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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°11908912
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 23-06-2007 à 15:30:56  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
patience...
ton tour viendra


---------------
ploum ploum tralala
mood
Publicité
Posté le 23-06-2007 à 15:30:56  profilanswer
 

n°11909067
BoraBora
Dilettante
Posté le 23-06-2007 à 16:01:15  profilanswer
 

Gambzzz a écrit :

C'est si mauvais que ça ???


Si tu veux une réponse rapide et qui ne t'apprendra rien : oui, c'est très mauvais. Si tu préfères une réponse circonstanciée et didactique, attends qu'Amibe_R Nard soit disponible. [:spamafote]

n°11911334
Mimeo
Je suis ton ami
Posté le 23-06-2007 à 21:12:54  profilanswer
 

Citation :

Comme tout le monde ici, j'ai toujours rêvé de devenir une grande star dans le monde de la littérature, d'exploser le box office des ventes ateint par HarryPotter, de tourner une adaptation de mon oeuvre avec George Lucas et de me payer un voyage sur la Lune sur le premier charter touristique de l'histoire  [:kaio] Oui, je suis très ambitieux  :o mais Sarko a dit qu'il fallait se lever tôt maintenant donc il faut bien que je fasse quelque chose de mes matinées  [:kaillou38]  
 
Je l'ai postée il y a quelque semaines sur www.fictionpress.com Excellent site au passage  :)  
 
http://www.fictionpress.com/s/2348692/1/


 
Personne ne m'a donné d'avis encore. Pourtant, je suis sûr que c'est une oeuvre qui rayonne  :o


---------------
OUI à l'Europe, NON au libéralisme sauvage --- Blog cool
n°11911795
Amibe_R Na​rd
Posté le 23-06-2007 à 21:38:45  profilanswer
 

Bonjour BoraBora
 
T'es dur là, quand même !
 
On ne peut pas juger ainsi un texte en devenir... ce serait juger la graine alors qu'elle peut prendre mille détours plus harmonieux si le jardinier s'en occupe  :)
 
Et puis tout le monde commence par pondre du mauvais avant de s'élever. ;)
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11912712
BoraBora
Dilettante
Posté le 23-06-2007 à 22:30:11  profilanswer
 

Amibe_R Nard a écrit :

Bonjour BoraBora
 
T'es dur là, quand même !
 
On ne peut pas juger ainsi un texte en devenir... ce serait juger la graine alors qu'elle peut prendre mille détours plus harmonieux si le jardinier s'en occupe  :)
 
Et puis tout le monde commence par pondre du mauvais avant de s'élever. ;)
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard


Je réagissais juste à l'impatience de ce jeune padawan. :D Il a posé une question simple, je lui réponds sans détours.  :whistle:
 
Mais c'était surtout l'occasion pour moi de rendre hommage à ton implication et ta patience sur ce topic. :jap:

n°11912961
Amibe_R Na​rd
Posté le 23-06-2007 à 22:42:48  profilanswer
 

BoraBora a écrit :

Je réagissais juste à l'impatience de ce jeune padawan. :D Il a posé une question simple, je lui réponds sans détours.  :whistle:
 
Mais c'était surtout l'occasion pour moi de rendre hommage à ton implication et ta patience sur ce topic. :jap:


 
Bonsoir
 
Venant d'un homme de lecture, je suis touché du compliment.  :jap:  
 
Je retourne m'occuper du jeune Padawan. :)
 
Merci encore.
     l'Amibe_R Nard
 

n°11913288
Amibe_R Na​rd
Posté le 23-06-2007 à 23:00:56  profilanswer
 

Bonjour Gambzzz  
 
 
 
>Bonjour tout le monde,  
>J'aurais besoin de vos avis et conseils pour ce que je suis en train de faire.  
>J'avais déjà posté mon message dans un nouveau sujet, mais je n'avais pas vu qu'il existait déjà un topic sur les romans en cours, donc voilà un extrait de ce que j'écris en ce moment:  
>
>La végétation, toujours aussi luxuriante, émettait une onde merveilleuse de bonheur hallucinatoire
 
/point
/
 
 
, derrière ses plus vastes représentants
 
/représentants, (virgule)
/
 
 des esprits élementaires et des êtres fantastiques semblaient apparaître furtivement.  
 
 
/Bien, alors un bon texte  (si tu lis un peu les pages précédentes, c'est un texte qui démarre avec une situation tendue, dans un lieu précis, et qui met le héros en danger.
 
Là, on ne sait pas où va ton héros, pourquoi il y va, et dans quel but.
 
On sent, dès à présent, que tu n'as pas imaginé la fin de ton histoire, que tu ne sais pas comment elle va se terminer.
 
 
Comment mettre un peu de tension dans ton texte.
D'abord, il faut vite préciser qui est le héros dans une histoire
 
 
La végétation, toujours aussi luxuriante, émettait une onde merveilleuse de bonheur hallucinatoire, pourtant Devin pressait le pas, insensible à ses charmes.
Derrière les plus vastes arbres, au milieu des fougères violettes, de petits esprits élémentaires couraient pour suivre son pas rapide. Mais Devin regardait droit devant lui. Il devait atteindre Amythos avant qu'une nouvelle catastrophe ne se déchaîne.
Les petites fées abandonnèrent la course en premier, les satyres en second, moins prudents une douzaine de centaures accompagnèrent Devin jusqu'au bord de la petite ville, tout en restant à couvert des sous-bois épais.
 
Devin ne vit rien de tout cela. Il se maîtrisait pour ne pas courir, comme son maître le lui avait prescrit.
 
Là, on vient de placer le lecteur en position d'attente.
On sait qui est le héros, et pourquoi il se rend à Amythos (Devin, son maître)
 
On sait aussi que s'il n'y va pas, une catastrophe va se produire.
Devin se rend donc à Amythos pour faire quelque chose.
 
 
On a aussi précisé ce que sont tes créatures féeriques.
Il faudrait embellir un peu la "végétation"  (parce que toi tu sais ce que "végétation" veut dire, mais tu l'as encore en tête et pas dans les mots... Je t'explique un peu mieux en dessous le problème)
 
 
"Des animaux chastes et innocents, comme les lépidoptères et des vertueux oiseaux colorés, s'ajoutaient à ce fabuleux paysage féérique, et bientôt Amythos se dévoila à travers les derniers arbres de la fôret."
 
Lépidoptères ???  (c'est quoi ?
Voilà la première définition du mot : Les lépidoptères (Lepidoptera) sont un ordre d'insectes, sous-classe des ptérygotes, section des néoptères, division des holométaboles, super-ordre des mécoptéroïdés. (A tes souhaits ! :lol:)
 
Autrement dit des papillons ! )
 
Oiseaux ??? (c'est quoi ?... il y a une différence entre un colibri bleu et un vautour :) )
 
C'est quoi un animal chaste et innocent ?
 
Fabuleux ?
Où est-ce que je le vois, moi lecteur.
 
Là encore, toi tu le sais, mais le lecteur, quand il démarre ton histoire, il est tout nu.
Il part d'une case vide.
 
Si je te dis : il enfourche sa moto...  
C'est vague.
 
Il enfourche sa Yamaha 125 cm3
 
Il enfourche sa Ducati 850 cm3
 
Il enfourche sa Harley Davidson et se lance à la poursuite de B.B.
 
Ce n'est plus du tout la même chose.
 
 
/
 
 
Des animaux chastes et innocents, comme les lépidoptères et des vertueux oiseaux colorés, s'ajoutaient à ce fabuleux paysage féérique, et bientôt Amythos se dévoila à travers les derniers arbres de la fôret.  
 
 
/féerique
forêt
/
>Arrivé enfin dans la ville Devin ne put remarquer la singularité de celle-ci comparé à  
 
/ville, (virgule) Devin  (sinon il s'agit de la ville Devin)
comparée
 
ne put que (?)
/
Hyperboréa.  
 
/Une fois entré derrière la double porte en chêne clouté, Devin remarqua aussitôt la singularité d'Amythos. Autant les quartiers d'Hyperboréa s'entassaient pêle-mêle dans un océan de pierres, autant ici toutes les maisons étaient en bois et se mariaient aux arbres environnants. Certaines boutiques et échoppes poussaient même le luxe jusqu'à se fondre dans les ramures de chênes multi-séculaires. En vieillissant les arbres avaient fini par avaler les bâtisses, ou alors les habitants avaient creusé avec soin au milieu des arbres, sans les tuer.
Devin se promit de poser la question, mais il devait rapidement trouver des informations. Les citoyens d'Amythos respiraient la félicité, tout comme les Hyperboréens et vaquaient à leurs occupations dans une béatitude lointaine et profonde. Aucun ne l'avait remarqué jusqu'à présent. Même les gardes à l'entrée s'étaient désintéressé de sa présence... il était plutôt mal parti dans sa quête.
 
(et hop, on glisse un petit obstacle sur sa route... voir le passage dans le forum où je parle des obstacles page 23)
 
Il avisa une auberge engageante. Là, il trouverait certainement de quoi étancher ses oreilles et apaiser sa faim.
 
(ici, on donne une logique à ton héros, il ne va pas dans la taverne parce que ça arrange l'auteur... mais parce qu'il cherche de l'information (et une taverne c'est un bon lieu pour en trouver), et aussi parce qu'il a faim (après avoir marché longtemps... sans doute longtemps, parce que si ça se trouve Hyperboréa c'est le village d'à-côté ! :o) )
/
 
 
 
Les maisons étaient toutes en bois classique, contrairement à celles de sa cité, et le sentier principal était environné de différentes échoppes et boutiques. Il s'aperçut également que les habitants d'Amythos respiraient la félicité, tout comme les Hyperboréens. Habillés simplement, ils se souciaient guère de sa présence et paraissaient livrés à une béatitude lointaine et profonde.  
>Devin entra dans une taverne pour se rassasier, puis s'adressa à la serveuse qui lui apportait un poulet bien cuit:  
 
/à mon avis, il s'est adressé à elle avant.
Suppose qu'il n'aime pas le poulet !
Dialogue avec la serveuse.
 
- Alors pour moi ce sera du canard.
- Voici votre poulet monsieur !
- J'ai demandé du canard !
- Poulet ou canard, quelle importance ! Vous allez pas lui casser deux pattes à votre canard. En plus, ils ont deux pattes et deux ailes tous les deux, alors vous pouvez l'appeler comme vous voulez votre canard. Et puis si vous n'êtes pas content, j'appelle Grand Coq, le maître queue !
- ???
- Oui, et ça fera trente pièces d'or, payable d'avance ! La maison ne pratique pas le crédit. Et mon chien non plus !
 
A ces mots, un molosse de cinquante centimètres sortit de sous une table.
Devin cacha mal son sourire... qui se figea en une grimace amère. Derrière le basset, se cachait un cerbère à six têtes, embusqué derrière le bar.
 
La servante tendit la main, sans trembler.
- Gardez tout, répondit Devin en glissant 50 pièces d'or, c'est pour le service et le... canard !
- Merci mon prince. Vous pouvez me demander tout ce que vous voulez, je vous répondrai avec grand plaisir.
 
 
/
 
 
 
>"Bonjour, j'ai entendu parler d'êtres exceptionnels qui habiteraient Amythos. Savez-vous où puis-je les trouver ?" lui demanda-t-il en entamant la volaille.  
 
 
/je puis les  
 
êtres exceptionnels... ça ne veut pas dire grand chose pour le lecteur.
 
/
>"Vous n'êtes pas du coin... Sachez, étranger, qu'il n'y a qu'une personne que l'on  
 
/Vous n'êtes pas du coin... c'est une évidence pour la serveuse. Donc à supprimer
/
 
qualifie d'exceptionnelle dans cette ville" répondit la serveuse. Ce matin encore, cet homme a arrêté un monstre à deux têtes qui semait la pagaille chez l'armurier, vociférant des mots insensés, parmi lesquels je ne compris que "Bipolaire".  
 
 
/le vociférant (c'est pour le monstre ou l'armurier ?)
/
 
>"Et où se trouve cet homme ?"  
>"Longez l'allée principale, c'est la dernière maison à droite, vous ne pouvez pas vous tromper"  
>Devin la remercia, termina son poulet, et sortit inquiet. Car si le monstre à deux têtes avait pronocé le mot "Bipolaire" c'était parce qu'il s'appelait ainsi, mais il n'était qu'un  
 
/prononcé
/
acolyte, le véritable danger était son maître, Psynapse. Cet être sournois avait la capacité de détruire mentalement les neurones de n'importe quel individu. Se rappelant ainsi le dangereux pouvoir de Psynapse, Devin accéléra le pas jusqu'à ce qu'il arrive devant la dernière maison.  
>"Il y a quelqu'un ?" prononça-t-il d'une voix assez forte en frappant à la porte.  
>Subitement, un violent vacarme provenant de derrière la maison se fit entendre. Puis la porte s'ouvrit et un homme apparut;
 
/point
/
 
 
 Il avait les cheveux roux, de petits yeux marrons et devait faire la taille de Devin. Il n'était vêtu que d'une chainse blanche, de braies mordorées, et de bottines noires.  
>"Bonjour, en quoi puis-je vous aider ?"  
>"Bonjour, on m'a parlé d'un être exceptionnel qui aurait, ce matin même, arrêté un monstre à..." commença Devin, quand l'homme rétorqua:  
>"Et à qui ai-je l'honneur ?"  
>"Mon nom est Devin, je viens d'Hyperboréa."  
>"D'Hyperboréa ? Vraiment ? s'interrogea l'homme. Entrez !"  
 
/
/
>L'homme le conduisit dans un coin reculé derrière la maison et Devin aperçut Bipolaire  
 
/point.
/
attaché par terre à une poutre fixée au sol, il avait les membres ligotés et une sangle entourait chacune de ses têtes, du menton jusqu'au front. Notre héros se rapprocha de  
 
/notre héros est maladroit.
/
 
lui, étonné.  
>"Il commençait à ravager la ville ce matin. J'ai alors accouru et je l'ai capturé" expliqua l'individu.  
 
