Reprise du message précédent :

 
Calmez vous, bonsoir.

Je cherchais justement la compil

Bonsoir à tous, en exclusivité en effet, c’est le retour de la chronique de PP sur nos ondes  

Age tendre et TT de bois.

Chronique du topic Coupe du Monde 2022, hors-série

Certains en ont rêvé, d’autres ne savent même pas à quoi on fait référence, mais toujours est-il que l’After Footix accueille ce soir la chronique du topic.

Les pronos du topic
On le connait déjà par cœur, c’est notre légende du pronostic et de l'opinion foot mais même si c'est attendu, il n’était évidemment pas possible de ne pas lui faire une place ici :

Bravo

Du coup quand on lit ça, on n’est pas rassurés :

Wait & see comme ils disent.

En tout cas, le plus proche de la vérité à ce jour, c’est lui :

Le troll du topic
Alors oui, vous allez me dire qu’il faudrait citer la quasi-intégralité des près de 1300 pages du topic - et vous auriez raison - mais certains gestes techniques doivent être reconnus à leur juste valeur. Pour cette démonstration, prenez un posteur régulier du topic foot et suffisamment ancien pour être à la fois installé, identifié et probablement respecté (enfin ça dépend des jours) ; ajoutez-y une « unpopular opinion » mélangée à un joueur à la fois légendaire et parfois controversé et vous obtenez ce cocktail détonnant :

9 citations, un débat lancé avec une quasi-unanimité contre lui et presque aucune réponse de sa part, du travail de pro.

L’oiseau de mauvais augure du topic
On ne présente plus les prédictions anti-prophétiques de vassilii (qui ont fait l’objet d’un reportage dans cette même émission il y a quelques jours ) mais il y en a une qui ne nous rassure pas :

Les autorités avaient pourtant tenté d’être dissuasives :

Mais en vain manifestement – et sans sanction a posteriori, que fait la police…

La destitution du topic
Puisqu’on me donne la parole, laissez-moi revenir sur l’épisode qui a vu le topic changer de patron. Un patron initial pour le moins controversé, dès la page 1… en juillet 2021 :

Malgré cette défiance terrible, l’homme tente des sondages de plus en plus borderline et, évidemment, finit par franchir la frontière (ironie du sort ) :

C’est ce jour-là que GenyaB a récupéré le trône qui lui revenait de droit.

Le linge sale du topic
Que serait un topic foot sans des défaites de la Belgique ? Rien d’autre qu’un vulgaire panier vide… Heureusement, le divertissement des Diables Rouges ne fait pas qu’effet sur les Français :

On lui souhaite de ne pas oublier l’adoucissant.

On pourrait encore continuer longtemps mais la régie me fait signe qu’il est temps de rendre la rantenne qu’on a déjà eu la bonté et la générosité de m’offrir.

Mais on ne va quand même pas se quitter sans...

Les 11 types du topic

Un gardien légitime, une défense renforcée pour l’occasion (Ernestor ne joue pas latéral droit en club mais c’est comme ça la Coupe du Monde), un cerveau supérieur au cœur du jeu, des relayeurs qui roucoulent le football tout en sachant frotter les chevilles quand il faut, un n°10 absolument indispensable par son génie et sa créativité et, enfin, deux attaquants flamboyants dont les performances auront enchanté HFR jusqu’ici. C’est beau, mais le plus dur reste à venir.

À bientôt.

Et n’oubliez pas :

Bonus

ChatGPT?
 
je viens d'en essayer un autre.

 
Avec ça si on perd pas 4-0  

Cette chronique à l'ancienne

Sur cet instant émotion, enchaînons avec la partie purement footballistique de notre expert en ballon rond, le petit Ratzou vous propose son débrief des 1/8èmes de finale.

Commencons par le débrief des 4 premiers matchs de ce tour final.

A vous  

Equipe type aussi nulle que l'OL  

Merci au chimpanzé pour cette transition, et merci bien évidemment à l’estimé PP qui nous a fait l’honneur de produire une chronique à l’ancienne pour notre émission du soir.
 
L’After vous a manqué, nous le savons, à nous aussi, et les frasques nocturnes de mon con-père étant momentanément suspendues ; nous vous proposons ce soir un After EXCLUSIF pour meubler cette mini-interruption des matchs.  
La CDM, c’est hélas, bientôt fini
 
 
Au programme ce soir, un débrief de ces 8es comme l’a en effet annoncé Coria, et on rebondit donc directement avec la première salve lors du weekend
 
 
 
 
Au menu de ces 8es, on a donc commencé avec un petit Pays Bas - USA qui pouvait laisser présager un match intéressant vu les transitions très verticales des 2 équipes et le bel allant offensif américain vu pendant leur match face aux Anglais.
Le suspense a néanmoins été de courte durée puisque l’on a vu des Pays-Bas d’un cynisme total effectuer une démonstration de réalisme face à des ricains débordés.
Le petit pays du soccer a en effet cru intelligent de construire le jeu face à une équipe de Van Gaal plutôt que de sagement laisser le ballon ; et s’est donc fait punir une première fois sur une construction collective émouvante avec un Memphis clinique, puis juste avant la mi-temps avec une splendide inspiration de Blind.
L’affaire était globalement entendue avec des bataves qui attendaient patiemment de foncer dans le dos des USA, et si Wright a bien réduit la marque en fin de partie ; Dumfries a immédiatement calmé les ardeurs étasuniennes.
On peut souligner la travance totale de Pulisic sur ce match, absolument atone et qui s’est pris des tempêtes terribles par Dumfries. Côté Batave justement, outre Dumfries, splendide partie de De Jong qui a littéralement orchestré à lui même la relance de son équipe.
Globalement, du grand Van Gaal au coaching, fidèle à ses convictions qu’un joueur génial par ligne et un bloc solide suffisent pour aller loin sur une CdM en 7 matchs. Bonus pour son arrivée absolument hilare à l’hôtel en s’ambiançant sur Waka Waka
 
