Reprise du message précédent :

Pour Paris intra muras, peut être
Mais pour le 78 ou le 92, ça a bien rougit ! http://www.paris.notaires.fr/prix/info_prix.php

 

 
"Se marier, c'est résoudre à 2 les problèmes qu'on n'aurait pas eu tout seul"

 
oui, je parle de Paris

Se marier c'est le plaisir de dire "tain j'ai cogné ma femme" au lieu de "j'ai cogné ma copine" autrement moins classe  

cotation-immobilière, 1er post

cf premier post

Putain, les losers de pauvres

Deja un peu vieux (publié mi mars) mais je l'avais pas du tout vu, et je trouve que, pour une fois, on a droit a une analyse objective et honnete de la situation (alors que c'est des AI!):
 
"Baromètre MeilleursAgents.com : Le prix du m2 à Paris a baissé de 3,21% au mois de février 2009
Selon la cinquième édition du baromètre MeilleursAgents.com, premier courtier en agences immobilières, le prix moyen du m² à Paris s’établit à 6.173 euros en février 2009 contre 6.378 euros pour le mois de janvier 2009, affichant une baisse de -3,21% équivalente à un recul d’environ 200 euros en un seul mois.  Ces chiffres sont calculés en temps réel sur la base des promesses de vente signées par les 150 agences immobilières partenaires de MeilleursAgents.com.
 
L’analyse de MeilleursAgents.com
 
La chute des prix enregistrée depuis le début de l’année, presque -5% en deux mois, est suffisamment forte pour évoquer le dernier retournement de cycle immobilier amorcé au début des années 90. Après la surchauffe des années 80, les prix avaient reflué à partir de la fin de l’année 1991. Le premier semestre 1992 avait même enregistré une chute des prix de 10%.
 
Le dernier trimestre de 2008 et les deux premiers mois de 2009 rejouent-ils le même scénario ?
 
Comme en 1991-92 :
 
La situation macro-économique se dégrade brutalement  
Le chômage progresse rapidement  
Le volume des transactions immobilières a chuté de 30 à 40% en quelques mois  
Le marché interrompt 10 années d’augmentation soutenue des prix  
A la différence de 1991-92 :
 
Emprunter coûte moins cher aujourd’hui : les taux longs, qui déterminent le coût du crédit, étaient à 9% en 1991 quand ils sont de 4% aujourd’hui  
La hausse a été de moindre ampleur : les prix parisiens ont été multipliés par 4,2 entre 1980 et 1991, contre 2,9 « seulement » entre 1998 et 2008  
Le marché actuel n’a pas été entraîné par l’activité spéculative d’investisseurs professionnels, très actifs avant 1991  
Que conclure ?  Sommes-nous engagés dans un mouvement de correction des prix semblable à celui amorcé après le retournement de 1991 ?  Personne ne peut répondre avec certitude. Nous pensons toutefois que la correction actuelle est de nature à redynamiser le marché immobilier parisien.  Elle signale une plus grande réactivité des vendeurs face aux attentes des acheteurs en matière de prix.  Et la demande de biens immobiliers dans la capitale reste structurellement soutenue.  Les niveaux de prix atteints dans de nombreux quartiers de la capitale combinés à la baisse récente des taux hypothécaires vont permettre à des acheteurs jusqu’ici indécis de sauter le pas. A condition d’être suivis par leur banque.
 
Poursuite et accélération de la baisse
 
Après une baisse des prix de -2% pour l’ensemble de l’année 2008 et de -1,55% pour le seul mois de janvier 2009,  les prix reculent de -3,21% en février 2009. Sur les trois derniers mois, du 1er décembre 2008 au 28 février 2009, la baisse s’établit à -4,89%.
 
Sur un an, du 28 février 2008 au 28 février 2009, le prix moyen de l’immobilier parisien a reculé de -8,15%.
 
Le mois de février 2009 s’inscrit donc dans la continuité d’un mouvement baissier, amorcé en juillet 2008 et qui a vu les prix baisser de -8,21% par rapport au plus haut historique du marché de juin 2008.  Le prix moyen du m2 de février 2009 est maintenant revenu à son niveau de février 2007.
 
Si la baisse des prix n’épargne désormais aucun arrondissement de la capitale, celle-ci n’est pas uniforme.  Du 1er décembre 2008 au 28 février 2009, un arrondissement sur deux a perdu plus de 6%.  Les plus fortes baisses sont enregistrées dans les 18ème, 20ème, 16ème et 19ème arrondissements.  Les 5ème, 6ème, 2ème et 7ème arrondissements connaissent des reculs plus modérés, inférieurs à -4% sur les trois derniers mois."

