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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°15108228
Amibe_R Na​rd
Posté le 06-06-2008 à 21:48:10  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Bonjour Kaskette
 

Citation :

la platrée de pâte : Est ce que c'est pas PLATEE que tu voulais dire.


  Bonjour Pedro445  :jap:  
 
  Je m'excuse de ma réponse tardive mais je te remercie beaucoup pour ta remarque : il est vrai, c'est bien "platée".  
Honte à moi  :sweat: [/quote]
 
Perso, j'aime bien plâtrée (même si le terme est platée), parce que ça donne un air peu appétissant aux pâtes, et explique pourquoi ton héroïne n'a pas commencé à manger. :)
 
 
 

Citation :


  Tu as raison. Il est vrai qu'en découpant la première phrase de cette manière, je suis bien moins susceptible de noyer mon lecteur :D  Je choisirai d'ailleurs la troisième formulation que tu proposais ^^
  En revanche, pour ce qui est d'insérer le nom du personnage, je préfère le faire lorsque son amie arrive à son niveau et l'interpelle par son prénom. Tu l'as d'ailleurs toi même proposé plus loin dans l'analyse. Jusqu'à ce moment précis, le texte se centre sur un point de vue subjectif du personnage.  


 
C'est ton choix, et choisir, c'est le devoir de l'auteur.
 
 

Citation :

Sans trop détailler le scénario, je présente ici une adolescente qualifiée de précoce. Que tu sois intrigué par son niveau de langue me réjouie d'un certain côté mais m'inquiète également. Est-ce qu'un lecteur lambda mettra facilement cette particularité de langage sur le dos d'un surdon ?


 
Tout peut se justifier dans un texte.
Si dans la suite du texte, tu nous expliques que Linda est surdouée, alors son langage, sa façon de parler, paraîtront "normal".
 

Citation :

 Entre parenthèses, je pense que l'un des problèmes que rencontrent les correcteurs, lorsqu'ils s'attaquent à des récits d'auteurs amateurs, est que le plus souvent l'auteur en question a bien du mal à accepter la critique :sweat: Comme il ne peut se permettre de la rejeter ouvertement sans risquer de décourager d'autres correcteurs potentiels, il avance comme argument que sa trame contredit toutes les objections faites sur le fond.
 
  Ainsi, il peut facilement sélectionner les critiques positives ou légèrement négatives de la correction :sweat: Je dis cela simplement pour t'assurer que ce n'est pas mon but, même si parfois ce que je dis peut y faire penser :sweat:  


 
Quand un auteur n'accepte pas la critique (je préfère le mot suggestion : je suggère, l'auteur dispose ;) ), il s'empêche de progresser.
 
Une suggestion (ou une critique) doit toujours être réfléchie.
 
Le lecteur a-t-il mal lu, lu vite, loupé une ligne. A-t-il compris autre chose ? A cause de son propre vécu, de sa propre expérience, etc. ?
 
Ou à cause d'un mot placé à un endroit, plutôt qu'à un autre.
Un mot qui l'entraîne sur une mauvaise piste.
Ça tient parfois à peu de choses d'égarer un lecteur  :)
 
 
Le plus intéressant, ce n'est pas la suggestion d'un lecteur, mais celles de plusieurs lecteurs.
 
Si un lecteur trébuche sur une phrase, mais pas les autres, le problème est sans doute mineur.
S'ils sont nombreux à buter sur un passage, à ne pas comprendre "comme il faut", alors le passage pose problème.
 
 

Citation :


  La question trouve une moitié de réponse lorsque Mya demande si son amie s'est à nouveau faite virer (de cours). Je me demande si c'est que l'indice n'est pas assez explicite ou si c'est seulement que tu n'y a pas fait attention.
 


 
Ça peut tenir des deux  :)
 
Au niveau de l'histoire, voilà comment je l'ai construite.
 
Au début, j'ai pensé que ton héroïne était une serveuse du self qui attendait les jeunes, et qu'elle avait des problèmes avec sa chef de service. ;)
 
Si elle serrait un cartable entre ses jambes, elle ne pourrait plus être une serveuse.
Ou alors, si elle était avec d'autres élèves, on comprendrait mieux... mais elle semble toute seule dans le réfectoire, avant l'arrivée de tout le monde. Bizarre ! Sauf si elle est serveuse.
 
Comme elle possède un langage riche, j'ai même imaginé qu'elle était là en stage.
C'est pourquoi je t'ai parlé d'une caisse.  
 
Ton héroïne ne semble pas non plus en colère, ni inquiète d'une sanction (punition ?), juste pensive.
Ceci, même si elle imagine un scénario pour se venger.
 
Jeune fille, c'est assez vague pour contenir une caissière ou une collégienne.
Voilà pourquoi j'ai mal lu le mot "virer", en final.
 
Cet élément pourrait, cependant, être éliminé par la quatrième de couverture, qui parlerait d'une collégienne surdouée en révolte  :)
Ou par l'image de la collection.
 
Ou alors si ton héroïne est plus montrée comme une collégienne dès le début. Cartable, c'est collégien ou lycéen, c'est une caractérisation du héros, qui donne en plus son âge. Tu lui rajoutes un T-shirt Pokémon, et on cible encore plus facilement son âge.
Les vêtements, les bijoux, etc.  en disent long sur une personne de roman.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

mood
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Posté le 06-06-2008 à 21:48:10  profilanswer
 

n°15109363
Amibe_R Na​rd
Posté le 06-06-2008 à 23:29:24  profilanswer
 

Salut Pedro
 
[quotemsg=15018271,1921,659281]Salut. Suite à un conseil, je poste donc le début de mon texte sur le forum. Merci, faîtes moi part de vos impressions, des fautes à corriger, des erreurs... Merci beaucoup.
Voici donc le prélude ainsi que le chapitre 1.  
 
La véritable légende de Peter et Rulian
 
Prélude :
 
Lorsque Philippe Quolère sortit de la Haute Tour du Grand Conseil Pompeux, l'horloge venait de sonner onze heures. Il était épuisé, comme chaque soir, mais ses hautes responsabilités au sein du clan des Pompeux l'empêchaient de rentrer plus tôt à son logis. Il portait sans doute aucun les plus lourdes responsabilités de son clan, il en était le plus sage et le plus éminent  
 
/sans doute aucun (entre virgule)
/
représentant.
Il descendit les escaliers de marbre blanc et s'engagea dans la Grand-Rue du Pompissîme, la plus importante de tout Morsmuth. Il marchait d'un pas sur et hardi, quand soudain, se  
 
/sûr
/
produisit un événement pour le moins incongru. Il s'aperçut qu'il était suivi par un être on ne peut plus étrange. Une bouteille de verre, haute d'un bon demi-mètre, dévalait la rue derrière lui, suivant une trajectoire on ne peut plus régulière.  
Philippe crut d'abord à une nouvelle farce des Bouseux, le clan ennemi, destinée à le ridiculiser, et fit mine de ne pas s'en soucier. Mais lorsque il bifurqua et qu'il entendit la  
 
/lorsqu'il
et entendit
/
bouteille ralentir pour amorcer son virage, il n'eut plus de doute. Cette chose était belle et bien enchantée.  
Il s'arrêta, se retourna calmement, et attendit. La bouteille tourna, puis, comme si elle avait compris, se redressa sur son culot, et se posta fièrement devant l'homme qu'elle suivait.
 
/Comme dans la plupart du reste du texte, je retrouve les adverbes en -ment.
Supprime-les tous, sans pitié.
 
Et relis le texte.
Tu verras que bien souvent, ils ne manquent pas.
 
Les bons auteurs n'en laissent qu'un seul par page (de 1500 caractères)
Et presque jamais deux à moins de dix lignes l'un de l'autre.
/
 
 
 A ce moment, le liquide qui la remplissait se mit à reluire d'éclats multicolores et la rue si  
 
/à luire
/
sombre jusqu'alors fut baignée d'une lumière chaude et bienfaisante, plus douce que celle de la lune et plus puissante que celle du soleil.
Philippe Quolère se croyait en plein rêve, et il se demanda s'il allait finir par se réveiller. Au lieu de cela, il vit l'étrange créature tourner sur elle même et exhiber une vieille étiquette  
 
/elle-même
/
jaunie par le temps. Et à la lumière des rayons, Philippe put lire cette chose étrange qui allait  
 
/Et, (virgule)
/
briser sa destinée, celle de sa citée et celle du monde habité tout entier :  
 
Le temps d'ouvrir à nouveau Les Sept Fontaines est arrivé
Trouve le Tire Bouchon
 
/Tire-Bouchon
/
 
Et rétablit l'Equilibre du Monde
 

Chapitre 1 - Peter, un pompeux pas comme les autres...

 
Lorsque Peter ouvrit les yeux ce matin là, il se dit : « l'absurde n'est pas une simple métaphore  
 
/matin-là
/
élevant l'âme vers ses plus cosmiques nimbes. » Et en refermant ses paupières lasses : « L'absurde, c'est bien plus! ». Il lança hasardeusement sa main vers le sol. Elle heurta un verre  
 
/il lança, au hasard, sa main
Ou alors sans l'adverbe
/
à moitié plein de whisky. Il s'en saisit, le porta à sa bouche et y but goulûment.  
 
/là, il est encore couché dans son lit
y but goulûment, avant de se lever.
/
 
Il posa son pied sur le sol. « Cogito ergo sum, je pense donc je suis » puis, après quelques secondes de paisibles pensées : « Ton père devait être un bandit de grands chemins... Il a volé toutes les étoiles des cieux pour les mettre dans tes yeux ». Il se saisit d'un petit calepin jaunâtre à la couverture vieillie et y inscrivit ses réflexions. « C'est ça que je lui dirai ! », Fit-il  
 
/dirai » fit  (pas de virgule et pas de majuscule)
/
l'air heureux en refermant bruyamment son petit livre.
 
/en refermant bruyamment = en claquant
en refermant d'un clap son petit livre
/
 
Il se leva rapidement, et tout s'emballa très vite. Ces pensées le ramenèrent, comme à chaque  
 
/rapidement est plus long que le très vite. C'est le défaut des adverbes en -ment, ils sont lents à lire et à dire.
 
Il se leva, et tout s'emballa très vite.
 
Les adverbes en -ment sont des éléphants dans ton magasin de porcelaine.
Il faut partir à la chasse, remplacer
/
 
fois, à son père disparu. Une fureur noire l'envahit tout d'un coup, et il se sentit perdre tout contrôle de sa personne. Ses yeux se révulsèrent, il poussa un cri sourd, se sentit tomber à la renverse et perdit connaissance. Tous ses membres se contractèrent violemment puis se muèrent dans toutes les directions sans aucune logique.  
 
