l'orthographe. C'est vraiment uniquement pour cette raison.

Message cité 1 fois
Message édité par Positiviste le 09-11-2007 à 23:05:15

---------------
ploum ploum tralala
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Posté le 09-11-2007 à 22:56:51  profilanswer
 

n°13222443
Borabora
Dilettante
Posté le 10-11-2007 à 00:47:02  profilanswer
 

Positiviste a écrit :


je poste ces extraits pour savoir si le fond de ces deux textes ne fait pas gnangnan ou trop donneur de leçon.


Si. A la fois gnangnan et donneur de leçons. D'autant que l'on se doute bien que l'auteur n'a jamais chié dans une cahute avec une planche trouée, des gros vers blancs à merde qui grouillent et un vieux journal en guise de PQ (moi si, et je le souhaite à personne).
 
Je n'ai lu la deuxième qu'en diagonale, puisque la lecture du premier et du dernier paragraphe suffit à se rendre compte qu'il s'agit de la même chose, saupoudrée d'un peu de mythologie du "bon sauvage".
 
Du point de vue écriture, c'est interminable et sans aucun intérêt. Tu aurais pu torcher ( :whistle: ) ça en quelques lignes ou l'intégrer l'air de rien au sein d'un texte plus signifiant.
 

Citation :

Ne vous embêtez pas à corriger l'orthographe. C'est vraiment uniquement pour cette raison.


Oui, ne t'embête surtout pas à corriger l'orthographe. :sarcastic:

Message cité 1 fois
Message édité par Borabora le 10-11-2007 à 00:50:32
n°13224745
angie25
Posté le 10-11-2007 à 13:52:57  profilanswer
 

Bonjour à toutes et à tous,
 
Voilà un long moment que je n'étais pas venue sur le site, j'avoue qu'il y a eu de l'animation!!
 
Je vais essayer de lire sereinement vos écrits, et je vous dirais ce que j'en pense!
 
Pour l'instant, j'aurais besoin d'avoir des infos sur les 4 éléments: l'eau, la terre, le feu et l'air .
 
Si quelqu'un connait un site où je pourrais me documenter, ça serait sympa de me l'indiquer!
 
C'est pour mon ouvrage.
 
Merci.

n°13225016
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 10-11-2007 à 14:28:21  profilanswer
 

Citation :


Si. A la fois gnangnan et donneur de leçons.


 
merci. c'est ce que je vouais savoir. T as usé ton clavier pour pas grand chose (oh la belle perche...). T'aurais pu torché çà en 10 mots.
 
 

Citation :

D'autant que l'on se doute bien que l'auteur n'a jamais chié dans une cahute avec une planche trouée, des gros vers blancs à merde qui grouillent et un vieux journal en guise de PQ (moi si, et je le souhaite à personne).


 
???
 

Citation :

Je n'ai lu la deuxième qu'en diagonale, puisque la lecture du premier et du dernier paragraphe suffit à se rendre compte qu'il s'agit de la même chose...


 
bin oui, c'est pour cette raison qu'il y avait la meme question pour les deux paragraphes. C'était meme une lecture en diagonale que je souhaitais  (ne vous embêtez pas à.....)
 

Citation :

Du point de vue écriture, c'est interminable et sans aucun intérêt.


çà je sais pas. Sortie du context c'est difficile de juger et sans avoir prété à la mise en forme, mais j'y réfléchirais.  
 

Borabora a écrit :


Citation :

Ne vous embêtez pas à corriger l'orthographe. C'est vraiment uniquement pour cette raison.


Oui, ne t'embête surtout pas à corriger l'orthographe. :sarcastic:


 
çà c'était vraiment nul ou j'ai pas compris. Jdois pas avoir compris
 
---------------------------------------------------------------------------------------------------------
 
C'est quand meme trés minable ce genre de conversations. Petit et trés facile.

Message cité 2 fois
Message édité par Positiviste le 10-11-2007 à 15:00:25

---------------
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n°13225184
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 10-11-2007 à 14:48:00  profilanswer
 

 

Tout bêtement parceque ca permet une meilleure compréhension du texte.
Moi si je vois 5 fautes d'orthographe dans la première phrase, je zappe... ça ne m'interresse pas de devoir faire l'effort de comprendre quelque chose qui est censé être limpide, surtout lorsqu'il s'agit d'un gros pavé.
Il existe des correcteurs d'orthographe, c'est la moindre des choses de s'en servir lorsqu'on veut l'avis des gens sur le fond. C'est indissociable,  il faut aussi soigner la forme. Tout le monde fait des fautes d'orthographe, moi la première, mais je fais des efforts lorsque le texte ne s'adresse pas qu'à moi-même.
Tu veux que les gens te donnent des conseils, donne leur les moyens de le faire.
C'est un peu "extrème" comme exemple, mais imagine toi donner un CV bourré de fautes à un probable employeur. Est-ce que tu vas lui dire "Bon on se fiche des fautes d'orthographe, c'est le contenu qui est interressant hein".
Ne pas prendre la peine de se relire, de se corriger, je trouve (amha) que c'est un manque de respect pour les personnes qui font l'effort de te conseiller (après tout, ils ne sont pas obligés de le faire ;) )
Si tu veux être pris au serieux, il faut être serieux.

 

Bon ce n'est que mon avis perso hein, il y a des gens que ca ne dérange pas, mais je pense que la plupart des gens qui sont susceptibles de te donner des conseils sur ton écriture sont des gens qui connaissent un minimum la littérature et qui indirectement, sont aussi attachés à une forme aussi soignée que le fond.

 

Ca fait grandiloquent, mais j'espère avoir répondu à ta question :)

 


EDIT : c'est un conseil qui s'adresse à tout le monde, pas particulièrement à marcoloo.


Message édité par -redmoon- le 10-11-2007 à 14:50:08
n°13225214
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 10-11-2007 à 14:51:26  profilanswer
 

nan c'était pas çà mais c'est pas grave.


---------------
ploum ploum tralala
n°13225232
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 10-11-2007 à 14:53:44  profilanswer
 

Positiviste a écrit :

nan c'était pas çà mais c'est pas grave.


 
 
Pas quoi?  :??:

n°13225256
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 10-11-2007 à 14:56:10  profilanswer
 

Citation :


Ca fait grandiloquent, mais j'espère avoir répondu à ta question  
 


 

Citation :

nan c'était pas çà mais c'est pas grave


 
 

-redmoon- a écrit :


 
 
Pas quoi?  :??:

Message cité 1 fois
Message édité par Positiviste le 10-11-2007 à 14:58:37

---------------
ploum ploum tralala
n°13225318
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 10-11-2007 à 15:02:37  profilanswer
 

Positiviste a écrit :


Citation :

Ca fait grandiloquent, mais j'espère avoir répondu à ta question

 



 

Bon alors pour reprendre,
TOI : Ne vous embêtez pas à corriger l'orthographe. C'est vraiment uniquement pour cette raison.
BORABORA : Oui, ne t'embête surtout pas à corriger l'orthographe. :sarcastic:
TOI : Pourquoi? (que tu as édité en temps d'un "çà c'était vraiment nul ou j'ai pas compris. Jdois pas avoir compris" )
MOI : Les fautes d'orthographe c'est le mal...blablabla...j'espère avoir répondu à ta question...blablabla
TOI : nan c'était pas çà mais c'est pas grave.
MOI : Pas quoi :??:
TOI : Me citant : Ca fait grandiloquent, mais j'espère avoir répondu à ta question

 

Donc je recommence  :  :??:

 

Parceque là, vraiment, je comprend plus rien. :sweat:

 


EDIT : quand je parle de ta question je parle du "pourquoi?"...


Message édité par -redmoon- le 10-11-2007 à 15:03:41
n°13225382
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 10-11-2007 à 15:09:38  profilanswer
 

lol
 
on laisse tomber. Je sais que c'est nul les fautes d'ortho.  
C'était son quote que j'avais pas compris. J'avais totalement conscience qu'il y avais des fautes mais ce que je voulais dire par cette phrase c'était de ne pas s'arrétez en détail sur les deux textes. Donc pour moi çà n'avait aucun sens de quoter cette phrase pour dire qu'il y avait des fautes. J'aurais préféré de loin un sermont et çà m'auarait paru plus clair.

Message cité 1 fois
Message édité par Positiviste le 10-11-2007 à 15:10:47

---------------
ploum ploum tralala
mood
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Posté le 10-11-2007 à 15:09:38  profilanswer
 

n°13225410
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 10-11-2007 à 15:13:16  profilanswer
 

Positiviste a écrit :

lol
 
on laisse tomber. Je sais que c'est nul les fautes d'ortho.  
C'était son quote que j'avais pas compris. J'avais totalement conscience qu'il y avais des fautes mais ce que je voulais dire par cette phrase c'était de ne pas s'arrétez en détail sur les deux textes. Donc pour moi çà n'avait aucun sens de quoter cette phrase pour dire qu'il y avait des fautes. J'aurais préféré de loin un sermont et çà m'auarait paru plus clair.


