Salut Little Dnas et salut aux autres!
Bon, comme promis, je m'y suis remis, mias une fois de plus, je ne corrige pas les fautes d'orthographe ni de syntaxe car il y en a beaucoup.
_"tout ce quil fit fut
Des bottes!" : petite faute de frappe, c'est tout ce qu'il "vit". Je pense que tu devrais supprimer les trois points car ils ne s'imposent pas ici. L'action est rapide alors que les trois points, durant la lecture servent à marquer la découverte au bout d'une action longue. De ce que j'en lis, l'action semble certaine dont, il n'est pas nécessaire de mettre ces trois points.
_"Sale ingrat!" : il n' y a pas de rapport avec l'ingratitude (qui marque un manque de reconnaissance). Il devrait plutôt l'appeler, "sale vermine!" ou "sale mendiant" ou tout autre chose.
_"Cira un autre" : non! non! c'est "cria un autre".
Citation :
lapprenti reçu un pied en plein ventre lui coupant le souffle.
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il reçoit un "coup de" pied en plein ventre "qui lui coupa" le souffle. Pourquoi? Parce que le participe présent marque une information continue ou simultanée. Or le souffle coupé est la conséquence du coup de pied qui ne peut donc être marquée (la conséquence) que par une proposition subordonnée.
_"Incapable de parler, il tenta de se dégagé." : avec un coup de pied dans le ventre, il ne peux pas parler, mais il doit à peine pouvoir bouger.
_"Je vais régler son compte a cet ingrat." : même problème pour "ingrat"
Commentaire général sur cette partie :
Là, il y a un petit problème de cohérence globale sur ce passage. La princesse donne un ordre et le soldat s'en moque. A moins qu'il ne se fiche d'être décapité pour rebéllion il devrait l'écouter. Le soldat avance le fait de ramener Serass (vraiment pas terrible comme nom de femme!) au roi sans prêter garde à cette dernière. Cette attitude est valable pour un roi dur, limite tyrannique qui donnerait comme ordre : "suivez mes ordres et uniquement mes ordres, ne tenez pas compte de ceux des autres membres de la famille royale". Or, cela est incompatible avec la description bucolique, limite Disney de la ville.
Citation :
"Répond-moi! Hurlait lhomme. Quas-tu fait a la princesse? Pourquoi lavoir amenée ici? Hein!?
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Alors soit il est aveugle, soit il est complètement débile, le garde
Ils arrivent et prennent par un surprise un jeune homme "inconnu" et la princesse. Tous deux dorment donc à priori, il ne lui a pas fait grand mal. Cela pose un autre problème. Le héros et la princesse se connaissent depuis très longtemps. Si le roi est bon, comme je le suppose, je doute que Serass ne lui ait pas fait de confidence concernant Norkhas.
_"avant de sombrer dans linconscience." : pourquoi sombre-t-il dans l'inconscience? Suite au coup de pied dans le ventre. Alors je serai très réservé quant au diagnostic : pour qu'il sombre dans l'inconscience même après avoir été rossé, soit il a pris pas mal de coup sur la tête (hémorragie cérébrale, ton héros devrait rester hémiplégique ou être transformé en légume). Si cela vient du coup de pied dans le ventre, c'est que la rate a éclatée, auquel cas il ne lui reste que quelques heures, au mieux quelques jours à vivre.
L'ensemble de cette partie n'est pas très convaincant ni très cohérent. A mon avis, il faut que tu la reprennes en main et que tu supprimes tout bonnement l'intervention des gardes. Rien ne se justifie car tel que tu décris la ville, le roi n'est pas un homme cruel, ni dur. Si le garde a fait un abus de pouvoir, Norkhas ne se réveillera pas en prison mais dans un lit. Le garde, lui...
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_"Le bruit dune serrure en métal ce fit entendre." : tu abuses de la voix passive et c'est rédhibitoire dnas un roman. La voix passive s'emploie pour suggérer. Or, ici, on a des actions que Norkhas peut parfaitement voir. La clef tourne dans la serrure de sa cellule (puisque de la bouillie va y être déposée) et la porte va s'ouvrir et ce, par le fait d'un garde-chiourme. Il faut que tu passes cette phrase à la voix active et qu'une fois de plus, tu étayes ta description.
tu peines avec "ce" pronom démonstratif et "se" pronom personnel. C'est bien la porte qui se fait entendre donc, c'est "se" pronom personnel qui s'emploie ici. Tu fais très souvent l'erreur. Très souvent, lorsque tu as un doute, remplace "ce" par ceci. Si c'est possible, c'est bien le pronom démonstratif qui s'écrit "ce", sinon, c'est "se".
_"Suivit du grincement dune porte très lourde." : comme je te l'ai dit, une phrase doit comporter un verbe. Il faut que tu supprimes le point avant et que tu mettes une virgule, mais là on retombe dans une phrase à rallonge lourde à lire.
