Reprise du message précédent :
effectivement, pour le nitrate, c'est assez putassier, mais les deux points me préocupent bien plus :  

• fin des jachères imposées par la politique agricole commune  
• généralisation des néonicotinoïdes, ces fameux insecticides neurotoxiques

Il me semble justement que les insectes, même si on aime pas ça, c'est très important pour la bio-diversité et notre éco-système et l'usage des insecticides est justement quelque chose de sensible à ce sujet

Doc sur les OGM ce soir sur Arte :
Je cite mon guide TV : "reportage inquiétant"
Encore une fois, un Doc anti donc

Faudrait qu'on fasse un bingo.

Re (quoique je ne l'ai pas vu passé), mais ça fait toujour du bien!  
 
La culture scientifique est à reconquérir
 
 

MONSANTO N'EXISTE PLUS  

 
 
« Nous allons écouter ceux qui nous critiquent et travailler ensemble », mais « le progrès ne doit pas être stoppé en raison d’un renforcement des fronts idéologiques », a déclaré Werner Baumann, PDG de Bayer, dans un communiqué.
 
 

 
C'est un nom qui a tellement une mauvaise donc il vaut mieux le faire disparaître.

Je pose ça là, un bon article sur les OGM (en anglais)
 
A HARD LOOK AT GM CROPS (pdf)
Superweeds? Suicides? Stealthy genes? The true, the false and the still unknown about transgenic crops.
BY NATASHA GILBERT
 

 
   
 
J'aime bien la fin
 

 
gogoltrad  
 

http://www.h2mw.eu/redactionmedica [...] alini.html

3 études, 15M d'euros, 150 journalistes et 200 parlementaires prévenus et pas un écho.

C'est dingue...

 
La réponse n'est pas politiquement correcte.
Avouer qu'on a tord est un acte de faiblesse en France...

Ça rejoint aussi l'adage, dire une connerie ça prend 5 minutes, la debunker prend 6 ans et 15 millions d'euros...

Le Figaro en a parlé.

Oui je viens de voir ça.

 
6 ans c'est optimiste, Wakefield fait toujours des ravages 20 ans après sa publication et 8 ans après que la fraude ait été dévoilée. Je prends le pari que dans dix ans on en sera quasiment toujours au même point sur les OGM.

Débunkage de la n-ième redifusion d'un docu lavage de cerveau de ce soir sur ARTE (pour ceux qui hésitent entre le foot sur TF1 et sur M6 )
http://seppi.over-blog.com/2016/03 [...] isuel.html

 
Mais  que...  
 
Sont gravos quand même.

c'est claire

 
https://www.contrepoints.org/2018/0 [...] ientifique

Je lisais un petit bouquin hier.
1) quand on fait un bébé, on fait un OGM, chimère,...
2) dans un OGM on modifie de quoi à ce un organisme produise une ou 2 protéines de plus que les dizaines de milliers que produit déjà l'organisme avant modif, soit moins de 0,01%
3) tous les êtres vivants sont cousins entre eux, la preuve : un gene d'éléphant dans une betterave, ça fonctionne toujours
4) dans un OGM on invente aucun gêne, on transfert un gène d'un truc dans un autre.
5) pour les x millions de diabétiques insulinodependants ce sont des OGM qui produisent l'insuline.
6) la vie ce sont des réactions chimiques, donc opposer chimique et naturel n'a pas de sens
7) les plantes comestibles"anciennes naturelles" ça n'existe pas car même avant l'agriculture, les plantes étaient déjà sélectionnees et favorisées. C'est comme si on disait qu'un berger allemand était plus naturel qu'un caniche....
8)...