 
:heink: ha ouais quand même...
Remarque finalement, tu l'as eu ton sermon  :o  

n°13225468
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 10-11-2007 à 15:22:25  profilanswer
 

ouais. Mais celui la on le collectioone sur ce topic.
Faudrait les compter et pour la 50ème offrir un texte sans faute.


---------------
ploum ploum tralala
n°13225522
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 10-11-2007 à 15:31:44  profilanswer
 

Positiviste a écrit :

ouais. Mais celui la on le collectioone sur ce topic.
Faudrait les compter et pour la 50ème offrir un texte sans faute.

 

:heink:
Mouais... Tu peux aussi en proposer un tout de suite aussi.

 

Nan mais franchement soyons serieux deux minutes.
Tu nous pond un texte où il est questions de déjections humaines pendant plus de 10 lignes (je ne sais pas si il y en a plus, j'ai pas eu le courage de continuer) Tu ne fais aucun effort pour qu'on arrive au moins à comprendre de quoi il est question et tu te permet encore d'être sarcastique sur les conseils qu'on te donne.
Bref, c'est même pas la peine d'insister....
Ecris comme tu veux, mais si tu te prend la même remarque à chaque fois, viens pas te plaindre.

 

Message cité 1 fois
Message édité par -redmoon- le 10-11-2007 à 15:32:04
n°13225531
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 10-11-2007 à 15:32:40  profilanswer
 

bug


Message édité par -redmoon- le 10-11-2007 à 15:33:08
n°13226449
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 10-11-2007 à 17:55:01  profilanswer
 

humour humour humour


---------------
ploum ploum tralala
n°13226973
Joe Black1
Posté le 10-11-2007 à 19:24:46  profilanswer
 

Citation :

"Il parait que dans la vie, le seul but à atteindre c'est la connaissance de la vérité ; il parait aussi que la vérité nous rendra libre. Ce qu'on ne vous dis pas c'est que pour connaitre cette vérité , il faut la rechercher et que cette recherche nous torture l'ésprit , nous empeche de dormir, que l'océan de questions qui vient nous bousculer et troubler notre sommeil nous rend fous ..."  
Pourquoi avait-il accepté cette mission de nouveau ? Il ne le savait plus. Il errait dans les rues de Berlin, sans but, tel un zombi; les bras laches , la tête baissé , le regarde vide. Il était trempé de la tete aux pieds mais il n'avait pas l'air de s'en soucier. Quand cela avait_il commencé ? surement quand il se trouvait au pénitencier d'Angola ; ou était ce plus tot ? Non en réalité tout avait commencé quand il était dans le corps de l 'armée américaine. Sergent dans les marines de la premiere division basé en californie à camp pandleton et il s'en mordait les doigts.
 
Le commandant Arthémus Pacévisius ! Il devait avoir la quartantaine, une gueule de Bulldog pret a vous mordre et de petits yeux porcins, un grand dadet au premier abord, mais surtout un grand connard qui n'était pas fais pour réflechir. On aurait pus sincerement se demander comment il avait pus atteindre un grade aussi avancé. D'apres lui, il aurait gagné ses galons durant la guerre du Viet-Nam; tu parles ! Caël etait presque certain qu'il se cachait derriere de vrais braves à pisser dans son froc en se demandant quand cela s'arreterait-il.  
En attendant , il était son superieur et surtout la cause de ses douleurs. Il était devenus le bouc émissaire de la division: Caël Mc Millan. Peut etre etait ce ses origines irlandaise qui le dérangeait ?
 
-OU VOTRE SALE GUEULE D'ANGE DE CABOCHARD D'IRLANDAIS DE MERDE QUI ME REVIENS PAS MC MILLAN !!!
   
vociferait il a longueur de journée et si le "bien aimé" commandant Pacévisius ne lui avait pas cracher son refrain habituel au moins cinq fois dans la journée c'est qu'il était de bonne humeur. Pourtant Caël Mc Millan ; grand ; athlétique; le visage souriant et chaleureux aux yeux petillants couleur émeraude, avait tous pour plaire. En plus d'etre  le compagnon de route et d'arme idéal, l'homme en qui on pouvait confier ses secrets ou trouver du réconfort et de la compassion. Peut etre meme que certains hommes du régiments étaient tombés amoureux de lui , au sens propre du terme, sans lui avouer ; par pudeur ou par timidité. Mais c'etait probablement là , que résidait le probleme , c'etait, aussi surement qu'apres la pluie vient le beau temps , l'unique raison pour laquelle le commandant ne l'aimait pas , le haïssait meme ! Le charisme du sergent Caël McMillan était trop important a son gout. A dire vrai son charisme aupres de la premiere divison supplentait largement celui de son supérieur et celui-ci le savait pertinement.
 
-Putain, Pourquoi Dieu à t-il créé les irlandais ?! Vous pouvez me le dire Sergent McMillan ?!!
   
Les eternelles questions éxistencielles du commandant étaient devenus une routine sous laquelle Caël devait se plier et répondre sans offusquer on supérieur , meme si il pensait le contraire...
 
-JE NE SAIS PAS CHEF !! PEUT A T IL JUGE QUE CELA ETAIT BON CHEF !!  
 
et il pensait interieurement ce qu'il ne pouvait dire a voix haute :
*Juste pour te faire chier gros porc , ou alors pour montrer qu'il éxiste des types bien sur cette terre !*
 


 
-Ouais ?! Bah en attendant de le savoir, dans le 6eme Bataillon de la premiere division des Marines, Dieu c'est moi !! Et Dieu vous ordonne de faire cent pompes McMillan ! Répliqua Pacévisius avec une éspece de jouissance ou d'éxtase dans la voix.
 
Il lui en faisait baver et il adorait cela, comme si rien au monde pouvait lui procurer plus de plaisir que de le voir suer et se crever sous ses ordres tyraniques. Et dans la sueur Caël se rememorait les souvenirs de son arrivée dans la Division:
 
Des leur premiere rencontre Pacévisius commencait déja à l'insulter, ca devait être inné chez lui. A dire vrai il cherchait la faille , une faiblesse chez le jeune homme. Malheureusement pour lui, sa recherche n'aboutissait pas, il n'avait alors obtenus aucune victoire personnelle sur lui et son égo s'en trouvait grandement bléssé. Meurtris tel un taurreau abbattu par la fatigue et harcelé par le matador, l'homme ne chercha alors plus qu'a l'humilier de toutes les manieres possibles et immaginables. Tous les moyens étaient bons. Et son nom de famille était surement la premiere occasion pour lui de se venger de sa défaite.
 
-Mc Millan, en voila un putain de foutu nom d'Irlandais de merde !
*Parce que Arthémus Pacévisius c'était mieux ?*
 
-Mc Millan... Mc Millan... , ca vient de votre père ?
*Fais pas plus con que tu ne l'est bien sur que ca vient de mon Pere , les nom de famille se transmettent de Peres en fils en Irlande, comme partout d'ailleur. Mais bon a question conne réponse conne ...*
 
-Je ne sais pas chef ! J'ai jamais pus lui poser la question chef ! Mes parents sont morts quand j'avais sept ans chef !!  
 
Il n'avait aucun souvenirs de son enfance, avant son septieme anniversaire. Brulés, en meme temps que ses parents et sa demeure. Ses souvenirs resteraient prisonniers dans la charpente calciné de la maison de son enfance. Mais cette réponse ne sembla pas émouvoir le commandant. Cet homme devait etre dénué de sentiments...
 
-Mais c'est qu'il va nous faire pleurer !! Ironisa t'il.
 
Une fois lancé Pacévisius ne s'arretait plus, c'était surement l'une de ses "particularités" les plus détestables. Un vrai moulin à paroles ! Il n'était pas étonnant de savoir qu'il n'était pas marié et qu'il ne le serait probablement jamais.
 
-Mc Millan, avec un nom comme ca on vas t'initier au tir de sniping !! On vas t'offrir notre bon vieux model de fusil : le Mc Millan M-89.  
Il s'ésclaffa pensant alors que sa blague était marrante ...
 
-Merci Chef ! J'en ferais bon usage Chef ! Soyez en sur Chef !  
 
-Vous appartenez a l'armée américaine et vous ferez mouche !!
 
-Oui Chef !!
 
-Je ne parlais pas a vous soldat Mc Millan, mais a votre arme ! Son rire gutural résonna une fois de plus dans la cour.
 
-Votre fusil est votre meilleur ami, soldats ! Sans lui vous servez a rien, et sans vous il sert a rien !! Votre fusil c'est votre vie, vous devez le connaitre comme la putain qui vous a allaité !!
 
-OUI , CHEF !! répondirent en coeur les soldats du régiment.


