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Auteur Sujet :

[ECO] Can it run Crises ?

n°22311087
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 11:12:17  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

radioactif a écrit :


Quant à la dernière partie, c'est pas très clair, je m'abstiendrai de répondre.


Krugman pressentait que les ouvriers qualifiés seraient bientôt rejoints par les ouvriers qualifiés, dans leur galère,
puisque les machines finiraient aussi par  les remplacer.
 
Krugman appelait ça la "revanche des ouvriers non qualifiés sur les ouvriers qualifiés", mais Poilagratter trouve que d'avoir de nouveaux compagnons de galère, c'est une bien pietre revanche.
 
Et surtout vient la question de fond:
 
Le capital accepte de partager ses profits avec les ouvriers qui sont utiles à ses profits  
(seulement ceux qui travaillent au service du capital, puis par "ruissellement" aux artisans)
 
Mais dès lors que les ouvriers ne sont plus utiles au capital (machines, Chinois...),  
pourquoi le capital accepterait il de partager les profits?
 
S'il ne partage plus, les ouvriers ne pourront plus acheter de fruits du capital, tels les produits industriels.
Pourront ils alors se fabriquer eux même une automobile, une maison...?  On peut en douter.
 
Et donc ce système n'est pas viable pour les ouvriers, (au sens ceux qui vivent de leur travail)
cad la plus grande partie de la population,  
qui devra se débrouiller à la marge de cette société, et sans capital.

Message cité 3 fois
Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 11:32:00

---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
mood
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Posté le 22-04-2010 à 11:12:17  profilanswer
 

n°22311125
Profil sup​primé
Posté le 22-04-2010 à 11:14:37  answer
 

ozidivision a écrit :


enfin par ailleurs tous vos arguments en faveur de l'immigration sont également valables vis à vis des naissances.


Sauf que tu peux pas forcer les gens à avoir des gosses [:nicola 4]

n°22311184
vandepj0
Posté le 22-04-2010 à 11:19:26  profilanswer
 

limonaire a écrit :


 
Tu n'es qu'un sale utilitariste  :o  : tu es prêt à sacrifier le bonheur de quelqu'un si ça permet d'augmenter celui de millions d'autres. C'est la fameuse question : si tu tue une personne, le problème de la faim dans le monde est réglé. Que fais-tu ? l'utilitariste tue, au nom d'une logique comptable.  
 
Pour le reste, dans tes exemples, tu vois bien que tu défends la liberté des uns en bridant celle des autres : est-ce satisfaisant moralement ?


 
Oui, je suis un sale utilitariste quand il s'agit de décisions politiques.  
 
De mon point de vue, de vivre ensemble nécessite de vivre selon des règles, justement pour protéger au maximum la liberté de chacun.
 
De toute façon, tu n'as pas le choix: décréter une "liberté" totale reviendrai à nier la liberté des gens à vivre en sécurité, à ne pas se faire voler, violer et piller par les plus forts, etc...
 

limonaire a écrit :


Voilà, t'as tout compris.  
 
La solution, ce serait peut-être de petits Etats homogènes, groupes d'association de gens volontaires, avec droit de sécession. Pas très exaltant, ni drôle, comme perspective. Ou, second best, décentraliser la décision, pour qu'elle soit prise par de petits groupes (des communes par exemple), on changerait de commune si on n'est pas d'accord... Très peu de décisions prises par l'Etat : tout serait local (les impôts, le Smic, les règles d'hygiène...). Je réfléchis tout haut, je ne dis pas que c'est ce que je pense vraiment : on ne peut pas dire que ce genre de solution favoriserait le vivre ensemble, la mixité, le mélange. Mais c'est juste que cette histoire de liberté individuelle me taraude un peu en ce moment. C'est pas très grave : je vais prendre mes gouttes... :D  


 
Tu n'es qu'un sale libéral qui voudrait une concurrence libre et non faussées entre micro-Etats pour que chacun puisse choisir librement l'Etat qui lui convient le mieux...
 
Le problème, c'est comme pour les entreprises, certaines politiques ont une meilleure "productivité" à grande échelle (la Défense par exemple), et justifie de la mutualisation de moyens au sein de grands Etats...

n°22311199
ozidivisio​n
Résistant
Posté le 22-04-2010 à 11:20:36  profilanswer
 


sauf que tu ne peux pas imposer aux francais une politique d'immigration massive.
Que l'on fasse un référendum pour voir si les francais sont prets à accueillir  massivement des immigrés

n°22311253
freeza01
Posté le 22-04-2010 à 11:24:13  profilanswer
 

je propose plutôt un référendum pour l'interdiction du wifi, de la 3g, de tout moyen d'accès à internet dans les troquets, bistros, cafés du commerce... :o


---------------
L'humanité est surévaluée|De la joie et de la bonne humeur, par un cancéreux.|.
n°22311264
dante2002
HEUUU NOOOOOOOOON
Posté le 22-04-2010 à 11:24:59  profilanswer
 


 
 
C'est un comble de s'appeler Austrogoth et de ne pas aimer les nazis  :o  
 
Plus sérieusement, vous allez vous sortir de ce terrain glissant...