/muèrent ? (du verbe muer ?)
se murent
 
Tous ses membres se contractèrent, se gonflèrent de sang, puis s'agitèrent en tous sens, dans la plus totale anarchie.
 
Tous ses membres se contractèrent, se gonflèrent d'un sang douloureux, puis s'agitèrent en tous sens, dans la plus totale anarchie.
 
A toi de jouer avec les mots.
/
 
La crise cessa rapidement. Lorsqu'il se releva, il était toujours seul. Il se regarda dans une  
 
/retour du rapidement  :)
/
glace. « Je suis en train de devenir fou, pensa t il. »
 
/pensa-t-il (des tirets pour raccroche les wagons verbe sujet, le t est là pour éviter le choc des deux voyelles pensa-il)
/
 
Il se leva promptement et se dirigea vers l'urinoir tout proche dans lequel il se soulagea  
 
/il se lève beaucoup
là il se relève (promptement, c'est peut-être vite dit :) )
il se traîna vers l'urinoir  
/
 
longuement. Il trempa ses mains dans une petite bassine d'eau, se nettoya vigoureusement la  
 
/se nettoya vigoureusement = se frictionna/se décrassa  ou se nettoya tout court
/
frimousse et s'habilla. Ses habits étaient déjà prêts, bien disposés sur sa table de nuit. Pour cette journée de rentrée, sa mère lui avait offert un costume neuf en velours bleu, sur lequel elle avait joliment brodé ses initiales : P-Q. Il le passa et alla se contempler dans la glace. « Beau gosse, pensa t il. Avec ça, je vais toutes les faire craquer... » Il enfila ses chaussures de  
 
/pensa-t-il
/
 
cuir qu'il avait soigneusement ciré la veille, noua ses lacets puis s'éclipsa discrètement derrière une petite porte qui s'ouvrait sur un petit escalier de pierres grises.
 Peter vivait dans une luxueuse Villa des Hauts Faubourgs de Morsmuth. C'était un véritable manoir, construit sur des colombages, avec de nombreuses pièces richement décorées et des couloirs interminables. On montait à l'étage par un grand escalier de marbre blanc dont les rampes de bois étaient joliment sculptées. La chambre de Peter était spacieuse et confortable. Il possédait un grand lit a Baldaquin avec d'épais rideaux bleus. Près de la fenêtre, on avait  
 
/à baldaquin  
/
disposé un large bureau taillé dans le cèdre sur lequel ne demeurait qu'une grosse bougie de cire blanche, dans laquelle Peter se plaisait à sculpter le visage de sa bien aimée.  
 
/répétition du mot sculpter
rampes de bois étaient ciselées avec soin (plus haut, on élimine joliment)
rampes de bois étaient ciselées dans le plus pur style gothique.
rampes de bois étaient ciselées en gothique flamboyant.
Cependant, à voir si la sonorité est bonne.
 
On peut préférer se plaisait à tracer le visage de sa bien aimée.
/
 
 
A part cela, la pièce était sobre, sans choses superflues, et tout était parfaitement en ordre.
 
/choses = premier jet
sans éléments superflues
/
 
Mais le plus important pour Peter, c'était cette petite porte qu'il venait d'emprunter et qui menait à son laboratoire. L'escalier en colimaçon montait dans une petite tour accrochée à la toiture, et s'achevait sur un plancher craquant et vermoulu. La pièce, toute ronde et au plafond bas, n'était éclairée que par une maigre fenêtre, ce qui laissait à Peter tout le loisir de travailler dans l'intimité. Il ne supportait pas que quiconque entre dans cette pièce, et il l'avait bien signifié à tous les domestiques, ainsi qu'à sa mère. Une grande pancarte était d'ailleurs clouée à la porte d'entrée sur laquelle il avait gravé : DEFENSE D'ENTREE. DANGER DE MORT, suivi d'un délicieux crâne de pirate.
C'était là qu'il menait toutes ses expériences et qu'il fabriquait l'alcool qu'il appréciait tant. Sur son établi, toujours bien en ordre, il y avait des centaines de petits flacons aux couleurs étranges, des récipients de formes bizarroïdes, des ballons, des filtres papiers, une balance, des sabliers, un brûleur, toute une collection de bouchons de liège... Sur une petite étagère, étaient disposés tout un tas de vieux manuscrits dans lesquels Peter avait rajouté nombre de notes et de corrections. Il disposait d'ingrédients aussi nombreux qu'exotiques : une perle  
 
/répétition de disposer
 
traînaient tout un tas
dormaient tout un tas  (dans les deux cas, on caractérise le personnage : traînaient, => Peter est négligent, dormaient => Peter les a lus et ne s'en sert plus)
Attendaient tout un tas, renâclaient tout un tas, soupiraient tout un tas
 
Avec un verbe actif on dit plus qu'avec le simple étaient.
Mais des fois, étaient est bien aussi... quand il ne s'en trouve pas trop les uns derrière les autres :)  
/
 
noire, de l'huile de palme, une sélénite, de l'annelle, de la résine de baobab, qu'il savait utiliser avec parcimonie pour donner à ses breuvages des propriétés extraordinaires.
Peter s'assura que tout était bien en place, vérifia le contenu d'un bocal en en touillant le contenu. Après en avoir humé l'odeur, il se saisit d'une pincée de poudre d'Elemnia qu'il rajouta dans la concoction, puis regagna sa chambre. Il se contempla une nouvelle fois devant  
 
/concoction ou décoction ?
/
sa glace, puis sorti tout fringant, l'air satisfait.  
 
/sortit
/
 
Il descendit les longs escaliers, salua nonchalamment Greta, la domestique, et se rendit à la cuisine d'où se dégageait une odeur de pommes et de café bien chaud. Il embrassa tendrement  
 
/d'où sortait (?)
/
sa mère et prit place à table.  
- Bonjour mon tout beau. Tu as eu un petit souci en te levant ce matin ? J’ai cru entendre un cri bizarre. Tu ne t’es pas fais mal j’espère ?
- Non, non, mère, balbutia Peter un peu gêné. Tout va bien.
- La nuit a été bonne mon chéri ?  
- Très bonne, mère, je vous remercie. J'ai fait des rêves extraordinaires. J'étais un preux chevalier, et je sauvais tous les bons pompeux de Morsmuth.  
- Oh ! Mon petit Peter. Quel rêve magnifique ! Lui répondit sa mère en lui glissant un baiser.  
 
/lui répondit (pas de majuscule dans les dialogues, pour indiquer qui parle, sinon on pense que c'est une phrase dite par le personnage.
/
J'espère qu'un jour, tu réaliseras tous ces beaux projets.  
Elle lui servit une tasse de café, et posa dans son assiette une part toute chaude de tarte aux pommes. Peter en raffolait. Il en engloutit trois grosses parts.  
- Mange bien, mon petit, tu en auras besoin aujourd'hui, lui dit-elle en passant ses mains dans ses cheveux. Une dure journée t'attend! »  
Elle ne croyait pas si bien dire. Car en cette belle matinée de septembre, Peter allait recevoir autant de coups qu'il en avait reçu de toute sa vie.  
 
/dans toute sa vie
/
 
Elle s'assit quelques instants auprès de son bon garçon, lui prit la main, et ils discutèrent quelques minutes. Hermine, la mère de Peter, était une femme dans la force de l'âge, qui gardait une beauté toute sauvage. Mais on la sentait accablée et pleine d'une fatigue triste. La vie ne l'avait pas épargné, racontait-elle souvent, et l'avait chargé de biens lourds fardeaux.  
 
/épargnée
chargée
/
Mais elle avait su trouver les forces pour continuer à vivre. Son petit Peter, c'était tout ce qu'il lui restait ici, et elle aurait tout fait pour lui, tout donné, tout laissé.  
Puis, Peter se leva et gagna le hall. Il ajusta une dernière fois son col, passa sa cravate, et enfila sa veste, recouverte de laine de mouton.  
- Quel beau p'tit bout d'homme! Dit sa mère en lui passant un dernier coup de peigne. Un bien beau pompeux...»  
Il lui souri, l'embrassa et sortit.  
 
/sourit
/
 
Peter avait quinze ans. C'était un beau et jeune pompeux qui habitait la grande citée de Morsmuth-la-Vieille. Etudiant très doué, ses professeurs ne cessaient de la congratuler et de le pousser à embrasser une brillante carrière.
 
/Si tu commences par
Etudiant très doué, (alors la phrase n'est pas finie, car on attend la suite à ce "Etudiant très doué", sinon on a là un changement de sujet. On part sur Peter, mais le sujet de la phrase est "les professeurs"
 
de le congratuler
 
Ses professeurs ne cessaient de le congratuler et de le pousser à embrasser une brillante carrière, tant il était doué.
/
 
 
 Tout le monde le voyait bientôt dans les hautes sphères du pouvoir, grand mage ou architecte de renom. Il avait déjà trois ans d'avance sur ses camarades et entrait cette année en PrimoMathos option carré magique.  
Il traversa les jardins, salua poliment Berte, la jardinière, et s'engagea sur la Grand Rue du Pompissîme en passant sous un grand porche. Lionel, son domestique personnel, lui ouvrit le portail en lui souhaitant une bonne journée. Leur cocher Roberto, un grand homme maigre, l'attendait assis sur leur diligence en tortillant les deux mèches de sa moustache.  
Peter grimpa les marches et prit place dans la cabine. Il s'installa confortablement sur la banquette, à côté du hublot.
    Peter se mit à contempler cette magnifique avenue. La rue était nettoyée trois fois chaque  
 
/trois fois par jour
/
jour, les haies toujours bien entretenues, et des fleurs venaient en colorer les places. Cet endroit respirait la pureté et les pompeux de tout le pays se pressaient pour venir en admirer la splendeur.  
Il contempla avec émerveillement ce fleuron d'architecture pompeuse. Comme chaque fois qu'il partait de chez lui, il se sentait fier d'habiter ce si beau et riche quartier.  
Il en aimait la rigueur toute mathématique. Tout y était droit, rangé, sans écarts. Les plus grands monuments de Morsmuth y étaient construits : la grande bourse, la bibliothèque blanche, la tour du grand conseil...
Roberto fit claquer ses fouets et héla les chevaux. Le carrosse bringueballa et se mit  
 
/ bringuebala
/
doucement en route. Il poursuivit l'avenue quelque temps puis s'engagea sur la gauche, vers  
 
/sur l'avenue
puis s'engagea à gauche
/
l'école. La circulation était bien souvent dense, les matins de semaine, mais en ce jour de rentrée, c'était particulièrement le cas.  
 