Message édité par Joe Black1 le 10-11-2007 à 23:00:09
n°13229301
Borabora
Dilettante
Posté le 11-11-2007 à 01:28:14  profilanswer
 

Positiviste a écrit :

merci. c'est ce que je vouais savoir. T as usé ton clavier pour pas grand chose (oh la belle perche...). T'aurais pu torché çà en 10 mots.


Merci de me l'indiquer, mais si tu relis mon post tu verras que je ne demandais pas particulièrement d'avis sur ma réponse.  ;)

Citation :

???


Rien de spécial à comprendre. Le genre de chiottes que tu décris, j'en ai connu à la campagne quand j'étais môme. Ca n'incite pas à la philo à deux balles sur le thème du rapprochement avec la nature et de la-vraie-vie-pas-artificielle, juste à gerber et/ou se carapater au plus vite. [:spamafoote] Bref, le cas de figure que tu utilises pour ta démonstration dans le 1er texte est bidon.
 
Celui du deuxième semble mieux choisi : sorti des ados qui sont encore dans leur phase kebab-vache qui rit, tout le monde peut comprendre que des aliments qui viennent du jardin ont de plus grandes qualités gustatives et nutritionelles que de la bouffe industrielle. Donc là on peut s'identifier et adhérer au message. Le problème, pour le coup, est que le message est bateau, puisque tout le monde le sait déjà. Donc gnangnan. Mais c'est tout de même plus pertinent.
 

Citation :

bin oui, c'est pour cette raison qu'il y avait la meme question pour les deux paragraphes. C'était meme une lecture en diagonale que je souhaitais  (ne vous embêtez pas à.....)


Tu demandais à ce qu'on ne s'arrête pas à l'orthographe. Tu n'as pas demandé à ce qu'on ne s'arrête pas au style. Ce qui serait d'ailleurs complètement inutile, puisque le fond et la forme sont indissociables. Sinon, inutile d'écrire de la fiction : tu pouvais aller dans la cat' société et lancer un topic sur le thème : "Pensez-vous que nous devrions retrouver le lien avec la nature ?"
 
Bref, le message en lui-même est très louable, c'est pas le problème, mais l'expression déplorable.  [:spamafoote]  
 

Citation :

çà je sais pas. Sortie du context c'est difficile de juger et sans avoir prété à la mise en forme, mais j'y réfléchirais.


C'est bien ce que je voulais dire en parlant de l'intégrer en passant dans quelque chose de plus signifiant. Hors contexte, 70 lignes sur la découverte du recyclage de la merde, c'est interminable. Et même dans un contexte plus intéressant, je vois mal comment garder l'attention du lecteur avec un développement aussi long sur quelque chose que tout le monde a compris très vite. A "médecin", on a déjà pigé ce que tu vas dire, et le reste est redondant.
 

Positiviste a écrit :


 
çà c'était vraiment nul ou j'ai pas compris. Jdois pas avoir compris


C'était une blague, donc oui, ta première hypothèse était problablement la bonne. Disons pour en faire le tour que c'est déjà assez pathétique de ne pas encore avoir assimilé à 23 ans les règles orthographiques et grammaticales enseignées au CM1. Mais l'habitude d'ajouter "faites pas attention aux fautes", comme si c'était possible de la part du lecteur, et comme si c'était un énorme effort pour le posteur de prendre 5 minutes pour en corriger la plupart, ça gonfle. Si je suis le 50ème à faire cette remarque sur l'orthographe, c'est parce que tu es le 50ème à te foutre de la gueule de gens dont tu attends qu'ils lisent ton truc et prennent le temps de dire ce qu'ils en pensent. C'est le dialogue typique parents/ados immatures :
 
[La mère, ton excédé] Mais ne laisse pas traîner tes baskets en plein milieu du couloir !
 
[Le fils, affalé sur le canapé devant la télé] Ouaiiiiis... ça va... c'est bon !
 
[La mère, qui ne voit rien venir] Qu'est-ce que t'attends ? Que je le fasse à ta place ?
 
[Le fils, ton de martyr chrétien livré aux lions] Oh là làààààààà.... ! C'est booooooon, je vais le faaaaaaaire ! T'as pas besoin de me le répéter tous les jours à chaque minute, c'est saoûlant ! Je regarde la fin du clip, c'est pas la fin du monde parce que mes pompes sont au milieu du couloir !
 
[La mère, qui s'étouffe d'indignation] Si je te le répète tous les jours, c'est parce que tous les jours tu balances tes chaussures au milieu du couloir en attendant que bobonne les ramasse pour les mettre sous le porte-manteau où personne ne butera dedans !
 
[Le fils, ton mélodramatique d'un desespéré sur le point de se suicider] MAIS VAS-Y, C'EST BON !
 
/attrape ses chaussures et part dans sa chambre en claquant la porte. Exprime quelques secondes plus tard sa révolte de victime incomprise dans ce monde d'adultes formatés en mettant à fond "Black Apocalyptica of Hell" des Oxyds Morons, avec le volume à 11. S'ensuivra la visite immédiate de la mère pour hurler par-dessus les riffs d'enfer du groupe mythique "ET NE METS PAS TA MUSIQUE SI FORT !" etc.
 
Rincer, essorer et répéter pendant une dizaine d'années...  :whistle:

Message cité 2 fois
Message édité par Borabora le 11-11-2007 à 01:30:19
n°13230953
cockeen
Posté le 11-11-2007 à 13:02:51  profilanswer
 

Eh bien je vois que vous arrivez à vous interesser à autre chose qu'à de la S.F je pourrais alors poster l'autre partie de mon roman, sur les rencontres Internet.
 
Enfin...

n°13231040
Joe Black1
Posté le 11-11-2007 à 13:15:18  profilanswer
 

LoL a dire vrai la science fiction est bonne quand on a l'impression que s'en est pas :) , suffit de voir le Da Vinci Code pour savoir qu'un bon livre de science fiction est un livre qui mele Réalité historique  et fiction a tel point qu'on croit que tous le livre est véridique ....

n°13238146
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 12-11-2007 à 10:48:55  profilanswer
 

Borabora a écrit :

Rincer, essorer et répéter pendant une dizaine d'années...  :whistle:

On sent le vécu de parent là... :whistle:

n°13238332
rampa99
Posté le 12-11-2007 à 11:09:42  profilanswer
 

@joeblack: C'est ton opinion, mais laisse aux autres la liberté de penser différemment. Le DaVinci Code (qui est un bon polar par ailleurs) n'est pas de la science-fiction. Pour une définition (qui vaut ce qu'elle vaut mais au moins ca pose les bases) http://fr.wikipedia.org/wiki/Science-fiction
 
Après chacun a le droit d'aimer la SF ou pas.  
 
Il faut juste ne pas la confondre avec la fiction (DaVinci Code), le fantasy (Seigneur des anneaux), le fantastique (Lovecraft)...
 
Après tout, tu ne confonds pas le roman historique (Drouon les rois maudits) et le documentaire historique (Là j'ai rien d'autres en tête que "JCDecaux raconte l'histoire aux enfants" ). Ben là c'est pareil.
 
Fin du HS

n°13238357
Borabora
Dilettante
Posté le 12-11-2007 à 11:12:04  profilanswer
 

tigrou_bis a écrit :

On sent le vécu de parent là... :whistle:


Pas complètement, puisque c'était une fille, ce qui nous a permis d'échapper au metal (c'est toujours ça de pris :D ), mais oui, y'a du vécu. Le notre et celui de tous nos proches de notre âge.  :whistle:

n°13243281
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 12-11-2007 à 19:23:42  profilanswer
 

Joe Black1 a écrit :

LoL a dire vrai la science fiction est bonne quand on a l'impression que s'en est pas :) , suffit de voir le Da Vinci Code pour savoir qu'un bon livre de science fiction est un livre qui mele Réalité historique  et fiction a tel point qu'on croit que tous le livre est véridique ....


 
Le Da Vinci code de la Sf ?  [:crazy bosniak]  
 

Citation :

Thriller en forme de jeu de piste construit à partir de nombreux éléments historiques et religieux, exploitant la théorie du complot, ce roman est un phénomène de l'édition au niveau mondial, ayant été vendu à plus de vingt millions d'exemplaires en moins de deux ans, dont plus d'un million et demi en France, où se passe la majeure partie de l'action. Son succès a engendré tout un mouvement économique, notamment avec un lot de livres « décodant » les environnements dans lesquels évoluent les personnages, des circuits touristiques sur les traces de ceux-ci, quantité d'émissions de radio et de télévision, des débats, une moisson d'articles, etc.


 
Source : Wikipédia.
Autre liens

n°13245792
coachmanu
Qui perd gagne
Posté le 12-11-2007 à 23:21:41  profilanswer
 

Quels sont les démarches à suivre pour faire publier un livre?

n°13245999
Borabora
Dilettante
Posté le 12-11-2007 à 23:43:28  profilanswer
 

coachmanu a écrit :

Quels sont les démarches à suivre pour faire publier un livre?


