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Auteur Sujet :

[topic unique] Maths @ HFR

n°5608978
cronos
Posté le 20-05-2005 à 20:21:24  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
 
Pourquoi dans mon"chemical principles: international edition " de Steven Zhumdal(américain) j'ai que du ln alors?  :??:


Message édité par cronos le 20-05-2005 à 20:21:52
mood
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Posté le 20-05-2005 à 20:21:24  profilanswer
 

n°5609200
double cli​c
Why so serious?
Posté le 20-05-2005 à 20:48:32  profilanswer
 

thermocline a écrit :

(Om) appartient a P, D appartient a P'
(Om') appartient a P', D appartient a P
Et tu as P et P' orthogonaux
 
Je pense que j'en ai assez dit?


P et P' sont orthogonaux, mais c'est pas pour autant que toute droite de P est orthogonale à toute droite de P' :o deux plans sont orthogonaux si chacun contient une droite orthogonale à l'autre...
 
exemple :  
 
On prend une base orthonormale (x,y,z)
 
P = vect(x,z)
P' = vect(y,z)
 
D = vect(z)
 
P et P' sont orthogonaux.
 
Vect(x+z) est dans P.
Vect(y+z) est dans P'.
 
(x+z).(y+z) = x.y + x.z + y.z + z.z = 1 + 0 + 0 + 1 = 2 = cai pas orthogonal :o donc si tu as deux plans orthogonaux, toute droite de l'un n'est pas orthogonale à toute droite de l'autre :o pour avoir ce genre de trucs, faudrait passer en dimension 4 :o
 
Par contre, si on prend M(x,y,0) (on peut toujours avoir z = 0 quitte à translater l'origine) :
 
Le projeté orthogonal de M sur P est m (x,0,0)
Le projeté orthogonal de M sur P' est m' (0,y,0)
 
Le plan mMm' c'est M + Vect(x,y), donc O (0,0,0) appartient à mMm', et il appartient aussi à D. C'est le point d'intersection qu'on voulait.
 
Et de là Om.z = 0, Om'.z = 0, donc (Om) et (Om') sont orthogonales à D.
 
Ca se fait super bien, mais on a pas le droit à ça :o


Message édité par double clic le 20-05-2005 à 21:01:04

---------------
Tell me why all the clowns have gone.
n°5609207
double cli​c
Why so serious?
Posté le 20-05-2005 à 20:49:39  profilanswer
 

neg'gwada a écrit :

ben avec des vecteurs :o j'vois pas ce qu'il y a de difficile à expliquer :??:
 


mon problème c'est pas de l'expliquer, c'est de le justifier :o c'est tellement évident que j'arrive pas à y trouver de justification avec les outils géométriques de 1ère S :o


Message édité par double clic le 20-05-2005 à 20:53:01

---------------
Tell me why all the clowns have gone.
n°5609515
Profil sup​primé
Posté le 20-05-2005 à 21:20:27  answer
 

dites kkn peut -il m'expliquer pkoi deux arcs homotopes sont forcément soit fermés soit ont memes extrémités?
merci:)

n°5614688
terminator​_t800
Posté le 21-05-2005 à 16:43:15  profilanswer
 

Salut tout le monde !
J'aurais une petite question sur le calcul d'un rayon réfléchi :
dans http://raphaello.univ-fcomte.fr/IG/RayTracing/Images/FormuleReflexionFinale.gif
 
1a)pourquoi multiplie-t-on (N.I) par le vecteur N ?  
1b)A quoi correspond la multiplacation d'un vecteur par un cos ? si N(N.I) correspond bien à ça.
2)Et pourquoi soustrait on le vecteur I ?


Message édité par terminator_t800 le 21-05-2005 à 16:57:11
n°5614919
el_boucher
Posté le 21-05-2005 à 17:25:37  profilanswer
 

terminator_t800 a écrit :

Salut tout le monde !
J'aurais une petite question sur le calcul d'un rayon réfléchi :
dans http://raphaello.univ-fcomte.fr/IG [...] Finale.gif
 
1a)pourquoi multiplie-t-on (N.I) par le vecteur N ?  
1b)A quoi correspond la multiplacation d'un vecteur par un cos ? si N(N.I) correspond bien à ça.
2)Et pourquoi soustrait on le vecteur I ?


