Reprise du message précédent :
Oui mais pas le Grand Monde   Et je parlais pour ChatGPT, il lui faut les infos pour faire le perroquet, et pas d'une seule source je pense.

Le « pas d'une seule source » j'en doute : dans le temps en tout cas, quand on l'interrogeait sur des choses très spécialisées, il ressortait directement son unique source. C'est même comme ça que des gens ont repéré que leur boulot avait été utilisé pour l'entraîner

Je parlais de Wikipédia pour ta remarque sur les droits : je pense que ça n'a rien à voir.

Il se mélange les pinceaux quand il y a peu de source.

Pour Wikipedia oui rien n'interdit de faire un résumé complet.

Je disais juste qu'un livre libre de droit tu le trouves façilement sur internet, au contraire du Grand Monde. Donc c'est logique qu'une IA soit plus bavarde sur le sujet. Même si c'est sans doute entrainé sur des bibliothèques numériques, mais peut-être pas en français et il y a peut-être des restrictions sur les retours ensuite pour la question de droits justement.

Gaspard est excellent.

Qu'est-ce que ça me plairait ça.

Y a rien qui vous interdit d'éditer wikipédia pour les romans que vous avez lus et d'inciter vos amis à faire pareil hein

Perso je l'utilise souvent pour m'éviter de lire des trucs où de regarder des séries, je trouve ça super pratique.

Acheter le livre au format numérique et demander à une IA de le résumer?

"Comme le bouquet qu'un voyageur nous envoie d'un pays où nous ne retournerons plus, faites-moi respirer du lointain de votre adolescence ces fleurs des printemps que j'ai traversés moi aussi il y a bien des années."  
 
Y a tout de même de belles phrases chez tonton Marcel.

Il en fait peut-être un peu beaucoup des fois  
 

Immonde ce style.

Bwahh. C'est horripilant au possible.

J'appelle ça "se regarder écrire"

Sans se relire aussi car sinon tu pigerais vite que personne d'autre que toi n'y comprendra quoique ce soit

 
Spoiler bon sang

Surtout quand tu vois les magnifiques couvertures dont ils ont gratifié son oeuvre au Livre de Poche, faut vraiment être con  

Ça, et si c'est une question de radinerie ça doit pas être compliqué de trouver une belle gravure du XIXe libre de droits avec des machines volantes.

Je me suis dit exactement la même chose.
A+,

J'ai fini Revelation Space d'Alastair Reynolds et je sais pas trop.

L'histoire commence dans un chantier de fouilles sur la planète Resurgam, où Daniel Sylveste refuse d'abandonner son travail face à une tempête qui s'annonce, parce que lui et son équipe viennent de découvrir un obélisque gravé. Il est obsédé par les Amarantin et est persuadé que c'est, enfin, la découverte qui va faire avancer ses recherches sur cette civilisation disparue il y a neuf cent mille ans.

Sur le Nostalgia for Infinity, un immense vaisseau infraluminique, Ilia Volyova s'affaire tandis que le gros de l'équipage est en suspension. La quête principale ici est de chercher un moyen de soigner de capitaine, dont le corps gelé est en proie à la melding plague, une affection qui croît à partir de son sarcophage et envahit le vaisseau. Mais Ilia a aussi pour hobby de chercher à prendre en main les armes — et on parle de trucs qui peuvent détruire une planète — elles aussi très anciennes qui sont stockées à bord du vaisseau.

Enfin, Ana Khouri, une ex-soldate devenue assassin professionnel se promène dans le paysage post-apocalyptique de la planète Yellowstone, où elle traque moyennant finance de riches bourgeois qui veulent mettre du sel dans leur vie, et dans leur mort. Elle est recrutée par un mystérieux commanditaire, la Mademoiselle (en français dans le texte).

C'est Sylveste qui relie ces trois intrigues, qui alternent de manière assez mécanique et, j'ai trouvé, assez agaçante, dans la première partie du livre. Je sais qu'il n'y a pas de bonne solution dans ce genre de cas, mais ça m'agace un peu le systématique cliffhanger-allez-on-passe-à-quelqu'un-d'autre.