Va lire ce topic : http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 3415_1.htm. Ici, c'est l'écriture, pas l'édition.  ;)

n°13249349
CochiseGus
-
Posté le 13-11-2007 à 13:25:23  profilanswer
 

Salut à tous!  
Je suis nouveau sur ce forum. Je l'ai decouvers il y a un mois, quand j'ai commencé mon premier roman. Maintenant que j'ai près de dix-mille mots écrits, je suis en quête de commentaires à son sujet. J'aimerai surtout savoir ce que vous en pensez : style, vocabulaire, orthographe, structure, etc.  
 
Le roman raconte l'histoire de Rognus, un semi-homme (semblable aux hobbits dans les livres de Tolkien) nouvellement arrivé dans la ville de Grand-Pré. L'histoire se déroule dans un monde où le niveau de technologie est équivalant à celui du moyen-âge, avec un peu de magie et plusieurs créatures fantastiques. Pour l'instant, le livre s'intitule : Le Culte d'Aludalomet
 
Voici sans plus tarder le premier chapitre :  
 
Une pierre, deux coups  
 
Rognus se préparait pour une autre journée de travail à Grand-Pré. Il était arrivé en ville il n’y avait que quelques semaines et déjà, il avait un logis sur lequel il pouvait compter. Dès son arrivé, il s’était fait un point de se faire un bon ami le plus rapidement possible, ami qui accepterai de l’héberger pour un mois ou deux.  Non seulement il avait un logis, mais par-dessus tout, un salaire que l’on pouvait considérer fiable : surtout ces temps-ci, vus les récents affrontements entre la Perle et la Rose dans le comté de Salerne, région la plus économiquement développée du royaume de Melran. La “Perle Noire” et la “Rose Sanglante” étaient toute deux des organisations d’assassins et de contrebandiers qui se battaient pour obtenir le pouvoir et le contrôle sur le royaume. La Perle Noire avait la maîtrise sur l’économie de Melran alors que la Rose avait le pouvoir politique. Les plus nobles et les plus justes seigneurs étaient, sans toujours le savoir, les pantins de la Rose. Toutes les importations et exportations de marchandise étaient contrôlées par la Perle. La situation avait toujours été comme cela. Ce n’était seulement que lorsque l’une des deux organisations avait affiché au grand jour son pouvoir que l’autre avait riposté, entrainant un déséquilibre total. Cette guerre durait depuis près de quatre cent jours et elle n’était pas prête d’être terminée. Lorsqu’elle se terminerait, Melran serait soi remis sur pied, soi achevé d’un dernier coup de hache décisif.  
 
Cette rixe, on en entendait peu parler : seuls les gens bien informés ou bien placés en connaissaient l’existence. Grand-Pré était une ville assez éloignée du compté de Salerne, elle était toutefois très affectée par ce conflit car le port de Singrel, situé dans Salerne, était l’un des seuls point où les marchandises pouvaient quitter ou pénétrer le royaume par la voie de la mer. Il fallait jusqu’à huit semaines de plus pour recevoir des marchandises à Grand-Pré et le coût atteignait parfois le double de la normale. Les emplois se faisaient donc plus rares et les habitations plus chères. C’était aussi cette crise économique qui avait amené Rognus à Grand Pré. Il avait toutefois eu beaucoup de chance en trouvant un logis et un emploi dès ses premiers jours.
 
Il déjeunait avec son hôte, Ghael, propriétaire d’une petite échoppe d’arbalètes, d’équipement divers et d’un discret espace de pratique au tir à distance. Rognus ne l’avait pas rencontré par hasard : son premier arrêt à son arrivé fût ce commerçant, où il dépensa le reste de ses économies de voyage sur sa première arbalète et des outils de crochetage pour lesquels on avait dirigé Rognus vers ce même marchand. Ghael avait ouvert ce commerce six ans plus tôt. Ayant une force de caractère comparable à celle de son locataire, il n’avait pas eu grande épreuve à surmonter pour rendre cette entreprise rentable. Ce n’était peut être pas l’endroit le plus fréquenté de la ville, mais il y avait tout de même une clientèle assez caractéristique à ce magasin : Il était le seul vendeur d’équipement conçus pour les semi-hommes et le meilleur arbalétrier en ville. Pour couronner le tout, il vendait aussi certains équipements aux gens qui les sollicitait, gens dont les desseins étaient le plus souvent soit brouillé ou inconnu. Ghael était habitué à cela : il devait oublier sa curiosité lorsqu’il recevait ce genre de client, mais il savait très bien que si l’on parlait d’un quelconque méfait à la suite de cette vente, il avait probablement déjà rencontré la cause.    
Rognus, tout comme son hébergeur, était un semi-homme : ce que l’on dit être un heureux mélange entre les nains, les hommes, les elfes et peut être même les gnomes. Les semi-hommes ont tendance à bien s’intégrer dans toutes sociétés vus leurs affinités communes avec la plupart des races civilisée. Ils ont la ruse des elfes, l’impulsivité des nains, la ténacité des humains et la légèreté d’esprit des gnomes. Du coté physique, ils mesurent environ trois pieds et six pouces et pèsent entre trente et cinquante-cinq livres. Leur visage est plutôt rond avec de petites oreilles légèrement pointues et de gros yeux. Ils ont généralement un système pileux assez développé : leurs pieds étant parfois aussi velus que leur tête. On les voit souvent réunis en petites communautés nomades de quarante à quatre-vingt habitants.  Rognus avait quitté la sienne il y a trois mois avec la ferme intension de se faire une réputation comparable à celle des plus nobles aventuriers. Il avait donc décidé de commencer par se rendre sur des terres plus propices : on ne devient pas célèbre dans une région peuplée de quelques quatre-cent semi-hommes, c'est-à-dire huit petites colonies qui font du commerce à chacune d’entre elles et au reste de la région. Cette région, on l’appelait «la Vallée de la Frontière Brisée». Elle se situait entre le Royaume de Melran et celui de Carelad, le royaume elfique. Les habitants de la vallée faisaient du commerce en partant de la frontière, se dirigeant vers les forêts de Carelad et ce jusqu’au fort Panor : ancienne forteresse côtière humaine servant maintenant de port aux habitants et au commerce elfique. À partir du fort, ils suivaient le chemin donnant sur l’océan, retraversaient la frontière et continuaient jusqu’au port de Singrel. Les nomades revenaient ensuite au point de départ, la vallée. Ce voyage, Rognus l’avait fait plus d’une fois. Soi par soif de découverte, soi par ennui du trajet habituel, il avait décidé de partir vers des terres inconnues de sa personne : vers son avenir.
Une fois son repas terminé, Rognus se leva de table. Tout en se préparant à partir, il s’adressa à Ghael. «Tu pourrais peut-être faire un peu de promotion pour tes équipements : une compétition, des épreuves ou un concours!
 - Non, j’ai déjà essayé, entonna Ghael avec exaspération. J’avais organisé un défi il y a quelques années. Je n’ai eu aucun participant et pire encore : les gardes m’on forcé à arrêter le concours! Il faut croire que ce genre d’évènement est peu apprécié chez les hommes. Le gagnant de l’épreuve se méritait ma meilleure arbalète et cent-vingt Marets…
 - Cent-vingt Marets!, interrompis Rognus. Mais c’est la valeur d’une armure complète, des bottes jusqu'à la visière! Et même, cela devrait être une excellente armure pour en valoir tant!
 - Exactement, mais la difficulté de l’épreuve était égale à la grandeur du prix : les participants devaient m’amener dix-neuf têtes de gobelins de la forêt fraichement coupées! En trois jour, plus de soixante curieux se sont présenté, mais n’on jamais voulut participer. Le quatrième jour, les gardes sont venus mettre fin à la compétition.
 - je vois… Je voulais plutôt parler d’une compétition plus amicale, moins controversée et moins… impossible… Quelque chose comme une compétition de tir à l’arbalète : sa te permettrai aussi de démontrer la qualité de ton travail.
 - Oui, je pourrais bien retenter l’expérience. Si tu trouve au moins quarante participants : je te donne une inscription gratuite au tournoi et je te laisserai vivre chez moi aussi longtemps que tu le souhaiteras, pour un coût minime.
 - Je ne vais pas seulement atteindre cet objectif, je vais le dépasser, et de loin! s’exclama Rognus avec toute la confiance qu’il possède.
 - Bien, je compte sur vous. »
Le commerçant retourna préparer le magasin pour la journée tandis que son associé quittait le petit bâtiment de l’est de la ville servant à la fois de résidence et de lieu de travail à Ghael.
 