 
1)a)
 
(N.I) est un produit scalaire,c'est donc, comme son nom l'indique, un scalaire :D
 
si tu veux garder une certaine homogénéité, il faut le multiplier par un vecteur (le membre de gauche de ton expression étant un vecteur).
 
1)b) la multiplication d'un vecteur par un cos est tout simplement la multiplication d'un vecteur par un scalaire : comme si tu multiplies le vecteur u par 1/2 tu obtiens u/2, et ben là, tu multiplies par un cos (d'ailleurs 1/2, c'est aussi cos(Pi/3) par exemple ;))
 
2) passe le I de l'autre coté : tu as R+I=2*(N.I)N : c'est ni plus ni moins qu'une des lois de Descartes si je ne m'abuse (celle qui prouve que le rayon réfléchi reste dans le meme plan que le rayon incident).
 
voilà :)


---------------
"This snake-skin jacket is the symbol of my individuality and my belief in personal freedom" - Saylor
n°5614932
el_boucher
Posté le 21-05-2005 à 17:27:02  profilanswer
 

PS: en général, on note les scalaires DEVANT les vecteurs et pas l'inverse (convention), c'est du chipotage mais la formule donnée n'est pas parfaite :D


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n°5614979
Profil sup​primé
Posté le 21-05-2005 à 17:37:55  answer
 

help me !!
 
dans mon cours il est marqué qu'on peut identifier les mesures avec les fonctionnelles linéaires positives continues sur Ck(R) (ensemble des fonctions continues  support compact)
j'aimerais bien qu'on m'explique ça et surtout la notion de distribution
(introduite juste apres dans mon cours)


Message édité par Profil supprimé le 21-05-2005 à 17:52:07
n°5615138
terminator​_t800
Posté le 21-05-2005 à 18:01:40  profilanswer
 

el_boucher a écrit :

1)a)
 
(N.I) est un produit scalaire,c'est donc, comme son nom l'indique, un scalaire :D
 
si tu veux garder une certaine homogénéité, il faut le multiplier par un vecteur (le membre de gauche de ton expression étant un vecteur).
 
1)b) la multiplication d'un vecteur par un cos est tout simplement la multiplication d'un vecteur par un scalaire : comme si tu multiplies le vecteur u par 1/2 tu obtiens u/2, et ben là, tu multiplies par un cos (d'ailleurs 1/2, c'est aussi cos(Pi/3) par exemple ;))
 
2) passe le I de l'autre coté : tu as R+I=2*(N.I)N : c'est ni plus ni moins qu'une des lois de Descartes si je ne m'abuse (celle qui prouve que le rayon réfléchi reste dans le meme plan que le rayon incident).
 
voilà :)


 
 
ok merci, mais est-ce que tu pourrais m'en dire plus sur cette loi de descartes ? aurais tu un lien ?
sinon N.I coorespond à l'angle entre la normale et le rayon mais (N.I)N coorespond il a quelque chose ?


Message édité par terminator_t800 le 21-05-2005 à 19:04:16
n°5615322
el_boucher
Posté le 21-05-2005 à 18:25:04  profilanswer
 

(N.I)N est la composante vectorielle du vecteur I  selon le vecteur normal N. Cest un vecteur de norme (N.I) et dirigé selon N (N étant un vecteur unitaire, normal au miroir je suppose)
 
je pense qu'en tapant "loi de descartes reflexion" sur google tu trouveras ton bonheur sinon ;)


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mood
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Posté le 21-05-2005 à 18:25:04  profilanswer
 

n°5615346
el_boucher
Posté le 21-05-2005 à 18:28:25  profilanswer
 


 
ntoion de distribution = grosso modo une "fonction de fonction"  
 
fonctionnelle = une distribution particulière  
 
(on parlera aussi de distributions de Schwartz qui doivent vérifier certaines propriétés bien précises).
 
Une mesure est une fonctionnelle particulière (linéaire et positive) et donc une distribution particulière.
 
