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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°11192425
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 15-04-2007 à 13:34:03  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Salut je continue mon livre sur Lynx depuis quelques conseils (et une nuit blanche à lire des  conjugaisons sa va un peut mieux  bon tchao je vous ferer par d'un extré. youna

mood
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Posté le 15-04-2007 à 13:34:03  profilanswer
 

n°11192478
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 15-04-2007 à 13:39:33  profilanswer
 

Ah oui j'ai trouver quelque nom de personage Sana,Zaho, Gahis ,Simbah,Jinko,Youna,Perle,Enzo,Louv,Shadow,Low,Emraude,Saphir et voila pour le moment ah oui pour jinko jai fait exprès de l'écrire comme sa il y a des noms bizarre mais jaime bien

n°11194452
Amibe_R Na​rd
Posté le 15-04-2007 à 17:40:51  profilanswer
 

youna and jinnas a écrit :

Ah oui j'ai trouver quelque nom de personage Sana,Zaho, Gahis ,Simbah,Jinko,Youna,Perle,Enzo,Louv,Shadow,Low,Emraude,Saphir et voila pour le moment ah oui pour jinko jai fait exprès de l'écrire comme sa il y a des noms bizarre mais jaime bien


 
 
Comme Jinko le dinosaure ?
Album jeunesse que l'on trouve à la FNAC  :)
 
 
En tout cas, voilà des noms. Il te suffit maintenant de les vêtir avec des personnages en chair et en os. Et de raconter comment ils se sont tous rencontrés  (ce qui peut être fait dans ton histoire)
 
Continue à écrire. A chaque petit pas, tu progresses.
Et prends-y plaisir.
 
Bien Amicalement
 L'Amibe_R Nard

n°11195431
Ton pere
Posté le 15-04-2007 à 19:20:08  profilanswer
 

Coucou les gens, je suis de retour ! (bababa, jouer un mauvais tour, toussa ^^)  
 
J'ai relu quelques unes des pages précédentes pour me réinvestir plus dans le topic !  
 
 
Ainsi, une petite remarque très courte avant que je ne continue l'écriture de mon chapitre :  

Citation :

Sana,Zaho, Gahis ,Simbah,Jinko,Youna,Perle,Enzo,Louv,Shadow,Low,Emraude,Saphir


Je ne suis pas contre les noms à deux syllabes, mais s'il n'y a que ça... De plus, attention aux noms clichés, ou bidons genre shadow (tiré de l'anglais ou coincidence ?  :pt1cable: ). Emeraude et saphir, pareil. Low et Louv rentrent aussi dans cette catégorie. Perso, ça me choque, ou, du moins, ça me gène...  
 
Mais peut être ne sont-ce que des surnoms ?  
 
 
A bon entendeur

n°11202272
druduss
Posté le 16-04-2007 à 13:48:23  profilanswer
 

Amibe_R Nard tu as un mail dans ta boîte  ;)  
 
 
Dites les gens ça fait un moment qu'on a plus eu droit à un extrait, motivez-vous !

n°11205653
laster92
Non aux pseudos à numéro !
Posté le 16-04-2007 à 18:33:26  profilanswer
 

J'en ai un moi ! Dites ce que vous en pensez, ça serait sympa !
Le voici :  
 
La sonnerie du téléphone retentit dans le salon. Je décrochais. C’était encore ma mère. Je racrochais tout de suite, une fois les banalitées d’usage débitées. Ca n’avait pas d’importance. Elle était habitué à mon amabilité. Il était huit heures, déjà. Je revins vers le canapé, allumai le poste. Après, je m’endormis.
Je me réveillais quelques heures plus tard. Les volets étaient encore tirés. Il faisait obscur dans la pièce, triste. Je regardais l’horloge : ça n’avait pas beaucoup avancé. Je pris ma veste, enfilait les chaussettes qui trainaient. J’étais prêt ; je sortis.
Après avoir un peu marché, un peu comme ça, au hasard, je m’assis sur un banc. J’étais fatigué ; le soleil me fouettait légèrement le visage ; ce n’était pas désagréable.
 
Je n’étais jamais passé dans ce coin-ci de Montmartre. Il n’y avait pas grand-chose à y voir, finalement. C’était partout pareil. En face, se présentait une petite galerie d’art. Elle n’était pas vraiment attirante ; j’y entrais quand même, poussé par la curiosité
Elle se trouvait comme on pouvait l’imaginer : sans prétention, mais avec des éclairages soignés. Et une dame d’accueil un peu agé, la cinquantaine.
J’engageais la conversation, car l’entrée était payante
- Bonjour madame…
- Bonjour. C’est pour voir uniquement, ou vous désirez acheter ?
- Essentiellement pour voir, merci.
- Je vous laisse continuer tout seul alors conclut-elle.
Je lui marmonais que oui, payais les 20 € et avançais vers ce qui ressemblait à l’unique pièce d’exposition. C’étaient cinq tableaux. Ils étaient tous à peu près pareils ; je me disais que seul un esprit artiste pouvait distinguer les nuances. C’est ce que devait aussi se dire la femme d’accueil, qui me jetait des regards noirs. Visiblement, il me manquait quelque chose.
Je sortis bien vite. La peinture me sortait par les yeux. Tout ça, toutes ses formes, ses couleurs ne me disaient rien.  
Je m’en fichais. Je repris ma place sur le banc. Le soleil derrière s’était couché. Il restait quelques rayons qui se perdaient dans l’air. Cela avait de jolis accents poétiques. Je décidais alors de rentrer ; la métaphysique m’ennuyait.
 
La nuit fut bien difficile. Des choses criaient dans ma tête, sans jamais me laisser en repos.
A quatre heures, n’en pouvant plus, je pris des somnifères. Je m’endormis. Puis à nouveau on recria. Je criais moi-même : ça ne pouvait plus durer. Je décidais de sortir.
La rue me calma.
Les trottoirs étaient tout brillants, tout humides encore ; il avait un peu plus cette nuit. Des flaques, partout. Et moi, cahotant sur les pavés.
J’allai au grand escalier. Celui des japonais, des touristes. Où l’on voit tout Paris. Je m’assis là sur les premières marches. Je pris une cigarette, tirai quelques bouffées dessus ; je la jetai sur les marches plus bas.  
Il faisait froid. C’était le vent. Je frissonnai, parcouru de tremblements. Au loin je voyais Les Halles, le centre Georges Pompidou. Cela me fit rire. Je riais ainsi seul dans la nuit.
Ce quartier m’avait toujours foutu la nausée. Montmartre. « Tant d’héritages » pensais-je.
Ici avait vécu Picasso, Dali ; là les surréalistes ; cela, tout le monde appréciait ; l’été, les flashs éclairaient autant que le soleil. Je n’en pouvais plus. J’aurais voulu aller où il n’y avait rien.
J’avais hérité de mon appartement à la mort de ma mère, en plus de ses deux villas dans le sud. Cela m’avait apparu plus pratique de rester sur Paris ; le boulot n’était pas loin, les loisirs non plus.  
Je tirais une nouvelle cigarette. Je la fumais jusqu’au filtre. Pour voir, je continuais à la tenir ; elle finit par me brûler les doigt. Je les laissais roussir, puis la lachait. Il n’en restait presque rien à terre. Je me levai, l’écrasai ; le vent berceur dissipa les restes.
Un peu plus tard, il y eu le jour. La journée commençait. J’allai acheter deux croissants au beurre chez le boulanger. Je les dévorais. Les gens partaient devant moi. Ils apparaissaient derrière leur porte, l’air encore endormis, pas tout à fait convaincus par la vie. Je les laissais à leur malheur ; j’avais décidé d’aller voir un film. Il y avait longtemps que je n’étais pas entré dans une salle de cinéma. Pourtant j’ai toujours aimé ça, Welles, Godard, Truffaut, Scorsese en particulier.
Je pris le métro pour l’UGC des Halles. Je tombais au hasard du regard sur une affiche attrayante. Je demandai deux tickets pour le film de l’affiche ; c’était la salle quatre, les WC étaient plus loin, je devrais attendre quelques minutes avant d’entrer. Le film s’appelait « Du sang sur les murs ».  
 

