C’est positif c’est cool  

Je rebondis sur le côté « taf uniquement en anglais » : il y a une vraie utilité opérationnelle ou c’est pour faire genre ?

Je pose la question parce que ça m arrive de faire des meetings en anglais parce qu’il y a un anglophone dans une assistance de 15 personnes, ce qui a le don de me gonfler  

 
Il y'avait une part de lucidité froide sur ma propre situation dans ces propos
 
Cela dit je ne me décrirais pas comme "nolife" du boulot. Je n'ai jamais fait partie de la team présenteisme et j'ai délibéremment évité la profession d'avocat en raison des horaires et du mauvais équilibre pro/perso.  
 
Je pense être un profil "impliqué". Quand je rencontre un problème de boulot j'y pense à la maison, sous la douche et je suis près à partir tard pour avancer dessus. Mais je ne fais pas ce truc d'être la personne "outstanding" qui répond toujours à tout, est toujours connecté/disponible etc.  

Petit bilan après six mois sur le nouveau taf:
 
- Globalement, très content de ce changement. Je me sens nettement plus stimulé/satisfait professionnellement et le job est génial, même si très dense.
- Le niveau de l'ensemble des collègues a grimpé de plusieurs crans. Entouré de gens ambitieux et smart, c'est pas évident tous les jours mais net/net je trouve ça très agréable
- La vie de famille en a pris un coup mais pas autant que ce que je craignais au début. J'arrive à maintenir des horaires 9h/9h-30- 19h-20h c'est un peu variable. Je dois bosser quelques weekends dans l'année mais rien d'ingérable. En revanche je ne cuisine plus du tout et le suivi des devoirs des enfants est beaucoup plus light.
- Je ne bosse plus du tout en français, ça m'arrive de chercher mes mots (en français!) c'est assez étrange.
 
Il y'avait beaucoup d'incertitude sur ce move (changement de secteur/création de poste/groupe américain), donc content que ça se passe bien jusqu'ici et ça donne envie de continuer
 
 

C’est positif c’est cool    
 
Je rebondis sur le côté « taf uniquement en anglais » : il y a une vraie utilité opérationnelle ou c’est pour faire genre ?
 
Je pose la question parce que ça m arrive de faire des meetings en anglais parce qu’il y a un anglophone dans une assistance de 15 personnes, ce qui a le don de me gonfler  

Petit bilan après six mois sur le nouveau taf:
 
- Globalement, très content de ce changement. Je me sens nettement plus stimulé/satisfait professionnellement et le job est génial, même si très dense.
- Le niveau de l'ensemble des collègues a grimpé de plusieurs crans. Entouré de gens ambitieux et smart, c'est pas évident tous les jours mais net/net je trouve ça très agréable
- La vie de famille en a pris un coup mais pas autant que ce que je craignais au début. J'arrive à maintenir des horaires 9h/9h-30- 19h-20h c'est un peu variable. Je dois bosser quelques weekends dans l'année mais rien d'ingérable. En revanche je ne cuisine plus du tout et le suivi des devoirs des enfants est beaucoup plus light.
- Je ne bosse plus du tout en français, ça m'arrive de chercher mes mots (en français!) c'est assez étrange.
 
Il y'avait beaucoup d'incertitude sur ce move (changement de secteur/création de poste/groupe américain), donc content que ça se passe bien jusqu'ici et ça donne envie de continuer
 
 

 
Il y'avait une part de lucidité froide sur ma propre situation dans ces propos
 
Cela dit je ne me décrirais pas comme "nolife" du boulot. Je n'ai jamais fait partie de la team présenteisme et j'ai délibéremment évité la profession d'avocat en raison des horaires et du mauvais équilibre pro/perso.  
 