La distribution de Dirac est un exemple courant, la distrib. "valeur principale" aussi...
 
voili voilou ;) :)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


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n°5615365
Profil sup​primé
Posté le 21-05-2005 à 18:30:44  answer
 

euh je pense que c'est plus compliqué que ça
les distributions sont dites pour "généraliser" la notion de fonction
 
meme si une distribution est définie comme une fonction d'un espace de fonction dans R
je pense que meme si ton explication n'est pas fausse, elle est superficielle
mais merci quand meme:D

n°5615868
terminator​_t800
Posté le 21-05-2005 à 19:31:43  profilanswer
 

el_boucher a écrit :

(N.I)N est la composante vectorielle du vecteur I  selon le vecteur normal N. Cest un vecteur de norme (N.I) et dirigé selon N (N étant un vecteur unitaire, normal au miroir je suppose)
 
je pense qu'en tapant "loi de descartes reflexion" sur google tu trouveras ton bonheur sinon ;)


 
 
Est-ce que c'est parce que "(N.I)N est la composante vectorielle du vecteur I" que l'on soustrait I a la formule ? ou je fais fausse route ?

n°5616004
el_boucher
Posté le 21-05-2005 à 19:49:24  profilanswer
 


 
c'est pour généraliser la notion de fonction car celle-ci ne permettait pas de répondre aux besoins rencontrés en sciences (notionde charge ou de masse ponctulle/linéique en physique essentiellement ;))
 
on parle de "fonctions généralisées" car là ou une fonction fait correspondre un nombre à un nombre, une distribution fait correspondre un nombre à une fonction (c'est une "fonctionnelle" ).
 
Enfin, je ne sais pas quel est ton niveau en math mais c'est certain que je ne suis pas un pro des fonctionnelles : je sais les utilisées, j'en connais pas mal de propriétés et d'exemples, mais j'aurais du mal à t'expliquer tous les fondements théoriques qui se cachent derrière cette notion (assez abstraite d'ailleurs).
 
D'autres ici sauront peut-etre mieux te renseigner ;)
 
PS: en général, on a affaire aux distributions de Schwartz ou aux distributions tempérées qui permettent d'introduire entre autres, produit tensoriel, produit de convolution, dérivée, transformée de Fourier généralisée...etc ça fait déjà pas mal d'applications possibls :) !! :D


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n°5616028
el_boucher
Posté le 21-05-2005 à 19:51:28  profilanswer
 

terminator_t800 a écrit :

Est-ce que c'est parce que "(N.I)N est la composante vectorielle du vecteur I" que l'on soustrait I a la formule ? ou je fais fausse route ?


 
l'implication directe entre "(N.I)N est la composante vectorielle du vecteur I" et "on soustrait I a la formule" n'est pas évident :) mais si tu veux trouver un lien, c'est possible :)
 
je te conseille vraiment de chper un cours là-dessus, ça sera beaucoup plus simple (je veux pas me taper tout un cours d'optique géométrique ici avec les figures...etc)
 
bon courage ;)


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n°5616907
Profil sup​primé
Posté le 21-05-2005 à 21:42:51  answer
 

el_boucher a écrit :

c'est pour généraliser la notion de fonction car celle-ci ne permettait pas de répondre aux besoins rencontrés en sciences (notionde charge ou de masse ponctulle/linéique en physique essentiellement ;))
 
on parle de "fonctions généralisées" car là ou une fonction fait correspondre un nombre à un nombre, une distribution fait correspondre un nombre à une fonction (c'est une "fonctionnelle" ).
 
Enfin, je ne sais pas quel est ton niveau en math mais c'est certain que je ne suis pas un pro des fonctionnelles : je sais les utilisées, j'en connais pas mal de propriétés et d'exemples, mais j'aurais du mal à t'expliquer tous les fondements théoriques qui se cachent derrière cette notion (assez abstraite d'ailleurs).
 
D'autres ici sauront peut-etre mieux te renseigner ;)
 