L’après-midi, nouvelle rencontre sympathique avec un pays de soccer, et donc un petit Argentine-Australie à priori absolument déséquilibré et qui a vite confirmé les attentes, à savoir une Albiceleste plutôt tranquille et des Socceroos davantage venus pour la photo avec Messi.
Rien de bien particulier à signaler côté kangourou tant le match proposé à été morne, leur unique but étant un contre son camp
Côté argentin, c’est sous les chants de barras bravas fraîchement débarquées -remercions le sulfureux Chiqui Tapie - que s’est déroulée cette partie quasi à domicile.
Au menu, un récital de Messi qui outre un but somptueux, a proposé une compilation soyeuse de dribbles dans son style habituel de maître du temps, rappelant toute la magie qu’il a dans les jambes. Son habituel chien de garde De Paul a lui aussi réussi une prestation de belle qualité, de bon augure pour la Scaloneta après ses poules moribondes.
Enfin, le duo Fernandez-Alvarez estampillé River à a nouveau proposé un football magnifiquement romantique, avec un but de l’Arana et 2 passes décisives pour son compère. À noter l’hilarante et cataclysmique entrée de Lautaro qui aura tout bonnement tout raté et sans doute donné quelques angoissants flashbacks higainesques à Messi
Aimar peut souffler sur le banc en sirotant la limonade préparée par Dybala, l’Albiceleste fonce en quarts en chantant à pleins poumons. QUIERO GANAR LA TERCERA, QUIERO SER CAMPEON MUNDIAL. Sélection névrosée, et donc magnifique
 
 
 
 
 
En ce qui concerne les matchs du dimanche, on commençait la journée avec une opposition France-Pologne qui pouvait donner quelques sueurs froides.
Le plan des créatifs (non) polonais se résumant à se rétracter à 9 derrière autour de la cage de Szczcesny, puis à mobiliser le Redondo de Gryfice, j’ai nommé Krychowiak, pour envoyer des parpaings sur un Lewandowski qui errait comme une âme en peine devant.
Si l’astucieux gardien avait bien tenté d’expliquer avant-match qu’il était la clé pour arrêter Mbappé, il s’est bien évidemment fait rattraper par le karma.
Saint Giroud a proposé son désormais habituel récital avec un sublime but à la mi-temps pour ouvrir la marque, puis un nouveau but puskesque hélas refusé par l’arbitre.
Si tous les joueurs français ont globalement été au diapason et ont livré une partie d’assez bonne facture, à souligner bien évidemment le match du Ronald Pognon de Bondy qui a collé un doublé et une quantité invraisemblable de tours de reins aux polonais.
Un penalty anecdotique de Lewy au bout du temps additionnel, vraisemblablement commandité par Manu, est venu réduire un tantinet l’écart mais DD peut dormir sur ses deux oreilles et préparer son quart sereinement, après avoir poussé une beuglante sur le Snoop Dog des ramblas, Koundé s’étant en effet davantage distingué par sa chaîne que par sa prestation…
À surveiller en quarts l’attitude de Tchouameni, le madrilène s’étant pris un jaune lunaire par l’arbitre du tiers-monde, et étant donc sous le coup d’une suspension pour une éventuelle demie en cas de récidive.. une épée de Damoclès dont les Bleus se seraient bien passés.
 
 
Enfin, pour clôturer cette première salve, retour sur le 8e Angleterre-Sénégal.
On pouvait attendre des valeureux Lions de la Terranga un match intense face aux anglais, mais ils ont hélas balbutié leur football en plus de se louper dans les grandes largeurs en ce qui concerne le défi physique imposé.
Côté anglais, le Casper du milieu Henderson est sorti de son match fantomatique pour ouvrir la marque ; avant une brillante partie du duo Bellingham-Foden.
Un but pour Kane et Saka et la messe était dite pour des anglais qui semblent assez solides avec un Southgate qui a cessé de se comporter en ahuri complet et aligne enfin le meilleur 11 possible.
Gros adversaire pour le crunch face aux Bleus, et attention, attention, ATTENTION à Walker au marquage sur Mbappé. Le véloce citizen a de manière incompréhensible évité un jaune et bénéficiera donc d’un joker pour aller tâter la cheville du Kyks.  
 
À vous les studios

C'est génial  

palu

Excellent débrief des 4 premiers matchs proposé par le Daniel Riolo de Wish, avant de le laisser enchaîner sur les 4 derniers 1/8èmes de finale, une petite entracte publicitaire.

