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Le 20 novembre, le leader français des services parapétroliers avait révélé qu’il avait proposé dix jours plus tôt à son compatriote de le racheter pour 1,5 milliard d’euros. Le groupe dirigé par Jean-Georges Malcor avait immédiatement rejeté l’offre non sollicitée de son rival, la jugeant notamment beaucoup trop faible. Le prix de 8,30 euros par action paraissait difficilement acceptable notamment pour le premier actionnaire de CGG, Bpifrance, entré au capital à un prix supérieur à 17 euros par action.
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