Mais il y a plein de choses que j'ai trouvées agaçantes dans ce bouquin. D'abord cette alternance. Et puis, tout le début de l'histoire de Sylveste, j'arrêtais pas de me poser des questions sur la conservation des restes archéologiques (qu'est-ce qui se garde pendant neuf cent mille ans et dans quelles conditions ?) et ça m'empêchait de me concentrer sur l'intrigue (mais ça c'est peut-être pas la faute de l'auteur même s'il y a des trucs que j'ai trouvés outrageux). Il y a aussi beaucoup d'ellipses puisque des gens sont dans l'espace et il peut se passer dix ans sur Resurgam pendant ce temps. Et surtout, bah c'était un peu chiant, en fait, j'avais l'impression d'être encore dans l'introduction du livre qu'on était déjà à la moitié.

C'est un des trucs que je trouve le plus bizarres : il y a énormément d'informations, de choses qui se déroulent, de passé de la galaxie sur lequel on apprend des trucs, de sous-intrigues qui se croisent et qui se rejoignent, et pourtant, dans une bonne partie du livre on a l'impression d'un rythme lent et de ne pas savoir grand-chose, et à la fin au contraire il y a de l'action de partout et beaucoup, beaucoup d'info dumping avec tout à coup des personnages qui viennent de voir un documentaire (en gros) et expliquent aux autres tout un aspect du passé qu'ils viennent de comprendre. J'ai trouvé que ça manquait de show, don't tell : dans de telles conditions, on a envie soit de rester au niveau des humains et donc d'avoir des personnages qui fabriqueraient de la connaissance et referaient l'histoire, soit d'avoir un récit extérieur/omniscient qui raconte ce qui se passe, mais le compromis ici m'a paru un peu mal fichu. Donc on passe un gros bout de l'histoire avec des noms de factions (Amarantin, Conjoiner, Shrouder, Pattern-Juggler, Banished, Ultra, Inhibitor, Demarchist) parfois accompagnés d'une explication minimaliste qu'on a oubliée quand on retombe dessus, et à la fin du livre des pages d'histoire complète larguée d'un coup comme si on n'avait plus assez de pages pour tout mettre.

Enfin, c'est un de ces bouquins écrits par quelqu'un qui a envie de raconter son monde imaginé et est obligé de mettre des personnages dedans pour cela, mais c'est pas vraiment son fort. J'ai trouvé certains dialogues assez maladroits, et les personnages, surtout féminins, c'est pas ouf. On a du mal à s'intéresser à leur vie, ils sont assez unidimensionnels ou ont un gimmick, comme l'unique juron russe dont abuse Ilia. Certains donnent l'impression de ne servir à rien, ou alors on ne sait que trop bien à quoi ils servent et c'est assez frustrant. Par exemple, si on se demande, comme c'était mon cas, à quoi sert d'emmener Pascale dans cette histoire et si elle a une utilité dans l'intrigue, la réponse est non, elle ne sert que comme créature annexe de son mari, un peu comme s'il se baladait avec son fauteuil préféré. Khouri n'est motivée que par la promesse du retour de son mari, dans une sorte de version inversée du cliché de la "woman in the refrigerator" (quand un personnage, souvent féminin, ne sert qu'à être capturé/enfermé/disparu pour servir de motivation au héros). Et on a une séquence où deux personnages féminins se disent qu'elles vont mourir dans cinq minutes et elles passent ces cinq minutes à discourir de la grandeur de Sylveste… bonjour, Alison Bechdel a appelé et elle dit que ça passe pas (*)

C'est d'autant plus agaçant que le livre est plein de bonnes choses par ailleurs, parce que cet univers a une très longue histoire avec des races extra-terrestres intéressantes, des tas de personnages qui ont fait des choses dans leur passé, des trucs qui sont lâchés en une phrase et dont on n'entend plus parler ensuite mais on aimerait bien savoir quelles en ont été les conséquences (ce qu'il est advenu de la simulation Alpha de Calvin Sylveste par exemple). Il y a des tas de trucs qui donnent envie d'y repenser plus tard, la nature des Pattern-Jugglers, ou ce vaisseau mangé par une sorte de bactérie-virus où les gens ont en permanence du slime jusqu'aux genoux, les conséquences que ça a sur les différents systèmes et sur les gens ou les entités qui essaient d'en prendre le contrôle. Ou le paysage tout mangé-crado de Yellowstone avec son dôme dégueulasse et ses gus qui vivent dans des boîtes sous une forêt de câbles. Ça fait des tas de cartes postales qu'on garde en tête.