PS: en général, on a affaire aux distributions de Schwartz ou aux distributions tempérées qui permettent d'introduire entre autres, produit tensoriel, produit de convolution, dérivée, transformée de Fourier généralisée...etc ça fait déjà pas mal d'applications possibls :) !! :D


 
alors pour commencer merci de tes explications
 
mais c'est justement cet aspect que je ne comprend pas
pour moi une fonction ne fait pas correspondre un nombre a un nombre
elle fait correspondre un élément d'un espace de départ à un élément d'un espace d'arrivé
 
donc en fait plutot quune généralisation, pour moi les distributions sont des cas particuliers de fonctions (ou l'ensemble de départ est un espace de fonctions vérifiant certaines propriétés et l'espace d'arrivée l'ensemble R)
alors ceci dit je me trompe surement ou j'ai une vision incomplete de la chose
donc expliquez moi:)
 
alors ds mon cours est expliqué les insuffisances des fonctions pour les notions des masses et des charges
si qqn peut m'expliquer je comprend pas bien:)
mais je ne vois pas pourquoi les fonctions sont insuffisantes :
dans le cours il y ait marqué que la masse d'un fil de longueur 2h et de masse 1 est représenté par la mesure :
uh(]a,b[) = integrale sur ]a,b[ ( 1/(2h)* 1]-h,h[(x)dx)
 
et quand h->0 on obtient la masse ponctuelle
uh-> mesure de Dirac donc je vois pas où sont les insuffisances
 
de meme pour les charges
là encore il s'agit d'un problème de passage à la limite
dipole de moment p=2qh (h distance entre deux charges de signe opposés +q et -q)
dispole ponctuel quand h->0
on introduit (avec delta = mesure de Dirac)
le moment  
<ph,phi> = p/2h( <delta,phi> - <delta(-h),phi> )
quand h->0 on obtient <p,phi>=p*phi'(0)
bon en gros p c'est égal à quoi?
puisque il y ait dit que qd h->0, si on veut un moment constant
(ce qui est le cas), il faut donc que q augmente beaucoup
donc par passage a la limite je ne vois pas ce qu'il se passe
 
 
 
 
voilà merci d'avance pour vos lumieres:)
 
 
 
 
 
 
 

n°5625067
thermoclin​e
Geek intelligent
Posté le 22-05-2005 à 22:19:16  profilanswer
 

double clic a écrit :

P et P' sont orthogonaux, mais c'est pas pour autant que toute droite de P est orthogonale à toute droite de P' :o deux plans sont orthogonaux si chacun contient une droite orthogonale à l'autre...
 
exemple :  
 
On prend une base orthonormale (x,y,z)
 
P = vect(x,z)
P' = vect(y,z)
 
D = vect(z)
 
P et P' sont orthogonaux.
 
Vect(x+z) est dans P.
Vect(y+z) est dans P'.
 
(x+z).(y+z) = x.y + x.z + y.z + z.z = 1 + 0 + 0 + 1 = 2 = cai pas orthogonal :o donc si tu as deux plans orthogonaux, toute droite de l'un n'est pas orthogonale à toute droite de l'autre :o pour avoir ce genre de trucs, faudrait passer en dimension 4 :o
 
Par contre, si on prend M(x,y,0) (on peut toujours avoir z = 0 quitte à translater l'origine) :
 
Le projeté orthogonal de M sur P est m (x,0,0)
Le projeté orthogonal de M sur P' est m' (0,y,0)
 
Le plan mMm' c'est M + Vect(x,y), donc O (0,0,0) appartient à mMm', et il appartient aussi à D. C'est le point d'intersection qu'on voulait.
 
Et de là Om.z = 0, Om'.z = 0, donc (Om) et (Om') sont orthogonales à D.
 
Ca se fait super bien, mais on a pas le droit à ça :o


 
 
Quand je disais, j'en ai assez dit, c'etait pour commencer :o
 
Nul besoin de passer par une base.
Il suffit simplement de rajouter que O, M, m, m' appartiennent au meme plan (plan a la fois orthogonal a P et a P') et ton histoire est reglee (je retourne verifier sur ton enonce, ca date d'une semaine pour moi, c'est plus tout frais, en tout c'etait mon idee totale la, peut etre je me trompe...).


Message édité par thermocline le 22-05-2005 à 22:22:48

---------------
Les bureaucrates: "S'ils tombaient d'un immeuble, il leur faudrait une semaine pour s'ecraser." "All I ever wanted All I ever needed Is here in my arms Words are very unnecessary They can only do harm               Enjoy the silence"
n°5627963
freewol
Ceci n'est pas une citation
Posté le 23-05-2005 à 10:49:28  profilanswer
 

j'ai une question de géométrie euclidienne :
 
j'ai deux points (x,y) et (x', y'), et une longueur l.
je cherche les deux points d'intersections des cercles de rayon l et centrés en (x,y) et (x', y'), s'ils existent.
 
je ne vois pas trop comment calculer ça, ça me semble super compliqué mais faut dire que je suis pas super fort en géométrie :/
 
Merci d'avance :jap:

n°5627988
Profil sup​primé
Posté le 23-05-2005 à 10:53:17  answer
 

pk personne y veut me répondre?
 