---------------
Parce que le vote pour Emmanuel Macron n'est pas un vote de conviction mais une nécessité démocratique
n°22311398
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 11:33:47  profilanswer
 

Pas de commentaire sur mon dernier post?
 
 
http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] #t22311087

Message cité 1 fois
Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 11:34:29

---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22311453
ozidivisio​n
Résistant
Posté le 22-04-2010 à 11:37:34  profilanswer
 


 
non mais on a compris que tu avais une tendance légèrement francophobe et qu'il fallait remplacer les mauvais francais pas de bons immigrés.
Tu n'es pas le premier à soutenir ces thèses néocolonialistes.
La nouveauté c'est l'argument racial (le renouvellement du pool génétique, ca fait quand meme pas mal penser à la regénération de la race) qui je dois dire est assez comique...
 
C'est quand meme marrant qu'on puisse tenir de pareils discours...
 
mais bon comme le propose dante, arretons ce HS nauséabond

Message cité 2 fois
Message édité par ozidivision le 22-04-2010 à 11:41:15
n°22311639
radioactif
Mighty mighty man
Posté le 22-04-2010 à 11:48:50  profilanswer
 

ozidivision a écrit :


enfin par ailleurs tous vos arguments en faveur de l'immigration sont également valables vis à vis des naissances.


Naissances qui coûtent plus cher [:sonken] et sont fondées sur la contrainte [:sonken]

n°22311664
ozidivisio​n
Résistant
Posté le 22-04-2010 à 11:50:29  profilanswer
 

radioactif a écrit :


Naissances qui coûtent plus cher [:sonken] et sont fondées sur la contrainte [:sonken]


l'immigration n'est juste qu'un palliatif à un manque de naissances.
Avouons tous que si les européens avaient suffisamment de naissances, ils ne seraient pas contraints de recourir à l'immigration.

mood
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Posté le 22-04-2010 à 11:50:29  profilanswer
 

n°22311687
radioactif
Mighty mighty man
Posté le 22-04-2010 à 11:52:51  profilanswer
 

poilagratter a écrit :


Krugman pressentait que les ouvriers qualifiés seraient bientôt rejoints par les ouvriers qualifiés, dans leur galère,
puisque les machines finiraient aussi par  les remplacer.
 
Krugman appelait ça la "revanche des ouvriers non qualifiés sur les ouvriers qualifiés", mais Poilagratter trouve que d'avoir de nouveaux compagnons de galère, c'est une bien pietre revanche.
 
Et surtout vient la question de fond:
 
Le capital accepte de partager ses profits avec les ouvriers qui sont utiles à ses profits  
(seulement ceux qui travaillent au service du capital, puis par "ruissellement" aux artisans)
 
Mais dès lors que les ouvriers ne sont plus utiles au capital (machines, Chinois...),  
pourquoi le capital accepterait il de partager les profits?
 
S'il ne partage plus, les ouvriers ne pourront plus acheter de fruits du capital, tels les produits industriels.
Pourront ils alors se fabriquer eux même une automobile, une maison...?  On peut en douter.
 
Et donc ce système n'est pas viable pour les ouvriers, (au sens ceux qui vivent de leur travail)
cad la plus grande partie de la population,  
qui devra se débrouiller à la marge de cette société, et sans capital.


Ce que tu occultes est que le capital a besoin de travail, ce sont les deux facteurs de production. Que la nature de ce travail évolue ne remet pas en cause ce fait. Donc les travailleurs auront du travail, robotisation et chinoisisation ou pas [:spamafote]. Par la hausse du revenu réel et la baisse du coût de certaines marchandises, tu dégages des ressources, qui peuvent être épargnées ou consommées, mais qui dans les deux cas agiront, du moins dans un pays bien géré, pour l'ouverture de nouveaux secteurs.

n°22311720
vandepj0
Posté le 22-04-2010 à 11:55:32  profilanswer
 

ozidivision a écrit :


 
non mais on a compris que tu avais une tendance légèrement francophobe et qu'il fallait remplacer les mauvais francais pas de bons immigrés.
Tu n'es pas le premier à soutenir ces thèses néocolonialistes.
La nouveauté c'est l'argument racial (le renouvellement du pool génétique, ca fait quand meme pas mal penser à la regénération de la race) qui je dois dire est assez comique...
 
C'est quand meme marrant qu'on puisse tenir de pareils discours...
 
mais bon comme le propose dante, arretons ce HS nauséabond


 
Théorie de l'évolution: les individus se spécialisent au fil des génération pour maximiser la transmission de leurs gènes en fonction de leur environnement.  
 