/supprime bien souvent  (en disant bien souvent, tu indiques déjà le contraire dans la suite de la phrase, or là, ce n'est pas le contraire, c'est tout à fait le cas)
 
La circulation était dense les matins de semaine, mais en ce jour de rentrée, c'était particulièrement le cas.
/
 
 
Heureusement, Roberto avait jadis été un pilote renommé de « stock Carrosse ». Ce sport, peu connu à Morsmuth, connaissait ses heures glorieuses au Royaume des Nuages, un pays lointain d'où était originaire le cocher de Peter. Il connaissait les rues de la ville comme sa poche, et parvenait à l'accompagner à l'école en des temps records.  
Après moult virages et quelques hauts le cœur, Peter reconnut la rue des écoliers. De loin, derrière quatre jolies pompeuses qui criaient son nom, il reconnut ses amis : Edouard de Bauvois, Augustus dit « Coquelet », Charles von der Bruchte... Ils étaient tous là, attendant leur chef avec respect. Il scruta la cour de récréation à la recherche d'une autre personne. Mais son cœur ne s'illumina pas.  
Le carrosse ralentit et finit par stopper. Roberto descendit et vint ouvrir la portière à son petit maître. Lorsqu'elle s'ouvrit sur Peter, les cris redoublèrent d'intensité. Peter descendit les marches du carrosse avec l'aisance et la majesté d'un roi, s'avança, serra respectueusement la main de ses camarades en répétant à chaque fois : Respect Robustesse. Il regarda avec dédain et indifférence les quatre petites pompeuses qui étaient venu l'attendre. Il franchit les hautes grilles de l'entrée et gagna sa classe, entouré de ses plus proches lieutenants.  
- Bon les gars, j’ai vraiment besoin de me défouler ce matin. Venez avec moi, on va se trouver un bon petit bouseux avant de rentrer en classe ! Chuchota Peter à Edouard et Augustus.
 
/chuchota
 
 
 
Sinon, l'idée est bonne, le décor aussi et c'est bien écrit.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°15123983
tinkywinky
Posté le 08-06-2008 à 23:15:10  profilanswer
 

Question un peu en marge du topic : quel est le cheminement pour être pigiste ? Est-ce réservé à des profils purement littéraires ou à des journalistes ?  
 
Je pose la question un peu naïvement, d'avantage par culture plutôt que par réelle prétention personnelle.

n°15124460
BoraBora
Dilettante
Posté le 09-06-2008 à 00:04:26  profilanswer
 

cockeen a écrit :

bon je poste mon début revu et remanié suite a mes discussions ici


Sans rentrer dans le détail des maladresses de style (je laisse ce soin à Amibe_R Nard qui le fera bien mieux que moi) : le côté énumératif avec retour à la ligne toutes les deux phrases évoque plus une fiche de personnage qu'un début de roman. Le fait que l'écriture n'ait aucun relief n'arrange rien.  :sweat:
 

Citation :

Je m’appelle Emma, je ne sais pas d’où me vient ce prénom terrible à porter mais je le porte depuis maintenant trente ans.


 
Cette phrase est assez incompréhensible. Tout le monde peut savoir s'où vient son prénom : il suffit de demander à un de ses parents. Et dans 99% des cas à notre époque, la réponse est simplement "parce qu'on aimait bien ce prénom". L'autre possibilité, devenue rare, étant que ce soit le prénom d'une grand-mère ou autre aïeule. Mais dans tous les cas, arriver à 30 ans sans savoir d'oû vient son prénom est assez étrange.
 
Par ailleurs, le "prénom terrible à porter" est assez hermétique. C'est une allusion à Emma Bovary ? :??: Ou au fait que c'est le prénom le plus répandu actuellement chez les filles, donc trop banal pour te distinguer ? Dans tous les cas, ça fait très mélo.
 

tinkywinky a écrit :

Question un peu en marge du topic : quel est le cheminement pour être pigiste ? Est-ce réservé à des profils purement littéraires ou à des journalistes ?  
 
Je pose la question un peu naïvement, d'avantage par culture plutôt que par réelle prétention personnelle.


Pigiste, c'est juste un statut professionnel, pas un métier. Tu peux écrire des piges sur la BD érotique ou les relations diplomatiques en Asie. Donc ta question est très très vague. :o  
 
Qu'est-ce que tu appelles un profil "purement littéraire" ?  :??:


---------------
Qui peut le moins peut le moins.
n°15126953
pedro445
Posté le 09-06-2008 à 11:52:47  profilanswer
 

Salut Amibe Ernard
 
Simplement pour te remercier de ta lecture et de tes corrections. Je prendrais tout ca en compte.  
Est-ce que globalement le texte donne envie de continuer ?
Est ce que tu ne penses pas que ca soit un peu lent à venir, je veux dire la quète première ? J'ai des fois l'impression que je m'attarde beaucoup sur les deux personnages principaux, mais que le scénario est un peu lent à démarrer.
A plus  
Pedro

n°15133141
kastette
Posté le 09-06-2008 à 20:44:35  profilanswer
 


  Bonjour Amibe_R Nard  :jap:  
 
 
 

Citation :


Tout peut se justifier dans un texte.
Si dans la suite du texte, tu nous expliques que Linda est surdouée, alors son langage, sa façon de parler, paraîtront "normal".


 
  Je vois, je dois donc simplement m'efforcer de rendre le tout crédible.
 
 

Citation :

Le plus intéressant, ce n'est pas la suggestion d'un lecteur, mais celles de plusieurs lecteurs.
 
Si un lecteur trébuche sur une phrase, mais pas les autres, le problème est sans doute mineur.
S'ils sont nombreux à buter sur un passage, à ne pas comprendre "comme il faut", alors le passage pose problème.


 
  Le seul ennui est que les correcteurs bénévoles sont rares :sweat: Tu me dira, ça ne rend que plus précieux leurs commentaires ^^
 

Citation :

Au début, j'ai pensé que ton héroïne était une serveuse du self qui attendait les jeunes, et qu'elle avait des problèmes avec sa chef de service. ;)


 
  Euh en effet... Il est clair que le texte a un soucis :sweat:  Je crois que tu es le premier à me le faire remarquer mais c'est loin d'être aberrant.  
 

Citation :

Si elle serrait un cartable entre ses jambes, elle ne pourrait plus être une serveuse.
Ou alors, si elle était avec d'autres élèves, on comprendrait mieux... mais elle semble toute seule dans le réfectoire, avant l'arrivée de tout le monde. Bizarre ! Sauf si elle est serveuse.


 
  J'avoue que le simple fait de mentionner un cartable balayerai les doutes. Je n'y avais pas du tout pensé, d'autant que je n'avais pas envisagé ce problème ^^ Merci.
 

Citation :

Comme elle possède un langage riche, j'ai même imaginé qu'elle était là en stage.
C'est pourquoi je t'ai parlé d'une caisse.  
 
Ton héroïne ne semble pas non plus en colère, ni inquiète d'une sanction (punition ?), juste pensive.
Ceci, même si elle imagine un scénario pour se venger.


 
  En plus, avec le profil atypique de Linda, c'est vrai qu'il est facile de lui attribuer un autre statut que celui de collégienne. Mieux vaut que j'expose bien  sa situation dès le départ ^^'  
  Je pense par contre me limiter à l'ajout du sac. Son langage et son calme face à la sanction sont indissociables du personnage :)  
 

Citation :

Cet élément pourrait, cependant, être éliminé par la quatrième de couverture, qui parlerait d'une collégienne surdouée en révolte  :)
Ou par l'image de la collection.


 
  A vrai dire, je considère ne pas avoir le droit de m'appuyer là-dessus ^^ D'autant qu'à l'heure actuelle, une quatrième de couverture implique un roman terminé... Ce qui est loin d'être le cas ^^ Je préfère ne pas avoir à attendre pour que le lecteur comprenne le texte :sweat:  
 
  Encore une fois merci de m'avoir fait remarquer ces détails et au plaisir de recevoir à nouveau tes conseils :jap:  

n°15133469
cockeen
Posté le 09-06-2008 à 21:05:03  profilanswer
 

BoraBora a écrit :


Sans rentrer dans le détail des maladresses de style (je laisse ce soin à Amibe_R Nard qui le fera bien mieux que moi) : le côté énumératif avec retour à la ligne toutes les deux phrases évoque plus une fiche de personnage qu'un début de roman. Le fait que l'écriture n'ait aucun relief n'arrange rien.  :sweat:
 

Citation :

Je m’appelle Emma, je ne sais pas d’où me vient ce prénom terrible à porter mais je le porte depuis maintenant trente ans.


 
Cette phrase est assez incompréhensible. Tout le monde peut savoir s'où vient son prénom : il suffit de demander à un de ses parents. Et dans 99% des cas à notre époque, la réponse est simplement "parce qu'on aimait bien ce prénom". L'autre possibilité, devenue rare, étant que ce soit le prénom d'une grand-mère ou autre aïeule. Mais dans tous les cas, arriver à 30 ans sans savoir d'oû vient son prénom est assez étrange.
 
Par ailleurs, le "prénom terrible à porter" est assez hermétique. C'est une allusion à Emma Bovary ? :??: Ou au fait que c'est le prénom le plus répandu actuellement chez les filles, donc trop banal pour te distinguer ? Dans tous les cas, ça fait très mélo.
 


 
 
En tout cas merci. J'ai pris une sacrée claque car j'avais déjà posté ici et justement l'amib avait fait qq remarques, j'ai donc remanié mon début et visiblement pas top quoi.
 
Bref qu'est ce qu'une écriture sans relief?
 
Et qu'est ce qui fait mélo? Est ce une tare le mélo ou un style qui ne te plait pas vraiment?
 
Merci de toutes ces critiques qui me feront avancer. Le truc c'est qu'un ton un peu plus aimable aide un peu a faire passer la pilule.  ;)  

Message cité 1 fois
Message édité par cockeen le 09-06-2008 à 22:44:26
n°15136625
BoraBora
Dilettante
Posté le 10-06-2008 à 00:00:31  profilanswer
 

cockeen a écrit :

En tout cas merci. J'ai pris une sacrée claque car j'avais déjà posté ici et justement l'amib avait fait qq remarques, j'ai donc remanié mon début et visiblement pas top quoi.
 
Bref qu'est ce qu'une écriture sans relief?