Je pense être un profil "impliqué". Quand je rencontre un problème de boulot j'y pense à la maison, sous la douche et je suis prêt à partir tard pour avancer dessus. J'ai besoin de comprendre les sujets sur lesquels je bosse en profondeur et à long terme c'est ce qui me donne une certaine efficacité. Mais je ne fais pas ce truc d'être la personne "outstanding" qui répond toujours à tout, est toujours connecté/disponible etc. Ca m'épuise d'avance et ça ne colle pas trop à ma personnalité.

 
Tu dis faire 10 à 12h/j au taf et bosser parfois le week end. Je suis curieux de connaître ta définition de presenteisme et de nolife au boulot quand même    

 
Tu dis faire 10 à 12h/j au taf et bosser parfois le week end. Je suis curieux de connaître ta définition de presenteisme et de nolife au boulot quand même    

 
On peut toujours trouver pire bien sûr mais 50/60 heures par semaines on n’est déjà plus du tout dans la normalité selon moi.
 
Et je dis ça en faisant minimum 45h/semaine avec de pointes à 50(et 55/60 en amplitude), mais tout en n’oubliant pas quand même que c’est anormal et trop….

Avez vous l'impression que c'est en train de disparaitre avec les nouvelles générations, ou en tout cas de s'atténuer ?
 
En COGIP, j'ai l'impression d'être bien considérée car je travaille de 8h30 à 18h en moyenne.
Ca me paraît ridicule en venant du conseil mais effectivement ici les jeunes partent + volontiers des 17h/17h30. C'est moins le cas chez les plus vieux.

Mouais
Je suis pas franchement d’accord
Encore une fois tu peux faire des heures sans y penser sous la douche.
Je fais pas mal d’heures mais quand je suis pas au boulot ça n’existe plus
En tout cas j’ai pas l’impression d’être parasitée par le boulot et mon humeur est assez indépendante

Après trouver qu’allouer du temps à sa carrière est perdu d’avance je trouve ça réducteur aussi mais pareil faut être dans un état d’esprit où la carrière n’est qu’une source d’enrichissement sur tous plans avant d’être une contrainte (au même titre que la famille les loisirs et le reste)

 , même en ayant L'intuition, beaucoup se laissent prendre dans les rouages, triste de constater ça auprès de mes anciens collègues de promo qui étaient les plus avertis, et sont pourtant aujourd'hui les plus dédiés à leur travail qu'ils détestent.

GG.
Chez moi il y a encore eu une reorg, du coup j'ai changé de directeur.
Et on me demande à nouveau si je veux rester dans mon job actuel (pour rappel je suis acting product manager d'un train agile d'environ 130 personnes depuis 1 an).
Mon chef hierarchique me dit qu'il me voit plus dans des jobs plus techniques.
Les gens au niveau solution agile voudraient que je reste ou au pire dans un autre rôle.
Moi ça me dérange pas de rester encore quelques mois (fin de l'année ou un truc du genre) mais j'aimerais bien aller sur un autre rôle. Mais je sais pas trop lequel et d'un point de vue "plan de carrière" j'ai du mal à voir ce qui constituerait une amélioration me concernant.

top  

Tu dis faire 10 à 12h/j au taf et bosser parfois le week end. Je suis curieux de connaître ta définition de presenteisme et de nolife au boulot quand même  

Lui : il pense au boulot sous la douche
No life du boulot : il répond aux mails sous la douche

Ouais enfin pour le contexte rappelons quand même que tu as 2 boulots donc bon niveau objectivité sur le fait d'être no life du boulot on repassera

Avez vous l'impression que c'est en train de disparaitre avec les nouvelles générations, ou en tout cas de s'atténuer ?

En COGIP, j'ai l'impression d'être bien considérée car je travaille de 8h30 à 18h en moyenne.
Ca me paraît ridicule en venant du conseil mais effectivement ici les jeunes partent + volontiers des 17h/17h30. C'est moins le cas chez les plus vieux.

Au delà du job en lui même, vous oubliez une variable qui est la personne en elle-même. Chacun est capable (ou pas), plus ou moins, de prendre du recule sur son job et d'éviter d'en être pollué en dehors du bureau.