=> Les patrimoines génétiques sont différents suivant les ères géographiques, en particulier, les aborigènes sont très différents de tous les autres.
 
Le "mixage" génétique d'individus d'ère différente permet d'introduire dans le patrimoine d'une ère géographique des gènes qui n'y étaient pas présents, car issus de mutation/sélection ultérieures à la "séparation".  
 
Si ces gènes donnent un avantage concurrentiel à la reproduction, ils seront sélectionnés au fil des générations et rendront l'humain encore mieux adapté à son environnement.  
 
C'est en ce sens que l'immigration "renforce" le patrimoine génétique, en introduisant de nouveaux gènes dans la compétition.  
 
Et tout libéral sait bien qu'accentuer la compétition permet d'être plus performant :o

n°22311724
radioactif
Mighty mighty man
Posté le 22-04-2010 à 11:55:41  profilanswer
 

ozidivision a écrit :


l'immigration n'est juste qu'un palliatif à un manque de naissances.
Avouons tous que si les européens avaient suffisamment de naissances, ils ne seraient pas contraints de recourir à l'immigration.


Et donc ta solution c'est quoi ? On insémine toutes les femmes de ce pays ? Avec un sperme génétiquement modifié qui amène de suite des travailleurs dès la sortie de l'utérus ?

n°22311737
vandepj0
Posté le 22-04-2010 à 11:56:40  profilanswer
 

ozidivision a écrit :


l'immigration n'est juste qu'un palliatif à un manque de naissances.
Avouons tous que si les européens avaient suffisamment de naissances, ils ne seraient pas contraints de recourir à l'immigration.


Tu as raison, interdisons la contraception et l'avortement.  :whistle:

n°22311778
Profil sup​primé
Posté le 22-04-2010 à 12:01:31  answer
 

poilagratter a écrit :


Krugman pressentait que les ouvriers qualifiés seraient bientôt rejoints par les ouvriers qualifiés, dans leur galère,
puisque les machines finiraient aussi par  les remplacer.

 

Krugman appelait ça la "revanche des ouvriers non qualifiés sur les ouvriers qualifiés", mais Poilagratter trouve que d'avoir de nouveaux compagnons de galère, c'est une bien pietre revanche.

 

Et surtout vient la question de fond:

 

Le capital accepte de partager ses profits avec les ouvriers qui sont utiles à ses profits
(seulement ceux qui travaillent au service du capital, puis par "ruissellement" aux artisans)

 

Mais dès lors que les ouvriers ne sont plus utiles au capital (machines, Chinois...),
pourquoi le capital accepterait il de partager les profits?

 

S'il ne partage plus, les ouvriers ne pourront plus acheter de fruits du capital, tels les produits industriels.
Pourront ils alors se fabriquer eux même une automobile, une maison...?  On peut en douter.

 

Et donc ce système n'est pas viable pour les ouvriers, (au sens ceux qui vivent de leur travail)
cad la plus grande partie de la population,
qui devra se débrouiller à la marge de cette société, et sans capital.

 

C'est bien joli de baisser les salaires, mais le salariés sont aussi a l'autre bout de la chaine en tant de consommateur, et un consommateur sans pouvoir d'achat c'est un pays mort  :o

 

D'une manière ou d'une autre il faudra une redistribution parce sans pouvoir d'achat l'economie s'arrete, il a 3 manières.

 

1 - A la brésilienne, ou les inégalités explosent ainsi que la criminalité. On redistribue juste ce qui est nécessaire pour que la population ne meurt pas faim, et on maintien l'ordre  par une répression aveugle. Les plus nantis vivent sur l'exportation et la finance. Mais non viable a très long terme cela ce terminera par une guerre civil sans changement pour les crève la faim.

 

2 - A la 1789, par une révolution pour forcer les plus nantis à redistribuer de manière équitable. Très efficace après quelques têtes coupées. Il faut ensuite verrouiller d'une manière béton les institutions pour que les nantis ne puissent pas avec le temps reconquérir tous ce qu'ils ont perdus comme actuellement.

 

3 - le peuple excédé vote aux extrêmes, une dictature voit le jour et cela fini a terme dans le sang et la guerre.


Message édité par Profil supprimé le 22-04-2010 à 12:16:18
n°22311793
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 12:03:04  profilanswer
 

radioactif a écrit :


Ce que tu occultes est que le capital a besoin de travail, ce sont les deux facteurs de production. Que la nature de ce travail évolue ne remet pas en cause ce fait.  
 
Donc les travailleurs auront du travail, robotisation et chinoisisation ou pas [:spamafote].  
 