 Rognus commença sa journée par une courte balade en ville : après tout, il n’était que huit heures trente et les rues n’avaient pas encore commencé à s’activer. Au moment ou Rognus s’approchait du Gorille Chauve, un homme saoul se fît projeter en dehors de la taverne directement aux pieds du semi-homme. C’était un jeune homme qui n’avait même pas vingt ans. Il portait une hache de guerre au dos, et une épée longue à la taille. Simplement à le voir, on savait que cet homme avait beaucoup de combat dans l’âme : Il avait une longue cicatrice à l’épaule, son nez avait été cassé maintes fois et sa peau endurcie pas de nombreuses éraflures. Le propriétaire cria : « Dehors! Et ne reviens plus! »
Rognus en conclu que ce n’était qu’un dur à cuire qui avais passé la nuit à boire, n’ayant jamais eu l’intention de payer. Un quart conscient, trois quart enragé, l’homme qui n’était point sobre se releva et retourna dans la taverne. Il avait l’allure du grand chevalier : carrure solide, musculature surdéveloppée, combinée avec le manque de démarche et de charisme d’un orque. Neuf secondes plus tard, Rognus les avait comptées, un elfe et un nain le sortirent pour de bon. «Pourriez-vous nous rendre un service? demanda le nain.
 - Bien sûr, dit Rognus, tant qu’il y aura un peu de profit à faire.  
 - Occupez vous de lui, faites en ce que vous voulez, mais nous ne voulons plus le revoir ici. Voici dix Barits : cela devrait suffire pour vos efforts. »
Un Barit valait vingt Gerots et un Gerot était égal à quarante Calets alors qu’un Maret était équivalent à dix Barits. Chaque type de pièce était composé d’un métal différent : du bronze jusqu'à la platine en passant par l’or et l’argent. Ce système de monnaie était utilisé dans la plupart des royaumes. Rognus fut enchanté par ce qui venait de se passer : on lui avait donné un Maret sans avoir eu à faire quoi que ce soit! En plus, on l’avait mis en charge d’un homme qui était presque mort. Il commença par l’assommer durement à l’aide du pommeau de sa lame. Ensuite, il le ligota, le glissa dans une ruelle à l’abri des regards pour finalement le dépouiller de ses biens. Sa bourse était vide, les dix Barits qu’on lui avait donné provenait surement de cet endroit, le reste étant resté à la taverne du Gorille Chauve. Ses armes étaient en excellente condition, il prît la hache et l’épée que le colosse portait. « Ghael serait très heureux de les revendre à son échoppe, pensa Rognus avec entrain. »
Il trouva aussi un parchemin qui contenait ce message : « Retrouvez mon fils, Alean, et je vous donnerai six-cent Gerots. Il rôdait avec de nouveaux amis ces derniers jours. Ils n’ont pas une très bonne influence sur lui. Je crois qu’ils ont causé des problèmes. Vous devriez vous informer auprès des gardes. S’il s’en sort indemne, vous obtiendrez une récompense supplémentaire. »  
La lettre était destinée à un dénommé Garret et signée par un certain Aleris Merigon. Rognus s’en empara et laissa l’homme inconscient dans la ruelle. C’était la son meilleur début de journée depuis son arrivée a Grand Pré! Il venait de se faire une vingtaine de Marets en armes, plus un contrat qui valait au moins trois Marets. Il se dirigea avec entrain vers la place du marché, son lieu de travail.  
 
La place du marché commença à s’achalander vers dix heures. C’est à ce moment que la journée commençait vraiment pour Rognus. Les gens ne faisait pas tellement attention à lui, un chien aurait eu plus de facilitée que lui à se faire remarquer dans une telle foule. Il arrivait parfois qu’on lui fonçât dedans par inadvertance. Cela ne l’importunait point, en fait, son travail se basait sur cela. C’était l’une des premières choses qu’il avait remarqué des grands êtres, la première fois qu’il en avait vus, à l’âge de huit ans. Toutefois, les elfes étaient plus attentionnés dans leurs actions et remarquaient plus facilement le semi-homme que les hommes. À cette époque, il mesurait à peine deux pieds, et pesait moins de vingt-cinq livres. C’était durant son premier voyage avec sa colonie. Lorsque la caravane s’arrêtait en ville, on demandait généralement aux enfants de rester au campement à l’extérieur de la ville, mais un jour, lui et son grand frère Alton en décidèrent autrement. Il s’en rappelait comme si c’était hier :
 
La caravane était arrivée à Singrel depuis maintenant quelques jours. Un matin vers cinq heures, Alton se réveilla. Comme à l’habitude, le premier à se réveiller devait réveiller l’autre. Il réveilla donc Rognus qui n’en fît aucun cas. Comme il était si tôt et que personne n’était réveillé dans le campement, Rognus proposa à Alton d’aller explorer la ville, juste une fois, pour voir comment c’était. Alton accepta aussitôt et ils quittèrent discrètement le camp en direction de la ville. La ville était entourée d’une muraille d’une hauteur de quinze pieds, dotée de quelques entrées gardée. À l’entrée, un garde les interpella : «Que faites vous à l’extérieur à une heure aussi matinale, jeunes gens? Dit le garde qui faisait deux fois leur grandeur.
 - Notre père est resté en ville hier pour la nuit, mais malheureusement notre mère est fort malade ce matin. On nous à demandé d’aller l’avertir, fit tristement Alton, qui avait prévu ce scenario.
 - Bien, entrez, mais soyez prudents et qu’on ne me blâme pas pour vous avoir laissé seuls.  
 - Bien joué! murmura Rognus à Alton tout en s’éloignant du garde. »
 
Les deux frères furent éblouis par la beauté de ce qu’ils voyaient. Jamais ils n’avaient vus une si grande cité, en fait, c’était la première fois qu’ils voyaient des bâtiments de si près. Ils coururent des les rues, jouant à divers jeux, explorant et réveillant par leur rires des quartiers entiers, découvrant les traits si distincts de l’architecture des grands êtres. Ils s’amusèrent tant, qu’ils ne virent pas le temps passer. Le soleil était maintenant bien visible au dessus des toits à l’est, cela devait faire plus de trois heures qu’ils s’amusaient ainsi. Les hommes commençaient à ouvrir des kiosques de fruits ou de vêtements : la vie reprenait son cours en ville. Rognus et son frère ne tardèrent pas à le constater. Le seul problème était qu’ils ne pouvaient même plus apercevoir la muraille qui encerclait la ville, ils étaient perdus.  
 
En quelques minutes seulement, les rues étaient bondées. Alton et Rognus marchaient dans les rues maintenant depuis près d’une heure, sans trouver les portes de la ville. « On devrai se séparer, dit Alton. Lorsqu’on a trouvés la sortie, on se rejoint à la place publique, et on sort d’ici.  
 - Mais qu’est ce qui arrive si on ne retrouve plus la place publique après?
 - Faisons une carte, sa nous permettra de connaitre notre chemin. »
Alton trouva un fusain au sol. Il chercha ensuite pour du parchemin. Rognus décida de prendre une annonce destinée à la population qui était accrochée à un mur.  Il en trouva une deuxième et la donna à Alton, qui brisa son fusain en deux. « Voila, séparons nous. On se retrouve ici à dix heures pour voir si l’autre a trouvé la sortie, dit le  
grand frère. »
 
Les deux frères partirent en direction opposée, à la recherche de la sortie. Ils n’avaient pas parlé aux hommes, on leur avait souvent dit de s’en approcher que pour le commerce et de les éviter en tout autre cas. De toute façon, ces centaines d’hommes qui arpentaient les rues les intimidaient beaucoup trop pour qu’ils ne disent un seul mot! Rognus reprit ses esprits, il était seul, et il devait trouver la sortie. C’était inutile de paniquer. Après réflexion, il se trouva particulièrement stupide de ne pas y avoir pensé plus tôt : Il devait simplement se diriger toujours dans la même direction, et il arrivera tôt ou tard soi au port, soi à la muraille. Dans les deux cas, c’était sa voie de sortie de sortie. Il faut dire que notre jeune semi-homme était habitué de se perdre avec son frère, mais pas en ville. Il s’était souvent perdu dans les plaines, qui sont bien plus vastes que cet endroit et qu’il connaissait beaucoup mieux. Il marcha dans la même direction plus que possible, durant près d’une demi-heure. Il finit par voir des mâts qui dépassaient au dessus des toits. Il couru, il était arrivé au port! Le port devait bien être dix fois plus dégagé que les rues. De cet endroit, on pouvait voir la muraille et aussi, l’océan. Pour lui, c’était deux excellents points de repère.  
 