J'ai cette problématique :
 
2 eme boite où j'ai à peu de chose près le même job (Directeur de BU dans l'indus).
 
J'ai frisé le Burnout l'année dernière (avec en prime un accident 130kmh, un lundi à 14h00, où je me suis endormi)  
Epuisé par la pression des chiffres mais aucunement par les heures (45h à 50h/s) avec en moyenne du 8h30 19h.
 
Je change de crémerie début 2024 (avec un +9% ) => Même constat. Je vis le job le soir le weekend, avec ma femme mes enfants, non-stop.  
Je pense que le problème vient de moi en majorité.  
 
Faudrait que je change de type de poste ? Je sais pas. Ma femme me dit que je cherche le fric avant tout.
Je ne me vois absolument pas redescendre en responsabilité ce qui rimerai en baisse de salaire.

 
Bon courage avec ça. Tu as pensé à un exec MBA ou ça ne t'attire pas du tout?  
 
En te lisant j'ai le sentiment quetu es à mi-chemin entre l'expertise et le management et que tu ne t'es pas encore vraiment décidé à partir vers du management/top management avec tout ce que ça implique (incertitude, moins de technique, jobs plus "prenants" et probablement un peu plus bullshit aussi).
 

J'ai cette problématique :

2 eme boite où j'ai à peu de chose près le même job (Directeur de BU dans l'indus).

J'ai frisé le Burnout l'année dernière (avec en prime un accident 130kmh, un lundi à 14h00, où je me suis endormi)
Epuisé par la pression des chiffres mais aucunement par les heures (45h à 50h/s) avec en moyenne du 8h30 19h.

Je change de crémerie début 2024 (avec un +9% ) => Même constat. Je vis le job le soir le weekend, avec ma femme mes enfants, non-stop.
Je pense que le problème vient de moi en majorité.

Faudrait que je change de type de poste ? Je sais pas. Ma femme me dit que je cherche le fric avant tout.
Je ne me vois absolument pas redescendre en responsabilité ce qui rimerai en baisse de salaire.

 
Je crois que dans ces cas-là, il est utile de faire un bilan avec un psy compétent sur ces problématiques, pour démêler ce qui vient de soi, ce qui vient de l'environnement pro, qu'est-ce qu'on cherche vraiment et comment s'adapter.
Enfin en tout cas c'est ce que je ferais à ta place.

 
On peut toujours trouver pire bien sûr mais 50/60 heures par semaines on n’est déjà plus du tout dans la normalité selon moi.
 
Et je dis ça en faisant minimum 45h/semaine avec de pointes à 50(et 55/60 en amplitude), mais tout en n’oubliant pas quand même que c’est anormal et trop….

 
Je me laisse jusqu'à la fin d'année pour aviser sur cette solution oui.
Pour le moment, dans cette nouvelle boite, je me mets surtout la pression à moi-même. C'est pas un pb de chiffres pour le moment.

J'ai cette problématique :
 
2 eme boite où j'ai à peu de chose près le même job (Directeur de BU dans l'indus).
 
J'ai frisé le Burnout l'année dernière (avec en prime un accident 130kmh, un lundi à 14h00, où je me suis endormi)  
Epuisé par la pression des chiffres mais aucunement par les heures (45h à 50h/s) avec en moyenne du 8h30 19h.
 
Je change de crémerie début 2024 (avec un +9% ) => Même constat. Je vis le job le soir le weekend, avec ma femme mes enfants, non-stop.  
Je pense que le problème vient de moi en majorité.  
 
Faudrait que je change de type de poste ? Je sais pas. Ma femme me dit que je cherche le fric avant tout.
Je ne me vois absolument pas redescendre en responsabilité ce qui rimerai en baisse de salaire.

 
N'importe quel artisan qui se respecte fait 50 à 60 heures voire plus par semaine.
 
La légende raconte que certains feraient même ça par jour.

 
C'est pas faux.
 
