Ca fait longtemps que vous êtes ensemble ?  
Et ses enfants ne viennent donc jamais chez vous, il n'en ressent aucun manque ?

en fait, tout depends du postulat de départ:
 
beaucoup de gens décident de rencontrer qq'un & de construire à deux ce qui fait une vie. Maison, enfants...
 
Et la notion matèrielle est fondamentale, puisque ça fait partie des besoins les plus élementaires de l'homme d'avoir un toit & de quoi assurer sa pitance quotidienne.  
 
Quant on a conjugué les efforts à 2 pour faire les choses, on a des liens qui dépassent le cadre purement amoureux.
 
Alors quand ça ne va plus, il est normal d'accepter les concessions (voir sacrifices) parceque, oui, bouffer & avoir un appart ça reste le plus important.  
 
Dans la plupart des cas, les histoires finissent mal... J'en connais peu qui sont encore heureux avec leur amour de jeunesse (euh, non! en fait j'en connais aucun!)
 
Par contre j'en connais une ribambelle qui sont rentré chez leurs parents ou qui vivent dans un statut-quo pas terrible en attendant de pouvoir refaire leur vie.
 
En ce qui me concerne, j'ai tjs raisonné en terme d'unité autonome. Je voulais, avant 30ans, avoir mon appart, pas de crédit, un bon job & une véritable autonomie finançière. Sans compter un réseau social à moi, des loisirs perso, ect...
 
Et j'ai tjs attendu la même chose de mes partenaires.
 
Conclusion1: quand on ne s'aime plus, chacun s'en va sans difficulté.
 
Conclusion 2: quand il ya un pb, on évite de pousser le bouchon trop loin parceque rien ne nous retiens ds le fond.  
 
Conclusion 3: on fait des efforts pour conserver l'autre et, ces efforts étants réciproques, la relation reste stimulante.
 
Mais bon, à la base je m'en fous qu'une histoire dure la vie entière. Et même j'aurais trouvé trés desespérant d'être encore avec mon 1er amour. Chacun de mes partenaires m'a fait découvrir un univers different, des plaisirs nouveaux, ect...
 
Ca me convient trés bien d'être suffisament indépendante pour vivre des amours les uns aprés les autres, avec un certain niveau d'exigence que je m'accorde grâce à mon autonomie.
 
En même temps, et pour toutes ces raisons, je n'ai jamais voulu d'enfant, c'est bcp plus facile d'être libre ds ce cas.
 
apparté: totalement d'accord avec geof76 sur l'expatriation.

en fait, tout depends du postulat de départ:
 
beaucoup de gens décident de rencontrer qq'un & de construire à deux ce qui fait une vie. Maison, enfants...
 
Et la notion matèrielle est fondamentale, puisque ça fait partie des besoins les plus élementaires de l'homme d'avoir un toit & de quoi assurer sa pitance quotidienne.  
 
Quant on a conjugué les efforts à 2 pour faire les choses, on a des liens qui dépassent le cadre purement amoureux.
 
Alors quand ça ne va plus, il est normal d'accepter les concessions (voir sacrifices) parceque, oui, bouffer & avoir un appart ça reste le plus important.  
 
Dans la plupart des cas, les histoires finissent mal... J'en connais peu qui sont encore heureux avec leur amour de jeunesse (euh, non! en fait j'en connais aucun!)
 
Par contre j'en connais une ribambelle qui sont rentré chez leurs parents ou qui vivent dans un statut-quo pas terrible en attendant de pouvoir refaire leur vie.
 
En ce qui me concerne, j'ai tjs raisonné en terme d'unité autonome. Je voulais, avant 30ans, avoir mon appart, pas de crédit, un bon job & une véritable autonomie finançière. Sans compter un réseau social à moi, des loisirs perso, ect...
 
Et j'ai tjs attendu la même chose de mes partenaires.
 
Conclusion1: quand on ne s'aime plus, chacun s'en va sans difficulté.
 
Conclusion 2: quand il ya un pb, on évite de pousser le bouchon trop loin parceque rien ne nous retiens ds le fond.  
 
Conclusion 3: on fait des efforts pour conserver l'autre et, ces efforts étants réciproques, la relation reste stimulante.
 
Mais bon, à la base je m'en fous qu'une histoire dure la vie entière. Et même j'aurais trouvé trés desespérant d'être encore avec mon 1er amour. Chacun de mes partenaires m'a fait découvrir un univers different, des plaisirs nouveaux, ect...
 