 
/l'homme, l'individu... c'est très vague.
La serveuse, étant serveuse, connaîtrait son nom.
/
>L'Hyperboréen avait du mal à y croire, comment un homme d'apparence si singulière aurait-il fait pour terrasser une bête comme celle-ci ? C'est ce qu'il lui demanda:  
>"Il est plutôt grand et fort, et puis ses deux têtes crachent un acide destructeur. Vous avez..."  
>Devin n'eut pas le temps de terminer sa phrase, qu'il entendit des grondements menaçants. Il se retourna et vit un énorme loup, formidablement cyclopéen, se tenant à quelques mètres de lui. Le guerrier commença alors à sortir sa rapière, mais le loup se transforma en un gigantesque serpent d'un vert rougeâtre, puis, le reptile rapetissa, et prit la forme de l'homme qui l'avait accueillit.  
>Devin comprit alors que les êtres exceptionnels dont lui avait parler L'Ancien ne faisait  
 
/avait parlé
/
en réalité qu'un.  
>"Par Odin ! C'est prodigieux !" s'exclama-t-il.  
 
/Attention de ne pas t'encombrer de  
expliqua-t-il
s'exclama-t-il
 
Là où dit-il devient invisible, même s'il est souvent répété.
 
 
 
Comme ça commence à faire long pour une première fois.
Je te soulève un dernier problème.
 
Devin, il est quoi ?
Soldat, magicien, enquêteur
 
Si la servante, au lieu de dire "étranger", disait :  
- Sachez, soldat (étranger), qu'il n'y a qu'une personne que l'on
- Sachez, maître feu, qu'il n'y a qu'une personne que l'on
- Sachez, mon beau prince, que mon lit est libre ce soir et qu'il n'y a qu'une personne que l'on qualifie d'exceptionnelle : c'est moi !  :lol:
 
Bon, ici je te donne un moyen pour caractériser ton personnage et dire qui il est.
Devin, c'est pas le nom d'un chat, c'est sûr, mais plutôt celui d'un magicien... Ce serait bien de le confirmer au lecteur pour qu'il s'identifie, le plus tôt possible, à ton héros.
 
 
Voilà pour ce soir.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11914319
Amibe_R Na​rd
Posté le 24-06-2007 à 00:05:12  profilanswer
 


Mimeo a écrit :

[quote
Je l'ai postée il y a quelque semaines sur www.fictionpress.com Excellent site au passage  :)  
 
http://www.fictionpress.com/s/2348692/1/
[/quote]
 
Personne ne m'a donné d'avis encore. Pourtant, je suis sûr que c'est une oeuvre qui rayonne  :o


 
Salut,
oui je l'ai déjà lu, mais elle est trop longue pour la copier ici;
 
Quelques petites coquilles.
 
style nuit-là, celles-là
 
quelques tirets lors des inversions sujet verbes
style
s’écrit il  pour s'écrie-t-il
 
avec la petite coquille.
 
Il y a aussi quelques erreurs de temps. Alors que tu es au présent, tu passes subitement à l'imparfait pour revenir au présent.
 
Au niveau de l'histoire, la fin est bien.
Le début laisse un peu à désirer plus... Ton Jimmy est bien confiant. Ton héroïne est assez peu mise en valeur, si bien que le lecteur ne sait pas si elle a vraiment peur ou pas dans la maison.  (il faudrait d'abord la voir en action, pour montrer combien elle est forte d'habitude, pour permettre au lecteur de se rendre compte combien la situation est anormale... Là, il s'agit d'une histoire de contraste. Si je veux montrer combien le monde est noir tout d'un coup, juste avant je le montre plein de lumières étincelantes.
Dans ton histoire, Hambert pourrait lire quelques rapports pour donner envie au lecteur d'en savoir plus sur Valentine)
 
 
Il y a aussi un problème dans la phrase au moment où il plante la faux dans le corps du gars... On ne sait pas très bien à qui est la faux.
 
Ni vraiment pourquoi, elle fait du mal à ce bonhomme sorti des enfers  ;-)
Il faudrait mieux la décrire, la rendre plus fumante, plus purificatrice.
 
 
Bref, tu as l'idée, tu as le texte, maintenant il faut relever l'épice du texte.
Accentuer les détails, rendre plus crédible tes personnages et les situations.
Valentine qui part à la recherche de Jimmy, qui s'aventure dans un escalier noir en sachant qu'il s'agit d'un tueur... il lui faudrait une bonne raison : un hurlement de Jimmy.
 
Toute la batterie des "Pourquoi ?"
 
Pourquoi Valentine pour cette mission  (qui l'a recommandée... homologue marseillais, ce n'est pas le bon vieux pote à qui on accorde une entière confiance... le gars de la même promo qui vous a sauvé la vie par exemple)
 
Pourquoi Jimmy Barboni ?  (alors qu'il s'agit d'un pompiste tranquille, comme tu le dis)
Pourquoi dans un bar ?
Pourquoi Valentine qui s'habille comme une call-girl ?
 
Le coup du bébé, c'est peut-être un peu beaucoup... il faut l'attirer dans la maison lui aussi.
 
 
Tu vois, c'est ce genre de petits pourquoi ? qui manquent un peu dans ton texte.
 
 
Ces "pourquoi ?" vont te donner les quelques détails qui manquent dans ton texte, et le rendre plus crédible.
 
En musclant un peu tes deux policiers, en affermissant leurs caractères, comme celui du méchant, (pourquoi ils se comportent comme ça et pas autrement ?), tu peux obtenir un bon texte fantastique.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11917149
Gambzzz
Posté le 24-06-2007 à 07:35:06  profilanswer
 

Amibe_R Nard a écrit :

Bonjour Gambzzz  
 
/Bien, alors un bon texte  (si tu lis un peu les pages précédentes, c'est un texte qui démarre avec une situation tendue, dans un lieu précis, et qui met le héros en danger.
 
Là, on ne sait pas où va ton héros, pourquoi il y va, et dans quel but.
 
En fait ce n'est pas le début de l'histoire, il s'agit d'un extrait du chapitre 2...
 
On sent, dès à présent, que tu n'as pas imaginé la fin de ton histoire, que tu ne sais pas comment elle va se terminer.
 
Par contre ça c'est vrai :whistle:
 
Comment mettre un peu de tension dans ton texte.
D'abord, il faut vite préciser qui est le héros dans une histoire
 
Tout est expliqué dans le premier chapitre: héros, quête,...
 
La végétation, toujours aussi luxuriante, émettait une onde merveilleuse de bonheur hallucinatoire, pourtant Devin pressait le pas, insensible à ses charmes.
Derrière les plus vastes arbres, au milieu des fougères violettes, de petits esprits élémentaires couraient pour suivre son pas rapide. Mais Devin regardait droit devant lui. Il devait atteindre Amythos avant qu'une nouvelle catastrophe ne se déchaîne.
Les petites fées abandonnèrent la course en premier, les satyres en second, moins prudents une douzaine de centaures accompagnèrent Devin jusqu'au bord de la petite ville, tout en restant à couvert des sous-bois épais.
 
Devin ne vit rien de tout cela. Il se maîtrisait pour ne pas courir, comme son maître le lui avait prescrit.
 
Là, on vient de placer le lecteur en position d'attente.
On sait qui est le héros, et pourquoi il se rend à Amythos (Devin, son maître)
 
On sait aussi que s'il n'y va pas, une catastrophe va se produire.
Devin se rend donc à Amythos pour faire quelque chose.
 
 
On a aussi précisé ce que sont tes créatures féeriques.
Il faudrait embellir un peu la "végétation"  (parce que toi tu sais ce que "végétation" veut dire, mais tu l'as encore en tête et pas dans les mots... Je t'explique un peu mieux en dessous le problème)
 
 
"Des animaux chastes et innocents, comme les lépidoptères et des vertueux oiseaux colorés, s'ajoutaient à ce fabuleux paysage féérique, et bientôt Amythos se dévoila à travers les derniers arbres de la fôret."
 
Lépidoptères ???  (c'est quoi ?
Voilà la première définition du mot : Les lépidoptères (Lepidoptera) sont un ordre d'insectes, sous-classe des ptérygotes, section des néoptères, division des holométaboles, super-ordre des mécoptéroïdés. (A tes souhaits ! :lol:)
 
Autrement dit des papillons ! )
 
Oiseaux ??? (c'est quoi ?... il y a une différence entre un colibri bleu et un vautour :) )
 
C'est quoi un animal chaste et innocent ?
 
Fabuleux ?
Où est-ce que je le vois, moi lecteur.
 
Là encore, toi tu le sais, mais le lecteur, quand il démarre ton histoire, il est tout nu.
Il part d'une case vide.
 
Si je te dis : il enfourche sa moto...  
C'est vague.
 
Il enfourche sa Yamaha 125 cm3
 
Il enfourche sa Ducati 850 cm3
 
Il enfourche sa Harley Davidson et se lance à la poursuite de B.B.
 
Ce n'est plus du tout la même chose.
 
Tu as raison, je vais modifier ce passage et apporter plus de précisions
/
 
Des animaux chastes et innocents, comme les lépidoptères et des vertueux oiseaux colorés, s'ajoutaient à ce fabuleux paysage féérique, et bientôt Amythos se dévoila à travers les derniers arbres de la fôret.  
 
 
/féerique
forêt
/
>Arrivé enfin dans la ville Devin ne put remarquer la singularité de celle-ci comparé à  
 
/ville, (virgule) Devin  (sinon il s'agit de la ville Devin)
comparée
 
ne put que (?)
/
Hyperboréa.  
 
/Une fois entré derrière la double porte en chêne clouté, Devin remarqua aussitôt la singularité d'Amythos. Autant les quartiers d'Hyperboréa s'entassaient pêle-mêle dans un océan de pierres, autant ici toutes les maisons étaient en bois et se mariaient aux arbres environnants. Certaines boutiques et échoppes poussaient même le luxe jusqu'à se fondre dans les ramures de chênes multi-séculaires. En vieillissant les arbres avaient fini par avaler les bâtisses, ou alors les habitants avaient creusé avec soin au milieu des arbres, sans les tuer.
Devin se promit de poser la question, mais il devait rapidement trouver des informations. Les citoyens d'Amythos respiraient la félicité, tout comme les Hyperboréens et vaquaient à leurs occupations dans une béatitude lointaine et profonde. Aucun ne l'avait remarqué jusqu'à présent. Même les gardes à l'entrée s'étaient désintéressé de sa présence... il était plutôt mal parti dans sa quête.
 
C'est vrai qu'il n'y a pas photo... :wahoo:
 
(et hop, on glisse un petit obstacle sur sa route... voir le passage dans le forum où je parle des obstacles page 23)
 
Il avisa une auberge engageante. Là, il trouverait certainement de quoi étancher ses oreilles et apaiser sa faim.
 
(ici, on donne une logique à ton héros, il ne va pas dans la taverne parce que ça arrange l'auteur... mais parce qu'il cherche de l'information (et une taverne c'est un bon lieu pour en trouver), et aussi parce qu'il a faim (après avoir marché longtemps... sans doute longtemps, parce que si ça se trouve Hyperboréa c'est le village d'à-côté ! :o) )
/
C'est tout à fait ça, mais Hyperboréa n'est pas du tout à côté ! (raison de plus)
 
Les maisons étaient toutes en bois classique, contrairement à celles de sa cité, et le sentier principal était environné de différentes échoppes et boutiques. Il s'aperçut également que les habitants d'Amythos respiraient la félicité, tout comme les Hyperboréens. Habillés simplement, ils se souciaient guère de sa présence et paraissaient livrés à une béatitude lointaine et profonde.  
>Devin entra dans une taverne pour se rassasier, puis s'adressa à la serveuse qui lui apportait un poulet bien cuit:  
 
/à mon avis, il s'est adressé à elle avant.
Suppose qu'il n'aime pas le poulet !
Dialogue avec la serveuse.
 
- Alors pour moi ce sera du canard.
- Voici votre poulet monsieur !
- J'ai demandé du canard !
- Poulet ou canard, quelle importance ! Vous allez pas lui casser deux pattes à votre canard. En plus, ils ont deux pattes et deux ailes tous les deux, alors vous pouvez l'appeler comme vous voulez votre canard. Et puis si vous n'êtes pas content, j'appelle Grand Coq, le maître queue !
- ???
- Oui, et ça fera trente pièces d'or, payable d'avance ! La maison ne pratique pas le crédit. Et mon chien non plus !
 
A ces mots, un molosse de cinquante centimètres sortit de sous une table.
Devin cacha mal son sourire... qui se figea en une grimace amère. Derrière le basset, se cachait un cerbère à six têtes, embusqué derrière le bar.
 
La servante tendit la main, sans trembler.
- Gardez tout, répondit Devin en glissant 50 pièces d'or, c'est pour le service et le... canard !
- Merci mon prince. Vous pouvez me demander tout ce que vous voulez, je vous répondrai avec grand plaisir.
 
Je vais arranger ça pour le poulet, mais en fait il n'y a pas d'argent dans ce monde, ils s'entraident tous entre eux, ou troquent à la rigueur
/
 
>"Bonjour, j'ai entendu parler d'êtres exceptionnels qui habiteraient Amythos. Savez-vous où puis-je les trouver ?" lui demanda-t-il en entamant la volaille.  
 
 
/je puis les  
 
êtres exceptionnels... ça ne veut pas dire grand chose pour le lecteur.
 
Quelqu'un d'exception, qui sort de l'ordianire, pour pouvoir...(faut voir le chapitre 1...)
/
>"Vous n'êtes pas du coin... Sachez, étranger, qu'il n'y a qu'une personne que l'on  
 
/Vous n'êtes pas du coin... c'est une évidence pour la serveuse. Donc à supprimer
/
 
qualifie d'exceptionnelle dans cette ville" répondit la serveuse. Ce matin encore, cet homme a arrêté un monstre à deux têtes qui semait la pagaille chez l'armurier, vociférant des mots insensés, parmi lesquels je ne compris que "Bipolaire".  
 
