Reprise du message précédent :

On a un peu le même schéma ici tiens. Le grand va avoir 10 ans et ça change de forme ses crises mais ça existe toujours. Que dans le cadre familial  

Je m'auto-quote pour la compréhension
Ma compagne a contacté un neurop$y que lui a conseillé sa propre p$y.
J'y crois peu (on a déjà fait quelques démarches infructueuses par le passé), mais je vous tiendrai au courant si on trouve des pistes pour mieux gérer.
Ce qui m'encourage, c'est qu'il a bossé (et est sans doute toujours en lien) avec O.Revol.

 
Ne te prends pas la tête va voir un spécialiste. Lui seul pourra te dire ce qu’il en est.  
Le nombre de personne qui font des auto-diagnostiques complètement faux  

Ta fille a été détecté par l’école où tu as fait faire un test de ton côté ?  

 
«HYPERSENSIBILITÉ : COMMENT AIDER LES ENFANTS-ORCHIDÉES
 
 
Il  a été démontré que l’hypersensibilité était un trait de caractère issu d’une prédisposition génétique.
 
Les enfants qui la possèdent sont très vulnérables au stress. On évoque même une notion de perméabilité dans le sens où leur environnement les pénètre littéralement au lieu de rebondir sur eux.»
 
 
Ce niveau de conneries  

En fait tout le monde me disait qu'elle parlait très bien alors qu'elle avait à peine un an, pour moi c'était normal puisqu'on lui parle comme une adulte depuis sa naissance  
Et puis à l'école la maitresse, les atsem, les animatrices du centre de loisirs, la dame du périscolaire m'ont dit qu'elle était "dégourdie, rapide, qu'elle avait terminé avant tout le monde, qu'elle était autonome, et faisait des choses sans qu'elle lui demande et qu'il suffisait de lui dire les choses une fois pour que ça soit acquis… etc." Au début je me disais "mais pourquoi elles me disent ça, c'est normal, non?" mais en fait non…  
 

Je n'ai pas dit que TOUT était vrai! Je ne me souviens meme pas avoir lu cette phrase d'ailleurs  

Et du coup tu lui a fait passer un test de ton côté avec un psy en ville ou c'est la psy scolaire ?

Elle a fait un test avec ma collègue qui était assez dispo en fin d'année  Mais je n'ai pas de rapport officiel ni de chiffres. Je verrai ça plus tard, elle n'a pas encore 4 ans.. j'attendrais peut etre 6ans si c'est nécessaire pour l'école. ou au passage au collège.. Enfin dès que ça bloquera à l'école en fait

Bonjour tout le monde,
 
Je cherche un spécialiste pour mon fils de 7 ans, je ne sais pas vraiment quel genre de praticien aller voir, donc je vais faire un petit détail de ma situation, sait-on jamais, peut-être que je trouverais de l'aide ici.
 
Alors voilà, depuis la grande section maternelle (première réunion avec la maîtresse qui paraissait catastrophée), il se trouve que mon fils serait agité en classe, aurait du mal à écouter les consignes, etc... Ce que je peux tout à fait comprendre car c'est comme ça à la maison, l'éducation étant un peu délicate à mettre en place, j'ai pour cette raison en partie dû me séparer de la maman, bref, notre vision était trop différente.
 
Il commence à grandir, 7 ans donc, il est en CE1 et a un petit retard d'apprentissage par rapport aux autres. Je le vois à la maison, il est pas entrain à se mettre au travail, il renonce avant d'avoir commencer.
 
Sa maman, explique aux maîtresse et personnel de l'éducation nationale que c'est dû à sa naissance prématurée. De mon côté j'en ai marre d'entendre ce genre d'excuses et je souhaiterais plutôt ignorer cette étape qu'on ne pourra jamais effacer, et donc aller de l'avant, trouver des solution pour qu'il soit plus concerné par ce qu'il l'entoure.
 
Il a dû mal à retenir certaines choses, il fait et lis ses devoirs pour s'en débarrasser au plus vite, cependant il ne mémorise que très peu et ma patience est mise à rude épreuve. C'est pour ça que mes capacités sont limités et souhaiterais le faire parler avec un spécialiste.
 
Pensez-vous à un spécialiste en particulier ou peut-être une personne "généraliste" qui saura faire un premier diagnostique de mon enfant et m'aiguiller pour la suite ?

Ça peut faire peur mais tu perdras moins de temps en consultant directement un neuro pédiatre.

hello,
j'ai un enfant qui a un peu le même "profil".
L'idéal serait de t'adresser à un pédo-psychiatre à mon sens.
Mais ce n'est pas si évident d'arriver à décrocher un rdv.
Perso, on a perdu des années à chercher des réponses, jusqu'à ce qu'un professionnel nous oriente vers un pédopsy avec lequel il travaillait en réseau, pour enfin avoir un diagnostic.
Bon courage, c'est un parcours du combattant.
edit : et +1 avec caryad

Merci pour vos avis, je vais me renseigner.  

