la faute à sa femme

Je ne me rappelle plus si je l'avais déjà postée. Ca date de l'année dernière.

Je me ballade dans les beaux quartiers de Paris, sur ces avenues chics non loin du parc Monceau/Arc de Triomphe/toussa. Je repère une femme fort jolie qui avait posé ses fesses contre un Cayenne. Le genre bourgeoise, jupe courte, nylon sur les jambes, talons, tirée à quatre épingles. J'adore. Je mate un peu à distance. Je passe devant. Elle me mate, je la mate, je mate son corps. Je me retourne, elle me mate encore. Je passe sur l'autre trottoir. Je continue de mater pendant quelques minutes. Elle ne bouge pas, je me dit qu'elle tapine, c'est une poule de luxe et je vais me la payer.

J'y retourne d'un pas décidé et lui demande le prix de la passe. Baffe devant des passants interloqués. Elle me dit de me barrer car son mari arrive. Je croise ledit mari qui sortait d'un immeuble un peu plus loin et qui me mate d'un drôle d'air au passage. Je pense pas qu'il ait vu la scène.

Quel con.

Je ne me rappelle plus si je l'avais déjà postée. Ca date de l'année dernière.
 
Je me ballade dans les beaux quartiers de Paris, sur ces avenues chics non loin du parc Monceau/Arc de Triomphe/toussa. Je repère une femme fort jolie qui avait posé ses fesses contre un Cayenne. Le genre bourgeoise, jupe courte, nylon sur les jambes, talons, tirée à quatre épingles. J'adore. Je mate un peu à distance. Je passe devant. Elle me mate, je la mate, je mate son corps. Je me retourne, elle me mate encore. Je passe sur l'autre trottoir. Je continue de mater pendant quelques minutes. Elle ne bouge pas, je me dit qu'elle tapine, c'est une poule de luxe et je vais me la payer.
 
J'y retourne d'un pas décidé et lui demande le prix de la passe. Baffe devant des passants interloqués. Elle me dit de me barrer car son mari arrive. Je croise ledit mari qui sortait d'un immeuble un peu plus loin et qui me mate d'un drôle d'air au passage. Je pense pas qu'il ait vu la scène.
 
Quel con.

Je ne me rappelle plus si je l'avais déjà postée. Ca date de l'année dernière.
 
Je me ballade dans les beaux quartiers de Paris, sur ces avenues chics non loin du parc Monceau/Arc de Triomphe/toussa. Je repère une femme fort jolie qui avait posé ses fesses contre un Cayenne. Le genre bourgeoise, jupe courte, nylon sur les jambes, talons, tirée à quatre épingles. J'adore. Je mate un peu à distance. Je passe devant. Elle me mate, je la mate, je mate son corps. Je me retourne, elle me mate encore. Je passe sur l'autre trottoir. Je continue de mater pendant quelques minutes. Elle ne bouge pas, je me dit qu'elle tapine, c'est une poule de luxe et je vais me la payer.
 
J'y retourne d'un pas décidé et lui demande le prix de la passe. Baffe devant des passants interloqués. Elle me dit de me barrer car son mari arrive. Je croise ledit mari qui sortait d'un immeuble un peu plus loin et qui me mate d'un drôle d'air au passage. Je pense pas qu'il ait vu la scène.
 
Quel con.

 
ouais j'avais du la mettre avec mon ancien pseudal

 
Bien sur que oui

 
C'est pas une honte de voir des filles (de luxe) tarifées

Petite honte tramway:
 
Ce jours la je revenais en train de chez mes parents et donc je me trimballais mes grosses valises (un gros sac avec une laniaire que je portais sur les épaules).
 
Je prends le tram pour rentrer à mon appart mais évidement c'est l'heure de pointe et la rame est bondée, impossible de bouger pour se débarraser du sac et le poser par terre, je le garde donc sur mon épaule.
 