Oh !  Il y a encore une chronique et une équipe type de la semaine    

Merci au Polo Breitner de Nouméa pour cette page de pub qui financera bien des Number One à la coloc
 
 
 
Au menu de la 2e partie de ces huitièmes, on attendait bien évidemment les deux outsiders asiatiques le lundi.
 
Une journée qui commençait ainsi avec un joli Japon-Croatie, et ce sont les nippons qui ont globalement enflammé le match avec des attaques éclair vaillantes récompensées par une ouverture du score juste avant la mi-temps par Maeda.
Dans un style assez différent, les équipes se sont ainsi partagées les occasions, les Croates absolument intraitables avec leur milieu de luxe mettant le pied sur le cuir mais ne parvenant plus à trouver un relai offensif efficace comme Mandzukic en son temps, les nippons proposant des rushs généralement bien cadrés par Gvardiol.
La lumière est venue côté croate de l’inévitable Perisic qui a inscrit un joli coup de casque pour égaliser.
Dans une fin de partie où les japonais ont tel le roseau souvent plié mais jamais rompu, la décision s’est donc faite aux tirs au but.
Cruelle déception pour la sélection du soleil levant, qui avait donné l’impression de travailler d’arrache pied pour arriver à ces 8e mais a visiblement oublié une session penaltys dans son programme, préférant nettoyer les tribunes que la lucarne. Livakovic a sorti une séance solide - et les tirs japonais - pour propulser son pays en 1/4 et permettre à Ivana Knoll d’alimenter encore un peu son Insta.
La Croatie est sans doute plus poussive qu’il y a 4 ans, ne marque plus autant mais tient toujours le ballon avec son milieu de gala et compense avec un petit prodige derrière, de quoi espérer tomber avec les honneurs face à l’ogre qui les attend en quarts ?
 
 
L’après-midi, nouvelle bataille pour le dernier représentant du continent asiatique, opposé au Brésil.
La Selecao était attendue au tournant pour ce huitième alors que le pays retient son souffle et prie pour Pelé, qui avait d’ailleurs annoncé regarder le match depuis l’hosto. Un contrôle cavanesque () pouvant suffire à faire mourir d’effroi le Roi, c’est donc une équipe appliquée qui a exécuté la Corée puis des chorés.  
 
Dans ce qui est vraisemblablement le plus beau match de fubtol proposé par une équipe sur cette Coupe du Monde, les divins brésiliens ont littéralement virevolté sur le terrain, perforant sans répit la défense coréenne. Une ouverture rapide du score par Vinicius, un penalty lumineux du roi Neymar de retour ; un nouveau golazo d’un Richarlison habité par l’esprit de R9 puis un petit but signé Paqueta : 4-0 à la mi-temps et surtout une football rieur, des combinaisons magiques qui rappellent les plus belles équipes brésiliennes.
Logiquement, la Selecao a levé le pied en 2nde période et s’est contentée de travailler les passes et les dribbles, Seung-Ho marquant même pour sauver l’honneur.
Globalement, une Corée logiquement surclassée qui manquait d’un Richar Lee Son ou d’un A Lee Son pour espérer un semblant de suspense ; de l’autre un Brésil qui envoie un signal clair.
À noter Alisson qui a pour la première fois fait chauffer les gants en envoyant une parade splendide ; et évidemment le retour de Neymar qui s’il n’a pas fait un grand match et claudiquait encore un peu a repris du rythme tranquillement et fait travailler sa cheville.
 
 
 
 
Enfin, dernière journée de 8e le mardi avant l’interminable coupure qui précède les quarts.
 
On attaquait par un Maroc-Espagne et donc la dernière chance pour une équipe africaine de créer la surprise, et l’on a donc été servi au bout du compte.
Globalement, un match espagnol dans la lignée de leurs poules, soit une passe à 10 géante mais absolument stérile et une incapacité totale à créer le déséquilibre et planter, les marocains défendant patiemment et attendant les TaB. Flash forward jusqu’aux pénos donc, tant le match était insipide ; et une grande prestation de Bounou qui a écoeuré les ramasseurs de fraises qui travaient lamentablement, Hakimi venant qualifier son équipe d’une petite panenka qui fera plaisir au commandant Conte.
Victoire convaincante donc de la coriace équipe marocaine qui pourrait écrire l’histoire de l’Afrique en quarts, certes en ne proposant pas un football super flashy mais si efficace, faisant confiance à ses cadres pour ressortir inlassablement le ballon. Une sélection qui prouve à nouveau l’importance de la défense dans une CDM en 7 matchs à peine, et qui accroche à son tableau de chasse un nouveau morceau de choix.
Côté Espagnol, Enrique tombe avec ses idées - jeu de position absolu, colonne vertébrale barcelonaise et donc de niveau Europa, absence de madrilènes comme Nacho, pas de De Gel ni de Ramos, etc. 120 minutes, 77 % de possession mais une équipe timorée qui persiste dans son jeu de position et des joueurs fixés, passant à peine 7 (sept) dribbles dans une vaine tentative de créer le décalage par le système face à un bloc bas. On peut d’ailleurs regretter la sortie de Gavi qui aurait peut-être eu les cannes pour créer quelque chose ; mais symbolise aussi l’échec relatif de la formation espagnole : jamais de creux générationnel et des milieux de très grande classes, mais sans la magie d’un Verratti, Musiala, etc pour animer subitement le coeur du jeu.  
 
