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La crise actuelle sera...




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Auteur Sujet :

[ECO] Can it run Crises ?

n°22386022
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 18:03:16  answer
 

Reprise du message précédent :
a par le tourisme de quoi est fait l'économie grec ?

mood
Publicité
Posté le 28-04-2010 à 18:03:16  profilanswer
 

n°22386043
radioactif
Mighty mighty man
Posté le 28-04-2010 à 18:04:43  profilanswer
 

Fret maritime et olives :o

n°22386070
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 18:06:26  answer
 

radioactif a écrit :

Fret maritime et olives :o


 
tu remplaces les olives pas la morue et tu as le Portugal  :heink:  
 
 
ha le bon vieux temps ou on se sentait bien
 
http://q.liberation.fr/photo/id/144342/r/03/02/w/459/m/1272468614

n°22386088
scOulOu
Born Under Saturn
Posté le 28-04-2010 à 18:07:47  profilanswer
 


Subventions européennes :o

n°22386120
peaceful
beati pauperes spiritu
Posté le 28-04-2010 à 18:09:43  profilanswer
 

Et Nicos (3% du PIB) :o


---------------
"Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société, que s'il avait réellement pour but d'y travailler."
n°22386148
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 18:11:48  answer
 

scOulOu a écrit :


Subventions européennes :o


 
comme nos céréaliers, je comprends mieux

n°22386190
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 18:14:04  answer
 

Citation :


Plus scandaleux que Goldman Sachs: les agences de notation

 
Le scandale Enron, elles ne l'ont même pas vu arriver. Pas plus que la faillite de Lehman Brothers. Pourtant, les agences de notation américaines continuent de faire la pluie et le beau temps sur l'économie mondiale. Leur dernier fait d'armes : elles ont précipité la Grèce dans la crise. Et elles s'attaquent maintenant au Portugal.
 
 
Bien sûr, on aurait tort de faire la fine bouche. Le spectacle de la brochette de crânes d’œufs de Goldman Sachs, assise en rang d’oignons devant la commission d’enquête du sénat américain hier après-midi, est de ces grands moments de télévision qui entrent sans peine au panthéon du zapping, quelque part entre le rot de Jean-Claude Vandamme sur le plateau de Nulle Part Ailleurs et le « Monsieur Foote, vous êtes un salaud » du très classieux Thierry Rolland en 1978.
 
On eut même droit à un léger frisson dans l'échine quand le sénateur démocrate Carl Levin la joue Tony Montana. Sourcils en accent circonflexe, lunettes demi-lune au bout du tarin, le président de la commission d'enquête dégaine un email de Goldman Sachs, daté de 2007, qualifiant Timberwolf, un des produits financiers de la banque, de « shitty deal », « affaire de merde » en bon gaulois. Question : « Combien de ces affaires de merde avez-vous vendu à vos clients ?(…)Je vois que vous n’avez pas envie de répondre. Vous saviez que c'était une affaire de merde vous en avez vendu des centaines de millions ! » Onze «shitty deals » en tout, qui résonnent comme autant d’uppercuts dans l’hypogastre de Daniel Sparks, responsable de la division des prêts hypothécaires. Le gars a clairement a les fesses qui font bravo.Il regarde ses pompes. Bafouille comme à son BEPC.
 
Sacré Goldman Sachs. La SEC, le gendarme de la Bourse américaine, accuse la banque d'avoir trompé des investisseurs en leur faisant faire des placements sur des titres risqués sur l’immobilier US, alors qu’elle-même refourguait discrètement tous les titres en question ? Goldman Sachs répond que ses clients sont des professionnels. En clair, un resto te fourgue du merlan pourri qui te dézingue les intestins, mais c’est ta faute : t’avais qu’à le faire analyser. T’es un professionnel, bordel. Fais le job, espèce de communiste.
 
Oui, vraiment, ce réjouissant opéra-bouffe aurait eu de quoi donner du rêve si quasiment en même temps, un autre coupable de la crise financière ne continuait allègrement à saboter l’économie mondiale en toute impunité : l’agence de notation Standard & Poor’s dégradait la note de la Grèce dans la catégorie « junk bonds » - obligations pourries-, et dégradait aussi celle du Portugal dans la foulée, histoire de flinguer l’économie d’un autre pays de la zone euro.
 