Par la hausse du revenu réel et la baisse du coût de certaines marchandises, tu dégages des ressources, qui peuvent être épargnées ou consommées, mais qui dans les deux cas agiront, du moins dans un pays bien géré, pour l'ouverture de nouveaux secteurs.

 
 
Oui, il y aura toujours du travail, mais  la question est de savoir si  
la part du salaire dans le gateau,  
sera suffisante pour permettre à tous les travailleurs (y compris ceux qui sont au service d'autres; services à la personne, ...), pour bénéficier des richesses produites par le capital?
 
Ou encore, pourquoi le capital accepterait il de partager avec des gens dont il n'a pas directement besoin pour faire de la plue value?

Message cité 1 fois
Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 12:07:59

---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22311809
uxam
Posté le 22-04-2010 à 12:04:28  profilanswer
 

je vois pas pourquoi il faudrait de l'immigration alors que il y a beaucoup de chomage et un certains nombre d'emplois non pourvus. Il faut donc former les chomeurs à ces emplois non pourvus

Message cité 3 fois
Message édité par uxam le 22-04-2010 à 12:04:39

---------------
PSN ID : Euronimus | Steam ID : [HFR] Euronimus | uplay: HFR_uxam
n°22311833
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 12:06:14  profilanswer
 

uxam a écrit :

je vois pas pourquoi il faudrait de l'immigration alors que il y a beaucoup de chomage et un certains nombre d'emplois non pourvus. Il faut donc former les chomeurs à ces emplois non pourvus


Tu irais jusqu'a faire quoi comme boulot, toi personellement?
 
Ménage de 6 h du mat à 22h le soir, dans différentes boites, (avec 1h de transport entre 2) ça t'irai?  On en demande. :o  
 
Et tu laisse ton boulot actuel à un autre.

Message cité 2 fois
Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 12:07:17

---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22311891
vandepj0
Posté le 22-04-2010 à 12:11:59  profilanswer
 

uxam a écrit :

je vois pas pourquoi il faudrait de l'immigration alors que il y a beaucoup de chomage et un certains nombre d'emplois non pourvus. Il faut donc former les chomeurs à ces emplois non pourvus


Parce qu'il y a une armée de vieux qu'il va falloir soigner, nourrir et torcher, et que ces cons ne sont pas tout à fait assez reproduit pour qu'on puisse le faire facilement?

n°22311924
radioactif
Mighty mighty man
Posté le 22-04-2010 à 12:16:42  profilanswer
 

poilagratter a écrit :

 
 
Oui, il y aura toujours du travail, mais  la question est de savoir si  
la part du salaire dans le gateau,  
sera suffisante pour permettre à tous les travailleurs (y compris ceux qui sont au service d'autres; services à la personne, ...), pour bénéficier des richesses produites par le capital?
 
Ou encore, pourquoi le capital accepterait il de partager avec des gens dont il n'a pas directement besoin pour faire de la plue value?


Si pour toi le rôle du capital est de faire une plus-value, alors on peut arrêter la discussion maintenant.
 
Les richesses sont produites par le capital et le travail. Si, admettons, les salaires sont trop bas et ne permettent pas d'acheter la production, ce qui est un non-sens, alors l'ajustement se fait : la demande de biens basse, les prix baissent. Et en variables réelles, on retourne à une situation proche de la tendance à moyen-long-terme.

n°22311955
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 12:20:58  profilanswer
 

radioactif a écrit :


Si pour toi le rôle du capital est de faire une plus-value, alors on peut arrêter la discussion maintenant.
 
Les richesses sont produites par le capital et le travail. Si, admettons, les salaires sont trop bas et ne permettent pas d'acheter la production, ce qui est un non-sens, alors l'ajustement se fait : la demande de biens basse, les prix baissent. Et en variables réelles, on retourne à une situation proche de la tendance à moyen-long-terme.

Je ne dis pas que dans l'absolu, le rôle du capital soit de faire de la plue value,  
mais c'est dans l'intérêt de ceux qui ont du capital,  
et c'est donc ce qu'ils font majoritairement.
 
Mais ok, je suis d'accord, c'est un mécanisme.
 
Mais il y a une autre possiblité:
Si les salaires sont trop bas pour acheter la production, on peut aussi réduire la production...!
(Et le capital va s'investir ailleurs que dans la production, dans la pierre, le foncier, les MP, la finance...)
 
Est ce à négliger?

Message cité 1 fois
Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 12:25:01

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Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22312042
radioactif
Mighty mighty man
Posté le 22-04-2010 à 12:29:31  profilanswer
 

poilagratter a écrit :

Je ne dis pas que dans l'absolu, le rôle du capital soit de faire de la plue value, mais c'est dans l'intérêt de ceux qui ont du capital, et c'est donc ce qu'ils font tous.
 
Mais ok, je suis d'accord, c'est un mécanisme.
 