 
Clap de fin pour ces 8es avec un duel entre 2 adversaires qui rappelleront des souvenirs douloureux à la bande à DD : Portugal/Suisse.
Des choix forts de Santos, ENFIN : Cancelo sur le banc, CR7 itou, Neves dans la charrette.
Et enfin, un match plein pour les portugais qui ont atomisé les suisses : triplé de Goncalo Ramos, #pivotgang , but du rusé Pepe, Guerreiro miraculeusement épargné par les blessures qui y va aussi de son but et un Leao tout sourire qui se joint à la fête : le but d’Akanji n’y changera rien, la Selecao passe en quarts.
À souligner côté portugais, évidemment Ramos qui vient calmement de prendre 20 millions au prochain mercato, le match XXL de Bruno comme à son habitude ; mais surtout le récital du magicien Felix et la partie de soldat de Pepe.
À ne pas occulter évidemment, la star sur le banc, le mancunien qui tire la gueule quand son équipe joue mieux sans lui : Cancelo a visiblement enfin perdu sa place au profit de Dalot
Côté CR7, RIEN À DIRE, CriCri s’est reposé tranquillement alors que la défense à 3 des suisses convenait mieux aux qualités de Ramos, tout va bien.

Allez sur ce ok vu, passons maintenant à la 2ème partie de cette 2ème partie.

Comme vous en avez maintenant l'habitude nous vous avons concocté l'équipe type et l'équipe trav de ces 1/8èmes de finales.
Quand je dis nous c'est Mad Ratz, répartition des tâches oblige.  
 
Voici l'équipe trav que je laisse à mon collège le soin de détailler :  
 

Tradition oblige, il est donc l’heure de passer à l’équipe trav de ces 8es
 
 
Une équipe qui on vous l’avoue, a été plus compliquée à établir que pour les poules puisqu’aucun joueur n’a globalement travé dans les grandes largeurs, et qui vient donc moins sanctionner une prestation cataclysmique qu’une non-réponse aux attentes.
 
Dans les bois, l’ex-meilleur gardien du monde (coucou Habid ) Mendy qui a sorti un match certes pas criminel mais suspicieux, dans la lignée de sa Coupe du Monde moyenne et de sa saison compliquée chez les Blues. Merci pour le parcours inspirant, mais il est temps de montrer que l’année 2021 avec une C1 et une CAN en état de grâce n’était pas qu’une étoile filante.
 
À gauche, un Bereszinsky qui aura pris un jaune et le bouillon face à un Demblé pourtant pas si tonitruant, et qui aura donc participé à l’agonie de son équipe toujours un cran en retard.
Une charnière Coulibaly-Zimmerman, avec une très mauvaise partie pour le sénégalais qui s’est troué comme il le faut à la relance notamment, et l’ahuri de Lawrenceville qui aura trimballé un Ford F350 derrière lui  
Pour compléter à droite, Degenek qui s’est pris une dégelée - et un carton lui aussi - face aux dirbbleurs argentins.
 
Au milieu, un double pivot Busquets Krychowiak qui ferait passer les Veron et autre Paredes pour des marathoniens, tant la mobilité est effarante
Côté ibère, si Busquets a montré quelques éclairs de lucidité technique, il a toutefois été d’une lenteur abominable pour se retourner, ne passant strictement aucun dribble et rendant vaillamment le ballon aux marocains. Pour Krycho, chaussé des ses habituelles Caterpillar, c’est la nullité usuelle avec quelques geste techniques d’outretombe dont il a le secret
 
 
Devant eux, un trident Pulisic Shaquiri Weah
On attendait beaucoup des vivaces américains. Hélas, le Lebron James du soccer a rappelé qu’il était un piètre joueur de football depuis quelques temps et livré une prestation absolument criminelle pour un joueur censé être le taulier offensif de l’équipe. Sur l’aile opposée, un match de Weah qui rappellera ses plus beaux débuts de poulet sans tête, au grand dam de papa qui s’amusait bien en voyage diplomatique depuis 15j et qui devra hélas rentrer au bercail expédier les affaires courantes. Enfin, le musculeux Shaquiri a réalisé une triste partie, l’opposition manquant vraisemblablement de Serbes pour l’enflammer un peu
 
Devant, victime cruelle de l’élimination espagnole, nous alignons Asensio, l’ex homme à surveiller dans 2 ans, qui aura symbolisé l’échec des ibères pour planter un petit but dans leur formation de handballeurs redoublant les passes
 
 
Au coaching, c’est bien évidemment Berhalter que l’on désignera, le redoutable tacticien du New Jersey ayant visiblement oublié qui est Louis van Gaal dans le monde du VOETBAL en préparant une tactique pleine d’initiative ubuesque vu ses piètres joueur

Et bien sûr l'équipe type, Mad Ratz c'est encore à vous cher Brooke.