Il fit marche arrière, retournant au point de rencontre qu’ils s’étaient fixé et attendit. Dix heures sonna, Rognus attendit. Quinze minutes plus tard, son grand frère n’était pas encore passé. Il attendit encore cinq minutes, et s’impatienta. Il partit à la recherche de son frère, mais il savait bien que c’était inutile, c’était comme chercher une aiguille dans une balle de foin. Onze heures sonna, Rognus n’avait rien trouvé. Il retourna au point de repère, espérant de tout son cœur que son frère serait là. À son arrivée, il aperçu un semi-homme, mais ce n’était pas son frère. C’était son oncle qui était parti à la recherche des deux jeunes. Il s’était informé, et on lui avait dit avoir vu deux semi-hommes se tenir à cet endroit.  « Te voila! Enfin! dit l’oncle. Où est ton frère?
 - Je ne sais pas! pleura Rognus. Il devait me rejoindre ici à dix heures!  
 - Vous vous êtes séparé? gronda l’oncle.  
 - Oui, pour trouver la sortie, on s’est dit que sa serait mieux.
 - Viens, Je t’y amène.  
L’oncle guida son neveux jusqu’aux portes de la ville. «Retourne au camp, et si ton frère n’est pas là, dit aux autres que je vais avoir besoin d’aide.  
 - Oui, fit Rognus, la gorge nouée »
Il retourna au camp à la course. Son frère n’était pas revenu, on envoya donc plusieurs personnes à la recherche d’Alton. On chercha jour et nuit pendant trois jours, ne retrouvant jamais le frère de Rognus. La caravane avait quitté la ville la semaine suivante, continuant son chemin sans Alton. On avait longtemps blâmé Rognus pour cela, mais tous savaient très bien que ni Rognus ni Alton n’étaient à blâmer. On oublia ce triste évènement dans les années le suivant. Lui, il s’en rappelait encore très bien, mais il était trop tard pour faire quoi que ce soi depuis déjà bien longtemps.  
 
C’était l’heure de pointe à Grand-Pré, Rognus s’enfonça dans la foule, le regard baladeur, cherchant pour des cibles idéales. Un homme qui n’avait pas remarqué Rognus lui marcha sur les pieds et le fît tomber. « Oh! Je suis désolé mon brave! dit l’homme tout en l’aidant à se relever. » Rognus, acceptant l’aide de l’homme, se remit sur pied, vola sa bourse, le remercia de son mieux et s’éloigna, le moral plus haut que jamais. Comme tous les autres, cet homme sentait sa conscience allégée par le fait d’avoir aidé moindre que lui. Il n’était pas seulement moins lourd d’esprit, mais aussi plus léger physiquement. Ce deuxième état, il ne s’en rendit compte qu’au moment de payer son épicerie pour la journée, mais il ne pouvait rien y faire, sa bourse était disparue depuis plusieurs minutes. Rognus vérifia ensuite le contenu de la bourse. Elle était remplie de Gerots, il y en avait pour près de trois Barits. Refermant la bourse, il aperçu un bourgeois achetant une dague cérémoniale, faite d’argent et décorée d’émeraude. Il le suivi dans la foule, tel un animal traquant sa proie dans la forêt.
 
 L’homme à la dague se dirigea vers l’échoppe du boucher. C’était un petit bâtiment souvent bondé de clients et c’était le cas cette journée là. À son entrée, le boucher servit l’homme avant tout les autres clients qui semblaient ne pas être dérangés par cela. « Bonjour Sir. Puis-je vous aider? dit le commerçant.  
- Oui. Nous avons une petite fête ce soir. J’ai besoin de quinze parts d’agneau et de deux de bœuf
Le boucher sélectionna ses meilleures coupes et les donna à l’homme.
- Les voici. Sa fera vingt-trois Gerots.  
- Mais… je croyais que je vous devais vingt-sept!
- Oui, mais pour vous seulement, c’est vingt-trois… murmura le boucher.
- Vous êtes trop gentil, en voici vingt-cinq!
- Bonne journée, Sir Parus!
- Pareillement, dit l’Homme en se dirigeant vers la boulangerie»
Rognus ne connaissait pas encore toutes les têtes fortes de cette ville, mais ce Sir Parus, Il devait certainement en faire partie. Le boucher lui avait donné la priorité par-dessus tout ces gens, et ceux-ci n’y voyaient aucun problème! En plus, il n’avait pas à payer le plein prix!  
 
Le boulanger avait un kiosque à l’avant de sa maison. On y trouvait de tout : des pains jusqu’aux gâteaux! C’était un endroit que Rognus appréciait beaucoup : les gens fortunés y allaient souvent pour acheter des pâtisseries. C’était aussi le cas pour lui, qui ne pouvait résister à toutes ces sucreries. Il se mît derrière Sir Parus, qui achetait un gâteau et du pain. Le boulanger servit ensuite Rognus. Il acheta dix roulés aux mûres, pour un coût de dix-huit Gerots.  
 
Sir Parus avait les bras bien remplis! Il transportait la totalité de ses emplettes dans une petite caisse de bois qu’il transportait avec ses deux mains pour éviter de tout laisser tomber. Il s’engagea dans une petite ruelle. C’était le moment idéal : Rognus et lui étaient seuls. Rognus s’approcha tranquillement de Sir Parus : environ trente pieds les séparaient. L’homme arrêta de marcher et déposa sa boite. Craignant d’avoir été remarqué par sa cible, Rognus se fit invisible en se cachant derrière un derrière un petit muret de pierre. C’est alors qu’il entendit une voix étrangère à lui, ce n’était pas celle de Sir Parus, mais bien celle d’une toute autre personne ayant un fort accent étranger. « Vous voilà enfin! dit l’étranger d’une voix rauque et caverneuse.
- Je suis désolé, J’ai eu quelques achats à faire. Pour quelle raison m’avez-vous fait venir ici?
- J’ai besoin de vous et vous savez très bien pourquoi.
- Non! Jamais. Vous pourriez me donner tout l’or du monde, et je les garderais en lieu sûr!
- C’est la raison pour laquelle je les veux tant, dit l’homme à la voix grave. »
Rognus leva la tête pour observer les deux hommes. L’étranger faisait dos a Rognus, qui put constater à quel point cet homme était intimidant : Il mesurait un peu moins de six pieds, pesait un généreux deux-cent livres et portait un long sabre en fer argenté avec une garde dorée. Sa peau était basanée et ses cheveux noirs. Il portait des vêtements conçus pour voyager, semblables à ceux des semi-hommes de la Vallée, mais plus légers. On voyait assez bien qu’il n’était pas de la région, ni même du royaume! Rognus pouvait voir le visage de Sir Parus. Il semblait craindre l’homme à la peau brune : on voyait qu’il n’était pas à son aise. L’étranger enchaîna la conversation.  
« Vous devez m’aider à les obtenir. Je sais que vous en êtes capable. Si vous les avez d’ici trois semaines, Je vous garantis la richesse et la sécurité de votre femme et de vos enfants. Si, au contraire, vous ne les avez pas, vous serez réprimé à l’inverse de votre récompense.
- Si vous touchez à ma famille, je couperai votre sale langue de Malmonin et je vous tuerai si lentement que votre souffrance durera des siècles.  
- Faites ce que je vous dis et rien n’arrivera à vous ou votre famille. Aidez-moi, et vous aurez mon respect, celui de Masel Garat et une part des profits qui compensera pour plus de mille fois vos efforts. Ignorez-moi, et votre famille souffrira inutilement car je connais déjà votre cachète et je peux me les procurer. Je peux demander tout les renforts que je veux, et ils partiront de Malmonub jusqu’ici en seulement deux mois. À ce moment là, toute la ville paiera et vous serez le coupable.
- Vous fabulez! Personne ne connais cet emplacement à part ceux que sa concerne!  
- Si vous ne me croyez pas, relisez donc ma première lettre plus attentivement. Vous verrez bien que je ne mens pas et que je sais très bien où ils sont cachés. Si Je vous demande ce service, c’est pour éviter de faire un massacre et arriver à mon but dans les plus brefs délais.
- Assez parlé. Je suis attendu à l’instant même, dit-il nerveusement.
-Pensez-y bien. Je sais que vous ferez le bon choix, dit l’étranger à Sir Parus.  
Sir Parus reprit sa caisse et quitta la ruelle par le même chemin qu’il avait utilisé pour y enter. L’étranger prit la direction opposée. Rognus resta caché derrière le muret. Il s’empara de la dague au moment ou Sir Parus passa près de lui marchant lentement tout en transportant sa lourde caisse, si lourde que la pression causée par la dague quittant le fourreau passa inaperçue.  Rognus sortit silencieusement par le même chemin que l’étranger.
 
La dague à elle seule devait valoir près de quarante Marets. C’était carrément une œuvre d’art. En plus, cette discussion qu’il avait entendue l’avait fort intéressé! Sir Parus et cet homme savaient quelque chose que Rognus voulait lui aussi connaître. Le soleil et l’estomac de Rognus annonçaient presque midi. Il retourna chez Ghael pour diner et lui montrer ce qu’il avait déniché ce matin.  
 