Mais il y a une autre possiblité:
Si les salaires sont trop bas pour acheter la production, on peut aussi réduire la production...!
(Et le capital va s'investir ailleurs que dans la production, pour investir dans la pierre, le foncier, les MP, la finance...)
 
Est ce à négliger?


A ce moment, si on veut donner un rôle au capital, qui n'est pas une entité pensante, c'est permettre de générer de la valeur ajoutée, pas une plus-value.
 
Le problème de réduire la production est que c'est très rarement compatible avec une production à forte intensité capitalistique (i.e. coûts fixes élevés), sauf à trouver un repreneur pour ce capital, mais ça ne change rien, on aura quand même une baisse des prix (concurrence + baisse de la demande).
Ce n'est pas à négliger, mais si ça existe, c'est que le marché manque follement de concurrence, qu'il est dirigé par un cartel aux reins financiers extrêmement solides avec une tendance suicidaire et des actionnaires inexistants, qui s'en foutent de leur capital, de leurs dividendes et de sa valorisation.
 
Bref, c'est très peu probable. Sauf en cas de monopole, et encore, le monopole se doit quand même d'être rentable.

n°22312185
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 12:41:57  profilanswer
 

radioactif a écrit :


A ce moment, si on veut donner un rôle au capital, qui n'est pas une entité pensante, c'est permettre de générer de la valeur ajoutée, pas une plus-value.
 
Le problème de réduire la production est que c'est très rarement compatible avec une production à forte intensité capitalistique (i.e. coûts fixes élevés), sauf à trouver un repreneur pour ce capital, mais ça ne change rien, on aura quand même une baisse des prix (concurrence + baisse de la demande).
Ce n'est pas à négliger, mais si ça existe, c'est que le marché manque follement de concurrence, qu'il est dirigé par un cartel aux reins financiers extrêmement solides avec une tendance suicidaire et des actionnaires inexistants, qui s'en foutent de leur capital, de leurs dividendes et de sa valorisation.
 
Bref, c'est très peu probable. Sauf en cas de monopole, et encore, le monopole se doit quand même d'être rentable.

J'ai mélangé plus value et VA, :o  mais que ce soit l'un ou l'autre, si c'est en euros, le capital apprécie. :D  
 
Réduire la production, ça se fait puisque tous les jours des entreprises ferment.  
D'autres ouvrent, mais pas forcément en France, ou avec le même nombre d'employés.
 
Mais en effet, il y aura baisse des prix.
Le problème est que tous les prix ne baissent pas.
 
Par exemple, diviser les salaires par 2 ne permettra pas de réduire le prix des produits par 2,  
car les salaires ne constituent pas la totalité du prix.  
 
Certaines composantes du prix évoluent différement, voire augmentent quand ils sont soumis à la spéculation.
 
Et certains couts de la vie, pour le salarié ne diminuent pas non plus, surtout s'ils peuvent etre soumis à la spéculation...
 
Globalement cela n'est pas très favorable aux salariés.  Que peuvent ils faire?


---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22312234
peaceful
beati pauperes spiritu
Posté le 22-04-2010 à 12:47:57  profilanswer
 

Waw, y'a du niveau là... :o


---------------
"Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société, que s'il avait réellement pour but d'y travailler."
n°22312241
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 12:49:02  profilanswer
 

peaceful a écrit :

Waw, y'a du niveau là... :o


Le repos ça fait du bien.   :D
 
A part ça une petite idée?


Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 12:49:27

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Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22312254
patx3
Posté le 22-04-2010 à 12:50:26  profilanswer
 

A force de conceptualiser sans chiffrer, on est dans l'approximatif permanent, dans le vague, dans la rumeur, bref, bof ! :o
 
Quelques rappels :
 
- L'emploi augmente
- L'écart D9/D1 est stable, voire en légère diminution
- Au bout de 10 ans, un pauvre a 60 % de chance d'être dans un décile supérieur

n°22312274
freeza01
Posté le 22-04-2010 à 12:52:36  profilanswer
 

Citation :


http://www.melvineenaction.com/ind [...] &Itemid=35
 
Une Tragédie grecque Moderne pourrait bientôt se transformer en un désastre PIIGS plus large.    PDF    Imprimer    Envoyer
 
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Mardi, 20 Avril 2010 00:25
Compost clothing taken to catwalk Une Tragédie grecque Moderne pourrait bientôt se transformer en un désastre PIIGS plus large.
 
