Reprise du message précédent :
Madame qui prend +9,32% (c'est précis) d'augmentation la semaine de l'ouverture du compte joint alors qu'on avait convenu d'alimenter à hauteur de nos revenus  

 
plus maintenant avec les paylib et lydia

Ce ne sont pas des virements.

 
ah oui pardon dans le sens paiement à l'etat par exemple.  
Ils ont bien tous des téléphones portables

Monsieur aimerait qu'on vive ensemble.    
 
 
 

à mi-temps alors ?

Glurps.
Tu lui as dit quoi?
Pourquoi tu ne veux pas ?

Au bout de combien de temps il te demande ça ? Vous aviez été claisr avant ou c'était implicite ?

On est ensemble depuis 2 ans.
Ce n'était pas possible donc c'était un non-sujet. Ca devrait être faisable d'ici un peu plus d'un an, la situation change de son côté, donc il commence à en parler.  
Moi je ne nous vois pas du tout en famille recomposée, je suis bien avec mon chez moi et parfaitement consciente que je supporterais difficilement au quotidien nos divergences de mode de vie (ménage, éducation qu'il donne à son fils, etc.).

 
et tu lui en a parlé ?

La vie commune ce fléau
 
On est tellement mieux chacun chez soi.
 
Va falloir en parler, mais ça reste étonnant que vous n'ayez jamais évoqué vos avis sur le sujet, il a l'air de penser que tu pourrais être partante

Non.  
J'ai un peu du mal à trouver comment formuler ça. Surtout avec un gros risque d'être blessante si je lui explique vraiment les raisons.

Aie.
 
Oui c'eut été mieux d'en avoir parlé au début de la relation. Maintenant il va falloir que vous en discutiez. Pas sûr qu'il le comprenne  

Il n'est pas au courant des divergences en question ?

A la base, je m'étais dit qu'après quelques années, pourquoi pas. Mais je n'étais absolument pas prête à me relancer dans une vie commune rapidement.
En plus il était question à l'époque que son ex aille vivre plus loin avec leur fils, donc soit il voulait continuer son mode de garde et il mettait fin à notre relation (super l'épée de Damoclès depuis 2 ans...) soit il venait seul chez moi. Maintenant il semblerait que les projets de l'ex soient repoussés/annulés.  
 
Le pire ce ne sont pas les divergences sur l'alimentation, ou les poils qui restent près du lavabo pendant des semaines, ou mon besoin de me retrouver seule régulièrement (même si tout ça compte), c'est surtout de me retrouver dans le rôle de la belle-mère d'un enfant roi que j'ai déjà du mal à supporter une seule journée... et je sais parfaitement que ce n'est pas à l'origine la faute du gosse mais celle de ses proches. Je ne veux pas dire à mon mec comment élever son fils, je veux encore moins devoir le faire moi-même, mais il y a des limites à ce que je peux supporter niveau incorrection, surtout chez moi. Et ça, il n'en semble pas conscient alors que j'ai déjà abordé le sujet avec tact plusieurs fois.

Si effectivement une divergence porte sur l'education de son fils...

"je suis pas d'accord sur l'éducation que tu donnes à ton enfant" y a pas pire comme sujet sensible

 
Effectivement ça va être compliqué
 
Bon après il est aussi censé faire l'effort de comprendre de son côté. S'il s'efforce de pas faire attention quand tu en parles ou qu'il finit par le prend mal, y'a pas grand chose à faire  

De toute façon tout ce qu'il pourra faire c'est comprendre les raisons de Qntal et les accepter.
Il ne pourra pas changer l'éducation qu'il donne à son fils, je pense que c'est trop tard.
En espérant qu'il ne dise pas : "ou mais tu vas voir ca va changer, je vais faire des efforts...". Sure à 100% que ca marchera pas. A la limite niveau poils sur l'évier mais pour le reste..

 
Je pense que même si c'est le fond de sa pensée, il n'y a pas forcément besoin de l'exprimer comme ça en l'occurence. Je dirais plutôt de centrer la discussion sur les problèmes concrets que ça lui poserait si ils devaient emménager ensemble (par exemple pas possible d'avoir du calme, avoir plus de travail domestique parce que trucs à ranger/nettoyer, avoir un enfant de plus à gérer etc).

 
Si elle ne donne pas la vraie raison ca n'ira pas.
Parce que pour tout ce que tu cites, il pourra toujours dire qu'il va faire attention, que quand il vit en couple il est différent etc.
Ca sert à rien de ne pas évoquer le fond du problème.

Il faut bien lui faire comprendre que ton non désir d'enfant fait que tu ne veux pas avoir à t'en occuper, ce qui empêche toute cohabitation. Après encore une fois, est-ce qu'il le comprendra ...

Je ne suis pas d'accord, je trouve ça mieux de parler d'éléments les plus terre à terre et factuels possibles, liés à la vie du quotidien, plutôt que partir sur la théorie de comment on élève des gosses qui peut être sujette à des débats infinis.
Et les promesses dont tu parles on peut aussi ne pas les accepter. Pour un sujet aussi important que son propre lieu de vie on peut simplement dire que non, les promesses ne suffisent pas.