Je suis passée par de très bonnes neuropsychologues, qui ont pu faire des bilans complets sur l'attention, la mémoire, tout ce qui est dans le test de QI et plus encore.
Pour les troubles des fonctions exécutives, par exemple, prendre un professionnel au hasard ne sera pas pertinent.  
Dans certains cas, il faut même avoir déjà une vague idée de la catégorie de problème pour trouver la personne compétente, sans quoi on multiplie les consultations.

Ok merci, du coup je vais en cherche une dans la région toulousaine. Si vous avez des noms...  

Je suis ok avec neuropédiatre ou pédopsychiatre, avec un bémol pour le 2e : éviter ceux à tendance psychanalysante, ce qui n'est pas évident si tu n'as personne pour t'aiguiller dans ton coin...

Neuropsychologue très bien aussi, même si tu n'as pas pu avoir de consultation médicale avant, de toute façon ce sera probablement un passage obligé si trouble important. Par contre c'est pas donné et non remboursé (à part quelques complémentaires santé, en partie).

+1, on a eu la chance d'en voir un totalement au fait des" neurosciences".
Il a percuté immédiatement, confirmé par deux bilans neuropsy avant diagnostic.
Les pedopsy tendance psychanalysante auront vite fait de pointer des lacunes maternelles/paternelles, ou chercher un traumatisme ancien. Pour l'avoir vécu, c'est destructeur, même si parfois ça peut être fondé.
Fais confiance à ton bon sens

 
Ça donne quoi pour vous du coup ? Y'a du mieux?

Des pédopsychiatres à tendance psychanalyse, je doute qu’il y’en ait bcp, ça reste vachement éloigné. Chez des psychologues on trouve déjà plus souvent des wannabe psychanalystes mais ça baisse en continu heureusement

Dans les CMP il en reste encore beaucoup.

c'est des pédopsychiatre en CMP ?
mais oui les CMP c'est les derniers repaires à freudiens débiles malheureusement (pas tous heureusement mais les derniers nids y sont)

Bah oui, tu veux que ce soit quoi ?
CMP adultes : médecin psychiatre, CMP enfants : médecin pédopsychiatre.
Après les entretiens se font beaucoup avec les infirmières psy (ou les psychologues), mais bon, les CMP c'est pas toujours ce qu'il y a de plus "moderne".

je croyais qu'il y avait que des psychologues dans les CMP en fait et que les pedopsy ne faisaient que l'hospitalier ou le libéral

Les CMP font partie du secteur hospitalier. Pour ceux que je connais en région lyonnaise (Tarare, Thizy, Collonges, et probablement d'autres) ils dépendent de l'Hôpital Saint-Cyr-au-Mont d'Or.

Ni de plus efficace...  

Je savais même pas qu’il y avait un hôpital à st Cyr au mont d’or, j’ai honte. J’ai un gosse à HFME et l’autre à tarare/villefranche (oui c’est trop difficile d’avoir les deux aux meme endroit )

Ça va ensemble

 
St Cyr et Vinatier. Les deux gros hôpitaux psy de la région lyonnaise

hello.
Petite question que l'on se pose @home et j'aimerai avoir un avis, si quelqu'un est déjà passé par là.
Dexter finit le lycée cette année (filière professionnelle) et va certainement enchainer sur une mention complémentaire (en alternance).
La sélection se fait sur dossier et sur entretien.
On a eu des frayeurs chaque année dans sa filière pro car on jouait franc jeu sur ses soucis (le médecin scolaire changeait chaque année, mettait à chaque fois son grain de sel dans un long suspens, avant de donner finalement un feu vert).
Ses problèmes n'étant pas marqués sur son front, pour le futur entretien seriez vous "honnête" au risque qu'il ne soit pas pris ? (ça peut refroidir l'interlocuteur à l'entretien et l'entreprise qui le prendra en alternance).
Merci

je peux te donner mon point de vue d'enseignante recruteuse... chaque fois qu'on a pu avoir un doute, on s'est posé des questions toute l'année, et ça n'a pas aidé qu'on ne sache pas la nature du souci (en enseignement, mais peut jouer en entreprise aussi).
Des aménagements sont prévus, dans le supérieur, pour tout type de soucis

je comprends mais là y'a un ratio de 6 postulants par place, j'ai vraiment peur que ça le pénalise.

ça peut, comme parfois ça pourrait le favoriser dans l'autre sens si politique d'inclusion...
après tout lui est le seul présent en postulant non? il faudrait le laisser mener comme il le sent en fonction des questions... mais par expérience, en général, quelque chose se voit... ou finit par se voir. Après de mon côté j'ai toujours bien compris qu'on ait éprouvé le besoin de me cacher l'état si on pouvait tenter sans transparence complète

 
Je ne connais pas les troubles de ton fils. Pour mon cousin Asperger, il a plusieurs fois essuyé des refus quand il voulait cacher son autisme. Quand il n’y avait pas de refus, ils y avait apparemment des moments d’inconforts des 2 cotés pendants plusieurs semaines / mois avant que mon cousin “avoue” et tout s’expliquait / devenait clair. Du coup, après ses études, il a trouvé une annonce pour son boulot “rêvé” (qui ne fait rêver que lui ) et pris le parti de jouer franc jeu. Et il a bien fait car son chef actuel lui a confié (18 mois après) qu’il n’avait pas vraiment convaincu lors de l’entretien mais qu’ils se sont dit que ça pouvait être du à son autisme et lui ont donc donné sa chance pour faire ses preuves en période d’essai.  
 