Puisque le football demeure, pour reprendre l’expression consacrée, une formidable raison d’être heureux ; on aborde enfin le sujet des vrais joueurs, ceux qui illuminent ces 8e et nos yeux : c’est l’heure de l’équipe type
Une équipe type, à l’inverse des poules, peut-être plus dure à établir tant l’ont a eu des prestations individuelles de belle qualité, et qui laissera donc plusieurs beaux joueurs de football sur le banc
 
 
 
 
Dans les bois, on envoie Bounou, le portier marocain ayant sorti un match très solide face aux nippons, avec une belle application pendant le temps réglementaire sur les initiatives espagnoles, puis une séance de tirs au but en véritable patron où il aura écoeuré les tireurs qui se sont présentés face à lui.
 
 
En défense, une charnière intergénérationnelle avec un briscard, un pitbull et un prodige.
Le bon Thiago Silva nous sort un nouveau match feutré de grande classe, semblant toujours jouer dans un fauteuil qu’il s’agisse de couper de manière bien sentie les incursions adverses ou faire ressortir le ballon.
Son pendant à gauche, Gvardiol, poursuit dans la droite lignée de ses poules avec un match absurde tant il joue avec la sérénité d’un taulier malgré son jeune âge. Une lecture du jeu impériale, des tacles sans trembler, des retours véloces, et une qualité pour casser les lignes à la passe dignes d’un futur défenseur dominant.
Au centre enfin, comment ne pas évoquer l’émouvant match de Pepe qui est visiblement de retour en 2014 malgré sa blessure récente. Avec une partie d’ogre en défense, il aura absolument terrifié les suisses comme au firmament de sa grandeur, en plus de nous gratifier d’un coup de casque décisif dont lui et son compère Ramos avaient le secret. Magnifique crépuscule pour l’un des plus grands défenseurs de l’histoire
 
Sur les ailes de ce 3-5-2, un duo aussi efficace que contrasté.
À droite, l’incontournable Dumfries qui, on le répète, a visiblement enfilé les souliers de Maicon qui trainaient dans le vestiaire des nerazzurri. Un défi physique monumental infligé à son vis à vis avec des coups de boutoir éreintants, un repli défensif pour une fois convenable et surtout une patte diabolique pour envoyer inlassablement ces centres en retrait qui déchirent le demi-espace adverse
À gauche, Perisic, l’inoxydable croate ayant été bel et bien métamorphosé par la discipline du commandant Conte. Le virevoltant ailier n’a plus ses jambes de 20 ans mais est encore un infatigable coureur, machine à presser qui électrise le front de l’attaque avec ses deux pieds et ses petits appuis. Surtout, une capacité inouïe à être clutch, à l’image de ce but de la tête pour remettre à flots son équipe. Pour ce qui est sans doute sa dernière CDM, l’homme de l’ombre de la Croatie veut faire les choses comme il se doit et pourra regarder sa carrière la tête haute
 
 
Au milieu, un double pivot De Jong - Rabiot aussi créatif que discrètement indispensable.
Pensées évidemment au blondinet Frenkie, qui est sans doute le milieu qui a le plus de pression sur les épaules pour ce Mondial., à savoir organiser l’intégralité de la relance dans une sélection historique du football, sous les ordres de Van Gaal et en étant évidemment épaulé par des nullards finis. Heureusement, De Jong nous rappelle quel joueur formidable il est et a sorti un match monumental contre les States, créant à lui tout seul le premier but, étant au four et au moulin pour gratter puis faire avancer le ballon.
Mention à Rabiot donc, le Duc nous sortant un Mondial très solide dans tous les compartiments du jeu : relance, couverture, récupération, avec la lourde tâche de compenser un Mbappard dégagé de toute responsabilité de marquage. Le costume des grands soirs est sorti par le Duc qui veut plus que jamais son contrat à 10 myions et confirme - enfin - son immense potentiel
 
Installé en 10 de cette sélection, le toujours poétique Felix a bel et bien du feu dans les jambes et monte en puissance sur cette CDM, visiblement désireux de se montrer et de quitter sa prison choliste. Un match exquis à la création face à la Suisse, festival de caresses aux ballons, d’appuis aériens, de dribbles flottants, Rui Costa est de retour.
Enfin en pointe, un #pivotgang articulé autour du Kyks de Bondy et de Richarlison. Côté français, nouvelle énorme performance du melon le plus rapide de la planète avec ses courses de dragster et ses humiliations à répétition de défenseurs pourtant lancés. Au final, tarif classique avec un doublé irrésistible, 2 sacoches ajustées longuement tant les adversaires sont loin derrière et qui permettent de conserver l’avance dans la course au meilleur buteur.
À côté, nouveau gros match de Richarlison qui se bonifie à chaque partie et qui, en plus de faire un repli défensif qui fait la fierté du commandant Conte, nous sort de son chapeau un nouveau golazo sans forcer. La Selecao semble enfin avoir retrouvé un 9 après sa traversée du désert
 
 
Sur le banc de ce 11 type des 8es, on retrouve le bon Fernando Santos dont on doit saluer la progression.
Après avoir proposé comme à son habitude un football terroriste lors des poules, qui laissait donc craindre le pire pour le Portugal ; il a enfin eu l’audace de vouloir jouer au sport appelé « football » en proposant une composition moderne, jeune et joueuse qui a livré le match plein que les fans portugais n’attendaient plus

Alors passons à la dernière partie de cette émission, nous vous avons préparé deux petits classements de l'histoire du football :
 
-le TOP Seum  
-le TOP Flops  

Le retour du vrai PP.