On connaissait les dix plaies d’Egypte. Voici les trois plaies de Wall Street : Standard & Poor’s, Moody’s, et Fitch, les trois agences de notation mondiales. Des organismes privés, totalement indépendants des régulateurs et autres gendarmes boursiers : deux groupes américains, Standard & Poor’s et Moody’s, et un acteur à capitaux français, Fitch, filiale du groupe Fimalac. A elles trois, ces agences contrôlent 90% du marché mondial : 80% pour le duo Standard-Moody’s et 14% pour Fitch.
 

Le principe est simple : quand un pays ou une entreprise emprunte sur les marchés, il demande à une des agences de noter sa dette, c’est-à-dire de donner une estimation des risques de non remboursement en fonction de sa solvabilité, ses perspectives etc. En fonction des systèmes de notation des agences, ces dettes se retrouvent notées entre AAA (risque le plus faible) et CCC, voire D (faillite ou quasi-faillite).
 
Plus scandaleux que Goldman Sachs: les agences de notation
Pas moyen d’échapper à l’oligopole : les créanciers, banques, hedge funds ou fonds souverains, exigent une notation des dettes émises, forcément par une des trois grosses agences, avant d’ouvrir le carnet de chèques. Selon l’AMF, Moody's France note ainsi plus de 77 entreprises, 124 établissements financiers, 14 collectivités locales, 15 OPCVM. En bon français, on appelle ça une rente de situation, d’autant que les deux tiers des émetteurs notés ne font appel qu’à une seule agence.
 
Mais le plus gros problème est ailleurs. Qui rémunère les agences ? Les émetteurs de dette eux-mêmes, entre 25 000 et 125 000 dollars. Conclusion de première année de Deug : risque de conflit d’intérêt évident, d’autant que les agences ont tout intérêt à ce que leurs clients émettent toujours plus de produits financiers, puisqu’elles sont sûres de devoir les noter par la suite, et de facturer leurs honoraires à chaque fois. Les agences de notation ont d’ailleurs largement participé à la montée en puissance des produits financiers ultra-complexes, issus de la titrisation de créances douteuses, en les notant allégrement AAA ou apparenté, et en poussant leurs clients à en créer toujours plus. Parmi les champions de cette roulette russe financière, Goldman Sachs.
 
Le bilan des agences ? Il se passe de commentaire. Standard & Poor’s notait encore AAA la banque Lehman Brothers quelques jours avant sa faillite. Quelques années auparavant, les trois agences notait AAA le courtier en énergie Enron, quatre jours avant sa chute. Bref, on a clairement affaire à une sacrée bande d’extralucides, réduite à dégrader  après coup et à tour de bras, à chaque signe de faiblesse d’une banque, d’une entreprise ou d’un pays. Cette sur-réaction est d’ailleurs presque plus grave que l’absence de précautions initiales : en dégradant à la machette des entités déjà affaiblies, elles les empêchent de se refinancer à bon marché, et aggravent encore un problème qu’elles n’ont pas vu venir.
 
La solution coule de source : il faut d’urgence surveiller ces mauvais coucheurs. Facile à dire, moins à appliquer : le Congrès américain le proposait déjà en 2002, le G20 de Londres en avril 2009, mais on en est toujours au stade de la réflexion. Les pistes existent, pourtant : contrôle des agences par le FMI ; création d’une agence européenne sous l’autorité de la Banque centrale européenne (BCE) ; mise en concurrence des Big Three par des nouveaux entrants, comme l’assureur crédit Coface, qui vient d’entrer sur le marché en proposant des honoraires trois fois inférieurs aux gros. Ou mieux, responsabilisation des agences en leur faisant couvrir une partie des risques qu’elles notent (5 % ?) : si elles se plantent, type Lehman, elles payent. Après avoir touché Goldman Sachs, l’heure est venue de couler les agences.


 
http://sobiz.over-blog.com/article [...] 19517.html

n°22386216
scOulOu
Born Under Saturn
Posté le 28-04-2010 à 18:15:39  profilanswer
 


Sauf que les Grecs ne font même pas semblant de produire qqch en retour :o

n°22386250
peaceful
beati pauperes spiritu
Posté le 28-04-2010 à 18:18:09  profilanswer
 

 

Personne n'est obligé d'écouter les agences de notation, si tu penses qu'elles ont tort, t'as qu'a prendre le contrepied de leur recommandations.

 

C'est quoi ce réflexe totalitaire qui consiste à étouffer, les opinions qu'on n'épouse pas?