Après quelle tristesse de ne pas avoir l'intuition et/ou l'éducation suffisante pour comprendre que dédier sa vie à sa carrière est un échec couru d'avance.
 

 
Il y'avait une part de lucidité froide sur ma propre situation dans ces propos
 
Cela dit je ne me décrirais pas comme "nolife" du boulot. Je n'ai jamais fait partie de la team présenteisme et j'ai délibéremment évité la profession d'avocat en raison des horaires et du mauvais équilibre pro/perso.  
 
Je pense être un profil "impliqué". Quand je rencontre un problème de boulot j'y pense à la maison, sous la douche et je suis prêt à partir tard pour avancer dessus. J'ai besoin de comprendre les sujets sur lesquels je bosse en profondeur et à long terme c'est ce qui me donne une certaine efficacité. Mais je ne fais pas ce truc d'être la personne "outstanding" qui répond toujours à tout, est toujours connecté/disponible etc. Ca m'épuise d'avance et ça ne colle pas trop à ma personnalité.

 
Tu fais du sport ?

T’in pire truc ça.

Alors la pour le coup, 100% de mes alter ego qui font du sport (typiquement triathlon, marathon ou trail) sont divorcé

 
Indispensable si on veut perfer un minimum

 
Tu fais du sport ?

 
N’en déplaise à Onina, ça vient principalement du job pas de toi (j’ai à peu près le même).  
 
La seule différence, c’est que certains le cachent mieux que d’autres et/où résistent mieux que d’autres. Par exemple moi je le cache très bien. Je suis toujours calme, ne m’énerve strictement jamais et arrive à peu près à ne pas trop le faire peser sur la famille, mais par exemple je ne parle strictement jamais de mon taf ou de mes journée une fois  à la maison. Dernièrement j’ai pris un téléphone perso pour faire une vrai coupure quand je rentre et le week end, meilleur truc jamais que j’ai fait.
 
Et en 25 ans j’en ai vu pas mal jeter l’éponge pour reprendre des postes beaucoup plus bas, jusqu’à par exemple bête chef de projet.  
 
Certains payent aussi plus cher que d’autres, mais j’ai l’impression que les divorces sont quand même très fréquents dans ce job, je sais pas si y’a des stats. Les problèmes cardiaques à 40 ans sont pas super rares non plus.

 
T’in pire truc ça.  
 
Alors la pour le coup, 100% de mes alter ego qui font du sport (typiquement triathlon, marathon ou trail) sont divorcé

N’en déplaise à Onina, ça vient principalement du job pas de toi (j’ai à peu près le même).

 
Tu penses que Pouyanet fait beaucoup de sport ?  
On dirait pas à le voir

 
Bien sûr que si, tu dis toi-même que certains résistent mieux que d'autres. Le fait d'être dans un environnement qui 'pressure' est un fait, la manière de le vivre relève de la psychologie de chacun. Et le fait de s'ajouter de la pression soi-même aussi. D'où l'intérêt d'explorer ça avec un pro si on le vit mal : est-ce que c'est un problème d'environnement pro ? de job ? pourquoi viser ces jobs si on le vit mal ? Y'a-t-il des moyens d'adaptation et de gestion qu'on peut mettre en oeuvre ? etc.

C'est vraiment tarte à la crème de la part de quelqu'un avec une telle aisance familiale ET qui justement valide sa période d'essai en grand groupe americain pour se mettre un coup de pression de venir critiquer les gens qui se donnent au boulot pour tenter de faire grimper un peu leurs revenus. Assez naze quand même comme posture, c'est une forme d'insulte à toi même.

Presque personne ne dédie completement sa vie au travail, simplement il y a des phases de sprint plus ou moins longues, des phases de mou également et chaque personne gère sa course comme il le peut et l'entend. Mon propos était d'écrire que pour quelqu'un qui a envie de vraiment cranter professionnellement et accessoirement aussi ses revenus, il y a rarement de secrets, il faut AUSSI bosser un peu minimum dur à un moment ou l'autre, c'est tout. Tu le sais et tu le fais, beaucoup de gens ici le font ou l'ont fait, à leurs niveaux.