Les mauvais perdants, les seumards, ceux qui ont la hess, ils ont plusieurs noms et pourtant on les connaît tous, ces joueurs, ces entraîneurs, ces supporters, forumeurs, pour qui la défaite et l’échec sont amers, indigestes, et qui nous régalent de déclarations transpirant la haine, la mauvaise foi, l’absence de lucidité, bref, le seum.
Et plus la hype, le boulard, l’espoir étaient grands avant la chute, plus celle-ci est savoureuse et donne lieu à des interviews collector.
Petit classement, le top seum du football du 21ème siècle.

• 5ème position

L'Algérie

Depuis un match retour de barrage de coupe du monde en mars 2022, gagné en toute légalité et honnêteté par les malettes camerounaises, les Algériens ont, c’est peu de le dire, une certaine difficulté à accepter le résultat de ce match et leur absence à la CDM. Recours auprès de la FIFA, espoirs de faire rejouer le match, une fois que toute possibilité de changer la donne était épuisée, il ne restait qu’à souhaiter tout le mal du monde à la sélection camerounaise.
Les associations de supporters du Brésil, de la Suisse et de la Serbie se sont multipliées en Algérie lors de ces phases de poules, aussi étonnantes que les «France india fan club » et compagnie.
Supporters camerounais harcelés et importunés à Doha, médias algériens pas avares en déclarations douteuses « Les Camerounais retournent dans leur jungle, sans pois chiche ni haricots ».
Les Algériens devraient se concentrer sur leurs propres objectifs sportifs, sans quoi ils risquent de devenir les diables rouges et vert du continent africain.

• 4ème position

Luciano Gaucci

En 2002, Luciano Gaucci est président du club de Pérouse en Italie. Lors de la coupe du monde cette même année, l’Italie est éliminée de la compétition par le sud-coréen Ahn Jung-Hwan, également joueur du club de Pérouse.
Le président déclare alors dans une montée de seum « "Je n'ai pas l'intention de payer un salaire à quelqu'un qui a ruiné le football italien. »"Ce monsieur ne mettra plus jamais les pieds dans Pérouse". Luciano Gaucci a tenu sa promesse, Ahn n'a plus jamais joué pour Perugia.

Ne s’arrêtant pas là, en 2006, le fantasque président de Pérouse décide ne pas faire jouer son équipe pour la fin du Championnat italien, pour protester contre un arbitrage qu’il juge défavorable. Une condition à ce que son équipe retourne à la compétition, la démission de Franco Carraro, président de la Fédération italienne.

Le genre de président qui manque au football d'aujourd’hui.

• 3ème position

Basong

Basong est ce qu’on pourrait appeler un fervent adorateur de son club. Animé de passion débordante, de haine sportive de l’ennemi Lyonnais, anéanti à chaque défaite, heureux comme un enfant à chaque victoire, son amour pour son club de toujours est indiscutable.
Elle a évidemment des conséquences inévitables, emportements, manque de discernement, beaucoup font les frais des débâcles stéphanoises, hélas nombreuses ces dernières années.
Saint-Etienne dérange, Lyon manipule la ligue et tout n’est qu’injustice, que n’a-t-on pas entendu ? Bien sûr ce n’est pas l’insipide Mac_Lane, footix de la première heure, qui s’emporterait pour un de ses 4 clubs de coeur, les Basong se font hélas de plus en plus rares.
Par delà la haine du lyonnais, il y a celle de l’arbitrage. Nous avons effectué lors de nos recherches d’archives une petite recherche « Basong + arbitrage » sur le topic foot, ce à quoi HFR nous a répondu « votre recherche comporte trop de résultats, veuillez être plus spécifique ».
Soit, sur la période 2018-2022, citons quelques exemples:

Allez, merci Basong, et ceci est comme pour vassilii rien d'autre qu'un hommage à une légende du topic pied-ballon pour celui qui vit le plus intensément de nous tous sa passion pour son club.

• 2ème position

Thibault Courtois & Eden Hazard

On l’attendait tous dans ce classement, le duo du seum, les défenseurs du beau jeu, les champions du monde 2018 de l’élégance et de la virtuosité.
Alors on pourrait encore leur excuser les déclarations à chaud, avant d’avoir analysé les statistiques contredisant leurs dires, avant d’avoir revu les images indiscutables.

« C’était un match frustrant, la France a joué à rien, a joué à défendre avec onze joueurs à 40 mètres de leur but. La frustration est là car on perd contre une équipe qui n’est pas meilleure que nous. Contre l’Uruguay, ils ont mis un but sur coup franc et un autre sur une erreur du gardien. »
« Je préfère perdre avec cette Belgique que gagner avec cette France. »
Mais ce qui est savoureux chez le duo du Muppet show belge, c’est la persistance et la longévité de cette rancoeur et de cette mauvaise foi, chaque compétition ravivant les plaies encore douloureuses et le désir de revanche. Euro 2020, UEFA nations league, et même 4 ans plus tard on sent que Thibaut l’aigri n’a toujours pas tourné la page. Eden a su le faire en prenant sa retraite, espérons que son confrère ne s’accrochera pas trop à son désir de « fermer des bouches », le ridicule ne tue pas mais on s’inquiète quand même.

