Dans mon entourage on connait pas mal de personnes qui n'ont pas d'enfant à plus de 40 ans, en couple ou non, choix volontaire ou non.
Les seuls chiants à ce sujet sont ceux de la vieille génération (ma mère ou ma tante par exemple), pour qui c'est pas "normal".
Mais personne de notre âge nous a saoulé avec ça.

C'est pas ''se reproduire'', c'est avoir des aspirations et un projet de vie commun.

Ben justement, il n'est pas commun le projet.
Donc soit l'amour est assez grand pour renoncer à son désir d'enfant, soit il faut partir ce qui à mon avis donne raison à l'autre de ne pas avoir accepté en découvrant le peu d'importance qu'il a dans l'histoire.

 
Oui effectivement, en faite on peut distinguer 2 catégories:
- ceux qui en veulent mais on des problèmes pour en avoir et donc qui préfère éviter la discussion
- ceux qui n'en veulent pas et pour le coup, ""devrait"" assumer leur position. 'fin pour moi c'est comme tout, si tu veux rester locataire et pas devenir proprio, c'est un sujet de conversation qui peut arriver, si tu veux pas de voiture et préfère les TEC, si tu préfère ne pas voter, etc... c'est un choix de vie qui peut mener à une conversation sans que ce soit dramatique de l'aborder. Après le rapport à l'enfance est probablement plus véhément quand tu tombe sur des personnes bornées, mais ça reste un choix qu'on fait et on devrait pouvoir le "défendre" sans que ce soit un problème d'en parler.
 
Après au risque de tomber sur la première catégorie de personne, il vaut mieux éviter d'aborder le sujet de manière trop poussée quand on ne connait pas les gens.

Perso ça me dérange pas du tout d’en discuter, tout dépend de comment c’est abordé en face.
Et vraiment, aujourd’hui j’ai plus de réactions négatives, bien au contraire. Alors que de 25 à 30ans, les réactions étaient bien plus « hostiles » (alors que pourtant j’ai jamais été véhémente et toujours plutôt mesurée). Je sais pas ce qui a provoqué ce changement, mais aujourd’hui je ressens plus du tout d’insistance en face.

Perso ça me dérange pas du tout d’en discuter, tout dépend de comment c’est abordé en face.  
Et vraiment, aujourd’hui j’ai plus de réactions négatives, bien au contraire. Alors que de 25 à 30ans, les réactions étaient bien plus « hostiles » (alors que pourtant j’ai jamais été véhémente et toujours plutôt mesurée). Je sais pas ce qui a provoqué ce changement, mais aujourd’hui je ressens plus du tout d’insistance en face.

Je pense que ça rentre petit à petit dans les mœurs.

Perso ça me dérange pas du tout d’en discuter, tout dépend de comment c’est abordé en face.
Et vraiment, aujourd’hui j’ai plus de réactions négatives, bien au contraire. Alors que de 25 à 30ans, les réactions étaient bien plus « hostiles » (alors que pourtant j’ai jamais été véhémente et toujours plutôt mesurée). Je sais pas ce qui a provoqué ce changement, mais aujourd’hui je ressens plus du tout d’insistance en face.

 
Les gens estiment que t'es trop vieille

 
Perso ça me dérange pas du tout d’en discuter, tout dépend de comment c’est abordé en face.  
Et vraiment, aujourd’hui j’ai plus de réactions négatives, bien au contraire. Alors que de 25 à 30ans, les réactions étaient bien plus « hostiles » (alors que pourtant j’ai jamais été véhémente et toujours plutôt mesurée). Je sais pas ce qui a provoqué ce changement, mais aujourd’hui je ressens plus du tout d’insistance en face.

 
Pour la simple raison que les gens estiment que trop vielle pour avoir des enfants. Tu dois avoir 35? Quelque chose comme ça ?
J'ai le même âge et on me fout la paix maintenant

 
 
Oui mais ca fait déjà 5ans à peu près.
Je pense que c'est un mix de fréquentations différentes + effectivement leurs propres gosses qui doivent les faire chier  

Quand on en parle ouvertement, tout ce que j'obtiens c'est "ce n'est pas contre toi" et à la rigueur un peu plus de "merci" quand je fais, comme d'habitude, plein de choses pour elle.
(En l'écrivant je me rends compte que ma relation est complètement déséquilibrée et c'est bien triste. La dernière fois qu'elle a fait quelque chose de notable pour moi c'était en septembre et encore elle m'a reproché de lui avoir mal demandé)
 
Ce n'est pas vraiment une vengeance, enfin peut-être que j'ai mal été interprété vu que je suis resté complètement implicite.
Plus concrètement, j'ai envie de ne plus la toucher, du tout, (tout en menant le reste de notre vie de manière normale, cela libèrera même plus de temps pour des activités à 2) jusqu'à ce qu'elle se demande ce qu'il se passe, et le cas échéant lui expliquer que comme cela me frustre d'attendre des choses qui n'arrivent jamais, je n'attends plus rien, et qu'à cause de ça il ne faut pas me donner d'idée.
Ce qui revient à, comme je ne le voulais pas, m'asseoir sur ma sexualité à moins de 30 ans, mais de manière temporaire.
Le but étant qu'elle connaisse ce sentiment pour pouvoir développer de l'empathie, et tirer des conclusions sur elle-même.
Effectivement, elle ne doit pas laisser systématiquement ses soucis prendre plus de place que moi, c'est une excellente formulation.