Tu as effacé ton post ? A quoi tu joues ?  :heink:

Citation :

Et qu'est ce qui fait mélo? Est ce une tare le mélo ou un style qui ne te plait pas vraiment?


Mélo = mélodramatique. Parler d'un "prénom terrible à porter" pour Emma, prénom archi-banal et des plus répandus en France (et même le plus populaire depuis cette année), cela amène à se demander quel genre de cinéma se fait le personnage qui dit cette phrase. [:spamafoote] Si c'était un personnage masculin et qu'il s'appelait Adolf, on pourrait comprendre. Tandis que là, on se pose des questions. Auxquelles d'ailleurs tu ne daignes pas répondre.
 
Et ça sonne d'autant plus mélodramatique que le reste de ton texte suggère plutôt une nana sans relief, geignarde, bref peu encline à des envolées de ce type.
 
En gros, la forme de ces quelques lignes évoque de la chick-lit' (littéralement : "littérature de gonzesse" ) : des jérémiades de nana ordinaire déversées dans un journal. Mais le succès phénoménal de la chick-lit' depuis Bridget Jones vient d'un équilibre entre dérisoire et auto-dérision. Là, il manque l'auto-dérision. Un peu (beaucoup) d'humour, quoi. Inversement, si ton intention n'est pas de donner dans la chick-lit', il manque un vrai sens du drame, du tragique, ou n'importe quoi qui sorte un peu des tripes. Là, ça ressemble juste à un CV de nana complexée écrit pour Meetic.
 
Je suis sûr que l'ami Bernard ne manquera pas de te donner des conseils pour rentrer directement dans le sujet, et le faire de manière plus vivante. Lis-le attentivement, ses conseils sont toujours bons (y compris s'il te dit de ne pas faire attention à mes propres remarques  ;) ).
 

Citation :

Merci de toutes ces critiques qui me feront avancer. Le truc c'est qu'un ton un peu plus aimable aide un peu a faire passer la pilule. ;)


Le truc, c'est que ça marche dans les deux sens et que ton attitude sur ce topic depuis ton arrivée n'incite pas à te passer de la pommade. Surtout quand ce n'est pas justifié. ;)


---------------
Qui peut le moins peut le moins.
n°15139080
cockeen
Posté le 10-06-2008 à 11:11:27  profilanswer
 

BoraBora a écrit :


Tu as effacé ton post ? A quoi tu joues ?  :heink:

Citation :

Et qu'est ce qui fait mélo? Est ce une tare le mélo ou un style qui ne te plait pas vraiment?


Mélo = mélodramatique. Parler d'un "prénom terrible à porter" pour Emma, prénom archi-banal et des plus répandus en France (et même le plus populaire depuis cette année), cela amène à se demander quel genre de cinéma se fait le personnage qui dit cette phrase. [:spamafoote] Si c'était un personnage masculin et qu'il s'appelait Adolf, on pourrait comprendre. Tandis que là, on se pose des questions. Auxquelles d'ailleurs tu ne daignes pas répondre.
 
Et ça sonne d'autant plus mélodramatique que le reste de ton texte suggère plutôt une nana sans relief, geignarde, bref peu encline à des envolées de ce type.
 
En gros, la forme de ces quelques lignes évoque de la chick-lit' (littéralement : "littérature de gonzesse" ) : des jérémiades de nana ordinaire déversées dans un journal. Mais le succès phénoménal de la chick-lit' depuis Bridget Jones vient d'un équilibre entre dérisoire et auto-dérision. Là, il manque l'auto-dérision. Un peu (beaucoup) d'humour, quoi. Inversement, si ton intention n'est pas de donner dans la chick-lit', il manque un vrai sens du drame, du tragique, ou n'importe quoi qui sorte un peu des tripes. Là, ça ressemble juste à un CV de nana complexée écrit pour Meetic.
 
:lol:  :lol:  :lol: (désolée mais c'etait vraiment drole et pour le coup cela me donne des idées)
 
Je suis sûr que l'ami Bernard ne manquera pas de te donner des conseils pour rentrer directement dans le sujet, et le faire de manière plus vivante. Lis-le attentivement, ses conseils sont toujours bons (y compris s'il te dit de ne pas faire attention à mes propres remarques  ;) ).
 

Citation :

Merci de toutes ces critiques qui me feront avancer. Le truc c'est qu'un ton un peu plus aimable aide un peu a faire passer la pilule. ;)


Le truc, c'est que ça marche dans les deux sens et que ton attitude sur ce topic depuis ton arrivée n'incite pas à te passer de la pommade. Surtout quand ce n'est pas justifié. ;)


 
Je ne sais pas sur quoi tu te bases pour sortir ca, mais bon ma remarque concernant le ton de tes critiques a été pltutot lue.
 
Merci encore pour toutes ces remarques. Et puis je ne joue a rien, je n'aime pas que mes écrits trainent sur un forum de discussion, voila pourquoi  j'efface et j'édite.
 
 
 
 

n°15144439
Vidoc123
Posté le 10-06-2008 à 18:33:22  profilanswer
 

Salut mistyca 3...Bon écoute si tu veux on peut s'aider mutuelement..Mon premier roman a était refuser par albin michel a 1vote prés...Le deuxième ,je suis en trein de le terminer..je pense être éditer cette fois...Voici mon adresse email...christophe0013@hotmail.com ps tu as un potentiel c'est sur!!Ne regarde pas les fautes d'orthographe dans un premier temps ok...tu fais des phrases trops longue;Mais une virgule et suprime tous les (et) (est)écrit moi on discutes entre écrivains!!!

mood
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Posté le 10-06-2008 à 18:33:22  profilanswer
 

n°15145030
BoraBora
Dilettante
Posté le 10-06-2008 à 19:35:44  profilanswer
 

Vidoc123 a écrit :

Salut mistyca 3...Bon écoute si tu veux on peut s'aider mutuelement..Mon premier roman a était refuser par albin michel a 1vote prés...Le deuxième ,je suis en trein de le terminer..je pense être éditer cette fois...Voici mon adresse email...christophe0013@hotmail.com ps tu as un potentiel c'est sur!!Ne regarde pas les fautes d'orthographe dans un premier temps ok...tu fais des phrases trops longue;Mais une virgule et suprime tous les (et) (est)écrit moi on discutes entre écrivains!!!


 [:neokill@h]
 


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Qui peut le moins peut le moins.
n°15151514
tinkywinky
Posté le 11-06-2008 à 11:31:15  profilanswer
 

Vidoc123 a écrit :

Salut mistyca 3...Bon écoute si tu veux on peut s'aider mutuelement..Mon premier roman a était refuser par albin michel a 1vote prés...Le deuxième ,je suis en trein de le terminer..je pense être éditer cette fois...Voici mon adresse email...christophe0013@hotmail.com ps tu as un potentiel c'est sur!!Ne regarde pas les fautes d'orthographe dans un premier temps ok...tu fais des phrases trops longue;Mais une virgule et suprime tous les (et) (est)écrit moi on discutes entre écrivains!!!

Tu m'étonnes !  

n°15152179
BoraBora
Dilettante
Posté le 11-06-2008 à 12:41:15  profilanswer
 

tinkywinky a écrit :

Tu m'étonnes !  


S'il n'y avait que ce que tu as mis en gras.  :whistle: Dans le genre gros fake plan drague, j'ai rarement vu pire.  [:aras qui rit]


---------------
Qui peut le moins peut le moins.
n°15153116
le_fouineu​x
NF, F, NS, NC
Posté le 11-06-2008 à 14:15:42  profilanswer
 

Amibe_R Nard a écrit :

Salut Pedro
 
[quotemsg=15018271,1921,659281]Salut. Suite à un conseil, je poste donc le début de mon texte sur le forum. Merci, faîtes moi part de vos impressions, des fautes à corriger, des erreurs... Merci beaucoup.
Voici donc le prélude ainsi que le chapitre 1.  
(...)
Sinon, l'idée est bonne, le décor aussi et c'est bien écrit.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard


 :jap:  Grande classe :jap:  
Je dis merci aussi parce que c'est toujours un plaisir de voir qu'il existe de bons Samaritains, qui prennent la peine de rectifier sans humilier. Les aspirants romanciers ne doivent pas se laisser décourager par les fâcheux. La politesse ne coûte rien, mais certains en sont très économes.
 :o  Voltaire disait :  :o  
"Rien n'est plus aisé à faire qu'un mauvais livre, si ce n'est une mauvaise critique."


---------------
La gravité est la dignité des imbéciles.
n°15160738
Amibe_R Na​rd
Posté le 11-06-2008 à 23:11:36  profilanswer
 

Salut
 
Le cheminement pour être pigiste :
 
- Etre curieux
- Savoir écrire de manière journalistique
(Le plus intéressant d'abord, le reste ensuite)
premières idées ici : http://www.jeunesreporters.org/doc [...] riture.pdf
recherche sur un moteur : ecriture journalistique
 
- Trouver le bon angle pour son article
(en réalité, trouver plusieurs angles pour un même sujet. Ce qui permet de proposer ses piges à plusieurs journaux suivant l'orientation de chacun d'eux. Et donc de ne pas écrire pour des prunes.)
 
Et comme on ne met pas la charrue avant les boeufs. On cherche d'abord à bien connaître ses journaux cibles (la façon d'écrire pour eux), leur public, etc.  (Bref, on copie la forme de leurs articles = on apprend les tours maisons)
 
Et on se renseigne encore sur la manière dont ils traitent les pigistes (et surtout si la rémunération est bien au rendez-vous)... en contactant ceux qui travaillent pour eux (les noms des journalistes apparaissent, il y a ceux qui sont "maisons", c'est-à-dire dans les locaux et... les pigistes)
 
 
On peut se faire les dents pour des journaux/sites Web.
Histoire d'avoir un CV de pigiste à montrer pour être "embauché"
 
 
Pour aller plus loin.
On consultera aussi (en bibliothèque)
Libérer son écriture et enrichir son style de Pascal Perrat  ISBN: 2908056399
 
Et d'autres ouvrages sur le journalisme et l'écriture journalistique.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°15160842
ze_nono
I'm trying to stay cool
Posté le 11-06-2008 à 23:18:41  profilanswer
 

Vidoc123 a écrit :

Salut mistyca 3...Bon écoute si tu veux on peut s'aider mutuelement..Mon premier roman a était refuser par albin michel a 1vote prés...Le deuxième ,je suis en trein de le terminer..je pense être éditer cette fois...Voici mon adresse email...christophe0013@hotmail.com ps tu as un potentiel c'est sur!!Ne regarde pas les fautes d'orthographe dans un premier temps ok...tu fais des phrases trops longue;Mais une virgule et suprime tous les (et) (est)écrit moi on discutes entre écrivains!!!


 
http://www.kreativekorp.com/miscpages/omgwtfbbq/roflcopter.gif

n°15160952
Amibe_R Na​rd
Posté le 11-06-2008 à 23:29:18  profilanswer
 

Salut Pedro
 
S'attarder n'est pas un problème pour le premier jet.
Lors des révisions, on peut écraser et simplifier le début d'un texte pour lui donner du dynamisme... :)
 
Voire même placer un chapitre plus loin dans le texte en premier (en pleine scène d'action par exemple), avant de revenir au début du premier jet pour "expliquer" le pourquoi du comment.
 
