Reprise du message précédent :

Ouais pis se faire tâter le pruneau c'est une bonne source de honte pour alimenter le topic

cf mon post  

"Attention madame !"

Toi aussi t'es  

pour un topic de qualitaÿ  

 
j'ai la femme d'un pote qui est urologue et qui a eu le droit a une belle érection de la part d un de ses patients? Il était plus que . Il a pas posté ici d'ailleurs?

Oui, mais t'étais pas assez franc dans ton propos, je voulais l'étayer un peu  

Euh à mon avis ça soit pas être le seul, elle doit avoir l'habitude.

Le dernier arrivage est excellent ²

 
+1  
 
Ca fait bien longtemps que j'avais pas réellement explosé de rire devant ma bécane
 
Très très fort ces deux là

 
Vraiment dla merde le saut de tarzan, me suis pris une petite honte la dessus le mois dernier
 
Enfin, aie pour toi

 
Pas de teaser, on veut la honte  

Honte courte du matin:
- arrivée au boulot, pas trop reveillé
- comme tous les matins, salutations avec un grand sourire aux deux charmantes hotesses d'acceuil du hall
- devant elles, ratage de marche puis croutage dans l'escalier
- hurlement de douleur quand le tibia a touché la marche
- relevage digne
- depart en boitant vers l'ascenseur

La faut tenter l'humour : vous voyez, vous me faite de l'effet

 
Court mais toujours efficace  

Allez, je me lance, et celle-là elle date.
 
Nous faisions un paintball à la sauvage dans les bois. Forêt du sud-ouest, donc sol sablonneux, buissons épineux, pins et chènes. Nous menions une contre-offensive et je décide bravement de contourner mes adversaires pour leur tirer lâchement dans le dos. La tactique était simple : tandis que mes frères d’armes devaient progresser dans l’axe, j’étais chargé, de rusher discrètement derrière les lignes ennemies. Faut dire que les boches nous avaient tenu tête sur la partie précédente, il fallait absolument renverser la vapeur.
 
Pas un bruit, nous progressons à pas de velours dans la saillie sablonneuse qui délimite notre terrain de jeu.  L’atmosphère est lourde, nous retenons notre respiration pour ne pas éveiller le moindre soupçon. C’est alors que des POC POC POC retentissent, suivi de cris de douleurs : la bataille avait commencé de l’autre côté du terrain. Les cris des blessés assourdissaient mes tympans, tandis que j’accélérais ma progression. Des balles perdues se logeaient dans les arbres aux alentours, rendant notre progression plus délicates. Sales viets, ceux qui n’ont pas entendu les cris de leurs victimes ne peuvent pas comprendre.    
 
Soudain, un commando ennemi, qui avait eu la même idée que nous, croise notre chemin. Tandis que Buck les arrose copieusement à la sulfateuse, tout en mâchouillant son cigare , je décide de tenter le tout pour le tout. Nous étions coincés telles des roubignoles dans un baudrier, il fallait perforer littéralement leur défense. Je tire 5 coups, me redresse brusquement et entame un sprint d’anthologie. A l’époque, Ussain Bolt jouait encore avec sa pelle et son seau, et je n’étais pas loin des 8 secondes aux 60 mètres : c’est un véritable boulet de canon qui est entrain de déborder la défense adverse. Aton est seul, il a la balle, il file tout droit vers les buts.  
 
J’accélère, j’accélère, dans ma tête tout se mélange : la charge des walkyries, Lawrence d’Arabie, la musique de Mario kart. J’ai presque contourné les défenses sans prendre une seule balle, on n’est pas loin du miracle. Je sens la lumière céleste caresser mon visage, mes pieds ne touchent presque plus terre, le fusil collé contre mon torse, je m’élève littéralement vers les cieux. Je suis Neo, les balles ne peuvent pas m’atteindre.  
 
C’était sans compter sur cette nature revancharde qui décida d’abattre sa vengeance sur moi : Le combo racine + gravitation terrestre fut fatal, me faisant planter directement la tête dans le sable sans pouvoir amortir la chute.  Un peu à la Dupontel dans Enfermé Dehors, quand il se refait les dents en courant sur le toit des voitures.
 
Complètement groggy, je me relève, tous les autres sont en train de se rouler par terre en pleurant de rire et en se foutant de ma gueule. Je fais trois pas et m’étale dans un buisson épineux, complètement sonné.
 
Je hais la guerre

j'ai eu la même réaction

qualitaÿ de narration

Je peux vous dire que ça fait mal partout (à la tête, à l'égo)
 
EDIT : j'ai raconté l'histoire du saut des 8 mètres de cet été?  

  (Cross-topic en plus, mais mieux racontée ici ! )

 
Vous avez oublié ça !    

une contine d'un fort beau gabarit  

 
Je dois dire, balaise...  