n°11211042
orac77
Posté le 17-04-2007 à 01:34:59  profilanswer
 

coucou tout le monde... je sais qu'on se connait pas trop vous (tout le monde) et moi mais c'était pour dire que je ne vous oublie pas et que même si je laisse pas de message je passe tous les jours lire ce qui se dit. C'est mon petit rituel du soir. Et une pensée plus particulière à l'amibe_ R_ nard qui m'a plus amplement parlé que les autres (d'ailleurs je m'inquiétais un peu car pendant plusieurs jours d'affilé je le voyais plus intervenir. Bonne continuation à tous... Amicalement.

n°11214864
Ton pere
Posté le 17-04-2007 à 14:21:54  profilanswer
 

Alors, laster92 :  
 

Citation :

Je racrochais tout de suite, une fois les banalitées d’usage débitées.


 
raccrochais
banalités  
et ce n'est pas un peu paradoxal ? "tout de suite" et "après les banalités d'usage débitées"...

Citation :


ça n’avait pas beaucoup avancé.


 
"Ca", ne pourrait pas être remplacé par autre chose ? Parcequ'une horloge n'avance pas... Les aiguilles, elles pourquoi pas.  
 

Citation :

C’étaient cinq tableaux.


 
"Il y avaient" remplacerait efficacement "c'étaient" amha.
 

Citation :

Tout ça, toutes ses formes, ses couleurs ne me disaient rien.


 
Assez obscur : ces ou ses ?  
 

Citation :

laisser en repos.


 
laisser en repos, je trouve ça étrange comme expression.  
 

Citation :

il avait un peu plus cette nuit.


 
Il avait plu.
 

Citation :

Je riais ainsi seul dans la nuit.


 
Je n'ai pas trop compris pourquoi il rit.
 

Citation :

Ici avait vécu Picasso, Dali


 
avaient ?  
 

Citation :

Je les laissais roussir


 
ses doigts ??
 
 
 
C'est bien écris. Il s'en dégage un sentiment de banalité, et de déprime. Je suppose que c'est fait exprès pour enchainer sur le film qui sera surement, lui très horrifiant.  
En tout cas, continue, je n'ai noté que quelques fautes d'orthographes !


Message édité par Ton pere le 18-04-2007 à 13:54:39
n°11216826
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 17-04-2007 à 16:57:10  profilanswer
 

Amibe_R Nard a écrit :

Citation :

Dans ces cas-là, il me semble difficile de faire une histoire sans morale, il y en aura toujours une, non? Même si l'auteur, pour je ne sais quelle raison, cherche absolument à ne pas en mettre, il y aura toujours un message à la fin de son histoire.  


 
Effectivement.
 
N'oublions pas qu'un roman est aussi construit par le lecteur, donc le lecteur peut apporter sa propre conclusion, morale à l'histoire.
 

Citation :


Si le "méchant" est prit, il y a une morale, s'il est pas prit et que le "gentil" meure, il y a dénoncement de la cruauté de la vie. S'il n'y a pas de "méchants", je pense qu'on peut toujours trouver une morale (j'abrège car j'ai la flemme de chercher).  


 
Dans une bonne histoire, il y a toujours un "opposant" qui demande à être vaincu d'une manière ou d'une autre.
Dans certaine histoire, c'est un volcan qui explose, dans une autre ce sera le coeur d'une femme/d'un homme à conquérir.
L'opposant permet au héros de prouver sa valeur, ce qui entraîne une dynamisation du récit.
 
[...]

Citation :


J'ai une autre question. Est-ce qu'une morale (pas la vraie, pas la toute dernière de l'histoire) peut être dit clairement par un personnage ou est-ce que ça fait trop "regardez je passe un message"? Est-ce qu'un message qu'il faut décripter est mieux?


 
Le problème d'une morale affirmée par un personnage (style : je défends la veuve et l'orphelin, quel qu'en soit le coût) est qu'elle peut devenir bloquante...  
 
Soit le personnage est toujours obligé d'agir de cette façon.
Soit, il faut le confronter à cette réalité, à ce qu'il dit pour savoir s'il est sérieux dans son rôle.
 
Dans le premier cas, on tombe assez vite dans le stéréotype
Dans le deuxième, on met le personnage en conflit avec lui-même, avec ses propres croyances... ce qui peut être stimulant lorsqu'il s'agit, par exemple, pour un paladin de défendre une veuve et un orphelin, tous deux vampires.
Les contradictions (oppositions) sont toujours intéressantes à lire, parce que nous aussi nous devons choisir entre différentes opportunités. Et aussi, cela nécessite de creuser la personnalité des personnages.
 
Pour le cas du message trop direct.
Si le personnage annonce quelques vérités extérieures à son rôle, il y a aura une dissonance marquée. C'est encore pire lorsque le personnage l'énonce crûment dans un dialogue.
 
Le chevalier qui ramasse les effets gobelins tués, sous les yeux médusés de ses compagnons.
- Ben, qu'est-ce que tu fais ? lui demande le nain
- Moi ? Je récupère toujours les ordures pour le recyclage. Notre planète n'est pas une poubelle.
 
C'est un peu le coup du gros compas dans l'oeil.
 
Le chevalier qui ramasse les effets gobelins tués, sous les yeux médusés de ses compagnons.
- Ben, qu'est-ce que tu fais ? lui demande le nain
- Moi ? Je récupère quelques babioles pour mes orphelins. Ils aiment bien l'art gobelin, et ils arrivent toujours à le recycler ou à le refourguer à d'autres gamins du village.
- Ah ouais, et ça leur rapporte combien au final.
- De quoi manger du surplus pendant l'hiver.
 
Bon, pas terrible non plus, mais si tu rajoutes le druide qui décide de recycler les corps pour ses petits amis les insectes, ou alors le nécromant qui préfère les utiliser pour en faire des acolytes, et que soudain ça dégénère parce que le nain trouve que ça pue les cadavres, et que le chevalier déclame qu'il ne faut pas exagérer : on ne peut pas tout recycler, quand même !
 
Ça peut passer. :D
 
 
Alors effectivement, il vaut mieux éviter le coup du : attention, je glisse un message direct et voyant. C'est un tantinet maladroit.
 
Il vaut mieux créer une situation qui s'y prête, et qui en dit tout autant.
 
Cependant, si tout reste naturel, que la morale ne sort pas du cadre de l'histoire, reste dans l'esprit du personnage qui la balance, tout demeure possible.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard


 
 
J'ai aussi  des passage de "moral" ou "message" dans ce que j'ai pondu. Je vais poster deux exemples de la façon dont c'est fait pour que vous me dites si possible si c'est du lourd ou si çà passe dans le genre.
Les deux exemples sont du premier jet et n'ont pas encore bénéficié d'une correction selon ce que j'ai déjà appris sur ce topic, désolé, attention les yeux. Donc je n'attends pas de corection de votre part sur l'orthographe, les virgules, les redondances de mots et adverbes. (Si mais plus tard lol quand j'aurais fait une première passe.)
 
exemple 1
 

Citation :

-Voilà ta chambre. Je vais te montrer les commodités. Regardes par la fenêtre. Tu vois la cabane au fond ? Ce sont des toilettes. Nous allons y aller de suite pour que je puisse te montrer leur fonctionnement.
 