Ca me convient trés bien d'être suffisament indépendante pour vivre des amours les uns aprés les autres, avec un certain niveau d'exigence que je m'accorde grâce à mon autonomie.
 
En même temps, et pour toutes ces raisons, je n'ai jamais voulu d'enfant, c'est bcp plus facile d'être libre ds ce cas.
 
apparté: totalement d'accord avec geof76 sur l'expatriation.

 
en attendant ça fait 7 ans, c'est ça? et il semble que toi comme lui ayez conservé vos passions respectives, & ajoutez à ça une vie en commun qui a l'air de trés bien fonctionner, avec vos propres ingrédients (j'ai vu que la notion de fidélité fait débat  ). Je ne vois pas bien ce qu'il pourrait y avoir de plus ou de mieux que ça.  
 
Dans mon boulot, je vois toute la journée des femmes "épanouies, bien mariées, beaux enfants et tout le reste". Mais passée la petite couche de vernis social, y'a surtout des ambitions pas réalisées, des frustrations, des peurs que ça s'arrete & qu'il faille se defaire du dressing & de la femme de ménage... et, finalement, pleins de concessions pas belles, de fantasmes en berne...
 
Pleins de gens s'accomodent de leur vie simplement en revoyant leurs prétentions à la baisse. Je trouve ça plutôt intelligent & sain d'employer les outils à disposition (thérapies...) pour vivre finalement tout ce qu'on a à vivre, et pas seulement une partie

en fait, tout depends du postulat de départ:
 
beaucoup de gens décident de rencontrer qq'un & de construire à deux ce qui fait une vie. Maison, enfants...
 
Et la notion matèrielle est fondamentale, puisque ça fait partie des besoins les plus élementaires de l'homme d'avoir un toit & de quoi assurer sa pitance quotidienne.  
 
Quant on a conjugué les efforts à 2 pour faire les choses, on a des liens qui dépassent le cadre purement amoureux.
 
Alors quand ça ne va plus, il est normal d'accepter les concessions (voir sacrifices) parceque, oui, bouffer & avoir un appart ça reste le plus important.  
 
Dans la plupart des cas, les histoires finissent mal... J'en connais peu qui sont encore heureux avec leur amour de jeunesse (euh, non! en fait j'en connais aucun!)
 
Par contre j'en connais une ribambelle qui sont rentré chez leurs parents ou qui vivent dans un statut-quo pas terrible en attendant de pouvoir refaire leur vie.
 
En ce qui me concerne, j'ai tjs raisonné en terme d'unité autonome. Je voulais, avant 30ans, avoir mon appart, pas de crédit, un bon job & une véritable autonomie finançière. Sans compter un réseau social à moi, des loisirs perso, ect...
 
Et j'ai tjs attendu la même chose de mes partenaires.
 
Conclusion1: quand on ne s'aime plus, chacun s'en va sans difficulté.
 
Conclusion 2: quand il ya un pb, on évite de pousser le bouchon trop loin parceque rien ne nous retiens ds le fond.  
 
Conclusion 3: on fait des efforts pour conserver l'autre et, ces efforts étants réciproques, la relation reste stimulante.
 
Mais bon, à la base je m'en fous qu'une histoire dure la vie entière. Et même j'aurais trouvé trés desespérant d'être encore avec mon 1er amour. Chacun de mes partenaires m'a fait découvrir un univers different, des plaisirs nouveaux, ect...
 
Ca me convient trés bien d'être suffisament indépendante pour vivre des amours les uns aprés les autres, avec un certain niveau d'exigence que je m'accorde grâce à mon autonomie.
 
En même temps, et pour toutes ces raisons, je n'ai jamais voulu d'enfant, c'est bcp plus facile d'être libre ds ce cas.
 
apparté: totalement d'accord avec geof76 sur l'expatriation.

 
 
Je suis assez adminratif devant le fait de vivre sa vie comme on l'entend, mais j'ai plus de mal sur l'idée de cerner des "frustrations" chez les gens "normaux".
 
En plus des raisons sociétales et religieuses qui font que la vie de couple est quelque chose d'assez codifiée, il y a aussi à mon sens un coté "naturel" au fait de vouloir une attache, un appui, une stabilité...
 