Stepheeeeeeeeeeen ?: (

n°5629533
Profil sup​primé
Posté le 23-05-2005 à 14:02:47  answer
 


C'est le théorème de Riesz.

n°5629943
Profil sup​primé
Posté le 23-05-2005 à 14:40:48  answer
 

Hello, est-ce que quelqu'un connait une vulgarisation de la démonstration du théorème de Galois (sur l'impossibilité de résoudre l'équation de degré 5 par radicaux) accessible au niveau DEUG ?

n°5631355
Profil sup​primé
Posté le 23-05-2005 à 17:06:18  answer
 

oui merci:)
mais j'aimerais surtout que l'on me parle des distributions
(cf au dessus)

n°5632962
Lak
disciplus simplex
Posté le 23-05-2005 à 19:43:39  profilanswer
 

nodus a écrit :

J'ai un petit problème de géométrie, voir la figure, je vais m'expliquer par rapport à elle :
 
http://img152.echo.cx/img152/4940/triangle8pn.th.png
 
Je cherche ici à trouver les coordonnées de P3 (x3,y3) pour cela:
-On connais les coordonnées de P1 (x1,y1) et de P2(x2,y2).  
-On connais toutes les distances d1, d2 et d3.
-Le triangle est un triangle rectangle.
 
Il doit y avoir un problème dans mon raisonnement car je n'arrive pas à trouver les coordonnées de ce dernier point. Quelqu'un pourrait il m'aider ? :hello:


 
J'arrive un peu après la bagarre, mais après tout ça peut peut-être encore te servir.
 
A ta place, J'écrirais que le produit scalaire des 2 vecteurs P2P1 et P2P3 vaut zero, et que la norme du vecteur P2P3 vaut d2.
2 équations, 2 inconnues.

n°5633045
Profil sup​primé
Posté le 23-05-2005 à 19:51:23  answer
 


C'est un peu vaste les distributions. Ce sont les fomres linéaires continues sur l'espace vectoriel des fonctions C^inf à support compact muni de la topologie de la convergence uniforme de toutes les dérivées. Plus généralement, on peut regarder les formes linéaires continues sur les formes différentielles (on appelle ça des courants) et y'a encore des généralisations à des trucs plus tordus que des variétés (on parle des ensembles rectifiables).

n°5635384
Profil sup​primé
Posté le 23-05-2005 à 23:06:59  answer
 

wai mais moi en fait j'ai mis un gros pavé sur les distributions (cf au dessus) :)
alors visiblement cette notion  été introduite a cause de la physique (notion de masse et notion de dipole electrique)
voir plus haut ce que j'ai mis:)
 
 

n°5636071
Profil sup​primé
Posté le 23-05-2005 à 23:48:06  answer
 


Erf, j'avais pas lu. Je te réponds dans la semaine, là je manque un peu de temps ;)

n°5638494
Profil sup​primé
Posté le 24-05-2005 à 11:11:24  answer
 

oki merci:D
bon boulot:D

n°5663949
jagstang
Pa Capona ಠ_ಠ
Posté le 26-05-2005 à 18:06:53  profilanswer
 

qqn a sous la main la formule du calcul de l'aire/volume d'un corps de révolution d'une cardioïde ?
 
http://img14.echo.cx/img14/9254/c5lu.th.jpg
 
edit :  
 
celle-ci est définie sous mathematica par  
 

r[a_] = 4 + 3*Sin[phi]  ;
fx[a_] = Cos[phi]*r[phi] ;
fy[a_] = Sin[phi]*r[phi] ;
 
ParametricPlot3D[{fx[phi], fy[phi]*Cos[alpha], fy[phi]*Sin[alpha]}, {alpha, 0, 2pi}, {phi, -pi, pi},  
      PlotPoints -> 55, AxesLabel -> {"x", "y", "z"}, ViewPoint -> {
      1.881, -1.389, 1.104}] ;