 Nous descendîmes par le même escalier et sortîmes. Il fallut 5 minutes de marche rapide pour les atteindre. Où suis arrivé ? Me dis-je, je suis chez un arriéré, un pauvre ou un ignorant ? Ne connaît t-il pas les toilettes d'usage en Ahamikah ? Le bon vieux trône dans la maisonnée ou il suffit de faire quelques pas que ce soit de la chambre ou de la cuisine pour faire ses besoins ?
Mais je n'étais pas au bout de mes surprises. Quand il ouvrit la porte une émanation nauséabonde me fit cracher mes tripes ! Sa schlinguait la merde la plus puante. Même les concours de pets auxquels je m'adonnais - mon sport favoris- étaient minables à coté de cette odeur. Il me mit une petite taloche et me dit de me contrôler, que cette odeur fait partie de l'homme et qu'il ne faut pas la renier. Il y avait juste un trou béant dans une surélévation en bois, sorte d'estrade. Je m'étonnais d'entendre de petits bruits et des gémissements.
 
-Comment les déjections sont elles évacuées ? Lui demandai-je. Où est la chasse d'eau ?
-Il n'y en a pas, me répondit t-il.
-Pas de chasse d'eau ?! Mais ce n'est pas hygiénique, !! m'exclamai-je
-que connais-tu de l'hygiène ? En quoi n'est ce pas hygiénique ? Es-tu médecin ?
 
Je ne savais quoi répondre. C'est vrai, en quoi ce n'était pas hygiénique ? Je ne m'étais pas posé la question. J'étais née avec un système de toilette existant et tous Ahamikant utilisaientt ce même système. Un WC ou il suffisait de faire ses besoins, de tirer la chasse et c'était tout. L'eau se chargeait de faire le ménage. Des toilettes aussi propre qu'une cuisine. Odeur d'excrément éphémère garantie. Des toilettes propres "sans bactéries " selon le slogan du produit nettoyant.
 
-Et les microbes ? Dis-je naïvement ne savant quoi répondre.
 
-La vie est constituée de microbes et de bactéries. Elles font partie de notre écosystème et toi tu voudrais t'en débarrasser pour la seule raison que l'on t'a dit que celles-ci dérangent et n'ont pas lieu d'être ? Et que pour ton bien être personnelle tu fais fi de la nature ?
 
Ce que je n'avais pas encore compris à ce moment c'est que cette personne avait commencé à m'enseigner la vie en Kah-Pousspa.
 
-Mais comment traitez-vous les besoins alors?  
-ce n'est pas moi qui m'en occupe, mais la nature.
Viens avec moi à l'arrière des " w.c. "
 
Je le suivis. On fit le tour de la cabane par la gauche, descendîmes sur quelques mètres et là, je fus très surpris. Des animaux vivaient dans une marre de boue où les excréments se retrouvaient, une sorte de cochon. Il y avait une multitude de forme de vie. Des insectes, des bousiers et beaucoup de petites bêtes que j'avais pu observer dans la forêt et les champs.
 
-tu vois gamin se sont eux qui s'occupent de traiter tes excréments.
-Mais c'est inhumain de se nourrir de la merde ! c'est dégouttant.
-oui pour toi et pour l'Homme et d'autre espèce animal, mais ceux que tu peux observer en cet instant vivent des excréments. Tous  pas directement. Seulement ces gros animaux et ceux-la là-bas peuvent en manger les autres utilisent pour leur besoin comme faire de la bouse pour pondre des œufs a l'intérieur pour les maintenir au chaud par exemple.  
 
-Alors c'est cela les petites boules que les bousiers poussent avec leurs pattes arrières ?
- C'est exact, je vois que tu es très observateur.
- Oh vous savez, je n'ai pas vraiment de mérite. Je n'ai fait que cela pendant les quelques mois ou j'ai dormis dans ma cabane.
-La nature est bien faite et équilibrée. La clé de la vie est l'équilibre. A travers ces choix, l'homme doit maintenir cet équilibre même si cela doit lui coûter un minimum voire un maximum, comme supporter cette odeur pour toi.
Maintenant que tu connais les toilettes je vais te montrer la salle où l'on se lave. Mais d'abord tu vas me faire plaisirs de nettoyer ton dégueuli avant de me rejoindre dans la demeure. Compris ?
 
Je le regardais bouche bée, les yeux grand ouverts. J’avais pas tout saisis et il le devina. Maintenant j’en étais sûr cet homme était complétement fou.
 
-ce n'est pas grave. Me lança-t-il en rigolant
 
(Croquis des toilettes et animaux à dessiner)
 
Sur ces paroles, il s'éloigna, sortit une petite pipe qu'il alluma.. Je pus distinguer au loin les ronds de fumée qu'il s'exerçait à cracher. Un effluve de tabac mélangé à une autre odeur qui m'était inconnu m'emplissait les poumons. Je respirais cette senteur à pleines bouffées pour contrecarrer la puanteur du vomi et de la merde. Une sensation de bien être et d'euphorie s'emparèrent de mon corps. Et de ce fait je lavais ma gerbe avec le sourire, sans broncher. Une fois fini, je retournais à la demeure. Il avait un sourire qui lui montait jusqu'aux yeux. Je me rendis compte que je n'avais pas encore fait attention à son aspect. Je lui répondis à mon tour en souriant.


 
exemple 2
 

Citation :

Cocoricoooooo. Le chant du coq m'apparu une plus grande torture que le réveil matin qui me signalait que je devais me lever pour aller à l’école. Je cherche en vain une montre, une horloge pour me repérer dans le temps. Je décidais de me lever. Pas un bruit, rien. Je descendit dans la cuisine. sur la table une assiette de légumes était disposée avec un mot :
 
" Je ne serai pas là jusqu à ce que Mahanne-Té soit au Zénith. Manges ce plat si tu as faim. Je me doute que ce ne sont pas tes habitudes alimentaires de manger des légumes et du riz au petit déjeuner. Ici on est loin des mœurs alimentaires d'Ahamikah comme tu peux t'en rendre compte. Pas de simili cacao et des céréales industrielles. Une nourriture saine est la base de la vie en Kah-Pousspa.. A bientôt. "
 
C'est vrai, je n'avais l'habitude que de manger du lait tantôt au cacao tantôt nature avec des céréales aux multiples vitamines. Je m'étais souvent posé la question comment se faisait-il que chaque céréale que j'avalai contenait la même dose de vitamine les une que les autres. Je me demandais aussi si c'était les céréales qui me nourrissaient ou bien les vitamines. Si ce sont effectivement les vitamines il doit yen avoir aussi dans le plat à ma disposition. Je décidais alors de m'en nourrir. C'est la première fois que je ne mangeais pas quelques choses de sucrés le matin. Ce n'était pour me déplaire et j'appréciais ce mets.
" Décidément les gens de Kah-Pousspa sont bizarre " m'exclamais-je, puis me corrigeai " peut-être est-ce les gens d'Ahamikah qui le sont " je me sentais plus convaincu par la deuxième proposition. C'est d'ailleurs parce que je me sentais pas à ma place dans la Vie en Ahamikah que j'avais décidé de partir vers Kah-Pousspa pour trouver une vie qui me conviendrait. C'est à ce moment que je pris la résolution de rester ici en acceptant la  proposition de l’homme. J'étais encore loin de savoir ce qui allait m'attendre.  
 