 
En fait, je pouvais à peine marcher et je sentait la petite larme au coin de l'oeil... On ne dirait pas, mais 95 Kg récupéré sur un tibia, c'est vachement douloureux...  

 
Bof, rien de tres impressionnant.
 
J'allais faire mon saut de tarzan.
  Meme pas peur alors que pas mal de gens semblaient impressionnés.
Je saute, superbe saut   , et au moment d'accrocher le filet, impossible de l'agripper, et je repars en arriere, limite à me vautrer sur la plate forme de départ
Tant bien que mal, la corde me renvoie dans le filet, et cette fois, c'est la bonne, j'arrive à m'accrocher.
Les gens autour
En plus je suis arrivé super bas dans le filet, j'ai mis 3 plombes à remonter en haut.
 
Rien de bien impressionnant comme honte quoi.

Je suis sûr que c'est parce que t'as pas crié "Oliolio"  

Sisi, j'ai gueulé comme un gros débile au moment de sauter
Mais pas le cri de tarzan je crois

 
 
Best honte !  

Je ne coince pas mes couilles la dedans  

 
A moi :
 
Hier en montant les escaliers de ma résidence 2 par 2 je suis tombé    
 
La narration est moins bonne mais bon.
 
/aigri

 
+1

bien raconté, mais la honte s'étale un peu comme toi à la fin de l'histoire

Sp'a faux, c'était une honte de merde, mais je mets de la confiture et du vernis dessus histoire de faire croire à de la qualitay

Le sport, c'est vraiment de la merde

Au lycée surtout, quand on nous oblige à être multidisciplinaires, à faire des trucs qu'on aime pas et pour lesquels on est nuls à chier. Et par dessus ca bien sur y'a toujours les athlétiques de la classe qui ne manquent pas de se foutre de notre gueule à la moindre occasion. Hé bein moi je leur en ai donné des occasions... Ca fait quelques années, maintenant ca me fait rire, mais sur le coup c'est douloureux...

La première:
Maycredi, jour de sport dans le gymnase, deux classes de 2nde sont rassemblées. Aujourd'hui c'est l'avant dernière session de saut de cheval, avant l'évaluation, qui mine de rien me fait peur. J'ai jamais rien foutu durant les séances, m'emmerde moi de sauter par dessus une poutre emmitouflée. Le prof regarde, histoire de voir si on a progressé un minimum. Tout le monde regarde aussi, puisque y'a 2 poutres pour 2 classes.
Les collègues s'élancent, deux par deux, et hop un salto, et hop une rondade, et hop une lune, et hop je stresse je vais obligatoirement faire de la mairde. Faut quand même que je tente au minimum de passer cet engin de la mort sans renversement, en posant que les mains et en ramenant les genoux vers mon visage, jusqu'à présent j'ai su que passer en roulade . Je me motive intérieurement, je ne regarde pas ce que font les autres, je transpire.

Bon, c'est mon tour. Je m'élance, le trampoline arrive, je prends l'impulsion, je tends mes mains vers le cheval et...
Merde j'ai pas ramené les genoux  
J'ai même pas assez pris d'impulsion...  
=> La poutre me sèche violemment, en plein dans le ventre, je retombe comme une merde devant le trampoline, le souffle coupé.  

Bien évidemment, mass haha

La seconde:
Même année, mais dernière session: le saut de haies. Yaay! J'adore courir, et comme on a pu le voir, j'adore sauter, ca s'annonce trop bien!

On doit faire la course avec 3 camarades; c'est la dernière, donc l'évaluation, et la prof a monté les haies. Bein oui maintenant on est des pros, on peut se le permettre

On se positionne sur la ligne, "prêts, partez !"

Première haie, ca passe, deuxième aussi, mais pas troisième. Je me prends les pieds dedans, je suis déstabilisé, mais j'essaye de rester debout, je lutte sur 10m genre on voit que je vais tomber mais l'élan me fait rester debout (vous savez l'espèce de position ou le buste est penché en avant et on fait des grands pas pour essayer de se rattraper), puis ce qui devait arriver arriva, je m'étale comme une merde sur le goudron. La aussi j'ai eu vraiment mal, les genoux ont prit très cher, ca pisse le sang.  . Quelle idée de faire ca sur du goudron aussi  

Il n'y avait que les mecs de ma classe cette fois ci, mais le foutage de gueule étant inversement proportionnel à la quantité de témoins, ils m'ont pas loupé.

J'ai eu droit à des "commentaires" toute l'année pour ces deux là. Depuis j'ai jamais recommencé aucun des deux, j'ai toujours tout fait pour y échapper
J'ai d'ailleurs toujours tout fait pour échapper à tout ce qui touche à l'athlétisme, c'est ma hantise ce sport  

edit: désolay pour le pavay

Les taulages sur les haies, j'ai connu. En gym j'ai expérimenté la chute ENTRE 2 tapis (qui est le branleur qui a laissé 30cm d'écart entre les deux...!!)