Monsanto condamné à 297M$ après le rachat par un européen . Lol cette amérique putassière qui n'a pas levé le petit doigt pendant 20 ans . L'UE devrait attaquer les USA pour négligence.

http://www.leparisien.fr/societe/p [...] 849767.php

 
 
Je rappelle les résultats obtenus sur la cohorte de l'AHS (Agricultural Health Study). Il s’agit d’une étude épidémiologique sur plus de 20 ans de 54 251 agriculteurs travaillant en Caroline du Nord et dans l’Iowa.  
 
(extrait de : Glyphosate : le nouvel amiante ?)

Tout va bien, les agences de santé veillent..

Le fameux copier/coller concerne 100 pages sur environ 4300, et ces pages ne font pas partie du rapport d'analyse de l'Efsa, mais des notes fournies par l'Etat membre rapporteur auprès de l'agence dans ce dossier.

Explication : dans le cadre réglementaire européen d'évaluation des pesticides, on désigne un et un seul Etat rapporteur pour établir le rapport d'expertise préliminaire du produit, en gros rassembler toutes les pièces qui seront ensuite transmises à l'EFSA pour y être analysées. Dans le cas présent c'était l'Allemagne qui devait s'y coller, et c'est l'Institut fédéral allemand d'évaluation des risques (BfR) qui a rassemblé le dossier. Le point de départ de toute évaluation des risques est un dossier constitué par l'entreprise (ou ici les entreprises, la "Task Force", consortium des boites qui commercialisent la molécule, dont Monsanto) qui sollicite la mise sur le marché d'une substance active. Les études de sécurité obligatoires, financées par l'entreprise, ainsi que des publications évaluées par des pairs en coopération avec les Etats membres de l'UE y figurent, avec leur conclusion. Il est donc parfaitement normal et nécessaire que certaines parties du dossier soumis par la Task Force glyphosate apparaissent dans certaines parties technique du projet de rapport d'évaluation préparé par l'Etat membre rapporteur. Puis comme on a dit, le dossier est transmis à l'EFSA qui réalise l'analyse des données et rend ses conclusions.

Ces 100 pages figurent dans les notes techniques préliminaires, elles sont clairement identifiés en tant que provenant du demandeur et elles ne figurent pas dans l'analyse de données.

source

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Concernant la présence de glyphosate dans les urines d'un échantillons de "personnalité", je reprend la déclaration de Générations Futures

« 30 "cobayes" ont confié leurs urines à Générations Futures afin d’y rechercher le fameux glyphosate, molécule active déclarée des herbicides de type RoundUp ®. Résultats ? 100% des échantillons contiennent des résidus de cet herbicide classé cancérigène probable par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). »

Le graphique des dosages est le suivant :

Question : a partir de ces doses mesurées dans les urines, peut on remonter à la dose absorbée ? Oui. On estime qu’environ 1/3 du glyphosate ingéré est absorbé par le corps, le reste demeurant dans le tractus gastro intestinal. 99% du glyphosate absorbé est ensuite rejeté dans les urines. La recherche de glyphosate dans les urines permet donc de caractériser l’exposition humaine.

Pour quantifier la dangerosité de l'exposition à une substance, on mesure sa Valeurs toxicologiques de référence (VTR) qui s'exprime à l'aide de la Dose Journalière Admissible (DJA).

La DJA est de 0,3 mg/kg p.c pour le glyphosate. En d'autres termes, une personne de 60 kg peut ingérer 18 milligrammes de glyphosate – journellement, vie entière – sans danger pour sa santé selon les normes très protectrices édictées pour la présence de résidus dans les produits alimentaires.

La quantité moyenne retrouvée dans les urines – 1,25 ng/ml, soit 1,25 µg/L – est donc de l'ordre de 15 000 fois inférieure à cette dose admissible. Ça c'est ce qu'aurait dû au moins mentionner Générations Futures dans son dossier la presse. Et s'il ne le faisait pas, c'est la question qu'aurait dû se poser les journalistes rendant compte de l'étude. Car c'est ce chiffre qui répond directement à la question "Ah, je pisse 1,25 ng/ml de glyphosate... Mais... euh, est ce que c'est grave, docteur ?" Car évidemment, personne ne sait comment situer ce chiffre dans l'absolu.