Quelque chose me troublait en Ahamikah, je trouvais que quelques choses ne tournaient pas rond. On poussait les gens à consommer tout et n'importe quoi. Les gens couraient après l'argent pour s'approprier des biens qui leur provoqueraient du plaisirs. J'avais compris que la vie était comme çà. On aspirait tous au bonheur et qu'en Ahamikah celui-ci se trouvait dans la consommation de bien accessible grâce à l'argent. Tout était prétexte pour s'enrichir. Les actes les plus abominable était courant. Je ne me considérai pas comme un consommateur, je n'avais que très peu de besoins. Je ne voulais pas m'en créer me demandant si je pouvais y subvenir régulièrement. Je m'étais aperçu que j'étais devenu accro à la télévision et qu'il m'était difficile de m'en passer. J'avais donc pensé qu'il en serait de même si je commençais à m'attacher à tout ce qui promettait des instants de bonheurs et de joie selon les publicitaires. Je ne pense pas que mon mal-être provenait de ce refus de mettre les deux pieds dans la société de consommation mais que mon état psychologique en était fortement lié. J'étais souvent seul dans ma chambre à écouter de la musique et regarder des films. A l'école, je m'ennuyais. Souvent je regardais par la fenêtre observant les rares oiseaux s'ébattant dans un ciel grisé par la pollution industriel. Quand je m'efforçais d'écouter mes professeurs il suffisait que ceux-ci prononcent un mot qui me fasse penser à quelques chose pour partir dans mes rêves éveillés ! Je n'arrivais jamais à suivre un cours. Mes résultats scolaires s'en faisaient ressentir et je désespérais touts mes professeurs qui pensaient que j'étais un gros fainéant, il y avait un peu de cela mais ce n'était pas tout. Jamais un professeur ne m'eu demandé si j'allais bien ou si j'avais des soucis. De toute façon je leur aurai répondu que non. J'étais quelqu'un de replié sur lui-même, très timide et n'osant intervenir pour exprimer mes doutes et ce que je ressentais. Les rares fois où je parlais à voix haute c'était uniquement en classe pour faire rire mes camarades et le professeur. Celui-ci n'approuvant pas toujours mes interventions évidemment. Ca donnait l'impression que j'avais de l'assurance et je cachais ma vrai nature derrière cette facette. Et cette apparence de troublions qui masquait mon mal être, renforçait l'idée que ce faisait de moi la classe enseignante, un branleur de première ordre loin d'être bête. Ce qu ils ne savaient pas c'est que ces interventions en classe étaient le seul moment où je m'exprimais et rigolais. Je me sentais différent comme si le moule utilisé pour le cake que je suis n'était pas du tout identique à celui utilisé pour les autres personnes, d'une forme incompatible. Essayez de faire une tarte avec un plat à kouglof. Ce que je ne savais pas, c'est si j'étais la tarte ou le Kouglof.
 
Après ce repas je lavai soigneusement le plat à l'aide dune bassine se trouvant dans l'évier et rangea l'assiette faite en ardoises avec les autres et sorti prendre l'air. Le ciel était bleu azur comme souvent je l'avais constaté dans cette région. L'air vivifiant, je la respirais à pleins poumons. Le premier soleil était déjà haut ds le ciel, Mahanne-Té  à mi-chemin. D'ici quelques heures il sera de retour et je lui annoncerai mon choix. Pour la première fois je me sentais libre et avait l'impression de pouvoir utiliser mon libre arbitre.
 En attendant, je vais faire un saut dans la cabane du fond et nourrir de ce fait les cochons. J'ouvris la porte et cette odeur nauséabonde était toujours présente. Je me pinçais le nez, refermait la porte et m'assis au-dessus du trou. " Il faut que je m'habitue à cette odeur ". Pour ce faire je prenais de petite bouffée d'air à intervalle régulier en espérant m'habituer à cette puanteur. Une puanteur des plus naturelle. Je souriais bêtement à l'idée que j'étais entrains de contribuer à l'émancipation de la nature en chiant un coup. Ce qui me fit presque perdre l'équilibre. Pendant les mois où je vivais dans la forêt je me plaisais à faire mes besoins dans la nature, une sensation de liberté m'emplissait le corps. Cette même sensation je la retrouvais mais décupler à cet instant même. Une fois mon pâté fini je cherchai du regard de quoi m'essuyer et aperçu quelques de ce qui me semblait être des feuilles issu du bananier. J'en avais déjà vu à la télé sur la chaîne Nature. Ah, cette bonne vieille télé, que de nostalgie, je n'en m'étais pas totalement désintoxiqué. Malgré le nombre de conneries retransmis sur toutes les chaînes, il y avait une part minime de choses intéressantes. C'est à ce moment que je me fis une des plus importantes réflexions qui me permirent plus tard d'avancer dans ma quête du spirituel : " Même derrière la boue, se trouve de l'or ".
Derrière les apparences de cet homme se trouvait une personne formidable, derrière la vétusté de la maison, celle-ci renfermait une chaleur humaine que je n'avais encore jamais ressentie et que n'importe quels autres décors et artifices n'auraient pu me procurer.
 
L'homme rentra  quelque temps après et je lui annonçai la nouvelle.


 
voili voilou le genre de passage "moral" que j'ai quelques fois, à vos avis !
 
 

Citation :

Amibe_R Nard a écrit :

Comme Jinko le dinosaure ?
Album jeunesse que l'on trouve à la FNAC  :)
 
 
En tout cas, voilà des noms. Il te suffit maintenant de les vêtir avec des personnages en chair et en os. Et de raconter comment ils se sont tous rencontrés  (ce qui peut être fait dans ton histoire)
 
Continue à écrire. A chaque petit pas, tu progresses.
Et prends-y plaisir.
 
Bien Amicalement
 L'Amibe_R Nard



 
Connait pas le dinosaure par contre je connais Ginkgo biloba surement un contemporain mais c'est pas le même règne.


Message édité par Positiviste le 19-04-2007 à 22:49:22

---------------
ploum ploum tralala
n°11243097
druduss
Posté le 19-04-2007 à 22:07:51  profilanswer
 

Ce topic bouge bien  :D  
Allez, histoire de donner un peu de pep's, voici un début de récit que j'ai écrit un soir. C'est assez étrange, dites-moi ce que vous en pensez.
Le texte n'est pas fini, je sais pas trop encore ce que je peux en faire.
 
 
*texte effacé*


Message édité par druduss le 07-05-2007 à 15:33:35
mood
Publicité
Posté le 19-04-2007 à 22:07:51  profilanswer
 

n°11263032
Amibe_R Na​rd
Posté le 21-04-2007 à 22:05:07  profilanswer
 

[quotemsg=11205653,846,401561]J'en ai un moi ! Dites ce que vous en pensez, ça serait sympa !
Le voici :  
 
La sonnerie du téléphone retentit dans le salon. Je décrochais. C’était encore ma mère. Je racrochais tout de suite, une fois les banalitées d’usage débitées.
 
/ La sonnerie du téléphone retentit dans le salon.
 
Phrase un rien banale, mais la situation est tendue.
 
La sonnerie du téléphone retentit trois fois dans le salon.
 
Nous décrochâmes, donc je décrochai.
 
Je raccrochai (idem)
 
Je racrochai tout de suite, une fois les banalités d’usage débitées. (manque un peu d'explications)
 
Je racrochai tout de suite, une fois les banalités d’usage débitées. Oui. Non. Merci. C'est ça, à demain.
/
 
 
 
 Ca n’avait pas d’importance. Elle était habitué à mon amabilité. Il était huit heures, déjà. Je  
 
/habituée
vingt heures
/
revins vers le canapé, allumai le poste. Après, je m’endormis.
 
/Amusant cette proportion de héros en "je" qui s'endorme et se couche.  :)
 
pour justifier que ton personnage s'endorme
Je racrochai tout de suite, une fois les banalités d’usage débitées. Oui. Non. Merci. C'est ça, fatigué par le boulot, à demain.
/
 
Je me réveillais quelques heures plus tard. Les volets étaient encore tirés. Il faisait obscur  
 
/réveillâmes
volets étaient encore tirés (me semble logique puisque ton personnage vient juste de se réveiller... et qu'il est plutôt seul pour l'instant)... Si tu le mentionnes, il faut expliquer le pourquoi du comment. Pourquoi le personnage trouve cette situation bizarre.
 
Les volets étaient encore tirés. Chthulhu n'était pas encore passé. (l'expliquerait bien :D)
 
Il faisait obscur (c'est un verbe faire de trop.
Le faisan de l'obscurité étirait ses pattes noires dans la pièce.
/
 
dans la pièce, triste. Je regardais l’horloge : ça n’avait pas beaucoup avancé. Je pris ma veste,  
 
/regardâmes
/
enfilait les chaussettes qui trainaient. J’étais prêt ; je sortis.
 