 
/le vociférant (c'est pour le monstre ou l'armurier ?)
/
 
>"Et où se trouve cet homme ?"  
>"Longez l'allée principale, c'est la dernière maison à droite, vous ne pouvez pas vous tromper"  
>Devin la remercia, termina son poulet, et sortit inquiet. Car si le monstre à deux têtes avait pronocé le mot "Bipolaire" c'était parce qu'il s'appelait ainsi, mais il n'était qu'un  
 
/prononcé
/
acolyte, le véritable danger était son maître, Psynapse. Cet être sournois avait la capacité de détruire mentalement les neurones de n'importe quel individu. Se rappelant ainsi le dangereux pouvoir de Psynapse, Devin accéléra le pas jusqu'à ce qu'il arrive devant la dernière maison.  
>"Il y a quelqu'un ?" prononça-t-il d'une voix assez forte en frappant à la porte.  
>Subitement, un violent vacarme provenant de derrière la maison se fit entendre. Puis la porte s'ouvrit et un homme apparut;
 
/point
/
 
 
 Il avait les cheveux roux, de petits yeux marrons et devait faire la taille de Devin. Il n'était vêtu que d'une chainse blanche, de braies mordorées, et de bottines noires.  
>"Bonjour, en quoi puis-je vous aider ?"  
>"Bonjour, on m'a parlé d'un être exceptionnel qui aurait, ce matin même, arrêté un monstre à..." commença Devin, quand l'homme rétorqua:  
>"Et à qui ai-je l'honneur ?"  
>"Mon nom est Devin, je viens d'Hyperboréa."  
>"D'Hyperboréa ? Vraiment ? s'interrogea l'homme. Entrez !"  
 
/
/
>L'homme le conduisit dans un coin reculé derrière la maison et Devin aperçut Bipolaire  
 
/point.
/
attaché par terre à une poutre fixée au sol, il avait les membres ligotés et une sangle entourait chacune de ses têtes, du menton jusqu'au front. Notre héros se rapprocha de  
 
/notre héros est maladroit.
/
 
lui, étonné.  
>"Il commençait à ravager la ville ce matin. J'ai alors accouru et je l'ai capturé" expliqua l'individu.  
 
 
/l'homme, l'individu... c'est très vague.
La serveuse, étant serveuse, connaîtrait son nom.
/
 
C'est pour le mystère, après il est présenté  :)
 
>L'Hyperboréen avait du mal à y croire, comment un homme d'apparence si singulière aurait-il fait pour terrasser une bête comme celle-ci ? C'est ce qu'il lui demanda:  
>"Il est plutôt grand et fort, et puis ses deux têtes crachent un acide destructeur. Vous avez..."  
>Devin n'eut pas le temps de terminer sa phrase, qu'il entendit des grondements menaçants. Il se retourna et vit un énorme loup, formidablement cyclopéen, se tenant à quelques mètres de lui. Le guerrier commença alors à sortir sa rapière, mais le loup se transforma en un gigantesque serpent d'un vert rougeâtre, puis, le reptile rapetissa, et prit la forme de l'homme qui l'avait accueillit.  
>Devin comprit alors que les êtres exceptionnels dont lui avait parler L'Ancien ne faisait  
 
/avait parlé
/
en réalité qu'un.  
>"Par Odin ! C'est prodigieux !" s'exclama-t-il.  
 
/Attention de ne pas t'encombrer de  
expliqua-t-il
s'exclama-t-il
 
Là où dit-il devient invisible, même s'il est souvent répété.
 
J'y tâcherais
 
Comme ça commence à faire long pour une première fois.
Je te soulève un dernier problème.
 
Devin, il est quoi ?
Soldat, magicien, enquêteur
 
Si la servante, au lieu de dire "étranger", disait :  
- Sachez, soldat (étranger), qu'il n'y a qu'une personne que l'on
- Sachez, maître feu, qu'il n'y a qu'une personne que l'on
- Sachez, mon beau prince, que mon lit est libre ce soir et qu'il n'y a qu'une personne que l'on qualifie d'exceptionnelle : c'est moi !  :lol:
 
Il est soldat, d'ailleurs j'ai bien mis "étranger"
 
Bon, ici je te donne un moyen pour caractériser ton personnage et dire qui il est.
Devin, c'est pas le nom d'un chat, c'est sûr, mais plutôt celui d'un magicien... Ce serait bien de le confirmer au lecteur pour qu'il s'identifie, le plus tôt possible, à ton héros.
 
Encore une fois tout est dit au début de l'histoire (Mais je ne préfère pas le poster, désolé)
 
Voilà pour ce soir.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard


 
Merci pour tout L'Amibe_R Nard  ;)

Message cité 1 fois
Message édité par Gambzzz le 24-06-2007 à 11:38:49
n°11918048
Amibe_R Na​rd
Posté le 24-06-2007 à 12:29:09  profilanswer
 

Gambzzz a écrit :

Merci pour tout L'Amibe_R Nard  ;)


 
Salut
 
Pas grave pour le chapitre 1.
 
Le tout est que tu saches comment le dynamiser, de la même façon.
 
Et de manière plus forte encore, car c'est le premier chapitre... et tout ton texte dépend de ce premier chapitre, même du premier paragraphe. Là, ça colle avec le lecteur ou il repose ton livre. Ce sont les dix lignes pour convaincre  :)
 
S'il est soldat, la servante aurait pu se montrer inquiète devant ses armes, ou pas inquiète, ça dépend vraiment de ton monde.
 
 
La fin, il vaut mieux que tu en trouves une... même hypothétique pour l'instant.
Qui a la fin trouve les moyens... ai-je dit dans mes réponses au-dessus.
 
Bonne suite dans ton écriture.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard  
 

mood
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Posté le 24-06-2007 à 12:29:09  profilanswer
 

n°11945718
lloyd57
Posté le 26-06-2007 à 15:44:42  profilanswer
 

j'étais écrivain et j'ai décidé de détruire l'écriture car elle nous appartient et qu'il faut briser les conventions. J'ai choisi de faire des fautes, de mal ponctuer pour montrer le hors moi et faire évoluer la pensée. D'autres personnes ont déjà tenté l'expérience?

n°11947042
BoraBora
Dilettante
Posté le 26-06-2007 à 17:29:02  profilanswer
 

lloyd57 a écrit :

j'étais écrivain et j'ai décidé de détruire l'écriture car elle nous appartient et qu'il faut briser les conventions. J'ai choisi de faire des fautes, de mal ponctuer pour montrer le hors moi et faire évoluer la pensée. D'autres personnes ont déjà tenté l'expérience?


Des milliers sur ce forum. Il suffit de prendre n'importe quel topic au hasard. [:spamafote]

n°11948256
Amibe_R Na​rd
Posté le 26-06-2007 à 19:17:11  profilanswer
 

lloyd57 a écrit :

j'étais écrivain et j'ai décidé de détruire l'écriture car elle nous appartient et qu'il faut briser les conventions. J'ai choisi de faire des fautes, de mal ponctuer pour montrer le hors moi et faire évoluer la pensée. D'autres personnes ont déjà tenté l'expérience?


 
 
Bonjour
 
Intéressante pensée... surtout le "j'étais écrivain"
 
Comme si un écrivain pouvait perdre son statut en décidant d'expérimenter. :)
 
J'aime bien aussi la suite, et le hors moi qui ne pourrait jaillir que de la mal ponctuation et de la destruction d'un code destiné à l'autre, au lecteur.  
 
La convention dont tu parles, ce n'est pas pour l'auteur, mais bien pour le lecteur, n'est-ce pas ?
Pour lui assurer un confort de lecture, pour lui permettre de ressentir le texte au lieu de s'accrocher à des erreurs de présentation, à des déchirures qui n'apportent souvent rien.  
 
Oui, souvent, sauf si c'est fait exprès. Bien sûr !
 
Mais pour cela, il faut déjà maîtriser parfaitement l'écriture propre et sans faute
Ce qui semble être ton cas.
 
Alors, trois grosses questions ;
- Qu'as-tu tiré de cette expérience ?
- Qu'as-tu découvert en brisant les conventions ?
- Qu'as-tu reconstruit après avoir détruit ton écriture ?
 
 
Pour ma part, je n'ai pas encore brisé ou détruit mon écriture.
Commis des lapsus volontaires, et involontaires, pour les jeux de mots, oui.  
Bouleversé les conventions pour mieux les apprendre, oui (on repère très vite ce qui ne marche pas et pourquoi les conventions ont du bon, et comment on peut les utiliser au maximum, afin de mieux surprendre le lecteur.)
Gommé la ponctuation, pour remarquer son importance, affirmatif !  ;)
 
Dans le manque, on apprend beaucoup aussi.
Lorsque la perte est trop cruelle, on sait que l'on est trop loin, mais certaines pertes n'en sont pas, et bien des textes s'en portent mieux.
 
Roulé des fautes pour le plaisir... Non. Pas au niveau conscient en tout cas  :lol:
 
Alors, non, je n'ai pas ton expérience de destruction reconstructive.
J'en suis encore à pousser le bulbe floral jusqu'à floraison, même je plante plusieurs bulbes pour multiplier les expériences.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard
 

n°11948525
lloyd57
Posté le 26-06-2007 à 19:40:26  profilanswer
 

BoraBora a écrit :

Des milliers sur ce forum. Il suffit de prendre n'importe quel topic au hasard. [:spamafote]


 
 
je parle de fautes volontaires de ceux qui savent écrire ! J'étais major de promo en fac de lettres et j'ai fait le choix de tout briser pour mieux reconstruire (le mieux est subjectif, mais vous pouvez aussi le considérer de votre point de vue comme un vrai plus, en acceptant la déconstruction).
 

n°11948616
lloyd57
Posté le 26-06-2007 à 19:47:30  profilanswer
 

Amibe_R Nard a écrit :


 
Mais pour cela, il faut déjà maîtriser parfaitement l'écriture propre et sans faute
Ce qui semble être ton cas.
 
Alors, trois grosses questions ;
- Qu'as-tu tiré de cette expérience ?
- Qu'as-tu découvert en brisant les conventions ?
- Qu'as-tu reconstruit après avoir détruit ton écriture ?
 
 


 
-Cette expérience m'a permis de me sentir libre, exprimer le "hors moi", délié des conventions. Il s'est agi de parler un langage universel : le désir de ne pas être brimé par la correction.
-Ce que j'ai découvert s'appelle la réalité : le solipsisme rédactionnel. Je ne pars plus du point de vue académique pour écrire, mais de mon point de vue et si je décide de trouver une figure de style belle, j'y arrive, car dans l'absolu elle n'est ni laide, ni belle. C'est mon appréciation qui lui donne un statut. Il en va de même pour les fautes.
-J'ai reconstruit la langue, compréhensible, car je refuse le trop plein de fautes qui n'aurait aucun sens, mais qui toute abordable qu'elle est, n'en est pas moins philosophique, car elle pousse à se quetsionner, comme tu l'as fait, sur le pourquoi de cette remise en cause. Je fais du lecteur un curieux non pas tant sur le contenu, mais sur le sens de la forme et donc du langage.  
Voici un exemple : http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 8046_1.htm

n°11949704
Amibe_R Na​rd
Posté le 26-06-2007 à 21:37:14  profilanswer
 

lloyd57 a écrit :

-Cette expérience m'a permis de me sentir libre, exprimer le "hors moi", délié des conventions. Il s'est agi de parler un langage universel : le désir de ne pas être brimé par la correction.
-Ce que j'ai découvert s'appelle la réalité : le solipsisme rédactionnel. Je ne pars plus du point de vue académique pour écrire, mais de mon point de vue et si je décide de trouver une figure de style belle, j'y arrive, car dans l'absolu elle n'est ni laide, ni belle. C'est mon appréciation qui lui donne un statut. Il en va de même pour les fautes.
-J'ai reconstruit la langue, compréhensible, car je refuse le trop plein de fautes qui n'aurait aucun sens, mais qui toute abordable qu'elle est, n'en est pas moins philosophique, car elle pousse à se quetsionner, comme tu l'as fait, sur le pourquoi de cette remise en cause. Je fais du lecteur un curieux non pas tant sur le contenu, mais sur le sens de la forme et donc du langage.  
Voici un exemple : http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 8046_1.htm


 
 
Salut Surréaliste
 
De ton travail, je préfère celui-ci.
 
http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 7279_1.htm
 
Où il y a un mélange voulu des genres... qui se basent un peu sur la reconstruction intrinsèque de la phrase par le cerveau  (comme l'exemple où sur les mots on a mélangé toutes les lettres sauf celle du début et celle de la fin... et le cerveau reconstruit toute la phrase quand même)
 
Exemple :
http://blog.lesperlesduchat.com/pe [...] ttres_mots
On poriuart criore que magneélr les leettrs des mots puioarrt rrndee un ttxee tout à fait isbilille. En rltiaéé, et mmêe s'il sbsuitse praifos quuleqes dtifiucléfs, le tetxe ainsi prudoit reste tout à fait libsile ! Freocémnt, clea mchrae d'aautnt miuex sur les mots crotus !
 
Ça tient du même principe.
 
 
Pour ton autre texte, un tantinet vide... et que le lecteur comble à l'envie, c'est un peu le miroir de ceux qui tracent deux carrés dans un tableau et appellent ça de l'art.
Sans les explications qui explicitent la démarche, c'est incompréhensible... et vain.
 
 
Pour toi, c'est clair, pour l'autre c'est nul.
Car, dans tout art, si tu n'as pas les clefs pour décoder, tu es devant un mur.
Comme devant une langue étrangère dont tu ne comprends rien.
Et c'est nul !
 
Quand bien même, ce serait magnifique, superbe, tout ce que tu veux... ça reste l'équivalent d'un coucher de soleil pour un aveugle. Vu de dos ou vu de face, ça ne lui change pas grand chose. Parce qu'il ne comprend pas.
 
Lorsqu'on s'éloigne des conventions, il faut obligatoirement former ceux qui veulent te suivre... et cela suppose une progression.
 
C'est comme en science-fiction. Si l'auteur t'embarque avec des mots totalement différents, tu lâches pieds, parce que la marche est trop haute pour la gravir.
Alors qu'avec de petites gradations, tout devient possible.
 
Parce que la démarche est là, le fil rouge est là qui relie un point à un autre.
Et on peut suivre le guide, de bout en bout.
 
L'apprentissage est là.
 