 
Sur 1 an:
St Cloud: +11%
Boulogne: +0.7%
Rueil: +1.4%
Suresnes: +0.4%
Puteaux: +3.4%
 
Et du coté des baisses, seulement 1 ville en dessous de -10% (Sevres) et 3 villes entre 5 et 10% de baisse
 
Ca tarde vraiment a venir.

totalement hors de propos et faux.

 
avec des prix bruts, c'est effectivement le cas: les prix avaient plus flambé dans les années 80. Par contre, si on prend en compte l'inflation, c a d, si on parle en Franc / euro "constant", c'est effectivement l'inverse.

oui...rapporté au revenu des ménages, et donc à la solvabilité, cet argument est juste malhonnête.

 
Bon, tes AI ne sont pas si honnêtes puisqu'il y a dans ton copier-coller de la grosse magouille de chiffre. La plus grosse est qu'ils ont prix les prix bruts, sans prendre en compte l'inflation. Si on prend en compte l'inflation, la hausse des prix des années 2000 a dépassé celle des années 80.
 

 
Ce qui ne veut rien dire. Ce n'est pas le métier de l'acheteur ou la couleur de son veston qui fait la bulle, mais son comportement. Le début de la hausse avait été un rattrapage sur les années 90, les taux étant plus bas, les conditions de crédit plus facil, les ménages qui n'ont pu acheté dans les années 90 l'on fait au début des années 2000.
 
Par contre, ensuite, pas mal de ménages se sont mis à acheter pour éviter de payer plus cher plus tard. Les banques, rassurée par la hausse des prix se sont mis à distribuer très facilement des crédits, pensant que ça monterait toujours ou que ça ne baisserait pas. Du coup, ç a été la course à l'achat éfreiner pour ceux qui avait peur de ne pas pouvoir faire de "si bonnes affaires plus tard" car pensant que "ça ne baisserait jamais". C'est ainsi que de simples particulier, pour des raisons différentes, se sont mis à se comporter comme des spéculateurs en faisant des achats dont la décision était motivée par la hausse des prix sans fin.

sans compter les dévaluations du franc sous mitterrand

Non mais c'est complètement n'importe quoi, alors. Quand tu es militaire, tu as une obligation opérationnelle de disponibilité, tu peux être muté ad notum du jour au lendemain. Et puis els casernes qui ferment, c'est pas un truc apparu de rien il y a six mois, hein, ça fait presque quinze ans que ça n'arrête pas.

Alors, tiens, pour apporter de l'eau au moulin mon frère et ma belle-soeur viennent d'acheter leur appart en primo-accédant
 
105 m², 255 k€ en dupleix dernier étage, centre ville
 
Comme quoi, il reste quelques acheteurs
 
Salverius

dans quelle ville?

des acheteurs il y en aura toujours...

 
Quelle ville?

et ont-ils négocié?

 
Tu veux négocier quoi alors que la baisse est finie?

 
personne n'a dit le contraire... il en reste même exactement 47% de moins que l'année dernière !

C'est déjà pas mal et un sacré début !
Sachant que c'est une moyenne valable au T4 2008... Là, nous sommes en avril 2009 !!
A toi (aussi un peu) de faire ta négo sur ces données pour faire baisser le prix affiché    
 
Edit : d'ailleurs par rapport au T3, ça a baissé mais les notaires ne regardent la baisse que par / - 1 an et - 5ans.
Il faudrait noter tous les prix de chaque trimestre et comparer par rapport à T+1 pour constater la baisse "en temps réel"...

Quand on voit sur le site des notaires, qu'une maison dans le 93 se vend à 264 000 contre 116 000 en 1996
Pour info c'est quoi la surface moyenne d'une maison ? 80 m² ?

C'est comparé a € constant?  

230 000 contre 116 000  ?

Oui car il y a quand meme 12 ans de difference quasiment d'ou ma  question

je crois qu'en 10 ans y a eu 20% d'inflation. donc bon, on arriverait pas à 130000.

p(1996)=p(2008)/2 en gros quoi

 
Selon Notaires  
 
http://archives.lesechos.fr/archiv [...] e=NOTAIRES
 
 
 

Quand on ne connaît pas, on n'achète pas. Il faut bien que ça rentre que l'immo est tout aussi risqué que la bourse.
Si on ne sait pas que l'immo est un investissement à risque, on reste locataire.

Je crois que la crise de 1991 a été plus abrupte. Celle de 2008 offre un peu plus de résistance (cf Friggit). Les scénarios se ressemblent, mais 2008 semble plus explosif, en témoigne la crise éco d'une autre ampleur que celle de l'époque.

Oui oui  

[Roi Loth]
Quand on veut pas prendre de risques, on n'achète pas de l'immo, on plante des navets.
[/Roi Loth]

80m² ça me paraît tout petit pour une maison

c'est la taille d'un F4 ca...
 
une maison c'est au moins 150 m² habitable + combles aménageable + cave + jardin...

source ?

pas tant quand même
j'crois que la moyenne est plus proche de 100m²

une moyenne c'est de la merde surtout sur 40 millions de logement dont 20 millions en grande ville

Vive la médiane ! Ok je sors =>

Moyenne, médiane ...le mieux : la loi de répartition !!!!    Ok ! je te suis