Bref, intéressant et avec un tas d'images assez chouettes, mais frustrant. Assez intéressant pour rester là pendant six cent pages, mais en étant un peu irrité tout du long. C'est un premier roman, et pour un premier roman, c'est vraiment exceptionnel, mais par endroits, ça se sent un peu.

(*) edit : cette scène m'a fait penser à ce sketch.

J'ai lu "Martin Eden" de Jack London, souvent recommandé sur ce topic, j'ai adoré.   Je ne connaissais de London que "L'appel de la forêt" et "Croc Blanc" qui m'ont fait verser toutes les larmes de mon corps quand j'étais gamine, je ne m'étais jamais intéressée au reste de son oeuvre, j'aurais dû !
 
Du coup, je me demandais s'il y avait une biographie intéressante de Jack London ?

Désolée, j'ai mis du temps à te répondre  
J'ai eu absolument la même impression avec le roman. Oates semble se réjouir de faire souffrir Marilyn Monroe à travers ses relations sexuelles et ses problèmes médicaux (endométriose/fausses couches). On se tape sans cesse des descriptions de son corps (on ne risque pas d'oublier son opulente poitrine     ). Et puis la Marilyn Monroe du livre est pas très fut-fut.
Et puis cela donne l'impression que Oates n'a pas écrit ce livre car elle appréciait d'une manière ou d'une autre Marilyn Monroe ou encore pour lui rendre hommage mais pour (bien) se défouler sur elle.
Bref, plus le temps passe, moins j'aime ce roman  
 
Je n'ai pas vu le film sur Netflix. Je ne suis pas sûre de le regarder malgré la présence d'Ana de Armas. Par contre, je pense regarder les quelques films avec Marilyn Monroe (je n'ai vu que Rivière sans retour avec mon père quand j'avais 10 ans )

Merci pour cette réponse !

c'est exactement ce que j'avais entendu reprocher au film, donc peut-être que c'est une « bonne » adaptation en ce sens mais c'est vrai que ça ne donnait pas envie.

C'est un peu triste, j'aime pas trop lire des auteurs qui n'ont pas l'air d'avoir de sympathie pour leurs personnages, ça me donne toujours des difficultés pour m'y intéresser.

Edit : j'ai vu récemment Comment épouser un millionnaire et Les Hommes préfèrent les blondes, et ça mérite d'être vu. J'ai un (très bon) souvenir beaucoup plus lointain de Sept ans de réflexion, c'est très drôle avec le type de l'appartement qui se tape des délires au piano

Edit bis : le meilleur du meilleur et que j'aurais dû citer en premier : Certains l'aiment chaud. Il était en redif sur le site d'Arte il n'y a pas très longtemps, je pense que je l'ai vu une dizaine de fois et c'est toujours aussi fantastique, même si elle est toujours cantonnée au même genre de rôle dans tous ces films.

The misfits surtout et puis bus stop, je pense.

 
J'ai terminé le tome 2 de Lonesome dove et c'était formidable, faisons court.
Je pense qu'à peu près tout le monde l'a lu ici donc je ne m'éternise pas, mais vraiment, pff, quel livre. J'ai rarement été aussi ému (d'ailleurs rien qu'en y repensant...) Ce n'est même pas une lecture très difficile, ça se lit très facilement ; la thématique "cow-boy" pareil, je suis pas forcément amateur et pourtant... Dur de s'en remettre. D'ailleurs les derniers chapitres sont les plus durs à lire.
Ai-je besoin d'ajouter que je le recommande ?
L'une de mes toutes meilleures lectures.