 
Et un écrit, c'est un apprentissage.
Le lecteur ne connaît rien du monde qui va lui être présenté, il faut l'y emmener à petites doses, en gardant les conventions qu'il connaît, puis en les diluant peu à peu dans de nouvelles, plus étranges, moins connues... celles que l'auteur veut donner à lire, sans que le lecteur bute sur le "c'est nul !".
 
Parce que ce "nul" expose qu'il n'a nulles connaissances pour aborder la suite.
Et quand les connaissances sont en défaut, on tombe dans le néant de l'incompréhension.
 
 
Quand je lis ceci
"et si je décide de trouver une figure de style belle, j'y arrive, car dans l'absolu elle n'est ni laide, ni belle. C'est mon appréciation qui lui donne un statut. Il en va de même pour les fautes."
 
Je sais que c'est vrai. Elle n'est ni laide, ni belle.
Mais je sais aussi que c'est faux... parce que dans l'écriture, l'auteur n'est pas tout seul. Et ce n'est pas son appréciation qui donne un statut, mais l'appréciation du lecteur.
 
Sans lecteur, il n'y a pas d'écriture, juste de l'égocentrisme rédactionnel.
Sans lecteur, il n'y a pas de partage, juste un travail solitaire, dont personne ne comprend rien...
 
Au bout d'un temps, c'est comme l'écriture d'une peuplade qui n'a plus qu'un seul membre vivant. Une écriture qui s'est tellement éloignée des conventions qu'elle en devient morte.
Morte si personne n'a les moyens de remonter le fil en partant du début.
 
 
Aussi quand tu utilises le mot "universel", je tique.
Surtout quand tu parles de solipsisme, juste derrière.
 
Le solipsisme (du latin solus, seul et ipse, soi-même) désigne, d'une part, l'attitude du sujet pensant pour qui sa conscience propre est l'unique réalité, les autres consciences, le monde extérieur n'étant que des représentations et, d'autre part, une théorie philosophique qui par l'abstraction du monde externe ou des perceptions qui en proviennent, place l'individu seul devant la seule connaissance de sa propre existence.  
fr.wikipedia.org/wiki/Solipsisme
 
doctrine qui soutient que le monde extérieur n'a pas d'existence réelle, le sujet pensant ne reconnaissant d'autres réalités que lui-même.

 
 
parce que ces deux termes sont antagonistes.
Sauf si tu écris pour toi et pour toi seul.
 
Mais dans ce cas, pourquoi demander aux autres ce qu'ils comprennent, puisque tu n'écris que pour toi ?
 
Et là, je n'en vois qu'une seule raison.
 
Ecrire, c'est un acte de partage.
Partager empêche de tourner en rond.
Partager permet de se mesurer à l'autre, à son regard d'incompréhension.
Partager permet de mieux se questionner qu'un miroir toujours acquiesçant.
Partager permet de s'améliorer, de supporter la critique pour mieux expliciter et mieux se comprendre soi-même.
 
Seul le miroir de l'autre renvoie la réalité.
Ou une réalité, toujours déformée, de soi.
 
Oui, de soi  :)
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11951077
BoraBora
Dilettante
Posté le 26-06-2007 à 23:07:40  profilanswer
 

lloyd57 a écrit :

je parle de fautes volontaires de ceux qui savent écrire ! J'étais major de promo en fac de lettres et j'ai fait le choix de tout briser pour mieux reconstruire (le mieux est subjectif, mais vous pouvez aussi le considérer de votre point de vue comme un vrai plus, en acceptant la déconstruction).


J'avais compris. Mais quand quelqu'un met autant d'emphase et de suffisance puérile à déclarer publiquement qu'il vient d'inventer l'eau tiède, le sarcasme me vient naturellement. ;)
 

Amibe_R Nard a écrit :

Sans lecteur, il n'y a pas d'écriture, juste de l'égocentrisme rédactionnel.


Non seulement j'applaudis, mais j'en profite pour recommander un roman qui tournicote autour de ce thème :
 
http://ec1.images-amazon.com/images/I/417Z2Y7203L._SS500_.jpg
 
Intelligent, sensible, virtuose : un roman chaudement recommandé à tout amoureux de la lecture et par voie de conséquence à tout impétrant écrivain. Surtout à une époque où beaucoup de ceux-ci, semble-t-il blasés d'écrire sur la largeur et la profondeur de leur nombril, entreprennent maintenant d'écrire sur les raisons profondes qui les poussent à écrire sur leur nombril. Ils étaient déjà cons et chiants avant, ils le sont maintenant au carré par une mise en abîme qui a de quoi laisser pantois. Plus de semaine sans son lot de "Pourquoi j'écris", "Pourquoi il me faut écrire", "Ma démarche et mon moi profond", à 12 € les 70 pages dont la seule phrase d'intérêt pour le lecteur est l'exergue empruntée à un grand écrivain.

n°11956331
keke91
Posté le 27-06-2007 à 12:36:06  profilanswer
 

Bonjour j'ai 16 ans et l'envie d'écrire apparu subitement âpres la lecture complète des 9 livres sur la saga Warcraft pour ceux qui connaissent.
Je me suis donc lancé a l'aventure et j'aimerai vous montré le début de mon histoire avec avant un genre de synopsis que j'ai fait certes ce n'est pas un résumé digne de Tolkien mais vous pourrez a peu près savoir l'histoire
Ensuite je vous mettrai mes premiers écrits sur l'histoire:
 
 
Danath fils d’un pauvre paysan apprend récemment de la part de la magicienne Naia qu’il est le descendant d’une ancienne dynastie de roi aujourd’hui oublié, il reçoit également un joyau qui selon la légende possède un pouvoir. De part cet objet et son héritage il est l’un des six chevaliers pouvant tuer le démon Beregoth et libérer la monde de son joug. Mais pour pouvoir tuer ce démon les six compagnons devront être réunis dans le sanctuaire de Zaran’Ken afin d’ouvrir le coffre qui contient le sceptre capable de terrasser Beregoth.Bien des dangers et des rebondissements attendront nos amis tous au longs de cette aventure
 
Voila donc le petit synopsis j'aimerai votre avis car j'ai voulu faire le synopsis avant l'histoire ca pose les bases de mon histoire, de plus j'ai fait une petite carte ou j'ai tracé à peu près tous les endroits ou les personnages iront
 
J'aimerai bien l'avis de l'amibe_r Nard mais des autres aussi


Message édité par keke91 le 27-06-2007 à 17:49:49
n°11958144
Laurence67
Posté le 27-06-2007 à 15:19:44  profilanswer
 

BoraBora a écrit :

Surtout à une époque où beaucoup de ceux-ci, semble-t-il blasés d'écrire sur la largeur et la profondeur de leur nombril, entreprennent maintenant d'écrire sur les raisons profondes qui les poussent à écrire sur leur nombril. Ils étaient déjà cons et chiants avant, ils le sont maintenant au carré par une mise en abîme qui a de quoi laisser pantois. Plus de semaine sans son lot de "Pourquoi j'écris", "Pourquoi il me faut écrire", "Ma démarche et mon moi profond", à 12 € les 70 pages dont la seule phrase d'intérêt pour le lecteur est l'exergue empruntée à un grand écrivain.


Je suis teeeellement d'accord avec toi ! J'hésite à imprimer ce texte et à l'encadrer au-dessus de mon bureau (ou plutôt de mon fauteuil de lecture).
 
Tu as juste oublié de citer une célèbre nouvelle de SF : "Me, myself and I", de William Tenn, platement traduite par "Moi, moi et moi", qui aurait fait joli aussi comme titre !  :lol:


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La Petite Librairie : critiques de romans
n°11960019
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 27-06-2007 à 17:40:08  profilanswer
 

t'en penses quoi l'Amibe_R Nard ?
 
(jfais référence à la réponse à tes remarques sur le début du Chap1 de la page d'avant)


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ploum ploum tralala
n°11976723
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 29-06-2007 à 11:48:57  profilanswer
 

bon bin en attendant je poste la suite du chap1
 
 
Mais ces dernières années je n'avais plus trouvé le temps de me promener. Après mon service agricole que j’avais prolongé de trois ans, je décidai poussé par mon père adoptif d’aller m’instruire à l’école. Ma passion grandissante pour la nature me faisait hésité mais la curioité pris le  dessus. Je fis le choix de suivre des cours d'Histoire et de biologie. Au bout de trois ans d'études de cette discipline, je me mis à étudier le Présent et la Science de l'Anticipation.
 
La végétation de ma planète bien que définie par l’homme était équilibrée et très structurée. Uméria n’a pas toujours été une planète habitée par l’homme. Il n'y avait que deux planètes habitées dans notre galaxie: Nubis et Tumus appartenant à des systeme solaire differents. Ce sont les civilisations antérieures de Nubis qui ont réussi à rendre habitable Uméria. Celle-ci n'était alors qu'une planète recouverte de glace. Sous cette glace se trouvait de la terre et toutes sortes de minéraux très riches en élément propice au développement de la vie ainsi que de l'eau renfermant un vrai bouillon de cultures. La technologie connue de Nubis, qui était forte avancée par rapport à sa consoeur, permit de faire fondre la glace de cette planète. De la fonte de cette couche gelée se forma un gaz impropre à la vie bien sur, mais grâce à une explosion d'une bombe créée à cette intention par de grands savants, cette couche de gaz se transforma pour donner à cette planète une atmosphère presque viable avec une légère couche d'ozone car cette nouvelle planète se trouvant loin du soleils de sa galaxie, il fallait qu'elle capte au mieux la chaleur. A cette étape, la planète baignait dans une température avoisinant les –120°C, envelloppé dans une atmosphère de CO2. Une floppé de bactérie préalablement modifié génétiquement afin de resister au froid fut envoyer pour recouvrir en presque totalité la surface de la planète. Ces micro-organismes avait la particularité de se nourrir de CO2 pour générer de l’oxygène. Au bout de plus de 200 ans la planète était presque totalement viable. Il fallait régler le problème de la température et de la faune et flore local. C’est ds ce but d’augmenter la température que deux lunes de cette planète subirent d’énormes explosion afin qu’elles se consumment et dégage une énorme chaleur. Une fois les températures plus chaudes apparurent, la nouvelle planète pu etre colonisé. Leurs éminents chercheurs avaient sélectionné des espèces de vie  pour les intégrer à Uméria. Les plantes les plus vivaces furent choisies en premier lieu. Après avoir libéré les minéraux il semblait normal aux scientifiques de continuer par la flore puis la faune. Petit à petit la vie évolua sur la planète et au bout de plus de 300 ans elle put être colonisée par l'Homme. Celui-ci n'eu pas de mal à s'accoutumer, les espèces végétales et animales étaient à 45 % identique à ceux trouvés sur Nubis. Nubis II était née. La seule particularité c’est que celle-ci du fait de ces différentes sources de chaleurs, possédait deux saisons de plus que les deux première, des climats de façon plus étendu du fait que la taille de la planète était 1.5x plus volumineuse et ceci découpait la planète non pas en hemisphère mais en trois zones disticnt nommé, Jupi terrien, Yahvé palfeu , Thaur arien ( c'est temporaire) en hommage au trois savant en chef qui  avait travaillé et permis la réalisation du Projet Xo’r. (Parler de la colonisation de la planète et de l'idée de départ de la colonisation de la planète, pourquoi ? Qui ? .... ) (..fait historique) et dura….
 
Bien des années plus tard Une divergence politique scinda la civilisation de Nubis II en deux pour donner naissance  aux peuples dont je suis issu, les Umer. Rien de vraiment bouleversant. Pas de putsch ou de renversement de pouvoirs. Il s'agissait juste du fait que Nubis II demandait l'autonomie afin de pouvoir mieux évoluer. L'administration principale n'habitant que sur la planète mère, celle ci ne pouvais au mieux de ses possibilités gérer la civilisation de la deuxième planète, Nubis se trouvant malgré leur technologie, à cinq années de voyage spatial. C'est dans ce sens que la planète fille demanda plus de pouvoirs politique. Un traité fut signé entre les deux planètes mettant en accord la totale responsabilité de gérance du peuple de Nubis II sur ses terres désormais appelé Uméria. Tumus n'avait pas approuvé les projets de Nubis dès le départ. Elle les avait laissées faire tout en les surveillant de très près afin de repérer tous signe qui amèneraient à indiquer des problèmes majeurs visant à troubler la paix de leur planète.
 
Voici les quelques souvenirs de mes études d’histoire de l’ère dite du Renouveau. Période se situant après ... ...


Message édité par Positiviste le 29-06-2007 à 12:25:12

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ploum ploum tralala
n°11977510
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 29-06-2007 à 13:15:35  profilanswer
 

voila une scène du milieu de la première partie du "bouquin". Il y a des dialogues, un "truc" dont les rouages me sont totalement inconnus. Du sentiment doit etre présent aussi du fait que c'est une scène de torture.
 
 
(le personnage principale est allé sur les terre "enemi" pour coller des affiche de propagande et c'est vu arrété et enfermé ds le palais de Cléon, le dictateur pour les uns et roi pour les autres. Non pas à cause des affiches mais pour sa situation social vu que c'est le fils adoptif du grand doyen, grace à des espions.)
 
Deux gardes ouvrirent la porte de ma cage.  
-Allez, amène toi !
-Je suis libre ?
-Hahaha entends le celui-là. Suis-nous.  
 
Je les suivais menotté et encore abasourdis de la situation dans laquelle je m'étais fourré. Sur ce coup, je m’étais vraiment chié dessus. Mais quel crétin. Au bout de 5 longue minutes de marche dans ces couloirs sombres et humide, nous arrivâmes en une salle de torture. Des gémissements provenaient au loin de la pièce. L’agonie habitait l’endroit. J'en avais des frissons. Toutes sortes de machineries pouvant faire souffrir étaient présentes. Des mécaniques issues du plus profond du vice brutal de l'homme, ce que sait de mieux créer l'Homme : des armes et de la souffrance. Je n'osais imaginer les pires sévices qui m'attendaient. Si j'étais là, c'était pour souffrir. Mais pour quelles raisons ?
 