 
Par Nouriel Roubini
 
 
RÉSUMÉ
 
La viabilité de la dette publique a éclaté comme une question grave dans les économies avancées, notamment dans "la zone euro PIIGS"-Portugal, Italie, Irlande, Grèce et Espagne-, mais aussi dans de nombreux pays de l'OCDE, y compris les États-Unis. Ces questions au sein de la zone euro découlent principalement d'une perte de compétitivité, la croissance des salaires élevés et des coûts du travail qui ont dépassé la productivité, des politiques fiscales indisciplinées et, surtout, l'appréciation de l'euro entre 2002 et 2008. Les plans actuels de l'UE / FMI de sauver le pire de ces pays- La Grèce-ont attiré le scepticisme des marchés car ils ne parviennent pas à traiter les questions fondamentales de la viabilité de la dette. L’Espagne, avec ses problèmes qui pose une menace encore plus grande pour l'intégrité de la zone euro (et en fin de compte, l'euro), a désespérément besoin de réformes structurelles, notamment sur la flexibilité du marché du travail, si elle veut éviter un voyage dans le même l'abîme faisant face à la Grèce. L’Irlande et le Portugal, en attendant, font face respectivement à des coûts énormes pour les sauvetages de banques et la faiblesse de la croissance du PIB.
 
 
Parmi les PIIGS, seule l'Italie apparaît sur une voie durable de réforme, mais là encore un secteur public gonflé, une évasion fiscale et une perte de compétitivité à l'exportation sont des défis. Pris ensemble, cela suggère que la zone euro fait face à des problèmes profonds, et la probabilité d’une sortie volontaire ou forcée d'un ou plusieurs de ces pays les plus faibles de l'UEM est en hausse.
 
PIIGS sans couvertures
 
La récente saga de La Grèce est la pointe de l'iceberg, car il reflète les graves problèmes de viabilité de la dette publique que de nombreuses économies avancées, pas seulement les PIIGS (Portugal, Italie, Irlande, Grèce et Espagne)-seront confrontées dans les prochaines années. L'OCDE estime maintenant que la dette publique par rapport au PIB dans les économies avancées va augmenter à environ une moyenne de 100% du PIB. Des évaluations semblables et des préoccupations ont été récemment exprimées par le FMI.
 
Dans le PIIGS, les problèmes s'étendent bien au-delà des déficits publics excessifs et des ratios d'endettement (chacun à des degrés et des mesures différents dans ces cinq pays). Ils sont aussi des problèmes de déficits extérieurs, une perte de compétitivité et donc une croissance anémique. Ce sont des économies qui ont commencé à perdre des parts de marché en Chine et en Asie il y a une décennie alors que leurs exportations résultent d’un travail intensif et à faible valeur ajoutée. Cela a été suivi par une décennie où les salaires ont augmenté plus vite que la productivité, donc les coûts salariaux unitaires ont augmenté et les taux de change réel basés sur de tels coûts unitaire de la main-d'œuvre se sont fortement appréciés. La perte de compétitivité qui en a découlée se manifeste sous la forme d'important et croissant déficits du compte courant et un ralentissement de la croissance économique. Le dernier clou dans le cercueil a été l'appréciation de l'euro entre 2002 et 2008.
 
Ruine Grecque ?
 
Ainsi, même si la Grèce et d'autres PIIGS avaient la volonté politique de réduire massivement les grands déficits budgétaires et c'est un grand si, compte tenu de la résistance politique à de tels réductions des dépenses et l’augmentation des impôts - la contraction budgétaire peut, à court terme, rendre la récession actuelle pire avec des impôts plus élevés et la réduction des dépenses de la demande globale. Et si le PIB baisse, la réalisation d'un certain déficit et cible de la dette (en pourcentage du PIB) devient mission impossible: ce fut le même piège mortel de la dette qui a frappé l'Argentine entre 1998 et 2001. Afin de restaurer la croissance soutenue vous avez besoin d'une dépréciation réelle. Il n'y a que trois façons dont cela peut se produire:
 
• La première est une déflation qui réduit les prix et les salaires de 20-30%. Mais les déflations sont associées à la récession persistante (voir le cas de l'Argentine à nouveau) et aucun organisme social ou politique ne peut accepter de nombreuses années de déflation et de récession et d'austérité budgétaire pour obtenir une dépréciation réelle: un défaut ou une sortie de l'UEM aura lieu.
 
• La deuxième façon est de suivre le modèle allemand de l'accélération des réformes structurelles et la restructuration des entreprises pour augmenter la croissance de la productivité tout en maintenant une croissance modérée des salaires. Mais il a fallu une décennie pour l'Allemagne pour réduire ses coûts unitaires du travail de cette façon, si la Grèce ou l'Espagne devait commencer aujourd'hui à court terme les coûts de réaffectation des ressources serait grand alors que les avantages en termes de croissance plus élevée prendront de nombreuses années, trop long à réaliser.
 