Message cité 2 fois
Message édité par peaceful le 28-04-2010 à 18:19:15

---------------
"Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société, que s'il avait réellement pour but d'y travailler."
n°22386262
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 18:18:49  answer
 

scOulOu a écrit :


Sauf que les Grecs ne font même pas semblant de produire qqch en retour :o


 
il est vrai qu'ils achètent des signes extérieurs de richesse en France (sous marin, vedette, chars) et nos céréaliers en Allemagne (mercedes, bmw, audi). le libre échange quoi !

mood
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Posté le 28-04-2010 à 18:18:49  profilanswer
 

n°22386374
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 18:28:58  answer
 

cac 40 -1.50%
 
natixis -3.78% bonne affaire qu'ils disaient

n°22386416
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 18:32:20  answer
 

peaceful a écrit :

 

Personne n'est obligé d'écouter les agences de notation, si tu penses qu'elles ont tort, t'as qu'a prendre le contrepied de leur recommandations.

 

C'est quoi ce réflexe totalitaire qui consiste à étouffer, les opinions qu'on n'épouse pas?

 

T'es rigolo toi  :pfff:  :pfff:  :pfff:

 

Personne les écoute mais tout le monde agit une fois que jacques à dit..... Comme en Grèce , suffit qu'on passe la note de AA- a BBB+ et hop, les taux d'intérêts grimpent comme par miracle.

 

Au fait, qui les érige au sommet des extralucides ces agences voyantes, alors qu'ils ont un rôle énorme dans l'économie ? Personne, sont des générations spontanées, aucun regard par personne, ni d'élus par les états ou les peuples. Encore une bizarrerie... comme la monnaie de crédit.  :o

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 28-04-2010 à 18:33:02
n°22386499
peaceful
beati pauperes spiritu
Posté le 28-04-2010 à 18:41:03  profilanswer
 

 

C'est leur crédibilité qui fait qu'on les écoute, et pas une expérience electromagnétique au fin fond de l'Arizona pour hypnotizer les foules... Si tu crois que tu peux faire mieux, lance toi !

 


Je pense qu'une ou plusieurs agences européennes seraient souhaitables, c'est juste que le principe d'une agence c'est que les investisseurs l'écoutent, faudra donc se gagner une crédibilité, mais vu l'idéologie ambiante en Europe, et l'énergie qu'on met à faire fuir les rares mecs qui y comprennent quelquechose,  c'est pas gagné...

 

Edit: et oui je suis rigolo :o

Message cité 1 fois
Message édité par peaceful le 28-04-2010 à 18:42:46

---------------
"Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société, que s'il avait réellement pour but d'y travailler."
n°22386593
vandepj0
Posté le 28-04-2010 à 18:52:20  profilanswer
 

peaceful a écrit :


 
C'est quoi ce réflexe totalitaire qui consiste à étouffer, les opinions qu'on n'épouse pas?


 
Tu ne peux pas épouser plusieurs agences, il y a forcément des maîtresses :o

n°22386610
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 18:53:29  answer
 

peaceful a écrit :


 
C'est leur crédibilité qui fait qu'on les écoute, et pas une expérience electromagnétique au fin fond de l'Arizona pour hypnotizer les foules... Si tu crois que tu peux faire mieux, lance toi !
 
 
Je pense qu'une ou plusieurs agences européennes seraient souhaitables, c'est juste que le principe d'une agence c'est que les investisseurs l'écoutent, faudra donc se gagner une crédibilité, mais vu l'idéologie ambiante en Europe, et l'énergie qu'on met à faire fuir les rares mecs qui y comprennent quelquechose,  c'est pas gagné...
 
Edit: et oui je suis rigolo :o


 
Quelle crédibilité ??? Alors qu'ils ont été incapables de prévoir la chute d'Eron ou de Lehman Brothers, meme la crise ils n'y ont vu que du feu. :o  
 
Leur crédibilité reposait sur la stabilité du système, bref du vent...  :lol:

n°22386629
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 18:56:09  answer
 

le système en lui même créé de l'instabilité qui s'auto stabilise par des crises.
bis repetita ....

n°22386687
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 19:02:04  answer
 

Citation :

NOUS Y SOMMES !

La dynamique de la crise européenne joue désormais à plein.