Bien comprendre enfin que gerer sa carrière n'est pas un échec couru d'avance, tout dépend ce que tu en attends ; les relais de satisfaction personnelle sont multiples : pour certains c'est la sensation de se sentir utile, pour d'autres c'est l'argent, pour d'autres encore c'est une question de statut vis à vis de leurs parents, de leurs amis, de leur compagne, etc... et ces relais n'arretent pas de changer au fil de la vie. Mais nier que gerer une carrière peut offrir beaucoup de satisfaction est aussi faux que d'écrire que c'est l'alpha et l'omega de la vie.

 
Bien sûr que si, tu dis toi-même que certains résistent mieux que d'autres. Le fait d'être dans un environnement qui 'pressure' est un fait, la manière de le vivre relève de la psychologie de chacun. Et le fait de s'ajouter de la pression soi-même aussi. D'où l'intérêt d'explorer ça avec un pro si on le vit mal : est-ce que c'est un problème d'environnement pro ? de job ? pourquoi viser ces jobs si on le vit mal ? Y'a-t-il des moyens d'adaptation et de gestion qu'on peut mettre en oeuvre ? etc.

 
T’in pire truc ça.  
 
Alors la pour le coup, 100% de mes alter ego qui font du sport (typiquement triathlon, marathon ou trail) sont divorcé

Résister mieux ne veut pas dire que tu ne souffres pas pareil

Après je dis pas, y’en a qui s’en foutent vraiment, on en a eu un comme ça chez nous. Mais ils ne durent pas parce que ça se voit vite et les conséquences ne tardent pas à se faire sentir.

J'ai vu beaucoup de gens se consumer au taf, des collègues, des amis, de la famille. C'est essentiellement ça que visait mon premier message. Je parle de "dédier sa vie" dans mon message et je pense qu'on a tous rencontré ce type de profils:
- Absenteisme du foyer qui dure des années et peut provoquer un divorce/ de gros soucis de couple.
- Très peu de lien avec ses enfants
- Pas/peu de sphère amicale en dehors du boulot
- Pas/peu de vie sociale en dehors du boulot.
Bref des profils avec un grand désequilibre qui ne construisent pas de vie en dehors du boulot, principalement A CAUSE du boulot justement.

Quand je parle d'échec couru d'avance c'est bien de ça que je parle: Ces profils étant extrêmement utiles dans les organisations ils sont incités (jamais délibérément, tout ça passe par beaucoup de sous texte) à alimenter le cercle vicieux. Mon analyse c'est qu'au bout de cette autoroute d'implication il y'a beaucoup d'amertume pour les personnes concernées.

 
N’en déplaise à Onina, ça vient principalement du job pas de toi (j’ai à peu près le même).  
 
La seule différence, c’est que certains le cachent mieux que d’autres et/où résistent mieux que d’autres. Par exemple moi je le cache très bien. Je suis toujours calme, ne m’énerve strictement jamais et arrive à peu près à ne pas trop le faire peser sur la famille, mais par exemple je ne parle strictement jamais de mon taf ou de mes journée une fois  à la maison. Dernièrement j’ai pris un téléphone perso pour faire une vrai coupure quand je rentre et le week end, meilleur truc jamais que j’ai fait.
 
Et en 25 ans j’en ai vu pas mal jeter l’éponge pour reprendre des postes beaucoup plus bas, jusqu’à par exemple bête chef de projet.
 
Certains payent aussi plus cher que d’autres, mais j’ai l’impression que les divorces sont quand même très fréquents dans ce job, je sais pas si y’a des stats. Les problèmes cardiaques à 40 ans sont pas super rares non plus.

 
Y a 130 personnes dans mon train, on gère les 2 sous traitants principaux du projet (qui ont des équipes de 200 ou 300 personnes chacun) je fais déjà largement trop de bullshit et c'est déjà largement trop prenant à mon gout...:o