Si ton fils a un syndrome ou un handicap “connu” je pense vraiment que ça peut être un atout pour de l’alternance car les politiques inclusives sont de plus en plus présentes et pour une boîte, ca fait d’une pierre 2 coups
 
À noter que même pour des filières ultra sélectives, si ton fils arrive en entretien en ayant déjà un employeur dans la poche, il multiplie par 10 ses chances d’être pris.

Pour mon fils c'est la personne qui conduit l'entretien qui le place ensuite dans une entreprise, et c'est une filière en tension donc j'ai un peu peur qu'il n'ait pas envie de s'embêter.
là, ce qui me conduit à me poser la question d'en parler ou non, c'est que pendant sa scolarité au lycée au final il n'a eu aucun aménagement (on a arrêté PPS/PAP & co), car souvent c'était même pas appliqué (edit: et je ne jette pas la pierre aux profs, ils font ce qu'ils peuvent ).
il ne bénéficie que du tiers temps aux épreuves, et au final ça ne lui sert même pas.
Le médecin scolaire l'année dernière devait parler de ses problèmes aux profs pour qu'ils le surveillent, ce qu'il n'a jamais fait, donc il l'ont vu comme un gamin classique, particulier mais classique.
Bref, on a eu que des emmerdes à en parler à chaque fois, pour un bénéfice très discutable.
Mais bon, merci pour vos avis  

edit : à l'embauche ensuite je pense qu'il devrait peut être le mentionner oui, mais là c'est vraiment pour choper cette mention complémentaire que je me pose la question.

voila c'est exactement ce que j'aurais décrit, de l'inconfort mutuel.
mais c'était aussi plus pour des cas genre autisme.

 
il a des troubles du spectre autistique, mais ça peut passer pour de la distraction/je m'en foutisme/naïveté/maturité contrariée    
Donc rien de flagrant, mais bon, on verra.

Je suis mitigée, j'ai pu expérimenter la discrimination ou au moins des changements de comportements très négatifs suite à la révélation d'un handicap, mais l'inverse aussi.  
Je sais, ça n'aide pas.
Il en pense quoi lui ?

il n'en pense rien, il s'en remet à nous comme d'hab.

la mienne fait pareil  
c'est d'un chiant de reflechir pour 2

S'il n'en pense rien, c'est qu'il n'a pas à s'en plaindre non plus.  
Du coup je tenterais d'en parler, si ça a marché jusque là...

quand t'es prof et que t'en vois passer pas mal tu as tendance à te méfier dès que tu vois un peu tout ça
 
et encore moi je suis dans le supérieur avec sélection, je ne vois pas tous les profils

Dans le primaire, c’est souvent là qu’on détecte, que le diagnostic est posé, que les parents doivent admettre tout ça et c’est dur.  
On n’a pas de formation. On « sent », on repère des petits signes. Et on essaie d’envoyer les parents vers les spécialistes.  
Délicatement.  
 
Je préfère l’honnêteté mais bon, c’est à lui de voir dans ce cas.

Hello.
Je ne sais pas s'il y a des parents d'enfants dysgraphiques ou autre problème de motricité fine ici ?
 
Mon ainé est en 6ème, il fait sa scolarité sur ordinateur. Sur papier il était à 3 mots par minutes pendant deux minutes, après il a mal.  
J'ai l'impression que les profs ne saisissent pas que l'ordinateur n'est pas là par complaisance, et qu'on rentre dans les difficultés habituelles de déni face à un handicap invisible. Plusieurs enseignants lui demandent des devoirs manuscrits, des dessins, des activités manuelles... Son AESH est la première à l'y pousser, ce qui stresse le gamin puisqu'à côté son ergothérapeute lui dit le contraire. Ca a dérapé assez méchamment en début d'année, elle voulait qu'il fasse tout sur cahier en attendant d'être plus à l'aise sur pc, lui s'était fait mal en classe sous le coup de la colère... Heureusement ça va mieux maintenant.  
 
Là je viens de faire le découpage demandé pour l'art plastique. Pendant les dernières vacances j'ai aidé à faire un dessin avec des légendes sur feuille A3, ça nous a pris 4 jours pour que ça reste majoritairement son travail. Et la prof a noté que le travail n'était pas assez soigné.  
Je ne peux m'empêcher de me demander s'il aurait tout ça à faire si ses mains étaient visiblement atrophiées, par exemple.  
Dès que je vois une alternative sur pc, on évite l'écrit. Mais dans certains cas, je ne trouve pas et je ne veux pas l'exempter moi-même de faire son travail.  
Je suppose qu'il va falloir beaucoup de communication avec les enseignants, et prendre l'habitude de contourner les consignes en utilisant l'informatique. Je me dis que pour les légendes de la feuille A3 par exemple, on aurait dû les écrire sur pc, imprimer et faire des collages.  
D'autres personnes ici ont connu ça ?