Message édité par jagstang le 26-05-2005 à 18:11:59

---------------
What if I were smiling and running into your arms? Would you see then what I see now?  
n°5665459
Welkin
Ég er hvalur, ekki brauðsúpa
Posté le 26-05-2005 à 20:37:18  profilanswer
 

jagstang a écrit :

qqn a sous la main la formule du calcul de l'aire/volume d'un corps de révolution d'une cardioïde ?
 
http://img14.echo.cx/img14/9254/c5lu.th.jpg
 
edit :  
 
celle-ci est définie sous mathematica par  
 

r[a_] = 4 + 3*Sin[phi]  ;
fx[a_] = Cos[phi]*r[phi] ;
fy[a_] = Sin[phi]*r[phi] ;
 
ParametricPlot3D[{fx[phi], fy[phi]*Cos[alpha], fy[phi]*Sin[alpha]}, {alpha, 0, 2pi}, {phi, -pi, pi},  
      PlotPoints -> 55, AxesLabel -> {"x", "y", "z"}, ViewPoint -> {
      1.881, -1.389, 1.104}] ;



 
 
A vue de nez, le volume d'un solide de révolution définie par rotation autour de l'axe x d'une fonction y = f( x) ça doit faire quelque chose comme
 
 
       //
V =  ||1/2 [f(x)]^2 dx d phi
       //
 
Tu peux peut-être partir de là.


Message édité par Welkin le 26-05-2005 à 20:37:58
n°5665581
airseb
Posté le 26-05-2005 à 20:47:34  profilanswer
 

Salut !
j'ai un petit probleme de compréhension pour la formule calculant l'accélération :
vecteur a = d(vecteur v) / dt
 
A quoi correspond la lettre 'd' ici ? Si ça veut dire "dérivée", t serait un nombre quelconque et la dérivée d'un nombre quelconque est 0  :pt1cable: , pourriez vous m'éclairer sur le sujet ?


Message édité par airseb le 26-05-2005 à 20:48:01
n°5665819
Welkin
Ég er hvalur, ekki brauðsúpa
Posté le 26-05-2005 à 21:12:56  profilanswer
 

airseb a écrit :

Salut !
j'ai un petit probleme de compréhension pour la formule calculant l'accélération :
vecteur a = d(vecteur v) / dt
 
A quoi correspond la lettre 'd' ici ? Si ça veut dire "dérivée", t serait un nombre quelconque et la dérivée d'un nombre quelconque est 0  :pt1cable: , pourriez vous m'éclairer sur le sujet ?


 
 
9a veut dire qu'il faut considérer v comme une fonction du temps, et calculer sa dérivée comme tu le ferais d'une fonction classique. Par exemple si tu as v = a*t, alors dv/dt = a

n°5665947
cyrilvirus
Posté le 26-05-2005 à 21:22:36  profilanswer
 

Bonsoir à tous les matheux de HFR,
 
Je redoutais ce moment mais voilà : j'ai besoin de votre aide pour un exo qui paraît trivial à première vue mais dont je n'arrive pas à me défaire.  :jap:  
Je précise que le chapitre porte sur l'intégration et l'analyse hilbertienne (on est est au début : borélien, tribu, mesure de Lebesgue et fonction mesurable :pt1cable: ).
 
Soit u(m,n) une suite double à termes positifs telle que, pour tout n>0, la suite m -> u(m,n) est croissante. Montrer l'agalité  
lim(somme sur n>0 des u(m,n)) = somme sur n>0 des lim(u(m,n))
m->infini                                         m->infini
c'est pas écrit proprement mais en fait ce qu'il faut prouver c'est l'inversion entre la limite et la somme...
 
C'est pas pressé : j'ai jusqu'à mercredi prochain mais vous seriez d'une grande aide si vous trouviez la solution ou au moins quelques pistes.
 
Merci :hello:

n°5666172
airseb
Posté le 26-05-2005 à 21:44:49  profilanswer
 

Welkin a écrit :

9a veut dire qu'il faut considérer v comme une fonction du temps, et calculer sa dérivée comme tu le ferais d'une fonction classique. Par exemple si tu as v = a*t, alors dv/dt = a


 
 
excuse moi mais j'ai pas tout compris.
1)Qu'est ce que t'appelle une fonction du temps ?
2)on calcule la dérivée du vecteur v comment vu qu'il y a au moins les composantes x et y ?(on calcule la dérivée de x puis de y ?)
3)comment s'appelle le 'd' ?
4)cette notation est elle toujours utilisée pour le temps ?