Tandis que les taux obligataires continuent de grimper (dépassant pour les obligations à 10 ans le seuil de 11% dans le cas de la Grèce et celui de 5% pour le Portugal), deux autres alarmes retentissent. Les taux courts grecs (à deux ans), sont plus élevés que les taux longs, signe de la crainte que la Grèce fasse désormais défaut. Les unes après les autres, les bourses baissent brutalement, en raison de la chute des valeurs financières, c’est à dire des banques. Ceci en raison de leur exposition à la dette grecque, de leurs engagements auprès des établissements grecs, ainsi que de l’existence de filiales grecques quand elles en ont une.

 

Un autre aspect de la crise n’est pas encore apparu mais est menaçant : l’abaissement de la note de la dette souveraine de plusieurs pays, en cours, va avoir comme conséquence la fermeture du guichet de liquidités de la BCE pour leurs banques, ne pouvant plus donner en garantie les obligations d’Etat, les déstabilisant totalement alors et induisant un effet domino dans toute l’Europe. La crise atteint le système bancaire de plein fouet. A tel point que l’économiste en chef de Citi, Willem Buiter, a rompu son silence et vient d’expliquer dans une note publiée par le Financial Times que les pays de la zone euro n’avaient désormais plus d’autre choix que de sauver les pays attaqués par les marchés ou bien se préparer à renflouer leur système bancaire. Précisant qu’à son avis la première solution serait la moins onéreuse.

 

Tandis que le FMI, l’OCDE et la BCE font depuis ce mercredi matin le siège des autorités allemandes à Berlin, car le calendrier de prise de décision qui était hier encore envisagé n’est plus tenable, la convocation d’une réunion des chefs d’Etat se précise : pour l’instant Herman Van Rompuy, président en exercice du Conseil Européen, évoque la date du 10 mai. Visionnaire mais un peu décalé, Nicolas Sarkozy vient pour sa part de commencer sa visite en Chine, accompagné de son épouse, afin de préparer « un nouvel ordre monétaire multipolaire »…ainsi que sa présidence à venir du G20.

 

Le FMI vient d’annoncer qu’il envisageait d’augmenter de 10 milliards d’euros sa part des prêts qui seraient consentis à la Grèce, alors que les estimations des besoins de financement de celle-ci ne font que croître, mettant en évidence qu’une restructuration partielle de la dette grecque est de plus en plus inévitable, avec une décote pour l’instant estimée à au moins 30%, qui affecterait sérieusement le système bancaire européen, et en premier lieu les banques allemandes et françaises.

 

Mais au delà de la crise grecque, et en dépit des dénégations absurdes qui continuent de fleurir sur le thème « Il s’agit de voir la Grèce comme un cas singulier » (Jürgen Stark, chef économiste de la BCE), il apparaît de plus en plus que la zone euro n’est ni adéquatement outillée, ni politiquement préparée, pour faire face à la séquence engagée. Les chefs d’Etat européens vont donc se trouver à très court terme devant un choix et devoir trancher. Soit ils décident d’adopter un dispositif financier, quel qu’il soit, qui reviendra à mutualiser la dette publique des pays de la zone euro, soit ils devront faire face à son éclatement.

 

Il va aussi falloir arrêter de parler économie et finance et intégrer dans le discours la crise sociale, déjà engagée et qui va s’approfondir, si l’annonce de coupes budgétaires et d’augmentations d’impôts ne peut plus être différée. Car les dernières nouvelles en provenance du système bancaire européen et de la distribution par ses soins du crédit, issues d’une enquête effectuée par la BCE, montrent que son resserrement se poursuit. La croissance économique de la zone euro n’est donc pas une option.


http://www.pauljorion.com/blog/?p=10797#more-10797


Message édité par Profil supprimé le 28-04-2010 à 19:02:24
n°22386789
peaceful
beati pauperes spiritu
Posté le 28-04-2010 à 19:13:36  profilanswer
 


 
Pourquoi ne fais tu pas mieux ? :o
 
bien vu vandejp :o


---------------
"Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société, que s'il avait réellement pour but d'y travailler."
n°22386888
Babouchka
You're no fun anymore
Posté le 28-04-2010 à 19:26:42  profilanswer
 

dlm75 a écrit :

L'Espagne dégradée :o


 
A raison d'une victime par jour, ce sera vite plié tout ça :o


---------------
HFR, the final frontier, where no troll has gone before
n°22386952
Magicpanda
Pushing the envelope
Posté le 28-04-2010 à 19:33:08  profilanswer
 

http://www.youtube.com/user/brenda [...] hCecuZGKss
 
excellent


---------------
" Quel est le but du capital ? Le but du capital c'est produire pour le capital. L'objectif, lui, est illimité. L'objectif du capital c'est produire pour produire." - Deleuze || André Gorz - Vers la société libérée
n°22387101
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 19:46:57  answer
 
n°22387231
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 20:01:02  answer
 

peaceful a écrit :