/enfilai
traînaient.
 
Prêt à quoi ?
 
Une veste et des chaussettes... donc ton gars est cul nu, sans pantalon, sans chaussure... Ok, c'est un exhibitionniste à la veste  :)
 
Ici, il faut se poser la question de l'importance des détails utilisés.
 
Ça n'avait pas beaucoup avancé. Je m'habillai rapidement. Une paire de chaussettes propres, quatre préservatifs et ma veste de daim. J'étais prêt ; je sortis.
 
Tout est clair et dit. :D
 
Là, on ne sait pas à quoi est prêt ton personnage.
/
 
Après avoir un peu marché, un peu comme ça, au hasard, je m’assis sur un banc. J’étais fatigué ; le soleil me fouettait légèrement le visage ; ce n’était pas désagréable.
 
/Oui... et pourquoi ?
Ton personnage aime le fouet ?
Pourquoi est-il fatigué ?
/
 
 
Je n’étais jamais passé dans ce coin-ci de Montmartre.  
 
/Comme quoi, les quatre préservatifs...  :)
/
 
 
Il n’y avait pas grand-chose à y voir, finalement.  
 
/à voir
/
 
 
C’était partout pareil. En face, se présentait une petite galerie d’art. Elle n’était pas vraiment attirante ; j’y entrais quand même, poussé par la curiosité
 
/là aussi, il faudrait expliquer pourquoi.
Pourquoi étant fatigué ton personnage va se vautrer dans une petite galerie d'art sans prétention.
/
 
Elle se trouvait comme on pouvait l’imaginer : sans prétention, mais avec des éclairages soignés. Et une dame d’accueil un peu agé, la cinquantaine.
 
/âgée
 
La Godasse plombée pour ton "âgé à la cinquantaine"  :D
 
Mais bon, comme ton personnage n'a pas annoncé son âge personnel, on ne peut pas savoir... Là, chacun peut l'imaginer à sa façon... Celui de cinquante ans va tomber sur un os ici, parce qu'il n'a pas imaginé un instant que ton personnage ne soit pas comme lui.
 
Il faudrait donc que ton personnage avoue/annonce une action qui corresponde à son âge.
 
Célibataire, il pourrait récupérer des chaussettes dans la panière de linge sale.
 
Sinon, pour mieux faire passer la cinquantaine
Et une dame d’accueil un peu âgée, la cinquantaine grisonnante.
 
On annonce quelque chose, on le prouve.
 
/
 
J’engageais la conversation, car l’entrée était payante
 
/engagâmes
/
 
- Bonjour madame…
- Bonjour. C’est pour voir uniquement, ou vous désirez acheter ?
- Essentiellement pour voir, merci.
- Je vous laisse continuer tout seul alors conclut-elle.
Je lui marmonais que oui, payais les 20 € et avançais vers ce qui ressemblait à l’unique pièce  
 
/je te passe maintenant les marmonnâmes, payâmes, avançâmes, etc.
 
20 euros, c'est plutôt cher pour voir, non ?
135 Francs
/
d’exposition. C’étaient cinq tableaux.  
Ils étaient tous à peu près pareils ; je me disais que seul un esprit artiste pouvait distinguer les nuances.
 
/Oui, et ils représentent quoi ces tableaux ?
/
 
 
 C’est ce que devait aussi se dire la femme d’accueil, qui me jetait des regards noirs.  
 
/Et pourquoi ?
Il s'est curé le nez :D ?
/
 
 
Visiblement, il me manquait quelque chose.
Je sortis bien vite. La peinture me sortait par les yeux. Tout ça, toutes ses formes, ses couleurs ne me disaient rien.  
 
/toutes ces formes, toutes celles-ci
/
 
Je m’en fichais.  
 
/Nous nous en fichions, donc c'est bien un imparfait ici  :)
/
 
 
Je repris ma place sur le banc. Le soleil derrière s’était couché.  
 
/derrière qui / quoi .
/
 
 
Il restait quelques rayons qui se perdaient dans l’air. Cela avait de jolis accents poétiques. Je décidais alors de rentrer ; la métaphysique m’ennuyait.
 
La nuit fut bien difficile. Des choses criaient dans ma tête, sans jamais me laisser en repos.
A quatre heures, n’en pouvant plus, je pris des somnifères. Je m’endormis. Puis à nouveau on recria. Je criais moi-même : ça ne pouvait plus durer. Je décidais de sortir.
 
/recria dans ma tête.
/
 
La rue me calma.
Les trottoirs étaient tout brillants, tout humides encore ; il avait un peu plus cette nuit. Des  
 
/plu
/
flaques, partout. Et moi, cahotant sur les pavés.
J’allai au grand escalier. Celui des japonais, des touristes. Où l’on voit tout Paris. Je m’assis là sur les premières marches. Je pris une cigarette, tirai quelques bouffées dessus ; je la jetai sur les marches plus bas.  
 
/on ne comprend toujours pas pourquoi le personnage agit ainsi.
 
C'est ce qui manque dans tout ton texte.
Toi, tu sais pourquoi le personnage agit de cette façon. Le lecteur qui part du blanc total est incapable d'imaginer pourquoi il est là plutôt que dans un troquet.
/
 
Il faisait froid. C’était le vent. Je frissonnai, parcouru de tremblements. Au loin je voyais Les Halles, le centre Georges Pompidou. Cela me fit rire. Je riais ainsi seul dans la nuit.
Ce quartier m’avait toujours foutu la nausée. Montmartre. « Tant d’héritages » pensais-je.
Ici avait vécu Picasso, Dali ; là les surréalistes ; cela, tout le monde appréciait ; l’été, les  
 
/Ici auront vécu Picasso, Dali
donc avaient
/
 
flashs éclairaient autant que le soleil. Je n’en pouvais plus. J’aurais voulu aller où il n’y avait rien.
J’avais hérité de mon appartement à la mort de ma mère,  
 
/Donc, il semblerait que la mère morte continue à lui téléphoner.
Il faudrait qu'elle lui crie de sortir pour montrer l'anormalité du phénomène.
/
 
 
 
en plus de ses deux villas dans le sud. Cela m’avait apparu plus pratique de rester sur Paris ; le boulot n’était pas loin, les loisirs non plus.  
Je tirais une nouvelle cigarette. Je la fumais jusqu’au filtre. Pour voir, je continuais à la tenir ; elle finit par me brûler les doigt. Je les laissais roussir, puis la lachait. Il n’en restait presque  
 
/lâchai
avec je, il ne peut y avoir de t, en entendant lâchâmes, c'est clair.
/
rien à terre. Je me levai, l’écrasai ; le vent berceur dissipa les restes.
Un peu plus tard, il y eu le jour. La journée commençait. J’allai acheter deux croissants au  
 
/il y eut le jour
un peu plus tard, le jour escalada la tour Eiffel.
/
beurre chez le boulanger. Je les dévorais. Les gens partaient devant moi. Ils apparaissaient derrière leur porte, l’air encore endormis, pas tout à fait convaincus par la vie. Je les laissais à leur malheur ; j’avais décidé d’aller voir un film. Il y avait longtemps que je n’étais pas entré dans une salle de cinéma. Pourtant j’ai toujours aimé ça, Welles, Godard, Truffaut, Scorsese en particulier.
Je pris le métro pour l’UGC des Halles. Je tombais au hasard du regard sur une affiche attrayante. Je demandai deux tickets pour le film de l’affiche ; c’était la salle quatre, les WC étaient plus loin, je devrais attendre quelques minutes avant d’entrer. Le film s’appelait « Du sang sur les murs ».
 
 
/Pourquoi celui-là plutôt que les 101 dalmatiens ?
 