Ghael avait préparé une soupe aux pommes de terres et aux oignons pour le dîné. Rognus se servit une généreuse portion de soupe accompagnée de quatre roulés aux mûres qu’il partagea avec Ghael. Rognus profita du repas pour entamer cette discussion : « La matinée a été productive! J’ai pour plus de cinquante Marets en équipements et en monnaie!
- Mais c’est insensé! Qu’as-tu donc trouvé?
- Pas grand-chose… dit-il sarcastiquement. Seulement une dague, une épée, une hache, un contrat et une bourse.
- Montre-moi les armes, tu peux garder le reste. »
Rognus passa les armes à Ghael qui les examina avec toute l’attention qu’il possède. « La hache à été forgée par un maître. Je l’achète pour huit Marets. L’épée me semble provenir du même forgeron : Je la prends pour six Marets et six Barits. »
Ghael jeta ensuite un coup d’œil à la dague. « La dague est merveilleuse… mais surtout unique. C’est très risqué de vendre un tel objet. Je la prendrais bien pour trente Marets si elle n’avait pas été volée, mais dans ce cas ci, Je ne veux pas prendre ce risque.
- Je l’ai volée à un homme nommé Parus.  
- Sir Parus? dit Ghael avec stupéfaction. C’est le chef des gardes de Grand Pré. Tu ne tarderas certainement pas à faire sa connaissance si tu continue à viser si haut. Si j’étais toi, Je retournerai cette dague aux gardes disant que tu l’as trouvée dans la rue. Mais tu pourrais attirer des soupçons. Fait attention : elle pourrait te donner plus de problèmes que tu en as eus pour la voler.
- Le chef des gardes? Alors là, Je comprends tout…
- Mis à part cette dague, Je te félicite pour ton travail!
- Merci, fit Rognus, gardant sa modestie pour une autre occasion. As-tu pensé au tournoi ce matin?
- Je suis décidé : ce tournoi aura lieu! Le coût de participation sera environ quinze Barits. Ce sera cinq Gerots pour les spectateurs. Le premier prix sera une arbalète à répétition, elle est munie d’un compartiment contenant dix carreaux. Le temps de chargement est réduit de plusieurs précieuses secondes et la puissance reste la même. Le deuxième prix sera l’arbalète miniature que j’ai conçue le mois dernier. Elle est si petite qu’elle peut être cachée dans un chapeau ou dans une manche longue. Elle est tout de même capable de tuer si le tireur sait bien viser et se trouve à courte distance. Le troisième prix sera une arbalète lourde : elle peut projeter un carreau à travers près de quatre pouces de bois sans problèmes!  
- Je vais m’occuper de la promotion de l’évènement. Avec des prix comme ceux la, Je n’aurai aucun problème à atteindre les quarante participants que tu m’as demandé ce matin.  
- Tu t’occuperas de faire les avis. Annonce-y les prix destinés aux gagnants et aussi les coûts de participation. »
 
Une fois le repas terminé, Ghael prit l’épée et la hache et paya le montant dû à Rognus. Il retourna ensuite travailler dans son atelier, où il ajouta les armes aux objets en vente. Rognus se rendit à sa chambre. C’était une petite pièce qui ne contenait qu’un lit simple et une fenêtre. Ghael la lui louait pour un coût de huit Barits par mois. Elle se situait au deuxième étage du bâtiment. Le premier étage était constitué du commerce de Ghael, le deuxième d’une cuisine, de la chambre de Rognus et de celle de Ghael. Il y avait dans la chambre de Rognus une latte de plancher qui pouvait être déplacée : dévoilant ainsi les économies du jeune semi-homme. Rognus y ajouta les profits de cette journée. Il essaya de relire le contrat qu’il avait volé ce matin là, mais il ne pouvait s’empêcher de penser à cette dague. Comment allait-il la vendre? Devrait-il la rendre à son propriétaire? Ce dont il était sûr : c’était qu’elle allait lui servir d’une façon où d’une autre. Il prit le contrat, se munit de la dague et se dirigea vers le quartier général des gardes.

n°13249442
Taliesim
Posté le 13-11-2007 à 13:33:40  profilanswer
 

CochiseGus a écrit :

Salut à tous!  
Je suis nouveau sur ce forum. Je l'ai decouvers il y a un mois, quand j'ai commencé mon premier roman. Maintenant que j'ai près de dix-mille mots écrits, je suis en quête de commentaires à son sujet. J'aimerai surtout savoir ce que vous en pensez : style, vocabulaire, orthographe, structure, etc.  
 


C'est hélas un théme trés peu original mais en plus il y a une forte impression de déja vu dans ton texte..
La perle noire ca fait trés vite penser au black pearl des pirates, la rose sanglante à Marie Stuart, Grand-pré le Grand-Pas de tolkien.... et l utilisation de la ville italienne de Salerne ca devient déroutant avec en plus quelques barbarismes...  
Tout ce mélange assez anachronique finalement, rend le lecteur trés vite perdu et il ne situe pas du tout l'histoire.
 
edit : je rajoute le plus choquant : " son hébergeur " "C’était l’heure de pointe à Grand-Pré" "aux gagnants et aussi les coûts de participation"" il se ballade il est 8h30"  ...on dirait que ton héros à une montre...que c'est un jeune actif parisien...  mais vu l'époque..  :D
Il y a tout un vocabulaire comme cela qui n'est pas adapté.
 
" Il avait l’allure du grand chevalier : carrure solide, musculature surdéveloppée, combinée avec le manque de démarche et de charisme d’un orque."
Outre l'orthographe, ce que tu decris la c'est un barbare.. mais en aucun cas un chevalier qui lui est charismatique. ( honneur-noblesse -humilité-bravoure)
 
ect ect.. Mais faut perseverer et continuer à écrire pour ton plaisir.


Message édité par Taliesim le 13-11-2007 à 13:51:23
n°13249506
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 13-11-2007 à 13:39:04  profilanswer
 

La suite  [:alandon]  la suite  [:alandon]

n°13249661
CochiseGus
-
Posté le 13-11-2007 à 13:50:27  profilanswer
 

merci beaucoup taliesim. Je vais réviser ces points que tu as dénoté

 

edit - Pour les noms deja existants (salerne, perle noire, rose sanglante) je peut les changer sans problèmes.
- L'heure, il la sait en se fiant au soleil et au nombre des personnes dans les rues (il n'est pas necessairement 8h30 pile, ce nest qune estimation)
- la comparaison avec les grands chevaliers etait en lien avec le physique de l'homme, pas le comportement. Je vais la reformuler pour que ce soit plus clair.


Message édité par CochiseGus le 13-11-2007 à 14:18:40
n°13252359
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 13-11-2007 à 17:48:17  profilanswer
 

Borabora a écrit :


Merci de me l'indiquer, mais si tu relis mon post tu verras que je ne demandais pas particulièrement d'avis sur ma réponse.  ;)

Citation :

???


Rien de spécial à comprendre. Le genre de chiottes que tu décris, j'en ai connu à la campagne quand j'étais môme. Ca n'incite pas à la philo à deux balles sur le thème du rapprochement avec la nature et de la-vraie-vie-pas-artificielle, juste à gerber et/ou se carapater au plus vite. [:spamafoote] Bref, le cas de figure que tu utilises pour ta démonstration dans le 1er texte est bidon.
 
Celui du deuxième semble mieux choisi : sorti des ados qui sont encore dans leur phase kebab-vache qui rit, tout le monde peut comprendre que des aliments qui viennent du jardin ont de plus grandes qualités gustatives et nutritionelles que de la bouffe industrielle. Donc là on peut s'identifier et adhérer au message. Le problème, pour le coup, est que le message est bateau, puisque tout le monde le sait déjà. Donc gnangnan. Mais c'est tout de même plus pertinent.
 

Citation :

bin oui, c'est pour cette raison qu'il y avait la meme question pour les deux paragraphes. C'était meme une lecture en diagonale que je souhaitais  (ne vous embêtez pas à.....)


Tu demandais à ce qu'on ne s'arrête pas à l'orthographe. Tu n'as pas demandé à ce qu'on ne s'arrête pas au style. Ce qui serait d'ailleurs complètement inutile, puisque le fond et la forme sont indissociables. Sinon, inutile d'écrire de la fiction : tu pouvais aller dans la cat' société et lancer un topic sur le thème : "Pensez-vous que nous devrions retrouver le lien avec la nature ?"
 
Bref, le message en lui-même est très louable, c'est pas le problème, mais l'expression déplorable.  [:spamafoote]  
 

Citation :

çà je sais pas. Sortie du context c'est difficile de juger et sans avoir prété à la mise en forme, mais j'y réfléchirais.