Pendant le trajet le sac étant tres lourd je me retrouve très désiquilibré et je n'arrive pas a trouver de quoi m'accrocher pour résister secousses du tram, je prie donc très fort pour que le voyage ce passe en douceur.
 
Erreur ! Pour une raison que j'ignore le conducteur se met a freiner comme un taré et tout le monde se retrouve projeté vers l'avant, évidemment moi qui n'avais nul part ou me tenir je commence a plonger en avant tete première dans le ventre de la fille qui se trouvait devant moi, renversant tout les passages comme un chateau de carte avec mes 20 kilo de valises, le tout accompagné d'un magnifique "Au putain..." sonnant comme un cri de désespoir.
 
Mais ca ne s'arrete pas là, parce qu'une fois a terre, le sac que je porte est trop lourd et m'empêche de me relever, je galère donc comme une merde au milieu et à la vu de tout le monde pour me tirer de là.
 
Une fois relevé j'essaye de m'excuser auprès de la fille à qui je viens d'exploser le ventre par la formule la plus adaptée dans ces circonstance: "fhdzede... ".
 
Le tram redémarre enfin puis quelques dizaines de metres plus loin le conducteur redonne un coup de frein, cette fois plus léger et sans conséquences, et là une bande de mec à coté de moi commence a faire "encore ! encore !  "
 
Moi j'aime pas le tram    

 
Et celle d'un pote solidaire dans l'auto-humiliation, très récente :
 
La femme de mon pote bosse dans un Musée, lequel organisait une soirée costumée pour le personnel. Elle a mal compris le message et de "costumée", elle a retenu "déguisée".
 
Son mari, soucieux de pas avoir l'air ridicule devant les collègues et le Directeur du Musée lors des présentations, prend donc un jour de congés pour préparer les costumes comme il faut.
 
Il était donc en alien vert avec un costume fait d'assiettes en carton peintes et collées. Avec des antennes en papier alu, et tout. Sa femme, plus discrète, était en fée.
 
Arrivés à la soirée, il se trouva que c'était une soirée en costumes d'époque de la région. Les autres invités, tous des guides/conférenciers un peu bourgeois, portaient de magnifiques costumes très classes.
 
Mon pote s'est jamais senti aussi mal. Certains ont cru qu'il avait ça pour se foutre de la gueule du monde

Petite honte tramway:
...
Une fois relevé j'essaye de m'excuser auprès de la fille à qui je viens d'exploser le ventre par la formule la plus adaptée dans ces circonstance: "fhdzede... ".

Moi -> "Je ne sais pas, faut que je demande à mes parents !"

Merci pour le fou rire !!!
     

 
Lui - Tiens, tu veux mon journal.
Perso, dans les transports, je suis assez agressif au premier contact, à moins de ressembler à Megan Fox.
Moi - Rien, à fout' de ton journal. Tu peux te le garder.    
...
En y repensant, c'est vrai qu’il ne me regardait pas forcement dans les yeux.

Je ne me rappelle plus si je l'avais déjà postée. Ca date de l'année dernière.
 
Je me ballade dans les beaux quartiers de Paris, sur ces avenues chics non loin du parc Monceau/Arc de Triomphe/toussa. Je repère une femme fort jolie qui avait posé ses fesses contre un Cayenne. Le genre bourgeoise, jupe courte, nylon sur les jambes, talons, tirée à quatre épingles. J'adore. Je mate un peu à distance. Je passe devant. Elle me mate, je la mate, je mate son corps. Je me retourne, elle me mate encore. Je passe sur l'autre trottoir. Je continue de mater pendant quelques minutes. Elle ne bouge pas, je me dit qu'elle tapine, c'est une poule de luxe et je vais me la payer.
 
J'y retourne d'un pas décidé et lui demande le prix de la passe. Baffe devant des passants interloqués. Elle me dit de me barrer car son mari arrive. Je croise ledit mari qui sortait d'un immeuble un peu plus loin et qui me mate d'un drôle d'air au passage. Je pense pas qu'il ait vu la scène.
 
Quel con.

  cte porc