Soucieux de leur donner un référentiel, Génération Futures a généreusement fourni une norme de comparaison : l'eau pure.

La norme souhaitable de résidu dans l'eau pure est de 0,1 µg/l. Et la limite réglementaire de qualité dans les eaux brutes destinées à l’alimentation en eau potable est fixée à 2 µg/L par substance individualisée.

Donc ça permet à Générations Futures de dire que les échantillons pulvérisent 12,5 fois la norme (souhaitable).

Mais voilà l'histoire concernant ce taux de résidu souhaitable : même si bien sûr la santé est en arrière plan, et que c'est soumis à une contrainte réglementaire, ce n'est PAS une norme sanitaire. Toutes les molécules sont soumises à ce seuil. Ce qui signifie que la philosophie du législateur ici c'est de définir un seuil au delà duquel l'eau ne sera pas dite "pure". Y'aura pas que de l'eau dans l'eau, quoi Mais aussi des impuretés. On ne se préoccupent pas à ce stade si ces impuretés représentent un danger ou pas, et on interdit au delà d'un certain seuil d'impureté. Note que sur le glyphosate seul, ces urines sont buvables (1,25 < 2 µg/L)

Pour définir des seuils cette fois ci sanitaires, ça va évidemment dépendre de la molécule elle-même. La norme ici est de définir qu'un adulte de 60 kg buvant 2 litres de cette eau par jour ne doit pas absorber plus de 10% de la DJA. C'est la valeur sanitaire maximale (Vmax) de la substance. La Vmax du cumul de glyphosate + AMPA (son produit de dégradation) est de 900 µg/L (source). Voilà, en définitive un chiffre de référence pas trop débile auquel comparer les 1,25 µg/L de l'étude. On fait l'hypothèse que tous les glyphosate est absorbé dans l'eau de boisson (ce n'est pas vrai une partie provient de l'alimentation mais bon, c'est pas complètement débile) et se retrouve à 99% dans les urines, et qu'on pisse en gros un volume équivalent à ce qu'on boit.

Ah mais évidemment c'est un poil moins inquiétant.

Oh là, tu veux pas essayer de mettre des arguments rationnels devant zmed quand même ? Si ça ne rentre pas dans sa vision du monde "industriel = méchant" ou "riche = méchant", il ne lira pas et le réfutera en te collant un article moisi ou un truc mal interprété. Déjà qu'il prend une décision de jury populaire comme une preuve scientifique, on n'est pas rendus.

Je continue quand même   .

Concernant la teratogenicité du glyphosate, j'ai essayé de remonter à la source scientifique. Je suis tombé sur un document de synthèse (ici) qui cite cette étude.

Glyphosate-based herbicides produce teratogenic effects on vertebrates by impairing retinoic acid signaling.
Paganelli A, Gnazzo V, Acosta H, López SL, Carrasco AE.

Abstract
The broad spectrum herbicide glyphosate is widely used in agriculture worldwide. There has been ongoing controversy regarding the possible adverse effects of glyphosate on the environment and on human health. Reports of neural defects and craniofacial malformations from regions where glyphosate-based herbicides (GBH) are used led us to undertake an embryological approach to explore the effects of low doses of glyphosate in development. Xenopus laevis embryos were incubated with 1/5000 dilutions of a commercial GBH. The treated embryos were highly abnormal with marked alterations in cephalic and neural crest development and shortening of the anterior-posterior (A-P) axis. Alterations on neural crest markers were later correlated with deformities in the cranial cartilages at tadpole stages. Embryos injected with pure glyphosate showed very similar phenotypes. Moreover, GBH produced similar effects in chicken embryos, showing a gradual loss of rhombomere domains, reduction of the optic vesicles, and microcephaly. This suggests that glyphosate itself was responsible for the phenotypes observed, rather than a surfactant or other component of the commercial formulation. A reporter gene assay revealed that GBH treatment increased endogenous retinoic acid (RA) activity in Xenopus embryos and cotreatment with a RA antagonist rescued the teratogenic effects of the GBH. Therefore, we conclude that the phenotypes produced by GBH are mainly a consequence of the increase of endogenous retinoid activity. This is consistent with the decrease of Sonic hedgehog (Shh) signaling from the embryonic dorsal midline, with the inhibition of otx2 expression and with the disruption of cephalic neural crest development. The direct effect of glyphosate on early mechanisms of morphogenesis in vertebrate embryos opens concerns about the clinical findings from human offspring in populations exposed to GBH in agricultural fields.