 
Pourquoi ne fais tu pas mieux ? :o
 
bien vu vandejp :o


 
J'ai aucune prétention dans la voyance, contrairement à eux  :o

n°22387355
peaceful
beati pauperes spiritu
Posté le 28-04-2010 à 20:12:34  profilanswer
 


 
ce n'est pas ce que pense la majorité des gens éduqués :o


---------------
"Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société, que s'il avait réellement pour but d'y travailler."
n°22387919
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 20:59:11  answer
 

je conseil  Chomsky  "L’éducation est ignorance"
 
extraits Interview mené par David Barsamian
 

Citation :

Je n’ai pas du tout fait de recherches sur Smith. Je l’ai juste lu. Il n’y a pas de recherches. Je l’ai lu tout simplement. Il est pré-capitaliste, c’est une des figures des Lumières. Il mépriserait ce que nous appelons capitalisme. Les gens lisent des bribes d’Adam Smith, les quelques phrases qu’ils enseignent à l’école. Tout le monde lit le premier paragraphe de « La Richesse des Nations » où il dit combien la division du travail est merveilleuse. Mais peu poursuivent des centaines de pages plus loin, où il dit que la division du travail détruira les êtres humains et transformera les gens en créatures aussi stupides et ignorantes qu’il est possible de l’être pour un humain. Et que par conséquent, dans toute société civilisée, le gouvernement devra prendre des mesures pour empêcher la division du travail d’atteindre ses extrêmes
 
Il a donné un argument en faveur des marchés, mais l’argument était que sous condition d’une liberté parfaite, les marchés mèneraient à l’égalité parfaite. C’est l’argument en leur faveur, parce qu’il pensait que l’égalité de condition (pas seulement l’opportunité) était ce que à quoi l’on devait tenter d’aboutir. Et ça revient toujours et toujours. Il donna une critique dévastatrice de ce que nous appellerions les politiques Nord-Sud. Il parlait de l’Angleterre et de l’Inde. Il a sévèrement condamné les expériences que les britanniques menaient à l’époque et qui étaient en train de dévaster l’Inde..../...
 
../..C’est la même chose avec Jefferson. Il vécut un demi-siècle plus tard, il a donc vu le capitalisme d’état se développer, et il le méprisait bien sûr. Il a dit que ça mènerait à une forme d’absolutisme pire que celui contre lequel nous nous étions défendu. En fait, si vous parcourez cette période entière, vous y verrez une critique très nette et acerbe de ce que nous appellerons plus tard « capitalisme » et de sa version du 20° siècle, qui est conçue pour détruire l’individu, même dans le capitalisme entrepreneurial.../...
 
../...Ce n’est pas avant le début du 20° siècle que les tribunaux et les avocats conçurent un nouveau système socioéconomique. Ce ne fut jamais fait par la législation. Ce le fut principalement par les tribunaux, les avocats et le pouvoir qu’ils détenaient sur les états. Le New Jersey fut le premier état à offrir aux sociétés tous les droits qu’elles souhaitaient. Le capital du pays tout entier commença bien évidemment à affluer soudainement vers le New Jersey. Les autres états durent donc faire la même chose afin de se défendre, sous peine d’être anéantis. C’est une sorte de globalisation à petite échelle. Puis les tribunaux et les avocats arrivèrent et créèrent un nouveau corps entier de doctrine qui donna aux firmes une autorité et un pouvoir qu’elles n’avaient jamais eu auparavant. Si vous regardez le contexte de l’époque, c’est le même qui mena au fascisme et au bolchevisme. Beaucoup de tout ceci fut soutenu par des gens appelés progressistes, pour ces raisons : ils affirmaient que c’était la fin des droits individuels. Nous sommes dans une période où les compagnies prennent le pouvoir, où le pouvoir se consolide et se centralise. C’est censé être bénéfique si vous êtes un progressiste, par exemple un marxiste-léniniste. De ce contexte sortirent trois choses majeures : le fascisme, le bolchevisme et la tyrannie d’entreprise. Ils sortirent plus ou moins tous les trois des mêmes racines hégéliennes. C’est assez récent. Nous pensons aux grandes firmes comme quelque chose d’immuable, mais elles furent montées de toutes pièces. Ce fut une création consciente qui fonctionna comme Adam Smith l’avait dit : les architectes principaux de la politique renforcent le pouvoir étatique et l’utilisent selon leurs propres intérêts.../..


http://www.chomsky.fr/entretiens/guerre02.html
 

n°22388161
Camelot2
Posté le 28-04-2010 à 21:10:35  profilanswer
 

Il y a un truc paradoxal dans l'article de zmed:
 

Citation :

elles ont précipité la Grèce dans la crise.


