Reprise du message précédent :

Lesquels sont chers pour toi?  Je les vois tous au minima un poil sous les prix de ce qui se fait ailleurs. Et livraison 4e en point relais.

En parlant de bon Beaujolais, y a un Fleurie de Coudert chez Monop' qui est très réussi.

 
Merci, mais pas de livraison en Belgique apparemment
 
Vieux télégraphe à 59 et clos des grives à 36, en plus des Morgon, c'était tentant

 
J'ai pas compare avec le net c'etait par rapport a mes anciens achats.
Le Foillard athanor me paraît cher deja.
Les autres c'est vrai que ca paraît ok.
 
Pour les conditions de stockage je sais pas si je tenterai le point relai.
 

La bouteille subit pire pendant les 48h de transport que pendant les quelques heures en point relais je pense.

 
Très beau projet.
 
La mise de départ me semble ridicule pour un investissement.
 
Sinon il y a un coup sur qui a été donné si tu remontes le topic. Un bordeaux primeurs qui va passer classé A en 22. T'es prends pour 5000€ et voila.

La cave du cave

 
Je sais pas sur les conditions de stockage, je passe les chercher le jour où ça arrive. Souvent c'est soit un fleuriste, soit un garage auto, dans les deux cas il y fait froid et humide.
 
Sinon samedi je retourne au Château Thivin pour une dégustation approfondie.  

 
Comment ça se moque. J’en étais pas certains au premier message mais là    

Ouais, je vais vous laisser entre fin connaisseurs je pense

La question elle est vite répondue. Les tips de poutrello sont bons.

Suivant les conseils du topic, je me suis laissé aller à récupérer quelques quilles du domaine de la Meslerie en Vouvray.
J'ai pas résisté et ouvert de suite un demi-sec 2016 pour l'apéro, eh bien c'est pépite !
Frutis jaunes et une pointe d'acacia sur un nez très ouvert, grande longueur, légère salinité et un dosage très contenu qui appelle la suite, c'est du haut niveau    
Madame abonde pour en reprendre un peu, on va investir 5K, je vois pas de meilleur placement dans les 10 prochaines années

J'ai lu "frottis"

Tu as pris aussi des secs ?

J'ai pas dit fruits rouges    
Oui, pris des secs qui vont gentiment rejoindre la cave quelque temps. J'avoue être assez bluffé par le "une cuvée par an" en fonction de la qualité du raisin et des conditions climatiques, ça force à encaver quelques années en parallèle  

Ba c’est toujours super bon oui
 
J’ai surtout pris des secs et pétillants chez lui les dernières fois mais c’est mega bon

Toujours en parlant investissement il y a les Winedex à mettre absolument en 1ere page:
 
https://www.idealwine.com/uk/tendan [...] inedex.jsp
 

 
On voit bien que le CAC s'est effondré avec la Covid alors que le JRF (jus raisin fermenté) résiste fort.
 
Il faudrait la courbe avec le cours de l'or.

Je n’y vois pas les pépites de tonton Seizh -> poubelle.
Ils ont peur de la vraie concurrence.

Je suis tenté de shorter les tracker Nature aussi.

On s'est fait une petite soirée ce week-end.

Voilà les vins bus à 4.

Commentaire de dégustation si des gens sont intéressés

 
J'ai pas invité les bons forumeur samedi

La violence.
En attendant le CR de Goomi bien sûr
 
Vas y fais péter les commentaires, on veut savoir quelle bouteille a été la merguez de la soirée.

La ptite manchette derrière la nuque

 
5 K par an pour investir (plus le budget adhoc pour ne pas piocher dedans), c'est déjà un très bon départ qui permet de diversifier un peu.  
 
Et ne pas oublier qu'en vendant 10-15 ans plus tard (même en légère perte), si c'est les héritiers qui vendent, c'est un bon rendement. J'ai des amis qui ont entre 50 et 60 ans, ils savent qu'ils laisseront pour certains dans les 10.000 bouteilles à leurs héritiers (ils arrivent pas à stopper les achats, pire ils les accélèrent, c'est pas comme ça que tu diminues le stock...).  
 
Même en partant sur 50 ou 70 € la quille en moyenne (je vous laisse faire le calcul de ce qui passe sous le radar).
 
Je peux vous assurer que je suis très petit joueur...

 
J'ai envie de dire normal. En temps de crise, les pauvres s'appauvrissent, la classe moyenne trinque plus ou moins... et les riches s'enrichissent moins.  
 
Comme l'a dit une ministre, la crise, c'est fait pour investir. Les gros savaient et ont vendu avant. Les petits ont écouté leur banquier et gardé. Ils vendent maintenant quand ça a baissé de 30 % car leur compte est dans le rouge... Et qui achète ? Les riches qui avaient vendu avant. Du coup, ils ont 100+30% (en simplifiant les A/R) avec le même pognon. Et quand ça sera revenu au prix d'avant, ils auront 100+30+30...
 
Et comme en plus ils étaient confinés, ils ont économisé en frais de voyage, bref bien plus de pognon pour le vin et les oeuvres d'art.

 
Sympa.  
 
Je veux bien les CR du Rayas, de l'agrapart et le millésime du Rostaing, je dois en avoir en fond de cave...