• 1ère position

L’Hessspagne

Et c'est l'Espagne qui remporte cette compétition victimaire, sans surprise.
Quelle année, quel cru pour le football espagnol. Menés par leur plus fervent défenseur, le plus madrilène des lensois, l’opportuniste, le lustreur du postérieur de ZZ, el famoso Frederico Hermel.
S’il en est un qu’il est impossible de faire taire, qu’aucune prédiction pleine de certitudes s’avérant foireuse n’arrête, qui ne recule devant nulle occasion de balancer des infos tirées de ses insiders au conseil d’administration du Real ( ou du service de ménage de Santiago Bernabeu, on ne sait plus ), c’est bien lui. Celui qui prédisait fièrement il y a quelques années qu’Asensio serait au dessus de Kyky, que Mediapro était « du très très solide », n’a pas manqué de retourner sa veste cette année, affirmant que Mbappé au réal c’était FAIT.
Alors forcément, quand on est aussi sûr de soi, on a du mal à accepter de tomber de si haut.
« Dans le foot, il y a ceux qui respectent la parole donnée. Et puis il y a Mbappé… », a ainsi réagi Frédéric Hermel sur Twitter.
Puis en septembre 2022, encore un peu de seum.
« L’évolution du personnage Mbappé, ça va avoir une influence négative sur sa carrière »
En parfait associé de l’entreprise de mauvaise foi et de seum venus d’Espagne, le président de la ligue, Javier Tebas. Celui qui a commencé à exprimer sa rage en 2017 au moment où Neymar a décidé de quitter son championnat du tiers-monde pour venir découvrir la modernité, n’a jamais cessé depuis d’être tout rouge tout colère à chaque interview, glissant chaque fois de petites amabilités pour le PSG et le football français. Evidemment un tel poisson ne se relâche pas, alors d’abord avec la signature de Messi puis la prolongation de Kyky le génie, Nasser n’a pas pu s’empêcher de maintenir solidement le petit Javier à son hameçon.
Citons une de ses plus belles déclarations récentes. «Il est impossible que le PSG ait pu boucler l’opération Mbappé avec le règlement actuel du fair-play financier. Nous n'allons pas seulement nous en tenir à l'UEFA. Nous irons devant les justices française et suisse. Ça suffit. Il faut arrêter cela. C'est l'une des choses dont le Real Madrid s’est plaint. Ils ont raison et nous allons les soutenir pour le bien du football européen (...) Cette semaine, nous dénoncerons également le PSG, la semaine dernière nous l'avons fait avec City.»
Ajoutons à cela les supporters madrilènes, passés de l’amour inconditionnel à la détestation du petit Kylian, les barcelonais, mais également et plus globalement le football espagnol en général qui ne comprend pas que 12 ans après, le tiki taka ne fonctionne plus quand il n’y a plus Xavi, Iniesta et David Villa.  Rodri, en parfait descendant de la tradition seumiste, s’est merveilleusement illustré après la défaite contre le Maroc, ne comprenant pas qu’avec plus de 1000 passes en retrait on ne pouvait pas gagner un match.

Merci au Sherlock Holmes de Poum pour cette nouvelle impressionnante enquête
 
Seconde démonstration implacable dans un instant

Pour ce deuxième classement de la soirée, un top 3, celui des plus gros flops, des plus grosses débâcles du football.
Ce qui devait-être un top 5 à l’origine a du être circonscit, pour des raisons que je ne maîtrise pas.
J’ai d’abord reçu des pressions provenant des hautes sphères HFRiennes pour ne pas évoquer le cas John Textor, qui, en plus d’être dans l’actualité, avait largement sa place dans ce classement.
Un pavé écrit pour rien.
Ensuite des pressions de mon confrère, selon qui « le PSG en LDC entre 2010 et 2020 » n’avait pas sa place dans ce top flops.
Soit, mentons à nos lecteurs et faisons comme si les multiples remontadas et fiascos annuels n’existaient pas.
Voici donc le top 3 des flops du football.

• 3ème position

France 2002

On a pas mis France 2010. Après tout en 2010 qui pouvait attendre quoique ce soit de Mavuba, Menez, Valbuena, Ribery, Gourcuff et Toulalan ?
En 2002 la France sortait de 2 titres, CDM et Euro, tous les joueurs étaient à leur prime, les jeunes de 98 étaient devenus matures et on s’était débarrassés des boulets comme Guivarch, Diomède, et autres Karembeu. Adidas avait déjà lancé la production des maillots 2 étoiles, et n’hésitait pas à lancer sa campagne publicitaire placardée sur tous les murs du stade de France à chaque match préparatoire, ce qui avait énormément plus au visionnaire et futur philosophe-psychanalyste Lilian Thuram « C’est vous qui avez eu l’idée de tout ce cirque ? C’est complètement débile d’avoir mis cette deuxième étoile ! Vous vous prenez pour qui ? On n’est pas la dream-team ! ».
Arrogance, boulardise, la France de 2002 ressemble fort à la Belgique de 2018, pour des résultats quasi-similaires. Merci à nos voisins de copier nos bonnes méthodes.
C’est d’ailleurs contre eux que se joue le dernier match avant la compétition, podium en fin de match sponsorisé par Coca-Cola (toujours dans les bons sponsorings ceux-là, chat noir ?).
Slogans pleins d’assurance de Jacque Séguela, chanson de Johnny, diffusion des « yeux dans les bleus II », à côté le boulard de Bruxelles fait pâle figure.
Volvic, SFR, Pétrole Hahn (c’est un shampooing Mac_Lane), TPS, Canal, Carrefour, Adidas, la préparation des bleus ressemble plus à une promotion marketing de tournée de clowns qu’à celle d’une compétition internationale.