-Déshabille-toi ! lança un des gardes.
-Le bourreau en a bientôt terminé avec l'autre déchet puis se sera à ton tour. Ne sois pas pressé. Prends ton temps pour te défroquer de tes guenilles.  
 
Scroupf ! Il me cracha un gros mollard au visage. La tête baissée, je ne répondais pas.
-Stop ! Il suffit ! Vociféra un homme avec une voie de crécelle. Ceci est mon labeur, faites le vôtre. Attachez-le sur cette table et sortez.
 
Lentement un des gardes me souleva et me posa sur une table en bois les pieds et les mains écartés attachés par une lanière de cuir brun rongée par l'humidité et le sang d'anciens suppliciés. La table d'opération était moite et les échardes me pénétraient tout le long du corps. Les gardes sortirent en ricanant. Je me taisais car je ne voulais rompre le silence, j'avais besoin de me concentrer sur mon sort pour contrôler mon corps et la douleur qui commençait à parcourir ma chair. L'homme à la voie de crécelle, mon bourreau, avait sans doute lui aussi subit d'horrible torture. Son visage rongé par la vermine présentait de grandes marques de brûlures, ses oreilles n'apparaissaient que sous la forme de lambeau de chair. Son nez quasi inexistant dévoilait une morve jaunâtre bien épaisse dégoulinant jusqu'au coin de sa bouche. Son sourire narquois et pervers donnait le jour aux quelques dents pourries qui lui restaient. Son visage se rapprochant du mien, j'entendais parfaitement sa respiration sifflante et sentais son haleine fétide. Quelques gouttes de bave dégoulinèrent sur mon front et coulèrent lentement vers mon œil que je pris soin de fermer. Humpf hein....Hon Hein ... Sa respiration haletante se faisait de plus en plus pressente et dévoilait son excitation et l'ardeur qu'il allait employer à la tâche. Serein, je devais le rester mais nul doute que je n'avais envie de souffrir. La porte s'ouvrit et un homme de grande stature entra. Je l'avais déjà vu dans les journaux, c'était le général en chef de Cléon. Un homme fidèle à ses idéaux et à son maître, plus dangereux que n'importe quel cerbère, toujours prêt à mordre. Un  vrai chien de guerre fabriqué pour obéir aveuglément à son maître.
 
-Nous y voilà. Tu te demandes sûrement les raisons qui te clouent à cette table.
-Je les connais déjà, assouvir votre haine pour oublier votre impuissance. Pas même capable de bander correctement...
 
Paf ! une mandale au poing d'acier me fracassa la mâchoire. J'étais peut-être allé trop loin. Je n'étais pas en mesure de faire le malin. Le sang commençait à m'inonder la bouche et je sentais avec ma langue une dent qui bougeait. Ce goût de sang m'excitait, je ne sais pourquoi.
 
- Ne fais pas le malin, parle uniquement quand je te poserais une question. Qu'es-tu venu faire dans la Capitale ?
- Me promener dans un parc dans le but improbable de trouver une trace d'intelligence en Ahamikaha.
 
Paf, une deuxième dent se décolla de ma mâchoire, à ce rythme là j'allais bientôt finir édenté.
 
- Hahaha, et j'en ai trouvé une héhéhé. theu ! heu !
- Laquelle ?
- L'étron d'un gros clébard !
 
Paf paf paf ! Les coups qu'il me portait avec une violence rageuse finir par me casser le nez. Je savais qu'il recherchait des informations précises concernant la politique du Grand Doyen vis à vis des événements qui se tramaient. Je ne dirai rien dus-je en mourir. Mourir, c'était la chose la plus intelligente qui pouvait m'arriver. J'en savais trop sur les projets du Grand Doyen. Pardonnez-moi père, j'ai été imprudent. Par ma faute, je mets en péril la mission et vous place en grand danger ainsi que toute la population de Kah-Pousspa, je ne sais pas si je vais pouvoir garder le silence bien longtemps face aux arguments que possèdent mes tortionnaires pour me faire parler. J'ai nui à vos espoirs, amplifiant votre crainte. Je ne mérite pas votre confiance.
 
-Préparez les fers chauds Bourreau, je reviens.
- Hihi hihihi, as-tu entendu ? oui je le pense, " préparer les fers chauds " hahahahahaa hihi hihi.
 
Ce rire de hyènes m'hérissait tous les poils du corps, là était la vrai torture, la douleur de mon nez et de ma mâchoire à coter n'était rien. Le bourreau mit les fers à chauffer avec un soin magnanime. Il se parlait à lui-même ainsi qu'à ses outils. Qu'avait il donc fait pour subir tout çà ? Toutes ces marques de haines et de souffrances qui transparaissaient sur son corps n'était que le reflet de la perversité de l'homme. L'Homme animal capable de tout pour satisfaire ses envies.
     ***
 
-Oui Général ?
-Nous avons commencé l'interrogatoire
-Et qu'avez-vous appris ?
-Rien pour le moment si ce n'est qu'il sera plus dur à faire parler que je le pensais.
-Bien continuez vos efforts, du résultat de votre mission dépend notre victoire. Autre chose ?
-Oui sir. Nos espions confirment le déplacement du Grand Doyen
-Silence misérable ne prononce pas son nom en ma présence, cet idiot n'a rien de Grand, je suis Grand il n'est rien et demeurera rien.
-Pardonnez-moi sir, il est en route pour la capitale, il a du apprendre pour son fils. De ce fait, nos espions n'auront que plus de liberté de mouvement sur leur terre.
-Bien bien, de mieux en mieux. Poursuivez vos efforts Général, je veux un rapport complet d'ici la nuit tombée. Bien qu'il soit jeune, il n'est que prétention. Il parlera tôt ou mourra. Ainsi soit-il. Rompez.
 
La porte se rouvrit et le Général réapparut. Ma pause ne fut que de courte durée. Je me préparais à recevoir en ma chair les fers chauffés à blanc.
- Bourreau, laissez-nous seul.
-Bien mon général, à votre guise hihihihihihi
-Alors où en étions-nous ?
 
Le Général prit alors un des fers qu'il me posa sous la plante des pieds. Une douleur atroce me fit serrer les dents. Je ne voulais pas hurler à mort et ainsi renforcer le plaisir de ce mécréant. Je voulais me battre contre la douleur afin de la contrôler. Quelle fasse parti de moi au point de la trouver douceur ! C'était la première fois que je souffrais à ce point physiquement. Les quelques rixes auxquelles je m'étais adonné enfant, les coups de poings de John, caïd de la récrée, m'apparaissaient maintenant comme des caresses amicales.  
 
- Qu'es-tu venu faire ici ?
- Vous le savez bien, je suis venu de mon plein grés pour coller des affiches de propagande, la raison pour laquelle je me trouve ici.
- Ce n'est pas pour cette raison que tu es ici, et tu le sais très bien. Que complotez-vous en Est ? Quelles alternatives préparez-vous ?
- Je ne sais pas de quoi vous parlez !
- Tu mens.
 
Sur ce, il me brûla les orteils du pied gauche un à un puis les arrosa d'alcool. La douleur n'en était que plus forte. Je ne tiendrai pas longtemps, mais tant que je reste silencieux face à ses questions et à la douleur, il y avait un espoir. Ma disparition en Kah-Pousspa  devrait être remarqué tôt ou tard voire peut-être trop tard. Le Général posa la barre de fer et se dirigea vers un établi, et en sorti scalpels et sécateurs. Si la douleur est horrible, plus horrible encore est la peur de la douleur.
 
-Tu mens car je ne peux croire que vous restiez indifférent à ce qu'il se passe. Vous tenez à votre train de vie, vous y croyez même. Vous en parlez et en discutez lors de Conseil.
- J'y assiste que très rarement je ne suis au courant de tout ce que le conseil débat.
- Cela voudrait dire alors que le Conseil et votre "vénéré" Grand Doyen cachent des informations à son peuple ? Hahaha où est alors le principe si clamé en Kah-Pousspa sur la confiance et la tolérance et patatipatata ?
 
Je m'étais fais avoir facilement, il faut que je réfléchisse d'avantage lorsque j'émets une réponse.
 
-Le grand maître ne nous cacherait des informations nous concernant. La loyauté est un des fondements de notre société
-En es-tu si sur ? Alors pourquoi se trouve en Kah-Pousspa  deux ingénieurs venant de Nubis ?
- je suis étranger à tout çà.
- Tu mens encore une fois
- argh ! haa ! haa !
 
Tout en me parlant il avait prit soin de chauffer la lame de son sécateur et de me trancher un doigt de pied. Avec son scalpel, il m'ouvrit la jambe tout le long du tibia. Combien de temps cela pouvait-il encore durer ? La peur de souffrir tendait à me délier la langue que je m'empressais de mordre jusqu'au sang. Si je pouvais la déchirer avec mes dents et l'avaler, tout le reste ne m'importunerait plus. Mais le fait que lui-même eu besoin de révéler ce qu'il savait pour me soutirer des informations, me réconfortait. Je pensais qu'il perdait patience et que je gagnais du terrain. J'étais résolu, d'en plus de ne rien dire, de rester en vie et d'accomplir ma mission.
 
- Ecoute, je suis fatigué de cette vie, de cette puanteur et de Cléon. J'en ai marre de jouer au larbin pour un mégalo psychopathe...
- En attendant, c'est vous qui tenez le scalpel
- Tu fais bien de me le rappeler. Toi seul peu m'aider
- argh  haa ha!
- Je sais que tu souffre, tu peux abréger cette souffrance et la mienne de ce fait. Tu n'as qu'à parler. Je te placerai sous mon aile tu n'auras plus  rien à craindre.
- Hahahah ha hahaha, c'est là que vous vous plantez, nous en Kah-Pousspa nous ne connaissons ni la peur, ni la crainte hahhahaha. Toutes les tortures aussi horrible quelle puisse être ne me font pas peur. C'est la que réside la force de la population, c'est là notre arme si c'est cela que vous vouliez savoir.
- Ainsi tu ne connais pas la peur ? Dis-tu. Alors je me vois dans l'obligation de t'enseigner la matière. Je suis un maître dans ce domaine. Mais je ne te ferai pas ce plaisir, je laisserai ce devoir à l'un de mes meilleurs élèves, le bourreau. J'aurai fait ce que je pouvais pour t'aider, maintenant je ne peux plus rien. Bourreau, vociféra t-il, occupe toi de lui.
 
                                                                ***
 
 
- Alors Général, où en êtes vous avec notre prisonnier ?
- Il s'obstine à garder le silence. Je n'ai pu lui arracher un mot. Son esprit est beaucoup plus fort que son corps. Je l'ai laissé entre les mains du bourreau.
- Il est votre meilleur élève n'est ce pas ?
- Oui, sir
- Pensez-vous alors qu'il pourrait dépasser le maître ?
- Je ne sais pas, p-ê qu'avec le temps...
- nous n'avons pas de temps ! Celui-ci nous est compté dans notre entreprise. Donnez l'ordre de l'enfermer au cachot pour la nuit. Si c'est son esprit son point fort c'est à son esprit que nous allons nous attaquer. Nous lui infligerons une torture psychologique, nous briserons son mentale et le reconstruirons à notre envie. Nous en ferons un zombie.
- Compris sir.
- Rompez.
 
 
-Bourreau faites-le ramener au cachot il est inutile de poursuivre ainsi.
-Bien Général
 
Lentement il me détacha de mes liens et appela deux gardes.
 
-Ramenez-le au trou.
 
Les deux gardes me prirent un bras chacun et me traînèrent dans ma cage. Là j'examinai mes plaies et ne pouvant rien faire d'autre que de les observer, je pris la résolution de m'endormir. J'avais besoin de sommeil cette séance de torture m'avait usé le corps et l'esprit.
 
soudain des gardes assistés du bourreau débarquèrent dans mon antre et m'extirpèrent de mon sommeil. Les gardes me saisirent et m'enfilèrent une camisole. Je savais que çà ne servait à rien de lutter. Autant garder mes forces pour plus tard. Le bourreau sortit une seringue de sa poche.
 
- Je te conseil de te tenir tranquille, il serait dommage que je loupe ton bras et qu'accidentellement l'aiguille vienne perforer un de tes yeux.
- Qu'est ce...qu'est-ce que vous me faites ?
- Ceci t'aidera à rester en éveil, ce sont juste quelques vitamines de ma composition agrémentées de quelques hallucinogènes en très faible dose.
 
Pendant ce temps là les gardes ds le couloir actionnèrent une manivelle qui actionna un mécanisme levant des volets des fer qui me faisaientt découvrir dans chaque pan de mur un écran de télévision derrière un épais vitrage. Ma tête commençait à tourner et une envie de vomir me saisissa.
 
- Je te conseil de ne pas te retenir de vomir, ta souffrance en sera moindre. Ton corps réagit normalement face à ce qui est du poison. Je te souhaite une agréable nuit hahahaha.....
 