Un premier jet c'est comme un premier marathon. C'est difficile, on va peut-être lentement au début, on prend son temps, on a les muscles douloureux...
Mais c'est de l'entraînement !
 
Le texte, comme la distance du marathon, on va le reparcourir plusieurs fois... et là, on va trouver des raccourcis. Au lieu de galérer dans le marais, on va passer sur le pont ! Au kilomètre trente-deux, on aura un bâton pour foutre sur la gueule du clébard qui vous a dévoré le short la première fois. :)
 
Le lecteur, lui, ne verra que la dernière course. Là où le coureur est au mieux de sa forme, sur un terrain bien connu et parfaitement maîtrisé.
 
 
Pour l'instant, j'ai lu plusieurs idées intéressantes.
Continue !  
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°15161091
pedro445
Posté le 11-06-2008 à 23:47:40  profilanswer
 

Salut Ami Bernard
 
Je me rend compte que c'est un véritable marathon, l'écriture. J'ai même pas écrit deux chapitres et ca fait deux jours que je le corrige... sans avancer dans la suite...  
En tous les cas, je prends note.
Et toi, tu écris aussi des textes ? Ca m'interresserait de te lire.
Au cas ou tu aurais le temps ( il y en a d'autres qui attendent derrière moi ) je te file le lien pour les corrections de mon histoire. Quasiment plus d'adverbes ! C est un pdf sur la page d acceuil, tu peux pas le louper.
Merci encore, a plus.
 
http://peter.rulian.googlepages.com/home
 
Pedro


Message édité par pedro445 le 11-06-2008 à 23:49:42
n°15161625
Amibe_R Na​rd
Posté le 12-06-2008 à 01:15:45  profilanswer
 


Salut Sledg
 
 
Premières remarques qui m'ont sauté aux yeux:
 
Des phrases looooongues !
:)
 
Trop looooongues !
Ce qui fait que l'on ne comprend pas ce qui est important dans le texte.
 
Le trop plein de mots noie le lecteur.
 
 
>La charrette entrainée par les deux vigoureux chevaux avançait en suivant le chemin difforme tracé à travers la plaine par les nombreuses générations de voyageurs qui l’avait parcouru auparavant.  
 
Que voit-on ?
 
Une charrette
Deux vigoureux chevaux
Un chemin
Tracé sur une plaine
Par de nombreuses générations de voyageurs
 
 
On est parti d'une charrette, on se retrouve sur des générations de voyageurs.
 
Au niveau d'une caméra, on a fait l'équivalent d'un zoom arrière.
Là, on est au niveau du satellite. Et même du satellite temporel.
 
29 mots.
C'est également trop long. Tu veux trop en dire d'un seul coup et ça se ressent. On est noyé.
 
L'empan moyen est de douze mots (maximum) pour une bonne compréhension du texte.
L'empan, c'est ce qu'un lecteur peut retenir dans sa mémoire à court terme avant d'oublier le premier mot de la phrase.
 
Il y a aussi les images que tu crées :
 
La charrette  
entraînée  
par les deux "vigoureux" chevaux
avançait  
en suivant le chemin  
"difforme"  
tracé à travers la plaine
par les "nombreuses" générations  
de voyageurs
qui l’avaient parcouru  
auparavant.
 
11 images
 
Il faut élaguer et simplifier les images
 
En simplifiant et en coupant les branches superflues, on obtient :
 
La charrette  
entraînée par les deux "vigoureux" percherons
suivait le chemin "difforme"
tracé à travers la plaine
par les "nombreuses" générations  
de voyageurs.
 
 
On élague encore, et on remplace quelques mots pour expliquer le vigoureux et le difforme.
 
La charrette  
entraînée par deux "vigoureux" percherons
suivait le chemin "difforme"
creusé à travers la plaine
par les pas millénaires de trop "nombreuses" générations de voyageurs.
 
Et maintenant, on peut jouer de virgules pour aérer
La charrette, entraînée par les deux "vigoureux" percherons, suivait le chemin "difforme" creusé à travers la plaine par les pas millénaires de trop "nombreuses" générations de voyageurs.
 
On justifie le trop nombreuses avec une petite phrase plus légère afin d'équilibrer ta longue phrase.
 
Tous les trois mètres, les roues s'enfonçaient dans d'effroyables nids de poules.
 
(donc, il faut des percherons vigoureux pour sortir la charrette)
 
 
Equilibrer, car la phrase, qui suit, est aussi hyper super méga looooongue  (46 mots)
Même si des virgules la découpent un peu, on a du mal à trouver le sujet de la phrase.
Le "tel un inlassable rituel" peut porter aussi bien sur les lunes que sur le soleil.
 
 
> Tandis que le cocher dirigeait ses montures vers les deux lunes qui s’élevaient déjà docilement dans les cieux, tel un inlassable rituel, le soleil Utopien lançait, lui, ses derniers rayons sur le sillage de la charrette, semblant vouloir accompagner les voyageurs jusqu’au bout de leur route.  
 
 
A l’intérieur de la charette, un étrange professeur et un adolescent peu à l’aise attendaient, silencieux, que leur voyage prenne fin.  
 
/Au chapitre X, on ne peut plus dire "un étrange professeur et un adolescent", si ces personnages sont connus dans les chapitres précédents
/
 
 
Mais tout deux avaient des raisons bien différentes d’espérer parvenir jusqu’à leur but.      
>-Professeur, est-ce que je peux vous poser quelques questions ?
>-A propos de quoi ? répliqua le professeur Nox quelque peu sur la défensive.
 
 
/Encore ? A propos de quoi cette fois-ci ? répliqua
(si tu veux mettre ton personnage sur la défensive)
/
 
>-Je voulais savoir pourquoi mon ami n’a pas vu les hommes loups qui nous attaquaient et aussi comment se fait il que vous ayez réussi à utiliser vos pouvoirs dans le monde réel, je pensais qu’il n’y avait…
 
/Si tu utilises la technique du gueuloir de Flaubert (on lit à voix haute son texte, comme si on s'adressait à la foule) tu verras vite à quels endroits placer des points, les virgules, etc./
 
 
 
 
>-Héla héla, moins vite s’il te plait, l’interrompit le professeur. Je comprends tes interrogations. Il est vrai que cela ne fait que quelques semaines que tu es arrivé dans ce monde. Alors pour répondre à ta première question, commença le professeur avec un ton docte, il est tout à fait normal que ton ami n’ai rien vu ni comprit de ce que tu as vécu pendant l’attaque des hommes loups. Tu vois, il existe deux catégories d’hommes dans le monde : Il y’a d’un côté ceux qui possèdent le pouvoir et la connaissance et de l’autre les ignorants et les  
 
/supprime "il y a"
Avec le gueuloir, on entend qu'il est superflu
/
incapables. Et cela est valable dans les deux mondes. Je dirais que nous les transcendants faisons partit de la première catégorie, celle de ceux qui possèdent le pouvoir tandis que ton ami fait parti de la seconde catégorie, celle des inconscients et des impuissants.
 
 
/ Je dirais que nous, (virgule) les transcendants, (virgule) faisons partie de la première catégorie : celle de ceux qui possèdent le pouvoir ! Tandis que ton ami fait partie de la seconde catégorie : celle des inconscients et des impuissants.
/
>
>Desmond ne comprenait pas réellement la manière dont le professeur voyait la situation, et il lui semblait que ses paroles avaient quelque chose de gênants. Le professeur lui apparut à l’instant comme quelqu’un d’inquiétant, remplit de préjugés.
>-Et pour ta seconde question, c’est exact, ce n’est pas donné à tout le monde de pouvoir utiliser la magie dans le monde réel. Seul les transcendants les plus aguerris peuvent le faire, dit le professeur non sans affiché une certaine suffisance.
>-Donc la magie existe aussi dans le monde réel, dit Desmond se parlant presque à lui-même.
>-Il fut un temps où les choses étaient différentes, expliqua le professeur. Un temps où la magie était autant présente dans le monde réel que dans ce monde. On parle maintenant de cette époque comme étant l’âge d’or de la magie. Tout les hommes possédaient des pouvoirs et les utilisaient à leur guise dans les deux mondes. Mais les hommes étant ce qu’ils sont, des personnes emplis d’envie et de désir, prompts à la colère et à la haine, cet âge d’or tomba rapidement en désuétude et le désordre ainsi que le chaos régnèrent, causant des dégâts irrémédiables pour les deux mondes.  
>Tandis qu’il racontait cet épisode de l’histoire des deux mondes, Desmond remarqua que le visage du professeur s’obscurcissait peu à peu, comme s’il extériorisait au fil de son récit une colère grandissante, longtemps refoulée. C’était une colère profonde, de celle qui ne pouvait être causée que par le temps et qui de même ne pouvait être guérit que par le temps.  
 
 
/C’était une colère profonde. (Point) De celle qui ne pouvait être causée que par le temps et qui, (virgule) de même, (virgule) ne pouvait être guérit que par le temps.
 
 
Je n'ai pas relevé les coquilles orthographiques, car ton principal problème n'est pas là.
Tu l'as compris, tes phrases sont trop longues
 
Quand on dépasse 16 mots dans une phrase, il faut entendre un signal d'alarme se déclencher => on commence à toucher des universitaires ou de très bons lecteurs.
 
Il faut commencer à jouer de la virgule pour aérer le texte et revenir à des groupes de mots plus en adéquation avec l'empan normal des lecteurs.
 
Et, en utilisant le gueuloir de Flaubert, tu entendras vite quelles sont tes propres limites.  
Si tu sors essoufflé d'une phrase, elle n'est pas bonne. (Sauf si tu veux que le lecteur soit aussi essoufflé que le héros, mais c'est un cas rare. ;) )
 
 
Quand on dépasse 12 mots de moyenne par phrase dans une page, c'est qu'il y a un problème.
 