C'est plutôt le non-désir de l'enfant-roi de son conjoint parce qu'elle a aussi ses enfants

Ah oui, fuck, j'avais oublié ce petit détail  

Bon là c'est compliqué a expliquer  

Ca aurait été trop simple sinon, si elle avait été childfree, c'est évident qu'elle aurait pas voulu de ça chez elle.

Il ne le prend pas mal mais ça lui passe au dessus globalement. Forcément, il a une image très positif de son fils et il ne réalise pas à quel point ça m'affecte parfois.  
Il y a déjà eu des petits changements concrets du fait de mes remarques.  
 
 
Concrètement, un exemple de ce qui ne va pas :  
Le gamin doit prendre un paracétamol en suspension mais il n'aime pas le goût. Après plus de 20 minutes de négociation du père, il met tout dans sa bouche, gonfle les joues, tourne la tête et crache par terre et sur sa chaise.
Le père râle un peu, lâche "si vraiment tu ne peux pas supporter, fais-le au moins sur la table, là c'est pénible à nettoyer" puis prépare un nouveau verre.
Le gamin recommence et crache tout sur la table, suivi d'un "bah quoi ? C'est toi qui m'a dit de cracher sur la table !"   (avec cette tête, vraiment)
Le père reste relativement calme et recommence les négociations.  
Je suis partie dans la chambre pour ne plus assister à ça. 45 minutes pour qu'il prenne son médoc.  
 
C'est pareil pour tout : se balancer sur une chaise, se trainer par terre, répéter ce que quelqu'un dit, couper la parole plusieurs fois de suite. Provocation vs manque d'autorité.  
Je peux en parler de manière factuelle et terre à terre, mais je ne vois pas comment éviter la théorie de comment on élève les gosses. On ne dit pas non avec le sourire, on ne s'amuse pas d'un gamin qui provoque, on reste constant dans les principes, on ne laisse pas systématiquement faire les bêtises plusieurs fois avant d'agir...  
 
Ensuite effectivement, il est trop tard (9 ans) pour reprendre certaines bases de l'éducation (merci, bonjour, s'il te plait ?), d'autant plus que ce ne sera pas suivi par le reste des adultes autour de lui.  
 
Bref, c'est pas un topic famille/enfants. Mais niveau couple actuellement je suis bien contente de pouvoir parfois rentrer chez moi et souffler un peu, ou attendre d'avoir des moments seulement à deux.  

+1, le sujet est vraiment trop touchy, c'est mieux d'en rester à des éléments concrets/factuels.
Pas facile comme situation

ah ouais  

Même chez quelqu'un d'autre, je sais pas si j'arriverais à supporter ce genre de truc de façon récurrente  

Mais la théorie quelque part c'est à lui de s'en inquiéter, c'est son gosse. S'il ne le fait pas malgré les problèmes évidents que vous avez l'air de rencontrer, ça ne me semble pas utile ni pertinent de soulever le sujet avec lui à ce stade.
Tes besoins d'être tranquille chez toi par contre tu es libre de les fixer comme tu veux, et normalement les raisons que tu donnes devraient être suffisantes pour que :
- soit il se décide à faire ce qu'il faut de son côté (et là vous commencez à parler théorie de l'éducation si c'est un besoin de sa part et que tu veux bien l'aider là-dessus)
- soit il reconnaisse que son enfant n'est pas compatible avec le fait de vivre ensemble à plein temps

En dehors de ça, il peut se vexer parce qu'il n'a pas ce qu'il veut (un peu comme son gamin finalement), mais y'a pas grand chose à faire, en définitive on peut pas le forcer.

bon ben chacun chez soi, à priori c'est le mieux dans cette situation.
 
Pas de projet de mariage sinon ?
 

Il a 9 ans et fait ça avec le médicament ? Au début, je pensais que tu parlais d'un enfant de 3/4 ans

Oui, faut-il encore qu'il le comprenne lui  

Et tu veux pas le quitter? ça semble plus simple

à 9 ans, c'est en poudre dans de l'eau non??

à 9 ans, c'est en poudre dans de l'eau non??

Je trouve qu'il a fallut longtemps pour en arriver à ce conseil, ce topic part à vau l'eau.

C'est peut-être ce qui arrivera, mais on n'en est pas encore là  

Bah le plan sinon c'est quoi c'est d'attendre que le gamin soit adulte marié pour s'installer à deux ? Faudra quand même le subir toute la vie... Ou continuer le concubinage comme ça jusqu'à la mort, mais visiblement c'est pas ce que lui cherche

Si Qntal ne peut pas faire la concession, peut-être que lui sera prête à la faire. Si ce ne n'est pas le cas, en effet, c'est mal barré.

 
Donc c'est à lui de faire soit un effort, soit un renoncement. Ça ne me semble pas déconnant vu le contexte

 
quitter quelqu'un qu'on aime parce que son gamin est pénible

pas de projet de mariage ?