Les hommes de mains de Cléon sortirent en s'esclaffant. Les télévisions s'allumèrent suivit d'une musique plutôt douce. Les images montraient des enfants jouant dans un parc. Ils s'amusaient ensemble à se passer un ballon quand un homme avec un long couteau s'approcha d'eux et en moins de temps qu'il ne me fallu pour comprendre le drame qui allait se produire, l'Homme trancha la gorge d'un des enfants. Les deux autres enfants  horrifiés par cette scène ne purent faire un mouvement ni émettre un son. Leur sort réservé par l'homme au couteau en était de même. A mesure que l'horreur s'intensifiait, la musique se déformait pour ressembler à du bruit insupportable pour mes oreilles. Je fermais les yeux pour ne pas voir les horreurs auxquelles s'adonnait l'homme sur les corps des enfants mais impossibles. Dès que je fermais ceux-ci, la tête me tournait, la nausée s'installait et l'image sordide de la mort du premier enfant surgissait. Je voyais en grand son visage et le couteaux qui lentement tranchait sa gorge et délivrait un geyser de sang. Ses yeux qui lentement remontaient pour laisser place au blanc de l'œil. Quand je les rouvris d'autres scènes de plus en plus attroces défilaient sur les écrans, la musique me rendait fou, je n'en pouvais plus, je devais résister. Je me concentrais de toutes les forces qu'il me restait mais impossible de se soustraire à cevacarme tonitruant et à ce défilement de violences par simple méditation. Je me levais et criais de tout mon possible, tapais de la tête et des pieds contre les murs afin de distraire mon esprit par la douleur et de le détourner de cette torture mentale. Devais-je combattre un maux par un autre maux ? Remplacer un maux par un autre maux? en tout cas les douleurs qui commençaient à se faire sentir dans mes jambes et mon crane commençaient à dissiper certains effets du poison. Mais cette musique infernale était toujours horiblement présente. Au bout de quelques heures ou minutes, ma concetion du temps étant ,m es jambes commencèrent à ne plus vouloir me porter quand soudain la lumière qui m’aveuglait s’éteignit ainsi que le vaccarme et la vidéo. J’était plongé dans le noir et le silence presque total. Seul le bruit des gouttes d’eau venant du couloir pertubaient ce silence tout en me rappelant l’humidité de l’endroit et les risques sanitaire liées. Mais ce fut sans grande peine que je m’endormis à même le sol. Je me réveillai en sursaut par le bruit de la porte de ma cellule et remarquai que je n’avais plus de camisole. une ombre apparu à travers la grille de la porte. Je ne distiguais pas son visage, juste un buste couvert d’un manteau à capuche. Une voix grave entamma le dialogue :
 
- Aurais tu des information à l’heure actuelle à nous fournir et qui pourraient abréger tes souffrances ? ou refuse tu toujours de collaborer ? Ne sois pas si timide, parles.
- Pré..préfère mourir que de trahir !
- Mauvaise réponse jeune homme
 
L’Homme à la voix grave fit un mouvement du bras, les projecteur de ma cellule se rallumèrent ainsi que le bruit, larsen en tout genre innondait à nouveau la cellue de la pièce et les vidéo se mirent à animer violament les mur. Cette fois, la drogue un peu disssippée la torture subit n’en était pas plus supportable. Je fus vite à genou. Les mains sur les oreilles pour essayer de bloquer le passage su son. Celui-ci s’arréta au bout d’un quart d’heure ainsi que les lumières et l’homme reppartit. Qu’allait- il m’arrivé ? maintenant,je commençais à etre à bout de force me demandant combien de jours je vivrais mais la plupart de mes pensées aller vers le grand Doyen. Je ne cessais de lui demander pardon dans mes prières. Des heures peut-être des jours s’écoulèrent dans le noir total avant que la torture reprenne son cour. Cette fois ci de façon régulière. Toutes les demie-heures parfois  tous les quarts d'heure j’avais le droit à une séance de supplice au bout de la 25 ième fois, je me cognais les oreilles contre le mur. Ce qui me fit penser à un animal: le Galoup. J’en connaissais presque plus sur l’anatomie du Galoup que de l’homme. Celui-ci avais une particularité qui me semblait interressante sur le moment: ses oreilles et tout son mécanisme auditif  était à l’extérieur de son corp. Il suffisait qu’il perde une oreille, ou prenne un violent coup sur celles-ci pour qu’il perde ses capacités auditives. Celle-ci n’étant pas vital pour cet animal comptant plus sur sur son odorat aussi dévellopé qu’un cheval, sa vu persante tel un aigle et son sens sensitif avec le quel il pouvait sentir l’air déplacé d’un bras qui se lève à une centaine de mètre de lui. Mais moi, qu’en était-il ? pouvais-je m’arracher les oreille et devenir sourd ou du moin atténuer mon ouïe ? J’étais prêt à tout pour empécher le bruit résonnant de mon cachot de continuer. Je pris la décision de m’enfoncer violamment les doigts dans les oreilles. Premier essaie, les deux auriculaires d'un coup sec, s’enfonçèrent le plus rapidement possible et le plus loin dans la cavité de mes oreilles et je les retirais. Un siflemment suivi d’un bourdonnemnt se fis sentir au sein de celle-ci. Persuadé d’etre sur la bonne voie je décidais de réitérer l’action en y mettant plus de force et de rigidité ds mes doigts. Je devrais pouvoir mettre un terme à mon ouïe, me dis-je. Au moment où je levais les mains , auriculaire tendu vers mes oreilles, prêt à frapper la potre du cachot s’ouvrit pour donner jpur au général qui le bras tendu me mis une baigne à m’en faire tomber k.o. Gisant sur le sol je pus entendre une phrase avant de m’évanouir: “tu t’en sort cette fois, mais à quel prix ? hahahahahahha. Tous était trouble autour de moila voix du général étais déformé pour etre presque incompréhensible. Je pu distinguer l’homme à capuche qui s’aprochait de moi, lentement il me sussura à l’oreille “tu aurais mieux fait de parler. Tu n’en serai pas là aujourd’hui ainsi que ton maitre”
 
... :whistle:  dsl j'avais pas pensé que le passage serai aussi long...


Message édité par Positiviste le 29-06-2007 à 13:49:08

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ploum ploum tralala
n°11980228
Amibe_R Na​rd
Posté le 29-06-2007 à 17:19:21  profilanswer
 


Salut
 

Citation :

 
 
intéressant. Peut etre vais je devoir modifier un peu plus le prologue parce qu'il s'agit de ses souvenirs qu'il se remémore ce qu'il annonce ds le prologue. P-e en insistant plus sur ce point avec une phrase ds le genre :  "Il ne faut pas que j'oublie, je dois me souvenir de tout. Chaque détail est important, que ce soit un sourir croisé ou des larmes essuyées, un simple éternument.... " en précisant p-e auparavant qu'il s'est branché à une machine qui enregistre ses pensés, les sons qu'il se souvient et ses visions d'où le fait qu'il doit etre précis par rapport a la réalité et descriptif ds ses souvenirs. Tu vois, un truc aussi comme le narrateur c'est le perssonage qui se souvient et il intervient ds l'histoire qu'il se rmémore. ( chais pas si je suis clair lol)le narrateur de sa propre histoire qu'il revit.


 
Oui, c'est une des astuces communes employé par les auteurs... ou alors le testament.
 
Ça permet de raconter l'histoire et de faire intervenir le personnage par petites touches, en général lorsque le besoin s'en fait sentir. (et toujours sans oublier que le personnage qui raconte connaît toute l'histoire... puisqu'il la raconte :) )
 

Citation :


Citation :

Là, j'ai effacé la partie qui dit "leurs axes de rotation et leur circonférence."  
Parce que, forcément, on va s'avancer vers des explications scientifiques, si on se demande "pourquoi le personnage" parle ainsi  


 
C'est sur, mais c'est pour introduire le monde sur lequel il vit parce que c'est indissociable de la trame mais bon çà excuse pas la façon dont je l'ai fait. Un peu plus loin il revient dessus pour fournir des explications. Il évoque aussi des souvenirs de son enfances qui préciseront un peu plus pourquoi il reste deux lunes sur trois et pourquoi elles sont en fusion au point de les considérer comme soleil. Disons qu'il y a un peu d'histoire, des flashbacks, ds les pages écrites, en particulier ds la première moitié de la première partie.


 
Là, il peut se souvenir d'un cours de ses profs, ou alors il faut la rattacher (l'information) à autre chose, à ses propres connaissances. S'il est astronome, ça colle ; s'il est saltimbanque, les histoires de circonférences et d'axes de rotation ça ne colle pas avec le personnage.
 
Il faut aussi se poser la question : à qui est destiné l'histoire par le personnage.
 
S'il s'agit d'un savant émérite, ton héros peut bien lui dire : tu te souviens, on avait parlé de la circonférence et de l'axe de rotation, je te confirme que c'est vrai pour la première lune, mais pas pour la deuxième à cause de XXX.
 
S'il parle à son fils, dont il ne sait rien à priori (s'il est encore dans la matrice maternelle), alors il va falloir l'enrober un maximum : Plus tard, on te l'expliquera, les axes de rotation de nos lunes sont divergents et leur circonférence paraît plus grande à l'oeil nu qu'elle ne le sont réellement.
 
Savoir à qui le héros raconte l'histoire est important, parce que ça va orienter la façon de tourner les informations...  
 
(En tant qu'auteur, on peut aussi écrire pour un lecteur probable, et présupposer qu'il possède déjà une partie des informations. Si tu parles d'axes de rotation et de circonférence à des petits CP, ils vont ouvrir de grands yeux... comme le feront aussi des filles qui détestent les maths, mais pour elles ce sera de dégoût. Sauf si tu arrives à bien tourner les éléments pour leur signifier que, non, l'histoire ne va pas sombrer dans de la Hard SF.  
Hard SF, où l'auteur se croît obligé de décrire millimètre par millimètre son vaisseau, jusqu'au système de propulsion, lorsque d'autres donnent un aperçu général et parle d'espace plié.)
 
 

Citation :


Citation :

Ensuite, est-ce bien utile de parler d'axes de rotation et de circonférence, sans rien ajouter d'autre ?
 
Pas sûr.


 
Au vu de ta remarque je me dis qu'au moins çà intrigue et soulève des questions. C'est positif parce qu'il en question dans toute la première moitié de la première partie. Là tu n'as eu que la moitié du premier chapitre.


 
Oui, ça attire, mais repousse autant... c'est là tout le problème. ;)
 
Si, dès le début, je commence à te parler du moteur Top Fuel de 500 CI sous le capot de la voiture de Sam-Sam, avec ses doubles magnétos de 44 ampères et ses 85 000 litres d'air injecté par le compresseur qui gronde à fond de cale... tu vas sans doute penser que le reste du texte va être vraiment "chiant" à lire.
 
Si je te laisse avec cette information toute seule dans le reste du texte, tu vas te dire... Hou là, c'est quoi cette embuscade de termes techniques.
 
En premier lieu, j'aurais peut-être dû te dire qui était Sam-Sam, qu'il était pilote de dragster, et qu'il allait concourir aux States pour remporter les finales européennes au Santa Pod.
 
Là, tu peux commencer à comprendre de quoi il s'agit, et plus tard, on peut glisser les termes techniques dans la bouche d'un concurrent : whah, un Top Fuel de 500 CI, c'est vraiment un monstre ! dit la fille avec un sourire de connaisseuse.
 
(infos tirées de http://www.forum-auto.com/sport-au [...] 78097.htm)
 
 
Et là, dans ton cas, c'est le premier chapitre.  
Donc il faut présenter le capot, et plus tard tu pourras le soulever, une fois que le lecteur sera habitué à son aspect.
 
D'abord on parle de la Lune, du projet qu'on a d'y aller... puis, quelque part lorsque tout est bien placé dans l'esprit du lecteur, le savant se pose la question de savoir si l'attraction ne sera pas trop forte pour un alunissage, ce qui peut justifier l'axe de rotation ou la circonférence (termes mathématiques par excellence :-) )
 
 
 

Citation :


J'aurais p-ê du mettre le chapitre 1 en entier ainsi que le lien du prologue. j'ai eu l'impression de t'avoir donné un problème avec que la moitié des données, mais t'as quand pu en tirer quelques choseset soulever des points intéressants. Par contre j'ai des scènes plus adéquat pour ce type de correction. C à d ce qu'il y a eu avant ou ce qu'il y a aprés n'est en aucun cas une gène pour la logique si c'est pas connu. Notamment une scène de torture avec un prisonnier. C'est une scène où les sentiments rentre en compte et c'est plus balèze que la description je trouve. Il y a du dialogue et çà j'en connais vraiment pas les rouages.


 
 
Oui, c'est plus difficile à rendre. Parce que les dialogues doivent être pertinents et qu'il faut souvent les casser par des gestes ou de l'action, afin d'interrompre la monotonie d'un dialogue ininterrompu... afin de traduire le langage non verbal.
 
- C'est d'un chic ! dit-il avec un sourire.
- C'est d'un chic ! maugréa-t-il sans enthousiasme.
 
Pour la dialogue, il ne faut garder que la portion intéressante. Et là, effectivement, ce n'est pas toujours simple. Il faut regarder comment c'est construit chez les bons auteurs (ceux que l'on aime)  :)
 
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11983101
keke91
Posté le 29-06-2007 à 21:57:48  profilanswer
 

Amib tu pourrais regarder mon texte plus haut stp je te le remets la si tu veux
 

Citation :

Bonjour j'ai 16 ans et l'envie d'écrire apparu subitement âpres la lecture complète des 9 livres sur la saga Warcraft pour ceux qui connaissent.  
Je me suis donc lancé a l'aventure et j'aimerai vous montré le début de mon histoire avec avant un genre de synopsis que j'ai fait certes ce n'est pas un résumé digne de Tolkien mais vous pourrez a peu près savoir l'histoire  
Ensuite je vous mettrai mes premiers écrits sur l'histoire:  
 
 
Danath fils d’un pauvre paysan apprend récemment de la part de la magicienne Naia qu’il est le descendant d’une ancienne dynastie de roi aujourd’hui oublié, il reçoit également un joyau qui selon la légende possède un pouvoir. De part cet objet et son héritage il est l’un des six chevaliers pouvant tuer le démon Beregoth et libérer la monde de son joug. Mais pour pouvoir tuer ce démon les six compagnons devront être réunis dans le sanctuaire de Zaran’Ken afin d’ouvrir le coffre qui contient le sceptre capable de terrasser Beregoth.Bien des dangers et des rebondissements attendront nos amis tous au longs de cette aventure  
 
Voila donc le petit synopsis j'aimerai votre avis car j'ai voulu faire le synopsis avant l'histoire ca pose les bases de mon histoire, de plus j'ai fait une petite carte ou j'ai tracé à peu près tous les endroits ou les personnages iront  
 
J'aimerai bien l'avis de l'amibe_r Nard mais des autres aussi

n°11984656
Amibe_R Na​rd
Posté le 30-06-2007 à 00:31:51  profilanswer
 

Bonjour
 
Oui, j'ai lu ton message. :)
Sans avoir eu encore le temps d'y répondre.
 
Si tu as lu mes autres messages au dessus, il te faut absolument savoir la fin de ton histoire. (ou au moins une fin probable)
 
Et commencer à travailler les 3 obstacles qui vont entraîner ton personnage à l'aventure.
 