Message édité par airseb le 26-05-2005 à 21:45:04
n°5666290
Welkin
Ég er hvalur, ekki brauðsúpa
Posté le 26-05-2005 à 21:57:29  profilanswer
 

1) Une fonction du temps c'est une fonction dont la variable est le temps t(c'est la notion de fonction qui n'est pas claire peut être ?) au lieu de, par exemple, une variable x.
 
2) La dérivée d'un vecteur par rapport au temps c'est (dans un repère cartésien classique, genre Oxyz) tout simplement le vecteur dont les composantes sont les dérivées des composantes du vecteur initial.
 
3) la notation dv/dt c'est une notation utilisée couramment en physique. Elle est utile car elle permet de bien montrer par rapport à quelle variable on dérive, ce qui peut ne pas être immédiatement évident. dv/dt, c'est la dérivée de v par rapport à la variable t, ce que tu noterais v' en maths.

n°5666292
djdie
L'heure, c'est l'heure.
Posté le 26-05-2005 à 21:57:43  profilanswer
 

airseb a écrit :

excuse moi mais j'ai pas tout compris.
1)Qu'est ce que t'appelle une fonction du temps ?
2)on calcule la dérivée du vecteur v comment vu qu'il y a au moins les composantes x et y ?(on calcule la dérivée de x puis de y ?)
3)comment s'appelle le 'd' ?
4)cette notation est elle toujours utilisée pour le temps ?


 
1) Une fonction du temps ça veut dire que la variable est le temps, que la quantité représentée par ta fonction (ici la vitesse) varie au cours du temps; mathématiquement on s'en fiche que ce soit le temps : on a une fonction qui s'appelle v, qui associe un vecteur de R2 à chaque temps t d'un intervalle.
 
2) oui, tu dérives composante par composante. la dérivée sera donc aussi un vecteur (une fonction du temps à image dans R2).
 
3) dv et dt doivent s'appeller une différentielle je pense. le d tout court je sais pas vraiment...
 
4) d/dt est l'opérateur de différentiation par rapport à t; appliqué à une fonction, cela revient à la dériver par rapport à t. dv/dt s'écrit aussi souvent "v avec un point dessus" ou aussi parfois v' comme en maths.
 
Edit:  [:benou_grilled]


Message édité par djdie le 26-05-2005 à 21:59:22
n°5666307
Welkin
Ég er hvalur, ekki brauðsúpa
Posté le 26-05-2005 à 21:59:24  profilanswer
 

djdie a écrit :

1) Une fonction du temps ça veut dire que la variable est le temps, que la quantité représentée par ta fonction (ici la vitesse) varie au cours du temps; mathématiquement on s'en fiche que ce soit le temps : on a une fonction qui s'appelle v, qui associe un vecteur de R2 à chaque temps t d'un intervalle.
 
2) oui, tu dérives composante par composante. la dérivée sera donc aussi un vecteur (une fonction du temps à image dans R2).
 
3) dv et dt doivent s'appeller une différentielle je pense. le d tout court je sais pas vraiment...
 
4) d/dt est l'opérateur de différentiation par rapport à t; appliqué à une fonction, cela revient à la dériver par rapport à t. dv/dt s'écrit aussi souvent "v avec un point dessus" ou aussi parfois v' comme en maths.


 
 :jap:  
 
Si on veut chippoter sur les termes, à propos de 3), c'est pas tout à fait ça une différentielle, en termes mathématiques.

n°5666444
djdie
L'heure, c'est l'heure.
Posté le 26-05-2005 à 22:14:30  profilanswer
 

Welkin a écrit :

:jap:  
 
Si on veut chippoter sur les termes, à propos de 3), c'est pas tout à fait ça une différentielle, en termes mathématiques.


Ouais, dans Wikipedia ils appellent différentielle l'approximation du premier ordre d'une fonction en un point x. Moi on m'a appris que ça s'appelait la dérivée (mais après ça porte à confusion avec la dérivée dont on a l'habitude pour une fonction d'une variable :o).
 