 
C'était un diner post confinement donc le but est de sortir des bouteilles sympas et pas des trucs un peu aléatoires donc il n'y a pas eu de mergez    
 
La bouteille la plus décevante était le Morey Saint Denis de Lignier. C'était bien fait, encore bien en place, bien structuré avec les arômes tertiaires qui vont bien mais sans plus. Pas vraiment l'émotion ou la finesse par exemple d'un vieux bordeaux.
 
La bouteille de la soirée a été surement le Rayas blanc. On a tout gouté à l'aveugle et on serait parti au nez et à la bouche sur un riesling pour les senteurs pétrolées (même si vu la forme de la bouteille et la personne l'ayant amené c'était impossible). C'était très intrigant, un OVNI mais tellement énorme : une structure de dingue avec une acidité parfaite, de la précision, une longueur interminable et des senteurs sur les fruits jaunes ou le pin. C'est pas normalement mon type de blanc mais j'ai été époustouflé. Prêt à boire en tout cas.  
 
Agrapart, je connaissais seulement la cuvée terroir qui est aussi un blanc de blanc que j'aimais pour sa précision, sa finesse, ses notés citronnées et beurrés. Cette cuvée était assez différente plus grasse, déjà un peu évolué plus beurré mais toujours très délicate. C'était du haut niveau mais pas dans le style que j'attendais. C'était le millésime 2011 et c'était déjà prêt à boire car pas austère pour un sous.
 
Le rostaing était un 2001 très bien mais limite trop jeune. ll lui faut encore un peu de temps pour gagner en finesse et être un peu moins brutal. Il m'a bcp plus mais d'autres l'on trouvé trop massif pour le moment. A attendre donc.

Bouhi t'es un champion  

 
Neal Martin: trop long a lire, il raconte sa vie
Merci pour faarvinteners
Je pense que je vais me laisser tenter par plus de caisses ... J’arrete sur Bourgogne 17/18, les +25% de tarrifs + les 10% inflations annuels font que j’en achete que tres peu, trop cher.  J’attends que les importateurs s’en débarrassent aux encheres dans 2ans quand ils auront rien vendus.

Ah c'était un blanc ?    

Ouais, il a que 19 ans  

 
Après faut pas se leurrer, ceux qui stockent dans les grands box à Bougival ou ailleurs, c'est pas pour boire vu le nombre de palettes entassées... A la Cave, tu as un stand à disposition pour bien photographier les bouteilles, ça doit pas être juste pour le plaisir (et quand tu vois les étagères avec que des 1er CC 1855 (avec certes quelques Pétrus), tu te dis que ça sert de placement).
 
Tu prends la cave du fossoyeur de vins dans les Deux Sèvres, tu en as pour des millions d'euros et il ne boit rien ou presque.

 
Merci

La tristitude

 
Comme ce n'est pas de l'art, je t'y foutrais un impôt sur la fortune, même si faire l'inventaire et la valorisation prendrait des mois.

 
Année très chaude, ça fait pas l’unanimité mais il y a quelques beau trucs malgré tout  

Ouais 2003 c'était la canicule.

 
Ça reste quand même un gros risque, non? Puis ça doit demander un temps non négligeable, pour chopper des allocations, éplucher les notes, acheter, réceptionner, ranger, regarder les cours pour savoir quand vendre,...
 
Ou bien les mecs choppent des 1° et 2° CC 1855 en primeur à la pelle dans tous les grands domaines sans trop se poser de questions

Bah tu sais, le temps pour eux, c'est le même, qu'ils commandent une caisse ou une palette. Et puis c'est un plaisir pour la plupart, des bons vivants qui prennent le temps d'aller passer ses WE dans les vignes avec le vigneron (c'est pas pour rien que certains font hotel/restaurant avec thalasso).
 
Sans oublier le fait que chez la plupart des garde-vins, tu as l'option réception/rangement/livraison à domicile. Les caves au sud de Paris, tu n'as pas le choix, c'est eux qui descendent tes bouteilles
 
Pour ce qui est des commandes en elles-mêmes, les gars ont leur caisse de Haut-Brion chaque année... Des bons clients Dubecq et Moueix... ou carrément des cadres de sociétés de bancassurances ou marques de luxe (cf. propriétés possédées par ces sociétés, AXA, LVMH, etc. toutes ou presque ont sur Bordeaux et en Bourgogne). Et je l'ai déjà dit, tu as aussi les patrons de CE, services achats, restaurants qui commandent des vons "ordinaires" par palettes, ce qui fait que le grossiste lui file ce qu'il veut à côté
 
Pour résumer, je pense qu'en dehors de l'allocation annuelle à ne pas oublier, la galère est limitée pour eux et se limite à troquer ce qu'ils ont avec ce que leur voisin de golf a de son côté sans grand effort.

Pas faux. Et puis j'imagine qu'une fois que tu as le capital et le réseau d'achat, il est finalement largement plus simple de rentrer des caisses de GC, même rares, que de parcourir revues / forums / salons / ... pour dénicher la nouvelle pépite au super rapport Q/P..

Après, pour dégager un rendement stable sur le LT, c'est autre chose.