Le troisième sera certainement l'affrontement avec le démon Beregoth
 
Ce qui veut dire que le démon est au courant de cette prophétie et qu'il a pris des précautions pour la contrer, ou alors qu'il va s'y employer et déployer ses orcs, ou ses morts vivants.
Peut-être aura-t-il acheté un des chevaliers... et là, il est bien tranquille, puisqu'il faut 6 chevaliers pour ouvrir un coffre. Mais un chevalier ça peut mourir et être remplacé par un de ses enfants.
 
 
La grosse question de départ va être : pourquoi Danath apprend-il "récemment" qu'il est le descendant d'une ancienne dynastie oubliée... Faut-il que tes chevaliers aient un âge certain pour terrasser Beregoth ? (Bref, pourquoi Danath et pas son père, ou son grand-père ?... et surtout pourquoi l'éternel paysan, et pas un gars qui a appris à se battre, puisqu'il est destiné à devenir chevalier)
Peut-être est-il le seul chevalier manquant à l'appel... ce qui a empêché les chevaliers et aussi le démon de le trouver.
 
Mais si ta magicienne a pu réussir ce tour de force, c'est qu'il y avait un moyen que ni les chevaliers, ni le démon n'ont réussi à trouver  (fouiller de vieilles archives détruites ou presque ? un vieux livre héraldique trouvé dans un village abandonné ?)
 
Ou alors le démon la faisait suivre...
 
Autre grosse question : pourquoi éliminer ce démon ? (maintenant ! et pas avant ?)
Là, est-ce qu'il est en train de gagner des batailles, de tuer du monde, au point qu'il soit nécessaire de retrouver Danath en toute urgence. (bref, qui va l'aider dans sa quête, qui sera content de la mort du démon)
 
Etc.
 
 
Sinon, ton synopsis est dans la lignée des Warcraft
 
 
Trouve la fin : Beregoth est sans doute vaincu... par le sceptre.  
Mais est-ce bien lui, le sceptre qui va le tuer, ou bien le courage et l'amitié des six compagnons. Certains vont-ils mourir dans l'affrontement ?
 
Le démon n'est pas fou, il ne va pas venir tout seul. Ou alors il se croit très fort, car il a une autre paire d'as dans sa poche. Lui aussi a des alliés qui sont bien content de l'aider.
 
 
Continue à développer ton synopsis, jusqu'à trouver les trois obstacles.
 
Le deuxième pourrait être : est-il si facile que ça d'arriver au sanctuaire de Zaran’Ken ?
Si oui,  
Pourquoi le démon n'a-t-il rien fait pour contrer cette éventualité ?
 
Qui faut-il trouver pour y arriver ?
 
Finalement, tu as peut-être déjà tous les ingrédients qu'il te faut.
A toi de les préciser un peu, pour toi, et puis commence à écrire ton histoire.
 
Dès que tu sais où tu vas, tu sais comment y aller.
Et tout devient plus simple  :)
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11991124
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 01-07-2007 à 01:13:13  profilanswer
 

Le seul vrai problèmede ton synopsis, Keke91,  est son classicisme : il te faudra déborder d'imagination pour travailler dans ce genre mâché, remâché, digéré et redigéré. Amibe_R_Nard te donne gentiment bien des conseils, fort utiles au demeurant, mais il en néglige un très important : ce type d'histoire est à écrire dans un premier temps pour la faire partager à un petit comité mais pas avec le secret espoir de te faire publier, car là, tu n'as hélas aucune chance.
 
Donc travaille à ton texte, mais en sachant d'avance que cet écrit sera un exercice de style pour toi et pour faire partager au plus grand nombre : il ne deviendra probablement jamais un livre.
 
Bien amicalement

n°11992663
Amibe_R Na​rd
Posté le 01-07-2007 à 13:06:51  profilanswer
 

sheratan a écrit :

Le seul vrai problèmede ton synopsis, Keke91,  est son classicisme : il te faudra déborder d'imagination pour travailler dans ce genre mâché, remâché, digéré et redigéré. Amibe_R_Nard te donne gentiment bien des conseils, fort utiles au demeurant, mais il en néglige un très important : ce type d'histoire est à écrire dans un premier temps pour la faire partager à un petit comité mais pas avec le secret espoir de te faire publier, car là, tu n'as hélas aucune chance.
 
Donc travaille à ton texte, mais en sachant d'avance que cet écrit sera un exercice de style pour toi et pour faire partager au plus grand nombre : il ne deviendra probablement jamais un livre.
 
Bien amicalement


 
 
Bonjour Sheratan
 
Non, je n'ai pas négligé ce point...  
 
Puisque la référence de Keke91 est la série Warcraft, son scénario est correct dans l'optique de cette série.
 
Et puis, il faut bien commencer par quelque chose. L'appétit vient en mangeant dit-on. :)
 
Comme tu le dis, c'est un entraînement pour aller plus loin.
A 16 ans, c'est déjà une bonne mesure pour commencer.
 
De plus, si on regarde bien le Seigneur des Anneaux, on retrouve le petit chaperon rouge, scénario hyper classique s'il en est un.  
Frodon (petit chaperon rouge) doit apporter l'anneau (la petite galette de beurre) à la grand-mère (la montagne de feu pour le détruire)... en chemin, il rencontre le grand méchant loup (ou ses représentants).
 
Le reste, c'est à l'auteur de l'écrire.  :-)
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11996526
keke91
Posté le 01-07-2007 à 21:45:38  profilanswer
 

Je ne suis pas d'accord avec toi Sheratan mon but premier n'était pas de le publier mais quand tu dis que ce genre d'histoire ne marche plus explique moi pourquoi christopher paolini qui a 18 ans a créer un livre du nom d'eragon qui 1 ans plus tard et dans le box office avec une adaptation au cinéma.
On ne ma jamais appris a baisser les bras donc si je peux je l'enverrai a des petites maison éditeurs pour voir.
 
Deuxieme point que je souligne tu dis que ce théme est digéré archi digéré certes mais je vois de plus en plus de livre et de jeux étant basé sur le fantastique et de plus en plus d'adeptes.
 

Citation :

Donc travaille à ton texte, mais en sachant d'avance que cet écrit sera un exercice de style pour toi et pour faire partager au plus grand nombre : il ne deviendra probablement jamais un livre.


 
Cette phrase me chagrine un peu car comme je l'ai dit ce n'est pas un synopsis mais un résumé fait a la va vite donc rien de concret,c'est des conseils que je demande pas des phrases démoralisante.
 
Et pour finir quand tu parles de classicisme je ne suis pas d'accord car j'ai plus de 50 livres de fanstastiques chez moi en passant de warcraft au lances-dragons et autres....dans tous ceux que j'ai, je n'ai lu aucune histoire semblable a la mienne.
 
Voila  :) pour sheratan
 
Ensuite pour Amibe merci de tes conseils je vais approfondir quelques points pour que tu comprenne mieux mon projet
Beregoth n'est pas un démon je me suis peux etre mal exprimé mais par démon j'entendais le mal incarné donc ce famaux Beregoth est humain.
 

Citation :

Ce qui veut dire que le démon est au courant de cette prophétie et qu'il a pris des précautions pour la contrer, ou alors qu'il va s'y employer et déployer ses orcs, ou ses morts vivants.  
Peut-être aura-t-il acheté un des chevaliers... et là, il est bien tranquille, puisqu'il faut 6 chevaliers pour ouvrir un coffre. Mais un chevalier ça peut mourir et être remplacé par un de ses enfants.


 
Etant humain Beregoth aura connaissance de la prophétié mais comme beaucoup de livre se croyant le plus fort il n'y pensera plus enfin tu vois ce que je veux dire comme Sauron n'aurai jamais pensé que gandalf aurai envoyé les hobbits en Mordor :)  
Ensuite je préfére ne pas utiliser d'orcs ou de morts vivants ou diverses créatures de ce genres pour changer un peu de thémes car je trouve cela assez pénible de voir ces espéces la je vais mettre des humains
Je ne pense pas qu'un héros va mourir ou alors apres la création du sceptre, pour le moment je réfléchi car quand on part avec un groupe il est préférable de garder le meme car le lecteur s'attache aux personnages.
 

Citation :

La grosse question de départ va être : pourquoi Danath apprend-il "récemment" qu'il est le descendant d'une ancienne dynastie oubliée... Faut-il que tes chevaliers aient un âge certain pour terrasser Beregoth ? (Bref, pourquoi Danath et pas son père, ou son grand-père ?... et surtout pourquoi l'éternel paysan, et pas un gars qui a appris à se battre, puisqu'il est destiné à devenir chevalier)  
Peut-être est-il le seul chevalier manquant à l'appel... ce qui a empêché les chevaliers et aussi le démon de le trouver.  
 
Mais si ta magicienne a pu réussir ce tour de force, c'est qu'il y avait un moyen que ni les chevaliers, ni le démon n'ont réussi à trouver  (fouiller de vieilles archives détruites ou presque ? un vieux livre héraldique trouvé dans un village abandonné ?)  
 
Ou alors le démon la faisait suivre...  
 
Autre grosse question : pourquoi éliminer ce démon ? (maintenant ! et pas avant ?)  
Là, est-ce qu'il est en train de gagner des batailles, de tuer du monde, au point qu'il soit nécessaire de retrouver Danath en toute urgence. (bref, qui va l'aider dans sa quête, qui sera content de la mort du démon)


 
Alors la on s'attaque a un gros morceau  :)  
 
Danath apprend cette nouvelle par la magicienne car j'ai commencé mon histoire et la danath et la magicienne se rencontre.Pendant cette discussion la magicienne va raconté qu'apres la fouille des archives de la capitale du royaume elle aurai trouvé un ancienne légende qui dit que pour tuer Beregoth l'immortel les 6 devront etre reunis a Zaran'Ken avec leur joyaux pour forger le sceptre.
 
Je vais supprimé par contre sa vie de paysan comme tu me la conseillé et remplacé par un preux chevalier d'une haute dynastie.
 
Pourquoi pas son père ou son grand père tous simplement car personne ne connaissais cette légende et que Beregoth n'existais pas
 
Pourquoi tuer Beregoth???Le tuer car grace a un artefact ancien je rntre pas dans les détails ils est arrivés a asservir des soldats a ses ordres et ils commencent a semer la mort partout ou il passe avec son armée.
 

Citation :

Sinon, ton synopsis est dans la lignée des Warcraft  
 
 
Trouve la fin : Beregoth est sans doute vaincu... par le sceptre.  
Mais est-ce bien lui, le sceptre qui va le tuer, ou bien le courage et l'amitié des six compagnons. Certains vont-ils mourir dans l'affrontement ?  
 
Le démon n'est pas fou, il ne va pas venir tout seul. Ou alors il se croit très fort, car il a une autre paire d'as dans sa poche. Lui aussi a des alliés qui sont bien content de l'aider.  
 
 
Continue à développer ton synopsis, jusqu'à trouver les trois obstacles.  
 
Le deuxième pourrait être : est-il si facile que ça d'arriver au sanctuaire de Zaran’Ken ?  
Si oui,  
Pourquoi le démon n'a-t-il rien fait pour contrer cette éventualité ?  
 
Qui faut-il trouver pour y arriver ?


 
Donc dernier précisions je commence a avoir mal aux doigts  
 
Je compte créer des liens forts entres les personnages qui ne se connaissent pas du tous au début, de ces liens s'en tirera une force et un courage qui je pense terrasseront Beregoth.Le sceptre en lui meme je sais pas trop peut etre pourra t-il détruire l'artefact de Beregoth et libéré les humains ou tous simplement il ne servira a rien juste a que le courage de nos compagnons soit accrues grace au sceptre.Enfin bref je verrai.
 
Je pense faire mourir un personnage a la fin oui mais lequels parmi les six je ne sais pas peut etre Danath ou personne ^^
 
Je pense que Beregoth ne seras pas seul car bon apres ce n'ai plus trop équitable 6 gars contre un méchant je pense mettre au moins 5 gardes du corps et  Beregoth pour Danath ou il se battront au cours d'un combat épique
 
Comme je l'ai dit plus haut Beregoth ne connais pas cette légende oublié donc il n'a rien envisagé contre Zaran'Ken je pense qu'il l'apprendra au cours de l'histoire
 
Pour trouver Zaran'Ken il faudra du courage je pense mettre des genres de pièges enigme car bon c un lieu magique pas un moulin  :)  
 
Voila un peu ce que je pense amibe j'éspère que tu me répondra
 
 

Message cité 1 fois
Message édité par keke91 le 01-07-2007 à 22:19:53
n°11997563
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 01-07-2007 à 23:56:07  profilanswer
 

Citation :

pourquoi christopher paolini qui a 18 ans a créer un livre du nom d'eragon qui 1 ans plus tard et dans le box office avec une adaptation au cinéma.


 
 
Parce qu'il y avait un gros enjeu financier derrière : que le livre Eragon est une bouse et que le film qui en est tiré est à peu près aussi bien réalisé que "Donjons et Dragons" en son temps : une sous-fiente. ses écrits étaient nuls, ils ont été réécrits à 99% pour en faire un truc vaguement passable mais surtout pour être "populaire" auprès des jeunes en accolant une étiquette : "il avait 18 ans, c'est donc génial!". Je crois que pire exemple : il n'y a pas  :lol:  
 
 

Citation :

Deuxieme point que je souligne tu dis que ce théme est digéré archi digéré certes mais je vois de plus en plus de livre et de jeux étant basé sur le fantastique et de plus en plus d'adeptes.


 
Pour les livres, c'est normal : la maison d'édition locomotive du genre possède les droits de grands auteurs américains et exige de ses auteur de ne faire que des reprises à structures identiques afin de satisfaire le lecteur lambda : donc : une quête+une pointe de destin+un soupçon de magie+un doigt de reflexion pseudo-philosophique+un héros un rien naïf mais très courageux+une jolie fille qui sera tantôt frêle et boulet tantôt forte mais qui saura fondre sous le charme du héros et tu obtiens 95% de l'indigeste production littéraire d'heroic-fantasy de ces 15 dernières années : on se demande après pourquoi le genre est moribond en France...
 
 
 

Citation :

Cette phrase me chagrine un peu car comme je l'ai dit ce n'est pas un synopsis mais un résumé fait a la va vite donc rien de concret,c'est des conseils que je demande pas des phrases démoralisante.