• Troisièmement, la valeur de l'euro pourrait chuter davantage. Mais dans ce scénario, le principal bénéficiaire serait l'Allemagne, une économie qui est déjà compétitive. De plus, pour l'euro prenne une autre chute brutale cela implique que le risque de défaut pour la Grèce est si grand et que la contagion se propage aux souverains PIIGS de façon si vive que l'élargissement de ces écarts entraînerait une double récession dans la zone euro avant que les avantages retardés d'une chute de l’'euro ne prennent le dessus.
 
A moins d'un miracle, la Grèce semble aujourd'hui comme un cas presque insolvable : En Argentine, qui à fait défaut au début de la crise, les déficits budgétaires, la dette publique et les déficits du compte courant (en pourcentage du PIB) ont été respectivement de 3%, 50% et 2%. Ces ratios ont été pour la Grèce de 12,9%, 120% et 10%. Donc, il faudra un effort herculéen, beaucoup de chance et beaucoup de soutien financier officiel de l'Union européenne et du FMI pour réduire la probabilité d'un défaut de paiement et d’une sortie en conséquence de l'union monétaire.
 
Actuellement, la Grèce est trop interconnectée pour être autorisé à l’effondrement: Comme il a environ 400 milliards de dollars de dette publique - dont trois quarts détenu principalement par des institutions financières européennes- un défaut désordonné conduirait à des pertes massives et les risques d'une crise systémique. Ce scénario inclut la contagion aux souverains des autres PIIGS, créant ainsi une bascule massive sur plusieurs de ces économies. Ainsi, en dépit des Allemands et de la répulsion de la BCE à un plan de sauvetage "," La Grèce a besoin de grands soutiens financiers officiel cette année à des taux qui ne sont pas durables pour empêcher l'illiquidité actuelle de tourner tout de suite à la faillite. Le support officiel, cependant, donnera seulement un coup de pied à la boîte un peu plus loin sur la route jusqu'à l'année suivante.
 
 
 
Suite de l'article à lire sur RGE (Article réservés aux abonnés)
 
Source
Traduction par Melvine en Action


 
[:implosion du tibia]


---------------
L'humanité est surévaluée|De la joie et de la bonne humeur, par un cancéreux.|.
n°22312275
radioactif
Mighty mighty man
Posté le 22-04-2010 à 12:52:36  profilanswer
 

Ceux dont la demande diminue baisseront.
 
Les usines ferment non pas pour réduire leur production mais pour la rendre moins chère. C'est différent. Tu as une analyse coûts/bénéfices à mener, comme partout : les gains en pouvoir d'achat sont-ils ou non compensés temporairement par le chômage lui aussi en théorie temporaire des employés de l'usine en question ? Si chaque Français économise un euro par an grâce à une production délocalisée ou à l'ouverture des frontières au commerce dans une branche, quel est le gain pour la collectivité ? Le coût pour la collectivité ? Ce n'est jamais aussi tranché, surtout sur ces questions un peu épineuses.
 
Et en effet, diviser les salaires par deux ne permet pas de diviser les prix par deux. On peut donc aussi envisager, tout comme un travail trop cher en regard de la production marginale apportée, un capital trop cher en regard de la production apportée. En théorie une entreprise peut se séparer d'une partie de son capital, parce qu'elle en a trop : la productivité marginale étant décroissante, ce capital serait mieux utilisé par une autre entreprise, qui en plus créerait de l'emploi et favoriserait la concurrence. En pratique, ça dépend. Mais généralement, la cinquième usine rapporte moins que la première, à la marge. Mais le capital étant discret, c'est pas aussi facile.
 
Quand taux matières premières, notamment alimentaires,  pour nous, en Europe, c'est rien dans le prix de l'alimentation. Le gros du prix est constitué de la marge des intermédiaires.
 
Donc, que peuvent faire les salariés pendant leur période de chômage, à penser qu'ils ont été licenciés économiquement ? Se reconvertir, ou au moins se former pour des secteurs plus porteurs, mais ça ça implique d'avoir une politique de formation cohérente et efficace. Ca existe dans certains pays.

n°22312293
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 12:54:42  profilanswer
 

patx3 a écrit :

A force de conceptualiser sans chiffrer, on est dans l'approximatif permanent, dans le vague, dans la rumeur, bref, bof ! :o
 
Quelques rappels :
 
- L'emploi augmente
- L'écart D9/D1 est stable, voire en légère diminution
- Au bout de 10 ans, un pauvre a 60 % de chance d'être dans un décile supérieur


Mais on ne parle pas de l'emploi :o  
On parle de la part revenus du travail/revenus du capital,
qui diminue selon un graphique posté hier ou avant hier par Magicpanda.  
 
http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] #t22284973
 
Aux états unis, il est vrai, mais on peut penser que l'on suit la même tendance.

Message cité 2 fois
Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 12:56:32

---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22312307
radioactif
Mighty mighty man
Posté le 22-04-2010 à 12:56:00  profilanswer
 

poilagratter a écrit :


Mais on ne parle pas de l'emploi :o  
On parle de la part revenus du travail/revenus du capital,
qui diminue selon un graphique posté hier ou avant hier par Magicpanda.  
Aux états unis, il est vrai, mais on peut penser que l'on suit la même tendance.