Comment tu appelles le dt ?

n°5666542
cyrilvirus
Posté le 26-05-2005 à 22:23:04  profilanswer
 

djdie a écrit :

Ouais, dans Wikipedia ils appellent différentielle l'approximation du premier ordre d'une fonction en un point x. Moi on m'a appris que ça s'appelait la dérivée (mais après ça porte à confusion avec la dérivée dont on a l'habitude pour une fonction d'une variable :o).
 
Comment tu appelles le dt ?


Le temps infinitésimal sur lequel tu regardes la variation de la fonction en question.
 
Un ptit up pour le petit problème ci dessus :D

n°5666636
Welkin
Ég er hvalur, ekki brauðsúpa
Posté le 26-05-2005 à 22:30:44  profilanswer
 

cyrilvirus a écrit :

Bonsoir à tous les matheux de HFR,
 
Je redoutais ce moment mais voilà : j'ai besoin de votre aide pour un exo qui paraît trivial à première vue mais dont je n'arrive pas à me défaire.  :jap:  
Je précise que le chapitre porte sur l'intégration et l'analyse hilbertienne (on est est au début : borélien, tribu, mesure de Lebesgue et fonction mesurable :pt1cable: ).
 
Soit u(m,n) une suite double à termes positifs telle que, pour tout n>0, la suite m -> u(m,n) est croissante. Montrer l'agalité  
lim(somme sur n>0 des u(m,n)) = somme sur n>0 des lim(u(m,n))
m->infini                                         m->infini
c'est pas écrit proprement mais en fait ce qu'il faut prouver c'est l'inversion entre la limite et la somme...
 
C'est pas pressé : j'ai jusqu'à mercredi prochain mais vous seriez d'une grande aide si vous trouviez la solution ou au moins quelques pistes.
 
Merci :hello:


 
Une piste : je pense que tu peux arriver à quelque chose en essayant de montrer que pour tout epsilon positif, il existe un entier N tel que :
 
|lim(somme sur n>0 des u(q,n))- somme sur 0<n<N+1 des lim(u(q,n))|< epsilon
 
 :hello:  

n°5666729
djdie
L'heure, c'est l'heure.
Posté le 26-05-2005 à 22:38:14  profilanswer
 

cyrilvirus a écrit :

Bonsoir à tous les matheux de HFR,
 
Je redoutais ce moment mais voilà : j'ai besoin de votre aide pour un exo qui paraît trivial à première vue mais dont je n'arrive pas à me défaire.  :jap:  
Je précise que le chapitre porte sur l'intégration et l'analyse hilbertienne (on est est au début : borélien, tribu, mesure de Lebesgue et fonction mesurable :pt1cable: ).
 
Soit u(m,n) une suite double à termes positifs telle que, pour tout n>0, la suite m -> u(m,n) est croissante. Montrer l'agalité  
lim(somme sur n>0 des u(m,n)) = somme sur n>0 des lim(u(m,n))
m->infini                                         m->infini
c'est pas écrit proprement mais en fait ce qu'il faut prouver c'est l'inversion entre la limite et la somme...
 
C'est pas pressé : j'ai jusqu'à mercredi prochain mais vous seriez d'une grande aide si vous trouviez la solution ou au moins quelques pistes.
 
Merci :hello:


Ca semble être une application immédiate du théorème de la convergence monotone. Si tu ne l'a pas encore vu au cours tu trouveras facilement le théorème et des preuves sur le net ;)

n°5666843
cyrilvirus
Posté le 26-05-2005 à 22:47:10  profilanswer
 

Merci pour vos réponses : je m'y replonge demain.
En fait je suis en école cette année et du fait d'un long stage n'ayant rien à voir avec les sciences, ça fait un an que j'ai pas touché aux maths (et autres), depuis la fin des oraux l'année dernière... donc c un peu dur de se souvenir de tout. :ange:  
Je me souviens pas précisément du th de convergence monotone mais il me semble qu'il justifiait l'interversion somme - intégrale dans certains cas et non limite - somme. Peut être est il adaptable, faut que je revoie ce chapitre...
C'est fou ce qu'on oublie en 1 an :D
En tout cas, je vais voir et je reposte si je bloque sur qqch.

mood
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