 
Comment des agences de notation réputées pour leur incapacité à prévoir pourraient-elles précipité la Grèce dans la crise?
D'ailleurs, un article de MP (magicpanda pour les intimes) indiquaient qu'elles "suivaient le mouvement" plus qu'elles ne le créaient.
 
Fin bon, je suis loin d'être un partisan des agences de notation mais de là à leur foutre la crise grecque sur le dos...y a de la marge.
 
Par contre, j'avoue être particulièrement excité par tout ce remue-ménage sur les obligations d'état. On va peut être enfin assister à un défaut sur une telle obligation, ça va permettre de calibrer plein de modèles dans l'avenir. [:shay]

n°22388287
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 21:16:28  answer
 

Camelot2 a écrit :

Il y a un truc paradoxal dans l'article de zmed:
 

Citation :

elles ont précipité la Grèce dans la crise.


 
Comment des agences de notation réputées pour leur incapacité à prévoir pourraient-elles précipité la Grèce dans la crise?
D'ailleurs, un article de MP (magicpanda pour les intimes) indiquaient qu'elles "suivaient le mouvement" plus qu'elles ne le créaient.
 
Fin bon, je suis loin d'être un partisan des agences de notation mais de là à leur foutre la crise grecque sur le dos...y a de la marge.
 
Par contre, j'avoue être particulièrement excité par tout ce remue-ménage sur les obligations d'état. On va peut être enfin assister à un défaut sur une telle obligation, ça va permettre de calibrer plein de modèles dans l'avenir. [:shay]


 
C'est écrit dans l'article [:massys]
 

Citation :

Bref, on a clairement affaire à une sacrée bande d’extralucides, réduite à dégrader  après coup et à tour de bras, à chaque signe de faiblesse d’une banque, d’une entreprise ou d’un pays. Cette sur-réaction est d’ailleurs presque plus grave que l’absence de précautions initiales : en dégradant à la machette des entités déjà affaiblies, elles les empêchent de se refinancer à bon marché, et aggravent encore un problème [b]qu’elles n’ont pas vu venir.[/b]


 
 

n°22388652
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 21:32:46  answer
 

La question est d'actualité,  pourquoi donc les Etats se sont ils soumis aux banques ? Pourqoui les pays ont renoncé à leur droit régalien de produire l’argent dont ils ont besoin. ?

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 28-04-2010 à 21:33:42
n°22388856
poilagratt​er
Posté le 28-04-2010 à 21:42:01  profilanswer
 

Un truc amusant aussi,  
est que l'on incite les peuples a acheter un max à l'étranger,  
car le protectionisme c'est pas bien,
 
et à fermer leur propres entreprises, car elles ne sont pas "compétitives".
 
Ce qui conduit fatalement au surendettement.
 
Et ensuite, une fois qu'ils sont bien enfoncés, à se serrer la ceinture.
 
C'est une curieuse logique que celle de l'Europe.  
 
Ou alors chui nul en économie.
Auquel cas je serais reconnaissant à ceux qui savent d'expliquer.


---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22388947
zad38
Posté le 28-04-2010 à 21:46:00  profilanswer
 

T'en as pas marre de te foutre de la gueule du monde ?

n°22388973
jeanjean15
buy cheap, buy twice
Posté le 28-04-2010 à 21:47:04  profilanswer
 


 

poilagratter a écrit :

Un truc amusant aussi,  
est que l'on incite les peuples a acheter un max à l'étranger,  
car le protectionisme c'est pas bien,
 
et à fermer leur propres entreprises, car elles ne sont pas "compétitives".
 
Ce qui conduit fatalement au surendettement.
 
Et ensuite, une fois qu'ils sont bien enfoncés, à se serrer la ceinture.
 
C'est une curieuse logique que celle de l'Europe.  
 