 
Comme disait Einstein, le génie, c'est 1% d'inspiration et 99% de transpiration. Donc pour être plus clair, à partir de ton synopsis, ecris ton roman, laisse le reposer trois mois et reprends le : de toi-même tu seras apte à t'auto-corriger.
 
 

Citation :

Et pour finir quand tu parles de classicisme je ne suis pas d'accord car j'ai plus de 50 livres de fanstastiques chez moi en passant de warcraft au lances-dragons et autres....dans tous ceux que j'ai, je n'ai lu aucune histoire semblable a la mienne.


 
Non, tu penses ne rien avoir lu de semblable. Mais au résultat final, tu verras avec l'expérience que ce premier jet d'écrivain ressemble à des millions d'autres. Accroche-toi, tu verras, rien ne vaut la satisfaction d'écrire.
 
Quant à disserter sur un "résumé fait à la va-vite", l'intérêt est plus que limité : tu ferais mieux d'essayer d'écrire un chapitre 1 ou un prologue et le soumettre plutôt que de partir en vagues et fumeuses conjectures. Tu as toutes tes chances, essaie-toi et propose nous un chapitre histoire qu'on puisse voir tes aptitudes.


Message édité par sheratan le 02-07-2007 à 00:03:48
n°11997706
BoraBora
Dilettante
Posté le 02-07-2007 à 00:26:34  profilanswer
 

keke91 a écrit :

Je ne suis pas d'accord avec toi Sheratan mon but premier n'était pas de le publier mais quand tu dis que ce genre d'histoire ne marche plus explique moi pourquoi christopher paolini qui a 18 ans a créer un livre du nom d'eragon qui 1 ans plus tard et dans le box office avec une adaptation au cinéma.


Précisons, puisque Paolini a l'air de tenir du role-model pour toi : Christopher Paolini (majuscules aux noms propres, toujours) a fait tout son cursus scolaire chez lui, sans être jamais allé à l'école. Il a eu l'équivalent du Bac français à 15 ans, soit avec 3 ans d'avance. Il a alors commencé à écrire Eragon, sans aucune intention de le publier. Ses parents en font fait une édition privée 4 ans plus tard (il a mis 3 ans à l'écrire, y compris 1 an de relectures et corrections). Il s'est alors lancé dans une tournée des écoles et bibliothèques pour promouvoir son ouvrage auto-édité. Il y a donné 135 conférences sur la lecture et l'écriture, habillé en Eragon ( :D ). Coup de chance inouï : il donna l'une de ces conférences dans l'école du beau-fils de l'écrivain Carl Hiaasen, qui acheta le livre et le montra à son beau-père. Celui-ci le trouva bon et le dit à son éditeur, Alfred Knopf (géant américain de l'édition). Le livre reparut en conséquence chez Knopf en 2003, après de nouvelles corrections et réécritures, l'année des 20 ans de Paolini. Le film sortit en décembre 2006, un mois après les 23 ans de l'auteur.
 
Gloabalement, les critiques du livre furent tiédasses, et tempérées seulement par l'âge de l'auteur. Tout le monde s'accorda à trouver un si jeune écrivain prometteur, mais son livre sans intérêt, étant un croisement de Star Wars et du SDA, avec tous les clichés habituels. Le film fut quand à lui jugé navet pur et simple, sans l'excuse de l'âge du réalisateur.  ;)
 
A retenir :
 
* Christopher Paolini fut un enfant socialement complètement hors normes.
 
* Il a passé de longues années à écrire, réécrire et encore réécrire, avant de s'auto-éditer. Et pour son édition commerciale, il lui a fallu encore réécrire. L'écriture est un long, très long processus.
 
* Des contes de fées capitalistes de ce genre, il ne s'en produit qu'un tous les 10 ans, et toujours dans les pays anglo-saxons, où le marché est énorme.
 

n°11999896
keke91
Posté le 02-07-2007 à 11:05:37  profilanswer
 

Je ne compte pas que mon livre soit adapté au cinéma mais je ferai tous pour qu'il soit publié si je peux mai cela ne restera que en France.
 
Vous avez du comprendre tous les 2 que je voulais faire le livre du sciècle mais non j'aimerai juste qu'il soit publié comme un livre de poche dans la catégorie fantastique.
 
Et puis je souligne un point mon père et professeur d'anglais donc si je lui demande il pourra aisément traduire mon texte en version anglaise et essayé de le publier en angleterre ou autre.
 
J'ai batis un projet et je compte m'y tenir  :) Je suis actuellement en série littéraire donc tous ce que je vais apprendre au cours des mes années me sera tous bénéfique pour écrire mon livre

n°12000662
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 02-07-2007 à 13:02:20  profilanswer
 

Citation :

Et puis je souligne un point mon père et professeur d'anglais donc si je lui demande il pourra aisément traduire mon texte en version anglaise et essayé de le publier en angleterre ou autre.


 
Hélas non : dans l'édition, la traduction ne marche que dans le sens langue étrangère->langue natale.
Ensuite, l'édition est généralement nationale, les éditeurs croulant déja sous les manuscrits de leurs propres ressortissants, ils n'acceptent jamais de manuscrits étrangers à moins que celui-ci ne soit déja édité et un succès commercial. A moins de connaître quelqu'un qui connaît quelqu'un .... et ainsi de suite.
 
 

Citation :

J'ai batis un projet et je compte m'y tenir  :) Je suis actuellement en série littéraire donc tous ce que je vais apprendre au cours des mes années me sera tous bénéfique pour écrire mon livre


 
Tiens t'y, prends ton temps et le fait que tu sois motivé est la meilleure des choses. Bon courage à toi en tout cas.


Message édité par sheratan le 02-07-2007 à 13:02:39
n°12000805
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 02-07-2007 à 13:26:52  profilanswer
 

ouaip continue et poste ns des extraits au fil que tu avances.
Ici tu trouveras un bon complément à tes cours de français en parcourant les postes des pages précédentes.
 
a+


Message édité par Positiviste le 02-07-2007 à 13:29:00

---------------
ploum ploum tralala
n°12000995
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 02-07-2007 à 13:55:46  profilanswer
 

Keke91, je ne dirai qu'une chose : soigne ton orthographe, relis-toi, fais toi relire. Il n'y a rien de pire que de lire un texte bourré de fautes. Et pour progresser, il faut y faire attention tout le temps (y compris en écrivant sur ce forum par exemple). Je sais qu'on te l'a dit, redit, et re-répété. C'est sûrement parce que c'est vrai... ;)

n°12006356
keke91
Posté le 02-07-2007 à 22:15:37  profilanswer
 

l'orthographe je verrai ca une fois que j'aurai fini mes chapitres je préfére me concentrer sur mes idées et passé un moment ensuite a travailler l'orthographe et la syntaxe

n°12008732
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 03-07-2007 à 10:15:16  profilanswer
 

Comme tu le souhaites. Souvent, corriger son orthographe oblige à se pencher aussi sur la grammaire de ses phrases, et de proche en proche, sur le style.
 
De bonnes idées ne font pas un bouquin. Il faut aussi un style d'écriture qui tienne la route...

n°12009306
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 03-07-2007 à 11:59:50  profilanswer
 

Et afin de surenchérir sur Tigrou bis, dis toi que si tu écris sans te préoccuper de tout cela, tu auras certainement, au moment de la correction, 95% de ton roman à ré-écrire.

n°12012153
Amibe_R Na​rd
Posté le 03-07-2007 à 17:04:41  profilanswer
 

keke91 a écrit :

Je ne compte pas que mon livre soit adapté au cinéma mais je ferai tous pour qu'il soit publié si je peux mai cela ne restera que en France.
 
Vous avez du comprendre tous les 2 que je voulais faire le livre du sciècle mais non j'aimerai juste qu'il soit publié comme un livre de poche dans la catégorie fantastique.
 
Et puis je souligne un point mon père et professeur d'anglais donc si je lui demande il pourra aisément traduire mon texte en version anglaise et essayé de le publier en angleterre ou autre.
 
J'ai batis un projet et je compte m'y tenir  :) Je suis actuellement en série littéraire donc tous ce que je vais apprendre au cours des mes années me sera tous bénéfique pour écrire mon livre


 
 
Bonjour
 
Oui, Bora-Bora et sheratan veulent le meilleur, parce qu'ils en ont beaucoup lu.  :)
 
Moi aussi.
 
Mais je sais aussi qu'il faut bien commencer quelque part.  
Eragon n'est pas un mauvais bouquin en lui-même, mais il y a mieux dans le genre... David Eddings Mallorée et Belgariade, Fritz Leiber le cycle des épées, Gemmel Druss la Légende, Clark Asthon Smith L'empire des nécromants et Les Abominations de Yondo, Thomas Day Rêves de guerre, Colin Marchika la série des Vendôme,  
les Conan le Barbare écrit par Howard, Jack Vance et sa Cugel Saga, Cook la Compagnie noire, R. Hobb, Moorcock Elric le nécromancien...
Plus proche de ce que tu veux écrire R. A. Salvatore et la trilogie de l'elfe noir.
 
Et etc. (il m'en reste pas mal à lire et découvrir, je ne t'ai donné que ceux qui m'ont vraiment emballé. :) )
 
Autant d'auteurs confirmés qui ont commencé au bas de l'échelle et rêvé d'écrire ce que tu rêves d'écrire : un premier livre qui vaudra ce qu'il vaudra.
 
Si tu veux être publié, il ne faut pas viser un seul livre... plutôt une dizaine.
Même Amélie Nothomb n'a pas été publiée tout de suite (en plus, elle publie seulement un roman sur les quatre qu'elle écrits durant l'année), et nombreux sont les auteurs à avoir été remarqués aux 5ième ou plusième livre.
 
Même les très bons.
 
Bora-Bora te l'a dit : écrire c'est un travail de longue haleine. Et il faut y croire pour tous les autres.  ;)
 
 
Paolini y a cru, et il y croit encore.
C'est vrai que c'est plus facile pour un anglo-saxon, puisque le marché se monte à près de 3 à 4 milliards d'individus lisant l'anglais, contre 500-600 millions de francophone.
 
Comme le dit Sheratan, il est difficile de percer à l'étranger (aux US, il faut prendre un agent, ou alors tout faire soi-même jusqu'à être remarqué), difficile également de percer sur notre propre marché... parce que nos auteurs sont obligés de rivaliser avec la crème anglo-saxonne (avec ce qui a marché là-bas sur de très grosses ventes)... et que le Fleuve Noir ne s'en cache pas : il ne publie plus que les grosses ventes étrangères (comprendre US), surtout depuis la fin de la collection Anticipation. :(
 
Bref, la machine à fric et c'est tout.
 
Tant mieux, on a pu voir l'émergence de petites maisons d'éditions qui s'en sortent plutôt bien si j'en crois le nombre de leurs publications.
 
Donc si tu veux publier, intéresse-toi à ces petites maisons-là.
C'est à leur niveau qu'il faudra que tu te hisses.
 
Mais pour l'instant, tu n'en es pas là. Tu dois déjà écrire ton premier roman, comme tous les auteurs débutants.
 
Et tu as raison, cela va t'apprendre plein de choses.
 
Dont le besoin de persévérer envers et contre tous... tout en écoutant les avis pour choisir ceux qui t'intéressent  ;)
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°12012195
Amibe_R Na​rd
Posté le 03-07-2007 à 17:10:41  profilanswer
 

sheratan a écrit :

Et afin de surenchérir sur Tigrou bis, dis toi que si tu écris sans te préoccuper de tout cela, tu auras certainement, au moment de la correction, 95% de ton roman à ré-écrire.


 
Comme Paolini.
 
Et puis de toute façon, le premier jet ce n'est que 10 % du vrai travail d'écriture.
 
L'orthographe n'est qu'un aspect mineur d'un premier jet.
Le problème tient quand même dans ce point : quand on faute, on ne le voit plus... donc il faut de bons relecteurs.
 
Même les pros comptent sur l'éditeur pour ce point, ou au moins sur leurs copains auteurs... mais ils n'iront pas l'avouer ouvertement. C'est beaucoup moins Class   :D  
 
Bien Amicalement
     l'Amibe_R Nard

n°12012841
tigrou_bis
Boing... Boing...
Posté le 03-07-2007 à 18:24:30  profilanswer
 

Amibe_R Nard a écrit :

[...] David Eddings Mallorée et Belgariade, Fritz Leiber le cycle des épées, Gemmel Druss la Légende, Clark Asthon Smith L'empire des nécromants et Les Abominations de Yondo, Thomas Day Rêves de guerre, Colin Marchika la série des Vendôme,  
les Conan le Barbare écrit par Howard, Jack Vance et sa Cugel Saga, Cook la Compagnie noire, R. Hobb, Moorcock Elric le nécromancien...
Plus proche de ce que tu veux écrire R. A. Salvatore et la trilogie de l'elfe noir.
     L'Amibe_R Nard


A défaut d'écrire, on sait quoi lire !! :lol:
 
Pour revenir au sujet, personnellement je m'essaie également à un petit récit. Pour le moment j'essaie d'échaffauder un scénario qui tienne la route et me donne un peu plus de 3 pages... :sarcastic:
 
Par contre, pour s'entrainer à écrire (pour le style, l'enchainement des actions, l'imagination, etc), rien de tel que les petits concours d'écriture amicaux, dont certains sur ce forum !

n°12012928
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 03-07-2007 à 18:36:29  profilanswer
 

si t'as un thème à lancer, çà p-e vraiment sympas d'en faire régulièrement. Cà peut combler les passages à vide.
Avec des règles genre texte court à thème, poème à thème ou libre. Texte trés court à thème avec faute d'orthographe limité, ou encore avec une figure de style à rajouter, un champs lexical ou deux.., tant de verbe à l'infinitif ou au participe passé ...etc parce que juste un thème je trouve çà moins marrant que quand il y a des "contraintes" à respecter. J'me souviens d'un exercice marrant en primaire, l'instit écrivait un texte au tableau avec des fautes volontaires et nous on devait recopier le texte ds nos cahier et trouver les fautes.


Message édité par Positiviste le 03-07-2007 à 18:48:19

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