« Du sang sur les murs ».
Celui de ma mère au bas des marches. J'allais jouir à ce très bon souvenir.
 
(enfin peut-être :) )
 
« Du sang sur les murs ».
Celui de ma mère au bas des marches. Mon psy allait détester.  (présenterait une autre finale)
 
 
 
Donc, là, tu as l'idée, il te reste à l'enrober, à l'activer (l'actionner), à résoudre tous les pourquoi, et à la conclure d'une manière ou d'une autre.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11326790
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 26-04-2007 à 16:38:04  profilanswer
 

Salut a vous tous un editeur ma remarquer  son edition est pas très connus mais c'est pas grave je suis quand même contente,il a lut une première version de mon livres et a trouve sa boureé de faute ensuite j'ai recommencer et je lui est fais lire il a dit que il adorer comment j'ecriver que je faiser moins de faute et que il aller me passer le logiciel ou tu parle dans un micro et que sa ecrit  bon aurevoir et paix a votre Ame  ^^

n°11326839
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 26-04-2007 à 16:42:23  profilanswer
 


En realité shadow est le nom d'undragon javais penser a Nocturn mais  enfain de compte javais préférer Shadow si ta des nom pour Dragon Loup (son nom c'est emraude) et jinko c'est pas le nom d'un dinosaure :fou:  :fou:  :fou:  en réalite c'est le nom d'un arbre ginko bilouba mais c'est aussi le nom de mon chat a+ youna

n°11327998
Amibe_R Na​rd
Posté le 26-04-2007 à 18:28:57  profilanswer
 

youna and jinnas a écrit :

En realité shadow est le nom d'undragon javais penser a Nocturn mais  enfain de compte javais préférer Shadow si ta des nom pour Dragon Loup (son nom c'est emraude) et jinko c'est pas le nom d'un dinosaure :fou:  :fou:  :fou:  en réalite c'est le nom d'un arbre ginko bilouba mais c'est aussi le nom de mon chat a+ youna


 
Bonjour Youna
 
Alors n'oublie pas, pour l'éditeur qui a remarqué ton texte : on ne paye jamais pour faire éditer son livre, sinon on fait de l'auto-publication et on cherche un imprimeur.  
 
C'est moins cher et on garde tous les droits sur son livre.
:)
 
Pour Jinko, je me doutais bien que tu n'avais pas choisi ce nom en fonction d'un petit dragon pour enfant  :D
 
Gingko Biloba, une plante médicinale pour booster sa mémoire (et réguler la circulation sanguine).
 
Un nom sympa pour un chat.
 
Au fait, ton personnage ressemble à ton chat ?
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11328244
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 26-04-2007 à 18:53:02  profilanswer
 

non mon  le personnage principale c'est lynx ( c'est un nom bizar mais je peut plus mon séparé ) et jinko c'est un Heros
 qui a beaucoup d'humour

n°11328247
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 26-04-2007 à 18:53:15  profilanswer
 

oui il ressemble a mon chat

n°11339586
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 27-04-2007 à 19:20:39  profilanswer
 

J'aimerais vous soumettre un texte. Ca fait un petit bout de temps que je l'ai écrit mais bon:
 
Le ciel se termine par un dégradé de couleur parfait à l’horizon au-delà des silhouettes des hauts sapins. Les beaux jours sont finis. La pluie, le vent et le froid s’installent peu à peu. Les criquets, moins nombreux, chantent, pâle souvenir des soirs d’été où le vent ne faisait qu’effleurer les feuilles et les pétales de roses. Les nuages recouvrent le ciel, plongeant le monde dans l’obscurité presque totale. Le dernier orage de l’année déroule ses rubans de flammes dans le ciel. L’enfant se cache sous les couvertures, serrant sa peluche préférée. Les images terrifiantes apparaissent par flash dans sa mémoire. D’abord floues, puis de plus en plus nettes, de plus en plus horribles. Du sang, des pleurs, des cris... Et les cloches sonnantes de la sombre cathédrale. Des corps étendus, le sentiment d’abandon... Et des cercueils accueillants des êtres aimés. L’enfant hurle et pleure. Larmes d’argent, larmes tranchantes. Ses joues pleurent aussi. Elles pleurent le sang coulé.  
 
Le petit garçon n’est plus dans son lit et son doux ami l’a abandonné. Les vitraux crachent une lumière fantomatique. Le carrelage est froid, mais l’air étouffant. Un rat trottine le long des murs, unique présence de vie. Les ombres des arbres agités sourient hostilement à l’enfant. Le vent se met à siffler au travers des encadrements de portes et de fenêtres. Un souffle chaud épouse la nuque de l’enfant qui sursaute terrorisé. Ou bien est-ce son imagination ? Sans un regard derrière lui, il se met à courir sans fin. Sans savoir où aller. Le plus loin possible. Les portes claquent, des ombres dansent sur les murs. L’orage reprend de plus belle. La lumière l’éblouit mais l’enfant continue de courir. Il se met à hurler ses parents, sa famille. Son cœur s’accélère, ses mains se glacent. Il ne pense plus, il est seulement là, tentant d’échapper à il ne sait trop quoi. Quand ce cauchemar se terminera-t-il ? Ils parcourent des couloirs, des escaliers en marbre blanc, des salles lugubres aux fenêtres découpés par des barreaux. Quelles sont ces pièces ? Et ces intersections ? Les a-t-il jamais vu auparavant ? Le manoir de sa tante n’était pas si grand. Il s’arrête enfin, la respiration saccadée, les joues en feu. Il regarde autour de lui et devine des tableaux accrochés au mur. Le salon est immense comme tous les autres. La bouche béante et noire de suie de la cheminée semble vouloir l’avaler dans les ténèbres mais il ne peut s’empêcher d’approcher. Son pied butte sur un objet et il s’étale de tout son long sur le sol. Sur un sol mou, un sol chaud... Le petit garçon se relève avec hâte et l’horreur se découvre sous ses yeux, à la lumière de l’éclair.
Deux corps sont étendus par terre, tout couverts de sang. Papa ! Maman ! Non, ce n’était pas possible. Ils ne peuvent pas mourir, ils ne doivent pas. Et, plus loin, son grand frère tant aimé qui serre dans ses bras sa petite sœur qui n’est encore qu’un bébé. Tous, ils sont tous morts. L’enfant se met à pleurer et se recroqueville sur le sol espérant qu’on vienne le chercher à son tour. Espérant mourir.
 
Le petit garçon est toujours caché dans ses couvertures, mais désormais les souvenirs sont trop clairs dans sa mémoire pour qu’il puisse s’endormir. Il se souvient son oncle qui avait voulu l’écarter de ce cauchemar. Il se souvient comment il avait tenté de le rassurer, lui, le petit garçon terrorisé.  Il se souvient qu’il lui avait expliqué pourquoi ils étaient morts et pas eux : la maladie. Une maladie qu’aucun médecin n’était parvenu à identifier. Une maladie qui frappait sans qu’on comprenne pourquoi. La maladie.  
Il se souvient comment il l’avait élevé ces deux dernières années et il se souvient comment, finalement, il était mort, lui aussi de la maladie.
 

n°11354545
Borabora
Dilettante
Posté le 29-04-2007 à 15:49:46  profilanswer
 


Editeur à compte d'auteur. Laisse tomber.

n°11356626
Borabora
Dilettante
Posté le 29-04-2007 à 19:41:35  profilanswer
 


Amibe_R Nard l'a impliqué à sa manière, diplomatique et cordiale, je vais donc le dire à la mienne, claire et désagréable : aucun éditeur ne peut avoir "remarqué" un ado de 16 ans qui écrit comme youna and jinnas, et encore moins "adoré" son texte (remonte de 2 ou 3 pages pour voir un extrait). Faut quand même pas rêver. ;) Si cet éditeur existe, c'est donc un "éditeur à compte d'auteur", c'est-à-dire un prestataire de services qui te fait payer tous les frais pour t'éditer. Eux n'ont rien à carrer de ton texte, ce qu'il veulent est ta clientèle. Après, qu'ils soit diffusé ou pas, se vende ou pas, peu leur importe : ils vivent de ce que leur payent les auteurs, pas les lecteurs. A éviter à tout prix.

