Communiqué de presse - OPA simplifiée de Castillon SAS
Castillon SAS, actionnaire de contrôle de Devoteam, porte sa participation à 85% après l'acquisition des actions détenues par Amiral Gestion et lance une offre publique d'achat simplifiée au prix de 168,50 euros par action sur le solde du capital.
 
Offre au prix de 168,50 euros par action, représentant une prime de 23,2% sur le cours de clôture du 13 octobre 2021 et de 28,0% par rapport à la moyenne des cours de bourse pondérée par les volumes sur les 30 jours de bourse précédant l'annonce de l'Offre ;
85% du capital de Devoteam détenus par Castillon à l'issue de l'acquisition des actions détenues par Amiral Gestion représentant 4,4% du capital (soit 86,3 % en incluant les actions Devoteam auto-détenues par cette dernière);
MM. Godefroy et Stanislas de Bentzmann, actionnaires de contrôle de Castillon, renforcent leur contrôle sur le Groupe qu'ils ont créé, avec le soutien de KKR en qualité de partenaire financier ;
Le conseil de surveillance de Devoteam a accueilli favorablement et à l'unanimité le projet d'offre publique simplifiée. Il a mis en place un comité ad hoc et désigné Eight Advisory en qualité d'expert indépendant.

Le montant minimum pour un achat est de 100 euros.

21/03/2020 Achat BNP Paribas 25.2 x 19
13/07/2020 Achat BNP 35.25€ x 14
29/01/2021 Vente BNP 40.23 x 12
25/02/2021 Vente BNP 51.08 x 9
09/12/2021 Vente BNP 57.42 x 12

In 2004, Tecnoglass’ current CEO Jose Daes was shot in the head and neck during a botched assassination attempt, later attributed to a right-wing paramilitary warlord who believed Daes was taking too many corrupt contracts from the local mayor.

Deutsche Bank soupçonnée d'avoir violé son accord avec la justice américaine - sources

NEW YORK (Agefi-Dow Jones)--Le ministère américain de la Justice (DoJ) soupçonne la banque allemande Deutsche Bank d'avoir manqué à ses engagements en s'abstenant de lui communiquer certaines informations au sujet de sa branche de gestion d'actifs DWS, ont indiqué des personnes au fait du dossier.
 
Le DoJ a notifié au groupe une possible violation de l'accord conclu en début d'année pour lui éviter des poursuites pour corruption et manipulation de marché à l'étranger, selon les personnes interrogées.
 
Ces nouveaux soupçons sont liés aux accusations d'une ancienne dirigeante de la banque, selon qui DWS aurait surestimé ses efforts en matière de responsabilité sociale et environnementale (RSE) pour attirer les investisseurs.
 
Les autorités américaines ont été informées de cette affaire interne par un article du Wall Street Journal paru en août, et non par la banque, qui avait pris des engagements en matière de divulgation et de conformité.
 
En vertu de l'accord conclu en janvier, la banque allemande avait accepté de s'acquitter d'une amende de 130 millions de dollars. Elle s'était également engagée à éviter de nouveaux incidents et à signaler tout fait litigieux porté à sa connaissance.
 
Si les autorités américaines décident de poursuivre Deutsche Bank, cet accord pourrait être annulé.
 
Les autorités pourraient également décider de ne pas porter l'affaire devant les tribunaux mais d'infliger une amende supplémentaire à la Deutsche Bank et de lui imposer d'autres réformes, notamment en faisant appel à auditeur externe chargé de vérifier sa conformité.
 
La décision finale n'a pas encore été prise, ont déclaré les personnes au fait du dossier.
 
Un porte-parole de Deutsche Bank s'est refusé à tout commentaire. Un porte-parole du ministère de la Justice n'a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire.
 
L'affaire a débuté un peu plus tôt cette année, lorsque Desiree Fixler, l'ancienne responsable de l'investissement durable de DWS, a envoyé un courrier électronique à deux dirigeants de Deutsche Bank pour leur faire part de ses doutes concernant la qualité des déclarations RSE du groupe. Dans ces courriers consultés par le Wall Street Journal et certaines présentations internes, il apparaissait en réalité que la société avait du mal à définir et mettre en œuvre une stratégie RSE.
 
Le Wall Street Journal avait ensuite révélé en août que les autorités américaines, dont la Securities and Exchange Commission (SEC), le gendarme boursier américain et des procureurs fédéraux, avaient lancé une enquête préliminaire sur DWS à la suite de ces accusations.