Reprise du message précédent :
https://i.imgur.com/lFa63v3.png  
 
C'est fait. J'ai rallongé des descriptions, fini par ajouté une scène qui finalement est plutôt sympa, et j'y suis arrivé

Il me reste 1200 mots pour finir... mais c'est journée Saint Nicolas pour les enfants aujourd'hui. Va falloir jouer serré pour finir  

J'ai fini hier soir pour ma part, dans des circonstances inattendues : j'ai fait une fausse manip (mais je pense que c'était un acte manqué) et effacé mon fichier Donc, pour me rappeler un peu ce que j'avais fait (parce que dans trois jours j'aurai oublié), j'ai écrit un long résumé de toute mon histoire au lieu de la terminer, et ça m'a fait les mots qui manquaient.  
 
Le boulet de compet

Quelle horreur, tu dois être dégoûtée (le ton de ton message ne l'indique pas tellement). Tu as l'intention de le reprendre?
 
Courage Monsieur A!

Non, je considérais vraiment ce texte comme sans importance et jetable (c'est aussi pour ça que je ne me suis pas embêtée à sauvegarder/vérifier et faire des doubles). C'est bien d'avoir gardé un post-it pour me rappeler ce que j'ai fait, mais il n'y avait pas grand-chose à sauver, donc tout va bien.

Et ben, je ne pourrai pas le prendre comme toi, je crois que je serai en dessous de tout.  
Sinon, j'ai fini  .
Joie  

A la tienne !

Lancement ce jour :
 
https://www.20minutes.fr/arts-stars [...] me-chattam

J'aimerai bien connaître le nombre de manuscrits  qu'ils  reçoivent pour un concours  comme ça...

Plus que tu as de poils sur le caillou !
Je ne fais pas la promo, surtout pas, je pense juste à informer les chasseurs de concours que la chose amuse.
un plus long développement sur les NA : http://ludovicmir.blogspot.com/201 [...] teurs.html

 
Aucune indication sur le nombre de caractères... Entre un roman de 70 et 350 pages, c'est plus une marge mais un gouffre.

Il est forcément possible d'accéder au règlement, mais une allusion dans un des commentaires du blog mentionne un minimum de 350 000 caractères espaces comprises.

Ah ! mais j'ai vu pu voir le règlement : il n'indique pas le nombre de caractères.
Mais si c'est 350 000, à la louche, ça doit bien faire un peu plus de 150 pages.

Un mot/5 ou 6 caractères, corps 12, 150, 170 pp ouais, à la pelleteuse, mettons.

5% de droits d'auteurs, et 5 ans "d'engagement" ensuite... moui moui moui...

Faut d'abord les gagner.

 
Après avoir fouillé un peu, c'est surtout que le "comité de lecture" habituel pour choisir ceux qui seront édité ben... c'est "tout le monde". Il suffit de dire ensuite si on a aimé ou pas le livre pour qu'ils choisissent de l'éditer. Ou pas. Et pour ce concours, ce sont des gens qui participent à la plate forme littéraire de 20 min, donc pas des professionnels non plus.

Ben si tous les lecteurs étaient professionnels, les librairies ne vendraient qu'aux académiciens. La garantie d'une estimation de la rue devrait plutôt te réjouir, au contraire.

 
Ah mais je ne trouve pas ça entièrement déconnant. Je voyais plutôt le côté "détournement du système".
 
En envoyant sa famille/ses potes poster un avis positif (que l'auteur aura peut être écrit lui même), un livre moyen ou même mauvais, peut se retrouver dans le top des recommandations à éditer. Et même sans passer par la famille, ça doit être assez facile et pas trop onéreux d'acheter des avis sur le net.
 
Ou alors je vois le mal partout.  

Tout comme personne ne peut être certain que ton envoi soit vraiment de ta prose.  

Le seul prix pour le gagnant étant d'être publié, on voit pas bien la différence avec l'envoi de son texte à n'importe quel éditeur français, petit ou gros. Quant au comité de lecture constitué de bénévoles (encore mieux que des stagiaires) et pompeusement baptisé Comité de Lecture Citoyen par le cuistre du blog ci-dessus, ça existe déjà abondamment, y compris chez les grands éditeurs, de livres et de presse, qui ont tous leur "prix des lecteurs" (mais dans ce cas de figure, les "citoyens" ne votent que pour des livres déjà publiés).

Oui voilà c'est ça, je pense que Toonnette s'imagine les comités de lecture constitués en SARL. L'intérêt de ce blog n'est pas son créateur, mais qu'il fait commenter d'anciens participants. Bon, je ne crois pas qu'il soit utile d'en faire des tartines non plus. Prisma presse, c'est déjà dire beaucoup !