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Donc les auteurs incubent des oeufs de grenouilles du genre Xenopus dans une solution commerciale de Roundup diluée à 1/5000e et trouvent des altérations céphaliques ou neurales. Ils disent qu'une solution à 1/5000e c'est vachement moins que ce qu'on trouve dans le pulvérisateur du paysan. Certes, dans un pulvérisateur, on doit avoir une solution à 1/100e en masse de glyphosate. Mais quand même, ça fait combien ?

Je prend une fiche produit. Solution de glyphosate à 49% en poids, densité 1,35.

Dilué à 1/5000e ça nous fait du 133 000 µg/L. Je prend des microgramme par litre juste pour effectuer la comparaison directe avec les donnée ci-dessus concernant les norme de l'eau et la concentration mesurée dans les urines (bien supérieure à la concentration dans le sang et le liquide amniotique, évidemment, l'urine servant d'égout du corps).

Ouais, à des concentration cent mille fois supérieure à celle mesurée dans l'urine, c'est possible qu'on ait des effets sur le développement de l'embryon. Mais est ce honnête de jeter l'alarme avec des expériences basées sur des situation tellement en dehors de la réalité ?

Ok, je note que pour toi, retrouver ce puissant herbicide partout dans les sols, dans l'eau, dans les aliments et dans notre corps ne pose aucun problème..  

9000 tonnes de ce produit sont déversées chaque années en France. Zéro problème..  

Cadeau....

Le  glyphosate c'est bon, mangez en !    

 
Qu'est-ce qu'on fait du coup ? A la place du glyphosate on met quoi ?
Vu que tu es pour l'interdiction, tu dois bien être au fait des alternatives, non ?

 
 
Ca tombe bien , je viens de tomber sur ça ...
 

http://www.liberation.fr/france/20 [...] ps_1672491
 
On n’a plus d’agriculteurs en France seulement des techniciens qui appliquent les méthodes de l’agriculture intensive mise en place a la fin des années 50. Leur rapport avec la terre ce limite aux rendements possibles/pesticides déversés a l’hectare. Ils sont autant victimes que nous consommateurs, prisonniers d’un système qui leur a fait perdre leur métier et leur rapport a la terre.  
 
Devinez qui sont les gagnants...

Et le réchauffement climatique et la pollution au diesel en passant 15 fois le tracteur au lieu d'une seule fois ?

 
Ahhh le bon mythe de l'agriculteur idiot, y'avait longtemps

 
victime = idiot ?

Il me semble quand même que la situation des producteurs indiens de coton est bien documentée et plutôt positive, par exemple.

 
Présenter les agriculteurs comme des robots incapables de dépasser un dogme obsolète des années 50 oui, c'est les prendre pour des idiots.
La petite louche sur le fait qu'ils sont victimes sonne dès lors comme un paternalisme déplacé. Ce sont des enfants quoi, il savent pas trop ce qu'ils font et ils en souffrent.
 
Si zmed ne faisait pas de militantisme hors-sol sur Internet, il serait peut-être au courant du fait que les agriculteurs font des études assez pointues et sont au fait des innovations dans leur domaine.
Et non des benêts qui achètent le dernier produit dont ils ont reçu le prospectus.