 
Dans ton cas, les statistiques de Word m'indiquent  (Menu Fichier/Propriétés/Onglets Statistiques  ou Menu Outils/Statistiques  (*) )
 
Environ 573 mots
j'ai remplacé les points par des étoiles, 24 remplacements + un ligne avec ...
soit 25 points (à la louche)
 
Ça t'amène à 22,92 mots par phrase. C'est énorme, et engendre une tendance pavé de texte qui affaiblit l'intérêt d'une histoire.
 
Proust, tout le monde en parle, mais on évite de le lire... sauf par obligation  :)
 
 
C'est un comptage à la louche, il faudrait aussi tenir compte des virgules pour affiner la découpe du texte et sa lisibilité. Mais ça donne un premier aperçu.
 
 
Voilà pour cette partie. ;)
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard
 
 
(*) A voir pour les versions récentes des traitements de texte s'il n'existe pas une option lisibilité après la vérifications de l'orthographe et de la grammaire.
 
 

n°15163431
le_fouineu​x
NF, F, NS, NC
Posté le 12-06-2008 à 10:34:31  profilanswer
 

Pour les révisions de texte, Antidote permet de vérifier la longueur des phrases, les occurrences, les archaïsmes... etc. Et les fautes ! Un bon placement.
 
Quitte à vouloir écrire, autant commencer par les maquettes au 1/100e avant de se lancer dans la Tour Eiffel grandeur nature. Un roman, c'est long, cela demande une organisation du travail et des données. Et des idées pour le remplir.
Une nouvelle en revanche, permet d'utiliser des idées fortes pour les conduire sur un tempo plus resserré.  Moins long à écrire, donc moins lassant pour débuter. Plus agréable à écrire, parce que plus dense. Et pas moins intéressant. Il y a foule d'exemples.
C'est valable aussi pour des thèmes comme celui de Pedro ;). On peut "roder" un univers touche à touche (Elric n'était qu'une nouvelle au départ, avant de donner une saga).


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La gravité est la dignité des imbéciles.
n°15163469
pedro445
Posté le 12-06-2008 à 10:39:03  profilanswer
 

Tu veux dire que je pourrais simplement commencer par une courte nouvelle, et l'enrichir un peu au fur et à mesure ? J'y avais déjà pensé, et c'est vrai que c'est pas une mauvaise idée.  
Mais je ne sais pas si ce format me convient, tu vois. C'est bizzare, mais je sens que je suis assez lent dans mes textes, j'ai du mal à avancer dans l'action. Alors le format nouvelle me fait ptetre un peu peur. Mais il faudra de toute facon passer par là.
a+

n°15163576
Profil sup​primé
Posté le 12-06-2008 à 10:48:52  answer
 

Tu n'as qu'a prendre la recette du succes de l'"poque :
au début on voit une scene d'action et de mystere dont on ne trouvera le rapport avec l'histoire qu'a la fin.
Fais attenition de bien la faire car son vrai but est d'accrocher directement le lecteur.
Ensuite le héro doit :  
etre jeune  :sarcastic:  
beau  :sarcastic:  
avoir un nom "cool"  :sarcastic:  
etre maltraité  :sarcastic:  
et soit etre doté de pouvoir surnaturels qu'il ignore soit etre débrouillard, cultivé et bon en sport.  :sarcastic:  
avoir un parent disparu au moins, ce qui explique le fait qu'il est maltraité.  :sarcastic:  
 
Si c'est de la fantasy ( héros avec pouvoirs magiques)
 
Il doit détruire un mec super puissant et tres méchant  :sarcastic:  
Et a un moment il rencontre un vieux maitre qui va lui apprendre tous ses secrets  :sarcastic:  
met une histoire d'amour c'est un conseil  
tu peux faire une énigme genre harry potter ou ils enquetent durant tout l'épisode
 
Si c'est réel ( héro débrouillard cultivé et bon en sport ) alors met beaucoup d'action !!!
Il doit avoir un probleme evec des gens hauts placés et il doit les défoncer meme s'ils sont plus vieux que lui
il doit se servir de sa ruse souvent et il doit avoir de la chance
Lit "alex rider espion malgré lui"
 

n°15163659
pedro445
Posté le 12-06-2008 à 10:56:17  profilanswer
 

Le truc c'est que j'ai déjà la trame bien en tête. Ce qui parfois bloque aussi un peu, on se sent trop à l'étroit dans notre histoire.  
J'ai des persos, une histoire d'amour, des gros méchants à buter, toute la sauce.
Mais c'est pas tout, comme le dit le fouineux, un roman, c'est énormément de travail d'organisation et de recherche, surtout.C'est aussi ce qui est interressant...

n°15163697
Profil sup​primé
Posté le 12-06-2008 à 11:00:37  answer
 

ouais c'est vrai simplifie les phrases au maximum comme segolene royale
 [:homer_simpson]
Le secret c'est de ne pas se prendre la tete et d'avoir lu harry potter juste avant d'écrire
 

n°15165370
slegd
Posté le 12-06-2008 à 13:50:48  profilanswer
 

Salut Amibe_R Nard je te remercie sincèrement pour ta correction  :jap: . Je ne m'étais pas réellement aperçu que je faisais de longues phrases, surement parce que quand j'écris je suis trop happé par le récit.
J'ai déjà essayé de rééquilibrer en faisant plus de paragraphes, mais je crois bien que je dois encore rendre cela plus lisible.  
 
 
 
Oui pourtant quand j'écris j'éssais le moins possible de me prendre la tête et je lis également harry potter. ;)  
 
 
Pour l'idée de la nouvelle j'y ai également déjà pensé, et j'ai même rédigé plusieurs idées. Mais étant donné que j'ai commencé le roman en premier et que j'aimerais le terminer rapidement j'ai du mal à me concentrer pour faire autre chose. Mon but final est surtout de voir si je peux aller jusqu'au bout et voir ce que ça peut donner. Mais je sais que tôt ou tard je me mettrais aux nouvelles pour me tester également.

Message cité 1 fois
Message édité par slegd le 12-06-2008 à 18:57:47
n°15168617
le_fouineu​x
NF, F, NS, NC
Posté le 12-06-2008 à 18:42:46  profilanswer
 

slegd a écrit :

Salut Amibe_R Nard je te remercie sincèrement pour ta correction  :jap: . Je ne m'étais pas réellement aperçu que je faisais de longues phrases, surement parce que quand j'écris je suis trop hapé par le récit.
J'ai déjà éssayé de réequilibrer en faisant plus de paragraphes, mais je crois bien que je dois encore rendre cela plus lisible.  
 
 


 

slegd a écrit :


oui pourtant quand j'écris j'éssais le moins possible de me prendre la tête et je lis également harry potter. ;)  
 
 
Pour l'idée de la nouvelle j'y ai également déjà pensé, et j'ai même rédigé plusieurs idées. Mais étant donné que j'ai commencé le roman en premier et que j'aimerais le terminé rapidement j'ai du mal à me concentrer pour faire autre chose. Mon but final est surtout de voir si je peux aller jusqu'au bout et voir ce que ça peut donner. Mais je sais que tôt ou tard je me mettrais aux nouvelles pour me tester également.


 
aaaah l'orthographe !!!


---------------
La gravité est la dignité des imbéciles.
n°15168801
slegd
Posté le 12-06-2008 à 18:58:58  profilanswer
 

le_fouineux a écrit :


 
aaaah l'orthographe !!!


 
dsl :D  pas fait attention. Le message a été édité.

n°15168867
le_fouineu​x
NF, F, NS, NC
Posté le 12-06-2008 à 19:05:32  profilanswer
 

non, c'était juste comme ça ! C'est un forum, pas l'agreg de lettres modernes, non plus...
Mais pour ton histoire de roman, ce n'est pas incompatible avec une nouvelle écrite en parallèle. D'une façon générale, il ne faut pas se dire qu'une nouvelle est un sous roman ou une ébauche de roman. C'est un concentré, une quintescence et c'est pas façile du tout !
Par contre, c'est formateur, parce que ca oblige à resserrer son propos, à choisir le bon terme, la phrase juste. Je recommande à ce titre la lecture de Maupassant, celle de Moorcock ou de Leiber dans un genre plus "rapide". Pour se rendre compte de la difficulté de l'exercice...


---------------
La gravité est la dignité des imbéciles.
n°15176934
slegd
Posté le 13-06-2008 à 12:53:55  profilanswer
 

le_fouineux a écrit :

non, c'était juste comme ça ! C'est un forum, pas l'agreg de lettres modernes, non plus...
Mais pour ton histoire de roman, ce n'est pas incompatible avec une nouvelle écrite en parallèle. D'une façon générale, il ne faut pas se dire qu'une nouvelle est un sous roman ou une ébauche de roman. C'est un concentré, une quintescence et c'est pas façile du tout !
Par contre, c'est formateur, parce que ca oblige à resserrer son propos, à choisir le bon terme, la phrase juste. Je recommande à ce titre la lecture de Maupassant, celle de Moorcock ou de Leiber dans un genre plus "rapide". Pour se rendre compte de la difficulté de l'exercice...


 
salut le fouineux. Je comprends ce que tu veux dire pour la nouvelle. Mais comme je l'ai précisé, je n'écrit que quelques idées de nouvelles et non pas les nouvelles entièrement. Je pense que tout travail écrit peut être long et difficile, que ce soit nouvelles, poèmes ,romans et autres. Après ça dépend des personnes, des idées etc...  
Quoi qu'il en soit je n'ai pas encore travaillé sur des nouvelles, donc je ne sais pas exactement ce que cela peut donner. Donc si je parviens à terminer mon roman j'aimerais développer les idées que j'ai déjà noté car je pense que ça peut être intéressant.
 

n°15198644
Amibe_R Na​rd
Posté le 15-06-2008 à 18:34:09  profilanswer
 

Salut Pedro

 
Citation :

Et toi, tu écris aussi des textes ? Ca m'interresserait de te lire.

 

Allez pourquoi pas. ;)

 

C'est toujours plus facile de soulever les pailles chez les voisins que la poutre dans son propre champ littéraire.

 

Une bafouille début 2007, quand j'avais un peu plus de temps.

 

Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

 


Le prof et son Yggdrasil

 

Le prof était encore dans sa période gueulard et excité du Larsen.
Si d'autres connaissent le double effet kiss cool, lui, être largué par sa
poularde lui tirait une malaria d'insultes bien senties, comme y disent dans les
polars.
Et nous, tas de larrons, on ne mouftait pas du larynx, par peur des mollards qui
vous rattrapent les bronches. Même pas une mouche pour voler ; que le silence
agrafé au coin de la bouche du prof.