 
Donc en somme, la priver de quelque chose pour essayer d'obtenir d'elle quelque chose qu'elle ne veut pas faire.

Tout à fait, ce sont surtout les 60 et plus qui sont chiants actuellement.

Quand j'étais jeune (au collège et au lycée) et que je disais que je ne voulais pas d'enfant mes camarades de classe étaient un peu relous aussi. Ce n'est pas tant une question d'âge qu'une question de tolérance sur ce sujet qui s'est diffusée dans la société et qui a atteint tout le monde sauf les vieux.
Je n'ai finalement jamais été aussi tranquille que depuis que j'ai atteint l'âge d'avoir des enfants

Une relation basée sur la vengeance, tu penses vraiment que ça va mener quelque part ?

Quand on en parle ouvertement, tout ce que j'obtiens c'est "ce n'est pas contre toi" et à la rigueur un peu plus de "merci" quand je fais, comme d'habitude, plein de choses pour elle.
(En l'écrivant je me rends compte que ma relation est complètement déséquilibrée et c'est bien triste. La dernière fois qu'elle a fait quelque chose de notable pour moi c'était en septembre et encore elle m'a reproché de lui avoir mal demandé)

Ce n'est pas vraiment une vengeance, enfin peut-être que j'ai mal été interprété vu que je suis resté complètement implicite.
Plus concrètement, j'ai envie de ne plus la toucher, du tout, (tout en menant le reste de notre vie de manière normale, cela libèrera même plus de temps pour des activités à 2) jusqu'à ce qu'elle se demande ce qu'il se passe, et le cas échéant lui expliquer que comme cela me frustre d'attendre des choses qui n'arrivent jamais, je n'attends plus rien, et qu'à cause de ça il ne faut pas me donner d'idée.
Ce qui revient à, comme je ne le voulais pas, m'asseoir sur ma sexualité à moins de 30 ans, mais de manière temporaire.
Le but étant qu'elle connaisse ce sentiment pour pouvoir développer de l'empathie, et tirer des conclusions sur elle-même.
Effectivement, elle ne doit pas laisser systématiquement ses soucis prendre plus de place que moi, c'est une excellente formulation.

Oui, 3 mois après le décès, charmant  
Ce couple a régulièrement tenu des propos indélicats sur ces différents sujets sensibles, des histoires comme ça j'en ai plusieurs, j'ai indiqué à mon mec qu'il pouvait bien sûr continuer a les voir mais sans moi (seule fois de ma vie où ça m'est arrivé )
 
Enfin c'est pas les seuls, c'est comme quand une fille (que je connaissais à peine, pas une pote quoi) est venue se plaindre auprès de moi de devoir faire une IVG parce qu'elle ne voulait pas de 2e enfant, je comprends que ça soit pas drôle. Les nuits difficiles c'est pas drôle non plus, c'est sûr, mais a mon sens "on peut se plaindre de tout, mais pas avec n'importe qui"

Elle c'est pareil, et finalement en l'ayant convaincue que oui on avait le temps, on l'a fait une fois, jeudi matin..

Elle a besoin de monter en température, mais quand j'essaie, elle ne veut pas, voire pire, elle me prévient avant même que j'ai pu tenter quoi que ce soit que de toutes façons il ne se passera rien. Comment veux-tu faire monter la température avec ceci de posé ?

« Tu peux pas comprendre », c’est clairement indélicat.
 
En revanche, que des gens partagent avec toi ce qu’ils ressentent sur leurs nuits difficiles ou leur IVG, est ce que ce n’est pas une part normale des échanges entre personnes?  
Que ton vécu personnel rende ces partages douloureux pour toi, ils n’en sont pas responsables, et ne savent pas comment tu vis ton deuil. Est ce que tu leur as dit quelles émotions ces partages suscitaient chez toi ?

 
Je trouve que ça sent un peu le cercle vicieux du forcing, posé comme ça    
 
Toi tu as envie de baiser, et peut-être, peut être même sans tellement t'en rendre compte, tu déploies beaucoup de stratégies pour y parvenir, qui peuvent être un peu étouffantes, potentiellement. Toutes les fois où elle se force pour te faire plaisir, et/ou parce que tu as insisté, et/ou parce qu'après sinon tu es grognon et qu'elle n'a pas l'énergie de supporter ça, c'est un coup porté de plus à son désir pour toi, qui ne semble déjà pas bien vaillant.
 
