Reprise du message précédent :
Bon bah mes 9h de sommeil cette nuit n'ont rien arrangé, je repars pour une journée entière de bâillements presque continus

 
J'étais épuisée tout le temps aussi sous Seroplex, ça me crevait complètement ce truc. Et pourtant je dormais beaucoup !

Si ça me calme aussi violemment, vu mon état normal, je vais finir dans le coma

Une chanson m'a fait pleurer dans le métro, bordel

Oublie-moi, de Eskemo

 
 
Je n'ai jamais eu ça avec le Seroplex, par contre le lysanxia 10 mg le soir, 1 h après je dors

Visiblement (l'internet mondial, ça vaut ce que ça vaut...), c'est assez courant durant les premières semaines de traitement/augmentation de dose.
 
Chanceuse

Je suis hyper fatiguée aussi, je sais pas si c'est à cause de l'Effexor...
 
Avec tout ça, j'ai toujours pas trouvé de nouveau psy.

ça tasse quand même pas mal les AD  

Depuis début septembre, je bosse un peu moins tous les jours, je pète la forme, malgré les AD.

Bordel ça passe dans le métro ça ?! Ils viennent de chez moi et tout le monde se fout d'eux.  
Sinon moi ça va beaucoup mieux, faut juste que je reprenne rdv chez le psy pour faire le point et continuer mon traitement qui est une super béquille pour moi. Le Seroplex si vous demandez.

Non je l'avais téléchargé hier soir et je l'ai écouté sur mon iphone. Sinon ça va mieux là

Le passage "Oublie moi ! Il n'y a pas vraiment d'autre choix. Oublie moi ! Et surtout ne te retourne pas." Ce passage ...

Y'en a qui sont montés à combien maximum ici avec le Xanax ?

3x0,5... Pas grand effet je trouvais.

A y est, je viens de me manger mon premier "je serais toi, je changerais un psy, moi un psy qui commence à me donner des médocs, je me barre direct"  

 
 
On ne te l'a pas dit ici en tous cas.

 
   
 
je serais un psy, je changerais de toit, moi un médoc qui commence à me donner des barres, je me psy direct

Soutiens a vous tous pour ces 1000 pages !  
La vie est vaste, très très vastes mes amis

J'en peux plus

 
C'est à dire ?  

Partage Gwareldan, partage tes sentiments ici

Oui, c'est le classique "mais change de boulot, déménage, range, machin, les médocs c'est pas bon" qui part d'une bonne intention

 
 
mouais, mais c'est pas toujours bon de dire ça

heureusement, je l'ai pas encore suffisamment entendu pour que ça m'emmerde...

 
Sous Seroplex 20, j'étais souvent une marmotte, avec des grosses siestes tout les WE. Par contre, je dormais facile de 22H à 7H du matin !  
 

 
3x0,5 de base et des fois le double (sous autorisation médicale).

 
moi c'était un généraliste qui me l'avait dit
"soit vous déménagez soit vous changez de boulot", c'est pour ça que vous êtes fatiguée    
 
connard!
 
edit : ah ben tiens, je l'avais raconté ici

"Mais pourquoi t'es comme ça ? " "Fais un effort." "C'est juste une déprime ça va passer." etc etc.  
Heureusement que ma mère avait déjà connu la dépression sinon niveau compréhension ça se serait pas bien passé.

pareil ici
 
edit : à croire que c'est héréditaire  

Bah apparemment ça le serait un peu je crois.  
En attendant faut que je reprenne rdv chez mon psy. Mais j'aime pas le téléphone.  
Mais j'adore ce que je fais maintenant comme études, enfin des savoirs techniques et professionalisant.

 
 
 
 
J'ai pas confiance en moi, je me sens seul, je me sens pas aimé, je me demande qui sont ses gens qui sont aimées et apprécies même par des " connaissances " et pq pas moi bordel ?

 
 
Dites moi, c'est un topic axé que sur les AD ici ou on peut venir raconter le "trop plein" quand même?

 
Y'a ici et suicide pour lacher ton "trop plein"

 
Ok merci
 
Je crois que je ne supporte pas mon taff (alors que malgré tout, je suis contente d'en avoir un surtout en ce moment), j'ai commencé ya 2 mois et je suis entourée d'hypocrites et de gens foncièrement méchants... Le soir, je rentre et parfois comme ce soir, je passe mon temps à chialer   . Je connais que très peu de monde dans cette ville donc, parfois je me demande qu'est ce que je fous sur cette Terre. Je n'ai pas l'impression de faire une dépression parce que j'arrive à me marrer ou me réjouir de voir une petite fleur, mais on ne peut pas dire que ça soit le top en ce moment  

'tain avec mes TOCs je finis par plus savoir ce qui est important et ce qui ne l'est pas.
Des processus qui se font en un éclair chez une personne normale déclenchent un moulinage sans fin dans mon cerveau avec CPU 100% là-dessus. Ou des fois y-a des trucs je sais même plus si j'en ai envie ou si c'est le TOC qui me les fait faire...

Et des fois à force de mouliner j'en arrive à donner une importance démesurée à des futilités...

 
Le CPU à 100% quand ça va moins bien, c'est le truc horripilant par excellence. Tu arrives à te reposer quand même ?

Est-ce que quelqu'un connait Krinosk IRL ? Il a posté un message étrange sur le topic suicide, qui ressemble à un message d'adieu tout en disant (et me confirmant en MP) que ça ne l'est pas, mais ça reste étrange.  
 
Donc je m'inquiète un peu de son état actuel, alors si quelqu'un pouvait lui passer un petit coup de fil, ça serait cool

Désolée Ernestor, mis à part ce qu'il y a sur son profil, on ne sait rien de plus.

Des nouvelles ? Son dernier message ne ressemblait pas à un adieu, mais bon...

 
 
oui oui, il en a donné

 
Oui heureusement je peux toujours tout lâcher, en m'affalant sur le lit par exemple, mais je sais que quelque chose n'est pas "réglé". Et quand je veux faire des activités, c'est très difficile de m'y adonner.
J'arrive pas à killer le processus toc.exe pour rester dans la métaphore.  
 
Courage Krinosk, copaing de toc  
 
 

Ca allait tellement mieux ces derniers mois, et là, à peine 2 jours etre rentrée dans la ville de mon passé je me sens trop mal, obligée de prendre des anxiolitiques pour tenir sinon les envies suicidaires reviennent. Et pourtant tout est prevu pour que je quitte la ville le 15 novembre définitivement mais c'est plus fort que moi. Sentiment de totale insécurité, peur de l'avenir.  Mais surtout therapie familiale avec ma mère le 22, j'espère que cela ne fera pas comme certaines fois ou je filais dans la salle de bain m'ouvrir les veines, à cause de cette douleur insoutenable.