Au passage, vous avez d'autres "fresques" (je sais pas si c'est le bon mot) à conseiller, peut-être dans les Pulitzer fiction ? J'aimerais lire un Michener mais je ne sais pas vers lequel me tourner ; Le déclin de l'empire Whiting m'attire un peu aussi ; j'ai évidemment entendu parler de Pastorale américaine mais je ne sais pas si je vais accrocher.

J'ai lu La Source et Chesapeake, j'ai adoré les deux. Faudrait que je lise L'Alliance. Mais c'est pas au niveau de Lonesome dove.

Vu qu'on est dans le thème je termine justement un autre roman histo/saga familiale : Faire bientôt éclater la terre de Karl Marlantes.

C'est l'histoire d'une famille finlandaise qui émigre aux USA vers 1900 (à l'époque la Finlande est occupé par la Russie impériale). La famille va s'installer sur la côte ouest où se trouve une communauté scandinave importante, c'est très centré sur l'industrie forestière (pas de Silicon Valley encore à l'époque). Je me disais justement que c'était pas au niveau de Michener (encore moins des Les Raisins de la colère mais là on est hors catégorie).
Dans certains romans l'auteur veut nous raconter des événements de société, historique ou autre et créé donc des personnages qui vont vivre ces moments pour nous les raconter, en spectateur ou davantage acteur. Mais le récit, pour moi, perds en authenticité, en émotion car les personnages sont un peu prétexte. Ce livre tombe dans ce problème, il veut nous raconter la lutte communiste aux US, ça passe devant le reste, il veut nous parler de la prohibition alors paf on va mettre un membre de la famille en contrebande. Les personnages sont des pièces qu'on déplace où ça nous arrange, j'aime pas.

Dans Lonesome dove ou Les Raisins de la colère ont nous raconte évidemment un bout d'histoire des Etats-Unis mais à travers une famille ou d'un groupe de personne qui vivent leur vie "banale". Je ne sais pas si j'explique bien mais c'est beaucoup plus naturel. Et il y a pas le besoin d'être au centre des événements tous le temps "tiens c'est la guerre, bon j'envoie le fiston à la guerre, tiens il y a des manifestants qui se sont fait tuer, bon toi tu vas aller à la manif etc....". On se retrouve avec un famille dont tous les membres sont des héros de roman.

Pour en revenir à Faire bientôt éclater la terre, les personnages manquent donc de consistance, ils sont trop ballotés, il y a pas assez de temps passez sur leur vie quotidienne (alors que le livre fait 1100 pages et qu'on passe beaucoup de temps sur leur quotidien en fait). Donc un livre pas mauvais mais je n'ai pas apprécié la construction.

Tu as lu Chez les heureux du monde (House of Mirth) ? Ce n'est pas le roman qui a permis à Edith Wharton d'avoir le Pulitzer mais je le trouve plus réussi que ce dernier. À travers l'histoire d'un personnage, c'est une description colorée et sans pitié de « l'aristocratie » américaine du fameux gilded age. C'est la période de cette toute fin du XIXe siècle où on a l'ancienne bonne société issue des richissimes colons hollandais et autres, qui regarde de haut les nouveaux riches de l'acier et des chemins de fer, et ces gens d'un pays qui se prétend libre et où tout est possible se sont fabriqué des carcans de normes et de règles qui n'ont rien à envier à l'Angleterre victorienne. C'est fascinant.

Merci de la recommandation pour Lonesome Dove. Si c'est meilleur encore que Cheasapeake que j'ai adoré, je sens que je vais tanner illico la médiathèque

Cheasapeake English ?    
A+,

Bizarre, je l'ai "toujours" prononcé CHIzapik d'où cette orthographe

Cheh

Hypé.
 