Perso, je n'ai jamais été aussi heureux que depuis que j'ai ce qui peut ressembler à une caricature de vie pour bobo :
 
- une femme que j'aime
- une petite maison en location avec un petit jardin
- un chien
 
et la prochaine étape c'est les enfants.
 
Et je suis le plus heureux des hommes  

 
Tu reviendras dans 10 ans pour nous dire si tu es toujours "le plus heureux des hommes"    

 
 
Je suis assez adminratif devant le fait de vivre sa vie comme on l'entend, mais j'ai plus de mal sur l'idée de cerner des "frustrations" chez les gens "normaux".
 
En plus des raisons sociétales et religieuses qui font que la vie de couple est quelque chose d'assez codifiée, il y a aussi à mon sens un coté "naturel" au fait de vouloir une attache, un appui, une stabilité...
 
 

Je partage ton choix de pouvoir vivre une relation sans qu'elle soit polluée par des considérations matérielles ou pratiques. Même si je suis d'accord sur le fait que ce soit arrangeant sur certains côtés de vivre sous le même toit (partage des charges, du loyer et j'en passe...).
A partir du moment où se créé une sorte d'obligation, on ne peut plus dire qu'on soit totalement libre de son choix de rester ou non avec la personne.
 
J'ai  partagé plus de quinze ans de vie maritale, et vu le bordel que c'est quand on se sépare, je me suis fixé comme règle de garder mon chez moi, et que mon partenaire fasse de même, et d'être complètement indépendante financièrement parlant.

 
Ca fait un petit moment oui!
 
Concernant les enfants c'est la partie la plus délicate:
mon copain est trés heureux de la situation. Pour tout te dire, il a énormement souffert de la routine mais il a longtemps décidé de rester pour les gosses. Comme pleins de mecs (biens). Maintenant il est heureux d'être de nouveau en couple et plus "en famille". Et les enfants sont heureux d'avoir leur père juste pour eux & ne demande absolument pas à me connaître. Quand à moi, je n'ai aucune envie de vivre les ennuis des familles recomposées.  
Mais il viendra surement un moment ou les choses changeront! Et là... mystère!

 
Oui je comprends (enfin j'essaye )
Mais c'est vrai que je me demande un peu comment vous faites pour vous organiser, genre quand ils viennent passer une nuit chez leur père ou même simplement diner avec lui. Tu t'arranges donc pour n'être jamais présente ?

 
T'as des enfants?

 
Oui je comprends (enfin j'essaye )
Mais c'est vrai que je me demande un peu comment vous faites pour vous organiser, genre quand ils viennent passer une nuit chez leur père ou même simplement diner avec lui. Tu t'arranges donc pour n'être jamais présente ?

 
 
Je suis assez adminratif devant le fait de vivre sa vie comme on l'entend, mais j'ai plus de mal sur l'idée de cerner des "frustrations" chez les gens "normaux".
 
En plus des raisons sociétales et religieuses qui font que la vie de couple est quelque chose d'assez codifiée, il y a aussi à mon sens un coté "naturel" au fait de vouloir une attache, un appui, une stabilité...
 
Perso, je n'ai jamais été aussi heureux que depuis que j'ai ce qui peut ressembler à une caricature de vie pour bobo :
 
- une femme que j'aime
- une petite maison en location avec un petit jardin
- un chien
 
et la prochaine étape c'est les enfants.
 
Et je suis le plus heureux des hommes  

 
En fait on vit tous les 2 chez moi. Et il repart dans la maison familiale garder les enfants, pendant que sa femme lui cède la place & part vivre sa vie chez son amant. Bref, ce ne sont plus les enfants qui vont aux parents mais les parents qui vont aux enfants.
Du coup ils ne sont pas déboussolés par le changement de lieux & ils ont leurs repères. Et moi, je ne me mêle de rien... si ce n'est leur graver Lost ou Prison Break à l'occasion. C'est le niveau d'implication qui nous convient à tous. Bizarre, non?

En fait on vit tous les 2 chez moi. Et il repart dans la maison familiale garder les enfants, pendant que sa femme lui cède la place & part vivre sa vie chez son amant. Bref, ce ne sont plus les enfants qui vont aux parents mais les parents qui vont aux enfants.
Du coup ils ne sont pas déboussolés par le changement de lieux & ils ont leurs repères. Et moi, je ne me mêle de rien... si ce n'est leur graver Lost ou Prison Break à l'occasion. C'est le niveau d'implication qui nous convient à tous. Bizarre, non?