C'est bien ce que je voulais dire en parlant de l'intégrer en passant dans quelque chose de plus signifiant. Hors contexte, 70 lignes sur la découverte du recyclage de la merde, c'est interminable. Et même dans un contexte plus intéressant, je vois mal comment garder l'attention du lecteur avec un développement aussi long sur quelque chose que tout le monde a compris très vite. A "médecin", on a déjà pigé ce que tu vas dire, et le reste est redondant.
 


 

Borabora a écrit :


C'était une blague, donc oui, ta première hypothèse était problablement la bonne. Disons pour en faire le tour que c'est déjà assez pathétique de ne pas encore avoir assimilé à 23 ans les règles orthographiques et grammaticales enseignées au CM1. Mais l'habitude d'ajouter "faites pas attention aux fautes", comme si c'était possible de la part du lecteur, et comme si c'était un énorme effort pour le posteur de prendre 5 minutes pour en corriger la plupart, ça gonfle. Si je suis le 50ème à faire cette remarque sur l'orthographe, c'est parce que tu es le 50ème à te foutre de la gueule de gens dont tu attends qu'ils lisent ton truc et prennent le temps de dire ce qu'ils en pensent. C'est le dialogue typique parents/ados immatures :
 
[La mère, ton excédé] Mais ne laisse pas traîner tes baskets en plein milieu du couloir !
 
[Le fils, affalé sur le canapé devant la télé] Ouaiiiiis... ça va... c'est bon !
 
[La mère, qui ne voit rien venir] Qu'est-ce que t'attends ? Que je le fasse à ta place ?
 
[Le fils, ton de martyr chrétien livré aux lions] Oh là làààààààà.... ! C'est booooooon, je vais le faaaaaaaire ! T'as pas besoin de me le répéter tous les jours à chaque minute, c'est saoûlant ! Je regarde la fin du clip, c'est pas la fin du monde parce que mes pompes sont au milieu du couloir !
 
[La mère, qui s'étouffe d'indignation] Si je te le répète tous les jours, c'est parce que tous les jours tu balances tes chaussures au milieu du couloir en attendant que bobonne les ramasse pour les mettre sous le porte-manteau où personne ne butera dedans !
 
[Le fils, ton mélodramatique d'un desespéré sur le point de se suicider] MAIS VAS-Y, C'EST BON !
 
/attrape ses chaussures et part dans sa chambre en claquant la porte. Exprime quelques secondes plus tard sa révolte de victime incomprise dans ce monde d'adultes formatés en mettant à fond "Black Apocalyptica of Hell" des Oxyds Morons, avec le volume à 11. S'ensuivra la visite immédiate de la mère pour hurler par-dessus les riffs d'enfer du groupe mythique "ET NE METS PAS TA MUSIQUE SI FORT !" etc.
 
Rincer, essorer et répéter pendant une dizaine d'années...  :whistle:


 
tafdak  
 
wakatépé baboune


Message édité par Positiviste le 13-11-2007 à 17:49:01

---------------
ploum ploum tralala
n°13254155
druduss
Posté le 13-11-2007 à 20:52:58  profilanswer
 

@Apple_x ;
 

Citation :

Je n'arrive pas à...trouver la motivation en fait. Pourtant - et cela m'énerve un peu - j'ai souvent des idées pour des chapitres postérieurs.  


 
Alors écrit-les. Tu as plein d'idées préconçues, pourquoi écrire dans l'ordre chronologique si tu n'y arrives pas ?
Ecrits dans l'ordre à laquelle viens tes idées, puis une fois que tu auras tout, lies-les. Ca ce sera la phase "chiante", mais nécessaire pour terminer.
 

Citation :

Et, depuis que j'écris des fics, je n'ai jamais procédé comme ça (scénario détaillé, fiches perso etc.), puisqu'elles ne dépassaient généralement pas les 10 pages, et j'ai la plus part du temps réussi en fonctionnant comme ça.  
 
Voilà pourquoi j'ai du mal à vraiment m'impliquer dans ce que j'appelle la "pré-écriture".


 
Bof.
Le scénario, fiches persos et "fluff", je l'écris après avoir posé quelques lignes, voire chapitres.
C'est claire qu'il faut le faire, pour s'y retrouver, mais il n'est pas nécessaire de commencer par ça.
 

Citation :

Okay !  
 
J'aimerai essayer dès demain, mais je reprends les cours jeudi, donc ça me paraît un peu court pour bien tout mettre à plat, j'ai vraiment envie de prendre mon temps. Donc je vais plutôt reporter aux vacances de Noël je pense...


 
Procrastination.
 

Citation :

M'enfin, c'est plutôt des fragments d'idées qui surgissent de nulle part, et après l'imagination démarre...  
Réfléchir aux détails des mes persos, c'est ce qu'il faut que je fasse, et le mettre sur papier.


 
Utilise un carnet de notes, tu sais à quoi ça sert ;-)

n°13269363
cockeen
Posté le 15-11-2007 à 11:38:28  profilanswer
 

Il n'y a donc vraiment que le fantastique qui vous fait vibrer sur ce forum c'est desespérant, on m'avait dit de mettre un extrait de mon roman en ligne sur internet, ce que j'ai fait et j'ai eu une critique tres constructive, mais PRATIQUEMENT TOUT LE RESTE tourne autour du SF ou du fantastique et en dehors de ca vous produisez quoi, vous lisez quoi, c'est ca votre monde?! Ah non mais y'a de quoi etre super en colère de voir que la littérature classique est supplantée par des trucs de ce style!
 

n°13270656
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 15-11-2007 à 13:48:15  profilanswer
 

Bienvenue sur HFR :D

n°13270862
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 15-11-2007 à 14:03:29  profilanswer
 

cockeen a écrit :

Il n'y a donc vraiment que le fantastique qui vous fait vibrer sur ce forum c'est desespérant, on m'avait dit de mettre un extrait de mon roman en ligne sur internet, ce que j'ai fait et j'ai eu une critique tres constructive, mais PRATIQUEMENT TOUT LE RESTE tourne autour du SF ou du fantastique et en dehors de ca vous produisez quoi, vous lisez quoi, c'est ca votre monde?! Ah non mais y'a de quoi etre super en colère de voir que la littérature classique est supplantée par des trucs de ce style!
 


 
:heink:
C'est de l'humour ou bien...?  

n°13272079
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 15-11-2007 à 15:46:03  profilanswer
 

cockeen a écrit :

on m'avait dit de mettre un extrait de mon roman en ligne sur internet,


 
Mets-le plutôt en ligne sur ce site. Les critiques y sont plus sérieuses et plus constructives.

n°13276752
cockeen
Posté le 15-11-2007 à 23:39:34  profilanswer
 

dPca a écrit :


 
Mets-le plutôt en ligne sur ce site. Les critiques y sont plus sérieuses et plus constructives.


C'est ce que je vais faire merci.


Message édité par cockeen le 16-11-2007 à 10:07:21
n°13276754
cockeen
Posté le 15-11-2007 à 23:40:03  profilanswer
 

-redmoon- a écrit :


 
:heink:
C'est de l'humour ou bien...?  


Ou bien quoi ? On peut s'exprimer non?

n°13277804
dPca
J'aime pas Bora-Bora
Posté le 16-11-2007 à 06:21:59  profilanswer
 

Quelques conseils pour nos écrivains qui postent leurs extraits...

n°13278166
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 16-11-2007 à 09:30:31  profilanswer
 

Merci pour ces liens dPca :jap:

n°13281784
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 16-11-2007 à 16:14:08  profilanswer
 

cockeen a écrit :


Ou bien quoi ? On peut s'exprimer non?


 
C'est pas une question de s'exprimer ou pas.
Je vois juste pas ce qu'il y a de desesperant à (tenter d') écrire du fantastique.
Tout comme je ne vois le problème au fait que "PRATIQUEMENT TOUT LE RESTE" soit de la SF ou de la fantasy ou du fantastique.
Moi ce qui me met en colère c'est les gens qui pensent que SF et fantastique sont de la sous-littérature... (pour le coup, je trouve que c'est la SF et la fantasy qui est suplantée par de la littérature plus classique).
C'est aussi les commentaires méprisants sur les gens qui aime ce type de littérature.
Donc oui, apparement, pour beaucoup de gens ici, c'est ça notre monde. Désolée de ne pas être à la hauteur de tes attentes...
 
Et ici ce n'est pas non plus un forum de littérature.  
Tu en a plein dediés complètement à ça sur le net (dPca a d'ailleurs posté de très bon liens), tu peux aussi aller y jeter un coup d'oeil. Tu auras surement une vue plus vaste de ce qui se lit et ce qui se fait.
 
 

n°13281804
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 16-11-2007 à 16:15:35  profilanswer
 

dPca a écrit :

Quelques conseils pour nos écrivains qui postent leurs extraits...


 
+1
 
Très bon forum sur l'ecriture.
Beaucoup de conseils sur la création, l'écriture en elle même et toute la phase d'édition.
Et très très bon articles.

mood
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Posté le   profilanswer
 

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