 

Pas pour longtemps.

 

- Villard de Lans !!!
- Présent, monsieur !

 

Sursaut surpris du quatre épingles de la classe.

 

- Si je vous dis : Yggdrasil, arbre de vie qui relie le ciel à l'enfer et au
pied duquel se trouve une source où s'abreuvent les dieux, ça vous dit quoi ?
- Heuuuu...
- Comment ça "Heuuuu" ! Vous êtes de la race des ruminants ? Du genre gros boeuf sans cervelle ?

 

Là, la Clarisse s'est fendue d'un petit sourire d'hilarité. Rapport à ce que le
Villard, dans le genre vicelard et salopard, il s'y connaît dans les grandes
largeurs. Avec son père riche à dollars, c'est une tête bien faite le Villard.
Jamais un pet de travers. Que ce soit dans la coiffure ou dans le slip, rien que
du lard propre et net.
Par devant.
Par derrière, c'est autre chose. Certains papelards remontés aux censeurs ont
tiré plus d'une larme, même à des profs. Surtout les femmes.

 

Mais, aujourd'hui, le prof est complètement démonté, il l'assaisonne sauce
Harissa, le Villard.

 

- Alors, Villard de Lans...

 

Grosse insistance sur Lans.

 

- Vous êtes bien "lent" aujourd'hui. Alors ???
- Heu, comme nous n'avons pas étudié cette leçon, je... heuuu, je me demande...
heu, je me demandais si... un jour de premier avril, il ne s'agissait pas d'un canular ?

 

Le prof, regard triomphant de pouvoir :

 

- Comme vous peut-être ! et toute cette classe de cancres las !

 

Aïe ! Voilà le prof qui commence à élargir son horizon. Et nos oreilles sirènes
de s'alarmer. Aïe ! Aïe ! Qu'est-ce qui va encore nous tomber sur la tête ?

 

Et chacun de s'entrelarder le cerveau. A la recherche du saint Graal. Encore
qu'ici, ce serait plutôt Odin que désespoir. La mytho nordique, on ne devait
l'aborder qu'au solarium des vacances d'été, avec un peu de chance.

 

Le prof rougit très fort, saxos et clarinettes vont commencer leur chant fluité sur gamme en épithètes pointus. En bons taulards des études, on se cramponne tous à nos
bureaux et on commence à ramer sec. Dans nos yeux, s'allument des petites lueurs
d'incertitudes. Ygg qui ? Racine quoi ?
Enfin, quand je dis nos, dans les miens c'est plutôt la clarté, parce qu'hier,
justement...

 

- Hum... voyons donc voir ce que notre "cher" Ali va nous en dire, glisse le
prof en louchant d'un seul coup dans ma direction.

 

Taf ! Ça y est, je suis gaufrette ! Ce vieux soulard m'a repéré comme au jour du
jugement dernier. Après la tête de la classe, la crème des nuls. Génial, c'est
un jour de décapitation.
Le Villard de Lans se rassoit, la gueule dans les trente-sixièmes tourments de
l'incertitude. Tout le monde se retourne vers moi, certains l'oeil triste,
d'autres, plus nombreux, la binette alimentée au mépris, prêts à s'éclater du
bide et soutenir le prof pour ne pas en être victimes.

 

Je commence par un discret : heu... que je rattrape illico par un...

 

- Hé bien, il s'agit de l'arbre des nordiques, m'sieur. Et que même c'est un
arbre éternellement vert qui plonge ses racines dans les profondeurs
souterraines du monde

 

c'est d'ailleurs là qu'on a frité Mephistopheles et toute sa clique de démons à
la noix. 49 000 points d'expérience à lui tout seul pour son corps physique, le
Mephisto. Même que mon épée Vorpal +7 n'a pas chômé dans les enfers, et si je
suis devenu paladin 45ième niveau, c'est pas pour rien.

 

" Et il s'élève jusqu'au plus haut des cieux. D'après la légende... "

 

et là, j'ai pris le ton de Momo quand il nous l'a décrit, c't'arbre géant, par
la voix de son archimage

 

" ... il est le pilier gigantesque qui relie les trois niveaux cosmiques.
Yggdrasil est à l'origine de toute vie, de toute connaissance et de tout destin.
Le premier pilier plonge dans Mimisbrunn, la source de la sagesse située dans le
monde des géants. Le deuxième s'ancre dans Hvergelmir, située dans les ténèbres
profondes de Niflheim : les enfers nordiques. "

 

Et on venait de là, nous autres. Parce que cette hyène de Mephistopheles nous a
promis de revenir s'occuper de nos petits cul-farcis... et ça, non ! vraiment,
ça passe pas. Nous traiter de "petits cul-farcis", c'était nous chercher la
merde. C't enfoiré, comment qu'il osait nous causer ! Ouais, on allait lui
casser sa sale gueule de con...

 

" Et la troisième racine est située dans le ciel, le sanctuaire des Ases, et
plonge dans Urdarbrunn, la source du destin. "

 

Là où, à la prochaine partie, on doit aller récupérer Gungnir, la lance d'Odin. Pas
commode, ce vieux croûton d'Odin, avec ses deux corbeaux, et ses deux loups :
Geri le glouton et  Freki le vorace. De drôles de noms qui n'inspirent pas
confiance, alors, avec les autres, on n'a pas encore décidé si on le liquidait
tout de suite, le père Odin, ou après avoir retrouvé sa lance. Je sais pas mais
moi j'aimerais bien me balader sur Sleipnir, son cheval à huit jambes. Ça en
jette un cheval à huit pattes ! Bon, y avait quand même cette petite lueur de
tristesse lugubre dans l'oeil de Momo, quand il m'a vu sourire... La même que
dans celle du prof en ce moment. Mais toi, vieux soulard, je vais te clouer au
pilori de la honte ! Ah, tu pensais me baiser !

 


" Principe de vie et de mort, Yggdrasil symbolise également tout le savoir
ésotérique. Et que, pour posséder la science des runes, Odin a dû s'offrir en
sacrifice, en restant suspendu pendant neuf jours à l'une de ses branches, le
flanc percé de sa propre lance, Gungnir. "

 

Runes qui nous permettront de nous abreuver à la source de l'arbre de vie et de
ressusciter, avec un peu de bol, la prêtresse de Tchen, la fiancée du perso de
Bertrand. Ouais, avec un peu de bol, ça fait quand même un moment qu'on est
parti en quête. Mais paraît que le temps ne passe pas de la même manière dans
les enfers que sur la Terre.
En tout cas, pour le prof, c'est la fête. Encore un petit coup de Vorpal et sa
tête tombe toute seule.  

 

- Et je peux rajouter encore quelque chose, m'sieur ?

 

Complètement largué le prof, dégonflé comme un pneu sur la gente. H.S. le mec !
Bon pour l'asile des profs perdus.

 

- Heu... oui ???
- Je crois votre braguette est ouverte, m'sieur !

 


     l'Amibe_R Nard

 


Message édité par Amibe_R Nard le 15-06-2008 à 19:20:52
n°15198943
Amibe_R Na​rd
Posté le 15-06-2008 à 19:20:24  profilanswer
 

Salut

 

Attention, bien écrire une nouvelle, c'est un gros boulot.

 

On peut croire que c'est un exercice facile, mais c'est au contraire plus difficile que le roman.
Et certains auteurs l'avouent clairement : pour certains, ils sont incapables d'écrire une nouvelle. Lorsqu'ils commencent et partent avec l'idée d'une nouvelle, aussitôt ils se retrouvent avec un roman sur les rails.

 

Dans une nouvelle (qui marche :) ), chaque mot est pesé. Il faut en dire juste assez, mais permettre quand même au lecteur de s'identifier au héros (vite et bien)... la nouvelle ne supporte pas le moindre écart, pas la moindre diversion, ce qui oblige à être très sévère lors de la réécriture.

 

Dans un roman, on peut se rattraper au cours des pages, les incohérences se voient moins (ils sont rares les lecteurs à revenir de cent pages en arrière lorsqu'ils se souviennent que le chapeau du héros leur semblait jaune plutôt que vert). On peut aussi développer sa pensée, ses idées (par les personnages secondaires)

 

La nouvelle, c'est une dentelle... et en plus il faut lui trouver une finale qui marque.
C'est l'équivalent d'un seul acte (ou d'une scène) de théâtre où on doit tout dire.
Et on doit rester compréhensible au maximum.

 

Comme une bonne blague d'humour.
Ça passe, où ça casse.

 

Si vous mangez un mot, ou si le ton n'y est pas, c'est le bouillon.

 

Dans un roman, on a le temps de rajouter du piment et des épices à la sauce. Un roman parfois long à démarrer, (comme les films américains où on présente tout le monde), peut déboucher sur une fin haletante. Alors que dans la nouvelle, il faut saisir le lecteur (à la gorge ? :o ) et l'emmener vite et haut, sans temps morts. Ce qui oblige à sabrer sérieusement tous les obstacles, tout ce qui ne contribue pas à cette montée rapide.

 

C'est un exercice redoutable pour un débutant (*) qui a du mal à voir où démarre vraiment le texte, et à séparer ce qui tient du nécessaire et de l'accessoire.

 

(*) Et même pour les autres  :)
Car l'équilibre ne se trouve pas aisément. Et à couper un paragraphe de trop, on flingue une nouvelle aussi bien qu'une robe de luxe avec des ciseaux.

 

Bref, écrire une bonne nouvelle, c'est très alchimique.
Surtout pour comprendre pourquoi celle-là a marché, et pas l'autre bâtie sur le même principe.

 

Mais ça ne doit pas empêcher d'écrire des "péripéties" pour nourrir un roman... ou encore pour créer un recueil, par la suite, lorsque la matière est assez dense.

 

Sûr aussi qu'une nouvelle trouvera plus facilement preneur dans une revue ou un fanzine (fanzine = magazine amateur, qui peut virer au semi-professionnel, voire professionnel très vite), e-zine, journal, etc. où la place est comptée.

 

Par contre, croire qu'une nouvelle est plus facile à écrire qu'un roman, ce n'est pas vrai.
Et je connais des auteurs qui se concentrent sur les romans qui rapportent, plutôt que sur des nouvelles dont le retour financier est plus aléatoire, pour un temps d'écriture parfois identique.