 
Le niveau..    
 
Ce sont eux meme qui le disent, alors arrête d’interpréter négativement chacun de mes propos. C'est la situation qui est dramatique pas mon propos..    
 
 

Bravo, t'as un exemple que tu généralises à tous les agriculteurs
C'est du bon boulot

Après tu peux citer la suite de ton article aussi.
 

 
Ou encore l'autre agriculteur qui en utilise moins parce que c'est cher, mais en utilise encore parce que le passage de tracteur supplémentaire lui coûte en gasoil plusieurs fois le prix de son glyphosate.
 
L'article dépeint des situations d'agriculteurs qui comprennent les enjeux, analysent leur situation, sont capables de prendre les meilleures décisions pour eux-mêmes. Alors ceux-là qui continuent à utiliser le glyphosate, ils sont quoi pour toi ? Si c'est un poison à interdire.

Dis plutôt que les paysans sont maintenant des techniciens, a minima Bac+2, voir des ingénieurs, alors qu'avant ils étaient dans leur grande masse des ignorants, au dernier rang de l'échelle sociale. Personne aujourd'hui ne peut traiter un paysan de bouseux avec le mépris associé à ce terme sans se couvrir lui-même de ridicule. Et ce sont les paysans eux même, dans les années 60 qui ont conquis de haute lutte cette reconnaissance sociale en faisant de leur métier justement un vrai métier de technicien. Bon si tu méprise les techniciens, ma foi, go fuck yourself et toutes ces sortes de chose

Pour te guérir de ton mépris, je peux te conseiller cette sympathique chaine YT : La Chaine agricole.

Je pense que j'en ai raté aucun     .

C'est vraiment tout simple, le mec se film en train de bosser et explique sans bla bla le but de son action.

Parmi les compétences que ça illustre tu as par exemple :

Gestion du parcellaire : choix des cultures implantées en fonction des sols et des précédents culturaux (gestion des adventices).
Connaissance des variétés
Connaissance de la physiologie végétale : stade de croissance et développement, connaissance fine des besoins en fertilsant en fonction du stade de développement, diagnostic de l'état sanitaire des cultures, connaissance des maladies fongiques et des traitement associés
Connaissance en botanique : reconnaissance des adventices au stade plantules, connaissance des molécules agissant sur telle ou telle catégorie (mono ou dicotyledon)
Connaissance des sols : texture et chimie, microbiologie du sol, bilan des stock hydrique et minéraux, effet du travail du sol
Tour de plaine régulier pour examiner l'état des cultures
Conduite de tracteur tractant une remorque ou un outil, conduite de moissoneuse batteuses
Entretien du matériel : réglage avant récolte, semis ou travail du sol, changement d'outil, lavage, vidange, graissage, réparation et remplacement de pièce, changement des pneu, réglage du parallelisme...
Construction d'un bâtiment de stockage en parpaing
Fauchage des bande enherbée
Conduite de pelle mécanique
Conduite d'un engin de débouchage de drain

Bien sûr, il faut également des compétence de chef d'entreprise, avec de solide notion de compta-gestion, connaitre les prix du marché et adapter sa production, et j'en passe.

Et là encore il ne s'agit que de production végétale. Si tu passe en production animale tu rajoutes au moins autant de savoir faire pour gérer son troupeau (alimentation, reproduction, soin véto, traite...).

Et là encore il bosse quasi tout seul. Dans certain cas il faut gérer des équipes (cueillette...).

C'est probablement un des métier qui demande le panel de compétence le plus complet (mentalement, intellectuellement et physiquement).

Si tu méprise les paysans, tu dois avoir bien piètre opinion de toi même, car je te garantie que tu serais extrêmement démuni intellectuellement si tu devais gérer une seule journée une exploitation agricole.

les anciens agriculteurs des ignorants... putain mais ce qu'il ne faut pas lire