Pfff, quand je lis ça, je me dis que vraiment, je pourrai plus... et j'ai l'impression que plus ça avance, plus ça va être difficile de faire comprendre ça.
 
PS : dante c'est pas une critique envers toi.

Voui. 2.  

 
 
oui voila, l'individualisme poussé dans ces extremes. tout le probleme des dernieres generations. Je suis libre, je fais ce que je veux quand je veux et je veux surtout rendre de compte a personne. malheureusement la vie a 2 c'est tout sauf ça. que l'on loge ensemble ou pas, c'est tout sauf ça.  

Tu arrives à comprendre, cerner ce que tu rejettes et pourquoi ? ou tu ne te l'expliques pas mais c'est ce que tu ressens ?  
 

Non, non, je sais parfaitement pourquoi, même si c'est en général relativement mal reçu. C'est un mélange d'expériences vécues et d'un goût certain pour la solitude (qui a toujours été présent). Pour autant, j'aime les relations affectives hein .

Et t'es pas curieuse de les rencontrer ? De le voir avec eux etc... ?
T'as pas l'impression de ne connaître qu'une partie de lui ?
 
Sinon, non pas bizarre, à partir du moment où tout le monde y trouve son compte je vois pas le problème perso

 
En fait non. Je les vois en photos & il m'en parle énormement. Sa grande fille a un syndrome qui rend sa vie (à elle) trés compliquée. Il me demande mon avis, je fais des recherches pour lui, ect...
Mais ça s'arrete là. Belle-mére c'est une vrai source de conflits, surtout quand le papa a quitté la maman pour la dame en question. Et perso les conflits j'ai du mal à gerer. Je crois d'ailleurs que c'est un phénomène trés largement répandu, les familles reconstituées qui se séparent parceque les enfants ont rendu les choses invivables. Donc, le mieux c'est de les laisser aller à leur rythme, c'est difficiles surtout pour eux, si un jour ils sont prêts on verra.
 
Sur le fait de ne connaitre qu'une partie de lui: il s'est marié trés jeune, fait des enfants, souffert (énormement) de la routine. Et puis il a completement changé sa vie: la partie de lui que je connais est toute nouvelle, c'est la 1ere fois qu'il est un homme adulte & heureux. C'est plutôt pas mal, non?

Si il est bien comme ça, sur que c'est pas mal
 
Et sinon pour les familles recomposées je connais... et même si c'est pas facile, pour moi c'était pas envisageable de pas connaître cette partie de lui.

 
et ça se passe bien? tu as une relation sympa ou plus avec ses enfants?

t'as du mal Angelene ?

 
Pfff, quand je lis ça, je me dis que vraiment, je pourrai plus... et j'ai l'impression que plus ça avance, plus ça va être difficile de faire comprendre ça.
 
PS : dante c'est pas une critique envers toi.

J'ai jamais compris les gens qui estiment avoir leur mot à dire concernant la relation des autres. Que ça soit conseiller, critiquer, imposer un point de vue ou même simplement donner son avis, les seuls qui sont capable de juger de l'état de la relation sont les intéressés. Point.
Y a pas de "norme", y a pas de règle, tant que chacun y trouve son compte, et ce qui fonctionne pour les uns (que ça soit une relation pantouflarde classique ou un couple aux mœurs les plus débridées) n'est applicable à personne d'autre.

C'est un petit peu relou, ouais.

 
Dès le moment où on expose quelque chose (opinion, mode de vie, bref, des trucs personnels), on est soumis au jugement, c'est inévitable et presque même "normal"

 
Ouais, mais comment est-ce qu'on peut savoir mieux que les intéressés comment fonctionne leur couple ?
Qu'on vienne me dire "ton copain il est comme ceci ou comme cela" (du point de vue du caractère), je conçois, venant par exemple de gens de sa famille ou de vieux amis qui le connaissent après tout depuis plus longtemps que moi. Mais qu'on vienne me dire "vous ne devez pas vous installer ensemble" ou au contraire "vous devriez avoir 1 gosse parce que c'est le ciment du couple" moi je dis go to hell

 
Ben va falloir t'acheter des boules Quiès ou apprendre à faire abstraction, parce que c'est pas prêt de s'arrêter. Je suis à peu près persuadé que même sur mon lit de mort, y aura toujours un connard ou une connasse pour donner son avis