"Suivi" est un participe passé : pour savoir i tu mets "t", "d", ou rien, mais le au féminin. On ne dit pas : "elle a été suivite" mais bien "elle a été suivie" donc, "suivi" ne prend pas de "t" à la fin.
Pour le style, inverse "Porte" et "très lourde", ce sera plus parlant pour le lecteur.
_ "Une lumière entra dans la salle ou ce trouvait Norkhas." : ce n'est pas n'importe quelle lumière que Norkahs voit mais bien celle du couloir. Précise-le.
_ "la lumière lui procura une douce chaleur pendant quelque instant" : à la distance où il est, la lumière ne lui apporte qu'une chaleur morale. Le problème, c'est qu'il vient juste de se réveiller, il n' a donc pas eu le temps de désespérer comme le erait une personne captive depuis plusieurs jours, inconsciente du sort qui lui est réservé. a mon sens, tu devrais supprimer cette phrase.
On dira "quelques instants" et non "quelque instant"
_ "avant de disparaître pour la troisième fois." :
euh, pourquoi pour la troisième fois? Je te rappelle que les deux premières fois, il était inconscient. Si par là, tu essaies de suggérer qu'il est réveillé depuis longtemps, alors là, c'est une mauvbaise idée. Il faut que tu décrives ses sensations à partir du moment où il se réveille. Tu ne peux pas faire d'ellipse sur la période réveil en prison et troisième repas.
_"du bouilli dune substance odorante." : "bouillie" est féminin, ce sera "de la bouillie" et pas de la "bouillie d'une substance odorante" mais "de la bouillie odorante". En effet, tu tends à alourdir ta narration en renforçant les descriptions inutiles. Le lecteur se moque de la bouilllie, il préfèrerait voir à quoi ressemble le cachot.
_"Norkhas se doutait quil avait passé la journée en prison." : Aha! Donc il était bien inconscient, donc pas de porte qui s'ouvre pour la troisième fois!
_"Une simple journée et il nen pouvait déjà plus." : bah non, pour lui, il n' pas conscience de la journée donc, cela ne fait que "quelques minutes" (quelques minutes et il n'en pouvait déjà plus).
Citation :
Il avait des contusions partout, des bleus, du sang sécher sur le bord de la lèvre et il goûtait son odeur dans sa bouche. Il étais très amoché, avec quelque côte de casser. Personne navait prit la peine de le soigné.
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Ce passage est nul!
il ne goûte pas l'odeur du sang, à moins que Norkhas n'est un proche parent requin de son état (nan! nan! pas huissier mais bien requin animal
). "très amoché" : beurk, c'est du langage parlé et il a des côtes cassées et non des côtes de cassées. En plus, s'il n'est pas soigné, cela veut dire qu'il est traité plus bas que terre ce qui est incohérent à Disneyworld (pardon, je veux dire dans la cité où la population danse, chante et fait la fête 24h sur 24). Une remarque sur le réalisme : les côtes cassées transforme la respiration en véritable enfer, car chaque inspiration et chaque expiration fait pression sur les côtes, déplaçant les os cassés. De plus, une côte cassée peut entraîner une déchirure de la plèvre, atrocement douloureuse, ou une perforation des poumons, ce qui est mortel.
Je te suggère ceci :
"Norkhas était couvert de bleus. Les stigmates des coups reçus le faisaient beaucoup souffrir et lorsqu'il tenta de se relever une atroce douleur lui déchira la poitrine. Il devait avoir plusieurs côtes cassées, ce qui rendait sa respiration difficile. Ses geôliers n'avaient même pas daignés le soigner et il ne comprenait pas quel crime il avait pu commettre pour subir un pareil traitement."
Citation :
Dans sa souffrance, il sassit sur son lit. Face à lui, une personne enroulée dans une cape dont le capuchon masquait son visage, était étendue par terre. Son ventre se soulevait lentement et il semblait blessé lui aussi. Avec un effort accablant, Norkhas se pencha sur lui et approcha sa main pour soulever la capuche. Tout à coup, le bras de lhomme saisit son poignet à une vitesse incroyable, découvrant une main gris-noir tatouée dun glyphe magique sur son revers.
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J'ai corrigé les fautes d'orthographe et de style sur ce passage, mais je voulais surtout attirer ton attention sur le fait que si l'homme est encapuchonné, bref, complètement dissimulé, comment Norkhas peut-il voir qu'il est blessé.
_"Ne tavise surtout pas de me toucher. Siffla une voix étrange. Sinon je devrai te tuer et jen ai aucune envie. Tu nest pas mon ennemi et si tu ne veut pas le devenir retourne sur ton lit." : un peu caricatural, mais c'est un avis personnel. Le type est quanfd même en prison et pas en quartier de haute-sécurité donc en théorie, il n'est pas plus dangereux que Norkhas. De plus, le prisonnier ne connaît rien du héros alors il pourrait se montrer méfiant et non menaçant car il est incapable de présumer de la puissance de Norkhas.
"_ il léchappa" : euh, non! Il le laissa échapper.