Le graphique de Magicpanda était la part de revenu captée par les 10% les plus riches, ça n'a rien à voir !

n°22312371
patx3
Posté le 22-04-2010 à 13:04:02  profilanswer
 

poilagratter a écrit :


Mais on ne parle pas de l'emploi :o  
On parle de la part revenus du travail/revenus du capital,
qui diminue selon un graphique posté hier ou avant hier par Magicpanda.  
 
http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] #t22284973
 
Aux états unis, il est vrai, mais on peut penser que l'on suit la même tendance.


 
Plutôt que de regarder un graphique américain de surcroit, vas regarder l'étude de l'INSEE sur le partage de la VA... :o
 
http://www.insee.fr/fr/publication [...] age_VA.pdf
 
Ca nous concerne nettement plus... :jap:

n°22312375
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 13:04:26  profilanswer
 

radioactif a écrit :


Le graphique de Magicpanda était la part de revenu captée par les 10% les plus riches, ça n'a rien à voir !


Il captent 50%. ça veut dire que la part des 90% diminue, à moins que le gateau augmente suffisament...
Ce qui n'est pas évident.
 
Tu crois que le nombre de personnes, qui vivent de leur travail, et en difficulté devrait baisser?
Pourquoi?

Message cité 1 fois
Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 13:14:07

---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22312382
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 13:05:15  profilanswer
 

patx3 a écrit :


 
Plutôt que de regarder un graphique américain de surcroit, vas regarder l'étude de l'INSEE sur le partage de la VA... :o
 
http://www.insee.fr/fr/publication [...] age_VA.pdf
 
Ca nous concerne nettement plus... :jap:


C'est beaucoup trop long à éplucher un pavé pareil...
 
Y a ça aussi, si tu veux...
 
http://www.travail-solidarite.gouv [...] waux13.pdf

Message cité 1 fois
Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 13:06:27

---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22312448
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 13:11:21  profilanswer
 


Ben disons que un tableau qui synthétiserait l'évolution du nombre de personnes  
dont l'emploi est pérenne,  plein temps, au SMIC ou plus (cdi temps plein, non aidé)
serait plus pertinent qu'un long discours, mais impossible de trouver ça. :o  
 
Et surtout le nombre de ceux qui n'ont pas ça...

Message cité 1 fois
Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 13:17:02

---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22312454
peaceful
beati pauperes spiritu
Posté le 22-04-2010 à 13:12:02  profilanswer
 

poilagratter a écrit :


Ben disons que un tableau qui synthétiserait l'évolution du nombre de personnes  
dont l'emploi est pérenne,  plein temps, au SMIC ou plus (cdi temps plein, non aidé)
serait plus pertinent qu'un long discours, mais impossible de trouver ça. :o


 
Il ne tient qu'à toi de le construire à partir du document de patx3 pour faire jaillir la vérité :o


---------------
"Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société, que s'il avait réellement pour but d'y travailler."
n°22312459
poilagratt​er
Posté le 22-04-2010 à 13:12:51  profilanswer
 

peaceful a écrit :


 
Il ne tient qu'à toi de le construire à partir du document de patx3 pour faire jaillir la vérité :o


Je ne suis pas assez "professionel" pour faire ça de manière fiable.
Et pas sur que l'on y trouve tous les éléments nécessaires.


Message édité par poilagratter le 22-04-2010 à 13:13:22

---------------
Finalité du système économique: Produire sans l'homme (car il coûte toujours trop cher) des choses qu'il ne pourra utiliser (faute de revenus). Comme c'est idiot,  le système s'effondre.
n°22312503
Vaulti
Démocratie participative?
Posté le 22-04-2010 à 13:17:11  profilanswer
 

A signaler quand même à moins long terme, l'Etat des finances publiques de pas mal de pays européens qui est désastreux.
Et la Grèce qui ne peut quasiment plus emprunter sur les marchés.
Le bon du trésor grec à 10 ans s'élève à 8,56% ce matin. A comparer aux 3,39% pour la France.


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Tu l'as voulu, tu l'as eu...
n°22312537
Black_Jack
Bo_Jack
Posté le 22-04-2010 à 13:19:43  profilanswer
 

Vaulti a écrit :

A signaler quand même à moins long terme, l'Etat des finances publiques de pas mal de pays européens qui est désastreux.
Et la Grèce qui ne peut quasiment plus emprunter sur les marchés.
Le bon du trésor grec à 10 ans s'élève à 8,56% ce matin. A comparer aux 3,39% pour la France.


De toute façon un Etat ne peut faire faillite.


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Horse_man
mood
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