... J'imaginais que les comité de lecteurs étaient rémunérés moi... Naïve que je suis (et je n'ai pas pensé au "prix des lecteurs" je l'avoue !).
 
Merci de l'éclairage !

Non mais les lecteurs de "vrais" éditeurs sont payés, bien sûr. C'est un métier, pas un passe-temps. Dans les grandes maisons d'édition, il y a un comité de lecture et chez les petits ce sont les éditeurs qui lisent et font le tri sans passer par un comité qu'ils n'ont pas les moyens de payer. Mais la tendance chez les éditeurs bidons est la même que dans tous les domaines depuis que le net a envahi tous les foyers de la planète : faire bosser des gens pour rien en leur donnant l'impression de faire partie d'une "communauté" (d'autant plus motivant si c'est un "comité citoyen" puisqu'on sait bien que les lecteurs pros ne sont pas des citoyens ). Inutile de dire que Les nouveaux auteurs fait partie des éditeurs bidons.
 
Là c'est doublement bidon puisque le prix littéraire ne rapporte rien si ce n'est d'être publié, ce qu'il aurait forcément été s'il le mérite. Et avec un contrat léonin pour l'éditeur si soucieux de citoyenneté, par-dessus le marché (5% de droits d'auteur ). Bref, comité de lecture non payé, auteur arnaqué, c'est la version Uber de l'édition : rien à faire si ce n'est gérer un site web (il y a de bons stagiaires) et encaisser la thune.
 
Pour rire un peu, cf le niveau des fiches du comité de lecture "citoyen" : http://ludovicmir.blogspot.com/201 [...] omite.html . Bon, Prisma Media, c'est Gala, Télé Loisirs, Voici, Miaou Magazine etc. donc on comprend que le commentaire type soit "sa se lit bien s'es pas trop compliqué". On comprend aussi pourquoi les gagnants du prix ne publient à peu près jamais de deuxième roman.

Un concours est un exercice imposé, en tant que tel, on paralyse le débat en focalisant sur sa finalité. Ce qu'il peut apporter à soi-même est peut-être plus important qu'un coup de chapeau de Télé Loisirs, et n'est en réalité qu'arnaqué qui le veut bien. Un écrivain qui décide de devenir professionnel ne se lancera pas là-dedans, comme tu dis, s'il le mérite. Les précisions sont certes bonnes à apporter, mais je trouve dommage si elles ont simplement pour effet de dissuader l'amateur à tout prix. Vouloir être publié par-dessus son hypothétique talent est de toute façon un leurre, Les NA n'y changeront pas grand chose. On peut être définitif en suggérant que le participant va perdre son temps (et il en faut), c'est un point de vue, et pourtant je n'en suis pas si sûr. Peut-être qu'on pourra se débarrasser de l'autre blog en ayant un débat ici avec des gens qui franchiront le pas.

Disons que je fais une vraie overdose de bullshit langagier (citoyen, républicain, laïc, appliqués à tout et n'importe quoi), de startup nation de mes couilles et d'uberisation globale. 1500 prix littéraires sont décernés en France chaque année, on n'est pas obligé d'aller vers les pires et celui-ci mérite de figurer dans le top5 des plus pourris. D'autant qu'il ne s'agit pas d'un exercice imposé, comme peut l'être le nanowriting, mais d'un simple : "envoyez-nous vos manuscrits et vous verrez bien si vous gagnez". Puis en matière d'écriture, comme en tout, un examen vaut mieux qu'un concours. La compétition, ça va un moment. Et ce n'est pas paralyser le débat que parler de tout ça, c'est le créer.

Nanowriting ! non mais écrire comme on fait caca mou, trouve autre chose que cette compétition à deux balles qui se gave de chiffres et que je trouve franchement complètement navrante... Si, le thème est imposé et personne n'oblige personne.

Sauf que ca n'a rien d'une compétition.

No, no it's a BIG real challenge !  
T'en fais deux, tu fais bigner ton compteur et après tu encules Stephen King. Si c'est juste pour trouver de la motivation, alors ce concours l'éclate complètement. Pour ce qui est d'écrire des conneries au kilomètre chrono, pas de souci, je suis Schumacher.

On en a déjà parlé ici. Pour certains, c'est un truc inutile. Pour d'autres, c'est un moyen d'avancer.

C'est pas le problème,un concours c'est pareil en mieux, ce n'est pas moi qui compare l'incomparable.

Disons que c'est un concours organisé par un groupe qui a de gros moyens puisque c'est Prisma Presse derrière, donc les gagnants ont généralement des ventes bien supérieures à ce qu'un premier roman peut espérer (David Moitet était à 25 000, Agnes Ledig à 15 000, d'autres tournaient dans les 10-15 000 environ). D'ailleurs Moitet et Ledig ont une carrière bien fournie derrière, ça peut donc servir de tremplin.
 