"_Son poignet étais à nouveau correct." : ce n'est pas du français, ça! "Son poignet fonctionnait à nouveau correctement".
_"il sadossa au mur et ferma les yeux, dans le plus grand désespoir." : tiens! Il ne pleure pas! Et pourtant, voici l'archétype de situation où il pourrait pleurer : il ne comprend pas ce qui lui arrive, il est désemparé et il ne peut rien faire contre sa captivité. Là, il y a toutes les raisons pour qu'il pleure.
_"Ey
.mange un peu, sa te fera du bien." : "hey" plutôt que "ey" (et encore, c'est une onomatopée anglaise). "ça" et non pas "sa" puisque tu peux le remplacer par "cela". Supprime le "continua-t-il" puisqu'il y a déjà un "dit l'homme" dans la phrase.
_"Norkhas regarda le morceau, et le saisit sans poser de questions. En le saisissant" : répétition lourde.
_"À ce moment, une douleur brûlante se fit ressentir le long de son bras." : encore une voix passive : c'est affreux! écrit plutôt "il ressentit une brûlante douleur le long de son bras". C'est une voix active et c'est beaucoup plus agréable à lire.
_"il échappa son bout de pain." : Tu as l'air de faire cette faute plusieurs fois. Pour que ce que tu marques soit juste, il faut que tu écrives : "son bout de pain lui échappa" sinon, si tu veux que ce soit Norkhas qui soit actif et ce qui est, d'ailleurs, plus logique : "il laissa échapper son bout de pain".
_"Lhomme lui en déchira un autre morceau." : je pinaille : on ne déchire pas du pain mais du tissu ou du papier. Le pain, on le rompt.
_"Lui proposant à nouveau." C'est très lourd, je te propose une alternative :
"L'homme rompit un autre morceau de pain et lui proposa à nouveau"
_"tu peu mappeler Decayth." : pensons à l'avenir et au succès, si ton roman vient à être traduit, Decay (proche de Decayth) signifie : pourrissement, délabrement, vétusté. Choisis peut-être un autre nom... (En fait ça craint beaucoup moins que Serass
)
_"Autrefois!?
." : je ne vois pas pourquoi Norkhas dit cela, on peut dire "autrefois" sans être pour autant être âgé de 10000 ans. A mon avis, tu devrai supprimer cette réplique.
_"son grincement habituel" : pour qu'il soit habituel, routinier, il faudrait que Norkhas ait passé plusieurs mois enfermé. Pour l'instant, ce bruit doit toujours le faire sursauter, en toute logique. Supprime donc le "habituel".
_"Lhomme prit lapprenti par le bras, le jeta sur son épaule et fila dans le couloir, afin de se rendre à linfirmerie." :
ça, même pas en rêve! Un garde ne prendra jamais seul un prisonnier, même blessé, c'est trop dangereux. De plus, il faut au moins deux gardes car ils risquent d'aggraver les blessures du prisonnier, quel qu'il soit. Donc, il faut que tu mettes Norkhas sur un brancard porté par deux gardes.
La fin va à peu près.
Remarques générales:
_Pour la suite, il faut que tu supprimes la voix passive que tu utilises avec un peu trop de vigueur et qui dilue l'action car on ne sait pas ou plus qui fait quoi.
_L'orthographe et la syntaxe sont tout bonnement catastrophiques (fautes d'accords, de participe). Le premier chapitre a été un peu mieux travaillé que celui-là. Relis-toi bien lorsque tu as fini d'écrire, car, à mon avis, beaucoup de fautes sont des fautes d'étourderie et c'est démotivant pour le lecteur. Le travail de correction sera rude et long mais j'avoue que je suis un peu découragé à l'idée de corriger les fautes. Si une bonne âme voulait bien s'en charger...
_Ce chapitre comporte de nombreuses incohérences quant aux événements qui se produisent. Précise que le fait de parler à la princesse est passible de sanctions très graves (tu pourrais le faire dans le chapitre 1 lorsqu'il la rejoint, défiant ainsi une loi séculaire qui interdit au commun des manants de parler à une princesse royale sous peine des pires supplices). Toutefois, je pense que ce n'est pas ton idée de base : le garde commet une bavure qui prend des proportions tellement disproportionnées que cela en devient grotesque. Si j'étais toi, je mettrai la première partie à la poubelle et chercherais une autre idée pour que Norkhas se retrouve en taule. (ou du moins qu'il rencontre Decayth car il semble que ce soit le but de la manoeuvre!)
_Le personnage de Decayth est le premier personnage interessant de l'histoire car il faut avouer que ton héros est pour l'instant un tantinet insipide et il manque de personnalité. Un héros ne peut aps que subir et les injustices qui les frappent ont des limites.
_Je n'ai pas beaucoup commenté la fin, car je n'ai rien vu qui me fasse bondir sur mon siège
J'attends toutefois de lire la suite avec une impatience non dissimulée.
Très curieux, j'aimerai bien connaître ton âge.