Quelques lectures récentes :  
1886 : l'Affaire Jules Watrin

Un "patron" défenestré par ses ouvriers, après avoir entre autre réduit les salaires.
Récit assez confus, je ne connaissais pas Pascal Dessaint qui écrit surtout des polars, il donne l'impression d'avoir compulsé un très grand nombre d'archives, sans avoir été capable d'en tirer vraiment un roman. Je suis resté à la porte, ou plutôt, en bas de la fenêtre   Une déception.

La Rabouilleuse, de Balzac
Alors là, du très très lourd   Un pur roman balzacien, je me faisais la réflexion en l'achevant qu'on y trouvait quasiment tous les thèmes propres à Balzac (Paris, la Province, les intrigues, les personnages hauts en couleur et romanesques et bien entendu l'ARGENT) et c'est exactement ce que disait en mieux l'auteur de la préface Sans doute une des meilleures portes d'entrée pour découvrir la comédie humaine et pourtant un roman méconnu. J'ai vraiment pris énormément de plaisir à le lire.
 
Montaigne et la Boétie, une ténébreuse affaire de Philippe Desan, un grand spécialiste de Montaigne

J'ai jamais osé me frotter aux Essais, et vraiment, faudra que je franchisse le pas.
En tout cas, c'est un roman assez original et stimulant intellectuellement. Desan avance, avec un léger sourire on le sent, une thèse : Montaigne aurait liquidé la Boétie. La construction du roman m'a étonné et j'ai plutôt passé un bon moment.
 
Et pour finir, je relis "Père et fils" de Tourgueniev, autant dire que je bois du petit lait.

Tourgueniev, jamais lu.
Bonne idée, vous me conseillez quoi entre Memoires de Chasseurs et Eaux tranquilles ?

Pcq Père et Fils, je suppose que tout le monde meurt à la fin, de la littérature russe quoi  

Je cherche qqchose moins pesant, c'est l'été. Merci.

En littérature russe "moins pesante" (??)
je recommande  
- Gogol, "le nez", "le revizor".
-Bougalkov "le Maître et Marguerite", "Coeur de chien".
 
 
J'ai fini de lire:
Lord of the barnyard (Tristan Egolf), quelques polars de Fouassier.
 
Je relis la biographie de Balzac (Bardèche) et le tome 2 du journal des frères Goncourt dont l'intérêt est inégal d'un chapitre à l'autre, mais néanmoins très intéressant.
Je relis aussi Saint-Exupéry.

Je vois qu'il y a quelques pages disponibles sur Google je vais aller tester ça (très pratique ça au passage : https://www.google.fr/books/edition [...] frontcover )
 
J'ai tenté 2 livres hier et avant-hier, j'arrive pas à m'y remettre, je suis encore trop dans Lonesome Dove. Faut que je trouve le bon livre.

Mémoires d'un chasseur, c'est extraordinaire. Il s'agit de nouvelles, donc ça se lit assez facilement.

Père et fils est accessible, relativement court, loin d'être pesant au contraire et il me semble être une bonne porte d'entrée pour lire Tourgueniev, on y trouve de très belles descriptions des campagnes et des mœurs russes, très poétiques pour les premières et souvent ironiques ou drôles pour les deuxièmes.

Dans le même genre, on peut lire La Steppe, de Tchekhov.
Mais c'est vrai que Mémoires d'un chasseur est un chef d’œuvre.
A+,

Vous achetez encore des bouquins neufs ? Mes 10 derniers achats, c'est de l'occasion.

Dépend du prix, quand tu commandes de l'occasion, il y a 3€ de fdp, donc souvent, ca rejoint à 1€ ou 2€ prés le prix d'un neuf pour les éditions de poche.

Sinon, je viens de commander American Rigolos histoire de passer la fin juin (je lis un autre bouquin là) sur une note amusante. Je remets Mémoires d'un chasseur à octobre, quand je pourrai me blôtir sous un pled avec un 5 degrés venteux dehors

J'achète plus de bouquins du tout tant que je n'aurai pas éclusé les 247 de mes PALs. Oh wait ! Je viens de commander le nouveau Connelly !

Merci pour la reco, je ne connaissais pas l'auteur et je viens de terminer Le diable tout le temps, que j'ai beaucoup apprécié.