Ou alors chui nul en économie.
Auquel cas je serais reconnaissant à ceux qui savent d'expliquer.


 
http://www.dailymotion.com/video/x [...] e-104_news     :o  
 
 
 
 
 
 


---------------
mes_feeds
n°22389228
poilagratt​er
Posté le 28-04-2010 à 21:58:45  profilanswer
 

zad38 a écrit :

T'en as pas marre de te foutre de la gueule du monde ?


 :non: J'en ai marre que le "monde" se foute de notre gueule.


---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22389402
Camelot2
Posté le 28-04-2010 à 22:06:48  profilanswer
 


 
C'est paradoxal comme argumentation.
Si les notations ne font que suivre la tendance (ce qui semble être fortement le cas pour la Grèce), elles ne font que refléter le comportement des acteurs économiques. Avec ou sans notation, les taux de la Grèce auraient de toute façon crevé le plafond.
Il est logique qu'elles adaptent le risque de défaut lorsque les taux montent (car rendement plus élevé implique risque plus élevé).
 
Or, ce que l'article affirme en préambule...c'est qu'elles ont précipité la Grèce dans la crise (attitude a priori)
Ce qui est paradoxal avec une attitude suiviste (a posteriori)
 
Visiblement, t'as pas du tout à fait saisir le problème dans "l'argumentation" en question.
 
Mais c'est assez facile de viser les méchantes agences de notation qui ont, sans conteste, précipité la Grèce dans les déficits, le camouflage de dette et le bidouillage de critères d'austérité...Hooo...wait.
 
Et, je rajouterais, que pour une fois, elles y vont progressivement...au contraire d'autres cas où on est passé de AAA à D en moins d'une minute.
Elles jouent donc pleinement leur rôle d'informer les investisseurs sur l'état de confiance du marché vis à vis de ces investissements. Ce serait criminel de leur part de les coter AAA.
 

n°22389441
Camelot2
Posté le 28-04-2010 à 22:08:15  profilanswer
 

poilagratter a écrit :

Un truc amusant aussi,  
est que l'on incite les peuples a acheter un max à l'étranger,  
car le protectionisme c'est pas bien,
 


 
On incite à l'échange.
L'échange suppose une certaine réciprocité et une création de valeur.
 
Le point de départ de ton argumentation commence déjà mal...
 

n°22389660
snakesolid​2
Premier de cordée
Posté le 28-04-2010 à 22:16:29  profilanswer
 

Camelot2 a écrit :


 
C'est paradoxal comme argumentation.
Si les notations ne font que suivre la tendance (ce qui semble être fortement le cas pour la Grèce), elles ne font que refléter le comportement des acteurs économiques. Avec ou sans notation, les taux de la Grèce auraient de toute façon crevé le plafond.
Il est logique qu'elles adaptent le risque de défaut lorsque les taux montent (car rendement plus élevé implique risque plus élevé).
 
Or, ce que l'article affirme en préambule...c'est qu'elles ont précipité la Grèce dans la crise (attitude a priori)
Ce qui est paradoxal avec une attitude suiviste (a posteriori)
 
Visiblement, t'as pas du tout à fait saisir le problème dans "l'argumentation" en question.
 
Mais c'est assez facile de viser les méchantes agences de notation qui ont, sans conteste, précipité la Grèce dans les déficits, le camouflage de dette et le bidouillage de critères d'austérité...Hooo...wait.
 
Et, je rajouterais, que pour une fois, elles y vont progressivement...au contraire d'autres cas où on est passé de AAA à D en moins d'une minute.
Elles jouent donc pleinement leur rôle d'informer les investisseurs sur l'état de confiance du marché vis à vis de ces investissements. Ce serait criminel de leur part de les coter AAA.
 


 
+1
 
Les agences de notations ont plutôt précipités la chute de la Grèce, ce qui devait arriver, arrive plus tôt, c'est tout et finalement ce n'est pas forcément un mal même si ça entraine une sur-réaction brutale des marchés de l'emprunt.


---------------
The most basic question is not what is best, but who shall decide what is best. Thomas Sowell
n°22389695
Profil sup​primé
Posté le 28-04-2010 à 22:17:42  answer
 


 
excellent  :jap:  
 
Il parle  de Annie_Lacroix-Riz. J'ai un vidéo ou elle  elle parle de La gouvernance des hommes d'affaires dans les années 30 suite a sortie de son livre "Le Choix de la défaite"
 
http://www.dailymotion.com/video/x [...] -anni_news

n°22389744
zad38
Posté le 28-04-2010 à 22:20:10  profilanswer
 

C'est quoi ces pouiqueries dignes du topic Bilderberg ?  [:delarue5]


Message édité par zad38 le 28-04-2010 à 22:20:18
n°22389985
Betcour
Building better worlds
Posté le 28-04-2010 à 22:30:14  profilanswer
 

scOulOu a écrit :

Si ça ne veut pas dire : "on avait les mêmes craintes au sujet du charbon et elles se sont révélées infondées, donc ça sera forcément pareil avec le pétrole", c'est qu'il va falloir apprendre à t'exprimer.