Après, les Nouveaux Auteurs n'est pas réputé pour garder les écrivains dans le temps, mais ce n'est pas non plus là qu'est leur intérêt: c'est de fournir un premier lectorat à un écrivain pour qu'il puisse se faire publier ailleurs.
 
Les contrats sont en effet défavorables, mais c'est le principe de l'offre et de la demande et, même si je le déplore, ça n'empêche pas que des milliers de gens se battraient même pour des droits à 0%, après tout des milliers de gens PAIENT pour avoir leur livre à cent pauvres exemplaires qui ne seront jamais achetés par des éditeurs à compte d'auteurs.
 
Très prosaïquement, lorsque j'ai gagné le prix sur manuscrit aux éditions du Masque, on m'a propose du 6% de droits d'auteur et 3000 d'à valoir, rien n'était négociable et je m'en foutais, c'était un pied dans la porte pour se faire connaître et pouvoir plus tard mieux négocier ses droits. Et sans ce prix, je n'en serais pas là où je suis aujourd'hui.
 
Du coup, en tant qu'auteur établi, on râle sur les aspirants auteurs qui cassent le marché en acceptant des contrats avec des pourcentages ridicules et des à-valoir inexistants... en oubliant qu'on a fait comme eux à une époque

Merci à toi, trop pinailler pour quelqu'un qui débute, c'est plutôt jeter bébé avec le bain.

Je suis en train de terminer l'écriture d'un conte illustré mais j'hésite beaucoup pour le titre.
Lequel vous paraît le plus accrocheur ou vous donne envie d'en savoir plus ?

- La légende du dragon-poisson ?
- La légende du dragon qui s'est transformé en poisson
- Le dragon transformé en poisson
- Le dragon, le corbeau et le husky (chien ?)

Je précise que c'est une histoire où le corbeau et le husky sont les personnages principaux mais le dragon est le personnage-clé de la quête principale de l'hsitoire. Il apparaît en tant que légende au sein de celle-ci.

Pas évident du tout, de trouve le bon titre. Personnellement, j'aime bien la deuxième proposition car elle raconte déjà quelque chose (là où la troisième pose un fait établi avec peut-être moins d'intérêt suscité, je ne sais pas).

PS : pour le premier titre, j'ai envie d'écrire « poisson-dragon » en inversant les termes mais un poisson-dragon est une espèce de poisson existante donc bon...

La première proposition a ma préférence !
Si tu préfères la deuxième, j'allégerais en un mix avec la troisième : "Le dragon qui s'est transformé en poisson".
 
La dernière ne me plait pas du tout, elle sonne trop hétéroclite. Pour le coup, ça ne donne pas envie d'en savoir plus.

Oui, la dernière est très basique, elle reprend les titres de La Fontaine (entre autres) qui énumère différents animaux mais ça fait un peu fable, du coup.
Et ce n'est pas spécialement accrocheur, je suis d'accord.

Merci pour ta réponse !

Cela dit, je n'arrive pas à m'enlever de la tête que « dragon-poisson » sonne moins bien que « poisson-dragon » mais comme je l'indique dans mon post-scriptum, c'est déjà une espèce existante et je ne voudrais pas faire la confusion.

Celle-là, avec la modif que tu suggères. "La légende de" pourrait être accolé à 10 000 livres pour enfants et est donc inutile.  

C'est normal. Si "poisson" vient en premier, cela suggère un animal a priori sans intérêt que "dragon" vient doter de pouvoirs fascinants. En inversant les termes, c'est l'animal fascinant qui est diminué par la bestiole qu'on bouffe à la cantoche.

Bien qu'il y ait une myriade de contes commençant par ces termes, plutôt que s'en écarter car pas assez originaux, c'est aussi une façon d'être dans leurs pas avec une légende de plus.
Mais ce n'est pas mon choix premier, en effet.

Bien vu, c'est d'abord un dragon et ses attributs naturels lui sont retirés pour se rapprocher du poisson.

L'histoire du dragon devenu poisson.
 
Difficile de trouver un titre à un conte fantôme, ta solution est certainement dans le texte.

Le dragon n'est qu'un prétexte à une histoire d'amitié entre le corbeau et le husky, en réalité. C'est le personnage de la quête que devra accomplir notre petit corbeau pour sauver son ami mourant. Je trouve plus judicieux de ne pas mettre en avant nos deux amis et leur amitié afin que ce soit davantage implicite et découvert au fil du conte.

Merci encore pour vos réponses, je me déciderai dans les prochains jours.