 

Tailler un beau diamant, ça prend souvent plus de temps que de concevoir et réaliser toute une couronne. Parce que l'attention sur le diamant va être maximale !  :)

 


Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard


Message édité par Amibe_R Nard le 16-06-2008 à 19:57:46
n°15201416
pedro445
Posté le 15-06-2008 à 23:18:10  profilanswer
 

Salut Amibernard
 
J'ai lu ton texte, je l'ai trouvé bien écrit. Le vocabulaire est bien choisi. Après, je ne sais pas trop ou ca va. Je suppose que c'est l'histoire d'un mec qui fait des jeux de rôle. C'est du vécu ?  
Et cette allusion à Villars de Lans ? C'est étrange, j'ai pas trop compris. Tu habites là bas ? C'est marrant, c'est là ou j'ai passé toute mes vacances pendant mon enfance. Je connais le coin comme ma poche... Et c'est même la bas que j'ai commencé mon histoire. Dans un appart à la montagne, ca m'inspirait bien, il y avait un brouillard de ouf.
 
Sinon, je me demandais comment vous vous y prenez pour écrire un roman. Tu parles de réécriture. Moi, perso, je passe beaucoup de temps sur chaque chapitre, un après l'autre, mais je me demandais s'il ne valait mieux pas tout écrire d'un bloc, à l'arrache, et bien tout reprendre après. Si vous avez de l'experience ?
 
A toute.

n°15209718
Blandine13
SoleilNoir
Posté le 16-06-2008 à 21:00:39  profilanswer
 

Bonjour !  :hello:  
Je reviens sur ce forum...
et je ne peut que constater qu'il a gagner des pages !
:)
Malgrès les ultimes révisions
[Brevet héhé] :sweat:  
je me demandais si vous pouviez me commenter ce passage. J'ai eut du mal à exprimer ce que je voulais dire.  
La troisième phrase, surtout, où je bloque complètement : je n'ai pas trouvé d'autre moyen de la formuler.
Et aussi, si vous pouvez Mister Aïeaïe Lesfautesd'orthographes  :D  
Merci
Blandine  
_____________________________________________________
 
     La salle était vide. Vide et froide. Les murs en pierres noires semblaient dégager une aura glacée, et la présence comme seul mobilier d’une table en marbre renforçait cette impression. Négligemment assis sur son siège de cuir sombre, An Frinx Tan lui aurait cependant plus vite donné la chair de poule que n’importe quel lieu, aussi sinistre soit t’il. La voix grave et les intonations si particulières que le maître utilisait pour reprendre ses Exécuteurs n’avaient jamais été aussi dures. Il n’avait pas l’air déçu ou en colère. Il n’avait pas l’air résigné. Non, au contraire, il semblait s’attendre à son échec et n’aurait pas de pitié quant à la punition. An Frinx Tan n’excusait aucune erreur, jamais. Si l’on n’était pas efficace, quelqu’un le serait à notre place. Et dans cette profession, mieux valait démissionner qu’échouer, bien que « démissionner » n’avait pas exactement la même signification pour les Exécuteurs que pour les autres employé de l’Autorité.  
_________________________________________________
//pour l'instant je n'ai pas beaucoup de temps mais je vais essayer de relire les passages que j'ai manqué après le brevet//
 
 


---------------
Plein de questions en stock... Et une grande caisse de commentaires/critiques à charger... ^^ http://lesparrainsdelaplume.mesdis [...] t_63_1.htm
n°15215696
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 17-06-2008 à 14:23:48  profilanswer
 


 
C'est de l'ironie?
 
Et à propos d'un autre message comme quoi il faut lire Harry Potter avant d'écrire, c'est de l'ironie aussi comme conseil?
 
Quant à L'Amibe R Nard je suis d'accord sur ton avis sur la nouvelle. Perso je ne m'y risque pas


Message édité par Arwen Etoile du Soir le 17-06-2008 à 14:43:38
n°15221466
tinkywinky
Posté le 17-06-2008 à 21:47:28  profilanswer
 

Réussir à virer les adverbes n'est pas une mince affaire. J'ai tendance à les  utiliser à toutes les sauces.  
En regardant de près un "vrai" texte j'ai pu constater effectivement il y en a très peu.  
 

n°15229596
-redmoon-
Weird is relative...
Posté le 18-06-2008 à 13:10:36  profilanswer
 

tinkywinky a écrit :

Réussir à virer les adverbes n'est pas une mince affaire. J'ai tendance à les  utiliser à toutes les sauces.  
En regardant de près un "vrai" texte j'ai pu constater effectivement il y en a très peu.  
 


 
Grillaid  :D

n°15234761
axel91
l'âme égarée à la plume efilée
Posté le 18-06-2008 à 21:18:41  profilanswer
 

bonjour à tous, je suis nouveau sur ce forum - si j'y suis tombé par un hasard nommé google.
j'ai sur mon ordinateur un début de roman que j'ai commencé il y a déjà un petit temps, je ne sais plus précisément, et j'aurais voulu le faire lire par des personnes étrangères car je n'aime pas trop le fait que la personne qui le lit me connaisse.
enfin bon, voilà, je voudrais savoir si je puis poster mon petit bébé ici en toute sécurité, en étant sûr que personne ne prenne ce que je vais poster.
merci d'avance à vos réponses qui, je l'espère, m'éclaireront.
 
pour le récit, il s'agit d'un thriller dans lequel le héros (un policier) est confronté à un tueur en série qui choisit ses victimes en fonction des péchés capitaux, je me suis - hélas - rendu compte que cela ressemblait - dans le fond - à Seven, ce magnifique film que je n'ai pas vu, mais trop tard.
en tout cas, je ne suis pas encore trop avancé dans l'histoire étant donné mon emploi du temps (je suis encore à l'école - dernière année dans le secondaire).

n°15240008
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 19-06-2008 à 13:08:09  profilanswer
 

Bienvenue à toi!!!
 

axel91 a écrit :

j'aurais voulu le faire lire par des personnes étrangères car je n'aime pas trop le fait que la personne qui le lit me connaisse.
enfin bon, voilà, je voudrais savoir si je puis poster mon petit bébé ici en toute sécurité, en étant sûr que personne ne prenne ce que je vais poster.
merci d'avance à vos réponses qui, je l'espère, m'éclaireront.
 
pour le récit, il s'agit d'un thriller dans lequel le héros (un policier) est confronté à un tueur en série qui choisit ses victimes en fonction des péchés capitaux, je me suis - hélas - rendu compte que cela ressemblait - dans le fond - à Seven, ce magnifique film que je n'ai pas vu, mais trop tard.
en tout cas, je ne suis pas encore trop avancé dans l'histoire étant donné mon emploi du temps (je suis encore à l'école - dernière année dans le secondaire).


 
 
C'est normal de préférer des avis étrangers, surtout que ton entourage, te connaissant, ne va pas être très objectif (volontairement ou non) c'est d'ailleurs un peu pour ça que ce topic vit.  
 
Pour la question du plagiat, je crois que tu n'as trop à t'en faire, surtout si tu ne postes que des extraits (pas trop conséquents non plus). Si tu veux des avis sur des trucs plus longs, là il faut faire plus attention mais je ne suis pas très bien placée pour te conseiller. D'autres en savent plus et ce sujet  a déjà été abordé plusieurs fois sur le topic mais ce serait long de retrouver où, surtout pour toi. Faut demander si qqn sur le topic se souvient où on en parle ou alors le rappelle.
 
Sinon, tu dis que ça ressemble à un film... c'est un peu le risque dans l'écriture de copier involontairement des trucs qu'on ne connaît pas parce que depuis le temps que la littérature existent (cinéma aussi) on a eu le temps de créer et réinventer les histoires, c'est l'autre raison qui fait que quand on veut écrire, il faut lire, beaucoup lire... justement pour éviter de copier (bon là il s'agit d'un film apparemment). Fais gaffe quand même que ça ne ressemble pas trop, Je te conseille de le voir justement. Il faudra quand même conserver l'originalité.


---------------
Mon univers... Rouge, rose... noir. http://ceriserock452.skyrock.com/
n°15240152
axel91
l'âme égarée à la plume efilée
Posté le 19-06-2008 à 13:30:15  profilanswer
 

bonjour à toi arwen, en fait, le récit ressemble, je dirais pour l'idée de fond, mais c'est tout, du moins je pense, parce qu'en même temps, j'ai aussi fait une histoire qui se déroule en parallèle par rapport à ce tueur qui utilise les péchés.
dans cette histoire en parallèle, c'est une jeune fille mêlée à un trafic de drogue mais je n'ai pas totalement étoffé cette possibilité, bref, je crois que je pourrais encore l'approfondir dans ce sens.

n°15240296
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 19-06-2008 à 13:47:19  profilanswer
 

axel91 a écrit :

bonjour à toi arwen, en fait, le récit ressemble, je dirais pour l'idée de fond, mais c'est tout, du moins je pense, parce qu'en même temps, j'ai aussi fait une histoire qui se déroule en parallèle par rapport à ce tueur qui utilise les péchés.
dans cette histoire en parallèle, c'est une jeune fille mêlée à un trafic de drogue mais je n'ai pas totalement étoffé cette possibilité, bref, je crois que je pourrais encore l'approfondir dans ce sens.


 
Oui faut développer tes idées, diversifiez l'univers, les caractères de tes personnages... ça donnera qqc de différent. Je crois que de toute façon, en matière de littérature, on ne peut plus vraiment faire du neuf, il y aura toujours plus ou moins des ressemblances tant on a exploré les possibilités à travers les siècles, mais fait quand même attention. Enfin, c'est un des dangers qui nous guette quand on écrit. :)  

n°15243464
Amibe_R Na​rd
Posté le 19-06-2008 à 18:42:24  profilanswer
 

Salut Pedro
 
Villard de Lans, un nom que mon cerveau a dû capter quelque part, et hop le revoilà dans un texte.
 
Pour les jeux de rôle : non, je n'ai pas été jusqu'à tuer Méphisto. Sinon, j'ai gratté un peu D&D à une certaine époque. :)
 
 
Pour le roman, le tout est d'avancer assez vite. Pour avoir une unité de ton. Et de direction.
Plus on met de temps à écrire un roman, plus on a de chance d'oublier certains points importants, et ce que l'on souhaitait dire.
Comme notre vie évolue en parallèle, ça n'aide pas toujours à cette cohérence dans le récit.
 
Donc je suis partisan d'écrire vite (même avec des adverbes au kilo :o) avant de réécrire (écrire vraiment ?). On sait où on va, et plus on a de pages au compteur, plus l'écriture est fluide.
C'est alors moins gênant de couper de un à trois chapitres au début du texte, lorsqu'on a déjà atteint le chapitre trente ou quarante. La robe est longue, on peut fignoler les ourlets. Avec une mini jupe, c'est bien plus délicat  :)
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard
 

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