N’oublions cependant pas le graal de cette année de débâcle, l’éclaircie dans cette tempête de fiascos, le summum de la culture française au service du football, l’hommage du grand Francis Lalanne à Christian Karembeu, sifflé contre l’Ecosse avant la CDM :
« A mon ami le kanak »

youtube.com/watch?v=njYf9JgqOnA

Les bleus ne pouvaient que gagner.
On connaît la suite.

• 2ème position

Brésil 2014

Une masterclass. Un fiasco monumental. Tout était écrit.
Car 64 ans plus tôt, le Brésil avait déjà commis la même erreur. Se voir déjà vainqueur, se croire surpuissant, dans une compétition à domicile, pour finir humilié en finale par la modeste équipe Urugayenne de l’époque.
On aurait donc pu croire qu’en 2014, les quelques survivants auraient tiré les leçons de la première débâcle, avec un peu plus d’humilité, de méfiance, de concentration, de respect des adversaires.
Que nenni, la 6ème étoile était déjà brodée sur le maillot bien avant le début de la compétition.
Avec aux manettes le grand, l’immense Luiz Felipe Scolari, vainqueur de la dernière CDM brésilienne 12 ans plus tôt. Sauf que ce n’est plus Ronaldo en 9, c’est Fred, ce n’est plus Ronaldinho en 10, c’est Oscar. La charnière Dante - David Luiz plus à son aise au Macumba en tenue disco que sur un terrain de foot. Résultat, 7-1 à domicile, pire humiliation de l’histoire du Brésil, devant son propre public.
Même sans O'chialo sur le terrains les Brésiliens n'avaient jamais semblé aussi apeurés, des enfants face à des adultes.
Les allemands n’avaient plus été aussi cruels depuis un demi-siècle.

• 1ère position

PortoG

Une affaire qui parlera aux plus anciens d’HFR et du topic foot, le cas PortoG. Pas un acteur majeur du football mondial, mais dans le schéma « faire monter la hype avant de voir une chute brutale », nous sommes face à un cas d’école.
Alors voici le début de l’histoire.

En 2013, Cavani vient de signer au PSG, Mozzz s’appelle Morrissey59lille, PP fait des chroniques, et PortoG est un habitué du topic pied-ballon, fervent adorateur de l’olympique Lyonnais ( comme par hasard).
Début août, il attise la curiosité de tous les lecteurs.

Grandes promesses, un petit week-end au Portugal avec des places pour la finale de la LDC, avec avion, hôtel, et coke compris.
Que fallait-il de plus pour éveiller l’attention des petits boutonneux du topic pied-ballon de l’époque ?

Vient ensuite une organisation digne des plus grands jeux télévisuels, l’individu paraît on-ne-peut-plus-sérieux. Création d’une adresse-mail pour le jeu concours, dates limites, ne manquait plus que la validation de Freddy en tant qu’huissier assermenté et l’affaire était irréprochable.

Quelques semaines plus tard, histoire de bien ancrer sa crédibilité et son train de vie de chef d’entreprise généreux auprès de ses fidèles comparses, il lance une petite invitation à ses co-forumeurs inconnus irl préférés à venir séjourner dans un hôtel luxueux.

Septembre 2013, fin des inscriptions, la procédure est respectée à la lettre.

Le tirage au sort est effectué en bonne et due forme, et les deux vainqueurs annoncés publiquement :

Décembre 2013, l’individu se fait de plus en plus rare, un petit message pas du tout hors sujet pour dire que sa compagne lui avait acheté la PS4 à Paris alors que lui l’avait déjà acheté plus tôt à NY, et un petit mot pour rassurer les deux vainqueurs du jeu-concours le plus attendu de la décennie.

Un dernier message début janvier 2014, confirmant son « retour » dans un mois, et depuis… le néant. Tekken79 ne s’est pas remis de cette déception et Skaine n’a plus confiance dans le topic football qu’il a depuis peu à peu déserté.
PortoG, le Jacques Kachkar d’HFR.

Allez ROMPICHE,
 
à demain pour du grand football
 

Merci à tous chers auditeurs, merci au singe qui a visiblement la variole et va rompiche, et bien évidemment merci à PP pour cette chronique exceptionnelle et historique
 
C'était l'After

Combien de dodos avant Giroud ?

Ok vu
 
Vivement la page 1303

Rholala, la qualitance de ce retour de l'after!!!    
 
Merci à vous et reposez vous bien par pitié!  

cette émission  

Sacrée équipe type.
Content de voir que même la modération a son Pavard  

excellent cet after
 
PortoG, ce serait pas pipodeluxe depuis ? Son pseudo est raccord en tout cas

Les bonus de PP depuis qu'il a passé la frontière de la modération...
 
Et félicitation pour l'after  

L'histoire de portog