Vous semblez être dans une sorte de cul de sac du désir, en ce moment il semble qu'elle ne te désire pas beaucoup, et toi tu es frustré.
A noter qu'il faut éviter les œillères de se dire que le problème n'existerait plus si elle baisait plus avec toi, parce que c'est très courant : celui du couple qui n'a pas très envie fait des efforts, alors souvent pour l'autre c'est facile d'être dans la pensée magique de Hop ça y est tout est résolu miraculeusement, il n'y a plus de problème ! tout ça parce que sa libido est satisfaite.
Mais le problème de fond reste, que ce soit un désamour, une baisse de désir temporaire ou plus définitive, un problème plus profond de compatibilité et d'harmonie sexuelle.
 
 
Il y a eu un conseil plus haut qui est surement un bon conseil : avoir des gestes tendres et des paroles (sms, ou autres) un peu subtils mais qui aident à retrouver une atmosphère de désir.
Par contre ça ne marche pas si elle te voit arriver avec tes gros sabots à chaque fois et qu'elle constate que c'est seulement quand tu as envie de ken un coup et que ça s'évapore dès que soit tu réussi, soit tu vois que ça ne fonctionne pas direct.
 
Imho tu es en ce moment trop loin dans le ressentiment et la frustration pour trouver une manière de faire apaisée. Ce qui ressort de tes messages c'est plutôt que tu es dans l'optique que dans un couple c'est, globalement, plutôt un dû, qu'elle n'est pas dans la normalité de ne pas te désirer, et que si elle faisait un effort il n'y aurait plus de problème dans votre couple.
C'est pas simple de dépasser les émotions primaires pour essayer d'être plus objectif quand on le vit...
 
 
Je n'ai pas vu si tu avais répondu à la question de comment est-ce que ça se passait au début ?
Et est-ce que vous êtes bien en harmonie tous les deux, niveau baise ? bien accordés, bien raccords ?
Est-ce que quand vous faisiez plus souvent elle avait un/des orgasme(s) à chaque fois ? Mine de rien il y a ça aussi : quand c'est moins satisfaisant pour l'un que pour l'autre ça l'intéresse moins/il en ressent moins l'envie, c'est assez naturel...

On habite pas ensemble mais on est toujours chez l'un ou chez l'autre.  
En termes de fréquence, en prenant les devants on est à une fois par semaine, parfois une deuxième fois le lendemain, mais pas plus. Et si je ne faisais rien, je ne sais pas.
C'est ce que je vais tenter de découvrir, à mes frais

 
 
Deux fois par semaine, c'est vraiment trop peu à tes yeux ? Pour être honnête, je trouve ça ouf les mecs (car c'est plus souvent les mecs) qui se "plaignent" de ne baiser que deux fois par semaine.  
Je comprends que ça puisse être relou d'être l'unique initiateur des rapports, mais je +1 les propos d'asimp

Deux fois par semaine, c'est vraiment trop peu à tes yeux ? Pour être honnête, je trouve ça ouf les mecs (car c'est plus souvent les mecs) qui se "plaignent" de ne baiser que deux fois par semaine.
Je comprends que ça puisse être relou d'être l'unique initiateur des rapports, mais je +1 les propos d'asimp

Deux fois par semaine, c'est vraiment trop peu à tes yeux ? Pour être honnête, je trouve ça ouf les mecs (car c'est plus souvent les mecs) qui se "plaignent" de ne baiser que deux fois par semaine.
Je comprends que ça puisse être relou d'être l'unique initiateur des rapports, mais je +1 les propos d'asimp

Et je ne peux pas y faire grand chose. Je recherche une relation de couple où ma moitié me désirerait et je lui manquerais si je n'étais pas là.

Pour le désir OK, surtout que c'est flatteur... Mais pour l'autre partie, il y a manquer et manquer.. Tu cherches quelqu'un avec une dépendance affective vis à vis de toi ?

Quand t'as moins de trente ans, et que ça fait pas dix ans que t'es en couple je comprend très bien qu'on trouve ça très peu.

Et bien justement, si je ne la touche plus elle ne se sentira plus forcée Mais elle se plaindra de ne plus être désirée bien sûr !

 
Quand t'as moins de trente ans, et que ça fait pas dix ans que t'es en couple je comprend très bien qu'on trouve ça très peu.

comment ça se passe pour toutes les heures ? y'a une alarme sur le téléphone pour pas rater un créneau ?

comment ça se passe pour toutes les heures ? y'a une alarme sur le téléphone pour pas rater un créneau ?

Faut être endurants... du coup, Go muscu !