Ou toi apprendre à lire. A part le fait que je soulève des similitudes entre les deux situations, tout le reste est le fruit de ton imagination prompte à tirer des conclusions rapides qui vont te permettre de caricaturer mon opinion pour mieux l'attaquer ensuite. (technique connue mais grosse)

 
Citation :

Tu nous parles d'une technologie si au point que les rares générateurs de ce type ont tous été arrêtés, si je ne m'abuse ?


Tu t'abuses : il y en a en fonction en Russie et au Japon. La technologie a suscité peu d'intérêt car finalement l'uranium s'est révélé assez abondant et peu couteux pour qu'on se fatigue pas à l'économiser. Si ça devient un problème, ça repartira, comme on a relancé les centrales solaire après s'être désintéressé du sujet pendant 20 ans.

Message cité 1 fois
Message édité par Betcour le 28-04-2010 à 22:31:50

---------------
"They will fluctuate" (J.P. Morgan) - "Whenever you find yourself on the side of the majority, it is time to pause and reflect." (Mark Twain)
n°22390297
poilagratt​er
Posté le 28-04-2010 à 22:40:57  profilanswer
 

Camelot2 a écrit :


 
On incite à l'échange.
L'échange suppose une certaine réciprocité et une création de valeur.
 
Le point de départ de ton argumentation commence déjà mal...
 


Et si on a pas grand chose à échanger, as t'on le droit de produire soit même, en refusant les produits importés?


Message édité par poilagratter le 28-04-2010 à 22:44:27

---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22390562
Camelot2
Posté le 28-04-2010 à 22:49:42  profilanswer
 


 
 
Si quelqu'un doutait encore des tendances politiques de zmed, il est fixé.  :o  
On racle les fonds de tiroir. [:don_poulpo]
 

Citation :


Et si on a pas grand chose à échanger, as t'on le droit de produire soit même, en refusant les produits importés?


 
 :lol:  
Allez, dès demain, tout le monde rentre en autarcie!
 

n°22390671
scOulOu
Born Under Saturn
Posté le 28-04-2010 à 22:53:01  profilanswer
 

Betcour a écrit :


Ou toi apprendre à lire. A part le fait que je soulève des similitudes entre les deux situations, tout le reste est le fruit de ton imagination prompte à tirer des conclusions rapides qui vont te permettre de caricaturer mon opinion pour mieux l'attaquer ensuite. (technique connue mais grosse)


Oui bien sûr, tu te contentais de relever des similitudes entre les deux situations sans en tirer de conclusions... Juste comme ça, pour la culture générale des intervenants... T'as vraiment aucune honte à te foutre de la gueule du monde, c'est fou :D
 

Citation :


Tu t'abuses : il y en a en fonction en Russie et au Japon. La technologie a suscité peu d'intérêt car finalement l'uranium s'est révélé assez abondant et peu couteux pour qu'on se fatigue pas à l'économiser. Si ça devient un problème, ça repartira, comme on a relancé les centrales solaire après s'être désintéressé du sujet pendant 20 ans.


Ah oui au temps pour moi : il y a UN surgénérateur commercial en service en Russie, plus qques prototypes en Russie et au Japon (dont un en panne, chez ce dernier). Waw :D
Je crois que tu as bcp de mal à faire la différence entre une technologie porteuse d'espoir (p-e à juste titre, mais il est un peu tôt pour le dire) et une technologie sur laquelle on peut s'appuyer pour prédire nos capacités futures.

n°22391129
poilagratt​er
Posté le 28-04-2010 à 23:11:55  profilanswer
 

Camelot2 a écrit :


Citation :


Et si on a pas grand chose à échanger, as t'on le droit de produire soit même, en refusant les produits importés?


 
 :lol:  
Allez, dès demain, tout le monde rentre en autarcie!
 


Quand on a plus de sous, y aurait il moyen d'acheter à l'étranger (sans creuser la dette)?
 
si tu as la réponse, ça peut intéresser les grecs...


---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
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