n°11359087
druduss
Posté le 29-04-2007 à 22:35:33  profilanswer
 

Le but des éditeurs à compte d'auteur à une époque, était d'obtenir des critiques et retours sur son texte. Avec Internet ce n'est plus nécessaire, vous pouvez écrire sur un blog :
http://zordar.over-blog.com/8-categorie-325768.html
 
Sur un site :
http://www.lesenfantsdelo.com/news/index.php
 
Ou plus simplement poster des extraits sur un site "professionnel" :
http://cocyclics.org/  
(le forum)
 
 
Sinon personne n'a un petit avis sur mon texte ?  :whistle:

n°11359771
Borabora
Dilettante
Posté le 29-04-2007 à 23:19:17  profilanswer
 

druduss a écrit :

Le but des éditeurs à compte d'auteur à une époque, était d'obtenir des critiques et retours sur son texte.


Je ne sais pas si c'est ce que tu voulais dire, mais mettons les points sur les i : il n'a jamais, à aucune époque, été possible d'avoir des critiques et retours sur son texte avec un éditeur à compte d'auteur. C'était au mieux une illusion, et ces derniers jouaient d'ailleurs (et jouent encore) sur la vanité de l'auteur qui sera prêt à sortir son chéquier pour peu qu'on lui dise "j'aime beaucoup ce que vous faites, nous pourrions vous publier". Le principe même d'un éditeur à compte d'auteur est de publier tout ce qu'il reçoit. C'est son gagne-pain.

n°11370276
druduss
Posté le 01-05-2007 à 00:00:18  profilanswer
 

Si on te vole ce que tu écrit, tu devrais essayer les maisons d'éditions  ;)  
Et sans doute non. Par contre tu peux t'envoyer tes textes par la poste dans une enveloppe scellé. Le cachet de la poste fera foi, c'est valable et reconnu.
 
@BoraBora,
Par hasard tu aurais pas eu une mauvaise expérience avec ce genre d'éditeur ?  :D  
Mais je suis d'accord avec toi, tu as sans aucun doute raison.

n°11370823
Borabora
Dilettante
Posté le 01-05-2007 à 00:47:01  profilanswer
 

druduss a écrit :


@BoraBora,
Par hasard tu aurais pas eu une mauvaise expérience avec ce genre d'éditeur ?  :D  
Mais je suis d'accord avec toi, tu as sans aucun doute raison.


Ca risque pas, puisque je n'écris pas. :D Mais par contre, pour avoir été immergé dans le monde des livres (travail/fréquentations) depuis 30 ans, j'en sais assez pour pouvoir formellement déconseiller à quiconque l'édition à compte d'auteur. Mais mieux vaut en parler sur le topic "Se faire éditer", ici c'est HS. ;)

n°11378832
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 01-05-2007 à 20:54:33  profilanswer
 

je vous dois le respetc excuser moi vous aer raison mais le texte de lynx date de  quand javais 12 ans est c'est ma peste de soeur  qui le mit :d :d  

n°11388564
Durack
Posté le 02-05-2007 à 17:57:17  profilanswer
 

Pour les apprentis écrivains de SF ou HF faites gaffe de pas tomber dans le cliché exploité et sur-exploité qui, bien qu il puisse paraitre sympa pour son auteur, est le plus souvent lourd à lire pour le lecteur. A vouloir à tout prix contruire un fresque épique, on écrit finalement qu un petit roman. (petit pas par la taille malheureusement)
Les histoires de mechants s'apellant dark ou shadow.....ça soule. Rencontrer des super héros bardés de super pouvoir à chaque coin de rue..ça soule.
 
Enfin les "ça soule" n'engagent que moi.

n°11391840
Borabora
Dilettante
Posté le 02-05-2007 à 21:23:00  profilanswer
 


Loin de moi l'idée de défendre les romans simplistes et manichéens assemblés à partir de clichés, mais attention tout de même à ne pas confondre la lassitude personnelle avec celle du public. ;) On grandit, donc on veut autre chose, mais d'autres lecteurs plus jeunes arrivent, et veulent la même chose que ce que l'on aimait à 13 ans. L'affrontement du gentil héros contre le super-méchant qui incarne le mal absolu, ça fait 2500 ans que ça dure, et ce n'est pas près de finir. :p La fantasy touche essentiellement un public très jeune, enfants et ados, qui à eux seuls en consomment la plus grande partie. Ce public-là se renouvelle complètement tous les 5 ans (11 à 16 ans, on va dire).
 
Mais ce n'est pas une excuse pour écrire toujours les mêmes histoires, évidemment. Simplement, il faut se souvenir que les thématiques principales (bien vs mal, en particulier) sont celles qui nous ont touchées quand nous avions 14 ans, touchent ceux qui les ont aujourd'hui, et toucheront dans trois ou quatre ans ceux qui vont arriver à cet âge.

n°11395353
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 02-05-2007 à 22:59:16  profilanswer
 

Borabora a écrit :

Loin de moi l'idée de défendre les romans simplistes et manichéens assemblés à partir de clichés, mais attention tout de même à ne pas confondre la lassitude personnelle avec celle du public. ;) On grandit, donc on veut autre chose, mais d'autres lecteurs plus jeunes arrivent, et veulent la même chose que ce que l'on aimait à 13 ans. L'affrontement du gentil héros contre le super-méchant qui incarne le mal absolu, ça fait 2500 ans que ça dure, et ce n'est pas près de finir. :p La fantasy touche essentiellement un public très jeune, enfants et ados, qui à eux seuls en consomment la plus grande partie. Ce public-là se renouvelle complètement tous les 5 ans (11 à 16 ans, on va dire).
 
Mais ce n'est pas une excuse pour écrire toujours les mêmes histoires, évidemment. Simplement, il faut se souvenir que les thématiques principales (bien vs mal, en particulier) sont celles qui nous ont touchées quand nous avions 14 ans, touchent ceux qui les ont aujourd'hui, et toucheront dans trois ou quatre ans ceux qui vont arriver à cet âge.


 
+ 1
 
Je rajouterais juste qu'on écrit pas forcément pour etre aimé, mais aussi pour soi.
j'ai 23 ans je lis pas de fantaisy alors si j'en lis un et que des personnages portent ce genre de nom c'est méga secondaire. Le charisme qui me parait plus important, peut trés bien coller au nom du personnage meme si c'est un nom déjà vu et là çà me génera pas non plus. Et puis on retrouvera forcément quelque part cette dualité de bien et mal.  Juste la forme qui change le fond c'est souvent plus difficil.
 
Mais aprés, c'est sur qu'écrire pour des lecteurs débutant qui découvre un genre et pour des lecteurs avertis, qui n'ont pas assez de doigt pour compter les ouvrage lu, en manque de sensations fortes, c'est pas la meme chose.


Message édité par Positiviste le 03-05-2007 à 11:42:31

---------------
ploum ploum tralala
n°11407136
Amibe_R Na​rd
Posté le 03-05-2007 à 20:45:19  profilanswer
 

youna and jinnas a écrit :

je vous dois le respetc excuser moi vous aer raison mais le texte de lynx date de  quand javais 12 ans est c'est ma peste de soeur  qui le mit :d :d


 
 
Salut  
 
qui le mit là, je présume...
 
C'est pourquoi il a été remarqué ?
 
Je ne serai pas aussi défiant que BoraBora :)  
 
Sur le Net on tombe parfois sur des gens qui ne prennent pas d'argent, qui publient sur leur site, et qui font les corrections appropriées.  
Ça vaut ce que ça vaut, mais ça existe, et certains font du bon travail.
 
