“Le héros de l’attentat de Jérusalem” a été exécuté par l’armée israélienne
Jeudi 30 novembre, les deux membres du Hamas qui ont tiré au hasard sur une foule à Jérusalem ont été tués par un civil, Yuval Doron Castleman. Ce dernier a ensuite été abattu par des soldats israéliens qui l’ont pris pour un terroriste, alors qu’il était agenouillé, les bras en l’air. La presse israélienne pointe la politique officieuse selon laquelle aucun terroriste ne doit être maintenu en vie.

Les premiers rapports policiers n’ont pas fait état de la mort de Yuval Doron Castleman. Puis, dans un communiqué, cité par le Jerusalem Post, l’armée a expliqué que les soldats l’avaient pris pour un terroriste. Mais, ajoute le journal, sur des vidéos de surveillance, on voit clairement Yuval Doron Castleman s’agenouiller, jeter son arme, lever les bras et ouvrir sa veste pour montrer qu’il ne porte pas de ceinture explosive. Ce qui fait dire à Haaretz dans un éditorial intitulé “Le héros de l’attentat de Jérusalem a été exécuté” qu’il ne s’agit pas d’une erreur :
 
“Il a supplié pour sa vie et a été abattu malgré tout, alors qu’il était clair qu’il ne représentait aucun danger.”
Tuer les terroristes, même désarmés
Sa mort tragique, reprend le quotidien de gauche, est due au fait que le soldat qui l’a tué était convaincu qu’il s’agissait d’un terroriste arabe. “Mais la véritable raison est la conception selon laquelle un terroriste mérite de mourir.” Le Jerusalem Post évoque lui aussi “une politique officieuse adoptée récemment par l’armée qui consiste à tuer même les terroristes désarmés”.

“Le héros de l’attentat de Jérusalem” a été exécuté par l’armée israélienne
Jeudi 30 novembre, les deux membres du Hamas qui ont tiré au hasard sur une foule à Jérusalem ont été tués par un civil, Yuval Doron Castleman. Ce dernier a ensuite été abattu par des soldats israéliens qui l’ont pris pour un terroriste, alors qu’il était agenouillé, les bras en l’air. La presse israélienne pointe la politique officieuse selon laquelle aucun terroriste ne doit être maintenu en vie.

Les premiers rapports policiers n’ont pas fait état de la mort de Yuval Doron Castleman. Puis, dans un communiqué, cité par le Jerusalem Post, l’armée a expliqué que les soldats l’avaient pris pour un terroriste. Mais, ajoute le journal, sur des vidéos de surveillance, on voit clairement Yuval Doron Castleman s’agenouiller, jeter son arme, lever les bras et ouvrir sa veste pour montrer qu’il ne porte pas de ceinture explosive. Ce qui fait dire à Haaretz dans un éditorial intitulé “Le héros de l’attentat de Jérusalem a été exécuté” qu’il ne s’agit pas d’une erreur :
 
“Il a supplié pour sa vie et a été abattu malgré tout, alors qu’il était clair qu’il ne représentait aucun danger.”
Tuer les terroristes, même désarmés
Sa mort tragique, reprend le quotidien de gauche, est due au fait que le soldat qui l’a tué était convaincu qu’il s’agissait d’un terroriste arabe. “Mais la véritable raison est la conception selon laquelle un terroriste mérite de mourir.” Le Jerusalem Post évoque lui aussi “une politique officieuse adoptée récemment par l’armée qui consiste à tuer même les terroristes désarmés”.

“Le héros de l’attentat de Jérusalem” a été exécuté par l’armée israélienne
Jeudi 30 novembre, les deux membres du Hamas qui ont tiré au hasard sur une foule à Jérusalem ont été tués par un civil, Yuval Doron Castleman. Ce dernier a ensuite été abattu par des soldats israéliens qui l’ont pris pour un terroriste, alors qu’il était agenouillé, les bras en l’air. La presse israélienne pointe la politique officieuse selon laquelle aucun terroriste ne doit être maintenu en vie.

Les premiers rapports policiers n’ont pas fait état de la mort de Yuval Doron Castleman. Puis, dans un communiqué, cité par le Jerusalem Post, l’armée a expliqué que les soldats l’avaient pris pour un terroriste. Mais, ajoute le journal, sur des vidéos de surveillance, on voit clairement Yuval Doron Castleman s’agenouiller, jeter son arme, lever les bras et ouvrir sa veste pour montrer qu’il ne porte pas de ceinture explosive. Ce qui fait dire à Haaretz dans un éditorial intitulé “Le héros de l’attentat de Jérusalem a été exécuté” qu’il ne s’agit pas d’une erreur :
 
“Il a supplié pour sa vie et a été abattu malgré tout, alors qu’il était clair qu’il ne représentait aucun danger.”
Tuer les terroristes, même désarmés
Sa mort tragique, reprend le quotidien de gauche, est due au fait que le soldat qui l’a tué était convaincu qu’il s’agissait d’un terroriste arabe. “Mais la véritable raison est la conception selon laquelle un terroriste mérite de mourir.” Le Jerusalem Post évoque lui aussi “une politique officieuse adoptée récemment par l’armée qui consiste à tuer même les terroristes désarmés”.

“Le héros de l’attentat de Jérusalem” a été exécuté par l’armée israélienne
Jeudi 30 novembre, les deux membres du Hamas qui ont tiré au hasard sur une foule à Jérusalem ont été tués par un civil, Yuval Doron Castleman. Ce dernier a ensuite été abattu par des soldats israéliens qui l’ont pris pour un terroriste, alors qu’il était agenouillé, les bras en l’air. La presse israélienne pointe la politique officieuse selon laquelle aucun terroriste ne doit être maintenu en vie.

Les premiers rapports policiers n’ont pas fait état de la mort de Yuval Doron Castleman. Puis, dans un communiqué, cité par le Jerusalem Post, l’armée a expliqué que les soldats l’avaient pris pour un terroriste. Mais, ajoute le journal, sur des vidéos de surveillance, on voit clairement Yuval Doron Castleman s’agenouiller, jeter son arme, lever les bras et ouvrir sa veste pour montrer qu’il ne porte pas de ceinture explosive. Ce qui fait dire à Haaretz dans un éditorial intitulé “Le héros de l’attentat de Jérusalem a été exécuté” qu’il ne s’agit pas d’une erreur :
 
“Il a supplié pour sa vie et a été abattu malgré tout, alors qu’il était clair qu’il ne représentait aucun danger.”
Tuer les terroristes, même désarmés
Sa mort tragique, reprend le quotidien de gauche, est due au fait que le soldat qui l’a tué était convaincu qu’il s’agissait d’un terroriste arabe. “Mais la véritable raison est la conception selon laquelle un terroriste mérite de mourir.” Le Jerusalem Post évoque lui aussi “une politique officieuse adoptée récemment par l’armée qui consiste à tuer même les terroristes désarmés”.