 
Et du moment que l'on garde tous ses droits sur l'ouvrage, et que l'on ne paye pas, pourquoi s'en priver.
 
Comme il n'est pas mauvais d'offrir gratuitement ses nouvelles à des fanzines ou sur certains sites gratuits. En ciblant bien, on arrive à se faire connaître pour placer ses prochains textes dans des revues professionnelles. Donner au début pour être récompensé ensuite.
 
 
Car, si on vous a déjà publié, il est toujours envisageable de vous publier encore.
Le tout est d'avoir quelques références sérieuses à présenter.
 
 
 
Pour ceux qui caressent l'espoir d'en vivre, il ne faut pas oublier qu'il s'agit là d'une carrière, d'un métier sur du long long terme, soit au-delà de la retraite (à 8 – 10 heures par jour, tous les jours, dimanche compris *). Sauf à écrire un best-seller et d'avoir la chance terrible d'être propulsé par un éditeur qui y croit très fort. Ou, qui sait lire vos potentialités par-dessous et par-dessus vos mots, et les bénéfices qu'il pourra en tirer si ça marche. :)
 
 
(*) Oui, parce que vous ne réussirez pas à écrire un roman qui sera pris à chaque fois. Il faut compter sur près d'un loupé sur deux. Au moins au début, et une notoriété c'est toujours fragile. Le public est changeant, sauf si vous êtes excellent.
Et après, on ne parle plus tout à fait d'écriture, mais de chiffres de vente.
 
 
L'autre idée, c'est d'écrire en anglais. On s'ouvre au marché mondial, et à quelques 4 milliards de lecteurs potentiels... pour la majorité en deuxième langue.
 
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11407294
Positivist​e
Reaction Apathique
Posté le 03-05-2007 à 21:01:05  profilanswer
 

Amibe_R Nard a écrit :

Salut  
 
[...]
L'autre idée, c'est d'écrire en anglais. On s'ouvre au marché mondial, et à quelques 4 milliards de lecteurs potentiels... pour la majorité en deuxième langue.
 
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard


 
tu connais des correcteurs  qui parlent bien anglais ? parce que jme suis dit y a une paire de jour que pour apprendre mieux cette langue je pourrais traduire ce que j'ai déjà un peu corrigé.

Message cité 1 fois
Message édité par Positiviste le 03-05-2007 à 21:02:12

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ploum ploum tralala
n°11408503
druduss
Posté le 03-05-2007 à 22:44:43  profilanswer
 

J'ai lu un article sur les écrivains français. 98% d'écrivains ne vivent pas de leur plume mais d'un deuxième métier.
Il faut d'abord écrire pour soi, et donc pas pour être publier.
 
Mon unique conseil, c'est de garder l'écriture comme un gros hobby plutôt qu'un métier (sauf en cas de best-seller, mais bon...).

n°11417953
Amibe_R Na​rd
Posté le 04-05-2007 à 19:08:16  profilanswer
 

Positiviste a écrit :

tu connais des correcteurs  qui parlent bien anglais ? parce que jme suis dit y a une paire de jour que pour apprendre mieux cette langue je pourrais traduire ce que j'ai déjà un peu corrigé.


 
Salut
 
Traduis, et tu apprendras des deux côtés. :)
 
- d'abord l'anglais/l'américain (presque pareil, mais pas tout à fait la même chose)
- ensuite les subtilités de chaque langue, dont le français.
 
Traduire, c'est toujours une gymnastique mentale : traduire le mot ou l'esprit ?
 
 
Sinon, il te faudra trouver une liste d'écrivains amateurs en langue anglaise.
Là, tu auras les corrections qu'il te faut.
 
Bien Amicalement
     L'Amibe_R Nard

n°11460819
EricFerris
Posté le 08-05-2007 à 00:52:31  profilanswer
 

druduss a écrit :

Citation :

Un des problèmes que j'ai rencontré est de trouver des unités de temps, de mesures qui ne soient pas celles de notre civilisation Terrienne.  


 
Est-ce vraiment une bonne idée ?
Tu prends le risque de perdre le lecteur, réfléchis bien !


 
 
Druduss,
 
Je suis d'accord avec toi. Ce n'est pas une bonne idée. Après tout, les dialogues que tu écris ne sont sans doute pas en français, tu les "traduis". Cette "traduction" inclut aussi les unités de temps. Ainsi, le lecteur peut se focaliser sur l'essentiel, qui sont l'histoire et les personnages. Il n'a pas à se demander si un schmoug est plus court qu'une minute ou s'il confond avec les mlushkounes.
 
C'est ce que j'ai fait pour mon roman de fantasy: j'ai utilisé nos minutes et heures. La seule exception est que je n'ai pas utilisé la semaine, dont les sept jours sont basés sur la Génèse: sans civilisation judéo-chrétienne, la semaine est sans doute différente.
 


---------------
-- Le coin du scribe: http://ferrisfantasy.blogspot.com
n°11462522
druduss
Posté le 08-05-2007 à 10:24:48  profilanswer
 

Tout à fait d'accord avec toi.
Par contre il faut utiliser l'année, soit 365 jours. C'est la durée que la Terre à tourner autour du soleil (un tour complet).
Les Egyptiens l'utilisaient déjà, pour eux ils y avaient 360 jours de travails et 5 jours de fêtes religieuses intenses.
 
Bon après si tu est sur une autre planète la durée peut changer. Mais mieux vaut garder le nom, car c'est universelle (on peut dire une année Martienne).

Message cité 1 fois
Message édité par druduss le 08-05-2007 à 10:25:46
n°11463984
EricFerris
Posté le 08-05-2007 à 13:16:48  profilanswer
 

druduss a écrit :

Tout à fait d'accord avec toi.
Par contre il faut utiliser l'année, soit 365 jours. C'est la durée que la Terre à tourner autour du soleil (un tour complet).
Les Egyptiens l'utilisaient déjà, pour eux ils y avaient 360 jours de travails et 5 jours de fêtes religieuses intenses.
 
Bon après si tu est sur une autre planète la durée peut changer. Mais mieux vaut garder le nom, car c'est universelle (on peut dire une année Martienne).


 
Vrai. Les romans de SF se déroulent souvent sur des planètes autres que la Terre, et leurs périodes de rotation sont données en fonction du jour et de l'année terrestres.
 
Pour la fantasy, par contre, c'est plus subtil. La règle non écrite est souvent que le récit de fantasy se déroule dans une Terre qui aurait subi une sorte d"évolution parallèle, avec magie, monstres, etc. C'est largement la faute de Tolkien, bien sûr. Les mondes de fantasy offrent donc des cartes géographiques qui prouvent que nous ne sommes pas dans notre monde, et pourtant, le plus souvent, il y a une lune, un soleil jaune, des arbres et animaux terrestres, etc. C'est une évolution de l'univers du conte de fées, et très rares sont les auteurs qui osxent briser cette règle.
 
Car la vérité, c'est qu'en évitant de distraire le lecteur avec trois lunes et deux soleils, on parvient à mener le récit plus vite, ce qui est l'essentiel!
 
 -- Eric Ferris (ferrisfantasy.blogspot.com)


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n°11511903
youna and ​jinnas
younapeurlz93
Posté le 12-05-2007 à 20:56:34  profilanswer
 

Ma soeur qui a 14 ans est jalouse de moi   :'(  parce'que tout se que je fesait je le reussisait les garcons tout le brevet  enfain presque tout sauf l'ecriture jai des idee genial mais je suis nul en horthographe en plus le langage sms et msn  ne maider pas dutout alors je vais prendre des cour de francais en plus   ma soeur et jalouse et pour montré a tout le monde mais faute elle a mis des texte que jai ecrit    mais a  douze as  desoler pour les lacunes et merci car vous aver aider ma soeur en orthographe    :d :d :d :d :d

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